Dimanche 27 mai je prenais le départ d’une course très importante pour moi… Le tour de Loire Atlantique Élite !

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    DES WATTS MONSTRUEUX SUR LE TOUR DE LOIRE ATLANTIQUE ÉLITE #2 [IMMERSION]

    00:00 – 01:02 : Avant course
    01:02 : La course !

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    hey salut tout le monde aujourd’hui on se trouve pour la deuxième étape du Tour de l’ Atlantique bon aujourd’hui le briefing il était éclair Alexis et Valentin ils sont été missionnés Deah de prendre leschappé donc ça veut dire que sur les 15 premiers kilomètres qui sont assez valallonnés ils ont la mission vraiment de bah de se mettre à bloc pour aller accompagner les coups moi ma mission c’est de tenir jusqu’au vélo km 20 donc une fois qu’on aura passé les les premières difficultés et après pendant 20 bnes c’est tout plein normalement une grande ligne droite ça risque de bordurer et aller le plus loin possible comme ça quoi bon si vous avez suivi la première étape aujourd’hui on est plus que trois effectivement on a perdu deux coureurs sur la première étape donc on va voir ce qu’on peut faire de toute façon on va essayer de faire le meilleur résultat possible après la première étape de la veille j’étais complètement rincé à l’arrivée donc il était important de bien faire tourner les jambes et de s’échauffer avant le départ de cette étape parce que le départ il va être ultra violent vous allez voir et au départ de cette deuxè étape j’étais quand même pas mal stressé globalement la veille ça s’était bien passé mais là je sais que c’était elle va être encore plus difficile 2 1 c’est parti les du public prés parmi nous [Musique] les allez monbou premier classement grimeur une échappée en train de sortir et Valentin est dans l’échappée donc ça c’est trop génial nous dans le pleuton ça roule très fort les 15 premiers kilomè était ultra sinueux et difficile monter descend monter descendre des toboggans je suis quasiment dans les dernières positions du pleoton et je suis limite en difficulté c’est assez difficile pour moi et on se retrouve un peu plus loin directement au 45e kmè j’ai survécu j’ai survécu difficilement au 15 20 premiers kilomè sinueux effectivement il y a deux trois fois je me suis dit Oh là c’est chaud ça va être limite je vais finir par sauter au final je m’en suis sorti j’étais pas très très bien placé et ça pas aidé forcément mais ce début de course j’arrivais pas à remonter en fait je me sens pas trop en forme finalement donc petit à petit ça revient en fait j’ai pas l’habitude de courir deux jours d’affilé comme ça et encore moins en élite et là ça y est on est arrivé sur la boucle la boucle on peut la voir en haut à droite de l’écran ça fait une heure qu’on est parti cette boucle on va la parcourir trois fois et sur cette boucle il y a un mur qui va donc faire assez mal et qui me faisait peur un peu comme la veille j’étais terrifié à l’idée d’attaquer ce mur d’autant plus que là je le connais pas le parcours je le connais pas du tout j’ai aucun repère heureusement bon on va le faire trois fois donc au fur et à mesure des tours on va de plus en plus être à l’aise sur celui-ci donc là moi ma mission comme d’habitude ça va être d’être le mieux placé possible et vous allez remarquer que ça va être beaucoup moins facile pour moi par rapport à la veille parce que je n’ai pas cet avantage de connaître le parcours et j’ai un peu plus de mal à prévoir et je me pose plus de questions et c’est pas bien parce que je me pose trop de questions je pense et à chaque fois je me dis faut pas que je fasse trop d’efforts pour remonter parce que sinon je vais être fatigué et s’il y a une côte qui apparaît alors que je suis pas au courant bah ça risque de me faire sauter je me pose trop de questions globalement c’est pas top mais pour l’instant ça m’a pas trop trop desservi rien de grave pas d’affalement au 50e km on passait au premier classement sprinter de la journée ou du moins il y en avait un en tout cas ici sur le circuit et ça roule très très vite comme vous pouvez le voir le pleuton ils sont un par un ça prouve forcément que ça roule vite de toute façon on est à 50 kmh dans des pente très légère c’est un faux plat mais ça fait mal et mon cœur petit à petit va monter un petit peu dans les tours vous allez voir que je vais pas monter très haut de par la fatigue de la veille mon cœur va monter un petit peu moins haut 186 au max alors d’habitude je monte quasiment à 200 BPM mais ça c’est normal c’est la fatigue donc en fait quand je suis à 170 je suis déjà pas mal haut donc là on va passer ce premier classement sprinter et je vais me dire ok ça va ça va globalement en fait dans le pleuton je me sens pas si mal que ça en fait il y a un rythme très constant en fait de rouleau compresseur lié au fait que il y a une équipe qui porte le maillot Jaume et du coup il porte la course ils ont mis toute l’équipe à rouler c’est exactement comme on peut voir à la télé autour de France et tout ça ça roule vite mais ça roule hyper régulier il y a pas trop d’attaque l’échappée elle est sortie elle est contrôlée par le pleuton et ce rythme régulier finalement bah il me plaît bien parce que moi ça m’évite de subir des gros à coups des grosses relances et vu que je suis mal placé plus il y a des àoups plus mon placement il est défavorable donc là le fait de garder un rythme régulier bah au final ça limite la casse de par mon mauvis placement et au fur à mesure de cette première boucle je vais découvrir les pentes qui nous attendent et ici il y avait une grande un petit peu signueuse comme descente mais très très large donc ça se passait bien et ça descendait très vite et là je me dis ok s’il y a une descente aussi violente c’est que il y a forcément une montée qui nous attend derrière et celle-ci elle était pas répertoriée donc je la découvre totalement elle était pas prévue on va dire dans ma stratégie de course et là on va l’attaquer et ça va faire mal effectivement à la caméra on s’en rend pas compte mais ça monte quand même pas mal de toute façon si on regarde les wats il y a quand même pas mal de wats qui sont sortis et surtout si on regarde au loin on