Dans ce 109e numéro de Ravito, Axel Merckx, fils Eddy Merckx, raconte sa vie d’enfant et de coureur pas comme les autres dans l’ombre de son père, plus grand coureur de tous les temps. S’il ne s’attendait pas à faire “égal à papa”, Axel Merckx a réussi une carrière qui a rendu fier son père. Comme en 1992 en s’imposant à Vannes sur le Tour de l’Avenir. Aujourd’hui manager de l’équipe Hagens Berman Jayco, Axel Merckx est reconnu comme l’un des plus grands dénicheurs de talents.

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    un vélo pour tous tous à vélo tout terrain route chemin urbain pour toute la famille nos enseignes giant store giant City et leurs ateliers multimarqu sont à votre [Musique] service ravito le rendez-vous vélo du téégram un ravito un peu exceptionnel puisque nous sommes avec Axel MERX l’ancien coureur aujourd’hui manager général d’une des plus grandes équipes U23 de la planète Axel avant d’évoquer ta carrière de manager général de l’équipe acon on va revenir sur ta carrière de coureur tu as éé pro pendant 14 ans est-ce que c’était facile de s’appeler MERX je pense que c’était peut-être plus facile d’être pro coureur pro en que avec le nom MERX euh les catégories jeun céta un peu plus compliqué surtout en Belgique chez les cadets chez les juniors j’étais toujours un peu plus marqué que que les autres coureurs certains parents étaient plus intéressé justement d’avoir son fils battre MERX que que de gagner la course lui-même c’était des frustrations hein je pense que c’est certaines personnes qui décidaient de revivre leur leur vie par par l’intermédiaire de leur fils en me battant hors que c’est c’est par par par génération interposée c’est c’était c’était nul ça semblait à rien mais je pense que quelque part ça m’a forgé un caractère une force de caractère aussi un désir une volonté d’y arriver mais c’est clair que faire du cyclisme en tant que merc ça met une pression supplémentaire moi je savais très bien que le il fallait pas s’attendre à à faire les Gal à papa mais moi c’était ma passion et je voulais je voulais tenter ma chance parce que j’aime le sport j’aime j’aime rouler à vélo et je pense que j’en ai bien profité quand même c’était votre passion mais vous commencez pas par le vélo non parce que papa m’avait inscrit dans une équipe de football à underlect quand j’étais tout jeune il voulait que je fasse du sport et j’avais quand même assez bien l’énergie à la maison donc je p pense qu’ il a essayé de trouvver un échappatoire justement pour me calmer un petit peu peut-être donc GAM foot donc il m’a inscrit dans un club de sport et j’ai fait toutes mes classe là jusqu’à mes 15 ans jusqu quand j’ai décidé de de changer de mon fusil d’épaule c’était pas une anomalie MERX qui fait du foot ouais ouais c’était un anomalie mais j’ai passé du bons temps vraiment j’ai passé de très très belles années à undererlecht et je pense que quelque part dans dans mon rôle qui est actuel mais aussi dans mon rôle qui était au sein d’un équipe en tant que professionnel ça ça a quand même forgé un certain caractère un esprit d’équipe qui qui est quand même un peu différent par rapport à à certaines personnes qui peut-être sont issu d’un d’un sport plus individuel le vélo c’est venu comment àors mon papa avait avait commencé l’usine de vélo dans les années fin 70 début 80 et il commençaé à sponsoriser des équipes euh professionnel donc automatiquement on suivait un peu les équipes moi j’étais grand fan de de de voir si les si les vélo gagnent les courses ça m’a toujours intéressé j’ai suivi évidemment la car de mon père par les les les cassettes vidéos quand j’ai grandi j’ai pris un peu plus de d’intérêt et j’allais rouler tous les tous les ét avec papa on faisait des sorties ensemble euh qui était pas toujours facile évidemment mais mais j’aimais bien je prenais beaucoup de plaisir et j’ai toujours roulé avec l’ depuis que je suis tout petit en fait dans dans dans le jardin ou pour moi