Les réunions publiques sont l’un des principaux temps forts de la concertation “Cap 2030 : vers une Touraine propre”. Elles sont ouvertes à toutes et à tous – sans condition – et permettent d’en apprendre davantage sur les 3 projets proposés à la concertation, tout en ayant la possibilité, pour le public, de rencontrer et d’échanger directement avec les décideurs locaux.

    Cette réunion publique se déroule le jeudi 11 juillet 2024 de 18h30 à 20h30 à l’espace Rabelais de Chinon.

    et recycler pour mieux gérer les déchets qui rest encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’estàdire produire de l’énergie dans une unité de valorisationg pourff des ement public ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit entour une parant 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduelle sont collectés malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetie un vrai estour le toutantcin les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels [Musique] que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit enentourine par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduelle sont collectés malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets ver peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 60 % à l’enfouissement avec trop de dommages collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutiliser réparer et recycler pour mieux gérer les déchets qui reste encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets [Musique] [Musique] [Musique] que deviennent les 531 kg de déchet que chacun produit entoure 1 par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’hordure ménagère résiduelle sont collecté malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommages collatéraux et des capacité limité alors après avoir réduit réutilisé réparé et recyclé pour mieux gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets [Musique] [Musique] [Musique] que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit entour une par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduelle sont collecté malheureusement il ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eut et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommages collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutiliser réparer et recycler pour mieux gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbain et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets [Musique] [Musique] [Musique] que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit entour par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduelle sont collectés malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommages collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutilisé réparé et recycler pour mieux gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets [Musique] [Musique] que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit entour 1 par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduelle sont collecté malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommagees collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutilisé réparé et recycler pour mieux gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets [Musique] que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit entour une par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduelle sont collecté malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommages collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutiliser réparer et recycler pour mieux gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets [Musique] [Musique] que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit enouren par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduels sont collectés malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommages collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutilisé réparé et recyclé pour mie m gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets [Musique] [Musique] [Musique] que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit entourine par an 231 kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’hordure ménagère résiduelle sont collecté malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommage collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutilisé réparé et recycler pour mieux gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire déchets comment v-tu mieux que deviennent les 531 kg de déchets que chacun produit entour par an kg sont déposés en déchetterie 100 kg sont envoyés au recyclage 200 kg d’ordure ménagère résiduelle sont collecté malheureusement ils ne disparaissent pas par magie alors comment mieux gérer nos déchets en déchetterie un vrai tri est important car le tout venant part à l’enfouissement ou à l’incinération les déchets verts peuvent être compostés et donc revenir à la terre le tri pour le recyclage est également primordial mais recycler c’est consommer des ressources énergie eau et cetera et ce n’est pas possible à l’infini enfin les déchets résiduels partent aujourd’hui pour 70 % à l’enfouissement avec trop de dommages collatéraux et des capacités limitées alors après avoir réduit réutiliser réparer et recycler pour mieux gérer les déchets qui restent encore à traiter la solution c’est de les valoriser c’est-à-dire produire de l’énergie dans une unité de valorisation énergie qui pourra a chauffer des logements urbains et des établissements publics ensemble relevons le défi pour maîtriser notre trajectoire d’chet ça va je te remets un vous les deux et moi je le petit B [Musique] question bien [Musique] comment allez-vous bonsoir merci de vous installer je vois des personnes qui arriv encore quelques arrivants alors bienvenue Bienvenue à cette dernière réunion publique de la concertation cap 2030 vers une Tourine propre bienvenue également à ceux qui nous suivent sur Youtube puisque cette réunion est retransmise en direct il y aura également un replay pour ceux qui voudraient la revoir la proposer à à d’autres personnes qui ne l’auraient pas vu donc merci de votre présence on va parler ce soir déchets on va parler de réduction des déchets et on va parler de traitement des déchets ces deux aspects sont étroitement lié et c’est tout le cadre de cette concertation que justement de montrer le l’articulation entre la réduction et le le traitement des déchets alors vous avez peut-être aperçu trois personnes en chemise blanche à savoir Clément Pamela qui doit être dans l’entrée et moi-même nous sommes ce qu’on appelle les facilitateurs de cette réunion donc notre rôle c’est de répartir la parole de faciliter les échanges le tout en toute neutralité n’avons pas de partie pris et dans le cadre de cette réunion ce soir euh notre rôle c’est surtout que chacun puisse s’exprimer tout en respectant l’autre et le deuxième aspect qui est très important c’est que chacun réponde repart pardon avec des réponses à ces questions vous avez parfois des niveaux de connaissance du sujet qui sont très différents il y a parmi vous des gens qui sont presque spécialistes du sujet il y a parmi vous des gens qui sont bah tout simplement dans une connaissance classiqu on va dire et qui ont besoin d’ d’information euh on va nous faire très attention au fait que tout le monde puisse repartir avec encore une fois des réponses à ces questions et donc on se permettra d’interrompre si toutefois le discours devenait vraiment enfin l’échange devenait vraiment très technique pour que tout le monde puisse comprendre tout simplement alors l’ensemble de la Réunion est enregistrée je l’ai dit tout à l’heure c’est important qu’on vous que vous en soyez informé il y aura un replay de disponible il y aura aussi une synthèse en fait de la Réunion vous pourrez télécharger relire et tout ça sont des éléments pour que cette concertation se passe le mieux possible que tout le monde soit informé de manière transparente les intervenants ce soir donc pour Touren propre Martin Cohen président de Touren propre Mathis Navar responsable de la concertation en particulier de la communication Gautier chaussa responsable de la concertation et en particulier de la prévention et pour chon vien etloir monsieur Dupont président et maire de Chinon monsieur de guingan vice-président à l’environnement et pour le smium du Chinonais monsieur Massar président du smium et Anthony de directeur général des services du Smith donc voilà tous les intervenants qui vont à tour de rôle en fait vous présenter déjà les éléments de cette concertation et il y aura bien sûr des temps également de questions-réponses on va voir le sommaire tout à l’heure mais dans un premier temps monsieur Dupont si vous voulez faire un mot d’accueil oui bonsoir à toutes et à tous et bien bienvenue à l’espace rabelé dans le cadre de cette dernière réunion de concertation donc en partenariat avec le smium du chinonis et puis Touren prop le syndicat Tourine prop donc c’est un plaisir que de d’accueillir nos collègues ici ce soir à Chinon dans le cadre de cette de cette concertation alors vous le savez c’est un enjeu important euh le traitement de nos déchets est un sujet preignant euh la façon dont on va anticiper euh prévenir et donc diminuer les volumes était aussi quelque chose d’important et et on le voit d’ailleurs avec l’approche qui a été fait sur les biodéchets avec des évolutions réglementaires euh qui sont venus se mettre en œuvre dès depuis le début de l’année 2024 avec des obligations de de traitement à part pour éviter de de charger les sac gris donc sur des filières soit de de compostage ou sur d’autres filières vers pour les acteurs professionnels donc on est vraiment engagé dans une démarche qui tend à réduire vous le savez évidemment la réduction du volume des déchets elle est conditionnée par pas mal de paramètres évidemment des paramètres réglementaires qui sont liés à la loi et notamment pour tout les produits manufacturés en fonction de leur colisage de leurs emballages de façon à faire en sorte que d’une part ils soi limité et qui soit recyclable donc on a une approche qui est importante sur ce volet là donc c’est un volet qui nous échappe un peu puisque c’est un volet qui est traité une échelle plutôt nationale et je dirais même internationale plutôt européenne pour ce qui concerne la France et puis on a tout ce qui est à notre main à notre capacité en local pour permettre de travailler à cette réduction donc c’est un travail un enjeu collectif d’importance les outils de revalorisation sont aussi extrêmement importants donc le nouveau centre de tri doit nous permettre d’aller plus loin en terme de revalorisation et de recyclage des des emballages et des déchets de façon à en avoir un minimum à traiter donc c’est c’est tout l’enjeu de ce travail de concertation et dans le cadre du Schéma Départemental de traitement des ordures ménagères il y a donc un volet qui concerne l’action de les actions de prévention que nous devons lancer initier à l’échelle du territoire pour permettre à la fois de ensemble de diminuer les volumes et puis d’aller vers les objectifs qui sont fixés alors à différents échelons notamment dans le cadre du Schéma régional de développement durable des territoires donc le sradet c’est un schéma qui est en train de d’être révisé mais qui intègre un certain nombre de paramètres notamment sur les objectifs de réduction qui sont extrêmement importants et sur lequel n on s’engage dans cette perspective vis-à-vis du travail qui va être mené ici en Touren voilà un petit peu pour les les éléments de contexte et la façon donc chacun des territoires va va prendre sa part dans ce domaine et et là on est évidemment au plein cœur du du fjet avec nos amis du smium puisque voilà on est le smitum couvre de de de de communauté de commune ennemi qui nous entoure et chin on vient les Loir en totalité donc on est vraiment en plein cœur du du dispositif voilà merci et nous sommes en présence également donc de la CNDP commission nationale du débat public avec Madame Chalopin et Monsieur Bertrand qui vont peut-être prendre la parole si vous le souhaitez merci bonsoir à tous euh oui nous sommes les les représentants de la Commission nationale du débat public euh la CNDP en abrégé alors tout le monde n’est pas forcément familier avec ce avec ceci qu’est-ce que c’est que la CNDP c’est ce qu’on appelle une autorité administrative indépendante comme d’autres que vous vous sont peut-être plus familières que la laacnil ou le ou l’arcom le Défenseur des droits cette autorité a été institué par la loi plus précisément par le code de l’environnement et elle est obligatoirement saisie de tout projet qui a une incidence importante potentiellement sur l’environnement les textes définissent des seuil au-dessus desquels type de projet par type de projet la CNDP doit obligatoirement être saisie une fois qu’elle est saisie cette commission euh en fonction des des enjeux peut soit décider d’organiser elle-même un débat public qui va durer 4 mois soit euh décider de de de demander au porteurs du projet qui soit public ou privé d’ailleurs euh d’organiser une concertation préalable euh dans des selon des règles qui sont fixées par la loi euh et pour euh surveiller en quelque sorte garantir la qualité de ce débat elle désigne un ou plusieurs garants euh qui vont suivre donc ce cette concertation pendant toute C durée donc c’est dans ce casadre que nous avons été désignés madame chadopin et moi en tant que que garant alors quel est le le rôle des garants c’est donc jeai dit de vous assurer que ce débat c’est c’est cette concertation se déroule dans les règles prévues par par les textes et dans il se trouve que dans le cas qui nous qui nous réunit ce soir c’est un une concertation un peu particulière parce que c’est une concertation volontaire je vous ai dit qu’il y avait des seuils au-dessus desquels la cndp2 était obligatoirement saisie mais les porteur de de projets potentiellement important pour l’environn peuvent deeux même demander à la CNDP de désigner des garants qui vont s’assurer que il que c’est donc c’est ces pour d’ut projet organisent une concertation de qualité dans les règles prévu par la loi même si en l’occurrence ça ne leurait pas obligatoirement applicable donc c’est ce qu’on fait Tourine propre la communauté de commune Chinon viien et Loire et la métropole tour pour les le projet qui nous qui nous réunissent ce soir alors quel est le rôle des des garants donc je vous l’ai dit s’assurer que c’est de que le que le débat est qualité c’est-à-dire que les les informations qui vous sont fournies qui sont fournés au public par les porteurs du projet sont aussi complètes et aussi euh sérieux sincère que possible euh s’assurer aussi que chacun dans le public a la possibilité d’exprimer son avis de poser des questions notre rôle est aussi de nous assurer que les ces questions reçoivent bien des réponses des réponses appropriées et une fois que tout que la la concertation est terminé notre rôle s’achève par la production d’un bilan de la concertation dans lequel nous rendons compte de la façon dont elle s’est passée et aussi nous analysons les différents arguments qui ont été évoqués avancés les positions qui ont été prises par les uns et les autres au cours de ce de cette concertation euh nous restons neutres y compris dans cette phase de bilan c’est-à-dire que nous ne donnons pas un avion en disant ah bah oui finalement à la lumière des débats qui a eu lieu nous pensons qu’il faut faire le projet ou contraire nous pensons qu’il faut pas le faire c’est pas notre rôle notre rôle est de rendre compte des arguments qui ont été exprimé et les seules propositions recommandations que nous sommes amenés à faire par la suite concerne non pas le fond du projet mais la suite enfin l’information qui conviendra de donner par la suite au public si le projet en débat se doit se réaliser si les porteurs du projet décident effectivement de poursuivre après la la concertation Philippe oui vous avez dit beaucoup de choses je veux juste rajouter que la période de concertation c’est une période où toutes les options sont ouvertes c’està-dire aucune pour l’instant le maître d’ouvrage n’a pris aucune décision le public il est consulté euh sollicité donc c’est pour ça que vous êtes encore invité à participer à sur la plateforme qui a été mise en place c’est très important pour la concertation pour nous pour vous et l’expression du public merci j’ajouterai que vous avez un petit papier un stylo sur vos chaises euh si vous le souhaitez s’il y a des questions que vous n’avez pas pu poser même si on va avoir 1 heure de questions sur 2hures de réunion he donc on a un vrai temps de questions réponses euh vous pouvez aussi nous laisser des petits papiers qu’on intégrera évidemment à l’ensemble des remarques ou des ou des éléments de la concertation de quoi parle-t-on ce soir en terme de sommaire bah déjà justement pourquoi une concertation préalable pourquoi ce choix a été fait vous l’avez un petit peu évoqué comment réduit-on puisque la première phase c’est bien cette