Semiótica do oceano. Entre literatura e ecologia
    por Denis Bertrand (Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis; Nouveau Collège d’études politiques, Paris 8/Paris Nanterre) a convite do Ges-USP (Grupo de Estudos Semióticos da Universidade de Sao Paulo)

    Programa do curso
    1. Apresentação: o oceano ameaçado, o oceano ameaçador
    a) O discurso científico: o IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) e a elevação do nível dos oceanos.
    b) Ciência, lei e política.

    2. Semiótica do oceano: uma abordagem transdisciplinar
    a) Mito e ecologia. Estudo de caso: o Protocolo de Kyoto (sobre CO2) e a Teoria das Indulgências.
    b) Semiótica e previsão: o futuro anterior (“O que teremos feito, afinal, com o mar?”).

    3. Modelos do oceano
    a) Oceano e linguagem: com ou sem vestígios (Melville, Conrad).
    b) Figuras do extremo: a teratologia (bestiário).
    c) Crise contemporânea do oceano: ecossistemas, biodiversidade, distúrbios meteorológicos.

    4. Estudo de caso
    a) Semiótica textual: “O Arquipélago do Canal da Mancha” (Prólogo do romance de Victor Hugo, Os Trabalhadores do Mar ).
    b) Imanência e “arquipélago” das Ciências Sociais e Humanas: rumo a um modelo para a crise do oceano.

    5. Hipótese teórica
    a) Abordagem: semiótica figurativa e enfoque temático.
    b) Hipótese: imanência. Figuratividade e abstração: sentidos do espaço oceânico. Da literatura à ecologia.

    Ex-orientando de A. J. Greimas, Denis Bertrand é professor emérito de Literatura Francesa e Semiótica do discurso na Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis e no Nouveau Collège d’études politiques (Paris 8/Paris Nanterre). Foi presidente da Association Française de Sémiotique. Suas pesquisas incidem sobre os discursos estéticos, sociais e políticos. Autor do livro Caminhos da semiótica literária (Bauru, SP: EDUSC, 2003, trad. Grupo CASA), organizou mais recentemente, no campo da zoossemiótica, La parole aux animaux. Conditions d’extension de l’énonciation (2018, Fabula), La sfera umanimale. Valori, Racconti, Rivendicazioni (2019, Meltemi), Existences collectives. Perspectives sémiotiques sur les formes de la sociabilité animale et humaine (2023, Fabula), Viande(s). Stéréotypies sémiotiques et inquiétude culturelle (no prelo: 2024, L’Harmattan). Também no prelo: Mystique et politique (coletivo, 2024, Semiotica). Em 2019 saiu pela editora Lambert-Lucas, em sua homenagem, a obra coletiva Sens à l’horizon ! .

    P eh sej bemvos novamente a noso segundo merguluas PROFAS OCE a car naveador po comandanteo no nos navio submarino dans la on merci beaucoup donc nous commençons merci d’être présent cette deè séance alors vous remarquerez si vous êtes un tout petit peu attentif que j’ai changé le mot séance et je l’ai remplacé par séquence ce qui permet de dérouler un programme qui ne correspondra pas forcément au au au découpage des séances elles-même donc je on va poursuivre aujourd’hui achev le le ce qui est prévu dans la première séquence à savoir cette introduction générale à notre probl tique et et en particulier la question de la question de de la je dirais ce que j’ai appelé les instruments de navigation c’est-à-dire des C théorique et méthodologique global que je vais essayer de mettre en œuvre pour échanger avec vous sur ces sur ce sémiotique de l’océan polarisé je le rappelle entre d’un côté l’univers figuratif tel qu’il est déployé à l’intérieur des des romans de mer de la littérature maritime quelques grands romans de mer dont on a parlé hier et de l’autre côté la dimension plus proprement je repasse très vite les images qu’on a vu hier et et la dimension plus plus proprement euh je dirais géoécologique de la question de l’océan aujourd’hui en particulier cette idée l’océan menacé en tant que acteur en prise avec le réchauement climatique et du même coup menaçant en ce qu’il ronge nos côtes comme disait Victor ce qu’on a fait hier c’est question de précision sémantique puis problématique hypothèse objectif et nous en étions là voilà le point que je voudrais développer aujourd’hui c’està-dire le cadre sémiotique théorique et méthodologique de référence pour entrer dans cet univers j’aurais une première partie courte que j’ai appelé sémiotique postgrmatienne les CIN doigts de la sémiose et deuxième partie un peu plus longue qui est un peu ma proposition intitulée le sens entre le génératif et le sensible euh tel que je l’ai présenté pour ce que ça intéresse de manière développée dans le dossier des actes sémiotiques publiés en janvier 2024 je suis dirigé par Jacques Fontani et par Franch intitulé les formes des théob d’s on pourrait peut-être av voir avec avec Valdir qui a également apporté une contribution importante à ce dossier avant une discussion sur des form de je j’que ce dossier des actes sémiotiques en franç en français bien sûr euh parce qu’il me semble je sa pas si vous dire d’accord mais il me semble le dresser une sorte de bilan de la sémiotique de bilan provisoire partiel comme un temps d’arrêt sur la sémiotique euh 25 ans après la mort de gréas un quart de siècle de sémiotique comment comment s’est-elle orientée comment a-t-elle évolué comment a-t-elle dérivé pour le terme maritime et donc j’insisterai davantage làdessus la première partie la sémiotique postgmatien j’ai repris là en le en le modifiant si vous voulez un sujet que j’avais eu l’occasion de traiter comme je disais lors d’une conférence à la braline qui a été publiée je sais pas si cétait diffusé une conférence à la braline qui été les premières conférences à distance la braline avait été très réactif à l’époque du covid j’avis été frappé par la rapidité avec laquelle la braline avait mis en place des conférences par visio tout un grand cycle cette année-là dans 2020 pratiquement en plein en plein en plein covid en plein pendant qu’on était pas réfugié on était confiné on était confiné confinement c’est ça voilà et donc je rappelle au fond très rapidement pour moi pardon mon mon mon hypothèse directrice concernant cette période des 25 dernières années de l’évolution de la sémiotique je dis bien en France nous avons la chance d’être une discipline très internationale mais néanmoins les je crois que du fait du fait des contraintes linguistiques et de la relative faiblesse des traductions nous avons une une lecture un peu un peu nationale de nos sémiotiques je sais pas si c’est pareil nonés beaucoup plus ouvert en France on a une lecture un peu nationale donc je me suis centré sur l’évolution de la sémiotique postgmatienne en France dans les séminaires dans les publications euh développé en France et et ce qui m’a beaucoup euh paraître le fil rouge de cette évolution c’est ce qu’on appelle le tournant phénoménologique de la sémiotique ce virage c’est-à-dire ce cette non pas l’abandon des fondements structuralistes de la sémiotique mais le ce virage phénoménologique c’est c’est-àdire la manière dont l’univers de la perception la sémiotique du monde naturel c’est accentuer développer l’univers de la perception le statut du sujet percevant les univers et les concept phénoménologie qui ont pu être introduit et qui ont été à l’occasion d’un d’un développement assez explicite de la sémiotique pendant cette période donc je je renvoie pour cela pour avoir un regard sur ce statut des relations entre phénoménologie sémiotique à un dossier dirigé Paris en 2011 sur sémiotique et phoménologie avec notamment un article de jean-fon qui qui comme vous savez est de notre petite équipe le philosophe donc il est le mieux le plus légitime disons pour rendre compte avec Herman Paret pourra dire de du versant philosophique de la phénoménologie qui nous y introduit pour ma part je dirais que les développements pardon les développements de la sémiotique en France pendant cette période 1990 1992 si on pourit dire 2024 je caractérise à mes yeux par le maintien des grands principes fondateurs car même s’il y a eu des des divergences à mon avis hein là encore je ce que ce que je vais vous dire je ne prétends pas que ce soit de l’objectivité c’est une lecture et n’hésitez pas à intervenir si vous considérez que je me trompe je suis trop superficiel mais je dirais quand même que pour moi qu’il s’agisse de de la sémotype des instances énonçantes de Jean coquet qui proteste contre le principe d’immanence en revendiquant le principe de réalité ou qu’il s’agisse de de la de la de la sémiotique des pratiques développé parc pontani qu’ s’agisse même de la sémiotique très phénoménologique développée par er lowski il me semble que les principes fondateurs sont bien là et dire que solidement implanté dans nos esprits et dans nos formes analytiques mais même le débat par exemple SIG signe du maintien de principondateur je au grand débat qui a eu lieu récemment sur le principe d’immanence dans la revue de publ Mexique topicosinario où Alexandro Zina euh avec euh euh comment dirais-je avec Lisa Ruis Moreno vous connaissez ont organisé trois volumes de la revue sur le principe d’im je dire j’ai pas tout lu je sais pas si vous avez tout lu mais mais je crois que c’est quand même ça montre cette espèce de d’actualité de cette problématique le principe d’immanence euh au