Vous souhaitez connaitre les étapes et les bonnes pratiques pour mettre en place une feuille de route RSE ambitieuse et réaliste ?
Que vous accompagniez une entreprise sur sa stratégie RSE ou que vous soyiez responsable RSE vous-même, mettre en place sa feuille de route n’est pas forcément évident et les enjeux peuvent varier fortement d’une entreprise à une autre…
Lors de cet Indiclub, on accueille Alexandra Ferré qui nous partagera son expérience chez Yves Rocher et ses conseils ! 💪
Cet Indiclub est fait pour toi si :
👉 L’entreprise Yves Rocher t’intéresse et tu souhaites en savoir plus sur l’organisation ;
👉 Tu portes toi-même les sujets de RSE de ton entreprise et tu cherches des conseils concrets et des bonnes pratiques ;
👉 Tu es loin de ce rôle dans ta boîte, mais dans un coin de ta tête rôde l’idée de devenir, à ton tour, le pilote de la stratégie RSE de ton entreprise !
Alors rendez-vous en ligne le vendredi 8 décembre à 12h pour lui poser toutes vos questions 🔥
Bon visionnage 👀
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Où retrouver Indigo ?
🌎 LES PROGRAMMES INDIGO
► Formation Responsable RSE : https://www.joinindigo.co/formation/responsable-rse
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bonjour à tous bonjour à toutes bienvenue à cette Indie Club merci d’être d’être aussi nombreux je vois vous êtes très ponctuel je pense que d’autres personnes vont nous rejoindre au fur et à mesure du de la discussion donc je vois qu’on a qu’ a certains Alumni qui sont là donc n’hésitez pas d’ailleurs à nous dire si si vous êtes des Alumni de indigo de maestro de Lyon de Ho voilà si vous êtes un alumin en tout cas de Maria school bonjour Maxime ça fait toujours plaisir de voir qu’on a des des alumin qui sont Perm nous je vais commencer à présenter une slide comme ça on va faire un petit test vous allez me dire si si vous voyez bien ma présentation normalement j’avais fait le test et ça fonctionne bonjour Marion super est-ce que vous voyez bien la présentation bonjour adelise super donc pour info pour ceux qui connaissent pas l’outil livestorm c’est normal votre micro et votre caméra sont éteints mais vous avez accès au chat donc n’hésitez pas à communiquer avec nous dans le chat au fur à mesure du webinire pour poser vos questions pour pour compléter Alexandra ou pour donner des conseils euh le but c’est que ça soit le plus interactif possible et euh et nous on est là aussi pour bah pour vous aujourd’hui donc profitez-en profitez de ce moment ensemble salut Pauline voilà Pauline qui é diplômé hier de la formation pilote de la transition climat d’indigo ah et salut Antoine allum lion ça fait plaisir vous êtes vous êtes hyper nombreux je vais du coup commencer par me présenter je sais qu’il y en a qui me connaissent donc moi je suis responsable pédagogique chez Indigo donc indigo pour ceux qui connaissent pas c’est une école qui a été créée il y a maintenant un an et demi c’est l’école de la RSE donc la 4e école de Maria schools qui a pour vocation de former tous les cab les collaborateurs pardon à intégrer la responsabilité dans leur métier euh pourquoi on avait envie de créer un DCO avec Marine il y avait trois raisons la première c’était qu’on voyait qu’il y avait beaucoup d’organismes de sensibilisation comme la fresque du climat l’atelier d’autonne et donc nous on avait envie d’être l’étape d’après on avait envie aider les collaborateurs à passer à l’action à l’action donc on n’est pas là pour les convaincre euh les personnes qui se forment chez nous sont déjà des convaincus mais on a envie de les former pour que dans leur métier ils puissent concrètement agir on avait aussi envie de d’avoir une école qui était euh on va dire à notre image en tout cas notre notre état d’esprit c’est-à-dire un état d’esprit optimisme optimiste pardon enthousiaste et de dire que voilà les sujets de transition climat sont pas toujours évidents euh voire même carrément déprimants mais on peut c’est à nous de voir comment on a envie de de traiter le sujet et le troisème la troisème conviction qui est commune aussi à Maria schools c’était de créer une communauté de personnes engagées donc d’intervenants d’apprenants euh de partenaires comme Alexandra qui est avec nous aujourd’hui euh voilà une communauté de personnes qui ont envie d’agir et c’est pour ça qu’on met en place ces événements gratuits pour vous euh et aussi des événements présentiels quand peu dans nos locaux pour que vous puissiez construire votre réseau et échanger avec des personnes euh qui ont les mêmes s intérêts que vous pas pas forcément les mêmes options mais en tout cas avec qui vous pouvez euh euh vous enrichir donc euh voilà on a on a créé en en l’espace d’un an un peu plus de six formes donc six formations euh on commence à avoir une bonne communauté euh d’alumni et euh et bientôt euh on est à 12 promos donc euh voilà donc je je suis contente de voir que certains sont présents aujourd’hui et euh et on a encore plein de de projets à venir pour l’année 2024 j’en parlerai rapidement à la fin pour ceux que ça intéresse euh voilà du coup c’était euh pour vous présenter du coup un peu les les quatre écoles euh mais donc maestro indigo Lyon et ho font partie du coup du même campus mariascous euh voilà je vous ai mis des des petites photos pour vous donner un peu une idée on a on a un campus à Paris euh mais dans le cadre d’indigo toutes nos formations sont en ligne à part sur notre prochaine formation le bout de camp responsable don parler qui sort en mars 2024 où là il y aura quelques sessions en présentiel euh dans locau alors maintenant euh je pense que certains d’entre vous là on est pas mal à être en ligne je vais vous partager un sondage euh alors je sais pas