Télécharger la présentation ici / Download the presentation here :
https://www.bees.biz/telechargement/Bio360Expo-2024/Bio360Expo2024-forum-jeudi.zip
Gazéification hydrothermale, intérêt pour la valorisation énergétique des boues de stations d’épuration et progrès sur la levée des verrous technologiques
Hydrothermal gasification, the potential for energy recovery from sewage plant sludge and progress in overcoming technological hurdles
Etienne PHILIPPE, Chef de Projets – Gaz Réseau Distribution France GRDF
Anthony KERIHUEL, Président – Solutions Déchets et Développement Durable S3D
Sebastien QUENARD, Chef de projets techniques – CEA LITEN
@gazreseaudistributionfranc9382
@CEA
An 1 2 2 bonjour à toutes et à tous on est ravi de de vous avoir pour cette séquence sur la gazification hydrothermale donc une séquence qui sera portée à trois voix je laisse Anthony se se présenter Anthony kuel donc je suis le l’heureux dirigeant d’ S3D ingénierie que je présenterai par la
Suite bonjour à tous Sébastien kenard du ingénieur en recherche et développement au CEA commissariat d’énergie atomique et aux énergies alternatives du CEA de Grenoble et donc Étienne Philippe je travaille la Direction de la Stratégie de de GrDF euh sur les nouvelles filières de production de gaz renouvelable et bacarbone dont la
Gazéification hydrothermale fait partie euh et donc ce qu’on vous propose c’est une séquence donc 3 x 15 minutes on va commencer par S3D qui va nous parler donc du retour d’expérience d’une étude qui a été menée une étude de gisement en région sud PACA euh ensuite ça permettra
D’illustrer bah bah c’est une étude typiquement où GrDF a contribué je vous présenterai plus spécifiquement un peu la la chaîne technique de la gazification hydrothermale des résultats de d’un programme de Red qu’on a commencé il y a il y a déjà plus de 2 ans qui s’appelle gaz hiver donc je
Présenter les résultats de la phase 1 et puis ça permettra d’embrayer sur la phase 2 et sur le concret ce qui se passe dans les labos CEA sur les équipements qui sont livrés les équipements qui vont être livrés et puis les premiers résultats sur des bouts d’épuration voilà on laissera 15
Minutes à la fin donc pour tout ce qui est question voilà donc faudra prendre un peu son mal en patience mais ça Perm de faire tout le fil rouge jusqu’à ce que on puisse répondre à toutes vos questions c’est parti c’est parti donc bah comme je disais je suis Anthony kel
Le directeur général destro d’ingénierie donc qui est un bureau d’études spécialisé dans la valorisation énergétique des déchets qui a été Coréé que j’ai Coréé en 2007 qui aujourd’hui est composé de 30 personnes donc le siège est à Nant il y a deux personnes à Lyon une personne à Toulouse une
Personne à Paris une personne à Barcelone et donc du coup on est une filiale du groupe Keran depuis 2018 donc un groupe d’ingénierie qui compte 750 collaborateurs donc nous S3D depuis 2007 on travaille sur les les les sujets qui visent à valoriser en énergie les déchets qu’il soit solide ou liquide
Donc au travers différentes technologies la méthanisation bien sûr qui nous a porté dès 2008 via des incitations politiques la gazification et la pyrolyse donc de déchets de CSR qui qui qui est en développement également sur le territoire français mais à l’étranger la tout ce qui est carburant alternatif
Donc biodiesel station GNV et production aussi d’hydrogène et également du coup tout la partie performance énergétique et enfin la stratégie où on accompagne les grosses industries dans le changement de paradigme donc passer du fossile aux énergies alternative voilà donc ça c’est notre activité slide suivante donc on
Accompagne les projet grâce à une autre filiale aussi du groupe sece de l’idé jusqu’à la réalisation des des projets donc on étude de gisement donc c’est ce dont on va parler juste après faisabilité donc c’est étudier différents scénarios et après derrière on passe en phase amo on va choisir les
Technologies consulter et on va accompagner la construction en maîtrise d’œuvre jusqu’au jusqu’au la réception des des ouvrages slide suivante donc voilà donc on a eu la la chance donc de de répondre un appel d’offre publique he qui a été donc soumis il y a y a un an et demi
Donc auprès des des bureaux d’études euh donc le financement région sud PACA GrDF GRTgaz et laad et donc l’intitulé de de cet appel d’offre publique était le suivant enfin j’ai un peu résumé parce que la slide était trop petite mais voilà c’était d’étudier le potentiel de développement de la gazification
Hydrothermale en région région PACA et donc du coup cette étude du coup a consisté à étudier les différents gisements de déchets adressabl à cette nouvelle filière de gazification hydrmale donc on a été sur le terrain rencontrer les différentes industries génératrices de déchets et qui ne trouvaient pas
D’exutoir sur des sur les procédés de de méthanisation par exemple donc qui étit un peu dépourvu et qui n’avait que d’autres choix de faire incinérer ou de payer très cher l’export des déchets donc sur de la longue distance voilà donc donc ce qu’on a pu effectivement se se
Rendre compte c’est que du coup la région la région sud est très moteur justement dans ce dans la recherche d’alternative parce que du coup elle peut pas compter sur la méthanisation parce qu’il y a pas de déchets organique comme il pourrait y en avoir comme il peut y en avoir en
Bretagne il y a très peu d’élevage et pas beaucoup d’industriel agroalimentaire et pourtant il génère bon nombre d’ffluents et de déchets qu’on va voir par la suite donc je disais voilà une contrainte locale pas dépendage possible donc comme il y a pas de de de de culture si y a de la culture
Il y a du blé mais voilà il y a il y a une vraie opposition dans le sud à utiliser les terres sur les pendages de bout de STEP des fluents un peu un un peu difficile donc voilà donc l’objectif identifier lesgisement pour la gazificationmale quantifier et qualifier lesgisement réellement mobilisable donc
Ceux qui ont des des difficultés au niveau exutoire et estimer le pouvoir énergétique de cgisement lorsqu’il serait valorisé en gasification hdrterbale donc voilà les les conclusions donc en fait on a pu s’apercevoir qu’il y a une vraie complémentarité par rapport à à la à la méthanisation donc voilà légisements
Qu’on a identifié donc les boues de STEP et les digestas de Bou de STEP donc il faut savoir que dans la région pacar les bou de STEP et les digestas de Bou de STEP sont exportés hors du territoire al il y a très peu de possibilités despendage et ils sont du coup incinérés
À 2 300 km euh euh un petit peu composté à très longue distance également donc ça coûte très très cher à la collectivité on a également on a également on s’aperçu qu’il y avait des difficultés de valoriser les concentrats de son enfuissement c’est tout ce qui est
L’xivia de son enfuissement vu que la la région est très pollué peuplé elle génère des déchets qui vont à l’enfouissement et du coup bah la gestion desenfuissement génère des lixivia donc ça ça coûte très très cher à à traiter les déchets d’industrie chimique donc autour de l’étandber il y
A beaucoup d’industries chimiques qui génèent des effluants qui ne peuvent pas aller en méthanisation ou autre qui sont incinéré donc autant dire éliminé et donc ça coûte très cher aux industriels donc c’est un des des gros potentiels les déchets industrie agroalimentaire B il y a des drches de l’industrie pharmaceutique parfumerie par exemple
Donc là on étudie ça en ce moment voilà et donc les digestas de méthanisation par en fait il y a la méthanis sur fraction fermenté cible d’ ménagère donc issu d’un tri mécanobiologique on on récupère une fraction organique mais qui contient encore du plastique on fait la méthanisation de ça et derrière on
Produit un Digest que personne ne veut parce que ça contient plque voilà donc potentiel de valoris ça on j’ai acheté donc tout ça pour vous dire que si on regarde la carte il y a des zones où il y a une forte concentration justement en ses gisement qui génère du coup un fort
Potentiel de production de gaz renouvelaable notamment du BI méthane via la gazification hydrothermale donc on on estime un potentiel de 470 GW par an produit à partir de la gacheté en région surtout la région et du coup il y a vraiment une pluralité d’gisement ce qui permet aussi d’éviter