réduction des déchets et là on fera un premier temps de questions et commentaires euh vraiment ciblé sur cet aspect-là euh on vous demande de bien respecter euh les thèmes en fait de chaque phase de questions-réponse de façon à ce que tous les sujets soient abordés et on aura vraiment le temps de parler après de la deuxème partie qui est que fait-on du reste à savoir justement les modes de traitement qu’on peut envisager pour euh pour ces déchets donc on on vous demandera juste d’être vigilant sur cet aspect-là de bien poser les questions qui correspondent aux différentes parties mais je vous le rappellerai tout à l’heure euh autre aspect important on on fera une méthode de de questions réponse alors c’est des questions ou des avis hein vous pouvez tout simplement aussi avoir un avis à exprimer pas forcément de questions euh on le fera sous une forme qu’on appelle trois questions à la suite c’est-à-dire que vous serez amené à poser trois questions et on apportera les réponses ensuite dans un deuxième temps ça permet un a priori d’avoir quand même un un temps de réponse un petit peu plus court parce que les participants les intervenants peuvent se préparer ça vous permet aussi de prendre conscience un peu des autres questions qui sont posées éventuellement d’ajuster vos questions donc c’est une méthode qu’on appliquera ce soir vous verrez ça va très bien se passer et puis comme je vous le disait on est là pour faciliter et veiller au bon déroulement du débat donc il y a quelques règles à suivre on s’écoute c’est important dans le débat c’est une conversation donc c’est important de s’écouter avec bienveillance et avec courtoisie pas d’Inter option donc quand vous demanderez en fait à poser une question vous levez la main on vous amène le micro vous vous présentez c’est important aussi pour nous qu’on a en fait les noms des personnes qui interviennent et puis ben dans le partage des avis essayz d’être clair et concis essayer d’éviter les anecdotes personnel qui prendrait trop de temps de façon à ce qu’on ait vraiment la possibilité de rentrer dans le cœur des échanges et enfin rester dans le thème de la Réunion comme je l’ai évoqué tout à l’heure prier temps prévention deuxème temps sur la partie traitement et enfin intervenir après les présentations puisque évidemment on va déjà vous expliquer beaucoup de choses si vous avez des questions qui vous viennent notez-les sur les petits papiers qu’ qu’on vous a fourni c’est vraiment fait pour ça de façon à ne pas les perdre mais à les poser après dans le temps qui qui est consacré à cette partie et je vous propose de commencer bonsoir à toutes bonsoir à tous h on va commencer avec cette partie pourquoi cette concertation la raison elle est queon est sur un moment clé euh dans la dans le sujet des déchets sur sur l’indrloire il est clé parce qu’on a des décisions importantes à prendre dans les mois années qui viennent eu vous le verrez dans la présentation on a aujourd’hui des des outils de traitement sur le département euh qui vont être à saturation ou rapidement obsolète qui vont qui vont devoir fermer on a un moment on est à un moment aussi où les état nous incite de passer d’une période où on était sur de l’enfouissement majoritaire pour aller vers de l’incinération de la valorisation énergétique et donc on va avoir à faire évoluer notre façon de gérer les déchets ça c’est le le contexte global qu’on va vous présenter plus en détail après on a trois objectifs sur cette concertation le premier objectif c’est de faire connaître les déchets au maximum de personnes au maximum d’habitants du territoire quand je dis connaître les déchets c’est savoir que chacun puisse savoir ce qui passe une fois qu’il a sorti sa poubelle à l’extérieur et qu’il est emmené par la ben à ordure et a malheureusement encore trop de personnes qui se désintéressent ou qui ne font pas attention à ce qui se passe derrière premier objectif c’est vraiment de savoir l’état des lieux aujourd’hui qu’est-ce qu’on fait de de nos poubelles deuxième objectif on a travaillé sur un programme de prévention sur depuis un an maintenant euh programme de prévention des déchets ménagés assimilés on est bien je redis sur les déchets ménagés assimilés aujourd’hui donc on traite pas de la la question des des déchets des activités économiques on est sur vos déchets à vous habitants du habitants du territoire donc on a préparé depuis un an ce programme de prévention et on souhaite le partager avec vous euh finalement aussi le le bonifier avec les échanges qu’on peut avoir lors de cette concertation c’est le deuxième objectif et le troisième c’est une fois qu’on aura ensemble défini le niveau de prévention euh souhaitable donc le niveau de réduction qu’on va pouvoir euh atteindre dans les années qui viennent c’est de savoir qu’est-ce qu’on peut faire avec les déchets qui restent puisquil en restera vous verrez dans l’objectif qu’on s’est donné on s’est pas donné un objectif à moins 100 % euh même si c’est un objectif qui est quand même ambitieux et donc il restera des déchets il faudra bien faire quelque chose donc c’est vraiment ces trois ces trois objectifs là euh qui nous ont incité à à faire cette concertation et pouvoir échanger avec un maximum de personnes sur les de mois de cette période et pour la première partie bref exposé de que sont les déchets aujourd’hui je vais laisser la parole à mathtis Navar oui merci bonsoir à toutes et à tous alors pour compléter ce qui vient d’être dit l’objectif c’est un peu de vous expliquer quelle est la situation en Touren et quoi de mieux que de partir de la poubelle d’un habitant moyen que vous avez derrière moi donc vous voyez cette poubelle fait un peu la tête puisqu’elle est encore un peu lourde un peu grosse et si on détaille un pointu en détail son contenu on se rend compte que Al déjà j’aioublé de vous préciser qu’elle faisait 531 kg en moyenne par an et quand on rentre un peu plus en détail on se rend compte que l’apport le plus important on y pense pas toujours c’est ce qui vient en déchetterie donc vous voyez on parle quand même en moyenne de 231 kg toujours par an et par habitant et quand on descend ensuite et qu’on regarde plus en détail on a 100 kg de tri sélectif quand on parle de tri sélectif c’est la poubelle jaune mais c’est également le vert qui est collecté soit en porte à porte ou en point d’apport volontaire et 200 kg aussi 200 kg donc d’ordure ménagère ce qu’on appelle la poubelle rise ou la poubelle noire qui est le sujet qui qui nous occupe en grande partie ce soir en tout cas pour la partie la partie traitement on verra que la partie prévention s’attaque aussi à ce qui est apporté en déchetterie en trélectif et en ordioénagère si on suit le parcours de cette poubelle grise on le sait plus ou moins ça dépend des territoires ici je pense que vous le savez une partie est incinéré donc pour le pour le swingtom du chinonis c’est plutôt du côté de saint-bonois la forêt que ça se passe mais au niveau du département ça reste quand même plutôt une exception puisque globalement vous voyez les solutions de traitement majoritaire c’est ce qu’on appelle encore l’enfouissement donc en en centre d’enfouissement on a encore deux sites qui sont situés dans le département vous les avez juste derrière moi à sonz donc au nord ouest de la de la métropole sur le territoire de gatine Racan et du côté de l’UT Touren chanceau près loge à côté de de loge comme son nom l’indique et l’incénérateur de saint-bonau à la forêt je l’ai expliqué je le citaé juste avant qui est situé ici pas très loin de là où nous sommes la problématique qu’on a avec ces trois sites de traitement dans le dans le département c’est que à moyen terme ils sont condamnés alors pour la partie incinération on parle d’une fermeture de l’incinératoire actuel de Saint-Benoît la forêt à l’horizon 2030 donc à la à la fin de la décennie c’est une installation qui date de 1984 donc à 40 ans cette année euh qui très clairement arrive à la fin de son cycle de de vie utile et la problématique un peu différente pour les centres d’enfouissement malgré tout euh on pourra plus compter sur eux d’ici 10 ans euh avec une saturation qui est voilà un problème majeur aussi bien du côté de S et de chanceau préloche puisque bah ces sites ne sont pas non plus étendable à l’infini vous en notez euh si rien ne se passe que ces trois sites de traitement ferme d’ici 2030 2034 comme on vient de le voir euh cela va s’accompagner d’ un certain nombre d’externalités négatives je vais vous en citer trois il y en a d’autres euh la première déjà c’est celle à laquelle on pense le plus souvent c’est une augmentation du nombre de transport en camion puisqu’il faudra emmener les déchets de plus en plus loin pour trouver d’autres solutions de traitement que ce soit de l’incénération ou de l’enfouissement mais ce sera plus dans le département ce sera peut-être dans les départements limitrophes on voit qu’on en voit déjà une partie de nos déchets du côté du Loir etcher et du côté du menéire respectivement à Blois et à Lass mais là on parle de distance encore plus importante en plus avec un retour qui se fait le plus souvent à vide et un camion je ne vous apprends rien bah ça roule encore beaucoup au des AEL ça émet du CO2 donc il y a aussi des des conséquences écologiques et socio-économiques plus largement puisque c’est aussi plus de poids lourd sur nos routes donc plus de nuisance à tous les niveaux cela va aussi coûter plus cher on voit bien que les coûts des déchets augmentent de manière continue depuis déjà des années euh si il se passe rien ça ce n’est qu’un début mal heureusement on voit qu’en plus il y a une taxe taxe générale s activités polantes qui pénalise fortement notamment l’enfouissement on le verra juste après dans dans la suite de la présentation et toujours en lien avec cela une absence totale de maîtrise des coups je l’ai dit mais aussi de visibilité puisque en fait on va se retrouver livré à la mercie de différents prestataires qui seront donc situé loin et vous dtez bien qu’il y a d’autres collectivités autour de ces sites d’enfouissement et d’incinération qui sont prioritaires donc là aussi ça soulève un certain nombre de d’incertitude donc pour éviter justement ces externalités négatives il y en a d’autres nous dans le casadre de cette concertation on porte un programme avec deux parties donc une partie plutôt réduction et une partie valorisation de ce qui n’aura pas pu être réduit et je vais repasser la parole à Monsieur Cohen pour qu’il vous en dise un peu plus à ce sujet-là oui effectivement deux parties euh dans notre dans la stratégie qui a été élaborée et qui est proposée finalement dans dans cette concertation vous l’avez compris la première c’est la réduction avec un programme de prévention départementale des déchets ménagés sur la période 2024-2030 on s donné 6 années pour réduire au maximum nos déchets pourquoi 6 années parce que c’est à peu près la durée qu’il va falloir pour construire des nouvelles unités donc autant anticiper ça réduire au maximum pour construire des unités derrière qui seront le mieux dimensionnés possible donc ces premiers volets réduction ce programme de prévention il va être détaillé par gotier juste après un certain nombre d’axes et d’actions à mener sur les les 6 années qui viennent et le deuxième volet vous l’avez bien compris qu’est-ce ce qu’on fera avec le le reste de C de ces déchets l’objectif est de les valoriser aujourd’hui l’État nous incite de toute façon à aller vers ce type de de d’outil les valor les unités de valorisation énergétique et on propose dans cette concertation deux solutions deux unités de valorisation énergétique qui produiront de l’électricité et de la vapeur de l’électricité de la chaleur pardon avec avec les déchets dans cette concertation on a trois mètres d’ouvrage c’est un peu une spécificité de notre concertation ce qui peut parfois paraître un peu un peu compliqué mais c’était vraiment pour pouvoir travailler ensemble et vraiment à l’échelle départemental sur cette question des déchets ça nous paraissait cohérent de réfléchir non pas simplement à l’échelle d’une comcom ou d’un ou d’un syndicat smctom mais plus largement parce que il y a des interactions les uns avec les autres le premier mître d’ouvrage c’est Touren propre Touren propre c’est quasiment tout le département il y a juste la CC ovale qui est pas dedans c’est un syndicat qui porte des études et des actions de prévention et là Touren propre porte la concertation comme finalement une sorte d’étude préalable euh à la mise en place de d’une stratégie autour des déchets premier maître d’ouvrage deuxième maître d’ouvrage c’est tour métropole associé à la comcom gatine Racan et tour et la comcom tour enest Vallé comme possible porteur de projet d’unité de valorisation énergétique c’est un des premiers dont je parler tout à l’heure et l’autre dernier maître d’ouvrage c’est Chinon vien et Loire comme coordinateur du groupement du Sud tourangeo donc vous voyez c’est le sud du département qui s’associe là aussi pour porter un autre projet d’unité à savoir la reconstruction sur le sur le site de Saint-Benoît la forêt cette concertation porté par Touren propre et les deux mètres d’ouvrage elle a finalement démarré au moment où on a saisi la la NDP c’était il y a un an on a travaillé ensuite avec les garants qui nous ont été désignés au mois d’août dernier sur la définition du dispositif on a préparé ce dispositif une fois que les garants nous ont dit quoi faire et donc c’est on s’est lancé sur cette concertation 2 mois de concertation on arrive au bout aujourd’hui c’était mi- Maai mi-juillet c’est la dernière réunion publique aujourd’hui quasiment quasiment la fin on a encore quelques débats à à à faire du son ce weekend mais sinon on est quasiment au bout et donc ensuite les bilans on aura un bilan des garants comme ça a été dit et une réponse après à donner des 3 mètres d’ouvrage il faudra qu’on prenne des décisions comme je vous l’ai dit construire des projets faire ce programme de prévention ça prend plusieurs années donc on a souhaité consulter concerter travailler avec le territoire en amont pour qu’on puisse prendre en compte les les avis les contributions que vous pouvez faire sur la plateforme ou aujourd’hui lors de cette réunion publique voilà sur le dispositif rapidement mathtis merci je reprends la main donc comme cela vient d’être dit un dispositif très large l’objectif est de favoriser la participation du nom d’ public le plus diversifié le plus important possible euh le point central de dispositif c’est vraiment le site la plateforme vous l’avez partout sur tous nos supports de de communication donc concertation.tourenpro.fr sur cette plateforme il est possible déjà de vous renseigner sur les différents projets prévention et les deux projets de traitement à la fois dans dans le chinonnais et du côté de de la métropole de tour et une possibilité aussi de contribuer de déposer un avis juste comme ça à main levée dans la salle qui a déjà déposé un un avis une contribution sur la plateforme c’est pas mal plutôt à droite qu’à gauche d’près ce que je vois euh vous avez encore quelques jours pour y participer puisque la plateforme fermera c’est un grand mot mais en tout cas on pourra plus déposer de de contribution à partir de de dimanche soir à 23h 59 par contre le le contenu restera accessible à l’issu de du 14 après le 14 juillet le numérique c’est bien ça ne fait pas tout on parle beaucoup de des fois de rupture de fracture numérique euh il faut également être présent sur le terrain c’est ce qu’on fait ce soir mais il n’y a pas que les réunions publiques il y a également des débats mobiles un nombre quand même relativement conséquent qui sont et bientôt on pourra dire ont été organisés partout dans le département là aussi pour aller à la rencontre d’un public le plus diversifié possible sont des événements aussi très V pas que des fêes de l’environnement il y en a mais pas que également des brocantes des marchés là où on peut rencontrer Monsieur et madame tout le monde j’ai envie de dire donc 70 dans le département une exposition itinérante vous avez des rollopes qui sont situés à plusieurs endroits vous en avez un à gauche partie de la salle et à ma droite qui explique justement les enjeux de la concertation on les a retrouvé dans des lieux qui reçoivent du public notamment en mairie hôtel communauta et et autres également une campagne de communication puisque c’est bien d’avoir des débats mobilees une exposition itinérante et un site mais il faut les faire connaître donc il y a eu un un dispositif d’affichage très conséquent euh si vous êtes de Chinon vous l’avez peut-être vu dans dans la ville de Chinon également en déchetterie partout dans le département là vous avez une photo d’un plus fil bleu à tour qui a également accueilli la campagne de communication Cup 2030 au mois de au mois de juin en complément de cela des réunions publiques donc vous êtes bien passé pour le savoir puisque vous êtes ici ce soir euh avec