si vous l’avez vu euh je vous l’ai déjà partagé donc voilà n’hésitez pas à me dire qu’est-ce que vous faites dans la vie euh est-ce que vous l’avez vu dans l’Anglet sondage en en bas à droite euh voilà nous dire si vous êtes à votre compte en reconversion dans une startup dans une direction RSE pour qu’on puisse un peu avoir une idée de de vos attentes pour ce webinaire super et alors maintenant je vais laisser du coup la parole à Alexandra donc Alexandra qui est notre invité du jour euh qui est donc responsable RSE chez Yv rocher donc voilà je suis hyper contente de de pouvoir changer avec toi aujourd’hui même si on a pu se parler un peu avant et donc voilà je te laisse peut-être nous dire bah comment tu es arrivé quel est ton parou et comment tu es arrivé à faire à faire ce métier ouais carrément merci du coup je su je suis ravie de vous avoir et n’hésitez pas à vraiment mettre des trucs dans le chat parce que sinon je suis seule même si c’est extrêmement plaisant je je préfère avoir des interactions du coup effectivement je suis Alexandra feré je suis la directrice RSE et impact pour la marque y rocher en terme de parcours moi j’ai fait des études qui n’avaient pas forcément un lien direct avec la RSE je fais scienceces po de la recherche en relation internationale et ensuite j’ai fait une année aux États-Unis où j’ai découvert que la RSE éta un métier qu’il existait des outils comme la triple comptabilité beaucoup de choses pour intégrer ça dans la conduite des entreprises et plus globalement des organisations je je suis arrivée dans le groupe Rochet en tant que stagiaire il y a maintenant 5 ans j’ai fait tout un une partie sur la mobilisation des communautés ensuite j’ai participé à la stratégie d’entreprise à mission la nouvelle feuille de route des ambitions RSE du groupe à horizon 2030 ensuite la certification bicorp et puis pour finir du coup la création de l’équipe RSE pour la marque i rocher avec l’objectif de redéfinir complètement la feuille de route RS de la marque en capitalisant sur son histoire sur ses forces mais en la projetant dans un futur encore plus engagé ok trop bien et merci beaucoup et donc est-ce que du coup peut-être tu peux nous nous partager avant qu’on rentre euh dans le vif du sujet du coup un peu le cadre dans lequel tu travailles est-ce que du coup quand tu es arrivé il y avait déjà une une démarche qui était existant donc trop bien parce que tu as pu tu avais tu partais pas de rien même si c’est aussi challenge intéressant de tout recréer euh comment ça se construit comment ça s’organise clairement chez chez Yv Roucher ouais alors du coup depuis peu l’équipe que que je dirige on est rattaché donc au comité de direction moi je suis rattaché directement à Guillaume daroussé qui est le PDG de la marque avant c’était pas forcément le cas c’était plutôt une équipe périphérique et là ça témoigne aussi vraiment de l’envie et de l’engagement de de la marque à accélérer sur des décisions stratégiques donc nous on a vraiment trois grands champs d’action un premier qui est lié à la transformation de notre offre et de nos services de nos produits et je pense que c’est un des éléments clés pour toutes les entreprises c’est de se questionner sur son business model avant d’aller sur toute la périphérie de de la RSE ça c’est notre premier chantier qu’on travaille plutôt avec les équipes marketing les équipes commerciales et ensuite toutes les équipes de distribution dans nos pays le deuxième grand volet qui est ce que moi j’appelle la partie non visible de l’iceberg qui est extrêmement importante c’est toute la chaîne de valeur donc on a un énorme chantier de transformation de la chaîne de valeur de notre sourcing à notre agriculture nos ingrédients nos usines notre distribution et la fin de vie des produits pour s’assurer d’une réduction carbone sur tout ce cycle et aussi de commencer à chercher des externalités positives OK et le troisième grand volet qui est peut-être celui le plus sympa en général c’est la mobilisation l’action collective autour de notre mission d’entreprise qu’on a redéfini comment est-ce que on engage les collaborateurs autour de la mission de manière extrêmement concrète comment est-ce qu’on les met sur le terrain et comment est-ce que demain on associe plus de gens avec ça pour que en gros nos clients qui viennent dans les boutiques ressortent avec l’envie d’agir et d’avoir des équipes enfin des actions citoyennes d’accord et donc toi ton le scope de ton de ta de ton métier c’est donc c’est c’est pas que France du coup c’est euh c’est monde ouais ok et euh et donc du coup sur les pour répondre à la question de Maron chat donc les profils métiers c’est un peu ce que tu faisais donc marketing commerciaux euh peut-être achat aussi sur la chaîne d’ ouais alors nous on est structuré on a une équipe spécifique RSE euh donc que des femmes d’ailleurs dans mon équipe pour le moment eu et en fait là c’est des profils plutôt en reconversion donc ça rejoint aussi le le le les études que vous êtes en train de faire pour pour certains je suppose parce qu’on a pris euh voilà on a fait un pari au début on s’est dit on va prendre des personnes qui existent déjà dans l’entreprise qui ont déjà des métiers des expertises marketing retail commerce pour euh les aider et les faire transitionner vers un métier RSE et après on a un réseau de référents dans chacun de nos métiers avec qui on travaille pour mêler du coup l’expertise et transformer les métiers en tant que tels d’accord donc euh une équipe quand même qui est euh qui est assez importante on va dire par rapport à d’autres d’autres équipes RSE ou son ils sont un ou deux et euh pas assz c’est la raison pour laquelle nous on a on s’engage aussi