c’est un jeu en fait j’ai lu dans une interview tu dis à 15 ans j’étais nul ah je sais pas si j’étais j’étais nul mais j’étais très fraê j’étais pas j’étais quelqu’un qui avait grandi très très vite j’étais certainement pas le coureur que que vous iriez voir le weekend en disant lui c’est un fut grand où lui ça va dir un cour professionnel mais bon je continue à faire parce que j’aimis rouler et j’amais m’échapper sur mon sur mon vélo à faire des entraînements donc j’ai continué ma route et vous savez on a command même petit de caractère dans dans dans la maison qui fois qu’on commence quelque chose on veut aller jusqu’au bout regarde Axel on a quelques photos à te montrer et tu vas nous dire un petit peu ce qu’est-ce que ça t’évoque alors ce jour-là sur le Tour de l’Avenir ouais c’était c’était long c’était longue journée c’était une moi j’ai eu un peu de chance aussi hein pour la victoire je vais être tout à fait franc parce que il y en a deux qui ont pris le mauvais virage je pense juste avant l’arrivée et j’en ai profité et mais déjà j’étais dans l’échappé donc c’était pas évident aut Tour de l’Avenir pour moi c’est un souvenir inoubliable il y a pas beaucoup de personnes qui peuvent gagner une étap pour tout l’avenir avec le le maillot de l’équipe nationale c’est quand même quelque chose de particulier ton père était là ce jour-là Axel he qui était le plus heureux à l’arrivver c’était toi ou c’était lui papa et maman étaient tous les deux là ils étaient ils étaient juste venus me visiter sur cette étape j’ai encore une fois pH justement de de mes parents et moi après l’arrivée où on est on est tous fous de joie et en fait je savais pas trop bien ce qui m’arrivait j’étais vraiment très très surpris et et très heureux évidemment mais tout le monde était heureux je pense que papa était peut-être plus heureux quand je gagnais que quand lui gagnait ça c’est certain c’est beaucoup d’émotion en revoyant ces photos bah on voit la fierté d’un père pour moi c’était c’était vraiment ma première grande victoire parce que j’avais gagné quelques courses en Belgique et oui j’avais des bons résultats mais à partir de là je pense que ça a été un déclic une prise de conscience que peut-être que j’avais peut-être un futur dans le cyclisme qui qui m’a ouvert des portes justement pour le restant de ma vie et on en parle aujourd’hui vous savez en venant ici j’ai vu la la la la pancarte van à chaque fois que je la vois j’ai des frissons parce que c’est pour moi c’est c’est c’est le début de tout en fait tu te souviens ce que ton père t’avait dit ce jour-là à l’arrivée je suis fier de toi je suis fier de toi parce que tous les sacrifices et tout le travail que tu que tu as fait pour pour arriver à à ce point-là et en sachant que pour TER le nom mer c’est c’est quand même pas évident dans un sport dans lequel quelqu’un a dominé vraiment le le meilleur de tous les temps c’est c’était surtout une grande fertier pour papa et pour maman évidemment tout le monde comparait tes résultats à ceux de ton papa comment tu vivais ça de toute manière n’importe quel athlète est comparé à mon père remcopol quand il est il est passé professionnel on on a commencé à le comparer à mon père c’est la loi de de tout sportifs qui est surtout belge qui passe lesction supérieur c’est de toujours être comparé au meilleur de tous les temps et ça c’est c’est c’est très difficile à être comparé c’est c’est une grosse respons responsabilité et c’est c’est irréalisable en fait quel rôle est joué ton papa justement dans ta carrière il a été toujours présent il a été toujours important pour moi surtout dans les moments difficiles vous savez on a tous dans une carrière des moments où ça va un peu moins bien on perd le moral la condition est pas là et lui il a toujours trouvé les mots justes pour justement essayer de de de trouver là je pense que la la la meilleure la meilleure chose qui m’ dit et le meilleur conseil qu’ m’a donné c’est ne jamais