Des problématiques de saisonalité si on traite différents gisement on s’abstient justement ces problématiques de saisonalité donc il a vrai potentiel en région PACA donc voilà ce qu’on peut dire slide suivante euh donc cette étude a été rendue publique auprès de nos nos donneurs d’ordre enfin et ce qui est
Intéressant c’est qu’après sur le terrain il a il y a émergé ils se sont émergés enfs sonmerg il y a des projets qui ont émergé pardon et notamment donc la la STEP de Mandelieu l’anapoule donc c’est à Cann une station d’épuration qui qui trait donc il a à peu près une capacité de
254 milliers équivalents habitants euh donc là tique les bou de STEP sont exportés hors du territoire ça coûte très cher la collectivité et nous ont demandé d’étudier la faisabilité d’investir dans une unité de de gazification hdmale et voilà du coup l’étude est en cours ce que je peux dire
C’est qu’il y a un vrai intérêt des politiques de s’emparer de ce sujet donc on espère voir le jour d’un futur démonstrateur je ne vous en dis pas plus ça reste confidentiel pour l’instant voil des choses très très positifes ça tuante donc je passe la main à mon collègue PhIP merci
Anthony plein écran Super donc là vous avez vu typiquement le le cas d’un territoire et même d’une collectivité qui s’intéresse de près à la gazification hydrothermale si on regarde un petit peu la la feuille de route la feuille de route voilà là on est un peu une étape pour l’instant où
On est à l’échelle de premières études nationales de gisement de faisabilité technic-économique euh il y a également euh quelques prototypes en France en Europe typiquement le CEA he ils ont un prototype de 10 kgh sur lequel il y a des essais qui sont réalisés euh la red qui est nécessaire aujourd’hui elle va
Mener euh dans les prochaines années hein horizon 2025- 2026 à des premiers pilotes un peu plus conséquents euh le but étant d’avoir une industrialisation de la filière euh après 2026 euh et on estime que on a un potentiel atteignable de 2 TWh dès 2030 de de de méthane produit et 2000 enfin
De 50 taw horizon 2050 donc c’est assez conséquent et ça bénéficie à verdir le le gaz le gaz que l’on consomme comment s’en sert le programme de Red de de GrDF en lien avec en partenariat avec le CEA donc sobrement intitulé gaz hiver il s’inserent justement cette première
Phase en fait on a démarré dès 2021 avec la phase 1 l’idée étant de de av été de de valider un peu le la preuve de concept la preuve de principe de selon lancer sur cette filière là avec des premières expériences expérimentales que je vais vous présenter et puis une première approche technico-économique
Pour voilà avoir une intuition de qu’est-ce que pourrait donner cette filière dans la production de gaz injectable dans les réseaux euh et on est désormais en plein milieu de la phase 2 gaz hi 2 donc qui court sur 2023 jusqu’à 2024 euh et on va avoir le gros
Des résultats c’est vraiment la la suite de de gaziv verin où on s’est notamment spécialisé sur les les Bou les bouts de station d’épuration qui nous paraissait être le plus le plus pertinent à court terme du fait des problématiques déjà évoquées par Anthony et donc c’est c’est c’est
Sébastien qui qui présentera voilà tous les équipements qui ont été déployés sur cette phase 2 et qui sont en cours d’essai peut-être prendre un peu de temps pour rappeler quels sont comment fonctionne la gazification hydrothermale bon là c’est une vision très simplifiée mais vous avez les toutes les bases en
10 secondes donc pour faire simple grosso modo on traite de la matière organique humide alors soit elle est déjà chargée en eau mais on peut aussi broyer de la matière sèche he du bois du plastique finement et le mélanger à de l’eau ça revient au même généralement on
Vise à peu près 20 % de matière sèche et c’est bien l’eau qui va convertir cette matière organique sèche en gaz euh et on opère dans des conditions donc haute température et haute pression donc entre 400 700°g celus et 300 bares donc pour simplifier c’est comme une cocotte
Minute voilà où vous AZ avoir trois phases qui vont se qui va être produite en sortie de de réaction une phase gazeuse ce qu’on recherche donc qui va être composé de méthane d’hydrogène hydrocarbure léger et puis de CO2 euh l’eau usée donc en fait quasiment toute l’eau est récupérée en sortie de
Processus donc c’est une vraie force du du procédé c’est que l’eau elle elle agit comme réactif sollevant mais elle est très peu consommée il y a une toute petite partie qui finit dans les gaz on récupère quasiment toute l’eau qui était présente dans l’INT trra en sortie euh
Et puis toute la partie inorganique les sells les les métaux les minéraux vont être séparés et on les récupère aussi il des voies de valorisation qui sont possibles dans une vision un peu plus détaillée voilà un peu la la chaîne technique comment fonctionne la gasification hydrothermale vous voyez
Qu’il y a deux voies qui existent en jaune et en bleu donc la voie de température et la voie catalytique donc la voie catalytique opère plutôt dans la plage base de température et haute température comme ce n l’indiique on est plutôt entre 500 600 jusqu’à 700° celus
Euh il y a des étapes qui sont communes tout d’abord il faut préparer l’intan donc voilà en fonction de l’intant faut ajuster la quantité d’eau éventuellement il y a des étapes de tamisage de broyage qui peuvent être nécessaires ensuite il y a une étape où on va porter cet intran là dans des
Conditions proche du point critique donc proche des des conditions où l’eau va être dans des conditions super critiques ça permet de faire précipiter les selles donc toutes les parties inorganiques là c’est l’étape où on essaie de les récupérer au maximum en essayant de limiter la conversion de l’intran en gaz
Donc c’est c’est une étape préliminaire éventuellement il peut y avoir une séparation plus poussée du soufre qui est nécess n à ce moment-là notamment pour la voie catalytique euh parce que les catalyseurs sont sensibles hein à ces impuretés donc c’est une étape qui est spécifique à cette voie-là ensuite la gazification hydrothermale se
Fait hein c’est là où on est dans les conditions les bonnes conditions de température et de pression euh et c’est là que la matière se convertit en gaz en l’espace de quelques minutes euh vient ensuite une étape de séparation de la phase gazeuse et de la phase liquide euh
Là on va récupérer de l’eau donc assez riche en ammonium la la la l’azote reste grosso modo hein dans dans dans l’eau et donc on la retrouve ici euh dans le cas d’une gazification ha de température on peut avoir un peu plus d’hydrogène que dans le cas d’une gazification catalytique ce qui peut
Mener parfois à faire une étape de méthanation on va chercher à combiner cet hydrogène avec une molécule carbonée comme du CO ou du CO2 pour enrichir la pareméthane euh ensuite on a le gaz qui est quasiment prêt pour injection on sépare les gaz énergétique qui nous intéresse donc méthane hydrocarbure
Léger typiquement et puis le CO2 lui est et donc épuré et peut potentiellement être valorisé he il est très pur à ce moment-là et donc on arrive à l’injection réseau ou l’usage du gaz quel qu’il soit euh et donc dans le cadre du projet gazivver on travaille sur de la une technologie haute
Température c’est c’est là-dessus que le CEA a bâti toute son expertise et c’est la donc les les pilotes qui sont disponibles à Grenoble sont de de ce type là on peut peut-être passer donc voilà dans gaz hiverin on est on est testé deux types d’intan donc desbouts de station d’épuration digéré
Qui était juste à côté à l’aquapole donc la station d’épuration à Grenoble qui nous a donc gentiment fourni voilà des sauts de de boues déjà un peu concentré donc comme vous voyez on avait 25 % de matière sèche et puis on est également allé chercher des bouts de dragage dans
Donc qui qui ont été cherché qui ont été all fourn par le le le le port du bassin d’Arcachon donc matière assez minérale mais qui contient de la matière organique et vous voyez on a 50 % de matière sèche dans les deux cas le le le