à former plus de personnes parce qu’on sait que les les directions RSE sont assez chargées euh surtout avec toutes la réglementation qui arrivve notamment l à la CSRD et alors du coup est-ce que tu peux nous dire donc quand tu es arrivé donc tu avais une feuille de route RSE quiima c’est quoi du coup les les voilà les les cinq étapes les cinq conseils clés les CIN étapes que tu as mis en place pour pour que cette feuille de route soit ambitieuse et et réalisable ouais alors un des du coup je je vais vous présenter un peu les cinq étapes que moi j’ai vécu parce qu’effectivement quand je suis arrivée il y avait déjà une feuille de route par contre quand je suis arrivée au niveau du groupe versus la marque il y avait une feuille de route qui arrivait à échéance et on avait défini des objectifs 2015- 2020 et on était en 2019 donc fallait pas s’arrêter là il fallait se reprojeter dans un nouveau cycle d’objectif donc on a vraiment avec l’équipe RS groupe à l’époque fait tout le travail un peu textbook de comment définir une stratégie RSE et c’est ça que je vais vous partager en essayant de vous donner du coup ce que ça ça a fait au niveau de la marque et au niveau du groupe et quels sont les les livrables qu’on a pu en sortir et donc là l’objectif c’est c’est c’est quand la date du coup donc c’est 2020 jusqu’à 2030 2030 ok voilà ça c’est un des premiers points qu’on a qu’on a vu c’est que 5 ans c’est un peu court pour des objectifs et du coup on a voulu aller sur un cycle un peu plus long 2030 et aussi pour être aligné avec pas mal de trajectoires de l’écosystème notamment les trajectoires gouvernementales des trajectoires sbti enfin il y avait pas mal de de référentiel externes qui se mettaient à 2030 ok voilà donc un des premiers points qu’on a qu’on a adressé c’était la question de la matérialité je pense que vous avez peut-être dû en entendre parler en cours mais la matrice de matérialité la fameuse et qui va notamment être demandée dans le cadre de la CSRD avec une double matérialité on a pris un grand temps euh pour définir ça au début euh pour plusieurs raisons le premier c’était qu’on voulait faire émerger une mission pour la marque et pour le groupe qui était très spécifique et que on voulait être sûr d’adresser les bons enjeux parce que moi je vois beaucoup dans les écosystème RSE c’est que les gens s’épuisent à vouloir faire euh tout euh en se disant ok il faut qu’on ait un impact social faut qu’on ait un impact sur les femmes sur le handicap sur l’environnement la biodiversité les sols et en fait c’est pas possible à l’échelle d’une entreprise puisque pas là pour sauver le monde on est là aussi pour agir sur ce qui nous ce sur quoi on a des leviers ok donc la la matérialité ça a été ça nous a pris on va dire 6 mois et on a on a fait deux process qui sont extrêmement intéressants même même dans des plus petites structures on a fait un premier process qui était des comités un comité consultatif de parties prenant avec les membres du comité de direction qu’on a isolé chaque personne du bord et on les a entouré de personnes de l’écosystème RSE euh des des startups des des ONG pour faire ressortir leur vision du monde et leur vision de la stratégie RSE et puis après on s’est servi de ça euh pour aller construire donc la feuille de route sur les différents enjeux avec les experts métiers et puis ensuite se challenger en externe dans un comité que moi j’appelle les critical friends des personnes qui sont expert de tous les sujets matériels qu’on avait identifié et qui nous challenge sur les ambitions pour voir si on a le bon niveau ouais pardon et combien de personnes en tout entre le bord les métiers tout çatébien person que vous avez interviewé je suis pas sûre que je puisse te dire un nom c’était vraiment beaucoup du coup il y avait le bord et en fait chaque membre du bord on a mis une dizaine de personnes autour de la table déjà tu as 50 personnes dans notre comité consultatif externe on a réuni 30 personnes là et ensuite une personne par grand métier ok je dirais euh oui entre 150 et 200 personnes ouais donc c’est un un un long travail comprend on comprend que c’est pris euh que c’est pris 6 mois du coup voilà ça prend un peu un temps euh un temps de formaliser ça et ensuite justement c’est l’équipe RSE qui a formalisé euh la stratégie globale en mettant donc au cœur la mission et euh et du coup tous les axe qui en découlé toutes les ambitions à 2030 dans une feuille de route qu’on a voulu donc comme je disais assez long TER pour que ça embarque et qu’on voit le changement nécessaire le temps long sur lequel il faut se poser et puis ensuite on a redécoupé chaque objectif dans une trajectoire année par année métier par année dans des objectifs quantitatifs et qualitatifs et ouais les enjeux prioritaires que vous avez identifié grâce à cette matalité c’est qu’est-ce qui était ressorti en gros ouais B alors du coup il y a il y a deux enjeux c’est une double matérialité il y a à la fois les enjeux sur lequels nous on a le plus d’impact négatif donc ça c’est vraiment notre priorité et ensuite il y a aussi les enjeux qui sur lesquels on n pas forcément de contrôle mais qui vont nous impacter donc tous les enjeux climat la résilience et cetera c’est c’est de sur ça qu’on se base donc nous on a bien sûr des enjeux liés à l’empreinte carbone de notre chaîne de valeur à l’empreinte plastique de nos produits à notre politique commerciale à notre parc retail ensuite on avait un gros enjeu aussi autour de l’agriculture vu que tous nos produits intègrent des actifs végétaux avec la question de l’agriculture régénérative l’agroécologie le bio et cetera ok hyper intéressant et et alors pour répondre aux question dans le chat donc coup