quatre réunions publqu qui ont été organisé cela a été dit c’était la c’est la dernière ce soir une l’ première à tour c’est la photo ensuite on a était du côté de Montbazon et hier nous étions à sainte-em de Touren également deux tablees rondes qui ont permis d’approfondir les deux sujets clés de cette concertation à la fois la partie prévention donc ça c’était à Amboise le 2 juillet dernier et également la partie traitement à Neill et pompière au mois de juin est-ce qu’il y en a d’entre vous qui ont participé à des tableau rondes que ce soit à Amboise ou à Neill et pompière oui non personne si si levez la main pour qu’on voit un peu une personne vous êtes le seul euh en complément je parlais de mobiliser un public le plus large possible les étudiants c’était un public qu’on avait identifieré dès le début malheureusement vous vous imaginez bien que la période de la concertation n pas la plus favorable euh à la mobilisation du public étudiant du qu’ du 15 mai au 14 juillet on a relativement peu de monde dans les facs euh donc on a organisé en amont au mois de mars des ateliers avec eux de manière à ce qu’ils élaborent des supports de communication qui démystifient un peu ces sujets parfois très techniques de la prévention et de la valorisation des déchets ls œufes sont exposé dans l’entrée de de l’espace Rabé si vous voulez les les consulter à la sortie euh c’était un élément un peu novateur de de dispositif et enfin pour terminer très rapidement des visites de sites l’objectif là c’est d’aller vraiment à la rencontre des acteurs du territoire euh qui bah œuvrent dans le domaine des des déchets euh partie prévention avec notamment trois Ressourceries qui nous ont ouvert leurs portes il a encore une visite la dernière qui est possible qui sera organisé demain euh dans les locaux d’actives qui situ à la richiche qui est une ressourcerie textile qui rne vie chaque année à des dizaines et des dizaines de tonnes de de textile il est encore train de vous inscrire sur la plateforme concertation.tourenpr.fr et euh également un site de traitement qui a ouvert les portes dans le casadre de cette concertation je parlais tout à l’heure de de l’unité de valorisation énergétique de l’ASS dans le mellloir euh est-ce que là aussi il y en a d’entre vous qui ont été à l’ASS dans le cadre de la conculttation tour prop 1 2 3 4 qure personnes donc c’est bien voilà suivez aussi l’ensemble de dispositifs qui vous le voyez est très large et qui bah prendra fin le le 14 juillet donc ce dimanche attant je vais passer la parole à mon collègue ger qui va vous expliquer un peu qu’est-ce qu’on met en place pour réduire à travers le programme de prévention oui bon bonsoir à tous bonsoir à toutes euh bon on a déjà commencé à prendre un petit peu de de retard on va essayer je vais essayer d’aller un petit peu vite pour laisser le plus de temps possible aux échanges je pense que vous êtes surtout venu pour ça donc je vous présente rapidement le programme de prévention départemental auquel on on sur lequel on a travaillé depuis maintenant un an donc si on repart de de ce constat là l’idée c’était voilà chaque personne enentouren en moyenne produit à peu près 530 kg de déchets par an dans différents gisements les les déchets collectant déchetteries la collecte sélective et les ord managèer ce programme de de prévention départementale donc il a rassemblé différents acteurs du territoire notamment les collectivités l’ensemble des collectivités du département même la CC oval qui ne fait pas partie du territoire de tour propre l’ensemble des collectivités du territoire ont trouvé un intérêt justement à développer des actions départementales donc on a réuni à la fois les élus il y en a quelques-uns aujourd’hui on a réuni aussi les services techniques les les services techniques qui œuvrent au quotidien sur sur les différents territoires et aussi les associations locales il y en a quelques-unes dans dans la salle qui ont été convié à l’élaboration de de de ce programme on comptait aussi sur les chambres consulaires la région centreevdeloire l’ADEM qui ont aussi été des des acteurs de de cette construction donc ça fait un an qu’on qu’on planche sur sur ce programme euh je vais vous en détailler euh les grands axes je vais pas forcément entrer dans le détail il est disponible sur la plateforme sur concertation.anprop.fr il est vous pouvez le télécharger et le euh donc il est constitué en pour l’instant en 34 actions il est encore amendable hein c’est encore une version qui est proposé à la concertation il est encore il fera l’objet d’une révision à l’issue de cette concertation donc le premier axe c’est évidemment la sensibilisation la communication comment on touche et comment on forme les les différents acteurs du du territoire c’est souvent un un un point qu’on qu’on qu’on a l’habitude de d’investir dans la prévention mais la prévention la réduction des déchets ça se limite pas à ça euh on a aussi décidé de d’agir sur le gaspillage alimentaire comment on réduit ce cette part de de nos poubelles euh l’intensification de l’action sur le tri à la source des biodéchets je pense que vous en avez un petit peu entendu parler sur ces derniers mois c’est quandême un sujet d’actualité l’idée c’est vraiment d’accompagner le déploiement du tri à la source des biodéchets sur l’ensemble du territoire euh les déchets sauvages aussi donc les déchets abandonnés euh c’est une demande qui est qui qui est venue aussi de la part des des communes des différents territoire on voit que c’est un sujet qui est qui est assez peu investi pour le moment et le fait de de le traiter aussi à une échelle départementale c’est ça va être l’enjeu ça va être de créer des réseaux pour partager les bonnes pratiques voir qu’est-ce qui marche dans certains territoires comment on peut le dupliquer ailleurs euh de la même manière cette logique de réseau départemental on on compte aussi la la mettre en place pour la promotion du réemploi euh donc voilà les les Ressourceries mais mais pas que je vous invite à à consulter le le le le programme en question et enfin la l’exemplarité des collectivités parce que évidemment c’est quand même plus facile d’embarquer tout le monde quand on fait ce qu’on dit donc voilà ça c’est c’est six grands axes qui sont après déclinés en plusieurs actions si vous deviez retenir juste de deux chiffres pour pour comprendre ce programme donc on était à 531 kg par habitant et par an en 2022 au bout de de ce programme l’objectif qu’on s’est fixé pour le moment c’est une réduction de 16 % de nos déchets ménagers avec un budget d’environ 10 million d’euros qui couvrirait à la fois des actions départementales donc portées par Touran propre mais aussi qui viendrait en complément des actions locales déjà portées et euh qui vont s’intensifier aussi au niveau local et donc l’objectif c’est de passer en dessous la barre des 450 kg euh en 2030 par habitant et par an et donc pour ça voilà on aura tout un tas d’actions qui vont être déployé à la fois donc comme je vous disais au niveau départemental mais aussi au niveau local notamment par le smiom je je vais passer la parole à à Anthony juste après pour schématiser donc en bleu c’est la trajectoire de la Touren de l’indrloire depuis 2010 on voit qu’on a une baisse tendentielle quand même depuis ces dernières années qui qu’on estime à peu près à 4 %. l’idée c’est que euh pour respecter monsieur Dupont on a parlé en introduction on a des objectifs régionaux sur cette réduction des déchets c’est la ligne orange les pointillers orange si on reste sur cette baisse tendentielle qu’on connaît actuellement on atteindra ses objectifs régionaux d’ici 2035 c’est pas satisfaisant donc ce programme départemental il a l’objectif d’infléchir cette courbe et d’arriver plus rapidement à cet objectif régional voire de les dépasser donc voilà c’est ce que j’ai matérialisé ici sur sur ce schéma pour rendre ça un petit peu plus intelligible voilà ça c’est c’est les grandes lignes du programme de prévention encore une fois je vous invite à le consulter et à nous faire des propositions pour l’enrichir il a encore temps voilà je vais passer la la parole à à Anthony dechan du smicom merci Gautier alors avant de commencer euh je souhaitais souligner les actions déjà menées par le smium depuis 2002 euh concernant la prévention le SMICTOM depuis 2002 c’est 10000 composteurs individuels distribués c’est 55 composteurs partagés euh déployés sur l’ensemble de son territoire c’estes 15 composteurs p ogique pardon installé dans les écoles et de nombreuses animations de prévention en milieu scolaire sur le compostage avec des atelier de réemploi également euh effectivement on va pas pouvoir se satisfaire de ça on pense pouvoir faire plus on pense devoir faire plus hein j’entends à ma droite effectivement que certains sont d’accord avec cette remarque et donc pourquoi je vous dis ça puisque sur le territoire du chinonet euh les habitants génèrent en moyenne 603 kg par an de déchet euh vous venez de voir le chiffre au niveau départemental moyen il est de 531 kg par an et par habitant donc on a une marge de progression sur le territoire du spnum qui est un peu plus importante qu’ailleurs et on va essayer de mettre en application tout ça alors quels sont les leviers localement qu’on a pu identifier on a identifié des flux à fort tonnage et donc à fort potentiel de réduction alors le premier flux qu’on a identifié c’est le flux des biodéchets alors il est en il est en corrélation avec l’axe numéro 3 du plpdma qui a été décrit tout à l’heure par goautier et également avec l’axe numéro 2 donc parce que il y a la fraction du gaspillage alimentaire et les restes alimentaires qui comprennent qui sont compris dans les biodéchets avec les biodéchets sont les déchets plus trécipes vous avez aussi des végétaux on va en parler tout à l’heure je fais une parenthèse caractérisation des ordures ménagères du smictum a été effectué en 2024 euh au mois de mai donc c’est assez récent pour vous dire que la fraction de bio chet dans nos ordures ménagères représente 20 % du tonnage alors vous allez me dire c’est beaucoup mais quand on compare avec la caractérisation qui avait été effectué en 2022 des ordures ménagères du smictum du chinonet on avait 30 % de biodéchets dans les ordures ménagère ça signifie quand même qu’entre 2022 et 2024 la politique de prévention portée par le smictum et par ses collectivités adhérentes porte ses fruits comment on va agir sur les la fraction de gaspillage lié au gaspillage et et et au restes alimentaire en intensifiant euh la distribution des composteurs individuel depuis le 1er janvier 2024 ça a été évoqué tout à l’heure euh on a la loi est passée les collectivités doivent proposer une solution du tré la source des biodéchets aux usagers et effectivement on note quand même que depuis le début de l’année au niveau du smmictum nous avons distribué l’équivalent de l’année dernière en nombre de composteurs à date donc ça signifie quand même qu’on a déjà euh euh accélérer la distribution mais on souhaite intensifier cette distribution à horizon 2025 on va aussi euh on prévoit euh d’installer encore plus de composteurs partagés alors euh et aussi de de participer à des animations de prévention d’intensifier notre présence terrain euh pour pouvoir euh euh voilà faire de la prévention pour réduire la fraction de biodéchets dans les ordures ménagères alors on prévoit d’assister à des des événements nationaux tels que tous au compost ù en fin d’année vous aurez précisément la semaine européenne du développement durable qui rentre dans ce cadre une information à vous donner sur l’intensifi composteur individuel à partir du 1er septembre vous pourrez en tant que Sager vous les procurer pour 10 € euh une harmonisation du prix de vente a été établie par les communautés de communes adhérentes sur l’ensemble du territoire je vous parler de la fraction de végéaux euh est-ce que certains d’entre vous connaissent le tonnage collecté en déchetterie sur cette fraction comme ça un tonnage 6600 tonnes donc effectivement on va pouvoir agir aussi sur cette fraction de la de biodéchet alors on va vous proposer des solution directement en déchetterie avec les Ressourceries végétales ou la mise en place de solutions de broyage de vos végétaux alors ces solutions elles seront possibles par le fait que le SMICTOM a a entrepris un un programme conséquent de de reconstruction de ces déchetteries euh et de mise en conformité et puis on va vous donner des solutions vous proposer en tout cas des solutions euh pour gérer vos biodéchets euh chez vous euh et notamment en euh réalisant des animations et en en vous en vous communiquant les bonnes pratiques euh la tente raisonné le mulching euh certains peut-être euh peut-être que ça vous parle peut-être que vous le faites déjà euh et puis voilà pour pour ceux qui le peuvent réaliser des sèches par exemple il y a des solutions il y a d’autres axes de travail que nous souhaitons euh euh où nous souhaitons mettre en place de la prévention donc notamment les encombrants sur le le flux d’encombrant de bois de grava c’est l’axe de travail numéro 5 en lien avec le plpdma qui propose de donner une seconde vie aux objets alors comment est-ce qu’on va s’y prendre comment est-ce qu’on souhaite s’y prendre c’est ça encore une fois c’est lié au au futur sites des déchetteries du territoire dans lesquels vous retrouverez des zones de réemploi des réseaux de valorist des matériot tech donc vous l’avez observé il y a de nombreux leviers qui sont à l’étude il y en a d’autres je vous ai pas tout dit ce soir euh voilà qui sont également en cours de réflexion nous espérons tendre assez rapidement vers les objets ob fixés par le le PLP DMA qui qui je le rappelle sont plus ambitieux que les objectifs régionaux merci nous sommes arrivés à la première phase de commentaires et de questions donc on va prendre je le répète parce qu’ tout à l’heure je enfin je crois qu’re entretemps certaines personnes sont arrivées donc le principe quand vous voulez poser une question ou donner un avis vous levez la main un de mes collègues vous apporte le micro on pose trois questions à la suite et chacun se présente donc nom prénom éventuellement si vous faites partie d’une association d’un collectif que vous représentez ça serait bien de l’indiquer également et on vous répondra donc au bout de trois questions posées les les différents intervenants préparent leurs réponses pendant que vous posez les questions c’est plus fluide et plus rapide est-ce qu’il y a une première question et et on est sur le sujet de la prévention bien sûr bonsoir donc moi je suis Charlier Magalie je viens euh avec l’association oasis cravantaise et simple citoyenne euh nous avons ouvert une ressourcerie à acravant euh c’est une toute petite ressourcerie on a un projet de vouloir ouvrir enfin il y a un projet que j’ai déposé déjà au SMITOM qui vous avez sans doute dû le recevoir je l’ai déposé directement j’en ai parler à Monsieur le Maire parce que ce qu’on voudrait c’est partir sur un projet plutôt de valorisation d’insertion et comme ça se fait beaucoup dans le menéloir très peu dans l’indrloir euh du coup la problématique en fait c’est les locaux là on se moi j’ai interrogé Monsieur le Maire qui me dit bah non c’est bloqué donc en fait c’est bien on fait des vous faites des cops 2030 on sait que ça peut réduire les déchets et donc des des finances mais on a beau l’expliquer pour le coup on se retrouve fermé à des locaux euh et puis donc voilà donc savoir et juste une petite question parce que en faisant ces recherches au niveau de la Ressourcerie on a besoin en fait d’acteurs qui revalorisent les les matériaux il y a pas de réseau dans la drloire il y a c’est en fait chacun agit de son côté et ENIT il y a pas si vous si quelqu’un valorise en fait du fer quelqu’un du bois il y a pas donc là vous avez mis une échelle une carte avec plein plein de de secteurs mais ce que ces secteurs là en fait entre le SMITOM le nordf voilà est-ce que ça communique merci non c’est très bien c’est noté deè question oui bonsoir Luc chrétien je suis président d’un conseil syndical d’une résidence de 42 logements ceci pour situer la teneur de ma question euh on a parlé de compostage tout à l’heure on a parlé de développer le nombre de composteurs collectifs et et c’est l’objet de ma question puisque nous trouvons à Saint-Jacques ici à Saint-Jacques il a un compostage collectif qui se trouve auprès de la cunette le deuxème compostage collectif il existe pas alors il se trouve que il y a beaucoup d’habitations concentrées sur le secteur j’ajoute que il y a aussi le camping il y a aussi l’air de service des camping-cars qui est en construction et je me pose la question de savoir s’il y aurait pas des solutions j’ajoute aussi que dans certaines résidences et je veux parler de la nôtre par exemple il est on a de la place pour mettre un composteur mais on n’a pas de mîtocomosteur à disposition et on n aura pas il y a que six propriétairees occupant le reste