voit très bien que les coururs B ils sont loin devant on est quand même dans les dernières positions du pleuton je suis pas dans des positions ultra critiques genre dans les 10 derniers mais je suis quand même dans les je pense 30 derniers du pleuton et vu qu’on est plus de 120 au départ bah quand ça roule un par un comme ça à toute allure bah le pleuton il fait plusieurs centaines de mètres et du coup le quand le premier il passe le sommet moi il me reste encore 15 20 secondes d’effort peut-être un petit peu moins j’extrapole peut-être mais en bref c’est difficile mais ça va j’ai mal aux jambes c’est dur mais je m’accroche surtout mentalement en fait mon objectif personnel aujourd’hui c’est d’arriver au circuit final une fois qu’on aura fait les trois grandes boucles on va attaquer le tout petit circuit qu’on voit en bas de la map qui lui du coup sera à parcourir huit fois il me semble donc mon objectif c’est vraiment d’aller jusqu’au circuit final et encore une fois le circuit final il est tout plat ça annonce un sprint plus ou moins massif en fonction des échappées mais globalement c’est un circuit qui pourrait bien me correspondre on enchaîne avec un autre petit coup de cul qui va piquer un peu les jambes mais qui se passait plutôt bien et maintenant on va doucement se rapprocher du fameux mur allez le mur il est dans 500 m et là je vous avoue que j’étais hyper terrifié à l’idée d’attaquer ce mur je suis beaucoup moins bien placé que la veille vraiment j’ai été mauvais on va dire sur ce début de course au niveau du placement j’ai eu beaucoup plus de mal que la veille donc je pense que la veille j’était vraiment aidé par la connaissance du parcours on tourne sur la gauche et là je vais me rendre compte que ça passe beaucoup mieux en étant placé sur la gauche de la route donc ça je vais le retenir dans le coin de ma tête parce que je vais l’appliquer aux deux autres passages tout simplement parce que en fait le droite gauche juste ici il favorisait les coureurs qui étaient sur la gauche de la route et ici ça y est on attaque les plus grosses pentes de cette côte et là faut tout donner faut vraiment s’arracher et sincèrement bah même si c’est difficile évidemment on est à 700 W et ben ça va ça va ça roule pas trop vite je pense que c’est lié au fait qu’il y ait une échappée le pleuton qui soit contrôlé par l’équipe du maillot jaune ce qui fait que le pleuton il roule de manière linéaire assez régulier là je suis à 181 BPM donc je suis quasiment au max de ma journée mais je suis passé je suis passé avec le Pluton des leaders et je suis plutôt bien passé c’estàd que j’ai pas reculé j’ai même gagné des positions dans ce mur donc globalement je me dis OK ça sent plutôt bon je vais peut-être réussir à finir cette course encore une fois et donc par conséquent finir le classement général du Tour de l’ Atlantique les deux étapes et donc là j’étais quand même assez fier de moi mais encore il reste deux tours deux fois le mur à monter et ça ça va pas être de tout repos non plus et c’est toujours marrant avec ces images quand on regarde sur la gauche regardz le pleton il est tout au fond là-bas plusieurs centaines de mètres derrière et en fait sur ce circuit ça roule quand même globalement très vite et au final du coup on est très souvent en ligne comme ça où on voit tout le Pluton au loin on a fait 44,5 de moyenne enfin un peu plus 45 je dirais en gros comme la veille il y avait 1000 m de dénivelé comme la veille un petit peu plus que la veille je crois donc c’était un poil plus difficile ça a roulé tout aussi vite c’est très similaire à la veille et la veille vous avez vu j’ai réussi à finir j’ai réussi à bien m’en sortir donc en fait je me dis il y a pas de raison que je me sorte pas aussi bien aujourd’hui et là comme vous pouvez le voir sur la map en haut à droite il y a une une grande ligne droite et sur cette grande ligne droite ça roulait vite il y avait des faux plats des faux plats descendants montant descendant mais globalement ça allait ça faisait mal aux jambes mais c’était une vraie partie reposante où j’ai pu récupérer avant d’attaquer la deuxième boucle 72e km chute dans le pleuton évidemment je suis derrière donc je me retrouve bloqué gêné par cette chute je repars à l’arrêt et là je repense à la veille et je me dis non pas encore exactement comme la veille et la veille je suis pas rentré j’ai fini tout seul et là je me ressaisis je me dis ok faut rentrer il reste encore la moitié de la course à parcourir il y a 150 bornes à parcourir je me mets dans la route de secoureur qui est il me semble le champion d’île-de-fance et là regardez il va turbiner envoyer V les WAT et je suis à 400 W juste dans sa roue donc lui ça veut dire qu’il est à 5 600 W il roule comme un malade il me demande même pas un relais il se retourne même pas il s’en fout il le sait c’est maintenant qu’il faut rentrer sinon on ne rentrera jamais mais et c’est ce qu’il va faire bah il va appuyer sur les pédales et il va me ramener petit à petit sur le pleuton alors le pleuton qui a été coupé en deux de par cette chute mais ne vous inquiétez pas ça va se réunifier un peu plus tard mais là du coup il va me ramener sur la deuxième partie du pleuton dans un premier temps et là sincèrement je peux que le remercier parce que sans lui je serai jamais rentré il y a un coureur qui vient de l’aider parce que il commençait un petit peu à à plafonner évidemment c’est un effort qui est ultra conséquent est-ce que moi j’en avais besoin de cet effort non j’étais déjà pas top top dans le pleuton c’était un effort qui était un petit peu en trop un effort perdu une énergie qui n’aurait pas dû être perdu si j’avais été mieux placé au sein de ce pleoton encore une fois bon on le répète tous les weekends on le sait le placement c’est primordial mais c’est pas simple c’est pas simple tout le monde veut être dans les 20 premiers tout le monde sait que c’est important mais tout le monde ne peut pas être placé à l’avant du pleuton et évidemment ceux qui se retrouvent le plus derrière c’est ceux qui sont un peu plus justes un peu peu plus faible comme moi je peux l’être donc c’est difficile de de se placer et bah évidemment ça il y a des conséquences