prendre une décision quand tout va mal essayer de travailler de de trouver la solution et puis se donner un peu le temps justement à revenir à un niveau et puis à partir de ce moment-l si ça va toujours pas et on a plus envie alors il faut arrêter mais ça c’est certainement une seu une seule personne qui peut en décider c’est c’est l’athlète lui-même en 2007 tu mets un terme à ta carrière mais tu décides de rester dans le milieu du vélo pourquoi mais en fait c’est une opportunité qui s’est présenté à moi parce que ça concordait au au au retour de de Lance Armstrong dans dans le pleuton associé à ça il il voulait justement créer une équipe de développement pour les jeunes coureurs américains autour de tayor fin et il pensait que bon comme lui il était fils de grand champion américain et moi je fils de qui connais un peu le les ficel du métier il pensait que c’était une bonne une bonne idée une bonne opportunité peut-être de créer cette équipe avec moi comme comme directeur sportif et manager et à partir de là c’est parti et quand l’INE se retiit j’ai eu l’opportunité de continuer l’équipe par moi-même mais quelques années plus tard on est toujours présent Axel tu es présenté comme l’un des plus grands dénicheurs de talent c’est quoi ton secret je pense pas que je suis le plus plus grandichur des talents mais je pense que je j’essaie de de faire honneur à la tradition de ce nom qui est le mien je suis toujours honnête par rapport à mes coureurs des fois ça fait mal mais j’essaie de toujours de de retirer le le positif dans dans chaque situation et en fait je me remets toujours en question je pense que si on si on reste en place on fait marche arrière donc j’essaie toujours regarder devant et et voir l’évolution et comment on peut améliorer l’équipe il y a de grands champions sont passé dans ton équipe Philipsen Almeida Tao gegenard c’est lequel qui t’a marqué le plus à présent c’est peut-être Philipsen qui vient de remporter quand même le Milan so il a fait deième pour la deuxième fois de suite à Paris roué gagné qure étap du Tour de France l’année dernière il est il est vraiment impressionnant et ça fait ça fait énormément plaisir mais vous savez moi ce qui ce qui ce qui ce qui me passionne c’est c’est c’est justement la personne derrière et justement la la personne qui qu’il est resté même même de par ses victoires Axel tu es manager d’une équipe U23 les jeunes justement passent de plus en plus tôt chez les pros qu’est-ce que tu penses de cette évolution mais je pense que c’est un grand der pour le sport le sport cycliste justement c’est d’avoir ces ces ces juniors passés directement à l’échelon professionnel pas peut-être autant physiquement que que au point de vue mental je pense que le monde professionnel est quand même un monde où il y a énormément de pression le côté de maturité est quand même pour moi est très très important vous savez quand quand vous avez 17 18 ans vous êtes pas la même personne quand vous avez 22 23 ans il y a une certaine maturité qui s’installe les habitudes qui doiv s’opérer et c’est quand même des des années qui sont très précieuses dans dans dans l’évolution d’un d’un jeune homme que ce soit un athlète et et de plus je pense qu’on VO énormément de coureurs maintenant qui passent les chetons supérieurs très très vite et qui ont des difficultés justement mentales à à à assumer les responsabilités assumer la charge de travail assumer la pression quand gendre ce ce ce sport professionnel c’est pour ça que bon moi je je pense que minimum un an au niveau espoir au moins pour avoir un pied à l’étrier justement pour s’adapter pour avoir la transition entre le le le les juniors le monde professionnel est quand même primordial merci Axel voilà la pose ravito c’est tout pour aujourd’hui on se retrouve vendredi prochain à 18h sur le telgram.fr et sur la chaîne Youtube du telgram d’ici là bon weekend bonne semaine et bonne course

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