Disponible jusqu’au 31/12/2024
    La Corse est une île aux trésors. Ses plages baignent dans la Méditerranée ; ses fonds marins abritent des créatures merveilleuses, parfois uniques au monde. Cet épisode nous mène de découverte en découverte, du puffin cendré au corail rouge, de la tortue d’Hermann aux dauphins, baleines et cachalots qui jouent parfois dans ces parages.

    Série documentaire (2011, 44mn)

    #corse #maritime #artefamily

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    7 Comments

    1. Ce reportage est un bidonnage . 53ans de plongée en Corse et je ne veux plus y mouiller mes palmes . Il n y a plus rien dans cette mer .Plus d 'oursins alors qu 'ils pullulaient il y a encore 15 ans . Plus de petits poissons de roche . Juste quelques petites raies Maintenant on mange les saupes ????? Les grands bancs de saupes c 'est fini . Je suis triste . i

    2. Les mérous sont en sur nombre et dir qu’ils est le garent de l’équilibre à ce jour est un mensonge.
      De plus le sujet qui nous est présenté est incomplet et partial , un déséquilibre profond est en train de s’opérer avec l’arrivée du mérou blanc et des badeches .
      Il faut savoir que le réchauffement climatique a bouleversé les abitudes de ces derniers.
      Ils se reproduisent en Corse et les juvéniles sont très nombreux ils mangent les jeunes poulpes et tout se qui leur passe sous la gueule.
      Je pêche en apnée jusqu’à 40 m et le consta est le même avec mes amis pêcheur, les pierre à corbs se dépeuple pour laisser la place aux mérous.
      Et sans compter que de 40 a beaucoup plus profond je n’ose imaginer ce qui s’y cache….
      Ils se mangent entre eux, ça devient catastrophique.
      En moyenne par pierre ( zone de pêche) on peut voir 5a6 individus entre 5 et 25 kg.
      Sur la superficie des 1500 km de côté que la Corse possède et jusqu’au profondeur que les mérous occupe, en convertissant ça en m2 et sans compter les épaves les cassure d’herbier et les madrépores,susceptibles de les abriter.
      Nous sommes bien loins d’une espèce en danger, parlons plutôt d’une invasion.
      Les scientifiques sont complices de cette situation et nous avons beaux les alerter ils ne veulent rien savoir.
      Les professionnels en prennent de très belles quantités au palangre et c’est très bien…
      Les Mérous sont devenus surtout une source de subvention et financière mais pas pour la pêche récréatives qui ne le pêche plus depuis 43ans.
      Alors nous ressortirent le couplet que la pêche de loisir le prélève facilement…
      C’est une fois de plus nous cibler gratuitement, nous ne comptons pas rester les idiots utiles de cette propagande.
      Nous nous structurons entre associations et avons créé la fédération Corse des pêches récréatives.
      Anciens professionnels de la pêche, scientifiques, vétérinaires, politiques bref un éventail de personnalités de la société.
      Se tourner toujours vers les mêmes pour avoir des informations ne veut pas forcément dire que l’information est vraie, elle peut être incomplète voire fausse….🤔😉

    3. Le barracuda que l’on retrouve en Méditerranée s’appelle bécune il a toujours été présent il en est endémique, c’est vrais qu’on en aperçoit de plus en plus sa population c’est beaucoup agrandit mais il n’est pas une espèce exotique qui est passé par le canal de suez. Vous faites référence au grand barracuda qui lui est un poisson qui vie dans les eaux chaudes et tropicales du globe et qui n’est pas répertorié ici en Méditerranée..

      Sinon magnifique reportage les plans et les images sont superbe

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