s’il y a des chutes c’est pour toi et encore une fois bah j’en paye les frais mais heureusement ce coureur il me enfin ces deux coureurs finalement me ramène au sein du pleuton donc là la situation périlleuse est terminée je souffle un coup on va tourner sur la droite on va se prendre une grosse relante bien méchante mais c’est bon je suis revenu la course n’est pas perdue et je vous avoue que quand j’ai vu la chute et que je suis resté pied à terre pendant quasiment 10 secondes je me suis dit là je vais jamais rentrer c’est fini j’avais peur et heureusement je suis rentré à l’avant le pleuton continue de rouler les équipiers du maillot jaune continuent de tourner et ça roule très très bien comme vous pouvez voir le pleeton il est quand même assez étendu ça roule à un bon rythme toujours sur un 45 de moyenne et moi je suis plutôt dans les dans la de partie du pleuton mais ça va ça se passe plutôt bien quand c’est montant bah cher les dents cher les fesses comme ici par exemple on est dans le passage du meilleur sprinter c’était un beau faux plat montant difficile mais qui se passait bien tant qu’il y a pas d’AC coup et qu’ y a pas trop de pourcentage moi en vrai ça va a priori je m’en sors plutôt bien donc je sais que dorénavant dans une course élite a priori tant qu’il y a pas trop de dénivelé j’arrive à suivre j’ai quand même bien progressé d’ailleurs je vous remercie pour les commentaires sur la vidéo de l’étape numéro 1 merci beaucoup vous avez été hyper plein à à mettre déjà à me mettre des gentils commentaires donc merci beaucoup à vous ça me motive de fou et d’ailleurs n’hésitez pas à liker cette vidéo ça aide toujours et si vous êtes pas encore abonné bah faites-le rejoignez l’équipe comme ça vous serez au courant de toutes les prochaines vidéos et au sein de ce Pluton au final plus ça va plus je me sens bien alors je n’arrive pas à me replacer assez suffisamment à l’avant du pleuton mais je n’ai plus peur du tout je suis assez confiant à l’aise et globalement je m’en sors pas trop mal donc je suis content on est toujours les trois de la team de Sèvre à avoir pris le départ on est toujours tous les trois dans le pleuton il y a Alexis et Valentin qui sont quand même un peu plus doué que moi au niveau du placement d’ailleurs on m’aperçoit je suis dans les 1 2 3 4 5 6 il y en a six derrière moi seulement je suis quand même pas ouf bien placé mais bon c’est pas grave ce qui compte c’est que je sois toujours au contact de ce pleuton globalement de toute façon j’ai passé 99 % de la journée dans les dernières positions du Pluton j’ai fait beaucoup plus d’effort que les mecs qui sont placés dans la bulle qu’on peut apercevoir la boule à l’avant du pleuton et ben eux ils forcent beaucoup moins que moi ils subissent beaucoup moins les relances et c’est c’est là où j’étais moi hier et hier j’avais beaucoup moins subi grâce à ça bon c’est pas grave faut que je continue d’apprendre et surtout à force je vais peut-être réussir de mieux en mieux à à tenir ma position au sein de ce pleuton j’imagine que ça viendra avec le temps 86e km on attaque le 2è passage du mur et encore une fois bah j’ai le petit côté stressant quand même où je me dis c’est passé une fois est-ce que je vais passer deux fois hein tel est la question il y a Valentin qui est à mes côtés qui me motive d’ailleurs merci à ma team et particulièrement Valentin qui a toujours le petit mot en fait il est très fort mais surtout il est hyper habile il sait mononter dans le pleton en 2 secondes du coup il prend le temps de redescendre de temps en temps pour voir où je suis venir me voir et encore une fois moi je passe sur la gauche d’ailleurs je suis très très bien placé au sein de ce mur et il a toujours le petit mot pour me dire allez Quentin ça va être dur pour toi on le sait ça monte tuaimes pas ça mais il faut que tu t’accroches c’est maintenant et si tu arrives sur le circuit final tu as moyen d’aller chercher un résultat donc bats-toi maintenant ça y est on attaque les gros pourcentage de cette côte je m’accroche je me bat avec mon vélo on sort les wats et encore une fois ça monte pas si vite que ça en fait alors soit j’étais en forme mais je pense pas que c’est ça c’est que je pense que c’est pas monté si fort que ça il y avait vraiment un rythme linéaire tout au long de la course tout au long de la journée et dans ce mur ça montait pas trop en impulsion il voulait pas faire des dégâts il y a une échappée de 10 15 coururs à l’avant il y a pas de point à aller chercher en haut de ce grimpeur donc il il s’affole pas les mecs en fait dans les grimpeurs comme ça et ils savent très bien que de toute manière ça va jouer sur le circuit final donc ça sert à rien de se prendre la tête faut rester lucide et moi ça me va très bien restons à un rythme cohérent comme celui-ci ça me va très très bien 3isiè passage au niveau des sprinters l’échappé passe avec une minute d’avance vous avez vu ils sont nombreux et le pleuton arrive toujours l’équipe du maillot jaune qui roule ça roule toujours au même rythme 45 de moyenne hein ça roule fort je suis bon je suis placé à l’arrière du pleoton vous avez compris de toute manière je fais ce que je peux avec les jambes du jour mais je suis toujours présent au 104e km et ça ça fait plaisir parce que comme vous le saviez les courses précédentes en élite mon record c’était 60 km j’avais fait 15 bornes 60 et 30 il me semble donc là la veille j’ai tenu 150 bornes et là on est à plus de 100 bornes et je suis toujours au sein de ce pleuton je peux vous dire que j’étais vraiment content de moi à ce momentl de la course et de l’autre côté avant le grimpeur il y avait un faux plat alors on le voit pas à la caméra mais tous les tours il me faisait mal sincèrement ça faisait vraiment mal aux jambes ça brûlait fort et d’ailleurs il y a un truc sur cette course qui a été difficile pour moi c’est la chaleur il a fait un peu chaud il a fait beau c’est quasiment la première course qu’on fait sous le soleil et j’ai manqué d’eau pourquoi parce que bah je suis parti avec deux bidons seulement et bah normal quoi et en haut du grimpeur il y avait un assistant de la team qui donnait des bidons mes coéquipiers en ont pris et