qui étaient les profils qui composaient les critic of Friends et aussi combien de personnes du coup éta dans l’équipe sont dans l’équipe RSE de Yv rochi ouais je vais prendre la la la deuxème question en premier dans l’équipe RSE on a deux pôles qui pour moi sont la partie visible de l’iceberg est pas visible on a un pôle avec trois personnes qui travaillent plus plôt sur la marque Yv rocher donc la marque publique qui a une proposition commerciale une communication externe et donc là elle travaille plutôt sur les équipes avec les équipes marketing et communication et ensuite on a deux TR trois autres personnes qui travaille sur la partie pas visible et donc là elle travaille plutôt avec l’industrie sur toute notre chaîne de valeur et puis ensuite les différentes filiales centes de distribution pour bah typiquement réduire l’impact de nos opérations et ensuite les criticalend donc ça on avait en fait on a identifié des profils intéressants au regard des enjeux qu’on avait donc j’ai pris typiquement des autres marques pour la consommation responsable j’ai pris des personnes qui étaient expertes de la mobilisation pour la partie mobilisation et donc on a eu un panel assez éclectique avec des personnes de l’ADEM des personnes de MAK sense on avait trufo on avait comme marque on avait l’Union des marques justement euh on avait pay ton influence je vais pas pouvoir vous dire les 30 de de mémoire mais en fait on avait des marques engagées des ONG très critique on avait aussi pour un réveil écologique qu’on avait sollicité ah ou et puis des parties prenantes qui sont plutôt dans la coconstruction pour avoir les enfin ce que moi j’appelle l’échelle d’ofter c’est l’échelle de radicalité je voulais vraiment représenter ça avec des acteurs qui viennent pour nous challenger des acteurs qui viennent parce qu’ils comprennent exactement ce qu’on vit et des acteurs entre deux qui sont en général dans une position de créer des ponts entre les différentes échelles de la radicalité bien merci pour ta pour ta réponse h complète je vois qu’on avait une question un peu plus haut aussi est-ce que bicorp ou le B je sa pas ce que je ce que c’est oui moi je sais ce que c’est est-ce que ça sembl un outil central dans la transition ou tu as déjà une vision assez claire des démarches à ch h c’est une très bonne question euh pour revenir sur bicor je l’ai évoqué au tout début puisque j’avais été en charge justement la certification bicor pour les 10 marques du Group rocher et de structurer tout ça alors qu’il y avait pas de direction RSE au sein des différentes marques donc en fait bicorp est arrivé au tout début quand on a voulu impulser une nouvelle feuille de route et quand on était dans la construction donc ça a été super utile justement à ce titre pour nous donner une idée de toutes les différentes thématiques qu’il fallait adressé quelle était aussi l’échelle enfin jusqu’où aller sur les différentes thématiques parce que bicorp c’est vraiment point par point et ça donne énormément d’idées ok maintenant euh une fois qu’on a notre maturité on a on a arrêté en fait borp justement parce qu’on avait une maturité et que il y avait beaucoup d’enjeux qui sont spécifiques à la marque que bicorp ne représentait pas et il y avait beaucoup d’en jeu d’ bicorp que nous en fait on voulait pas prendre au niveau de la marque parce que c’était pas notre combat parce que c’était pas lié à notre business modèle et que c’était pas justement matériel pour nous donc il soit avoir un peu ce ce recul cet esprit critique pas fait pour toutes les boîtes c’est ça c’est pas fait pour toutes les boîtes et puis il faut choisir d’ bicorp quels sont les enjeux matériels sur lesquels on a vraiment un impact sinon il y a le risque de se perdre vraiment dans tous les enjeux carrément et alors quel a une questionanttoine quelles sont les plus grosses difficultés auxquelles font face l’équipe de la face cachée de la qui travaille avec l’industrie distribution qu’est-ce qui leur manque ouais alors il y en a deux euh quand on arrive sur une une marque comme irocher qui est présent dans 90 pays euh c’est extrêmement tentaculaire donc pour faire pour retracer toute notre chaîne de valeur c’est déjà un travail colossal pour comprendre comment est-ce que la distribution s’opère dans tous nos pays c’est extrêmement compliqué alors même qu’on a une ch de valeur intégrée c’estàd que nous tout est produit à l’agassie et que ensuite on distribue dans nos pays et qu’ y a une partie de la logistique qui est opérée depuis nos usines centrales donc on est déjà quand même pas la la pire marque en terme d’éclatement de la chaîne de valeur et même comme ça comprendre le fonctionnement dans chaque pays est extrêmement difficile et puis après on va jusqu’aux boutiques on a 2300 boutiques dans le monde donc quand on veut retracer 2300 transport c’est extrêmement compliqué donc l’accès à une cartographie très claire des interactions et des flux ça c’est ce sur quoi on a beaucoup coup travailler cette année ça a pris énormément de temps et la deuxième partie c’est qu’il manque des solutions en toute en toute honnêteté beaucoup de de gens nous abordent sur lindine en nous disant on a une solution pour vous on a une solution dans 80 % des cas c’est une solution de mesure de l’impact chose qu’on a déjà et moi je veux pas faire de la surmesure d’impact je veux mesurer ce sur le ce sur quoi on peut agir et vérifier qu’on peut bien agir dessus et il manque encore beaucoup de solutions qui sont scalable et à des prix encore assez attractif pour des industriels à grande échelle ok parce que là du coup quand tu on produitit vous produz tout en Bretagne ou en Bretagne ouais 93 % ok ce qui est quand même assez incroyable