Dans le cadre de la concertation préalable, menée sous l’égide de la CNDP, sur le projet de plateforme d’assemblage des futures éoliennes en mer de demain, une table ronde s’est tenue le mercredi 6 novembre, aux Studios de l’Île à Nantes, afin de comprendre en quoi le projet Eole apporte une réponse aux besoins de la filière de l’éolien en mer et comment cette future infrastructure pourra être mutualisée pour d’autres filières industrielles ancrées sur le territoire.
Animée par Clément Lesort, journaliste économique, cette rencontre a réuni sur un même plateau des acteurs économiques du territoire :
• Laurent Castaing, Directeur général des Chantiers de l’Atlantique
• Pierre Duthion, Directeur Action territoriale et autorisations énergies marines renouvelables d’EDF renouvelables
• Philippe Le Berre, Président de Néopolia
aux côtés de représentants de Nantes Saint-Nazaire Port :
• Jean-Rémy Villageois, Président du Directoire
• Ludovic Bocquier, Responsable Business Energies
• Philippe Léon, Chef de projet Éole
en présence des garants nommés par la Commission Nationale du Débat Public :
• Catherine Trebaol et Serge Quentin.
La table ronde a été diffusée en direct par visioconférence, permettant au public en ligne de poser des questions aux intervenants.
Pour accéder au compte-rendu, rendez-vous sur participez.eole.port.fr
2 Comments
Great video
Concernant le choix entre les énergies renouvelables et le nucléaire, il est bien dommage que le projet Super Phénix ait été stoppé en 1997 et que la France, suite à cet arrêt, ait abandonné le développement du nucléaire. Bilan : nous avons pris presque 30 ans de retard alors que la France était leader dans le nucléaire.
Un de vos participant explique que l'éolien va permettre de pallier le manque de réacteurs nucléaires, or l'éolien est une énergie intermittente, et l'éolien produit nettement moins d'énergie que le nucléaire qui le fait de façon abondante, constante et pilotable.
Donc, il va forcément y avoir un manque d'électricité; surtout quand il n'y aura pas de vent, ou trop de vent.
De plus, Fessenheim a été fermé en 2020, ce qui aggrave encore le manque de nucléaire.
Comment la France, qui est déjà endettée à plus de 3200 milliards d'euros, va-t-elle pouvoir financer et l'éolien, et les panneaux photovoltaïques, et le nucléaire ???