La quantité d’eau a été ajustée he donc par une dilution et cette étape de préparation elle est elle dépend vraiment de l’intran donc on est allé on est allé cibler à peu près 20 % de matière sèche mais si on rentre un peu plus dans le détail la matière sèche
Elle-même donc elle contient une fraction organique qui elle est énergétique qu’on cherche à maximiser et puis une partie inorganique qui doit être séparée dans la mesure du possible et là c’est assez frappant entre une boue d’épuration et euh puis une Boutle dragage la la fraction inorganique n’a
Rien à voir dans un cas on a à peu près un/4 d’inorganique dans l’autre cas c’est 90 % et ça se traduit directement par une grosse différence sur l’énergie par quantité de matière sèche l’énergie qu’on peut tirer en fait de de cette matière là c’est l’énergie chimique he de l’intran vous voyez qu’il
Y a un facteur 10 entre la bout step et la bout dragage et donc ça prévisage un peu de la suite de ce que je vais vous montrer où bah le rendement énergétique n’est pas le même entre ces deux matières et il y a un prétraitement qui
Sera nécessaire sur des bouts de dragage si on voulait les valoriser en gaz éification hydrothermale donc justement ces deux intrant là ont été testés sur le le réacteur batch du CEA dans les conditions super critiques euh l’idée derrière c’était de pouvoir analyser les gaz sortants et de pouvoir avoir une
Modélisation du rendement énergétique net notamment nous ce qui nous intéresse c’est les gaz injectables donc notamment la partie méthane a été prise en compte l’intégration thermique donc les gaz qui seraient autoconsommés parce qu’on a un besoin de faire cycler la chaleur euh et le complément de chaleur restant doit
Être fourni soit par une auto enfin une autoconsommation du gaz produit on sacrifie une partie du gaz pour être au bon niveau de température ou éventuellement on peut apporter de la température externe donc on a pris ça en compte donc le rendement n’est pas il il est plutôt conservateur ici et et au
Numérateur au dénominateur je veux dire on prend aussi en compte les consommables électriques il il y a quand même des auxiliaaires à faire fonctionner donc dans la modélisation ça a été ça a été bien pris en compte et donc ce que vous avez ici c’est pour différents intran donc les différentes
Lignes R rouge en très plein au pointillé c’est des intrans avec une quantité de matière organique de plus en plus riche au fur à mesure qu’on monte euh et vous avez donc le rendement à la verticale le rendement net de méthane produit et à l’horizontale c’est le le
Taux de recyclage de la chaleur donc c’est une étape qui est extrêmement importante il faut apporter de la chaleur à l’intran pour le chauffer cette chaleur elle est nécessaire pour être en condition super critique et il faut la recycler de de des produits sortants notamment la phase aququeuse
Qui qui est chargée en calories faut pouvoir recycler ces ces calories là une gamme de faisabilité technique assez raisonnable voilà c’est autour de 75 70 75 % par exle tréatec indique avoir atteint des taux de de 85 % de recyclage chaleur le reste il faut l’apporter en autoconsommation donc forcément plus le
Taux de recyclage décroit plus le rendement s’écroule mais indépendamment de ça si de base il y avait peu d’énergie qui était produite bah le rendement il peut carrément être négatif hein c’est le cas typiquement pour les bouts de dragage vous voyez qu’on est sur des valeurs très négatives qubien même qubien même
On cycle la chaleur en fait on n pas de tout assez de de gaz pour pour rapporter le le complément nécessaire euh de l’autre côté par contre pour les bouts de dragage on a des résultats qui sont très satisfaisants avec des rendements voilà qui peuvent atteindre 40 50 % ici donc en
Théorie et donc c’est ce qui nous a mené à poursuivre le projet on s’est dit c’était des des ces entrant là étaient des bonnes candidates pour aller plus loin avec gaziver 2 euh au-delà de cette partie un peu technique il y a aussi une modation technicoéconomique qui a été
Faite ce que j’ai fait c’est que j’ai essayé de de recalculer ça de plutôt vous donner des ordres de grandeur c’est pas des valeurs ancrées dans le marbre c’est plus pour vous donner une idée de comment fonctionne l’économique d’un d’un projet de gazification hydrothermale et en fait on peut pas
Dissocier le le le le double service rendu qui est de produire de l’énergie certe mais aussi traiter un déchet qui du coup n n’est plus enfin est éliminé et donc il y a des coups évités qui rentrent en ligne de miè et ce que vous avez là c’est différentes courbes
Équilibre économique entre cette composante coût du déchet versus coût de du gaz produit donc à l’horizontale c’est le coût actualisé du gaz sur 20 ans sur un projet donné et à la verticale c’est le coût de traitement de du déchet typiquement s il y a pas de
Redevance qui est lié à au déchet donc imaginons le le le on touche pas d’argent lié au coût du déchet on va avoir pour équilibrer le projet un coût du gaz qui est assez élevé on va être voilà peut-être à 150 200 € le mgawh mais en réalité parce que on peut
Valoriser économiquement ce ce se rendu on peut remonter sur les courbes par exemple imaginons que voilà on est à 50 ou 100 € la la tonne de matière brute traitée pour atteindre l’équilibre et ben on peut se permettre de vendre le gaz dans des fourchettes de de de de cût
Qui sont assez intéressantes proche de ce qu’on voit par exemple pour la méthanisation euh bon bien sûr c’est compliqué d’être compétitif avec la référence fossile quoi que avec des intrans qui sont très énergétiques par exemple des des des monomè issus de la chimie des voilà des efflu industriels
Très riches en carbone en fait les les courbes sont un peu différente et on peut presque être compétitif avec ces voilà cette énergie fossile donc ça vous donne un peu voilà ça permet un peu de palper ça vous donne un peu une une idée de ouais là c’est c’est effectivement c’est
Pour des bouts j’ai j’ai estimé une installation d’à peu près 2 tonnes de matière bout par heure sur 20 ans bout de STEP c’est ça euh et comme je le précise bien bon c’est une analyse économique indicative dans tous les cas elle doit être affinée et puis précisée
Pour un projet donné en fonction de la nature des in des volumes les CAPEX aussi peuvent varier en fonction des des des producteurs enfin des fournisseurs d’équipement et puis il y a toute la composante de coût évité et de valorisation possible descoproduits que je n’ai pas prise en compte ici hein
C’est c’est vraiment un titre indicatif sans parler des des potentiels voilà subventions sur les CAPEX par exemple qui peuvent abaisser le coût he grosso modo une subvention ça fait que toutes les courbes elles descendent vers le bas donc ça améliore l’économicité du projet voilà donc avant de faire la
Transition pour gaz hiver 2 enfin justement pour la la faire je reprends un peu cette chaîne technique euh et on peut un peu en fait on ce qu’on a voulu faire c’était vraiment adresser les verrous techniques qui étaient nécessaires au bon fonctionnement de la chaîne ce qu’on a ce qu’on peut
Catégoriser dans les verrous les enjeux primaires qui sont vraiment cruciaux pour que tout fonctionne parmi ça on peut avoir bon la préparation de l’inttran il faut avoir un intran qui soit compatible avec l’installation de gazification hdrothermale grosso modo c’est quelque chose qui se fait plutôt en amont éventuellement sur site mais
C’est des technologies qui sont matures maîtrisé donc c’était pas trop le le but de la Red ici en revanche pouvoir injecter cette ressource à très haute pression 300 bares en continu ça c’était un un vrai un vrai enjeu technique à lever qu’on a voulu adresser justement
Dans le cadre de gaz hiver euh le traitement du souffle que j’avais évoqué ça s’applique mais plutôt pour la la voie catalytique de conversion étant donné qu’on était sur un pilote haute température ça nous a pas paru essentiel dans le cadre de gazivver 2 euh ensuite
Il y a le cœur du procédé hein la conception du réacteur euh de sel d’abord la enfin la partie séparation de sel euh pour éviter l’encrassement en je vraiment majeur pour la filière et donc qui a été adressé dans le programme et puis le le réacteur de gazification