pour une entreprise de cette de cette taille quoi donc ouais c’est c’est un vrai engagement qu’on a tenu là depuis 65 ans et qui va rester le fil rouge de la marque c’estàdire qu’on a un encrage territorial très très fort et qui est présent dans stratégie RSE dans l’ADN et puis même dans les actionnaires puisque c’est la famille directe de Monsieur rocher ouais ok et les 7 % restants ils sont faits où alors les 7 % restants il y en a qui sont fait en gros pour le faire très simplement 99 % sont fait dans nos usines en propre en Bretagne 4 % sont fait dans une autre usine bretonne parce qu’on a pas la capacité on a pas l’expertise techniqu notamment pour des produits solides et on réfléchit à les internaliser et ensuite les 7 % restants c’est du maquillage donc en Italie en général ou en Belgique ça va être les poudres par exemple on n pas la technologie les vernis aussi et ensuite on a 2 % restants qui sont faits en général en Chine oui c’est c’est pas top mais dans des matériaux assez responsables pour tout ce qui va être accessoire de maquillage ok merci pour ton honnêteté et alors on va peut-être avancer un peu juste pour pour répondre à Antoine quand tu dis qu’il manquait des sol solution c’était bien pour réduire l’empreinte plutôt que pour mesurer l’impact c’est ça que tu avais déjà des solutions de mesure mais qui te manquaent des solution de réduction ça on arrive bien à mesurer on narrive pas encore à réduire ou à grande échelle alors on va peut-être bah du coup continuer un peu avancer sur les autres points je ne vous oublie pas je regarde sur les questions dans le chat mais comme ça on essaie d’avancer pour pour tenir dans les temps du coup après cette première étape donc de de analyse de matérialité euh qu’est-ce que du coup qu’est-ce que qu’est-ce que tu as fait euh du coup la deuxième étape euh j’ai plus les slide sous les yeux donc je je m’en souviens plus mais je suppose je peux attends je peux la partager j’ai attends je l’avais pas partagé en me disant qu’on avait peut-être pas besoin mais on va la partager comme ça tout le monde aur c’est la mobilisation voilà c’est ça un les les métiers puisque effectivement une fois qu’on a une stratégie un des points clés et que que je dis tout le temps aux parties prenantes extern c’est c’est que nous l’équipe RSE on ne peut rien faire sans les métiers c’estàd que moi j’ai pas une expertise sur le transport j’ai pas une expertise sur le plastique par contre j’ai une expertise des gros enjeux que je veux coupler à une expertise métier donc on a une grande phase d’identification des métiers prioritaire pour la stratégie à se dire année une on veut faire switcher le marketing année 2 on veut faire switcher la com année 3 le transport et cetera pour avoir un plan d’attaque des métiers et de formation au métiers RSE donc transformer un marketeur en marketeur RSE un transporteur en transporteur Green et cetera et cetera ça c’était la première grande phase donc on a travaillé sur la création de formation en interne avec mon équipeement on a impliquer les métiers pour savoir quels étaient leurs enjeux pour former au produits responsable au transport et cetera besoin on peut les former aussi avec indig oui tout à fait mais c’est vrai qu’on a fait on a fait le parti prix de dévelo en interne pour avoir aussi pour aller directement dans la phase plan d’action avec le métier spécifique avec les enjeux spécifiques à y brocher parce qu’on se disait qu’on avait quand même une maturité sur les enjeux un peu globaux et non pas forcément un seul métier par année cette année on en a fait de et demi on va dire et l’année prochaine on va sans doute en refaire trois euh voilà et puis les communautés internes ça c’est plutôt ce que moi j’appelle all user c’est c’est tout le monde de la marque yrocher c’est toute personne qui rentre dans l’entreprise qui doit avoir une compréhension de la stratégie RSE des outils pour agir et la comprendre au sein de son périmètre et puis des actions de mobilisation pour se sentir une partie prenante de la stratégie ok donc on a créé un programme qu’on appelait Act beautiful parce que voilà c’était un nom qui existait déjà dans la marque et là le but c’est d’engager tout le monde de la formation ass généraliste à l’action sur le terrain avec la Fondation yvrocher donc notre but c’est que 100 % de nos collaborateurs a mettre les mains dans la terre on l’appelle comme ça autour de notre mission d’entreprise qui est autour de la préservation du végétal qu’ on a structuré un réseau d’ambassadeurs à travers tous nos sites et chaque filiale a son association partenaire avec qui ils peuvent aller agir pour faire de la revégétalisation de la préservation aider des associations et autres mais tout le monde se mobilise pour la mission de l’entreprise et donc donc c’est une entreprise à mission les projet oui tout à fait depuis 2019 on entreprise à mission d’accord et alors et à ce jour vous avez formé tu sais en terme de pourcentage combien de personnes ont été formées et peut-être c’est quoi vos objecfin ouais alors l’objectif pour l’année prochaine c’est 80 % de tous les collaborateurs formés à la RSE donc là on est en train de finaliser les les trois modules et on a un jeu de société associé à ça ce qui marche vraiment pas mal pourrait croire que c’est un vernis pas forcément mais c’est ce qui a le plus plus en retour d’expérience et 100 % des personnes qui agissent l’année prochaine aussi comme objectif on n pas encore les KPI pour la fin d’année parce qu’on est encore en train de les mesurer mais on sait déjà que tous les que toutes les filiales ont joué le jeu pour avoir à minima la formation déployé et l’action donc juste l’année prochaine on veut que ça