moi vu qu’à chaque fois dans le mur c’était un petit peu l’ppy time où fallait que je fasse très attention et que j’étais hyper concentré sur mon effort et ben j’ai jamais vu l’assistant ce qui fait que j’avais super soif et là par exemple dans ce faop là il y avait des assistants de d’autres équipes et j’ai pas osé aller les voir je sais que ça se fait de quand même demander des bidons à d’autres équipes je vous avoue que je commence à être à l’aise au sein du pleuton mais pas au point d’aller piquer des bidons à d’autres équipes donc là j’avais soif sincèrement j’ai j’étais un petit peu en manque d’eau et j’ai qu’une envie c’est qu’on arrive sur le circuit final pour bah choper des bidons parce que je sais que sur circuit final il y aura un autre assistant qui pourra nous donner des bidons et et là je suis vraiment en manque d’eau et qui dit manque d’eau dit potentiellement début de crampe alors pour l’instant tout va bien mais c’est évident plus je fais de temps sans eau plus la probabilité d’avoir des crampes elle est élevée donc c’est pas top ça il va falloir je travaille ça ne pas louper les assistants ou encore mieux essayer d’oser appeler la voiture parce qu’en fait je peux aller à l’arrière du Pluton en plus je suis déjà à l’arrière du Pluton techniquement quand tu es à l’arrière du Pluton tu peux lever le bras demander à l’arbitre que ta voiture remonte à ta hauteur afin de t’apporter un bidon et pour l’instant j’ai pas du tout le courage en fait j’ai tellement peur de me faire lâcher du pleuton en élite que de me laisser décrocher volontairement pour aller chercher un bidon alors là on en est très très loin donc je ne le fais pas et c’est vrai que il y aurait eu là j’aurais pu et j’aurais dû parce que ça va peut-être me porter préjudice de ne pas avoir pris de bidon à ce moment-là quoi deuxième passage dans la petite côte qui fait bien mal aux jambes je suis dans la route de Valentin et d’Alexis mes deux coéquipiers c’est rare qu’on soit aussi bien groupé et pour le coup de temps en temps surtout après les 100è kilomètres là on a été pas mal groupé parce qu’ils sont redescendus un peu à ma hauteur plus à l’arrière du pleuton ce qui fait qu’on a un petit peu plus courir en équipe alors normalement être grouper et courir en équipe faut le faire à l’avant mais évidemment à part Valentin qui a beaucoup d’expérience en élite enfin Alexis c’est sa première année comme moi en élite et du coup bah on découvre on découvre et on on apprend aussi à rouler avec les plus forts à accepter bah les la difficulté donc évidemment de temps en temps bah eux aussi ils se retrouvent un petit peu plus à l’arrière comme moi et c’est vrai que là par exemple on peut le voir je recule un petit peu parce que c’est dur c’est dur ça pique de plus en plus les jambes 110e km petit à petit ça pique mais regardez je m’accroche et je me replace directement dans la roue de mes équipiers parce que c’est motivant je les connais je me dis dans leur roue au moins je suis bien et c’est rassurant en fait et c’est quelques kilomètres plus loin qu’on arrive au pied du 3isème et dernier passage dans le mur et là je me dis c’est maintenant je joue ma vie c’est le dernier passage c’est la dernière côte qu’on va faire de la journée c’est maintenant que je dois jouer ma vie il faut que je passe cette côte au sein du pleoton et du coup même recette je passe sur la gauche comme ça pas besoin de freiner dans ce virage là hop je me décale à l’extérieur et je vais pouvoir monter dans les meilleures conditions possibles là pour le coup c’est nickel et regardez devant moi ça ralentit il y a un courur qui est en train d’exploser un petit peu et du coup je suis obligé de freiner un petit peu et de relancer un peu plus fort et encore une fois là il y a Alexis qui est avec moi qui m’encourage un petit peu donc ça fait grave plaisir que mes équipiers savent que c’est des moments difficiles pour moi quand ça monte mais qui m’encourage Alexis étant en plus le grimpeur de mon équipe je passe le grimpeur ici 180 BPM je suis dans le dur mais je me bats je m’accroche parce que ça y est on a passé le troisiè grimpeur enfin le trisième mur là et c’est fini il y a plus de grimpeur il y a plus de montée on a fait le plus dur les gars là maintenant ça va être une longue période de transition plus ou moins plate jusqu’au circuit final qui lui sera totalement plat donc là maintenant bah il suffit juste de s’accrocher au sein du pleoton pas prendre de chute ou de cassure et on arrive jusqu’au circuit final et comme je vous l’ai dit tout à l’heure la l’arrivée sur le circuit final c’était ma petite mission personnelle que je m’étais donné il y avait les 20 premiers kilomètres qui étaient ultra difficiles il y avait les trois grandes boues qui étaient difficiles et maintenant bah on va arriver doucement jusqu’au circuit final où je vais pouvoir aller chercher la meilleure place possible on arrive à cet endroit là de la boucle où d’habitude on filet tout droit pour refaire un tour là on va tourner sur la gauche afin d’aller rejoindre la ville de Nord sur Herde afin de parcourir les h derniers tours de circuit la relance et là ça va plus rouler du tout franchement ça va se regarder c’était vélo balade j’ai mangé une petite barre le truc que j’ai jamais le temps de faire d’habitude je mange des gels parce que c’est plus facile plus rapide rapide là j’ai même eu le temps de manger une petite barre ce qui est même en Open 1 j’ai pas le temps de manger des barres enfin je prends pas le temps en tout cas là j’ai eu le temps je suis redescendu à 140 BPM c’était la balade alors que il y a toujours l’échappé devant mais je pense que l’équipe du maillot jaune a peut-être eu besoin de souffler je sais pas trop mais ce qu’il en est c’est que là bah c’est la balade et moi bah ça me va très bien plus de kilomètres on fait en balade plus de kilomètres j’ai pas à faire à la à l’agonie allez ça y est on rentre dans ce rond-point on tourne sur la gauche et on est sur le circuit final et on est dans cette fameuse relance la relance du diable du démon de tout ce que vous voulez mais on verra ça un peu plus tard dans la vidéo on est sur le circuit final on va rouler très très