sens structural je le rappelle hein c’est c’est que la signification ne doit être saisie qu’à partir des relations internes entre les termes et sans la sollicitation d’élément extérieurs à cette extérieur au au discours la immanentia question un autre trait qui me paraît assez intéressant dans ce dans ce domainel et que euh est celui d’une ignorance relative des modénlisations les unes par rapport aux autres vous vous souvenez que pour ceux parmi nous qui ont connu gremas qui n’arrêtait pas de réclamer des des sémioticiens de son entourage davantage de connaissance les uns des autres il disait lisez-vous vous ne vous lisez pas de fait on peut dire que euh les séoticiens se lissent peu entre eux relativement peu et et je dirais en tout cas ces gens-là cette relative ignorance de des des des productions des uns des autres a un gros avantage c’est l’originalité que chacun développe c’est un petit peu la thèse vous vous souvenez de l’evistros sur sur les cultures euh euh l’originalité à un coûp qui est celui de l’ignorance relative des les uns des autres on se méconnaît mais c’est un peu le cas je trouve c’est un peu le cas ici en en sémiioype en S alors disposer donc selon un ordre non pas chronologique mais conceptuel la relation entre structuralisme et phénoménologisme euh se c’est s’est présenté pour mois là encore je le redis de manière très limitée à la France à la sémiotique France en France euh et donc dans dans en en ignorant relativement tout ce qui se fait d’original et de créatif dans les autres régions de CR de production céiotique en tout cas me paraissent représentatif de cette dynamique et et je les donne dans un ordre ici avec le nom de le principal représentant qui n’est pas chronologique qui est je dirais un petit peu arbitraire sémiotique des pratiques Jacques Fontani sémiotique tensive que vous connaissez mieux que moi illustré par les travaux deilberberg la séotique des instances énonçantes illustré par les travaux de Jean-Claude coquet entre autes la sémiotique des interactions er lowski et la soci sotique des interactions je dirais et la sémiotique de l’esthésie illustrée par les travaux de Jean-François Bordron là encore j’ai mis un nom parce que c’est un peu je dirais que c’est à chaque fois le le principal représentant la princip de ce qui de ce qui s’est développé en courant autour de la sébiotique tensive il y a surtout au Brésil je dirais probablement des vrais courants de travail d’investigation beaucoup jusqu’en France euh autour autour de de la sémiotique de jean-pae coquet des instances inoncente et je dis bien moi je l’ai envisagé indépendamment des conflits et polémiques qui ont eu lieu dans l’histoire de de S mais en tant que paradigme théorique le le autour de Jean coquet il y a de nombreux je dirais de nombreux et éminents chercheurs je crois livant Barau par exemple est un grand grand promoteur de la cétique je coquet Michel Constantini à Paris 8 moi-même d’ailleurs je pour une bonne part je je j’ai fini par adhérer partiellement à cette stéoype m’expliquer comment pour éc évidemment vous connaissez bien erowski aussi bien que moi vous connaissez aussi l’influence de son travail en soci séiotique et et et son rayonnement quand à quelqu’un qui est beaucoup moins connu je crois au Brésil qui est Jean-François Bordron parce qu’il est plus discret il est il est moins orateur donc on le comprend mal lorsqu’il s’exprime oralement euh il il ne cherche pas à à construire une école ou un courant mais il développe une réflexion extrêmement originale dont on va dire un mot alors il se trouve que c’est c’est d’ semblé très cavalièrement possible d’inscrire ces contributions entre les deux polarités théori que serait d’un côté le principe d’immanence et le structuralisme de référence sur l’axe des ordonnés et de l’autre celle qui serait davantage déterminé par la polarité phénoménologique c’est-à-dire perceptive sensible Onil profond d’un côté la sémiotique du discontinue et la sémiotique du continue il se trouve que sous réserve d’une analyse qui dev être très fine qui mériterait un ouvrage au fond d’analyse minutieuse on peut me semble-t-il répartir les C tendances que je vous ai résumé indiqué qui sont le plus proche dans la plus fidèle continuité disons avec le structuralisme sémiotique d’origine et cell qui sont le plus proches de de d’une phénoménologie sémo sémiologique qui ne se préoccupe peut-être moins de des des des concepts d’origine du de la sémantique structurale et et de la sémiotique narrative par exemple et ça donnerait cette distribution avec AC les la siotique des pratiques de Fontan qui qui qui a cherché au fond à étendre le champ d’intervention de la sémiotique comm on va le voir tout de suite hors du texte mais en reproduisant dans une sorte de grande poupée gigogne si vous voulez à chaque à chaque niveau les mêmes principes d’immanence et de structuration la sémiotique tensive de Claude zilberber dans encore je je ne ne considère pas comme au niveau de compétence de certaines et certains d’entre vous sur ce sur cela bien qu’ayant beaucoup fréquenté Claude et ayant beaucoup discuté avec lui et l’ayant pas mal lu mais je dirais que la préoccupation de Claude mati me semble-t-il c’est de toujours avancer ses propositions nouvelles sur la base des propositions anciennes c’est-à-dire que la tensivité démarre du structuralisme quand il dit sous les sèmes il y a quoi ça veut dire qu’il postule la la fécondité de l’analyse sémique il met pas en question le principe différentiel au fond euh Jean-Claude coquet en revanche je l’ai mis au milieu là parce que c’est lui qui qui semble le plus rompre avec le paradigme structural génératif structuraliste narratif euh au profit d’une sémiotique du sujet reliant énonciation et perception etsk encore la sociétique des interactions para encore plus proche d’une proposition phénoménologique rappelez-vous dans le livre desk qui s’inule passion sans nom il développe une grande critique du concept de jonction conjonction et disjonction euh en une critique fondée sur la justement sur la euh la radicalité de la discrétisation entre entre les termes et il propose le concept d’union pour remplacer celui de disjonction conjonction et donc c’est beaucoup plus une interaction en continu qu’il propose à travers d’ailleurs ce fameux concept de contagion et enfin Jean-François Bordron le travail de Jean-François Bordron qui me paraître le plus lui le plus en prolongement direct d’une phénoménologie d’une phénoménologie stisé et rapportéement à la alors ça ce que je me suis proposé de faire ces jour-ci c’est de réduire ces propositions à une fiche d’identité extrêmement sommaire de chacune de ces propositions et de voir en quoi ça pouvait m’intéresser par rapport à la problématique de l’océan en quoi il pouit y avoir une sorte d’apport j’ai pris un ouvrage centré sur la sémiotique de l’océan l’océan habité il s’agit de ce livre de Peter Godfrey Smith Peter Godfrey Smith intitulé Le Prince des profondeurs l’intelligence exceptionnelle des poulpes paru en 2016 traduit en français en 2018 ce livre me semble très intéressant je ton avis sur ce livre là parce que c’est il toute la première partie est un est une grande d’exploration génétique généalogique du vivant du vivant à partir de sa de ça de sa naissance océanique et et et la question qu’il se pose puisqu’il parle de l’intelligence exceptionnelle des P c’est qu’est-ce que c’est que l’intelligence déicile mais surtout comment apparaît-elle comment peut-on considérer qu’apparaît l’intelligence et c’est c’est c’est vent ça m’a paru ça me paraît vraiment tout à fait intéressant dans le travail de je je pense que c’est de la vulgarisation bien sûr néanmoins d’une qualité me semble-t de la qualité du raisonnement tout à fait intéressante Etel pays l’original quel pays il est australien australien cétait publi cétait publié en anglais euh il est professeur d’histoire et de philosophie et sciences à l’Université de Sydney et et Jez alors je je résume je me suis permis de résumer comme ça les chose la sémiotique des pratiques analyse le sens au-delà du texte énoncé contre le slogan grématien hors du texte au-delà du slogan grmatien au-delà du texte pas de salut elle va du texte du signe au texte plus exactement du texte à l’objet de l’objet à la situation de la situation aux stratégies et des stratégies aux formes de vie l’ensemble est présenté comme un parcours génératif du plan de l’expression chaque niveau disposant de son propre plan ance conissez pratiqu est-ce que elle est elle est développée ici aués oui beaucoup alors lorsque il y a une page dans ce livre là euh la page 33 où le chercheur qui va partir à la recherche d’autres formes d’intelligence dans la nature se lance dans une entreprise qu’il oppose qui distingue de celle du philosophe et on peut dire que il parcour dans cette page un un un cheminement qui ressemble d’une façon tout à fait frappante à la sémiotique des pratiques le philosophe ditil la philosophie fait partie des vocation les moins physiques qui soit c’est cela peut-être une vie purement mental on en reste aussi au texte aucun équipement à gérer ni mission sur le terrain rien mal à cela il en va de même pour les