c’est des locataires et donc on ne pourra pas assurer une continuité convenable par des momosteurs donc notre solution elle ne peut être que communautaire elle ne peut absolument pas être en particulier c’est ma question merci Marie-Hélène Barot je suis membre du collectif Chinonais environnement et de zéro déchets Touren les collectivités qui réduisent correctement et disons ambitieusement le les déchets ont mis en place un dispositif efficace juste équitable incitatif et le résultat est que 40 % du poids de la poubelle grise disparaît et là-dedans bien sûr il y a la part des biodéchets donc pensez-vous Monsieur le Maire Monsieur le Président de la Communauté de Commune mettre en place rapidement ce système afin d’obtenir une une réduction importante des déchets et encore plus ambicieuses que les 16 % qui à mon sens euh déjà à l’heure actuelle nous sommes arrivés près de à 8 % de réduction des biodéchets en 2 ans pouvez-vous juste préciser pour tout le monde pour que tout le monde a bien la même information de quel dispositif vous parlez exactement vous avez parlé d’un dispositif incitatif c’est la c’est disons que les les habitants pai en fonction du nombre d’enlèvement de la poubelle c’est une clification incitative trè alors première question et donc première réponse un un réseau d’acteurs de revalorisation sur des matériaux sur le le département ouais alors en effet il il y a pas grandchose qui existe en andrloire c’est un des grands enjeux de de ce programme c’est d’arriver à structurer et de mettre en commun alors il y a des initiatives qui sont un petit peu éparpillées sur tout le territoire notamment il y a il y a le réseau des acteurs du réemploi qui est régional et qui accompagne un petit peu les différents projets les implantations des différents projets il y en a une qui a ouverte il y a pas très longtemps à nazel Négron juste à côté d’Amboise mais oui en effet bah on l’a identifié he ce manque et c’est un des enjeux de de ce programme départemental c’est d’arriver à créer des réseaux un réseau départemental autour de de la la promotion du emploi qui permettent à la fois de partager les bonnes pratiques mais aussi bah potentiellement d’accompagner des projets de de ressourcerie alors évidemment la la question du foncier revient très très fréquemment c’est un des des des points noirs pour pour les Ressourceries euh là-dessus bah ça ça fera partie des des axes sur lesquels on va essayer de de travailler tous ensemble en essayant d’embarquer à la fois les les communes les communautés de communes et les associations comme comme la vôre je sais pas si vous êtes en sous forme associative oui alors c’est une associat une association qui est basée en fait sur toute la partie culture enfin comment dire ouais enfin on on fait des ateliers perma et du coup beaucoup et et on a mis en place cette enfin cette partie parce qu’on a une grange mais c’est alors c’est excentré c’est agravant al c’est magnifique mais mais l’idéal pour faire de la réinsertion pour pour aller loin dans le projet c’est vraiment un lieu central en fait et voilà vous avez essayé de vous rapprocher un peu d’autres ressourceseries qui existent déjà sur Oui Oui Oui Oui puis je fait le tour de beaucoup de ressourcerie puis après il faut l’adapter au territoire c’est mais le projet il est il est écrit il a été donné au SMI deuxè question donc en terme de compostage collectif quelle solution et en particulier est-ce que les maîtres composteurs sont forcément des propriétaires si j’ai bien compris c’est bon oui voilà effectivement c’est très important le composage collectif puisque ça s’adresse à tous ceux qui n’ont pas la chance d’avoir un jardin pour mettre un composteur individuel et il y en a malgré tout bien que on soit surtout sur un territoire de campagne mais il y en a c’est pour ça que au smitum on s’en occupe depuis déjà assez longtemps ça commence à prendre sa vitesse de croisière maintenant donc c’est bien parce que on a délégué entre guillemets le le le CPIE pour s’occuper de ça sur le plan de la mise en place et du suivi alors en fait on partage au travail le smithum reçoit les demandes en général il les transmets au CPIE et puis on en discute ensemble et quand les demandes sont recevables le CPIE prend la suite et donc il prend contact avec les personnes qui ont fait la demande alors ça peut être des particuliers ça peut être des des des communes ça peut être effectivement des propriétaires de ou des des vous c’était quoi c’était un un syndique voilà bon ben alors ça ça peut être aussi les syndiques il y a pas de problème au contraire euh et à partir de là on s’organise pour les mettre en place alors il faut savoir que c’est quand même un petit peu plus compliqué que ce qu’on peut imaginer parce que déjà il faut en avoir des composteurs collectifs euh c’est beaucoup plus imposant que les composteurs individuels et puis il en faut trois euh on on sort d’une crise où euh bah parce que cétait pas partout en France il y a une demande énorme de composteurs collectifs et euh bon bah quand on en commandait on nous répondait on vous livrera dans 6 mois bon malheureusement c’est ça a souvent été le cas on a réussi à en trouver quand même ailleurs mais tout ça peut dire que c’était beaucoup plus compliqué je pense que ça va rentrer dans l’ordre maintenant parce que les fabricants ont compris que il y avait une demande qu’il fallait qu’ se qu’il puisse la satisfaire alors une fois que les composteurs sont sont installés voire même avant l’installation c’est le CPIE qui est chargé de former ce qu’on appelle les maîtres composteurs euh alors ça c’est un grand titre en réalité c’est des gens qui sont capables de s’en servir et d’expliquer à ceux qui viennent déposer leurs leurs ordures enfin les parties qui la partie des ordures qu’il faut déposer hein pas pas tout évidemment euh donc leur dire ce qu’il faut déposer comment il faut faire comment il faut mettre rajouter d’autres produits pour que le compost puisse murir et cetera donc tout ça c’est un c’est ça se fait avec euh le CPIE CPE c’est le Centre Permanent d’initiative environnementale euh mais encore une fois ceux qui veulent installer des composteur collectif c’est pas la peine de les contacter directement vous nous contactez nous et on se charge de de vous mettre en rapport avec eux mais on le fait euh de plus en plus puisque euh il y en a une cinquantaine actuellement en cours euh on on pense en mettre euh 10 à 20 par an ça paraît pas beaucoup mais sur notre territoire c’est important et en plus pour éviter de se tromper on a demandé à un cabinet d’étude dans le casadre d’une très grande étude qui était beaucoup plus importante que ça de nous indiquer les zones qui en apparence avaient besoin de ces composant composteur collectif donc quand on a une demande on commence par vérifier que la demande se situe bien dans une zone qui a déjà été prévu et à partir de de ce moment-là on enclenche tout mais pour pour répondre plus précisément euh à la question des des maîtres composteurs évidemment et c’est ça la principale difficulté il faut des gens qui acceptent de passer un petit peu de leur temps pour venir contrôler que tout se passe bien au niveau du du composage collectif alors c’est ni compliqué euh ça prend pas non plus beaucoup de temps mais il faut le faire régulièrement pour que ça fonctionne sinon on l’a vu malheureusement trop souvent un compostage collectif peut complètement dégénérer parce que lesjà ont met n’importe quoi dans les bacs et et derrière on est obligé de tout virer pour repartir de zéro ce qui est quand même un petit peu dommage voilà actuellement il y en a 14 dans la ville de Chinon oui he on en a développé depuis 2014 aujourd’hui il en a on est au 14e installé c’est vrai que souvent la difficulté c’est de trouver le foncier disponible pour pouvoir le mettre c’est déjà un sujet et le deuxième c’est évidemment l’animation qui va autour puisque le compotur en lui-même il a besoin d’être suivi de façon régulière c’est vrai que le travail qui est fait avec par sous le contrôle de Vincent mais Vincent l’cureil le directeur du CPIE où on travaille évidemment de main avec eux il y a un réseau très important de communication aussi des gens qui habitent de l’environnement du composteur pour qu’ils puissent d’une part être informé venir chercher leur petit saut de de de biodéchets pour permettre de de faire les amendements donc globalement ça marche plutôt pas mal il faut simplement que voilà les gens prennent les bonnes habitudes et que des gens puissent faire le suivi longittudinale du fonctionnement de façon à ce qu’on ait un équipement qui fonctionne bien oui oui je voudrais rappeler le la teneur complète de ma question parce que j’ai l’impression qu’on est un peu à côté si personnes dans une résidence dont une partie sont pas en état de s’occuper de ça ça veut dire que il reste que les valides pour éventuellement s’en occuper et c’est quand même difficile de s’occuper effectivement du compostage pour 42 logements bon mais j’ai posé une question complémentaire c’est que Jean-Luc tu viens d’évoquer le foncier euh moi j’ai évoqué l’ire de service de campingc j’ai évoqué le camping j’ai évoqué le fait que il y a des résidences qui n’ont pas forcément de lieux pour poser le compostage et j’ai évoqué le fait que le premier composteer collectif se trouve de l’utre côté c’est à plus de 800 m d’ici quand on vient d’accord et donc l’idée c’était effectivement c’est d’ailleurs une question qu’on vous aait posé monsieur Massard euh avec le syndque de la copropriété en 2023 nous n’avion pas de réponse mais pour justement évoquer ce problème voilà donc moi ce que ce que j’attends c’est une réponse sur cette partie làà parce qu’il me semble que même si on résolvait le problème d’une résidence on résout pas le problème plus général de de tout un quartier qui n’est pas complètement servi ou desservi par les composteurs euh je voudrais simplement préciser que si vous avez fait une demande officielle en 2023 euh elle a été obligatoirement traitée et quand je dis traitée on l’a transmis donc au CPIE puisque c’est lui qui est chargé de mettre tout ça en place hein donc on n’a pas l’habitude de ne pas répondre aux questions qui nous ont posées euh pour ce qui est après de l’animation et et donc du de la mise en œuvre euh la que que s’il est accessible s’il est sur un foncier qui est pas forcément un foncier public mais accessible à plus d’utilisateurs il y a rien qui empêche le le composteur de fonctionner avec d’autres personnes que ceux de la résidence je pense que enfin l’idée c’est de mutualiser ces outils pour qu’il soi accessible au plus grand nombre donc moi je vous suis prèce qu’on regarde en fonction de la localisation possible la façon dont on peut le faire fonctionner et qui dans le réseau pourrait être concerné parce qu’il y en a certainement les habitants du quéenton par exemple qui sont plus en proximité d’ici sont moins concernés par celui qui se trouve du côté de la cunette à l’opposé donc il y a certainement un travail collectif à faire sur cette sur ce sur ce mode de fonctionnement donc je on on le prend en note dans ce système là pour pouvoir aller dans cette direction et et je souhaiterais rajouter que une étude a été menée au smiom concernant le déploiement du du tri à la source et oui là c’est ça le déploiement du tri à la source des biodéchets euh corréé à l’optimisation de la collecte des déchets cette étude a a permis d’établir une carte assez précise de l’implantation des au postur collectif euh donc effectivement certaines zones euh peut-être moins densément peuplées ne seront pas prioritaire dans un premier temps puisque comme Monsieur Massar l’évoqué euh la fourniture des composteurs est en tension en so on a c’est assez le marché des composteurs est assez tendu en ce moment donc effectivement on va y aller par étape on pourra pas en l’espace de quelques mois doter en composteur collectif l’ensemble du territoire du SMITOM c’est on va raisonner par priorité et donc peut-être que la la zone que vous évoquez sera traitée dans un second temps peut-être qu’elle fait partie de la qu’elle est présente dans la cartographie on pourra le vérifier si vous le souhaitez on passe à la trème question donc qui était autour de la mise en place d’une redevance incitative sur le territoire alors j’aiété directement questionné marie-élène donc je vous réponds sur la réduction des déchets je tiens quand même à rappeler que il y a déjà un travail en marche Antony vient de dire qu’on avait j’ baisser 10 % le le volume des biodéchets et on peut encore aller plus loin donc le l’objectif pour nous c’est pas de se de se contenter des 16 % ficher d’ailleurs gotier l’a dit très clairement c’est un obje un objectif minimum mais c’est pas c’est pas un plafond c’est un plancher qu’on s’est fixé donc l’idée évidemment c’est dans cette démarche après est-ce que la redevance incitative est un outil complémentaire qui permet d’aller encore plus loin dans la réduction ça c’est un débat qu’il y a au sein des l’instance du smiom puisque c’est c’est vous le savez le mode de fonctionnement est mutualisé à plusieurs et tous les toutes les options doivent être regardées évidemment aussi clairement celle de la redevance incitative en fait partie on a regardé moi je avec d’autres élus sur d’autres territoires où ça a été mis en place certains qui on l’avaient mis en place d’autres qui l’ont fait évoluer dans leur mise en place parce qu’il y a pas eu que des réussites he il y a eu parfois la redevance incitative incitaer les gens à mettre moins dans le bac parce que ça coûte moins cher évidemment donc l’idée c’est d’arriver à trouver un juste équilibre entre les deux et ça fait partie évidemment clairement des options qui sont sur la table pour aller encore plus loin dans la tarification et dans la mise en œuvre pour pour aller plus loin vers la prévention et la réduction donc il y a pas de tabou sur le sujet de la redivance incitative c’est juste une corrélation à voir avec l’ensemble des acteurs pour regarder comment elle peut se mettre en œuvre et comment elle est vertueuse dans dans l’objectif d’atteinte de réduction du volume oui je voulais préciser 70 % du poids de la poubelle noire est composé donc de déchets recyclables et compostabl donc avec une redevance incitative nous voyons très rapidement ces déchets recyclables et compostables sortir de la poubelle noire et quand on sait que le que le coût des déchets pour le maîtriser il faut les réduire il faut réduire les tonnages c’est ce qu’a indiqué une étude l’étude bd commandé par le smiom il y a 2 3 ans de cela monsur Massar il me semble c’est bien les termes qu’ils employent nous allons mîtriser le budget si nous réduisons l’étonnage de déchets notamment déchets résiduels car le traitement des déchets c’est le poste qui coûte le plus cher traitement des déchets donc c’est enfouissement incinération on a d’autres questions monsieur alors on en prend une parce qu’on est en retard ensuite donc désolée vous noterez sur un petit papier si jamais de tout traité merci j’ai récupéré le micro c’est un miracle Dominique Bachelard je fais partie du collectif Chinon environnement euh l’objectif de Tourine propre est à 2030 une installation de traitement tel qu’un incinérateur c’est 2030 2040 2050 2060 comment peut-on aujourd’hui calibrer un itinérateur avec des données qui ne correspondent qu’à son démarrage ça c’est un premier versant de ma question la la le deuxième versant c’est sur le sud torangeau nous avons quatre collectivités qui vont mener des plans de prévention semble-t-il séparés vous confirmerez ou pas sur sur loge sur d’autres collectivités qui est en charge de coordonner les objectifs de prévention de ces collectivités et comment est-ce que on va déterminer avec ça les tonnages résiduel qui vont êre à traiter et et j’espère avec ça faire le passage vers la deuxième partie de notre exposé la première question très clairement concerne plutôt la deuxième partie mais après je sais pas si Martin tu peux y aller moi j’ai pas de problème après la coordination je laisse peut-être ten pe le dire parce que c’est quand même le rôle d’animation qui est fait pour la coordination entre les territoires parce qu’on parle des quatre intercommunalités qui sont qui sont concerné alors sur sur le le suivi en fait de de de ce programme départemental ce qu’on envisage pour le moment c’est d’avoir une instance de suivi justement qui associera l’ensemble des des acteurs du territoire un peu sur le même modèle que pour l’élaboration du programme avec différents collèges des des collectivités des associations et et des les institutions euh l’idée c’est de pouvoir présenter un bilan annuel des de l’avancement de ce programme et évidemment que ce programme départemental il doit être déployé à des échelles locales donc après en terme de d’articulation sur les différents territoires de de l’indrloir l’important c’est surtout que ça soit déjà déployé dans chacun de ces territoires dans un premier temps