vite sur celui-ci effectivement vu qu’on va finir la course avec 45 de moyenne et que globalement sur le circuit final je pense qu’on a toujours roulé autour de 45 50 km/h voire 60 dans cette grande ligne droite de l’arrivée ça roule très très très vite sur ce circuit final effectivement il y a toujours une échappée à l’avant et ça ça plaît pas au pleuton parce que si ils vont au bout et bah le maillot jaune perdra son maillot jaune donc il faut impérativement pour le pleuton que ça revienne sur les échappées donc ça roule très vite et là c’est nerveux le circuit il est pas très technique sincèrement il y avait des petits virages mais rien de technique beaucoup moins que la veille en tout cas que le circuit final de la veille qui était quasiment un critérium là il y a rien de technique juste des grands bouts droit intermidable particulièrement sueli de l’arrivée dans lequelle on est actuellement 300 m 300 m et on sera sur le premier passage sur la ligne d’arrivée et là c’était incroyable comme sensation encore plus de spectateurs que la veille et le soleil le pleoton qui roula à toute allure sincèrement c’était trop stylé j’étais trop content d’être encore au sein du pleuton après c cette deuxè étape donc là maintenant faut que je tienne h tours au sein de ce pleoton premier virage sur la droite un virage que je passais très très bien d’ailleurs mieux que les coureurs autour de moi donc à chaque fois je gagnais un petit peu de temps à ce virage là quelques position mais ça permettrait de remonter un petit peu me placer je suis toujours pas ouf bien placé je suis pas dernier mais je suis pas ouf bien placé quand même on attaque cette deuxième ligne droite ligne droite où il y avait les assistants et ça c’était important parce que là ça fait ouais 20 bornes que j’ai plus d’eau donc là c’est pas top du tout hein clairement je suis déshydraté et c’est là que je vais voir que il y a des assistants et tous les tours en tout cas les cinq premiers tours de parcours ici le Pluton ralentissait énormément parce que tout le monde se ravitaillais pour prendre de l’eau et regardez ça y est je vais voir au dernier moment mon assistant j’étais un peu dans le jus he quand même j’étais stressé j’avais pas envie de me faire décrocher donc je vais pas prendre de bidon à ce tour-là mais je vais faire un petit signe en mode prochain tour je vais avoir besoin parce que là il commence vraiment à faire chaud ensuite il y avait un petit passage à niveau et on enchaînait avec une relance qui était pas trop difficile mais plus tu étais placé derrière plus évidemment elle était difficile donc sur ce premier passage ça va plutôt bien se passer parce que je suis pas trop mal placé donc en fait l’accordéon il est pas trop tendu ou l’élastique comme vous voulez il est pas trop tendu et du coup même si ça roule à 50 mon cœur il monte pas trop et cette relance elle passe plutôt bien le plus difficile c’était à partir d’ici jusqu’à la ligne d’arrivée en gros là tu as une première petite relance estce que tu freines un peu dans le virage mais pas trop ensuite on tournait sur la gauche et là c’était l’endroit le plus dur en terme de vent en gros là le vent il va venir de la gauche donc faut être abrité sur la droite des coureurs évidemment tout le monde se sert à droite donc tu peux pas t’abriter et du coup tu es en plein vent donc dès que les arbres vont disparaître et qu’on va se prendre le vent pleine poire et bah c’était ultra difficile et c’est ici que je vais subir et souffrir le plus sur ce circuit final je devais pas être le seul mais du coup c’était un endroit hyper stratégique et sur ce premier pas comme vous pouvez voir il y a un mec à ma gauche je suis abrité donc je sais que c’est primordial d’être abrité à cet endroit-là parce que vraiment le vent il était fort de la gauche et ensuite on enchaînait avec le rond-point du démon avec la giga relance jusqu’à la ligne d’arrivée et globalement là ça va relancer pendant je sais pas ça fait 1 km 5 cette ligne droite bah pendant 1 km5 c’est à bloc regardez on part à 40 km/h et je pense qu’on va monter jusqu’à 50 j’imagine c’était horrible c’est trop relance là en fin de course 122 km dans les jambes d’habitude mes courses en Open 1 elles font entre 100 et 120 km là on est déjà à 122 donc plus que mes courses habituelles on monte à 60 km/h dans la relance et c’est des relances qui sont intenses c’està-dire que c’est des c’est des c’est comme s’il y avait une attaque en fait c’est une c’est un accou qui du coup fait monter les acides lactiques dans les jambes un truc comme ça je suis pas expert en entraînement mais globalement ça pousse mes jambes dans les derniers retranchements et ça fait mal très très mal et plus ça va dans la course plus ça fait mal devant c’est le bord il y a des échappées qui s’échappent des échappées bref il y a des coureurs un peu partout à l’avant de la course ça fait la course mais à l’avant du pleoton c’est toujours les équipiers du maillot jaune qui sont en train de rouler le pleuton a plus de 66 km/h qui roule à tout bzing et nous en que de pleuton on subit un petit peu mais pour l’instant je m’accroche il y a encore une dizaine de couurs derrière moi je suis pas dernier du pleoton ça passe tourci je vais pas me faire avoir je vais prendre un bidon directement je me sers ça va j’ai réussi à l’avoir donc je me refais une santé avec mon bidon et je me dis là il m’en faut un autre tout de suite parce que évidemment vu que j’ai pas bu depuis 20 bornes le bidon autant vous dire qu’il a pas fait long feu je l’ai quasiment fumé d’un coup et donc bah j’ai encore besoin d’eau il faudra un bidon le prochain tour on est dans la partie du vent circuit avec le vent défavorable et là je me dit ok Quentin tu es quand même pas si mal 160 DPM faut remonter faut se replacer donc c’est ce que je vais faire regardez je vais prendre la route d’un coureur qui remonte et je vais en profiter pour me replacer je vais remonter des positions mon objectif bah si jamais c’est un sprint massif c’est d’aller chercher le meilleur résultat possible évidemment si on peut aller chercher une bonne place tant mieux si on va chercher un top 50 c’est déjà bien je veux juste aller