mathématiques ou la poésie donc on reste avec la philosophie les mathématiques ou la poésie on reste dans dans l’immanence du texte mais pour cherchez à comprendre l’intelligence des céalopode il faut se mettre à l’eau il faut entrer dans l’océan il faut entrer dans la mer il écrit l’aspect physique de ce projet dans lequel je suis a représenté une dimension importante j’ai rencontré les céphalopode par hasard en passant du temps dans l’eau j’ai commencé à les observer à réfléchir à leur vie ce livre a été fortement influencé par leur leur présence physique et leur imprévisibilité les 1000 aspects pratiques stratégies les 1000 aspects pratiques de l’exploration sous-marine exigence de l’équipement air comprimé pression de l’eau allègement de la gravité et cetera ont également joué un rôle les efforts qu’un humain doit accomplir pour s’adapter stratégie pour s’adapter à ces conditions sont le témoin des différences entre la vie terrestre et la vie marine et il conclut par par une formule qui à mon avis correspond exactement à la définition possible d’une proposition de forme de vie l’eau et le berceau de l’intelligence don c’est c’est assez intéressant de voir comment il y a on se dit mais il sera intéressant de de de de d’étudier ce type de parcours et se dire mais ti quelle est la part justement de la dimension pratique des relations physiques avec l’environnement dans dans l’espace et la situation et est sa part à la construction du sens et et et cette question de de la forme de vie par exemple on en reparlera quand on parlera du pouulpe est très présente dans le petit fil film que certains d’entre vous connaissent le film documentaire d’un d’un d’un d’un éologue allemand un peu dépressif qui est allé trouver son réconfort en fréquentant les poulpes au sud de de cap de mon espérance dans my kitchen Octopus vous connaissez et et où justement il montre c’est un un des aspects c’est comment comment fon à se la question de la forme de vis et et et je crois elle peut être très très intéressante s sémiotique du terme à prendre en compte pour étudier euh la la construction des interactions entre le poupe et le nageur on ver on verra ça bon alors la séotique tensible me pardonner pour c très ce résumé extrêmement cavalier la sémiotique tensive conceptualise le graduel et le continue sur une base sensible sous les sèm il y a quoi une opposition simple comme fermé et versus ouvert s’étire ver vers ses extrêmes hermétique béant et transforme alors l’ordre implicatif du raisonnement si alors en un ordre concessif bien que pourtant une logique narrative du survenir centrée sur l’inattendu et générant l’événement s’impose alors à celle s’oppose alors à celle du parvenir prévisible et programmé on peut en déduire une typologie politique ça vous paraî ah oui [Musique] d’accord ma lecture je le rappelle c’est magnifique th absolument magnifique aussi euh parce que le sensible est au foyer le le sensible et le mouvant euh et et le forème c’est la Forie le moment forique et et et et le et le le FET fondateur et et ces implications théoriques euh aboutissent pour moi à cette théorie de l’événement ce qui survient de manière inattendue et et et et cette idée de structure concessive la structure concessive avoir mis le concessif au même niveau que l’implicatif me paraît une découverte euh parce qu’on se rend compte que euh que tout un pan négligé d’une certainne manière par la sémotique narrative comme par exemple les phénomènes de suspense euh devient totalement éclairé on a un éclairage nouveau sur des zones que la sémiotique narrative les discursiv traditionnel éclair mal ou ou marginalement donc il y a il y a quelque chose de très fort mais une question pe répondre moi il me semble que ce qu’il attribue au concessif dans sa théorie je la question une fois c’est je dirais un certain conessif parce qu’il me semble que dans l’esprit de la stique tensive on pourrait distinguer le concessif tonique et le concessif atome le concessif tonique c’est bien que ce soit pas concevable je le fais bien que ce soit bien que cette PL soit béante je Lafer bien que cette cause soitf able je la défends c’est c’est la force de l’innovation c’est la force du survenir c’est la même la violence presque du survenir d’un jour mais il y a un autre concessif qui est le concessif très modéré le concessif de la de la de la concession dans une discussion dans une négociation on concède quelque chose on cède on sa d’une part et et et c’est c’est pour le concessif Aton c’est celui qui s’exprime par exemple dans des expressions figées en français comme le quand même quand même on pourrait penser à moi par exemple je sais pas ce que vous en pensez est-ce que est-ce qu’il y a un travail fait làdessus au Brésil sur sur ces deux variations la variété au fond pour moi pour moi c’est deux deux deux manifestations du conessif si vous voulez qui sont extrême l’opposé l’une de l’autreticg des concession les degrés des concession lui il en a parl est-ce queud fait non c’est toi làdessus demandel et tu as travéessus et comment tu expliques le passage je dirais d’un conif conducteur de nouveauté au concessif un peu plaintif qui qui cherche à à à préserver son petit territoire le slogan publicitaire de L’Oréal vous connaissez L’Oréal le grand multinational de la cosmétique française pendant des années s vendu en France avec un slogan publicitaire que je trouvais presque dépressif qui était parce que je le Ve bien parce que je le Ve bien alors je sais pas comment ça peut parce que je le VO bien c’est même si on m’accorde pas beaucoup de valeur j’en ai quand même un petit peu ça c’est pas le même c’est pas le même consessif quand même c’est c’est un autre monde hein et dans dans les négociations où chaque parti doit concéder doit céder du terrain à l’autre on a un concessif qui n’est pas le le concessif Gilbert Bergin du de l’éclat des valeurs d’éclat donc cette question paraît c’est une question que je pose au spécialiste C alors et là j’ai trouvé un passage qui qui qui me paraît dans dans dans dans ce livre là illustrer la la pertinence d’une réflexion tensive c’est c’est une référence qui est donnée euh à vous une référence à William James dans qui est en exer de ce livre et qui est fondé sur l’idée sur le principe du continu contre le discontinu dans dans dans dans dans l’évolution dans dans dans dans dans dans l’histoire de l’évolution et le principe d’une gradualité d’une gradualité insensible et que le passage d’un état à un autre n’est pas celui d’une transformation brutal discrétisé conjonction disjonction par exemple mais celui des glissements infinitésimau qui donc à un moment donné ça va basculer d’ tout par exemp le l’importance dans ens du concept d’intensité et de degré d’intensité qui à un moment donné crée une bifurcation et et et là o William la citation autour de de de William black dans ce livre c’est ceci William James pardon demande une théorie fondée sur des continuités des transitions l’histoire qu’il faut raconter est celle d’un développement graduel ainsi la citation qui est donné en exerg et je vous la donne exact de William James dans les principes de psychologie 1890 la nécessité d’une continuité à dans de nombreux domaines scientifique prouver qu’elle possédait un réel pouvoir prophétique nous devons donc nous efforcer par tous les moyens possible d’envisager l’AUE de la conscience de de telle façon qu’elle n’apparaisse pas comme l’érruption dans l’univers d’une nature nouvelle inexistante jusqualors et toute l’histoire biologique de de de la conscience à partir de à partir de la réaction de des organismes monocellulaires unicellulaires pu pluricellulaire puis et cetera qui est raconté dans cette histoire repose sur cette idée sur cette obsession du Contin continu et et je crois que c’est tout à fait intéressant aboutissant au fond à une tension entre l’existence de sensation perçu par un agent d’un côté et le monde de la biologie de la chimie de la physique de l’autre est-ce qu’on peut dire qu’il y a un rapport concessif entre les deux est-ce qu’il y aurait une relation euh une relation de ce type là he entre entre ces deux entre ces deux dimensions celui celle de la euh de la sensation t qu’elle est perçue par un agent et la réalité des phénomène chimic physic et chimicg ensuite la siotique des instances énonantes voici comment je propose de la résumer la sémiotique des instances prend en compte l’acte d’noncé d’un côté et l’énoncer et de l’autre le corps percevant et le sujet connaissant la fusiss de l’inversion dans le sensible exprimant la prise sur le monde et le logos de la distantiation assurant la reprise par le dis discours se distingte alors le sujet qui assume l’instance réflexive qui se dit je et d’un côté et de l’autre le non sujet qui révèle son lien sensible avec le monde par des prédicats somatiques donc on a d’un côté le sujet c’est prédicats cognitif et de l’autre le non sujet c’est prédicat somatique les deux instances existant et collaborant ou se disjoignant se rejoignant dans la réalité des des formes d’expression compris des discours de merlot Ponti à bainvéniste la sémiotique des instance place le langage sous condition d’intersubjectivité bon peut-être