Hydrothermale il y a tous les aspects de tenue mécanique de corrosion de transfert de chaleur et d’intégration thermique qui sont à à prendre en compte euh et donc et surtout la compréhension de ce qui se passe parce queon est dans les conditions super critiques donc il faut comprendre la cinétique chimique
Euh pour pouvoir optimiser la production de gaz et ensuite il y a tout ce qui est enjeux secondaires donc c’est des enjeux qui sont importants à adresser mais qui sont pas critiques au fonctionnement de la filière dans le cadre d’un d’un pilote d’un démonstrateur euh mais par contre qui peuvent améliorer
L’économicité d’un projet donc tout ce qui est valorisation descoproduits que ce soit les selles l’eau résiduelle le CO2 ça c’est des choses qui sont importantes à intégrer dans une réflexion sur un projet concret et puis les enjeux en fait comme on est en fin
De en fin de process on est sur un un gaz et de l’eau à haute pression il y a des enjeux de pouvoir essayer d’avoir des briques qui sont compatibles avec cette haute pression pour éviter de faire le yoyo par exemple si on veut injecter dans le réseau de
Transport ça vaut le coup d’avoir des briques qui sont compatibles avec ces gammes de pression là pour la méthanation l’épuration notamment nous dans le cadre d’un réseau distribution à la fin on injecte dans un réseau di bar donc on peut se permettre de de sacrifier cette pression et les briques
Existent sans souci he c’est ce qu’on voit déjà pour la méthanisation par exemple la séparation membranaire on peut passer à la slide suivante et voilà juste pour finir donc pour vous pour vous rappeler que GrDF nous on est vraiment présent sur tout le territoire et on prend vraiment à cœur
De pouvoir accompagner les collectivités les syndicats traitement de déchets les industriels qui font face à ces problématiques de gestion de leur effluent le leur bout euh et donc au-delà de cette red qu’on fait avec le on est aussi impliqué dans différentes études donc comme comme Anthony a pu le
Présenter sur la région sudpaca ou à CAN mais aussi par exemple à Grandville avec le SMAG et puis à d’autres endroits en France c’est tu sais que le début hein on espère aller encore plus loin on a choisi la boute d’puration parce que c’était un intran qui était prioritaire
À court terme par exemple les agriculteurs bio ils veulent pas qu’on épand ses Boutes il y a de l’cret soocle commun qui Arve et qui va vraiment contreintre contraindre les pendages de matière organique euh mais en fait on ne traite enfin ce qui peut le plus peut le
Moins si on a on arrive à gérer des bouts on peut traiter plein d’autres intran les bouts c’est particulièrement complexe comme intran mais on s’intéresse aussi par exemple au Dr de parfumerie notamment avec prodarom dans le sud et puis tout ça ça permet d’alimenter un peu nos réflexions hein
Cette RD ces études pour potentiellement un futur appel à projet GrDF voilà pour aller plus loin et essayer de transformer l’essai je vous laisse avec Sébastien côté CEA pour vous montrer plus concrètement ce qui a été fait derrière gaziv ver 2 merci Étienne pour le partage de toutes ces infos alors je
Vais me mettre debout parce que sinon je vais avoir un torticolis à à à la fin de à la fin de l’heure euh du coup le CEA et depuis euh une dizaine d’années acteur red on soutient la filière française de gazification hydrothermale hein ça c’est pas nouveau le sujet est
Pas nouveau pour pour nous alors après on est en train de monter en compétence et monter euh voilà euh avoir l’acquisition de de nouveaux équipements ce que vous voyez en photo sur la droite c’est un réacteur euh c’est un réacteur pilote qu’on a dans dans notre laboratoire hein c’est c’est un pilote
De gazification hydrothermale qui fonctionne alors on est dans des petits débits encore hein on est dans du 10 KH à 650° 300 barres mais ces petits débits permettent quand même voilà de d’être toujours dans l’innovation et puis de se rendre compte des des des différents problèmes que l’on peut rencontrer
Pendant pendant le rid alors moi je suis chef de projet gazver 2 et du coup je travaille en collaboration avec avec grDF et Étienne ici présent donc le sommaire de de de ma présentation c’est je je vais juste vous positionner cette activité au sein du labo parce que le CEA c’est c’est c’est
C’est un grand centre de recherche en France et c’est 20000 personnes donc c’est juste pour vous situer où je me situe où notre laboratoire se situe je sais pas si marche ensuite je vais vous décrire le projet gaz hiver et dans ce projet il y a quand même des verrous technologiques he il
Faut pas se le cacher donc nous le rôle du CEA c’est d’essayer de d’innover et et de proposer des solutions aux industriels c’est vraiment le rôle le rôle du CEA je vous ferai je vous montrerai une caractérisation de de bout de STEP voilà on a on a fait pas mal de carac alors
Sur des bouts de STEP au CEA on l’ fait aussi sur beaucoup d’intran depuis plusieurs années après je vous présenterai voilà ce qui est les études et et les les réalisations qui sont en cours donc on a reçu depuis peu des des nouveaux équipements notamment un dispositif d’injection de de
Bou et puis dans dans peu de temps on va recevoir un système de séparation de sel inorganique et puis et puis on est en train de monter un un nouveau banc aussi de un nouveau banc pour faire des études de cinétique en mode continu hein faire des études parce
On travaille souvent en mode batch auparavant alors que là on passe plutôt en étude cinétique continue et l’objectif c’est de d’étudier des des molécules je dirais cibles pour pour améliorer notre modisation et aider les futures les futurs procédés et puis et puis une première pour nous alors je
Sais pas si si d’autres dans la dans la GH on fait mais on a on a fait des premiers essais de gazification de bout de STEP l’année dernière enfin cette fin d’année utilisé comme un Tran donc donc je vous montrerai quelques quelques résultats euh donc la première partie ça
Va être position de cette activité au sein du CEA donc vous voyez la carte d’implmentation du CEA on est à peu près sur tout le territoire c’est une dizaine de centres en France le CEA c’est 20000 personnes 5000 personnes qui travaillent la direction des applications militaires et 15 personnes qui travaillent dans le
Civil et nous notre laboratoire il se situe c’est le numéro 3 c’est CEA de Grenoble voilà au pied au pied des montagnes euh au C de Grenoble il y a plusieurs instituts hein il y a il y a la microélectronique qui est connu C grenable qui qui est le létin notamment
Et puis vous retrouvez le Len le Len c’est 1000 salariés c’est beaucoup de doctorants aussi he on a on a pas mal de de de de Tesar et et de postdoc au sein du CEA voilà plusieurs plateformes euh de plus de 200 partenaires industriels GrDF c’est un de nos gros partenaires
Industriels aussi beaucoup de projets institutionnels he on monte aussi des projets européens des ANR avec plusieurs partenaires c’est de plus de 200 publications par an et puis un gros portefeuille de brevet on a quatre départements au sein du liten euh plutôt des personnes qui se situent sur chamberie cadarage qui travaillent sur
Le photovoltaïque des personnes qui travaillent plutôt sur la batterie pour l’électromobilité euh plutôt des personnes qui vont faire du développement de matériaux et mon laboratoire se trouve au dtch alors les acronymes au CE on adore ça donc vous vous êtes pas obligé de de retenir les les acronymes mais on fait de
L’ingénierie thermique du stockage thermique de l’hydrogène et on travaille sur tout ce qui est bioressources voilà ça représente à peu près 250 personnes voilà alors au CEA notre rôle du CEA c’est d’accompagner les industriels et de développer des des innovations à leur service donc on essaie de concentrer nos
Notre expertise de pointe et des moyens expérimentaux qu’on peut avoir dans nos labos euh en essayant d’être représentatif de la production industrielle on peut aller jusqu’à des lignes de pilote hein en photovoltaïque par exemple il y a des grandes lignes de pilotes qui ont été faites à Chambéry et