chercher la meilleure place possible en élite et ne rien regretter à la fin de cette étape donc j’essaie de remonter et c’est à ce moment là que je vais commencer à vraiment vraiment avoir mal aux jambes on tourne sur la gauche ici je suis peut-être en milieu de peloton un peu moins et donc beaucoup mieux placé que tout à l’heure et regardez je suis à 180 BPM je sais pas si c’est parce que le pleuton a accéléré ou si c’est le fait de avoir fait l’effort pour remonter me placer mais à ce moment là précis il y a eu un vrai switch dans mon corps je suis passé de ça va ça va le faire je vais faire le sprint et aller chercher un résultat à ça va plus du tout je suis à 183 BPM juste avant la relance c’est une catastrophe est-ce que je vais réussir à suivre regardez je perds des positions à la relance je monte à 184 BPM quasiment le max que je suis monté aujourd’hui et là je me mets minable juste pour suivre et là je me dis comment je vais faire pour finir la course j’ai en fait j’ai vraiment switch là en l’espace d’une centaine de mètres de je veux faire le sprint à j’espère finir la course vraiment il y a eu un une vraie transition et je suis à 196 BPM ça y est c’est à ce moment-là précisément que j’ai été le plus haut au cœur donc tout s’explique clairement juste j’étais à bloc j’étais à bloc j’ai les acides dans les jambes qui me brûlent et je le sens je suis vra vraiment à deux doigts de crampé et il reste 23 km à parcourir et on le voit avec le point de vue extérieur ça roule toujours aussi vite 58 km/h je suis placé un peu mieux que tout à l’heure parce que j’ai remonté des positions on l’a vu mais c’est très difficile il va falloir se battre pour garder ma position et à partir de maintenant ça va se enchaîner chaque tour après chaque tour à la même relance au rondpoint du diable je vais subir cette relance particulièrement parce que le reste du circuit sincèrement ça allait ça ralentissait au bidon dans l’autre lance c’était pas si dur dans le ventre côté ça c’était dur mais ça allait et cette relance là j’arrivais pas en fait c’était trop intense trop de Wat demandé pour quelqu’un comme moi qui a l’habitude de faire 100 bornes de course le weekend là on est à 130 bornes si on rajoute les 150 bornes de la veille on est quasiment à 300 bornes dans le weekend et bah c’est beaucoup c’est beaucoup pour mon petit corps qui est pas encore tout à fait prêt et je subis je subis c’est de plus en plus difficile de tour en tour [Applaudissements] allez du coup je vais aussi essayer de prendre un bidon supplémentaire donc là je vais tendre le bras mon assistant va me donner un bidon que je vais louper je vais m’éclater les doigts d’ailleurs j’avais super mal au doigts j’ai loupé voilà ça m’arrive rarement mais bon ça arrive du coup je vais louper le bidon et je vais une nouvelle fois manquer d’eau et ça va vraiment être un truc qui va être primordial pourquoi je crampe depuis tout à l’heure il y a aussi le fait que j’ai manqué d’eau pendant 20 bornes avant le circuit final ça aide vraiment pas et encore une fois là vu que je manque de nouveau d’eau bah mes crampes non seulement ça va pas partir mais en plus de ça bah ça va s’aggraver tout simplement 10 km de l’arrivée la relance mon corps se dégrade et la course accélère effectivement on est en train de revenir se l’échapper le pleuton lui il roule de plus en plus vite le rouleau compresseur accélère écrase les pédales 600 W et moi j’ai de moins en moins de force et surtout les crampes qui montent de plus en plus haute et à tous les tours regardez je suis autour des 180 BPM vraiment à la limite très haute de mon corps et c’est difficile mais je m’accroche je me dis allez encore un tour de plus Quentin tu peux le faire il nous reste trois tours par contre trois petits tours est-ce que je vais y arriver je vais tout faire pour y arriver mais étant dans les deux trois dernières positions du pleuton même la relance de l’autre côté devient difficile parce que le pleuton roule plus vite les relance sont accentué mon placement est encore plus mauvais et c’est encore plus dur il nous reste allez ouais moins de trois tours à parcourir et c’est vraiment difficile un peu plus de deux tours de l’arrivée on est dans la partie venteuse et c’est difficile je serre les dents je fais que ça de dire que c’est difficile mais moi ça a été interminable he je peux vous dire cette fin de course les huit tours je les ai compté à chaque fois je me disais allez Quentin serre les dents un tour de plus fini dans le pleuton hier j’ai pas pu finir dans le pleuton parce qu’il y a eu la chute j’étais quand même un petit peu déçu même si c’était déjà incroyable hein euh j’étais déçu de pas avoir pu finir dans le pleuton à cause de cette chut donc là je veux finir dans le pleuton prouver à mon équipe prouver à moi-même prouver à vous aussi que je suis capable de finir au sein de ce pleuton il faut que je m’accroche il faut que je m’accroche il reste de Tours et 1 km à parcourir il reste donc 5 bornes à parcourir c’est rien c bornes ah non 10 bornes bon 10 bornes à parcourir ah oui en fait il y avait 155 km excusez-moi ouais 10 born bah le Quentin là du de la course il devait avoir le seum du coup il reste 10 bornes à parcourir on attaque la relance et là c’est j’ai eu j’ai eu une grosse déconnexion les jambes m’ont lâché et comme vous pouvez voir à la puissance il y a pas eu de pic à la relance j’ai complètement explosé et le fait qu’il y ait un coureur devant moi là de crédit actuel Morin là qui explose bah ça m’a fait me dire ok Quentin c’est fini fini ciao explosion moteur pour Quentin il reste deux tours à parcourir je suis dans la roue de ce crédit actuel là et euh bah je vais rester dans sa roue et globalement je le sais et je vous le dis c’est impossible qu’on rentre dans le pleuton impossible le pleuton il roule à toute allure pour revenir sur l’échappé et il va pas réussir à revenir sur l’échappé tellement l’échappé roule vite donc en fait ils vont se battre jusqu’à l’arrivée pour revenir sur l’échappé et il me semble parce que du coup je ne suis plus dans le pleuton je ne le sais pas mais je pense que ça va pas débrancher une seule seconde jusqu’à l’arrivée donc là j’ai explosé