touche tout le monde OK et le jeu société c’est vous qui l’avez du coup créé ouais spécifiquement donc ça c’était aussi un parti prix parce que il existe beaucoup de fresques qui existent de fresques du climat fresqu de la biodive beaucoup de jeux carboniques et autres et quand on l’a testé avec un premier panel on on s’est vite rendu compte que ça générait parfois un peu d’écoanxiété et un écart avec la stratégie plutôt que de les ralier à la stratégie je disais juste mais les enjeux sont tellement énormes jamais comment on va faire quoi ou donc on a plutôt créé un jeu de société qui reprend les éléments de la stratégie R pour leur dire vous ne devez pas être des experts climatiques par contre vous devez être des experts de la stratégie RSE agir dans votre métier agir dans votre quotidien et voilà le plan qu’on vous propose et soyez rassuré que ce plan répond aux grandes problématiques environnementales et sociales externes ouais c’est trop bien c’est c’est hyper hyper novateur je trouve par rapport enfin je trouve que c’est un c’est une étape encore après justement de de la stratégie enfin de la fresque où du coup ça te paraî hyper lointain et tu sais pas comment AG alors que là je trouve que tu les rends vraiment acteur donc c’est c’est hper intéressant et alors anise à une question est-ce que vous avez plutôt changer de partenaire euh pour des acteurs plus engagés ou travailler avec eux pour faire évoluer positivement les pratiques euh on a les deux notre premier axe c’est bien sûr de les faire évoluer positivement notamment via l’outil ecoVadis nos fournisseur industriel passe par ecovadist et donc on a une notation et en général on les accompagne sur un plan d’action euh sur ces aspectsl mais après on profite aussi de toutes les de tous les renouvellements euh de nos partenaires pour mettre des nouveaux critères RSE donc typiquement dans les appels d’offres là récemment sur le transport on en a fait un pour toute la partie Est de la France et en fait on a remis des enjeux RSE et on a trouvé un meilleur prestataire qui était plus fiable plus Green et meilleur en terme de coût donc c’est un peu ça l’équation qu’on qu’on cherche à réaliser c’est quand on peut on renouvelle pour des meilleurs prestataires si on peut pas on les on les accompagne ok super je vais te laisser avancer peut-être sur la 3è étape et ça répondra sûement à la question de Gérald du coup les peut-être enfin sauf si tu as des choses à rajouter sur le point 2 donc repenser les outils quels sont quelles ont été du coup qu’est-ce que quels ont été les outils et méthodes du coup au service de la performance RSE alors sur les outils nous on a encore une fois capitalisé sur l’existant donc on est on essaie à chaque fois de détourner les outils pour inclure des nouveaux des nouveaux critères RSE on l’a fait par exemple sur les demandes d’investissement aujourd’hui chaque demande d’investissement au sein de la marque doit cocher des cases RSE pour dire est-ce que ça a un apport sur la stratégie est-ce que ça dégrade la stratégie RSE ou est-ce que ça y contribu pareil sur les objectifs de performance individuell des collaborateurs chaque collaborateur a un objectif Smart RSE qui va du coup conditionner son bonus de fin d’année ce qui permet aussi ok méti commentenger tous les outils de formation éalementbarding de la marque tout ça on le met dedans et plus de manière plus prospective ce qu’on va travailler pour l’année prochaine c’est les Business Review donc chaque département chaque filial va faire des Business Review de manière annuelle et là on va pareil remettre des objectifs RS au même ti que la performance financière de la filiale ok trop bien et et donc au niveau des outils du coup je P que vous avez is un bilan carbone enfin je pense que c’est un peu la limite la première étape ou euh se lance sur une stratégies RSE quand est-ce peut-être enfin vous faites ça je l’ai plus mis du coup dans la partie 4 mesurer les les progrès effectivement on a on a un bilan carbone depuis 2019 au niveau du groupe et depuis 2021 au niveau de la marque de manière plus spécifique euh et ça ça nous a permis bah justement d’identifier encore une fois les enjeux matériels de la marque euh de manière extrêmement quantitative et les leviers d’action qu’on avait et euh aussi ensuite de définir les trajectoires par métier euh par exemple on va prendre l’équipe packaging et conception et on va leur dire bah cette année votre Bilan Carbone l’objectif c’est de faire – 10 %. pour contribuer à l’objectif de la marque qui cette année est de – 5 % par exemple et donc on va identifier avec les métiers leur trajectoire de réduction pour arriver notre objectif c’est – 50 % en 2030 par rapport à 2019 donc on a un peu découpé ce gros objectif pour le rendre hyper appropriable par les équipes et là on va les reformer au bilan carbone pour que ils aient connaissance des leviers principaux dans leur périmètre pour réduire d’accord donc vous l’avez fait en interne ouais et ça ça va rejoindre la la question de Béatrice sur les accessoires fabriqués en Chine typiquement ça dans le bilan carbone de l’équipe cadeau en toute transparence nos cadeaux euh représente une part significative de notre empreinte carbone 14 % de notre emprinte carbone métrque en revanche ce n’est pas le fait que ce soit fabriqué en Chine qui pèse beaucoup sur l’emprinte carbone c’est plutôt les matières dans lesquelles c’est fait donc ça va être le plastique ça va être voilà les matières u de la pétrochimie donc on essaie vraiment de travailler avec les équipes cadeaux pour changer et autant que possible du coup offrir des cadeaux produits plutôt que des cadeaux objets changer les matériaux et à la fin changer les fournisseurs