Puis après il y a un transfert techno euh qui va être fait sur qui va être fait sur les sur chez les industriels pardon voilà voilà et et au niveau TRL on va se situer alors on appelle ça des fois la valille de la mort c’est plutôt des des voilà preuve de con
Développement de technologie et le but bien s ces démonstrateurs c’est trouverprès industriel pour l’industriel il puisse monter le futur équipement pour après PIR l’industrialiser et les enjeux voil les enjeux de transition énergétique souveraineté parce que gaz çaent enje aussi de souveraineté tout le monde est au courant situation de la situation
Internationale donc c’est au cœur la stratégie nationale française au cur la stratégie du CE donc alors gazificationmale je je vais pas revenir dessus Étienne en a très bien parlé tout à l’heure c’est c’est le but c’est de traiter des des valoris et traiter et valoriser des déchets en condition super critique
Alors notre laboratoire existe quand même depuis longtemps on travaille sur ce sujet depuis 2011 mais initialement surtout avec des réacteurs type batch donc un réacteur de type batch c’est c’est on met on met un intran liquide dans un réacteur on ferme on monte en température monte en pression puis on va
Analyser ce qui sort en gaz en sortie on va laisser la réactionire 30 minutes une heure ENF toutpend le temps de séjour qu’on on va analyser ça après on est ça donne très bonnes informations par contre on n pas du tout en mode Jea que quand mêmez simple à réaliser
Maisimportant d’ faire quand on veut analyser par l’intérêt d’un inme donc depuis 2011 on a on a dans notre au laboratoire plusieurs plusieurs systèmes comme ça et puis depuis 2016 on a un pilote vous avez vu la photo sur ma première slide un pilote qui permet de de voilà de de
Gazéifier des ressources en mode continu jusqu’à 10 KH à 300 bar à 600 degr voilà et là c’est vrai que c’est c’est super un pilote comme ça ça nous a en 2016 on a mis quelques années à travailler dessus et on a rencontré bien évidemment quelques quelques problématique
Colmatage par exemple sur des boues voilà température vous allez vite boucher des tuyaux vous allez on on va rencontrer des problèmes mais on sert à ça en fait pour un peu débroussailler les problèmes pour les industriels donc là je vais vous présenter un petit peu plus le le projet
Gazivver qu’on a en collaboration avec avec GrDF donc voilà c’est un projet issu d’une collaboration avec GrDF qui dure VO jusque fin 2024 sur une durée de de 3 ans et donc l’objectif c’est on a pris le par au au lieu de développer un système complet c’était de de développer différentes briques techno
Que que l’on peut coupler après ensuite ensemble donc là on entend souvent parler les bouts de STEP la pompabilité c’est compliqué c’est compliqué c’est vrai que c’est compliqué d’un point de vue commercial nous on a testé des des pompes tout ça et ça fonctionne pas comme on aimerait que ça fonctionne on
On a souvent des problèmes sur les membranes on va percer des membranes enfin c’est c’est assez complexe et et du coup voilà ça c’est un verrou qui nous paraissait important ensuite il y a la séparation des sellestien en a parlé et puis il y a aussi euh j’ dirais
Améliorer ses connaissances sur sur la gazification hydrothermale à différentes températures différentes pressions voilà donc vraiment l’objectif c’est développer différentes différentes briques de base qu’on pourra ensuite coupler coupler entre elles ou pourquoi pas après prendre ces briques et puis les utiliser dans un autre procédé alors le programme de travail
Sur sur ce projet ben c’est ça c’est l’injection de la ressource à 300 bares nous on est toujours resté à peu près sur 10 kg 10 kil euh sur sur ce je dirais sur ce prototype la séparation des selles comme je vous disais on s’est rendu compte qu’on avait des problèmes
Si on laissait les cell organiquees dans le dans les intrants on avait vraiment des problèmes de de bouchage et de colmatage et du coup fallait arrêter le réacteur il fallait démonter il fallait nettoyer enfin beaucoup de maintenance donc il faut vraiment notamment sur des sur des bouts vous verrez qu’il y a une
Grosse partie de C inorganique je vais vous présenter un petit peu après ces ces résultats voilà et puis nous ce qui nous para en tant que centre de recherche ce qui nous para important c’est aussi d’identifier les cinétiques de gazification pour dimension plus tard au plus juste les futures les
Futures je dirais chaînes de conversion et puis on a tout un labo j’en parlerai pas aujourd’hui mais Étienne a présenté un peu la partie techcho mais c’est un c’est c’est notre c’est un laboratoire issu du CEA qui travaille sur sur toute cette modélisation évalation t donc on a
Un très bon laboratoire je dirais qui qui est bien expert dans ce DOM domaine et qui aide qui aide souvent les les euh je dirais les développeurs de solutions qui les accompagnent et et voilà qui peut-être donner des des préchiffres à des industriels pour pour l’objectif c’est d’aller plus loin et
Donc dans gaziver 2 on en a pas parlé là j’espère que prochaine je reviendrai on on vous montrera les les les résultats de gazier R2 mais voilà il a ça continue toujours toujours dans ce casre alors on a fait juste une slide de caractérisation des des bout de step euh
Voilà en bout de STEP là comme vous voyez c’est c’est c’est 77 % de d’eau 23 % de matière donc c’est 23 % de matière en gros vous avez 33 % de de sel et 60 % de de carbone voilà donc ça B voilà parce que tout le monde parle le bout de
STEP je sais pas si on avait déjà vu ce type de résultat et puis on a on a fait ça sur deux deux échantillons donc le le simple gaz gaziverin c’était la boue de step d’aquapool à Grenoble sur le premier la première étude avec grDF et gazier ver2 ben c’est de c’est c’est
Une boue qui vient d’une autre step de de ne ville au sud au sud de Lyon donc on a on peut faire pas mal d’essai on a récupéré 500 kg de Bou au CEA voilà dans on a ça dans des congélateurs en attendant de de faire des essais donc on
A on a matière on a matière à s’occuper et vous voyez déjà entre entre une entre une step il peut y avoir des écarts euh voilà il peut y des des écarts en fonction de si la STEP se situe proche je sais pas d’une industrie si elle est
En milieu agricole si enfin voilà vous pouvez vous pouvez voir ce type d’écart donc on va retrouver en gros voilà vous avez le taux de carbone le taux d’hydrogène le souffle l’azote l’oxygène voilà ça c’est par rapport au tout de tout de matière tout de matière sèche
Euh voilà pour un peu vous vous vous dire ce ce qu’est une une boue de une boue de de station d’puration alors là on voit pas mais moi la première chose qui m’a c’est que c’est que les bout euh c’est c’est ça fait de la pâte quoi
C’est c’est pas quand on parle de bout qu’on injecte ça on se dit ça va être facile c’est du liquide tout ça en fait c’est plus du Nutella enfin c’est c’est plus comme ça quoi c’est c’est c’est ça he des des bout de STEP donc là je vais vous présenter plutôt les les
Équipements innovation donc nous voilà l’injection de boue à haute pression 300 bar voilà c’est c’est c’est des boues elles sont abrasives c’est c’est pâteux c’est voilà donc il faut voilà il faut une pompe suffisamment puissante et robuste et du coup le le le CEA qui est a développé un enfin voilà déposer un
Brevet en 2020 sur un un dispositif d’injection sous haute de pression voilà alors le but c’est plutôt de prendre la matière organique avec une pompe péristatique on va on va plutôt o où la boue est pas en contact en fait de de pièce mécanique de de pièces de membrane
On va on va mettre la la matière organique dans un réservoir donc on va pouvoir travailler à des basses pressions si su bar pompe péristatique on met ça dans un réservoir et ensuite on va mettre un piston et on va venir après injecter de l’eau à 300
Barres qui va venir pousser le piston et la boue dans le dans le réacteur et ensuite on a un système à deux réservoirs pour pour fonctionner un coup on travaille sur un un réservoir on injecte on remplit l’autre on injecte et on va avoir un mode continu donc là
Voilà on a déposé ce ce brevet là et on l’a alors il déposé mais vous allez voir la slide d’après que voilà que ce cet équipement on va du du brevet à l’idée à la conception et aux essais alors après là pour l’instant je peux pas vous dire
