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    un procès qui choque la France et qui pourrait bien être un procès pour l’histoire… Certains l’appellent le procès des viols de Mazan, d’autres le procès Pélicot, 51 hommes sur le banc des accusés, alors de quoi ce procès est-il le nom ? Est-ce le procès d’un monstre et de ses complices ou au contraire le procès de 51 hommes ordinaires ? Est-ce une affaire exceptionnelle ou est-elle, au contraire, affreusement banale ?
    On en débat ce jeudi 12 septembre 2024 avec :

    📌 Anne BOUILLON, Avocate pénaliste
    📌 Mathieu PALAIN, Journaliste, « Les Hommes manquent de courage » aux éditions de L’Iconoclaste (22.08.24)
    📌 Marion DUBREUIL, Journaliste judiciaire RMC
    📌 Camille FROIDEVAUX-METTERIE, Philosophe, « Patriarcat, la fin d’un monde » aux éditions du Seuil (31/05/2024)
    📌 Ivan JABLONKA, Historien, écrivain
    📌 Victoire TUAILLON, Journaliste, productrice des podcasts « Les Couilles sur la Table » et « Nous faire justice »

    14 Comments

    1. Effarant. oui, les potes, qui se soutiennent absolument..quelle que soit la situation.contre les femms qui n'existent pas..et on râlait juste contre des différences de ralaire. Aucune excuse, pas la peine de chercher des histoires stupides pour se disculper.quelle horreur ! donc tous les types qu'on peut connaître, même ceux du plateau, finalement ! Les Talibans doivent bien rigoler, si on ose dire !! Idem dans les procès de divorce, les petites femmes qui se retrouvent au RSA…le père qui soudain veut la garde du bébé, pour ne pas payer de pension alimentaire, etc…le rapport de force permanent.manif féministe, on ne voit guère de jeunes hommes, comme si la marche contre l'esclavage n'avait été le fait que des esclaves…

    2. Merci d'avoir rappelé le procès d'Aix et le combat historique de Gisèle Halimi, en 1978.
      Grâce au courage de Mme Pélicot, voici ce qui restera sans nul doute le second grand procès du Viol, une date historique.

    3. Vous êtes gouvernés par un bac à sable pédo-BDSM compromis dans l'obscénité et qui veut imposer le silence sur la pédocriminalité.
      Je pense que c'est la lâcheté qui pousse à violer, à dominer et imposer un pouvoir, pas la masculinité. Et certainement que les femmes sont moins lâches que les hommes.
      L'ingénierie sociale a besoin d'un peuple traumatisé et manipulable.

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