qu’on aura l’occasion de rediscuter de ça si ça vous intéresse mais c’est comme ça je j’ai beaucoup euh comment comment dirais-je relu et et et fréquenté Jean-Claude coquet dans la dernière période de sa vie il est décédé euh au mois de décembre 2023 et euh non 2022 il y a il a un an euh et il a il a euh me semble-t-il enfin il a beaucoup avancé dans cette dans dans cette dans cette théorie très épurée au fond he decienne qui est celle du de la de l’implantation corporelle indispensable à l’élaboration d’une théorie du langage ne pas faire abstraction de l’instance d’énonciation avec ces instances somatique perceptive et somatique à l’intérieur dans une thorie du langage tout son travail à mon avis c’est comme je le comprends et et je crois qu’il a trouvé une articulation euh qui me paraît très très intéressante et très légitime mais là où je ne suis plus c’est que il me semble que les les instances sont quand même sont beaucoup plus riches et et et plus confuses que celles qu’il qu’il isole qu’ dans une détermination euh un peu à mon sens un peu ét et alors dans dans dans GODF Smith toujours dans le prince des profondeurs il y a ceci qui est intéressant il s’interroge sur l’apparition de l’expérience subjective et il écrit P 129 l’expérience subjectif est le phénomène fondamental qui requiert une explication dès lors que l’expérience subjective ne se trouverait pas assimilée à la seule conscience d’ailleurs si on a un séoticien qui travaille sur la conscience si ça vous intéresse c’est jeanfançois Bordron il a écrit plusieurs textes siotique de la conscience alors là ce que ce que GODF sm distingue dans l’expérience dans l’apparition de l’expérience subctive c’est ce qu’il appelle la sentiance avant la conscience la sentience c’estàdire l’expérience du sensible qui elle même génère différentes instances en effet euh à l’intérieur de des processus de sentiance on peut trouver un concept qui serait proche de celui de critic somatique par exemple des parcours d’instance qui vont de la perception à l’action vous savez c’est c’est tout la la fameuse analyse sémiotique de la que euh dans dans la théorie de lvelt deologue allemandologueologue allemand c’est pas mais l’idée l’idée actant actant perceptif corrélé à actant actif mais ce que ce que montre aussi inversement de l’action à la perception l’action déterminant la perception tion c’est l’effet d’aller et retour qui qui qui font une espèce de démultiplication d’ S pour donner un exemple très simple c’est comment comment expliquer le fait que le verre de terre si on le touche il se rétracte mais lui-même il va toucher la terre et donc pour progresser et il va pas se rétracter donc le toucher du corps vers de terre sépare en quelque sorte le toucher qui implique une rétroaction et le toucher qui implique une action donc c’est sous ces idées là donc on pourrait parler ensuite la sémiotique des interactions voici le résumé que j’en propose la sociosémiotique des interactions se focalise sur les conditions du partage du sens à travers les régimes d’interaction des régimes d’interaction entre sujets comme des régimes d’interaction entre sujet et objet conduisant à développer une sémiotique des significations sensibles non discrétisé les ce qu’il appelle les passions sans nom elle se diffuse par contagion rire peur rumeur contagieuse et à des stratégies d’ajustement au concept de jonction est alors substitué celui d’unionéque sommaire connais mais il me semble que à propos du Castet de l’intelligence des poupes euh le l’observation porte évidemment sur les interactions sur les interactions entre le Pol qu et ces objets les objets auxquels il se trouvent confrontés le rocher la parois d’un aquarium aussi bien que et et les et il sont les objections d’environnement et aussi bien les les autres êtres vivants que ce soit ses propres prédateurs ou que ce soit les humains qui qui viennent l’observer et et ce qui est intéressant je crois hein vous savez ce qui ce qui a ce qui a épaté très connu qui est P c’est que le poulpe est capable d’ouvrir d’ouvrir un pot de dévisser le couvercle d’un pot pour aller manger attraper la nourriture à l’intérieur il est capable de faire des opérations qui présupposent disons des rais comme des raisonnements à distance où on n’est pas dans l’action réaction où il y a au fond comme disait gras différents la mise en place de plusieurs programmes d’usage pour atteindre la réalisation du programme de base et mais mais ce qui est frappant dans my teacher Octopus qu’on peut voir ce sont les les interactions progressives jusqu’à la manifestation d’un lien de reconnaissance comme un phénomène de contagion par ajustement réciproque lorsque le poulpe s’approche du nageur le nageur s’approche du poupe et ils arrivent finalement à par ajustement récipro à ce c’est tout à fait intéressant parce qu’on a on a vraiment ce ce phénomène des stratégies d’ajustement des stratégies d’ajustement je vous rappelle le concept central de la sociosémtique dansè l’ajustement et et et la la conclusion qu’on tire du comportement du poupe en en déduisant une intelligence c’est justement ment celle qui repose sur la capacité à s’adapter à des circonstances nouvelles et inhabituelles donc à être capable de s’ajuster de transformer son comportement habituel pour recréer un nouveau comportement on est bien dans uneavie dans quelque chose qui s’adresse sur lequel la sémiotique des interactions peut avoir quelque chose à dire et enfin la sémiotique de l’iconicité celle qui est développée notamment par Jean-François boron que je résume ainsi cette sémiotique est ancrée dans la sémiose perceptive trois moments en marque la Genèse le moment indiciel quelque chose me fait signe mais cette chose est encore non identifiable non assignable non nommable non défin deè moment le moment iconique lorsque cette chose acquiert une forme par analogie une forme potentielle par mémorisation d’autre choses compara à cette chose perçu et enfin le moment trè moment le moment symbolique lorsque cette chose est identifiée c’est-à-dire lorsque l’objet perçu est reconnu parce qu’il est inscrit dans un système de règles qui en prescrive d’une manière ou d’une autre l’usage qui en indique la fonction qui l’installe dans une hiérarchie qui en esquise des narrations qui suscite des affects cette sémiotique cherche dans les images l’image au sensl je par que le concept d’iconicité du Jean-François Bordron est très différent de l’iconicité au sens grématien l’iconicité c’est c’est c’est le moment c’est le moment de construction de l’image l’image mentale un son PE est un icône un son est un icône comme une image visuelle comme une image olfactive il faire très beau texte sur la l’udologie et la dégustation il pas des des icônes gustatifes qui se déploie à l’intérieur de à l’intérieur de la bouche au moment de la dégustation du vin parce fils alors je trouve ça ce travail très très très intéressant aussi très riche et je me suis aperçu queon pouvait aussi toujours par rapport je prisiqu ça comme exemple par rapport à ce travail de CLF SM quand il écrit l’Histoire des Animaux une histoire des des animaux comprise comme une histoire de la jeunèse perceptive c’est ce qui raconte une histoire de la jeunèse perceptive o on a un stade indiciel avec les organismes unicellulaires capabl de détection et de réaction juste distingant attraction et impulion un stade iconique lorsquapparaît le couple perception action pas seulement et pas seulement attraction répulsion avec une analyse sensorimotrice des des systèm des systèmes nerveux et et l’analyse de la coordination interne comment des microactions se compose pour arriver à une macro action et enfin entre guillemets le stat symbolique ce qui est excessif évidemment ici de le dire mais c’est la question de le socialité le socialité voez ce concept c’est c’est ce qui c’est ce qui est utilisé comme concept pour déterminer le fonctionnement des existences collective on a organisé l’an dernier un colloque à Paris 8 avec quelques l’ de mes collègues sur les existences collectives en en en en invitant des éthologues et des sémoticiens pour réfléchir sur le fait que les existences collectives étaient en partage entre certains animaux disociaux et les humains les les communautés de termites les fourmis les abeilles et cetera fabrique des des des des des compositions d’existence collective comme les grandes villes humaines et avec une propriété commune c’est que aucun individu à lui seul à l’intérieur de ce collectif n’a l’intelligence de la totalité de ce qui se passe et qui est donc une intelligence organisationnelle qui est le produit du collectif lu-même et pas et pas le résultat d’une intelligence conceptrice antérieure il y a pas d’architecte qui décide de construction d’une termtière mais c’est et donc on a essayé de réfléchir sur cette c’est ce qu’on appelle le socialité le socialité c’est la composition sociale qui abouté à une intelligence dite collective à laquelle ne peut accéder aucune intelligence individuelle aussi brillante soitelle donc donc c’est ce serait peut-être un peu le ST voilà le le le le parcours qui forme ce que j’ai appelé les cinq doigts de la seose euh je met ça ma discussion parce