Si ça va marcher si ça va être bien ça ça va être l’étude en 2024 qui va qui va le dire mais par contre on est passé de d’une conception voilà on l’a reçu fin d’année et là voilà on démarre les premiers essais pour pour ce système de
Pompe ensuite comme on a S les ces preuves de concept on peut travailler aussi sur la séparation de sel alors ça c’est pas par hasard c’est que on a voilà on veut limiter on a vu que sur notre pilote si on avait des des ressources avec des des in organiques on
Bouchait on matit c’était compliqué donc on a voulu récupérer les selles alors là on va plutôt travailler à on va être super critique mais plutôt à plus basse température c’estàdire à 450° et puis dans un petit dans un petit un petit réservoir en mode continue là
On a mis une un réacteur avec une structure interne poureuse et en fait on augmente la surface spécifique de à l’intérieur du réacteur et en fait à cette température là les cell inorganiques qui viennent se se déposer sur cette surface comme vous voyez sur la photo de droite et tous lesess
Inorganique ils viennent et ils viennent ici et du coup ça ça nous a permis de de on a déposé un brevet sur sur sur un procédé qu’on est en train de de réaliser et du coup l’objectif c’est de déposer déposer C S et après de venir tourner balayer nettoyer et récupérer
Les selles et voilà et de séparer les selles inorganiques avant d’enlever ces cel avant d’injecter dans la dans le réacteur de gazification euh voilà alors ce séparateur là ça c’est des vrais c’est des vraies mesures c’est des vrais voilà il permet d’enlever 90 % en je en masse
De de selle de la boue de STEP donc c’est pas c’est pas rien quoi hein vous voyez dans dans les selles inorganiques dans la boue on a énormé d’éléments c’est vous voyez de l’aluminium du chrome du cuivre du fer du nickel du plomb enfin on retrouve dans les bouts
De STEP beaucoup de et vous voyez que ça c’est le c’est c’est le pourcentage de de ce qu’on a enlevé avec la séparation de sel le silicium on a du mal à l’enlever il reste toujours un peu de sable alors ça pour être un problème peut-être pour VO dans le procédé parce
Que ça à l’intérieur des des tuyauteries c’est jamais très bon mais par contre voilà on enlève on enlève pas mal de choses et ça c’est quand même un résultat super intéressant avec avec ce procédé ensuite voilà le le phosphore il a bien été enlevé hein donc il a bien
Été récupéré dans ses selles voilà donc après l’idée c’est aussi de toute cette récupération parce qu’on parle beaucoup de C on les sépare on va les récupérer voilà là là là on sait ce que c’est maaintenant il va falloir travailler sur comment ils sont agglomérés quand même
Entre eux comment on va pouvoir les séparer et puis valoriser certaines filières pour peut-être récupérer des métaux ou peut-être récupérer des des engrais par exemple donc donc voilà là il y a différents résultats différents paramètres mais moi j’ai surigné surtout le le le phosphore mais bon il y a voilà
Il y il y a du titane il a y a peut-être des métaux qui peuvent être intéressants pour pour pour d’autres d’autres industries juste ça parce qu’on s’est dit mais est-ce qu’on enlève pas trop de carbone non plus est-ce qu’on sépare des selles est-ce qu’il y a du carbone tout
Ça au final voilà la teneur en carbone qu’on a enlevé et en plus on sait même pas si c’est le carbone qui est vraiment liée à de l’organique mais si c’est une molécule qui est liée à à à de l’inorganique coup pas enfin on sait pas
Trop mais on en arrive pas tant que ça donc ça c’est quand même un résultat super intéressant c’est qu’ séparation des sell mais du coup derrière on a quand même la pratiquement tout le carbone qui est réinjecté pour la gazification donc là on est en cours de
De fabrication euh on travail je je suis content a le directeur de top industrie qui est qui est ici je vous remercie d’être ici et on travail en collaboration avec top industrie pour le développement du séparateur de sel voilà donc cet équipement va être livré par
Top cet été en 2024 et du coup alors c’est issu de de notre réflexion sur le réacteur on a on a on a un comment un élément pour eux voilà enfin top industrie a une grosse compétence sur la faire des agitateurs motorisation ou ou je veux dire électromagnétique donc on
N’est pas en contact à l’intérieur du réacteur donc ça c’est super intéressant et puis on est en phase d’étude de conception donc la phase d’étude terminée là et du coup ils sont en train ain de lancer les appros de de tout le banc donc on va voir un banc alors le
But c’est on a deux réacteurs pour fonctionner pareil en mode continu c’està-dire on va séparer les selles une fois qu’on va être un peu en mode on veut récupérer les selles d’un réacteur on va passer sur le deuxième réacteur en plus la gros avantage c’est qu’on a designé deux deux réacteurs avec un
Design un peu différent bah pour on est en phase d’étude de de d’innovation donc on on va pouvoir comparer le fonctionnement des deux réacteurs les gros avantages de ces réacteurs là la demande qu’on avait faite c’est qu’ils sonit aussi démontaable et que même à l’intérieur du réacteur on va pouvoir
Amener différents designs différentes solutions qu’on pourra tester en fait voilà donc on pourrait être au service d’un industriel qui qui souhaite voilà amener un intrant si on veut tester une solution on pourra vous accompagner par rapport à ça euh voilà donc celui-ci ce séparateur de sel c’est un équipement
Qui arrive chez nous cet été 2024 ensuite on a alors là on est plus tout à l’heure on était le séparateur de cel on est kil là on fait on fait un montage le c est capable de je dirais de de faire aussi son propre développement et là et
Là on voilà on fait un petit banc 600 de 300 bares un à 1 à 3 KH parce queon trouvait que ça ça manquait un petit peu mê en France je suis pas sûr qu’il y a beaucoup d’équipements de de ce type il a beaucoup de batch d’équipement batch
Mais pour avoir des cinétiques pour connaître les voilà les les les enfin pour vraiment être en mode continu et ben on a fait un petit équipement et le but de cette équipement voilà on va alimenter nous nos modèles numériques nos simulations avec des composés modèles là le but c’est pas de mettre
Des bous hein c’est de mettre un sucre c’est de mettre mais des éléments peut-être qu’on va retrouver dans les boues mais en fait ça va améliorer nos modèles nos simulations et et voilà et on va pouvoir monter en compétence et en données aussi numérique hein sur sur ce
Alors il est B c’est juste c’était juste une photo mais il est en cours de montage he on a on a déjà mis le le on peut mettre la ressource pour l’instant c’est tout on peut faire que ça c’est un un réacteur de de qu’on a un composant
Qu’on achète chez Top chez Top industrie qui qui sait bien faire ça et puis après on on a fait l’intégration là on acheter des composants à droite à gauche on fait l’intégration et puis on fait faire le contrôle commande par un sous-traitant et puis là j’en parle pas parce que
C’est encore un peu un peu trop tôt et et peut-être breable je sais pas mais on est en train de réfléchir un nouveau design de réacteur vous avez vu l’avantage c’est que notre ligne pilote on a un réacteur tubulaire type Gazo mais l’avantage c’est qu’on peut démonter un réacteur et puis en mettre
Un autre à la place faut juste qu’il respecte le volume que l’on a et du coup on a réfléchi à are design on est en train de voilà dans le projet étude cinétique on est en train de réfléchir à ça et et ça devrait on devrait l’avoir pareil peut-être septembre 2024 le
Nouveau reacteur pour faire aussi des essais avec un nouveau design donc je dirais on est agile adaptable et du coup c’est c’est ça l’intérêt de travailler un centre de recherche avec un centre de recherche SL et alors vois-y rapidement les premiers essais de gazification que je vais vous montrer
Hein donc ça ça a été fait sur euh notre notre réacteur pilote alors en fait quand on a fait des des essais quand on a dessalé les Bou et ben on a on a on a récupéré la la ressource en en sortie et du coup on a réinjecté les boues