c’est fini pour moi mais ce qui me tient à cœur c’est de finir la course il faut finir la course quoi qu’il arrive c’est hyper important pour moi je veux aller au bout de cette deuxème et dernière étape et surtout je veux voir mon nom affiché dans le classement général à la fin de cette course tout simplement je veux euh être classé et je veux vraiment aller au bout de ce tour de Loir Atlantique donc bah je vais me battre je vais me battre jusqu’à l’arrivée je vais garder un rythme au seuil je vais pédaler et continuer mon effort comme ça et quelques kilomètres plus loin il y a un coureur de la sélection départementale 44 qui va me prendre le relais en fait il s’est fait décrocher il a un tour de retard de plus que moi donc ça veut dire que j’ai un tour d’avance enfin moi je suis toujours dans le même tour que les le pleuton et l’échapper lui il a un tour de retard donc il aura un tour de plus que moi à parcourir moi il me reste un tour et demi à parcourir et il va rouler moi je vais en fait j’ai quand j’ai explosé j’ai tout donné c’est-à-dire que là je suis incapable de lui prendre de relais en fait je suis au bout de ma vie j’ai vraiment donné 100 % donc quand j’ai pété j’ai pété j’ai plus rien donc là je suis au bord du gouffre et heureusement il va me prendre un relais parce que je peux vous dire que les deux derniers tours a été très très long sinon et je vais m’accrocher et surtout ce qui est important à souligner c’est que la sélection 44 c’est ça sert à sélectionner des coureurs open 1 qui sont pas dans une dn donc des coureurs comme moi l’année dernière ou moi même de cette année c’est dire en gros des bons open 1 qui sont pas dans une dn pour tester les courses élites et en fait c’est très similaire à mon niveau je suis un courur openénin qui découvre les courses élites donc ce qui est rassurant c’est que je me dis que par rapport à la sélection 44 déjà ils étaient si 5 ou 6 au départ il était plus que un au départ de la deuxième étape les autres ils ont soit eu des chutes des problèmes techniques soit ils ont pété à la donc vu que c’est un niveau similaire au mien c’est quand même rassurant et là du coup le coureur qui est avec moi là c’est un coureur qui qui est très très fort en Open 1 j’ai l’habitude de de le côtoyer tous les weekends et là du coup on va discuter un petit peu et c’est hyper rassurant de se dire que un mec similaire à moi en terme de niveau voire meilleur que moi en Open parce qu’il fait quand même des très bons résultats tous les weekends et ben il est au même endroit que moi mais avec un tour de retard donc ça veut dire que je meen suis quand même pas mal sorti et et du coup je me dis bon bah c’est pas si mal en fait ma journée aujourd’hui à l’avant l’échappé continue de se faire la guerre ils sont quatre coureurs à l’avant et ensuite derrière a un petit peu partout et le pleoton groupé rouleau compresseur objectif revenir sur l’échapper ils rentreront pas ils rentreront pas parce que l’échappé va rouler plus vite et ensuite moi qui arrive à ma vitesse je suis à 160 BPM mais au niveau des jambes je suis à 2000 % je suis rincé mort il me reste un tour complet à parcourir ça va être long ça va être très très long j’essaie de rouler le plus vite possible pour qu’au classement général je ne sois pas trop loin en terme de temps l’objectif quand même c’est d’aller chercher le plus enfin voilà de faire la course jusqu’au bout même si je ne joue pas le classement général même si je suis dernier et loin derrière m’en fous je veux juste être le plus proche possible du pleuton et du coup on va rouler comme ça avec le courur de la sélection 44 d’ailleurs à 2 3 km de l’arrivée je vais lui dire bon courage Bonne Chance continue ta vadrouille j’arrivais plus à le suivre j’étais rincé vraiment j’ai donné tout ce que j’avais jusqu’à l’arrivée afin de ne rien regretter et quand j’ai pété tout tout à l’heure bah c’est que j’avais plus rien donc là je lui je lui lâche un mot je lui dis ciao fini bien ta course parce que lui il lu reste un tour de plus à parcourir moi il me reste 2 3 km ici pour RER la ligne lui il a encore un tour complet à faire s’il veut aller jusqu’à l’arrivée du coup Matis lui ce courreur là il va arriver 13 minutes après le vainqueur pour ma part je vais terminer 4 minutes 49 après la tête de la course donc bah c’est énorme j’ai pris quasiment 5 minutes en l’espace de deux tours au classement général donc je fini 90 de cette deè étape il y en a 93 qui terminent sachant qu’on était 120 à la base il y en a beaucoup qui ont abandonné quand même et ensuite au classement général de la globalité des deux jours du coup je termine à la 84e position je termine avec 6 minutes 05 sur le premier du classement général ce qui est quand même assez conséquent donc 84e du classement général sachant qu’il y a 93 personnes qui terminent les deux ét étape donc il y a 10 personnes qui finissent techniquement derrière moi mais si on va un peu plus loin il y a quand même 120 coureurs qui ont pris le départ donc il y a une quarantaine de coureurs qui finissent derrière moi donc c’est anecdotique comme résultat on on est bien d’accord mais je suis content parce que j’ai réussi à finir les deux étapes certes dans un mauvais état mais j’ai fini dans les délais j’ai tenu le pleoton 140 km alors la veille j’avais tenu 150 bornes donc ça fait quasiment 300 km de tenue avec les élites ce weekend et vous allez voir dans les prochaines vidéos que ça va finir par payer que ce soit sur les courses en Open 1 ou sur les courses en élite petit à petit ça me fait progresser ça me fait prendre en expérience et même ça me fait évoluer aussi dans ma façon de voir les courses donc j’espère que ça vous a plu maintenant on va regarder l’arrivée des des plus forts donc l’échappé a été au bout ils se sont joué la victoire bravo à eux le pleuton s’est fait battre ils se sont fait un sprint massif auquel j’aurais adoré participer mais je suis pas encore prêt et ensuite je suis arrivé un peu plus loin tout seul dans mon coin j’espère que ça vous a plu n’oubliez pas de liker c’est toujours aussi important abonnez-vous si c’est toujours pas fait et je vous dis à la prochaine pour une prochaine course bye bye