et pour info nos cadeaux aujourd’hui 67 % c’est déjà des produits rochers on a c’est un peu un un point qui cristallise parce que c’est extrêmement visible mais au final il y a déjà une énorme road map qui a été faite et sur laquelle on va encore essayer d’accélérer ouais ce serrai que moi je bah du coup je suis cliente i rocher et je trou ça trop cool dans l’idée de se dire bah on a toujours un petit cadeau quand on y va mais on a pas vraiment besoin et du coup parfois je me dis c’est un peu trop mais d’ côé je sais que c’est aussi comme ça que que que les clients reviennent donc c’est S c’est des des choix business qui sont pas évidents j’imagine de de trancher quand ça a toujours été le cas et totalement laqu les gens aussi reviennent euh et alors je je sais plus je crois que j’avais une question plus ha que j’avais raté cétait les emballages sont également produits en Bretagne non euh les emballages sont soufflés en Bretagne donc tout ce qui va être flacon en plastique et cetera sinon c’est provenance Europe et notre verre pour le moment c’est provenance d’Inde ok merci beaucoup alors euh et du coup sur la partie 3 est-ce qu’il y avait des des choses encore que tu voulais euh que tu voulais rajouter ou tu veux qu’on avance sur le point 4 du coup comment tu mesures le progrs en plus du bilan carbone ouais globalement sur le 3 c’était à peu près tout après il y a énormément d’autres outils qu’on peut qu’on peut mettre mais mon point sur le 3 c’est vraiment de dire il faut lier la performance business la performance financière la performance RSE parce que une des phrases qu’on adore dire avec le PDG c’est soit ils vont y aller par conviction et avec le cœur soit ils vont y aller à cause du portefeuille et pour moi tous les moyens sont bons pour emmener les personnes à l’action et même si au début elles sont pas convaincues qu’elles traînent le pied qu’elles le font pour le bonus de fin d’année bah tant pis au bout d’un moment elles vont voir que c’est super cool d’agir pour la RSE et elles vont le faire avec des convictions trop bien et sur le point 4 euh du coup bien sûr donc on a un bilan carbone euh mais il ne faut pas se laisser avoir par ce qu’on appelle le tunnel carbone donc c’est tout voir tout voir tout voir en carbone alors qu’il y a énormément d’autres choses qui peuvent enfin arriver dans la performance RSE au-delà du carbone ouais donc pour ça nous on a créé un reporting RSE de manière assez classique on a environ 150 indicateurs euh qu’on mesure de manière annuelle il y a évidemment des indicateurs de la de la CSRD il y a des indicateurs que le groupe nous demandent il y en a qui sont obligatoires euh pour le la dqf et cetera et puis il y en a qui sont très spécifiques à nous pour aller dessigner des trajectoires vers 2030 et donc pour nous ça a été extrêmement important de le construire avec euh avec les équipes on a fait à peu près 15 workshops pour définir quels étaient les bons indicateurs et le niveau d’ambition année après année que l’équipe devait se donner ok trop bien et euh alors pour répondre du coup à la question de marillon dans dans quelle mesure sonelonv le fait d’être une entreprise déployée au niveau international freine l’objectif net zéro des émissions carbone pour 2050 pensez-vous à l’instant T pouvoir vous projeter dans un modèle où les émissions seront réduites de manière encore plus significative ouais alors moi je je crois pas du tout au net zéro je pense que la la compensation carbone c’est c’est une dérive aujourd’hui qu’on voit de plus en plus dans dans dans les métiers RSE je crois bien sûr à la sobriété carbone et à la réduction extrême et à des actions de on va dire de puit carbone de régénération de la nature et autre mais je pense pas qu’il faille le financiariser et le quantifier tel que c’est fait et proposé aujourd’hui dans le net zé pour beaucoup beaucoup de raisons mais notamment la dérive du marché carbone qui aujourd’hui n’est pas du tout régulé de la bonne manière on a aucun suivi sur les actions aucune traçabilité dans le temps donc ça c’est c’est plus sur sur la partie net zéro en tant que tel et une entreprise ne peut pas être neutre en carbone un territoire à la limite peut l’être le monde peut l’être mais ça va être très compliqué ouais et après sur le fait de d’être une entreprise internationale on se pose régulièrement la question euh il y a un une vraie stratégie sur le fait d’être en Bretagne déjà pour l’intégration de la chaîne de valeur pour aussi l’employabilité des personnes on est dans une zone rurale où il y a que Yv rocher comme employeur et puis aussi pour notre savoir-faire un peu français en revanche on va se développer à l’international on a notamment une stratégie autour de l’Asie qui est en cours et on est en train de réfléchir à comment est-ce qu’on peut le faire de manière on va dire plus responsable en terme d’empreinte carbone le transport aujourd’hui c’est que 20 % de notre bilan carbone donc oui on se projette à réduire encore plus nos émissions carbones mais je suis pas sûr queon est des le VI encore supplémentaire sur le transport aujourd’hui ça va plus passer par les matières par éventuellement encore une réduction des packaging par des projets comme la consigne le vrac et cetera ouais euh et puis alors peut-être que sur du coup tu parlais un peu du coup de de enfin le fait que vous êtes un un employeur hyper important en Bretagne ça rej peê aussi la question de génal quelles sont vos actions RH donc sur le volet social de la stratégie RSE de sur le volet RH on l’a pas encore euh on l’a pas encore totalement exploité autant que que je le voudrais parce que on dépend beaucoup pour le coup du groupe Rochet qui est en train qui a une nouvelle