et après pour la se charge de d’évaluer justement l’avancement chaque année et de si si on s’écarte des objectifs initiaux bah rediscuter avec les les communautés de communes qui seront les plus en retard je sais pas si ça répond un petit peu à votre question on enchaîne y avait une deè dimension dans la question de ma voisine mais oui je disais il y avait une deuxième dimension dans la question de ma voisine que j’étais enchanté d’entendre poser parce que c’est celle que je m’apprêtais à poser donc je vous la je vous la développe c’est quid au-delà de 2030 pu que la période de vie d’une unité de valorisation énergétique potentiellement aller à partir de 2030 c’est sans doute au moins équivalent à celle qui est en train de rendre l’âme disons une trentaine une quarantaine d’années donc euh ça interroge je dis pas qu’il y a une solution facile à à à y donner comme réponse mais ça interroge sur une anticipation à plus long terme c’est-à-dire que si on se fonde sur des tonnages à 2030 pour dimensionner des équipements qui vont durer une trentaine ou une quarantaine d’années au-delà on n’est pas du tout du tout dans les clous alors je dis pas que c’est facile vous expliquer c’est justement la suite ce que j’ai c’est c’est effectivement pourquoi elle disait que c’était la transition mais je trouve que c’est une question à laquelle bon vous répondrez tout à l’heure mais il faut pas l’oublier ah non non mais je l’oublierai pas c’est très clairement dans la présentation vous inquiétez pas je propose qu’on passe à la à la partie suivante sur le justement sur la partie valorisation énergétique euh qui c’est qu’ a la petite zapette voilà bon même si j’en ai on a pas forcément besoin mais donc ouais on passe à la partie que fait-on du reste on on on se dit que on a réussi à réduire nos déchets il nous en reste en 2030 et et après on espère que ça continuera à réduire jusqu’en 2040 2050 alors euh tout d’abord un rappel sur la réglementation parce que c’est bien comme ça que on on a réfléchi des choses on a ce qu’on appelle la hiérarchie des mode de traitement qui s’impose à nous c’est la loi qui qui nous l’impose euh qui dit quoi cette réglementation elle dit qu’il faut d’abord faire de la prévention c’est pour ça qu’on vous a présenté vraiment préalable et qu’on a déjà travaillé sur ce programme de prévention prévention on évite d’avoir des déchets ensuite on fait du ré emploi on a un objet euh on fait en sorte qu’il devienne un déchet le plus tard possible on lui donne une deè une 3è une 4è vie à la fin ça devient un déchet mais le plus tard possible ensuite on est sur le niveau recyclage le recyclage on est bien ni dans la prévention ni dans le réemploi c’est parfois une erreur qui peut être faite dès qu’on parle de prévention les gens imaginent le tri pour faire du recyclage mais le recyclage c’est bien en dessous on va refaire une matière à partir d’un déchet alors qu’avant on fait en sorte de ne pas avoir de déchet encore en dessous dans la hiérarchie on a la valorisation énergétique une fois qu’on a fait de la prévention dur ré emploi qu’on a recyclé il nous reste une partie de déchet il est souhaité que qu’on aille vers de la valorisation énergétique d’abord et enfin si on a pas réussi si on n pas moyen de valoriser de façon énergétique ces déchets on a ce qu’on est ce qui est l’élimination l’élimination c’est soit de l’incinération sans valorisation énergétique soit de l’enfouissement donc on est bien dans cette hiérarchie à réfléchir à on va faire avec nos déchets d’abord en recyclage en valorisation énergétique en élimination à partir du moment où on a fait de la prévention au préalable donc on l’a dit on on a un objectif de de prévention d’ici 2030 la totalité des déchets qui sont aujourd’hui à à traiter le dernier chiffre consolidé c’est 2021 c’est 165000 tonnes en tout on collecte 336000 tonnes il y a une partie qui est recyclée matière soit pour faire du compostage soit pour faire en centre de tri et pour refaire du plastique du métal et cetera il en reste 165000 tonnes qui doivent être valorisé autant que possible on a donc ce programme de prévention sur 6 ans l’objectif c’est de réduire de 16 % sur 8 ans pardon 2030 on arriverait à 138000 tonnes donc c’est 1 38000 tonnes il faut leur trouver un traitement finalement c’est c’est une obligation hein dans obligation du service public des déchets on a une obligation de de de traiter les déchets c’est la première obligation qu’on a d’ailleurs c’est une question d’hygiène c’était l’obligation première qui s’imposait aux collectivités 138000 tonnes donc qui reste si on se donne cet objectif de 16 %. pour rappel hein on disait aujourd’hui 70 % d’enfouissement 30 % d’incinération on va essayer d’aller plutôt vers de la valorisation énergétique et vous avez aussi une des raisons au-delà de la valorisation énergétique donc de l’usage de l’énergie qui peut être qui peut être quand même intéressante et on a aussi un le le levier fiscal qui a été actionné par l’État vous avez les deux courbes entre l’enfouissement et la valorisation énergétique vous voyez que on est beaucoup plus taxé quand on enfouit aujourd’hui et depuis 2020 ça ça s’est accentué euh et on est sur quasiment trois fois plus de taxation sur l’enfouissement par rapport à la valorisation énergétique ou de l’incinération donc on est vraiment incité par l’État à aller vers de la valorisation énergique éque et il y a en plus une loi pour le coup qui s’impose à nous qui nous a dit on doit diviser par de les quantités d’enfouissement entre 2010 et 2025 2025 c’est demain et donc il faut qu’on fasse en sorte de réduire au maximum cette part d’enfouissement pour aller vers de de la valorisation énergétique dans la la stratégie cap 2030 dans la concertation on a on vous propose un scénario qui repose sur deux unités de valorisation énergétique je disais 2030 besoin en capacité de traitement à priori de 138000 tonnes si on a fait nos nos réductions deux unités de valorisation énergétique une qui serait plutôt pour les déchets de tour métropole de gatine Racan de tour nest vallleé pour 60000 tonnes par an et une autre sur Saint-Benoît la forêt pour 40000 tonnes par an pour le groupement du Sud tourangeau et là donc vous voyez si on somme les deux 60 + 40 on arrive à 100000 tonnes et ben c’est volontaire dans notre scénario parce que le reste si on arrive à 138000 tonnes on l’exporterait en haut 40000 tonnes on sait qu’on a une capacité d’exportation sur les territoire sur les deux départements limitrophes le Loir et Cher et le méloire pour à peu près 40000 tonnes donc on a cette capacité là donc si on arrive à 138 140000 tonnes on aura les capacités de traitement si on arrive à faire mieux plus rapidement ou si on continue à réduire d’ici 2035 40 50 on a la possibilité on a cette mar de manœuvre finalement de l’exportation qui nous permet de de voilà de ne pas être obligé d’avoir 138000 tonnes sur la durée ça c’est la première réponse si on s’intéresse que à notre territoire ensuite il faut avoir en tête que la vision elle est plus large que ça elle est régionale et que le travail qu’on fait nous aujourd’hui en regardant ce qui se passe dans le Loir etcher et dans le méloire en fait la région demande à ce que ça soit fait dans l’ensemble des départements dès lors qu’il y aura un projet de valorisation énergétique de déchets qui voudra se créer la région va demander à ce que on regarde les départements limitrophes et s’il y a des capacités potentielles dans les années à venir donc imaginons que je ne sais pas moi leement euh et une unité de valorisation énergétique qui arrive en bout de course dans 10 ans et ben avant de reconstruire en fonction de leurs besoins propres ils devront regarder les capacités qu’on pourrait avoir sur notre territoire et donc petit à petit on on se dit avec la région que si on arrive vraiment à réduire nos déchets au fur et à mesure de la fin de vie des différentes unités de traitement qui existe sur la région et sur les départements limitrophes de la région ben on arrivera comme ça à arrêter faut l’espérer he à terme c’est quand même ça l’objectif à arrêter certaines unités au fur et à mesure sur la région pour le moment on y’y est pas je vous disais les capacités autour de l’indroir elles sont que de 40000 tonnes alors qu’on on aurait 138000 tonnes en 2030 mais si on a des réductions conséquentes on pourra comme ça petit à petit se limiter dans les nouvelles constructions al c’est j’espè une réponse à à votre question sinon n’hésitez pas tout à l’heure à à réagir voilà pour le projet global départemental et je vais laisser la parole au groupement du Sud tourangeo pour présenter plus ce qui se ferait sur le territoire on a demandé à à structurer la Réunion pour que tout le monde puisse prendre la parole après les interventions s’il vous plaît bah oui mais si tout le monde a ses contraintes personnelles pasicro [Musique] 6 concern la on vous entend très mal vous ne passez pas sur Youtube et là du coup on n’est pas dans le cadre qui était détaillé et on peut pas non plus c’est pas c’est pas très respectueux on en avait parlé en plus tout à l’heure je vous dit parce que là on va traîner puis à 8h30 on va biener mais non pas du tout dans dans 10 minutes vous avez le temps de votre question on suit tous les règles dans 10 minutes merci à vous donc juste pour rappel le projet du Sud tourangeo est porté par 4 PCI Chinon vien et Loire Touren Vallé de l’Indre tourenvall de Vienne et l Touren avec le soutien technique du SM du chinonis euh voilà le le projet dans le contexte qui a été décrit précédemment par Martin la concertation pr préalable pardon vous propose un site qui traitera les ordures ménagères de l’ensemble du territoire du chinonnais et et et plus largement du Sud pourangejau eu il sera situé à saint-benud la forêt comme l’a dit Martin également il est dimensionné à 40000 tonnes que quand on raisonne au niveau départemental on voit bien que on a 140000 tonnes de déchets à traiter les deux projets des sommés font 100000 tonnes donc on est sur 40000 tonnes à Saint-Benoît avec une variable d’ajustement de 100000 tonnes euh de pardon de 38 40000 tonnes pour la prévention euh ce dimensionnement juste vous préciser qu’il a été validé par le stradet au niveau régional et que c’est un un dimensionnement qui a aussi été vérifié puisque le le groupement du Sud touranjou a lancé une étude de faisabilité technique juridique et financière de ce projet euh et euh il a été réalisé il a été lancé en début d’année et le dimensionnement euh le le le dimensionnement été vérifié par le bureau d’étude les tonnages traités donc vont être traités dans une unité de valorisation énergétique les déchets incinérables deviennent donc une ressource pour produire de l’énergie où est-ce qu’il va être situé ce projet ce projet est situé à côté de l’usine actuelle vous le voyez sur le plan que je viens de vous montrer il y a la parcelle disponible pour la création de la nouvelle uve est en bleu à côté de de la parcelle où l’usine actuelle est en fonctionnement vous voyez également que le futur projet sera basé à côté de l’hôpital du centre hospitalier de Chin alors bien évidemment il y a un intérêt il y a il y a un intérêt particulier pour le centre hospitalier puisque comme je le précisais tout à l’heure est on aura une unité de valorisation énergétique qui va permettre de produire de l’énergie qui va bénéficier à l’hôpital on le voit on le voit ici on le voit ici alors je vous remercie pour vos réaction merci beaucoup vous aurez l’occasion de vous exprimer juste après je finis exprimez-vous après il y a pas de problème donc vous voyez trois zones qui pourraient bénéficier de la production énergétique réalisée par l’UVE donc la première zone c’est déjà le cas avec l’usine actuelle c’est la zone du centre hospitalier la deuxè zone c’est la zone commerciale où vous retrouvez le Lecler et la 3ème zone au nord de Chinon où on pourrait étendre un réseau de vapeur pour aller alimenter en chauffage les écoles et les épates qui sont dans cette zone comme je vous le disais tout à l’heure donc c’est un projet à 40000 tonnes j’avais pas la petite animation et là je vous présente un tableau de synthèse du projet donc l’usine actuelle traite traite les déchets de 65000 habitants 19000 tonnes de capacité d’incinération une production d’énergie de 4200 MWh qui a aujourd’hui alimente uniquement la zone de l’hôpital et vous avez comptez 15 employés dans cette usine la le nouveau projet celui qu’on qu’on vous propose ce soir à horizon 2030 traitera les déchets traiterit les déchets de 160000 habitants environ avec une capacité d’incinération de 40000 tonnes une énergie produite à 22000 MW qui du coup alimenterait les trois zones que je viens de vous présenter et qui permettraiit d’embaucher trois personnes supplémentaires on a eu beaucoup de contributions sur la plateforme de concertation euh euh concernant voilà des inquiétudes sur l’impact sur l’environnement la santé et cetera de ce type d’installation donc on a souhaité avec les collectivités adhérentes au smectum vous parler de ce sujet-là euh et donc vous dire que les installations d’unités de valorisation énergétique sont des installations classées pour la protection de l’environnement elles sont soumises euh à des règl des réglementations très strictes elles sont très encadrées et très contrôlées et donc on va vous parler de ce qu’on sait aujourd’hui sur l’usine actuelle il y a tout un tas de d’analyses qui sont faites et notamment les analyses des fumées qui sont réalisées en continu le dernier contrôle des analyses des fumées a été conforme sur l’usine actuelle des analyses semestrielles des fumés qui sont envoyés en laboratoire ont aussi été conformes l’année dernière et cette année aussi d’ailleurs des analyses annuelles des retombées atmosphériques de polluant euh par l’intermédiaire de jauge qui sont positionné tout autour du site euh donct trois d’entre elles à l’intérieur de l’hôpital sur l’emprise foncière de l’hôpital euh voilà sont réalisés donc c’est des tests qui sont réalisés annuellement et qui sont conformes voilà et là vous avez l’exemple devant vous des dioxines puisquon on en a parlé aussi euh on en a entendu parler voilà les dioxines qui sont analyser tous les 28 jours vous avez le graphe qui est ici pour l’année 2023 vous voyez le seuil réglementaire qui est affiché à 0 01 nanogam normau mè C et donc vous voyez les les barres bleues qui sont les analyses relevées à l’instant du du contrôle vous voyez bien qu’il y a aucune analyse qui dépasse de seil même type de diapo pour le l’acide chlorhydrique le chlorure d’hydrogène vous voyez que l’anal les analyses réglementaires sont respter il y a aucune analyse qui dépasse le [Musique] seuil VO ce que je voulais vous dire aussi ce soir c’est que laadal organise des inspections de notre installation la dernière endate a été faite au mois de mai dernier elle n’a pas révélé d’anomalie sanitair et laadreal en plus de faire des inspections on va dire programmées réalise des visites non programmé euh où l’exploitant de l’usine n’est pas au courant de sa venue une visite non programmée par l’adelle a été effectuée en novembre dernier 2023 et elle n’a pas révélé d’anomalie sanitaire voilà on vous soumet ce projet ce soir euh il reste encore euh de nombreuses étapes euh sur ce projet bien évidemment euh c’est une proposition euh vous voyez euh sur la sur la voilà la temporalité et encore des études d’impact à réaliser une enquête publique la construction qui peut prendre 2 à 4 ans et donc on serait sur un projet qui émergerait avec une mise en fonction de la nouvelle usine entre 2030 et 2032 sachant que pendant ce lapse de temps de construction l’idée est de maintenir l’usine actuelle en fonctionnement pour permettre d’assurer uneuité de traitement des déchets d’ordure ménagère du territoire je vous laisse la parole monsieur alors on va le faire de manière organisée parce que vous avez certainement d’ailleurs des questions qui sont assez proches donc on vous remercie de prendre la parole les uns après les autres vous pouvez poser votre question jeanclaudre nous association ASP ça veut dire la l’Association pour la santé la protection et l’information sur l’environnement donc j’ai consulté les les P dossier qui était à disposition là dans dans la concertation et arrivé à la page 86 on parle d’une variante à un incinérateur et là alors il y a les plus et les moins dans les moins on dit peu adaptable à une réduction plus importante de nos déchets investissement conséquent à court terme impact environnementaux liés à la à la construction et à l’exploitation de l’UVE donc un incinérateur c’est déjà trop vous vous en programmez deux ça fera de fois de deux fois trop et sur cette même page vous dites que les 140000 tonnes de déchets à traité en 2030 sont pris en charge par l’UVE de du département écrit en gras aucun déchet n’est exporté sauf que quand on regarde sur le site de la préfecture on tombe on tombe sur un document qui s’appelle qui s’appelle