    35 Comments

    1. Toujours un plaisir de regarder tes vidéos durant mes séances de HT.

      Ça se voit que tu as déjà bien progressé depuis le debut de la saison. Hâte de voir la suite 🙂

    2. Bravo malgré tout ! L’effet de ne pas boire assez souvent t’a certainement pénalisé ! Tu progresses petit à petit ! Je t’encourage pleinement pour aller le plus loin possible ! Courir en élite, c’est grandiose ! Ça barde tout le temps ! C’est vraiment costaud ! Merci de partager tes expériences sportives car personnellement je n’ai pas l’habitude d’être à l’intérieur des courses ! Merci Quentin ! C’est super !

    3. Bravo malgré tout ! L’effet de ne pas boire assez souvent t’a certainement pénalisé ! Tu progresses petit à petit ! Je t’encourage pleinement pour aller le plus loin possible ! Courir en élite, c’est grandiose ! Ça barde tout le temps ! C’est vraiment costaud ! Merci de partager tes expériences sportives car personnellement je n’ai pas l’habitude d’être à l’intérieur des courses ! Merci Quentin ! C’est super !

    4. Non, ce n'est absolument pas un résultat anodin, c'est un des meilleurs résultats qu'on a pu voir sur ta chaîne, enchainer en élite comme ça, finir malgré être laché, le fait que tu nous dise que tu te sente bien et pas à la ramasse. Perso je sent que ça progresse et que t'es vraiment un battant

    5. Tu peux être fier de toi Quentin, en définitive, tu finis 80e sur 120, tu progresses bien depuis le début de saison et ton courage force l'admiration. Je voulais aussi te remercier car je n'ai jamais eu l'occasion ni les jambes pour faire des courses cyclistes, je les regardais du bord de la route mais grâce à toi, je vis la course de l'intérieur, j'ai 60 ans et j'ai l'impression d'être un jeunot et de pédaler au sein de ce peloton, merci pour ce plaisir que tu procures. Continue de bien t'entraîner afin d'obtenir le meilleur résultat possible….

    6. Bravo à vous Quentin, toujours en progrès un mental d'acier, c'est dur le vélo. J'éprouve autan d'émotions quand je vous voie sur Youtube que les coureurs du tour de France et autres courses de professionnels. Vous êtes jeune avec un mordant de combattant, un exemple que bien des jeunes pourraient suivre. J'ai la chance de rouler avec un ancien pro et son frère aîné qui a fait le tour de France certains weekend qui est super sympa. Il est le président du V.C d'Evreux, je ne cite pas son nom mais je pense qu'avec une petite recherche tu trouveras facilement son (Yvan F……).
      Au plaisir de vous revoir en course sur cette chaîne.

    7. Belle seconde étape.
      Et surtout… belle narration!! On sent bien que là, sur cette course, tu t'es fait plaisir, pas besoin de te voir commenter, ta joie s'entend 😄😄

    8. Salut à toi !! Super , belle progression rapide …. BRAVO !! Juste un p'tit truc : pourquoi tu n'as pas pris de bidon dans le "mur" et à tous les tours sur le circuit final ?? A plus dans l'bus !! HOB le Breton

    9. trql c’est normal t’as manqué d’eau, donc normalement niveau jambes tu pouvais finir dans le peloton, mais pg on a déjà bien vu les progrès et tu vas bientôt jouer la gagne cv venir lâche pas!

    10. A propos de la boisson, il faut essayer de remplacer les premier bidon avant d'avoir trop entamé le second. Ne pas manquer d'eau, c'est primordial. Une équipe doit toujours mettre deux ravitailleurs pour repêcher les cas où le bidon est raté.

      Et au briefing de départ, ou à la découverte du parcours en échauffement, l'emplacement des ravitailleurs doit être donné avec précision, avec des points de repère.

      Peut-être aussi il fallait savoir demander au meilleur coéquipier, ici Alexis, de te procurer un ou deux bidons ramenés de la voiture de l'équipe.

      Boire, boire toujours avant d'avoir soif. Sinon, c'est trop tard, défaillance assurée.

    11. Bravo, belle progression, de mieux en mieux. Essai de tenir le plus possible dans les 20 premiers je sais se n'est pas facile. Mais tu fais moins defort que d'être derrière et le risque des chutes. Continue à faire de temps en temps des courses élites ,elles te font progresser.

    12. Bravo Quentin c'est le manque d'hydratation qui t'a fait défaut. Quand on met pas d'essence dans une voiture elle n'avance plus, c'est pareil pour un athlète. Magret tout tu as fait un résultat qui est plus honorable. Félicitations de bonnes augures pour les prochaines courses, j'ai hâte de voir les vidéos.
      Et merci de nous faire vivre tout ça de l'intérieur. 😉🚴💪🥊

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