Dessalées c’est-à-dire sensé à inorganique parce que ça on y arrivait pas si on injectait les bous euh avec les sell ça marchait 30 minutes pof c’était bouché ça marchait pas et voilà et donc là on a fait en condition opératoire hein euh alors bien sûr là on
Est on démarre on était 1 L l’ESS duré 3 He pas de problème ça s’est bien passé gaz F des boues alors les boues elles restent quand même très diluées parce que on sait pas faire en fait pour l’instant donc voilà bien sûr si on veut
Monter en en en gaz généré va falloir comme disait tout à l’heure Étienne plus on met de de matière dans dans la ressource plus il a T de carbone plus on fera de gaz donc c’est làdessus qu’on doit travailler voilà et le taux de carbone alors ça c’est un résultat
Expérimental le taux de carbone retrouvé en sortie de gaz c’était environ 73 % donc on est on est proche de de ce que les chiffres que l’on voit voilà c’est un premier essai donc je pense que ça ça peut être largement amélioré mais c’est un premier essai intéressant et c’est
Vraiment très encourageant pour pour la suite voilà alors là ce qu’on a généré c’est beaucoup d’hydrogène mais c’est normal on était très dilués et ça on a on a c’est des résultats cohérents nous avec nos calculs thermodynamiques c’estàd plus on va mettre après une matière organique plus on va avir le
Méthane bon ce que ce qui est logique hein mais voilà mais ça ça c’est conforme et pendant 3 He et ben voilà on continue on a on a gazifié des boues et on a pu générer de l’hydrogène donc bien sûr pour augmenter la quantité de CH4 il
Faud augmenter le T de matière sèche et moins diluer la Bou c’est je dirais c’est un peu les challenge qui nous reste à faire en 2024 al les perspectives après c’est que on a notre pilote réacteur pilote qui fonctionne on a notre système d’injection qui vient d’arriver on a
Séparateur de celle qui va arriver et après l’objectif ça sera de travailler séparément mais après de pouvoir coupler les trois équipements ensemble et puis si on a un problème sur un ça nous empêchera pas de de continuer de développer l’un ou l’autre enfin voilà donc c’est un peu ça notre notre philosophie
Euh voilà puis on peut passer à la SL suivante alors ça c’est la la slide mais ettienne avait ça on avait la même slide donc on a on est raccord on est déjà raccord avec GrDF donc c’est déjà bien et et voilà donc 2024 c’est Deah de finaliser nous nos études et notre
Prototype et puis après ben pourquoi pas 2025- 2026 hein c’est d’aller à un démonstrateur avec plus de plus de débit mais la l’avantage de d’aller là c’est qu’on aura on aura quand même beaucoup de données et on se sera peut-être un peu cassé les dans sur un petit
Prédémonstrateur et du coup ça va nous aider à à designer celui-ci et puis bon après l’objectif après 2026 hein c’est de aussi ben avec grDF et puis peut-être trouver des futurs intégrateurs des futurs équipementiers pour pour amener à un futur équipement voilà je crois que ah si si j’ai un petit dernière slide
Sinon Armel elle va me crier dessus c’est qu’ Leon il y a Leon le 13 et 14 mars à grenobble donc voilà allez voir sur le site si vous êtes intéressé voilà prenez contact et puis et puis voilà puis je vous remercie merci pour votre [Applaudissements] écoute ben merci merci beaucoup
Sébastien merci Anthony et puis à vos questions oui bonjour Rob GRT gaz les températures que vous avez affiché c’était les températures à l’intérieur de chaque équipement ou parce que vous dans le séparateur de sel je crois c’était 450° ce qui est plutôt élevé euh pourquoi vous avez si c’est ça pourquoi vous avez
Choisi d’aller relativement haut vous avez déjà un début de de gazification dans dans ce cas oui alors la température là c’est pas la température opératoire peut-être qu’on était un petit peu plus bas enfin peut-être à 380° enfin voilà là c’est plutôt des des conditions qu’on donne souvent à au CA des charges au
Dimensionnement par contre ce qu’on s ce qu’on s’est rendu compte que c’est que dans le dimensionnement en fonction de la quantité d’ enfin faut faire vraiment attention à ça dans le design c’est la la quantité le débit alors c’est pas si facile que ça d’avoir 450 degr voilà ça
C’est AC l’étude qu’on a fait avec top industrie d’ailleurs et du coup on réchauffe même un petit peu en amont du du réacteur pour pour être sûr d’atteindre les 450°gr après ça ça dépend de la puissance de chauff quand mettre autour du réacteur mais si on veut pas trop chauffer enfin voilà donc
Mais mais voilà mais c’est pas tout à fait 450° mais si des autres questions je sais pas si on fait je vous qu’on se rela pour obtenir cette température là ça veut dire quoi il faut une source extérieure de d’énergie ou ça sera autonome alors là c’est une source là là
Sur un pilote comme ça c’est une source électrique après alors ça sera certainement une source électrique aussi sauf que on réfléchit on regarde si on pe faire l’autoconsommation amener par si on produit trop d’hydrogène on pourrait réinjecter on regarde ça les les calculs pour l’instant montrent que c’est peut-être pas ce qui
Il vaut mieux peut-être utiliser le le gaz qui est assez cher et puis peut-être mieux chauffer avec de l’électricité par exemple moins cher enfin voilà donc photovoltaïque ouais enfin je enfin je sais pas sur quelle source mais non non mais voilà quoi c’est pas alors par contre ce que disait Étienne est-ce qui
Super important est-ce que tout le monde on est tous un peu d’accord avec ça c’est qu’il faut va nous on na pas trop parlé d’intégration récupération de chaleur mais si vous êtes à 600 der en sortie il faut récupérer la chaleur en sortie pour la remettre en entrée pour
Préchauffer votre intra en fait voilà pour mais bon ça c’est l’intégration thermique et du coup du coup voilà mais et Sébastien ouais dans l’étude de faisabilité de canne par exemple nous on est comme il faut mettre le biométhane ENF par sur le principe qu’on va injecter le biométhane dans le réseau de
De GrDF ou de GRTgaz donc il y a une mise au spécification et donc à ce momentl on va devoir purifier du coup le biométhane on va produire des offgaz et ce sont ces offgaz qui vont être brûlés et alimenter le le procédé d’accord en partie en
Partie et en résidu donc vous avez des sels minéraux de l’hydrogène du CH4 et à la fin il geste enfin il y a quelque chose que l’on peut qu’il faut épendre ou qu’est-ce qu’il faut en faire ben non non à la fin B après on a récupéré toute
La matière dans les dans les sell inorganique quoi donc après est-ce qu’on va pouvoir épendre ou pas ça je sais pas encore il va falloir réparer les les métau lourds des des autresf potassium azote des choses comme ça mais qu’on pourrait épendre ça serait un peu l’idée
D’ailleurs si dans la salle il y a il y a des des personnes qui sur la sépar enfin qui savent récupérer ses blocs et puis qui qu’ on des procédés qui connaissent des procédés pour qu’on récupère les selles on est à l’écoute avec avec Étienne enfin on réfléchit à
Ça donc mais mais c’est justement tout l’intérêt de ce procéder hein c’est que comme j’ai en région PACA ça permet d’éliminer d’éliminer la matière en méthanisation on valorise mais onélimine pas il y a toujours un digesta à épendre là on il y a plus que les minéraux tout
Petit peu de carbone donc du coup bah oui on s’interroge encore sur la valorisation de ce ce sous-produit solide mais en volume ça a plus rien quoi estce que les station d’épiration le problème souvent c’est les métaux lourds quoi mais on en génère pas plus ils
Étaient déjà là avant donc on va on va les concentrero on peut les identifieri ouaisid et du coup idéalement il se retrouve dans les selles et après il y a la qualité de l’eau en sortie qui reste aussi quelque chose à évaluer plus précisément mais ça viendra bien sûr
Avec le développement de la brique bonjour euh c’est C minérau en question est-ce qu’ils sont humides encore est-ce qu’il y a de l’humidité dedans ou est-ce qu’ils sont parfaitement secs euh il y a peut-être encore un peu d’humidité mais après très enfin très peu quoi ouais ou résiduel mais après ça
Sèche très vite quoi enfin il y a pas de et puis ils sont ils sont rincés à l’eau enfin c’est ça la Mure de les évacuer ou alors les selles pour les évacuer en fait c’est s ces celles ils sont ils sont solides à haute température mais vous dès que vous