déclaration d’intention qui est ain au CIV qui qui s’occupe de de l’incinérateur de l’ASS et l’agglomération de tour et là il est dit que c’est ainsi que les collectivités ont décidé la création d’un groupement d’autorités conédante reposant sur le traitement des OMR et du tout venant ininéable une unité l’UVE Salamand du cver par extension du site existant de là on trouve 60000 tonnes d’OMR provenant de danger 4000 tonnes d’OMR provenant du pays sabolien je sais pas ce que c’est et 25000 tonnes d’eau et mer estvie en provenance de tour métropole valdeoire alors sur un document on dit qu’ a aucune exportation et sur l’autre on dit on on va emmener 25000 tonnes à l’ASS il faut savoir que le civver envisage la construction d’une seconde ligne de four d’une capacité de 85000 tonnes ah bah si vous coupez la parole ça donc le le civer envisage la la capacité de une seconde ligne de four d’une capacité de 85000 tonnes afin de répondre au sollicitations des collectivités limitrophes rayon de 50 km portant la capacité de l’UVE de5000 tonnes ils ont déjà 120000 tonnes ils vont agrandir de 85000 tonnes je me demande où on va trouver tous ces déchets là à force merci pour votre question une deuxème question puisqu’on répondra au TR à la suite bonjour Alexandre Robert du syndicat FO de l’hôpital de Chinon petite question nous on a demandé à ce qu’il y a cette même réunion qui se passe au sein de l’hôpital ça nous a été refusé par le président du conseil de surveillance ici présent le maire de Chin et je le déplore il y a même pas eu de de de mail envoyé aux employés de du CHC pour informer de de cette réunion qui avait lieu ici aujourd’hui parce que figurez-vous quand même que régulièrement euh à la à l’hôpital l’incinérateur produit des odeurs vraiment nauséabondes et même des des fumées qui avec comment dire des des cendres qui qui tombent régulièrement sur le sur les voitures ça arrive assez régulièrement donc on se questionne quand on voit vos courbes comme quoi tout va bien donc ça c’est c’est ça pour nous c’est c’est étrange donc on se questionne est-ce qu’il y a eu des études des études d’impact sur la santé des des agents du CHC qui sont à proximité de l’incinérateur parce que l’incinérateur en soit j’ai pas vraiment de question mais c’est surtout sa proximité avec avec les agents qui qui travaillent sur le site qui me questionnent et et donc nous on voudrait que que cette enquête soit menée aussi auprès de des personnes qui travaillent juste à côté du coup de de de l’incinérateur merci une 3è question ça serait plutôt bonjour Tony gamentine donc c’est sur la partie exploitation de l’ve en fait ce qui est étonnant c’est la la distance qui qui alimenterait l’ve entre la partie zone du blanc carrois et la partie sur le nord de Chinon qui demanderait en fait des nouvelles installations pour l’alimentation surtout que c’est de la vapeur et il y a des réglementations à respecter et euh et voilà merci donc pour répondre à la première question à savoir bah où va-t-on trouver ces déchets si je résume la question posée je je vais essayer de de d’expliquer de clarifier ce que vous évoquez sur le CIV sur l’AS c’est ce que j’ai c’est ce que j’ai dit tout à l’heure l’exportation qui est envisagée sur le Méloir et effectivement une partie des déchets du département qui est envisagé d’aller à l’ dans le l’unité de valorisation énergétique du CIV non le document qui dit aucun déchet c’est c’est un c’est un des scénarios proposés dans la concertation il peut avoir plusieurs plusieurs scénarios nous notre scénario privilégié c’est un scénario avec 100000 tonnes sur le département et de l’ordre de 38 à 40000 tonnes exporté et sur ces 38 à 40000 tonnes exporté il en aurait une partie à l’ASS une partie à Blois et donc c’est normal que vous trouviez aussi des éléments sur cette exportation qu’on prépare et alors sur l’unité de 85000 tonnes qui est envisagé là-bas la très grosse majorité concerne le le melloir c’est les déchets d’Anger en fait anger n’a plus aujourd’hui d’unité de de traitement de ces déchets ils avaient envisagé de faire du tri mécanobiologique qui a pas fonctionné et donc aujourd’hui il se retrouve sans solution donc en fait ce qui construisent ils le construisent très majoritairement pour les déchets de l’agglomération danger la question sur le sur le coût de l’investissement si les déchets baissent vous ne répondez pas à la question sur le coût de l’investissement si les déchets viennent viennent à baisser et qui devrait baisser je vous ai je vous ai répondu avec l’exportation normalement exportation doit nous Perm on peut baisser l’exportation et petit à petit finalement sur à l’échelle régionale et ben on pourra arrêter les unités de valorisation énergétique les unes après les autres j’ai pas répondu à votre question sur 30 40 ans aussi euh à savoir la la durée de vie la plupart du temps ça fonctionne en délégation de service public et c’est pour 20 ans la plupart du temps c’est une durée de 20 ans donc on part pour 20 ans donc l’horizon c’est plutôt 2050 c’est lointain déjà mais c’est pas 40 ans après il peut ils peuvent être relancés mais pour ça il faut qu’il soit revampé enfin re remis au goût du jour remodernisé donc ça demande des nouveaux investissements là on part pour une durée de l’ordre plutôt de 20 ans merci deuxè question à savoir donc est-ce qu’il y a eu des études d’impact sur la santé du personnel et est-ce qu’il y a des des enquêtes qui sont je veux juste répondre sur un premier point sur le refus de de réunion il y a pas eu de refus de réunion le refus de réunion c’est une réunion dédiée il y avait une réunion ici le syndicat Tourine prop vous a même proposé de recevoir les gens dans leur bureau pour expliquer quels étaient les enjeux et comment c’était ça a pas été choisi et donc l’idée de de recréer une deuxième réunion à proximité sur l’information elle a été diffusée extrêmement largement à l’ensemble des acteurs du territoire dans ce dans leur globalité donc à un moment donné enfin je je parle sous contrôle de de Tourine prop il y a des séquences qui avaient été prévues dans la programmation et dans le cadre du débat public et donc lorsque on est sur le centre hospitalier qui est à 4 km d’ici 3 km j’ai pas le sentiment que on soit très éloigné et que les gens soient pas en capacité de pouvoir venir à cette réunion publique donc c’est c’est le choix qui avait été fait dans le cadre parce qu’à ce moment-là il il y avait plein d’autres acteurs où on aurait pu aller faire des réunions individuelles dans chacun de ses services mais Alexandre Alexandre on peut en parler des années il est là depuis 40 ans l’insinérateur 1984 voilà et donc je vais laisser répondre sur les études qui sont faites mais il y a des enregistrements qui sont faits y compris dans le périmètre du centre hospitalier Anthony l’a dit tout à l’heure mais peut-être qu’il peut repréciser pour expliquer ce qui se passe réellementur vraiment vraiment c’est donc je me questionne non mais repréciseer les analyses qui sont faites sur l’hôpital il y a vous avez trois analyseurs sur sur l’emprise foncière de l’hôpital malheureusement voilà qui sont analysé annuellement ils sont positionnés 2 mois de retombé atmosphérique et on on prélève le contenu de la sonde qu’on analyse en laboratoire chaque fois on a des contrôles conformes euh je je vois pas ce que je peux rajouter du coup de plusénérateurou trop proche d’un hôpital je pense que en fait la le principe de pré de précaution aurait dû aurait dû avoir lieu déjà il y a 40 ans c’està-dire pour moi que la proximité est beaucoup trop proche de d’un hôpital et des agents qui y travaillent et des patients qu’on a aussi en charge donc donc voilà moi je je ne comprends pas en fait cette proximité en dehors du fait d’avoir l’énergie moins cher merci d’ailleurs ça effectivement alors je c’est un autre sujet peut-être la proximité mais en tout cas en terme de contrôle réglementaire ils sont tous faits dans les normes ils sont ils sont ils sont tous bons s’il a été construit là c’est que réglementairement il y a rien qui l’empêchait voilà c’est tout euh je veux dire je faut que les choses soient enfin dites comme elles sont moi j’ai il y a des gens qui font la loi qui donnent des règles d’implantation et de mise en œuvre je veux bien qu’on soit plus loin mais aujourd’hui la règlementation n’impose pas d’autres mesures voilà après je peux pas vous dire plus moi je veux dire je j’étais pas là quand il a été construit il est implanté là et il a prévalu aux règles qui prédisposeent pour son implantation pour le respect et la santé publique voilà il y avait une troisième question par rapport à la à la distance avec le le réseau de chaleur oui ben on peut répondre sur le réseau de chaleur oui en fin de compte la la réglementation elle a aussi beaucoup évolué en fin de compte historiquement les réseaux de chaleur sur le linéaire en fin de compte on évoquait la proximité de l’Pad euh ou du lycée Joseph cugot on est à 3 km euh de l’installation et donc on est dans une proximité très importante c’estàd que les réseaux de chaleur ont parfois des linéaires qui sont beaucoup plus importants que ceux-là et donc là on aurait la capacité à avoir sur une proximité 3 km de réseau c’est assez proche la capacité à réaccorder pas mal de d’infrastructure assez énergivore j’ai évoqué les pad on a le foyer de jeunes travailleurs qui juste à côté on a le lycée cugot on a l’école jaces Prévert on a tout le parc d’activités avec des volumes de bâtiments extrêmement importants qui pourrait être desservi eu dans ce dans ce contexte et je parle pas euh de tout le parc de valtouren habita le baayur social qui jte euh dans le quartier des hucherol et qui pourrait lui aussi faire l’objet d’une desserte dans le cadre la transition énergétique pour ces bâtiments donc aujourd’hui c’est un projet tant que le projet n’est pas M sur à la fois sa taille sa localisation précise les études sur le réseau de chaleur ne sont pas encore diligenté mais en tout cas ce qu’on sait c’est que la réglementation a évalué et que le périmètre ainsi que le type d’installation publique qui sont présentes sur le site permettent de pouvoir envisager leur raccordement pour être d servis à la fois sur l’installation de chauffage mais aussi pour le chaud sanitaire par exemple qui permet aussi d’avoir des consommations tout au fil de de de l’année donc à la fois en réseau de chaleur et qui permet lorsque on a moins besoin de la vapeur pour le réseau de chaleur et bien de transformer cette vapeur en énergie sur une autre partie de l’année donc l’idée c’est vraiment d’avoir une valorisation optimale sur un outil de cette nature alors au moment où on se parle c’est il y a pas eu d’enquête de fait auprès des entreprises du parc pour savoir qui sera intéressé pour pouvoir y aller au niveau du parc d’habitat social de valtouren combien de logement pourrait être concerné quel typologie quels seraient les travaux nécessaires à faire pour le réseau de chaleur aujourd’hui c’est un potentiel qui a été identifié mais pour l’instant rien de plus on est dans la phase embryonnaire du du projet si le projet avance dans ces conditions évidemment il y aura ensuite une étude plus poussée avec une une enquête de de faite auprès des potentiels usagers utilisateurs qui permettrai de d’en définir plus le modèle la taille et le type d’usage voilà ce qui est étonnant c’est ce qui est étonnant c’est que c’est une ve euh donc c’est de la PR c’est de la basse pression donc la basse pression pour alimenter sur du 3 km linéaire ça demande un gros rendement le l’outil donc ça demande aussi une une unité supplémentaire en fait pour remonter en haute pression pour on est c’est le modèle de valorisation il est à deux à deux à deux volets c’est soit il est sur un réseau de proximité comme il est actuellement limité au centre hospitalier soit il a vocation vous avez vu le volume 4200 MW aujourd’hui demain euh 22000 potentiel donc on est sur une capacité de valorisation qui est bien plus importante donc si c’était le cas évidemment que ça induit euh pour le réseau qui est plus éloigné un outil de de de différent pour permettre de le faire aller plus loin on est d’accord mais il y a pas d’cacité technique sur cet outil et l’objectif de valorisation permet d’aller un peu plus loin dans ce dans ce bon l’unité supplémentaire pour valoriser en fait à telle distance il faudrait le prévoir dès aujourd’hui c’est ça parce qu’en fait on peut parler de 4000 MW thermi ou 22000 MW thermiqu donc c’est soit que c’est valorisé dans le réseau de chauffage ou soit que ça va dans en fait et ben aujourd’hui l’idée c’est que ça narve pas dans le ciel parce que c’est comme le réacteur nucléaire c’est 2700 MW thermique et sur le réseau c’est 900 MW donc c’est R de 33 % on est d’accord et là sur un réseau de chaleur on est au alentours de 40 % c’est à peu près le même type de rendement à quelque chose près aujourd’hui les nouveaux réseaux on est plus proche de 50 % de valorisation que que que de de 40 comme on l’était aaravant et là c’est extrêmement technique tant que la faisabilité de l’outil est pas finalisée c’est compliqué d’aller plus loin dans ce que serait le potentiel réseau de chaleur en tout cas c’est une piste de valorisation de de de la de l’énergie produite on va reprendre trois questions à la suite donc si vous voulez bien lever la main j’avais levé la euh oui ma question c’est dans le prolongement un peu bon les questions ont été abordées sur la santé pouz rapper votre nom s’il vous plaît euh Jean-Claude tevon euh ma question c’est on parle de pas de coût encore euh et les habitants commencent à trouver que les le le paiement des taxes et commence à être très important euh pour situer en communauté de commune de ctvv ce qui est pas le cas sur Chinon pour deux personnes on paye 320 € hein à l’année voilà et à Chinon c’est ridicule je crois bon euh donc vous voulez faire deux incinérateurs en ir moi je suis allé à la sur la proposition de Touren prop visiter le l’installation de l’ là c’est un seul incinérateur aujourd’hui 25000 tonnes pourquoi en indrloir on en fait pas un seul c’est diviser les coûpts d’installation par de diviser les coûts de maintenance par de diviser les coûts de de fonctionnement par de voilà alors où est la raison en plus par rapport aux gens de loche si on prend l’extrêmeest on parle pas de parce que ça sera beaucoup plus loin que d’aller sur le centre de l’indrloire si on le situe au sud de tour par exemple et ensuite on m’a opposé l’argument hier soir de dire ah oui mais on peut pas faire de réseau de chaleur à là c’est en pleine campagne et ils ont trouvé des solutions pour exploiter l’énergie donc et je compléterai les réseaux de chaleur s’il se faisaent sur chino qui les finance et qui les exp quoi parce que c’est pas le smium enfin je peut-être deuxè question oui bonsoir Philippe Gardel j’habite Chinon moi je me pose la question vraiment sur ce genre de réunion parce que on nous dit on vient vous informer vous avez le droit de poser vos questions et qu’est-ce qu’on nous dit ben on va faire un incinérateur peut-être deux alors qu’il y a beaucoup de gens dans la salle qui sont opposés à l’incinération et on nous pose et on nous met le l’incinération comme de toute façon le sujet enfin le l’objet de de de ce qui va être c’estàd on va faire un incinérateur et puis tant pis alors que de toute façon on nous dit aussi et bien vous allez pouvoir réduire vos déchets si on réduit vraiment complètement les déchets on a plus besoin d’incinération moi je regarde ma poubelle ma poubelle noire il n’y a que du plastique dedans tout le reste c’est déchetterie ou compostage supprimer le plastique vous n’avez plus de vous n’avez plus de problème de déchet je suis désolé bon donc franchement alors ensuite sur l’incinérateur vous nous dites et bien on est dans les normes on est dans les normes mais qu’est-ce qu’on recherche exactement comme polluant moi j’ai l’impression que vous ne recherchez que trois polluants les polluants qui vous arrangent bon quand le monsieur de de FO nous dit on reçoit des cendres sur la sur la figure il y a des très mauvaises odeurs les odeurs c’est de c’est une molécule chimique hein c’est pas c’est pas c’est pas autre chose donc moi je me pose la question et je voudrais savoir peut-être que vous l’avez dit dans ce cas-là je je m’excuse de ma question je voudrais savoir qui fait euh ces euh ces ces analyses parce que si c’est une une analyse officielle ben c’est pas suffisant euh à la centrale nucléaire il y a des des analyses qui sont faites par l’État par EDF eux-mêm mais euh il y a aussi des analyses qui sont faites par un laboratoire indépendant donc moi j’aimerais savoir si les analyses sont faites par des laboratoires indépendants et euh ce qu’on recherche exactement je vous signale peut-être que vous le savez quand on recherche quelque chose on le trouve si on ne le recherche pas on ne le trouve pas c’est dommage parce que j’aurais aimé poser une question par rapport à la déchetterie et