DRH qui est en train de définir sa vision en tout cas la la vision va porte aujourd’hui beaucoup sur la sécurité des employés la sécurité en boutique la sécurité dans nos industries et cetera le développement des compétences en interne avec des parcours de carrière mais je trouve qu’on a pas été suffisamment loin notamment sur la question des de nos personnels en boutique comment est-ce que on peut faire de ces personnes qui travaillent dans le retail des parcours un peu plus engagés un peu plus diversifiés donc on attend le le le groupe et normalement l’année prochaine on travaillera dessus ok merci pour ta réponse et et alors Béatrice demandé non Marion l’équipe RSE est basé en Bretagne on parle uniquement des employés usines euh alors on a les deux enfin mon équipe elle est elle est sur trois sites il y en a à Paris pour travailler notamment avec les personnes du siège en Bretagne à lagassie pour travailler avec les équipes industrielles et puis à reen pour travaer avec l’équipe du marché français qui est le plus gros marché de la marque ok super et alors on va peut-être te laisser du coup finir sur le dernier point qui est valoris en externe tout à fait valoriser en externe c’est hyper important je pense que on le fait pas assez parce que en général les équipes RSE c’est des personnes qui portentah des des amb de changer le monde qui veulent vraiment contribuer qui ont une certaine humilité aussi dans le leur manière d’être et de de relationner au travail et qui se disent mais quand je je vais parler en externe en fait je me la pête et puis aussi j’ai des risques des risques de me faire taper dessus parce que on voit beaucoup de d’initiatives anti green wasing qui qui vont un peu challenger les équipes ok je suis tout à fait d’accord avec ça par contre l’externe c’est hyper important de le valoriser pour deux raisons premièrement parce que ça crée activité en interne il y a rien de mieux pour des personnes qui sont pas convaincu de leur dire ouais mais tout le reste des personnes externes trouvent que c’est génial toi aussi tu devrais trouver ça génial et puis en plus ça crée énormément de possibilités de partenariat de pont d’initiatives qui ressortent et cetera avec d’autres marques avec des porteurs de solutions avec des organisations internationales des organisations gouvernementales et donc le fait de parler de sa stratégie en général ça crée une autour de ça qui renforce la stratégie la lu permet d’aller beaucoup plus vite ouais et puis ouais non c’est je pense qu’il y a le problème à la fin on a peur du Green wasing mais il y a aussi le phénomène inverse où c’est trop dommage de de de pas mettre en avant ce qu’on fait de bien et ce qui aujourd’hui un peumage c’est qu’on a tellement peur de de dire des choses d’être too much que du coup on t onter les actions et c’est c’est vra que c’est hyper dommage donc je suis hyper hyper d’accord avec toi euh on va du coup on arrive bientôt à la fin du webinaire on va essayer de du coup de pas trop dépasser s’il reste ou deux questions voilà vous avez encore le temps de les mettre dans le chat sinon bien sûr on pourra prolonger la conversation si vous voulez discuter avec Alexandra peut-être enfin moi vous pouvez m’ajouter aussi sur lindine ou Alexandra pour si jamais vousz des choses qui ont pas été claires mais on peut peut-être en prendre une ou deux pour finir donc je vous laisse je vous laisse taper dans le dans le chat en tout cas si certains d’entre vous sont intéressés pour se former au métier des responsables RSE sachez qu’on voilà on a lancé une nouvelle formation un boot camp responsable RSE qui a lieu de fin mars à fin mai donc il reste encore des places pour vous inscrire si vous avez envie de découvrir le programme je me permets voilà de je vous l’envoie dans le chat si vous voulez découvrir toute toute la brochure euh mais voilà je vous affiche quand même les les quatre grands blocs du programme euh pour que vous ayz déjà une idée donc les fondamentaux donc qui sont comment on évalue du coup les enjeux sociaux environnementaux et sociétaux euh enfin comment du coup on les définit euh les enjeux par métier donc le suelet dont parlait avec Sandra l’importance de former les achats les RH le marketing donc tous les les métiers qui vont travailler avec la RS euh un bloc qui est vraiment sur les étapes euh qu’on a vu notamment aujourd’hui vous pou les voir un peu plus en profondeur et peut-être creuser ai et un dernier bloc pour pour vous bah vous aider à vous mettre en action avec des retours d’expérience de responsable RSE notamment bah comme Alexandra ou d’autres personnes on a des prof qui viennent aussi de chez Decathlon qui est aussi une entreprise hyper engagée sur les sujets euh et bien sûr un cas final pour vous tester avec avec un jury à la fin donc voilà nésitez pas à regarder le la brochure si vous avees des questions vous serez contacté par cine avec qui je travaille ou vous pouvez directement me contacter sur lindine mon nom c’est parce que mon nom c’est pas le bon qui s’affiche donc mon nom c’est Orian texera euh voilà je vous le mets ici et bah merci merci beaucoup pour t messagees j’espère que du coup ça vous a plu euh et Antoine demande quel est le meilleur moyen pour te contactter c’est par mail ou par lindine Alexandra est-ce que euh LinkedIn oui très bien LinkedIn du coup je mets ton nom Alexandra furet voilà merci pour vos messages je suis contente j’ai l’impression que ça a répondu à à pas mal de vos questions euh voilà en tout cas je vous souhaite du coup une une bonne une bonne après-midi à tous et tous merci beaucoup Alexandra c’était merci beaucoup euh et et je vous dis à très vite du coup pour un prochain l club bonne journée bonne journée