moi ça me semble ça me semble assez parlant faut discuter de poser une question est-ce que vous changez les séotiques des bon pour iconicité un li de des snotiques euh des des anesthés c’est ça pardon vous vous avez changé la la la siotiqueé de [Musique] la pour quelle est l’évation pour pourquoi vous avez changé ça comment j’ai changé j’ai mis stique decodicité et au début tlésie ésie ça ah oui ah oui je pas l’iconicité c’est c’est c’est le c’est le moment central dans la dans la dans la théorie Borbon l’esthésie c’est c’est c’est le c’est le parcours général c’est le parcours général ce qu’il appelle la séiose perceptive c’est c’est l’esthésie c’est au S au sens étymologique he c’est la sensation c’est le parcours de de la sensation à la perception et le moment central pour lui ce qu’ appelle l’onicité c’estàd le moment où les choses prennent forme la forme elle peut rester au stade indiciel résorber au stade indiciel c’est juste impression furtive par exemple un bruit que je ne peux pas rapporter à un objet où elle peut aller jusquau symbolique où ce bruit va entrer dans un système de de reconnaissance réglé par exemple moteur de voiture ou INSTRUMENT MUSIQUE ou qui va faire que ce bruit entendu va va devenir lui-même structuré en signification par ce moment qu’il appelle le moment symbolique et donc l’iconicité le moment pivot mais le parcours entier c’est le parcours ésique voyz le parcours entier c’est pour ça que je dis que c’est une sémiotique de l’esthésie c’estàd c’est une sémiotique de de la oui de de de la de de l’avèement de la signification dans la perception dans l’esthéie c’est c’est clair hein mais vous AZ a j’ai trois commentaires questions bon la première chose c’est que euh je pense que euh lovskirique n’a pas remplacé jonction par union parce qu’ il il propose quatre régimes d’interaction alors l’Union marque un régime d’interaction et d’autrees sont marqué par la jonction je pense qu’ remplace pas dans sa théorie C deux choses bon ça c’était la première chose la deuxème et et je pense que euh l’indobiski devait être ensemble avec Fontani comme les plus proches des orig alors là je suis pas oui vas-y bon mais enfin on peut discuter ça après et une autre chose je pense par exemple la proposition de Gran n’est pas liée à la proposition préasienne elle est plutôt liée à la proposition persienne de sémiotique et un dialogue avec gras mais qu’elle n’a pas le même rapport que les autres avec avec la sémiotie crémasienne si on dit comme ça parce que je pense et ça va aussi pour d’autres qui ont sont là que tu as tu as carctériser la sémiotique grémasienne en disant qu’il y avait la notion d’immanence et de structure fait d’accord avec ça et je pense que si on n plus ça ce pas la sémiotique réasienne que ces deux principes la caractérisent et quand on passe à d’autres choses ça peut être une sémiotique magnifique c’est pas c’est pas la question mais ce ne plus la sémiotipeienne parce que sinon les choses n’ont aucun trit que définissent les théories et la théorie est déf par immanence sur structure et c’est pour ça que je pense qu’il faut tenir d’une certaine façon à garder ça que landovski d’une certaine façon a garder ça euh je suis pas tellement sû parberber du côté des Berber renard crois qu’il a gardé ça alors on a discuté ça bon euh je pense pas que poqué a voulu au moin garder ça et mon n’a jamais pensé que c’était ça qui définissait une sémotique alors tu vois pour moi ce son il a quand même un chemin un petit peu différent dans ces CASL pas qu’est-ce que tu en penses écoute je Seris pas d’accord je ne serais pas d’accord je crois je crois que je crois qu’il y a pour prendre moi je crois que en fait les cinq courants rontent t expression pour moi ont gardé ça à des degrés divers mais il me semble il me semble que prenons si on prend coquet par ex c’est assz curieux c’est même paradoxal euh chezqu qui a euh comment dire poser son opposition sa sa distinction par rapport à la sémiotique deamaienne en en en catégorisant sémiotique objectale sémiotique subjectjectale principe d’immanence principe de réalité ces catégorisation déjà sont repose sur le principe d’immanence en arrière-plan parce que il pense en structuraliste quand il dit ça il pens au structuraliste il se se définit par la différence il il construit son son son espace par par par cette différence et a beaucoup de degré lorsqu’on lit les propositions les articles de coqu on s’aperçoit qu’il y a quand même un substrat linguistique très bon linguiste c’est même le plus linguiste des des séioticiens que Mo je connais avec lui alors tu es proche de lui non j’ai suivi des cou il il est il a il a une une conception qui qui à mon avis reste adossé si tu veux et pour pour pour pour l’information moi les les dernières les derniers période de sa vie je crois il dit que objectal subjectal c’était non pertinent euh et et et et je pense que le principe de réalité moi j’ai compris le principe de réalité c’est comme une comme une cohabitation avec le principe d’immanance c’està-dire que qu quand il dit par exemple que la narrativité il a il a un très bon article sur la narrativité où il dit la narrativité ça appartient au logos ça n’appartient pas au domaine de la fusis le domaine de la fusis c’est celui de la c’est celui du rapport qu’il appelle la prise du rapport par par la perception avec laquelle on se conjoint au monde comment la f prier départ de l’intersubjectivité par une relation corporelle et qui s’exprime qui s’exprime et qui s’imprime dans les expressions dans prédicat app somatique mais le Logos c’est ce qu’ la reprise c’estàdire la reformulation et ici ça me paraît très juste au fond la siotique narrative qui restructure l’expérience vécue par des scharratif comme leéma narra luiême par exemple apparti jeison est tous d’accord au logos qui si on reprend la thèse de Paul RER S si fortement en nous cette schématisation narrative que ça refaçonne notre vécu lui-même c’est que nous c’est ça que ce que Paul r appelle la refiguration la refiguration de l’expérience par le signe c’est par le logos par les par les schématisation narrativ et cetera et donc donc pour moi pour moi en fait qu quand cqu développe ça l’univers du Logos il le soumet entièrement au principe immanence et le de la fusis c’est ce qu’il appelle l’introduction du principe de réalité donc pour moi ilopposition il y a pour moi il y a véritablement une une interpénétration je dirais entre les deux et je préè et lui qui a revendiqué une sémiotique duue contre la sémiotique discrétisante discontinue des oppositions et cetera structural ben justement euh son son sa propre proposition mérite d’être davantage saisi sur le mode du continu là où il met disonu donc tu vois je sais pas si tu es d’accord avec moi alors maintenant pour pour ce qui concerne borderron alors c’est très intéressant moi j’ai beaucoup je parle beaucoup avec borderron et il est très opposé à la pragmatique il déteste la pragmatique partielle pourquoi voilà exagère un peu mais pourquoi parce que c’est la possibilité d’une d’une réinterprétation continue que c’est c’est la situation elle-même qui en en se modifiant reconditionne l’interprétabilité des énoncés et et lui il est pour une pour pour vraiment beaucoup plus pour une conception immanentiste de la C signification euh à l’intérieur de ce process euh de ce process quand même alors il se trouve à mon avis que une des une des erreurs et une des ambiguïtés une des erreurs stratégiques disons euh de son système c’est l’ambiguïé homonymique c’est-à-dire il emploie les mêmes mots que pe indice ilc symbole mais pour signifier autre chose chez chez Bordron le symbole c’est pas du tout la même définition que que celle que N donne habuellement dans la dans la vulgateienne au mot symbole chez chez Bordron le symbole c’est une c’est une icône un parfois un icône c’est quelque chose un objet iconisé disons qui est saisi par des règles de lecture par des règles d’interprétation que ce soit des règles fonctionnelles par exemple qui vont faire que un un objet de cuisine va servir à à couper on va l’appeler couteau ou l’autre on va l’appeler fourchette que ce soit un objet conceptuel il est il devient le le symbole c’est le moment où un objet est encadré par des règles de fonctionnement et la narrativité se trouve là je pense qu’il serait d’accord avec avec cette idée tu vois les règles narratives qui encadre l’interprétation des parcours de vie par exemple elle est elle se trouverait à ce niveau de de la symbolicité donc pour moi pour moi c’est pour ça j’ai vraiment al peut-être que je suis séioticien écuménique que j’ai j’ai plutôt une tendance à repérer la manière dont les choses sont plus convergentes que divergentes parce que je crois que moi je trouve assez remarquable qu’il a eu des des voies aussi différentes d’exploration et de structuration de la signification dans la sémiotique postgrmatielle et ce que je crois c’est que à des degrés divers c’est en effet l’érruption du sensible dans l’éruption du sensible dans la saisie du sens et donc le cadrage phénoménologique euh de avec en particulier toute l’importance qu’ a revêtu le concept de suspension phénoménologique l’poquet euh dans dans dans ce