je pense qu’on aura pas le temps Madame moi je voulais revenir sur la les incinérateurs la TGAP en fait on ne peut pas dire qu’un incinérateur ne soit pas polant même les incinérateurs de dernière génération ceux qui ont les meilleures techniques disponibles car ils sont tous soumis à la TGAP à l’Que sur les activités polluantes donc ça va de soit que c’est polluant pour les molécules qui sont recherchées une vingtaine de molécules sont recherchées don les dioxines il faut savoir que les dioxines brommées ne sont pas recherchées et elles sont de plus en plus présentes il y a l’effet cocktail aussi qui n’est pas analysé on ne peut pas le savoir pour l’instant n’a pas les moyens de le savoir donc il y a un effet cocktail d’autre part il y a aussi les les piaces vous avez tous entendu parler dernièrement d’pipas les pollants éternels que l’on retrouve aussi à la sortie des incinérateurs le problème c’est que ces pollant on ne peut pas les analyser à l’heure actuelle il y a qu’un seul laboratoire américain qui est capable de les analyser donc nous avons des rejets de pifas et cetera et cetera donc il y a de quoi être inquiet je pense et je reviens vers les les propos de d’Alexandre on doit demander un principe de précaution on ne peut pas continuer à avoir un incinérateur qui a de plus en plus de to de de polluant dangereux pour notre santé et pour lesquels nous ne savons pas encore les conséquences c’est trop tôt pour le savoir voilà c’était donc juste une remarque merci on va peut-être répondre d’abord à la première question euh donc avec cette idée de un seul incinérateur euh au lieu de au lieu de deux alors on a déjà eu la question hier à la à la réunion publique de sateb de Touren et je vais alors je vais redire quand même pour ceux qui pas là ce que j’avais ce que j’avais dit on a d’abord pensé à deux parce que il y a une logique de proximité donc essayer de transporter un peu moins loin donc en répartissant le territoire en le coupant en deux c’est une première raison mais qui est pas la seule la deuxième principale c’est que on a essayé de dimensionner aussi en fonction des capacités des des puits chaleur euh de des territoires 60000 tonnes sur la métropole c’est exactement la la quantité ça ça produirait exactement la quantité de chaleur qui est absorbable par un nouveau le nouveau réseau de chaleur qu’on souhaite mener sur tout tout le nord de de l’agglomération de tour si on fait plus que 60000 tonnes finalement on va perdre une partie de cette chaleur donc en découpant en deux et ben on peut valoriser la chaleur sur l’agglomération de tour et 40000 tonnes une partie sur sur Chinon donc voilà il y a il y a cette raisonl et alors quand vous avez parlé de de l’AS je vous rappelle je quand même dit hier l’as il reconstruisent il construisent une deuxième ligne mais pour que la deuxè ligne elle passe d’un point de vue performance ils sont obligés d’avoir des hectares de serre à côté qui valorisent qui utilise cette chaleur aujourd’hui ils ont 4 hectares ils vont devoir passer à 10 ou 12 hectares B voilà après il faut accepter de construire 10 12 hectares à proximité immédiate de de de l’incinérateur de l’unité de valorisation énergétique ce qui est une autre façon valoriser hein c’est possible je suis d’accord mais voilà aujourd’hui c’est pas c’est pas notre projet et on n pas forcément ces ces 10 à 12 hectares euh à proximité immédiate de la parcelle voilà et puis il y a eu un un large débat parce que on on évoque les choix je rappelle que il y a eu un large débat dans le cadre de la du schéma départemental de traitement des ordures ménagères sous l’égide de Monsieur le Préfet qui a réuni l’ensemble des territoires et de le représentants élus pour trouver les solutions essayer de de construire un modèle adapté parce que ça fait quand même quasiment 30 ans où tout le monde se regarde et puis essaie de renvoyer la patate chaude chez le voisin parce que c’est quand même plus confortable d’envoyer sa merde chez l’autre c’est plus simple plutôt que de travailler à la réduire ou à changer ses son comportement donc on est dans ce modèle et donc là le mérite de de ce travail qui a été mené qui a duré un an c’était à la fois de regarder objectivement quels étaient les enjeux nos capacité nos volontés à réduire et on passe de 175 enfin l’objectif initiale est passé de 160 et quelques 1000 tonnes à 138000 et ensuite de l’objectif c’est d’aller à 100000 parce que ce qu’on est en train de vous dire c’est qu’on part de d’une courbe qui l’objectif c’est de dire que en fin de compte après il y aurait plus d’export et qu’on expoite que ça donc c’est déjà une courbe de réduction qui est extrêmement drastique et lorsque la question a été posée avec ces enjeux avec ces objectifs chiffrés et bien le le consensus politique qui est qui a émergé c’était de trouver cette répartition territoriale euh entre la partie métropolitaine et la partie du Sud Touren pour trouver ses ses ses sorties et et donc ça a fait l’objet d’un long débat de qui a permis à la fois d’assoir le schéma départemental et donc de faire évoluer le stradet vers le schéma régional dans cette dans cette optique aujourd’hui on est en pleine phase de concertation et si demain des options nouvelles arrivé dans le modèle pour pouvoir aller vers une seule unité concentrer un endroit je sais pas où mais en tout cas à à définir il faudra comme le disait Martin regarder l’ensemble de ces enjeux notamment sur le volet valorisation et la façon dont on est capable de pouvoir le construire donc moi je je comprends votre question elle est légitime enfin nous on on se l’est posé exactement de la même façon ça ve dire ensuite est-ce que on est en commec de valoriser au mieux localement l’énergie produite par ces installations c’est c’est ce qu’ c’est ce qu’ a mûit une partie de la réflexion donc aujourd’hui elle est ni figée dans le marbre ni arrêtée c’est une des options possibles etve avec cette coordination de l’utilisation de l’énergie produite dans le périmètre de proximité juste une enfin une réaction par rapport vous répondez pas au coût c’estàdire que là on multiplie les coûts par de vous répondez pas là-dessus deux unités c’est pas multiplier par de les coûts non non alors je vous invite à regarder c’est pas parce qu’on fait deux unités une de 40 m et une de 60000 CL qu’un 200000 coûterait moitié moins que l’addition des deux ou c’est quelques pourcent en plus je veux bien non non et et c’est surtout c’est surtout l’usage demain qu’est-ce que vous faites le fonctionnement c’est double personnel c’est double je vous rappelle que les camions qui ve qui viennent de de loche ou de Richelieu qui à Chinon ou qui doivent aller à tour au nord de tour c’est pas la même chose dans les chartes moi je parle pas du nord de tour je parle de centrer sur l’IND ah mais attendez alors déjà le centrage c’est une chose là encore vous parlez de centré le consensus c’est que vous imposez pas aux gens une unité de valorisation de cette façon comme on veut là-dessus et donc du coup quand on commence à dire l’idéal serait là vous savez si dans un monde parfait enfin en théorie ça marche bien et j’aimerais bien habiter en théorie parce que tout est parfait mais mais c’est pas comme ça que la vie se passe oui mais vous vous avez décidé bon donc non mais moi j’en a rien décidé du tout on fait des propositions et et c’est mieux que c’est mieux que de taper en touche et de voir la TGAP passer je parle pas pour vous monsieur je dis simplement que les atermoimements de ces années passées font qu’on est passé de 18 € de la tonne à 65 € de la tonne et que c’est l’usager citoyen qui paye voilà c’est juste que ça ça c’est faut juste le mettre en perspective si on prend le coupt à l’AS est-ce que vous serez du même ordre de cût à la tonne l’objectif est d’avoir une performance au coût qui soit évidemment là mais le coût c’est il y a le traitement il y a la valorisation si vous arrivez à bien valorisé vous diminuez d’autant le coût de de de trait est-ce que est-ce que vous faites aussi bien qu’à l’ASS ben c’est l’objectif non non ben justement bah justement c’est l’objectif l’obctif non non bah en fin de compte l’idée c’est de faire un truc qui ne sert à rien et qui coûte très cher comme ça c’est beaucoup plus performant je sérieusement on peut avoir cette mais non mais la caricature c’est vous qui la fait je vous dis quand on regarde le sujet on essaie d’abord d’en optimiser le fonctionnement et ensuite d’en faire à des coûts le moins possible je dire c’est l’objectif et c’est pour ça que la valorisation demain elle est extrêmement importante plus on va valoriser moins ça coûtera cher voilà c’est c’est c’est une équation qui est difficile il y a il y a chaleur et énergie il y a les deux électricité et énergie et et vapeur c’est les deux pieds sur lequel repose le modèle mais après là encore on est dans une phase emriillonnaire où c’est difficile de conforter un modèle économique tant qu’on l’a pas mis à plat avec des vrais enjeux comme on le peut déposer là mais ben je je vous y répond mais pour l’instant j’ai enfin je suis comme vous j’ai pas la certitude sur l’ensemble de la chaîne de de valorisation le coût il est est déjà déjà le coût il est déjà le coût il est déjà très cher alors si on fait rien s’améliorera pas on passe à la deuxième question il y avait dans dans cette question l’idée de bah si par exemple on est totalement opposé à l’incinérateur est-ce qu’il y a une alternative alors la réduction complète des déchets ça peut être un objectif mais est-ce qu’il y a une alternative à l’in tion en fait sur des nouvelles unités il y en a pas aujourd’hui l’État ne nous permet pas de construire autre chose la seule alternative c’est de réduire de réduire les déchets au maximum ça on est bien d’accord et c’est bien notre objectif après atteindre un 100 % de réduction on va pas y arriver tout de suite tout de suite et l’enjeu finalement vous l’avez compris c’est le bon dimensionnement nous c’est un casse- tête pour nous aussi hein de savoir quel est le bon dimensionnement à horizon 2030 en ayant en tête en plus que ça va se poursuivre l’évolution en gr on est en train de faire la question on se la pose vous la posez c’est aussi à que sert cette concertation c’est se dire où est le bon d’sage quoi euh quel est le niveau de réduction qu’on arrivera à faire dans le temps quel est le bon dimensionnement d’unité de traitement et pour le coup si on doit en faire une là on pas le choix on est obligé de faire aujourd’hui il y a que ça l’État ne permet que ça ce que je ce que j’évoquais les tri mécanob biologiques aujourd’hui sont plus permis l’enfouissementah nouvelle capacité d’enfouissement c’est pas la peine donc donc on n pas vraiment le choix là où on a le choix c’est uniquement sur dimensionnement finalement c’était pour ça qu’on a je me permets d’intervenir puisque c’est moi qui ai posé la question ce que je voulais dire c’est que ça fait 40 ans sinon plus qu’on nous dit il y a pas d’autre solution que l’incinération et à chaque fois on nous dit on va augmenter la capacité des incinérateurs c’était exactement le discours de Monsieur Duvergne il y a 40 ans hein donc ça voulait dire que bah non finalement bah on va continuer C incinération il y a pas d’autres moyen et à chaque fois c’est la même chose alors sur cette question on sait bien que le déchet le plus facile à traiter c’est celui qu’on produit pas enfin je pense qu’on est à peu près tous convaincus de de cette de cette réalité euh après euh vous évoquez monsieur Gardel tout à l’heure en disant dans ma poubelle quand je regarde en fin de compte il reste plus du plastique faut les supprimer si ça dépendait des acteurs qui sont là je peux dire qu’il y a longtemps que ça serait réglé il y a un problème de réglementation qu- que vous faites pour ça mais on au fur et à mesure mais mais mais mais monsieur Gardel qu’est-ce qu’on fait au quotidien et ben moi je vais vous le dire vous avez des parlementaires qui se votre proximité il faut s’adresser parce que le problème de la réduction des matières plastiques il y a les lobbyes les lobbyes qui sont autour du monde de production du plastique et qui continue à faire en sorte que on maintienne ce type d’emballage ou ce type d’action et donc au quotidien par exemple on a plaidé pour le retour des emballages en bois par exemple pour les fruits et légumes une époque il y avait que c’est la version de de la barquette en plastique pour emballer une pomme bio bon on plaide au travers de la filière notamment avec des producteurs locaux pour retrouver des emballages qui sont vertueux recyclables durable et qui nous permettent d’avoir même parfois du réemploi et bien je peux vous dire que on rame on se rend compte que s’il y a pas de directive et d’impositions qui sont faites aux filières de agroalimentaire pour aller dans cette direction et bien on aura énormément de mal à trouver les solution et c’est à nous qu’on demandera de trouver les solutions finales parce que quand on parle de la taxe pollueur payeur si vous regardez réellement ce qu’ apporte les contributions dans le modèle général elles sont extrêmement faibles et les perceptions elles arrivent pas à ceux qui sont en charge du traitement puisqueen fin de compte c’est collecou d’accord d’ord d’accordord écoutez alors vous vous Monsieur le Maire vous avez un moyen très simple pour pour quasiment supprimer écoutez-moi vous avez quasiment un moyen très simple pour supprimer le plastique c’est au niveau du marché au niveau des marchés vous avez des vendeurs qui vous donnent encore des sacs en plastique or vous maère de Chinon vous avez le moyen de dire au aux gens qui vendent sur le marché vous avez vous n’avez plus le droit parce qu’en plus ils n plus le droit je vous arrête c’est pas du plastique c’est du maïs renseignez-vous non vous avez des sacs en plastique dérivé du pétrole je suis désolé mais non mais moi je le sais aussi j’y vais au marché moi ma compagne mais non mais mais c’est très bien mais je vous dis vous avez encore des gens qui vendent sur les marchés avec des sacs en plastique et des des sacs en plastique derrivés du pétrole pas du maïs c’est dire non recyclable non compostable et vous vous pouvez en tant que maire de de la commune dire aux gens qui vendent vous n’avez pas le droit de vendre du de vendre d’empaller en plastique en fin de compte la solution des déchets despart m c’est moi qui la détient je viens je viens de la prendre je suis responsable de tout c’est bien non non vous nêtes pas responsable de tout je dis au niveau de Chin le marché de mais monsieur Gardel je fais si déjà les sacs plastiques sont interdits devrai plus être commercialisé voyez c’est principe tout bête utilis et et si si et si le législateur qui celui qui donne la réglementation la faisait appliquer on ne serait pas dans la dans la mise dans laquelle nous sommes monsieur Gardet vous avez moyen vous de le faire niveau du marché du faitle il y avait il y avait une une dernière dernierre aspect à la question qui était bah par rapport au aux normes et au contrôle sur sur l’incinérateur qu’est-ce qu’on recherche comme polluant et est-ce que les analyses sont faites par un laboratoire indépendant ou des laboratoires indépendants ouais alors je vous le confirme c’est bien des laboratoires indépendants qui font les analyses ils sont également accrédité pour et chaque analyse est transmise à l’adreal effectivement de ce côté-là il y a pas il y a pas de il y a pas de difficulté et ensuite pour les euh pour les substan recherchées donc vous allez avoir du chlore du souffre du fluor du mercure des métaux lourds voilà chrome et cetera du chlorure d’hydrogène des poussières de dioxyde de souffre de l’oxyde d’azote du monoxyde de carbone du des dioxines la liste est longue euh on pourra vous la mettre en en ligne sur le site de la concertation c’est ce que je vous propose ce soir ça sera peut-être plus simple que de faire déénnoncer une liste exhaustive exactement euh si ça vous convient et enfin dans la dernière remarque qui a été faite il y a probablement une question justement par rapport à à des nouveaux polluants qui sont pas contrôlés aujourd’hui est-ce qu’on a une visibilité sur de d’éventuels contrôles qui se profileraiit alors non là là euh en toute en toute humilité euh j’ai effectivement pas la réponse à votre question donc je vais aller chercher des informations et euh et euh comme la liste des éléments contrôlés je vous propose de vous faire une réponse sur le site de la concertation peut-être sur l’piface si sur l’pipace il y a une euh une expérimentation en cours pour aller analyser C pipas dans les dans les unités de valorisation énergétique existantes euh notamment l’unité de l’ASS dont on a déjà parlé oui l’unité de de l’ASS et candidate pour pour pouvoir tester ça et donc bah nous on a la chance finalement si on construit quelque chose c’est pas avant dans 6 à 8 ans vous l’avez compris donc on aura ces retours d’expérience là et nous l’objectif qu’on a que ça soit sur un site métropolitain