Redescendez en température plus bas vousou lesediluer dans l’eau en fait pour après rincer comme ça en fait c’est cell après voilà il vont se dissoudre dans l’eau mais à basse température à haute température ils sont solides c e entre guillemets c’est une e de rinçage quoi cette eau de rinçage
Avec T ces sell elle est elle est récupérée elle est identifié oui oui après on peut on peut la récupérer après oui on va on va rincer mais on va récupérer les sels on va on va dissoudre les selles et après on va récupérer on va réparer solide liquide en fait dans
Dans un un procédé de séparation solide liquide en fait assez classique quoi merci oui moi j’avais une question là vous avez présenté donc les essais mais sur des sur des bouts biologiques sorti station vous n’avez pas parlé enfin vous avez exclu pour l’instant des boues digérées ou des des mélanges de
Boutes primaires de Bou biologique est-ce que dans les programmes que vous avez prévu de de réaliser en 2024 2025 vous envisagez d’étendre à différentes matrice de de bout voilà pour voir les résultats sur les bilan masse et bilan énergétiqu euh ben dans le projet on ait pas ça ferait beaucoup d’essais on en
Avait pas encore là dans le projet après on a pris des boues brutes parce que c’est celle qui compaent le plus de matière organique en fait et que et il y avait pas eu de d’évolution de de perte d’énergie en fait l’objectif c’était de maximiser les quantités de gaz en sortie
Après si on sait faire avec ça on SAA faire avec tout types de Bou mais on sera peut-être moins en il y aura peut-être moins d’énergie en sortie en sortie il y a aussi beaucoup d’éthane en fait qui a un apport calorifique qui est pas négligeable en fait on s’est rendu
Compte aussi de ça par on parle souvent de méthane et du coup c’est la question GrDF en fait on a le droit à un certain pourcentage d’éthan dans le dans dans le réseau enfin ouais a même pas de contrainte tant qu’on respecte la gamme de PCs mais comme l’éthane est plus
Énergétique en volume que le méthane c’est compatible avec l’injection tout à fait mais alors alors bout des fois nous dit mais en fait j’ai envie de dire sur le Procé quand on saura faire des bouts correctement on saura faire je dirais presque tous les effluents liquides
Parce que c’est quand même le non c’est quand même un influent très compliqué mais on voit bien qu’il y a aussi une grosse demande des collectivités donc donc on a pris ce Paris là après voilà après sur le le comment le le gazifur là
On fait on a déjà gazif de la Vinas ça se passe très bien on sait faire on sa enfin voilà euh il y a des effluents liquides qui sont plus facilement pompables et utilisables mais on sait gazifier de la Vinas voilà alors j’en ais pas parlé mais aussi aussi alors je laisserai
Alors il y a la partie trè qui travaille sur plutôt catalyseur nous aussi on a des thèses pour l’instant on s pas mis dessus mais ça veut pas dire que le CEA ne regarde pas ça et on a une thèse notamment sur quel catalyseur choisir l’avantage du catalyseur c’est de
Baisser la température et du coup d’avoir des matériaux un peu moins nobles et un peu moins coûteux en fait donc mais c’est pas facile de trouver il faut que les catalyseurs aussi ils a une certaine durabilité enfin voilà donc il y a un coup aussi associé donc mais on
Travaille aussi le CA travaille dessus puis j’ai RDF aussi enfin Étienne il fait partie aussi de de la thèse d’ailleurs enfin il suit la thèse de robas donc on travaille aussi sur ça je voulais faire un petit complément du coup sur can justement on a dimensionné un décomteur Lamire justement pour
Extraire les Bou biologiques on apport effectivement des graisses extérieures et on a un scénario où on va aussi y ajouter des biodéchets par en fait en méthanisation on peut pas rajouter des bi des biodéchets par contre en gazification hdrothermale aujourd’hui il semblerait que oui on pourrait mélanger
Des boues et des biodéchets et là du coup on répond à une double problématique des collectivités en ce moment quoi merci au niveau du process là on sait que la méthanisation on est obligé d’être à 200 m habitation para par rapport au aux éménations d’odeur et
Cetera est-ce que ça va être la même problématique ou est-ce est-ce que c’est neutre euh il y aura la problématique de l’2s certainement parce que là il y a des traces de d’2s surtout sur des bouts d’ailleurs il y a pas mal d’âs sur sur sur les Boutes là j’ai pas montré les
Pourcentag mais il y en a voilà donc faudra traiter ce problème là en sortie de voilà mais le l’objectif c’est c’est d’être proche comme tu disais tout à l’heure s’il faut aller pendre ou incinérer des bouts à 300 km l’objectif ça serait plutôt d’être proche d’une station d’épuration enfin
Que le procédé soit à la sortie à la sortie quoi mais lesaration souvent sont proches des maisons c’est pour ça que je parle de ça après là moi c’est qu’ ce al je sais pas peut-être que toi tu as regardé le côté un petit peu réglementation mais
Non mais après il y a le traitement du gaz qui se fait pour avoir une qualité injectable et puis on peut imaginer s’il y a des espèces enfin des filtres charbon des choses comme ça sur la farti CO2 qui pourrait être inventé mais c’est des technologies qui finalement tout ce
Qui est traitement gaz on connaît enfin il y a déjà plein de choses qui existe donc c’est moins le cœur là du du du du du projet non non mais j’ai bien compris mais dans le cadre d’une d’une vulgarisation je dirais c’est des des problèmes qui vont qui V se poser
Rapidement parce que je sais que moi sur les les six stations d’épuration que je je traite elles sont toutes à moins de 200 m d’habitation qui oui ben c’est des choses qui sont regardées aussi bah Robert et là enfin au sein du GT toutes les questions d’ CPE et cetera et de
Bonne caractérisation mais ça va avec le le le développement et la la la meilleure connaissance des de de de de toute la chaîne et il faut des résultats expérimentaux aussi pour pouvoir bien qualifier pour pas trop contraindre ces équipements là mais aussi les contraindre au juste niveau effectivement vous avez dit que vous
Étiez en phase diluée pendant les essais à quelle ccité vous travaillez ce 2 3 % là et l’objectif ce serait d’aller ce qui serait bien c’est d’aller dessous de 15 % en fait voilà la courbe le montre en dessous de 15 % on risque de pas être rentable économiquement enfin c’est
Compliqué al SF si on aura gérer un déchet mais ce qui serait bien c’est d’aller a-udessus de 15 % entre 15 et 20 % ça serait ça serait intéressant ça serait ça serait bien je voulais juste apporter un complément de de réponse monsieur par rapport à l’impact voisinage et cetera
Bon le premier impact qu’on a c’est on a une une installation haute pression mais normalement est obligé de répondre à la directive européenne des appareils sous pression normalement il y a pas de problème euh deuxè deuxème contrainte potentielle voilà c’est l’odeur l’odeur ça traite en premier lieu disons la
Problématique du stockage de l’intran mais ça on peut maîtriser et après l’H2S normalement il devrait pas sortir du système parce qu’il est capté par une désulfurisation ou une méthan biologique normalement normalement il devrait pas avoir de contact avec l’environnement hein c’est oui non Mo je parle de c’est
En sortie de gaz il y a de l’age de s après il y y a tous les moyens de traitement charbon actif qui qui existent déjà quoi enfin là là nous on n pas travaillé sur cette brique là parce qu’il y a pas de développement à faire
Sur cette brique là mais mais ouais mais c’est forcément c’est des contraintes qu’on a on va dire en terme de respect des impacts environnementaux mais on en est conscient et tous les tous les industriels là-dessus il travaillent dessus pour pour trouver les bonnes solutions pour générer bah c’est un peu
Ce qu’on propage aussi par rapport à cette technologie c’est qu’on minimise l’impact sur l’environnement et et normalement on devrait pas avoir ce ce genre de problème est-ce qu’il y a d’autres questions si c’est bon pour vous ben on vous remercie chaleureusement et puis on est à disposition
Voilà en interpersonnel à côté si besoin merci à vous besoin