processus qui qui justement euh permet de d’apercevoir des couches d’investissement de signification à différents niveaux euh avec la la fameuse réduction du serienne à un minimum à un minimum signifiant euh et puis ensuite les C les croyances les savoirs les figures les figures d’ civilisation et cetera et cetera qui viennent habiller euh ce minimum signifiant euh il me semble que on retrouve cela chez nos nos cinq à différents degrés donc ce serait plutôt une lecture hein c’est une lecture euh qui serait quand même un peu différente de la tienne en ce sens que je les verrai moins euh radicalement disjonéci un petit commentaire c’estàdire tu as pris la figure la figure du a son heureusement tu n’as pas pris la figure poup un poupve sera beaucoup plus compliqué ce serait mieux de prendre un poule peut-être parce que Octopus mais est-ce que ça vous paraît est-ce que ça vous paraît assz assz coïncider avec votre propre lecture de la sémoti pas c on peut discuter à la fin parce que c’est B c’est je vais je vais voir où ça va d’accord je vais je vais vous dire on fait une fause à quelle heure on fait une fause 10 minutes alors maintenant ma proposition hein que j’ai plus [Musique] alors bon moi je pars euh de quelque chose d’assez élémentaire qui est euh statut de la catégorie et de la catégorisation s c’està dans le divers et dans la forme je suis je suis pour cette base différentialiste au sens saurien le primat du négatif et et le et le statut du différentiel dans l’assignation d’une signification quoi que ce soit exactement le la base sur mais comme pour que le mot liberté existe il faut qu’il ait eu sa négation quelque part s’il avait pas eu de la négation de concept de liberté le concept n’existerait pas s’il avait pas eu l’épreuve de la privation de la liberté la liberté n’aurait pas besoin d’exister Paul r dit quelqu fois dans ses travaux sur la justice il dit c’est d’abord à l’injustice que nous sommes sensibles pour que le concept de justice pr de forme il faut qu’il y ait sa négation il faut qu’il ait la il faut qu’il y ait la la mise en route d’une d’un processus signifiant à partir de la négation c’est c’est le c’est dans dans le carisémiotique le primat de la relation de contradiction qui permet par le négatif de faire advenir le positif donc ça quelque chose auquel personnellement euh j’adère comme base de départ et et donc euh euh d’une certaine manière pour pour aborder un gros objet signifiant comme l’océan je dirais au départ c’est de l’approcher négativement hein c’est de l’approcher négativement euh d’abord d’ point vue sémantique mais même plus largement l’océan la sensation la perception l’esthésie et l’esthétique parce que c’est c’est un objet qui a été magnifié par l’esthétique d’une façon considérable peinture roman cinéma l’émotion l’océan émotion passion l’océan physique atmosphère hydrosphère et cetera océan écologieque changement climatique bref euh il y a disons le concept C même de océan je dirais il faudrait chercher tout le paquet des différentialités qui permettent de lui de lu d’identifier et de d’identifier à chaque fois probablement un cmême particulier des des orientations ci particulièr donc c’est c’est idée différente alors ma démarche elle repose sur cet article donc j’ai parl et le titre que j’avais donné c’est la générativité de la ctique générative est-elle soluble dans le sensible réflexion topologique et énonciative au cœur du parcours génératif donc ça c’est mon affaire alors alors la base la deuxième base à partir de la base différentielle mon deè ma deuxème base c’est la spatialité c’est le constat que dans notre domaine là encore c’est je vous rappelle l’idée c’est c’était euh les formes des théories les théories ont une forme spatialisé si on pense euh à ces à ces figures spatiales on peut dire que différentes théories elles deviennent des signatures épistémiques hein de de de telle ou telle théorie le carré l’Hexagone le cercle les strates l’ellipse les ailes de papillon la parabole la sphère la spirale le le grand rectangle du parcours génératif avec tous ces états et ces colonnes à l’intérieur c’est d’abord ce que l’on voit ce que l’on voit c’est un dessin une figure spatiale et je crois que le problème il est coextensif à cette manifestation à la manifestation d’un tableau d’un diagramme d’un schéma la question qu’on se pose c’est que la pertinence théorique est sans doute euh payé par une déformation de son objet par des occultations ve dire ce que ça dit ce que ça montre occulte ce que ça ne montre pas euh et on peut toujours se demander ce que ça ne montre pas euh et et aussi les contraintes imposées vous savez que le parcours génératif est tombé en panne dans la théorie sémiotique à cause du problème de la conversion comment rendre compte des conversions entre les niveaux quelles sont les règles quelles sont les règles de conversion est-ce qu’on en a ETA petitto a essayé dans un numéro assez célèbre de actes sémiotiques de développer une théorie de la conversion mais qui n’a connu on peut le dire aucun succès ça n pas pris alors voilà voilà d’ù je parle je dirais que de toute représentation spatiale une théorie une représentation spatiale qui la condense qui la résume qui en fait l’emblème ce soit en stique on en a au moins de ou TR parcours génératif on a le car sémiotique et avec la sémiotique tensive on a l’abscisse ordonné parabole beaucoup d’agancement de caré séioti dans les paraboles enin voyz et cet mais pour pour pour pour pour la générativité je je je me base là-dessus parce que personnellement je vous dirais étant un peu pédagogue de de profession j’ai beaucoup expliqué à des étudiants le parcours génératif surtout je l’ai beaucoup mis en œuvre et et comme beaucoup parmi vous certainement la puissance explicative de ce de ce modèle est quand même considérable si on veut expliquer un texte travailler sur un texte on passe les strat c’est c’estun clarification un modèle assez formidable mais ce parcours là il repose lui aussi sur une catégorie spatiale qui est celle de la profondeur et de la surface catégorie spatiale de la profondeur et de la surface alors ma première question c’est la profondeur est-elle un concept la profondeur est alors al alors c’est formidable quand on travaille sur l’océan parce que justement l’océan se caractérise par la profondeur c’est peut-être c’est peut-être la figure motrice de l’océan enfin je dirais que l’océan c’est surface et profondeur aucun autre objet sur Terre ce fa ne reçoit je cette structure sémique de la surface ligne d’ et la profondeur voyez on dit même elle est habissale on emploie un mot les Abys en français uniquement pour l’océan il y a pas d’abis autre que les profondeurs océaniques les Abys et les dorsales océaniques je pas où les les continents se sont séparés les uns des autres les grands fonds marins les faunes habysales et cetera et en même temps cette profondeur elle est liée à l’inconnaissance j’ai j’ai appelé j’ai fabriquer ce petit mot l’inconnaissance c’est pas pareil que l’ignorance c’est c’est plutôt l’inconnaissance c’est l’inconnaissable et si on prend je prends textes Jul Verne ici les grandes profondeurs de l’océan nous sont totalement inconnu la la sonde n’a pas su les atteindre que se passe-t-il dans ces abîmes reculés quels êtres habitent et peuvent habiter à 12 ou 15 m000 au-dessous de la surface des eaux quel est l’organisme de ces animaux on saurait à peine le conjecturer et ça c’est tout à fait au début chapitre 2 de bon je je vais revenir là-dessus parce que voyez ce qui est intéressant ce qu’ dit avec le concept de profondeur c’est le concept euh d’inconnaissable quel est le fond de la profondeur la profondeur n’a pas de fond c’est ça le problème de la profondeur donc euh je trouve je trouve que c’est un sujet qui nous intéresse par rapport à la à la question de la construction d’une théorie et je dirais que la profondeur ça topos au sens rétorique du terme et c’est un topos particulièrement attractif parce que la profondeur justement du fait qu’elle n’a pas de fond elle est liée à l’inaccessibilité de de de la substance des choses mêmes le qui des choses est inaccessible je nomme une chose mais je ne tiens pas la chose reste à la surface c’est le paraître imparfait de vraie masse si vous voulez c’est le paraître imparfait du sens et dans dans lorsque gr et cour le dictionnaire parle des structures profonde et des structures de surface ils écrivent on remarquera que le terme de profondeur est entaché de connotation idéologique du fait de l’allusion à la psychologie des profondeurs et que son sens se rapproche souvent de celui d’authenticité c’est plus fond donc c’est plus vrai et en même temps c’est plus vrai et c’est de moins en moins accessible une sorte de là il y a eu quelque chose de corrélation tensive et assez intéressante entre le vrai et et et l’inatteignable je remarque en outre une aspectualisation bizarre de la profondeur parce que une aspectualisation asymétrique où se placeton nous en tant que observateur énonciateur même pour pour penser la profondeur pour nommer la profondeur par exemple si je parle de la profondeur d’un puit je me trouve en haut j’observe comme la profondeur de l’océan la