ou ou un site sur le Chinonais c’est c’est vraiment d’appliquer les meilleures techniques disp elles seront encore meilleur d’ici là et donc d’aller analyser un maximum de polluant donc je pense que d’ici là sur l’épipace on aura on aura les moyens d’aller les analyser et bien sûr qu’on le fera l’objectif c’est qu’on soit le plus fin possible et qu’on analyse tout ce qui peut-être analyser non je reviens à ma remarque l’effet cocktail des des pollant vous ne vous ne pourrez pas l’analyser donc quelque part il y a il y a une zone sombre et je redemande le principe de précaution pour la construction d’un incinérateur à proximité d’une d’un hôpital d’une d’une maison de de retraite d’une maternité et cetera de l’autissement enfin voilà ça représente pas mal de personnes qui sont exposées au quotidien pour compléter ce qui a été dit vous avvez également une partie de votre question qui portait sur la TGAP c’est important d’expliquer aussi quels sont les objectifs de cette TGAP taxe générale pour les activités peantes je pense qu’ on l’a dit à plusieurs reprises durant la la soirée la TGAP ne porte pas sur toute la liste de polluant qui a été exposé par Anthony de chîn avant la TGAP ce sont pour les installations qui émettent des gaz à effet de ser ce qui est différent c’est-à-dire que un incénérateur émet du CO2 on le sait les centres d’enfouissement émettent du méthane qui a un pouvoir qui a un gaz au pouvoir réchauffant encore 28 fois supérieur au CO2 c’est pour ça aussi que la TGAP est plus importante on l’a vu sur le graphique tout à l’heure pour les ces d’enfouissement que pour les incénérateurs il faut bien comprendre que quand on parle de pollution il y a différentes sortes de pollution il y a la pollution qui participe au réchauffement climatique des contrait des déchets il y a forcément un impact sur le le CO2 et le méthane et et ce qui est envoyé dans l’atmosphère et les polluants ont été cité précédemment qui peuvent être des métaux lourds et et autres mais la TGP porte vraiment sur cette première partie pas la deuxième donc nous sommes vous arrié au terme de dernière question réunion une dernière question ici oui bonsoir Brigitte Mansard eu alors j’entends bien tout ce que vous avez dit mais vous me rassurez pas sur l’innocué de ce système il implique de multiples réactions chimiques qui ne sont pas toutes mesurées et je ferai un parallèle avec l’eau l’eau depuis très longtemps sa qualité se dégrade et on nous a toujours dit pas de problème on fait toutes les analyses sauf que les normes on les remonte à chaque fois les nitrates quand ça dépassait on remontait et ben moi je fais le même parallèle parce que j’habite dans une commune qui aujourd’hui a de l’altrasine en quantité qui dépasse les normes on a un cocktail de pesticides et ça on le boit au quotidien et il y a des dérogations qui sont accordées pour qu’on puisse continuer à boire donc pour moi l’incinérateur me provoque les mêmes soucis les mêmes risques et j’ai besoin euh de ça enfin et en plus moi ce qui me met un peu en colère c’est que ça fait au moins 10 15 ans que je trie mes poubelles que je je fais j’achète tout en vra je fais des efforts considérables parce que je suis très motivée et je me dis mais quelle perte de temps parce que voilà aujourd’hui la solution voilà ce que vous nous proposez et ça ça me met en colère al je vis quand même si je peux ouais on peut répondre tout de suite j’ai le droit ce qu’on vous propose c’est d’abord de faire le tri de d’aller acheter en vrac et et ben alors le problème c’est qu’il nous mais on le fait mais alors soitil y a pas suffisamment de person dans les grandes distributions il y a longtemps qu’on fait un un cobot ce ce système de de d’achat et on on fait enfin moi je fais des efforts considérables et je peux vous dire que mes poubelles bah il y a rien pratiquement rien dedans mais c’est vrai que je vais acheter en vrac j’achète chez des producteurs mais parce que je suis convaincu et bah je pense que ça on peut le mettre dans la tête des gens si on leur explique vraiment les enjeux qui se passe aujourd’hui et c’est bien l’objectif du programme de prévention et c’est bien l’objectif de notre premier volet et quand je vous dis que c’est c’est ce qu’on prône c’est bien ce qu’on prne au début après est-ce que moi la question que je me pose vous êtes convaincu je le suis aussi je fais la même chose que vous la question c’est combien on est aujourd’hui j’en sais rien et comment on arrivera à convaincre la totalité de la population jeunes qui arrivent vont être convaincus et ils seront certainement pas fiers de ce qu’on leur laisse oui alors je suis toujours Magalie je alors moi je suis interloquée par tout ce qui se passe là parce que du coup sur la première partie ouais j’avais un peu d’espoir et sur cette deuxième partie mais en en fait euh euh en fait on est venu juste pour vous qu’on vous valide l’incinérateur c’est ça et moi ce qui m’inquiète c’est que vous avez super bien chiffré hein les les choses les déchets mais en fait la valorisation des déchets moi je sais je connais le chiffre parce que j’ai travaillé dessus est-ce que vous pourriez dire à à nos élus combien ça pourrait leur faire économiser sur l’installation de de lieu vous Monsieur le Maire vous parliez tout à l’heure que vous êtes pas responsable vous savez il y a des communes responsables qui mettent en place en fait des des cellules où on peut faire la on récupère le verre on fait des on refait les consignes a des machines qui existent c’est des volontés politiques tout ça il y a il y a tout plein de choses qui peuvent être mises en place sur des des domaines publics et qui réduiraient considérablement en fait les ça marche ça marche je peux vous citer plein d’endroits où ça fonctionne mais du coup là vous vous vous vous moquez des gens qui vous disent on recycle et tout ça et nous on vous parle de réduction des déchets et ça par contre sur vos schémas vous n’en tenez pas compte parce que ben non ils sont il en fait on il y a pas de solution vous aortez pas de solution à ça moi quand je fais des demandes de de au niveau des pouvoirs politiques en fait quand on fait des demandes pour des Ressourceries ou des lieux où on fait on fait des demande pour il y a des associations qui essaient de d’agir c’est des refus c’est des c’est compliqué c’est c’est c’est la croix et la bannière et et franchement est-ce qu’il y a une réelle volonté en fait de faire une valorisation alors oui la déchetterie il va y avoir un lieu un endroit mais c’est trop peuf regardez sur nos nos département voisins les les actions les réseaux sur les déchets donc là c’est drôle bah oui ça ça peut faire rire mais moi je enfin il y a le déchet qu’on va pas c’est vrai que le déchet qu’il faudrait pas utiliser c’est celui qu’on qu’on va pas FA mais il est fabriqué allons au bout de cet objet et et là il y a pas de politique même dans dans l’intrloir vous avez cité combien de recyclerie sur tout l’indréloir trois ou quatre des celles qui vont au bout d’un projet il y en a combien il y en a moins de 10 ça c’est sûr voilà c’est enfin imaginez quand même donc tout se porte autour d’une déchêterie voilà il il y a un souci l’idée c’est que ça arrive pas à la déchetterie mais il y a pas de politique là-dessus le projet de matériotthèch de deuxème vie des matériaux et des des objets au niveau de la déchetterie c’est c’est une partie des réponses qui sont apportées sur ce lieu-l c’est se dire aujourd’hui je je jette du du bois un chevron un truc qui reste chez moi et plutôt que de le mettre dans la ben à bois je le mets sur un endroit où quelqu’un peut le réutiliser c’est une approche qui va évidemment dans cette direction avec beaucoup plus de valorisation quand vous évoquiez tout à l’heure le problème de d’une ressourcerie vous ok c’est quand même pas dur de trouver un un local le truc il y a des refus je veux dire si j’ vaais des bâtiments libres vides disponible pour mener des projets bien sûr qu’on en accompagne mais aujourd’hui enfin je suis désolé mais on n pas de bâtiment inoccupé qui pourrai demain permettre de le faire après si vous avez une approche avec un projet porté structuré de faire pour arriver à le porter au bout et trouver des installations moi j’en est prêt à compagner toutes les démarches des initiatives locales enfin je vous prends des exemples on on est en partenariat avec des gens qui recyclent au quotidien je veux parler des compagnons desmaus sur le territoire on est partenaire avec eux on a passé des conventions pour aller au bout de la démarche de revalorisation et tout ça et et on le fait avec beaucoup de volontarisme voilà donc c’est si c’était aussi simple que ça je pense que il y a longtemps qu’on aurait trouvé les solutions et donc on voit bien que c’est un sujet extrêmement complexe et donc je trouve les raccourciis un peu trop simple de dire B en gros c’est quand même pas extrêmement compliqué je porte un projet pourquoi il est pas soutenu et pourqu donne pas un bâtiment c’est c’est c’est c’est caricaturel même si c’est pas moi qui l’é dans la construction de la nouvelle déchetterie avec des finances un bâtiment qui permettrait en fait dans vous allez dans le mellloir les les Ressourceries sont à côté des déchetteries en fait vous fait un nouveau projet mais il est limité c’est dommage de pas aller et c’est en plus il rapporte de l’argent il fait faire des économies à cette déchetterie c’est voilà c’est c’est tout même si c’est pas moi qui porte un projet comme ça vous allez pas assez loin dans projet en fait mais on a l’incinérateur ça va tout r non non mais ça n’a rien ça n strictement rien à voir mais il va y avoir des Ressourceries dans les nouvelles déchetteries ça on l’a assez expliqué ou les zones de réemploi également on l’a assez expliquer c’est c’est dans dans le petit journal du smiom que vous avez sans doute reçu c’est c’est indiqué donc c’est pour ça que je suis très étonné de de de votre question quoi c’est c’est c’est c’est du bon sens on va pas créer des nouvelles déchetteries qui vont nous coûter entre 1 et 2 millions plutôt 2 millions euh sans sans profiter de cette opportunité pour justement prendre la place de mettre ça hein on peut pas le faire dans celle actuellement parce qu’elles sont trop petites donc euh par de dép pas zone de réemploi pas de dépos donc les gens vont déposer et comment vous allez le gérer bah il y en a déjà hein on n pas les premierers on n’est pas les pionniers là-dedans il y en a dans les dans les même dans notre département hein ou oui rglation voilà et et quant aux Ressourceries quand au Ressourceries zone de réemploi il y a pas de problème mais les Ressourceries il faut des gens pour s’en occuperou mais sa SAF sauf que effectivement ça serait mieux que ce soit oui c’est bien mais il faut que ce soit placé aussi à côté des déchetteries c’est mieux ça c’est certain oui mais c’est à la collectivité d’organiser c’est pas au particuliers c’est pas au particuliers de faire ça c’est pas aux associations il faut moi on m’a répondu ça une fois c’est aux associations bah non je suis désolé non mais que vousz faire alors on est aussi en train de mettre en place de réfléchir activement à la mise en place d’un réseau de valoriste à travers un partenariat avec les associations locales monsieur Dupont parlait d’emus j’ai pris contact avec emus on va générer une synergie inter associatif pour mettre en place ce réseau de valoriste insitue sur les déchetteries donc c’est c’est aussi quelque chose que qu’on va mettre en place il y a a priori deux dernières questions alors rapidement s’il vous plaît dans l’énoncer de votre question oui ben rapidementfin je je sais qu’il y a un grand bâtiment dans la zone industrielle qui était l’ancien centre deterie alors vous allez me dire qu’il va servir à quelque chose mais là il est immense pour l’instant a priori il y a rien dedans mais bon je pense qu’on va avoir la réponse en ce qui concerne les déchets moi je suis un peu scandalisé à chaque fois que j’y vais quand je regarde la bene tout venant et la ben ferraille dans la ben à ferraille des fois on trouve des vélos entiers les vélos entiers jetés dans la benine à ferraille ça c’est scandaleux ça parce qu’il y a quand même pas mal de personnes qui voudrai bien avoir un vélo et puis ensuite dans la ben tout venant quand vous regardez dans la ben tout venant vous avez des cartons vous avez du papier il y a même des gens qui jettent des livres jeter des livres dans une bene tout venant c’est scandaleux ça aussi et quand vous et si vous faites et le problème il est il est là c’est que les gens qui travaillent à la déchetterie ne sont là que pour vérifier votre petite carte et il ne ils sont dépassés parce que des fois il y a 10 à 20 voitures et les gens jettent n’importe quoi dans dans ces deux Benes là et ensuite pour ce qui concerne le bois jusqu’à présent à moins que les choses ai changé mais ça m’étonnerait dans la bene à bois on ne peut pas jeter tout le bois on peut jeter une certaine catégorie de bois et à chaque fois que je vais voir le les personnes qui travaillent au SMICTOM on me dit ben on va on travaille sur la question ça fait 10 ans qu’on travaille sur la question alors il y a plusieurs aspects à votre question je vais essayer de répondre à tout d’être bref et synthétique sur le vélo et la ferraille alors effectivement ça va être le principe de la zone de réemploi c’est de la personne mettra son vélo dans la zone de réemploi il pourra être utilisé par un autre usager je vais aussi vous parler des REP et notamment de la Rep joué donc les REP c’est la responsabilité largie du producteur effectivement la la mise en place la construction des nouvelles chri va nous permettre de faire de mettre en place un tri plus efficace à la source via les reps la mise en place des reps donc il y a la Rep joué qui prendra le vélo en charge justement donc l’usager aura deux possibilités soit poser son vélo au niveau de du contenant de la Rep soit poser son vélo dans la zone de rle mais en tout cas elle n’ira plus dans dans la ben ferraille eu bon pour le livre dans la ben de touvenant mais même principe pour le coup zone de réemploi euh et pour le bois de classe pour le la ben de bois juste vous préciser que très probablement le bois refusé dans cette ben c’est le bois de classe C qui est un bois criosoté autoclavé et qui contient des produits nocifs donc ces ces boisl sont effectivement refusés dans la ben de bois de classe B la ben de bois de classe B va accepter le bois de menuiserie le bois de mobilier le bois de palette qui qui est qui fait partie du bois de classe A mais en aucun cas le bois trité voilà donc c’est peut-être les lames de terrasse que vous souhaitez déposer ou je ne sais pas mais si le gardien vous a refusé du bois dans la bine de bois c’est que probablement il devit être traité voilà non mais dites-moi si c’est pas le cas ça peut ou alors c’est une souche d’arbre et si c’est une souche d’arbre ça rien à faire dans la benine de boî classe A ou B tra et on Al toutes les palettes sont pas traitées monsieur ah ben non toutes les palettes ne sont pas traité monsieur oui mais elles m’ont été refusé dans la B VO alors c’est probablement parce qu’elle est probablement parce qu’elle est était traité et l’autre question l’autre question coralaire c’est quand même la formation des personnes la formation des personnes qui travaillent dans cette à déchetterie et leur leur possibilité de d’intervenir un peu plus sur ce que les gens veulent jeter parce que je vous dis encore une fois quand il y a des cartons qui sont jetés dans la ben tout venant si vous ouvrez le carton vous avez plein de de choses qui peuvent aller ailleurs que dans la dans la jaune touvenant le la ben touvenant c’est vraiment la ben je m’en débarrasse je sais pas ce qu’il y a dedans je veux même pas le savoir donc les personnes qui travaillent là il faudrait qu’elles soi un peu plus formée et qu’elles soi aussi plus nombreus et puis vous vous avez parlé de de personnes pour travailler dans les recycleries il y a plein de gens qui qui qui sont sans emploi actuellement sur les nouveaux sites euh qui seront plus grands il y aura plus de personnel effectivement et euh ces sites la configuration de ces sites permettra d’effectuer un tri plus efficace c’est ce que je vous disais en prambule et je vous rejoins sur ce point nous allons donc clore cette réunion nous vous remercions beaucoup pour votre participation qui a été très active et n’oubliez pas que vous avez encore la possibilité de contribuer soit à travers les petits papiers qui sont là en nous les déposant à la sortie il y a également un carnet sur lequel vous pouvez noter des choses il y a également une affiche qui vous permet de donner votre avis sur cette réunion est-ce que vous y avez appris des choses est-ce qu’elle vous satisfait ou pas en toute transparence et enfin bien sûr la plateforme de concertation jusqu’au 14 juillet au soir merci à vous merci beaucoup bra

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