profondeur de l’océan elle est envisagée évidment à partir du haut c’est une perspective descendante mais si je parle de la profondeur d’une idée je vais être en bas je me mets à son niveau et je l’ j’en épouse la profondeur en quelque sorte et et je me donc avec la profondeur il y a une grande difficulté de segmentation bon parce qu’on sait pas si si on est en haut si on est en bas on sait pas à quel niveau on se trouve et on sait pas comment on va lementer on a on est on est on est dans Ste de dans dans des formes mais néanmoins en sémantique structur il y a eu un petit modèle que moi j’ai trouvé toujours assez Finant qui a pas été à ma connaissance très exploité au séotique par la suite c’est le concept de densité séque je dirais que la denscité sémique est un instrument de mesure de la profondeur en terme de de profondeur considéré comme abstraction abstraction est relève des structures profondes la figurativité relève des structures de surface quelle différence y a-t-il entre abstraction et figurativité il y a une différence mesurable qui est celle de la densité sémique et et en terme purement Séti scturale la densité sémique c’est le taux de compatibilité des noyaux sémiques avec des class c’estd combien de classè admet tel ou tel noyau sémque je m’explique très concrètement un terme technique par exemple pas pour je veux parler par ex une pièce sur un bateau un ha ban unan c’est un câble qui relie la tête du à la coque du bateau qui permet que le bar tienne debout peu au ban voilà un mot qui ne s’enroit que dans un nombre de très réduit de contexte on ne peut parler de Haan sauf en fabriquer une métaphore on peut fabriquer une métaphore tout les M techni méap mais un terme technique est un terme qui admet très peu de Clème c’est-à-dire de scèmes contextuels les scèmes contextuels qui vont former les isotopies euh sont en nombre très réduit l’idéal du terme technique c’est de n’admettre qu’un seul classè de n’avoir qu’un seul scème contextuel et et et donc on est dans de l’hyper figuratif c’est pour ça que Zola par exemple pour créer un effet d’authenticité dans ses romans il employait des termes technique euh de la mine les archeurs les les termes de de euh parce que les termes techniques sont de très forte densité séique ils acceptent très peu de classè de scème contextuel alors que les termes abstraits contraire ils admettent une grande quantité un terme infini de scème contextuel ce qui permet de les employer je peux parler de la beauté de 100 une choses différentes et donc on pourrait dire que la densité sémique c’est comme un S de curseur euh on pourrait calculer les taux de compatibilité contextuelle de telle ou telle unité sémantique et on aurait une sorte de figuration du passage de la profondeur à la surface donc voilà quelques remarques sur la profondeur maintenant il se trouve et on Fa la juste après passe très vite sur Oui fa une toute petite remarque oui je vrais savoir ton avis euh sur ce point euh il y a longt temps ça je l’ai fait un article que j’ai publié dans que personne n’a jamais vu euh au sujet de la profondeur sement envisagé oui et euh donc là je développé l’idée c’est essentiellement de contraste entre deux types de profondeur une profondeur si tu veux verticale comme celle dont parle là et une autre façon d’envisager en profondeur qui correspondrait à l’idée d’une profondeur qu’on qu’on pourrait appeler sagittale si vous veux c’est-à-dire à partir d’un centre comme un centre déhiptique du euh égorique etomque par exemple et de la distribution des objets discursifs partir du centre de bienénonciation oui il est possible d’envisager donc une profondeur de plus ou moins grande distance par rapport à ce centre là et ça c’est une autre façon de penser àre qui qui peu sit la façon dont la théorie deénnonciation et de et des rapports énonciation énoncé on pensé la distribution parce que là là là on peut distribuer extension étendu dans dans des rapports inverses avec l’intensité plus loin du sujet rocher dire le couple d’accord le couple la catégorie qui définit profondeur n’est plus la catégorie profondeur surface mais c’est la catégorie proximité éloignement exactement c’est proximité donc c’est donc c’est une autre c’est une autre catégorie qui structure dans ce cas sera ce serait un P complémentaire plutôt horizontal d’accord vois il se trouve que dans dans les construction des modèles théoriques dans les sciences humaines c’est tout M même la relation profondeur surface qui a connu le plus de succès sans exclure hypothèse mais là par exemple l’exégèse et l’herméautique l’histoire de l’exégèique c’est l’histoire de la relation entre la profondeur et la surface je passe les qure niveaux de l’analyse de la Torah les quatre niveaux de l’analyse de l’Écriture sainte le niveau littéral allg thorique tropologique anagogique et vous retrouvé théologien contemporain ce tableau que je vais pas le le commenter en détail parce que c’est trop mais les qure sens de l’écriture le sens littéral de surface le sens allégorique d’interprétation première le sens tropologique morale c’estàd les valeurs morales et le sens anagogique c’estd eschatologique celui qui concerne les fins dernières et qui est le plus profond donc il y a il y a il y a cette cette structuration des différentes significations avec avec les catégories correspondant à correspondant à chacune je passe très vite là-dessus et et je viens ici la psychanalyse est trouvé là aussi il y a une théorie de de il y a une théorie de la surface et de la profondeur le sur moi le moi et le ça vous voyez là j’ai trouvé dans dans sur Wikipédia deux représentations assez amusante d’ailleurs parceque l’une est océanique et l’autre elle ressemble plutôt à un tableau électrique le le le le mois le surmois ça me paraît un peu bizarre comme représentation sans doute très discutable sous la forme d’un iceberg avec les différents niveau de profondeur de ces catégories et et l’autre le schématisme qui qui ressemble à un tableau électrique extrêmement compliqué où se distribuent les les couches de les couches psychiques de même la théorie la théorie du rêve la théorie frugienne du rêve entre le niveau manifeste et le contenu manifeste et le contenu latend c’est aussi évidemment une théorie de la profondeur et de la surface je rappelle Ivan bar m’aville communiqué une lettre que gremas il avait écrite à cette époque où il réfléchissait euh sur la création de la psychoséiotique et il avait avec Ivan daron une correspondance sur leur lecture de fre et gremas lui a expliqué dans cette lettre que il de de la de l’analyse des rêv de Freud qui mavait beaucoup intéressé il avait tiré le concept d’isot et et le concept de disotopie qui qui est un concept bien sûr très très fort là encore parce qu’ on l’oublie parfois un petit peu mais il est très très fort parce que par rapport à T concept sémantique des champs sémantiques et des choses comme ça il y a justement cette propriété d’avir des isotopies à différents niveaux à la fois à différents niveaux et avec différents relations à distance toute une gestion des relations à distance possible exactement comme dans les principes de condensation de condensation du rêve qui c’est là dessus que cette histoire de de de de de de de condensation et de et et de dilatation et évidemment il y a la théorie la générativité schskienne et la générativité grématienne mais là je ne commment pas parce que vous êtes Nant plus compétent que moi pour pouvoir faire toutes les différences entre ces deux conceptions de la surface et de la profondeur selon des parcours génératifs j’ai j’ai mis là quelques quelques oh pardon j’ai mis quelques quelques critères à mes yeux qui qui dis tous les deux mais je reconnais que c’est très som mais mon mon mon la question on reprendra ça après la pause la question à laquelle j’aboutis dessus c’est de dire que quel est le statut pourquoi il le statut de la spatialisation dans la théorie dans une théorie quel est le pourquoi la spatialisation c’est c’est une question très basique quelle est cette interrogation sur le statut des modèles spatialisés qui assure la crédibilité c’est une force modale extraordinaire les modèles spaaux dans les théories ce sont des ce sont des modalités en fait bien sûr ils imposent des valeurs de vérité des valeurs d’authen é des systèmes de croyance et ca et cetera et donc après la pause je proposerai de repartir sur sur unexte de nietche sur le statut du justement de la figurativité première fondatrice et ce que j’appelle moi le catacrisisme généralisé merci beaucoup je vous propose reprendre nos nos nos échanges alors donc j’étais j’étais arrivé à cette idée que cette question de spatialisation qui qui est responsable de la mise en forme des théorie avec ces tableaux ces C ces carrés c’est ces strates et cetera cette profondeur mystérieuse cette surface hypothétique euh toute cette euh configuration à travers laquelle les concepts pour nous prennent forme et et les théorie deviennent convaincant alors je voudrais faire un détour sur un texte de Nietzsche ancien qui était qui est extrait de du cours de rhétorique que Nietzsche a donné et qui est pour moi un texte qui exprime admirablement les les les fondements de la figurativité et plus exactement le caractère fondamental de la figurativité comme première traduction langagière du monde alors la phrase la phrase de de ce que j’extrait comme presque comme titre de ce texte de Nietzsche c’est les vérités sont des illusions dont on a oublié qu’elles le sont et moi j’ajoute parce que les concepts sont des catacrèses dont on a oublié qu’il le sont le texte de est le suivant je vous le connaissez certainement je suis désolé il est il est en petit mais je vais je vais vous le lire il est très il est très très vous le connaissez je pense ce texte là nous croyons avoir quelques accès aux choses elles-mêmes lorsque nous parlons d’arbres de couleurs de neige et de fleurs et cependant nous ne possédons rien que des métaphores des choses qui ne correspondent aucunement aux entités originelles comme le son en tant que figure de sable l’énigmatique X de la chose en soi prend successivement l’aspect d’une excitation nerveuse puis d’une image et enfin d’un son articulé repensons particulièrement au problème de la formation des concepts chaque mot devient immédiatement un concept par le fait que justement il ne doit pas servir comme souvenir pour l’expérience originelle et complètement singulière à laquelle il doit sa naissance mais qu’il doit s’adapter également à d’innombrables cas plus ous moins semblable autrement dit en toute rigueur jamais identique donc à une multitude de cas différents tout concept naî de l’identification du non identique qu’est-ce donc que la vérité une armée mobile de métaphores de métonymie d’anthropomorphisme bref une somme de corrélation humaines qui ont été poétiquement et rhétoriquement amplifié transposé enjolivé et qui qui après un long usage semble un peuple stable canonique et obligatoire les vérités sont des illusions dont on a oublié qu’elles le sont des métaphores qui ont été usées et vidées de leur forces sensibles c’est texte qui formidable oui c’est un be texte c’est un c’est un je trouve un très très beau texte qui et qui oui al par sorte de de suspension phénoménologique avant l’heure d’époquet sémantique qui retient le sens en le retenant précisément en l’empêchant de s’épancher dans dans les dans nos illusions qui retient cette idée que le noyau de nos abstractions toujours un noyau figuratif concret lui métaphore moi je dirais plutôt C les concept sont inom en donc on les nomme que par analogie avec des expériences si on dit concept par exemple c’est pr ensemble on a un geste manuel [Musique] figure appareils conceptuel avec lesquel nous fonctionnons ont une sorte de substrat que Mo j’ figuratif et que déveloe à partir de l’idée de de la traduction c’estàd que nous sommes dans des processus de traduction de traduction de traduction ça c’est très joli on réfléchit à nouveau sur la traductiontique aujourd’hui la traduction commence par la nomination qui est déjà une première traduction si on se retient d’adhérer rend compte que évidemment le mot arbre pour nommer tout ce qui est si foisonnant dans cet espace c’est c’est la traduction conceptuelle d’une infinie diversité d’objets dont on a retenu quelques traits qu’on analyse que l’analyse sémique retient très bien décrit très bien quelques traits invariants qui nous suffisent pour créer à partir du dissemblable du semblable et est nommé ainsi donc moi cette affaire là ma beaucoup m’intéressé toujours et même d’Ant temps dè ma thèse j’avais travaillé sur l’hypothèse localiste l’hypothèse localiste vous la connaissez sans doute elle a elle a elle est très vieille c’est une hypothèse qui est é développée chez les stoïens au départ et qui était reprise récemment par les cognitivistes et puis par par pas mal de linguistes d’ailleurs les bom et Cera en c’est une ancienne hypothèse selon laquelle les expressions spatiales première expression peut-on supposer du fait de l’expérience proprioceptive et de la spatialité formerait les matrices des expressions non spatiales des expressions non spatiales pour nommer le temps pour nommer l’aspect pour nommer l’abstraction pour nommer l’affect pour nommer et cetera et cetera aurait comme signifiant des catacrèses spatiales c’est ce que moi-même j’avais j’avais été intéressé à ça l que lorsque je j’ai résumé ça l’autre jour j’ai évoqué dans le travail sur la spacialité chez Zola parce que je m’étais interrogé sur la manière dont dont euh les mêmes modèles spatiaux fonctionnaient comme signifié d’un discours descriptif et comme signifiant d’un discours interprétatif il y avait une ambivalence de la structure spatiale et ça ça me paraissa très intéressant c’estd que il y a une sorte de productivité signifiante de la spatialité c’est le développement de l’hypothèse localiste qui a été reprise je vous invite à lire un très bon texte dans le livre difficile de jean- petitteto qui s’intitule morpogeenèse du sens où il il réarticule l’hypothèse vocaliste à propos de la gramère des cas la gramère des cas et et où le le le noyau euh sémique de la casualité serait uneau de directionnalité donc un un un vecteur spatial qui qui oriente qui qui retient qui qui structure euh et et le et et moi-même je m’étais intéressé quand je travaillais sur la rhétorique à l’espace tropologique l’espace des tropes de la rhétorique l’espace tropologique de la rhétorique en constatant que c’est d’abord un espace topologique euh la réque sesace tropologique si on prend tropie tropie c’est tourner tropaine tourné topie l’isotopie le topos le topo c’est le lieu c’est le lieu la Forie c’est l’emport et le transport le Forè c’est c’est c’est un un mouvement je pas si la bolie c’est le jet BG c’est jeté c’est jeté donc le symbole c’est un c’est un jet en même temps euh euh le le le diabole le diabolique qui quand même fabuleux c’est c’est c’est c’est jeté en travers euh et cetera donc vous voyez mon hypothèse à partir de là je viens c’est que entre C ces foyers sémantico spatiau figuratifs euh la la la la structure spatial des diagrammes et des schémas et cetera et bien on aurait peut-être la variation hpothèse d’une même phénoménalité la variation d’une même phénoménalité qui se se se se développerait autour de la question de la [Musique] ligne la ligne voyez j’ai remises mes lignes d’horizon vous voyez mes lignes d’horizon mes images du début est-ce que l’horizon c’est une ligne et ben c’est peut-être justement c’est peut-être l’essence de la ligne qui toujours se dérobe est toujours à la fois présente et absente puisque elle est censé se repousser elle est inatteignable j’ai mis comme image voyez j’ai mis une image là sous le titre Le Trait le tracé statut topologique et énonciatif de la ligne la ligne qui je le rappelle est est l’objet matériel qui construit qui constitue qui donne forme aux condensations spatiales de nos théories carré sémiotique l’arabole la parabole tensive et cetera et cetera l’ellipse pyatri l’ellipse deant d’autre chose et j’ai mis là comme comme dessin de ligne qui paraît assez assez aléatoire c’est un dessin de l’architecte Franck Guer l’architecte vous savez s’est rendu très célèbre par le musée de Bilbao le MoMA de Bilbao et et beaucoup d’autres beaucoup d’autres œuvres dont dont les formes architecturales paraissent aléatoires et et de fait les dessins que l’architecte fait au départ avant de concevoir un lieu un espace un bâtiment c’est ce genre de chose ça c’est le dessin qu’il avait fait avant de bâtir le musée de Bilbao donc des des lignes et la question qu’on peut se poser que je me suis posé à partir de la ligne c’est est-ce que est-ce que la ligne mécanisée des schémas la ligne tracée avec l’ordinateur la ligne mécanisée des schémas la ligne qui encadre la ligne qui dirige la flèche la ligne qui définit je sais pas si vous vous souvenez gras protestait dans les thèses de ses doctorants quand il protestait contre les flèches disait vous mettez des flèches partout mais ça commence où et ça va où ça désigne quoi quel chemin quel objet avait une espèce de théorie critique de la flèche qui est quand même intéressant est-ce que ces lignes là ces lignes que appelle des lignes mécanisées est-ce qu’ell s’oppose véritablement à la ligne du graveur comme celle de rambrand par exemple est-ce qu’elle s’oppose à la ligne du dessinateur comme Matis qui est un très grand théoricien de la ligneou encore à la ligne de l’architecte guéri mon hypothèse c’est que non elles sont s la ligne régit il a re de la lig jeaisg pour moi une modalité je mauie pour ca quelqu réflexion de Paul Val la line quelques ex on appelle ligne ce qui est engendré par un mouvement ce qui est engendré avec un sens avec une vitesse et en devenant indépendant c’est aussi ce en quoi le mouvement en tant qu’il est accompli ser rend visible et descriptible ou tangible donc c’est une la ligne c’est d’abord à tracé et c’est c’est d’abord c’est le J et tous ceux qui dessinent ça que quand on dessine sur une feuille de papier on va tracer une ligne euh on a immédiatement le souci du blanc du blanc voyez quand on voit les dessins de Matis par exemple ce qui nous fascine c’est que d’un seul trait d’un seul jet non seulement il y a le dessin d’un visage parement mais il y a surtout une position au milieu du blanc par rapport au blanc dans dans l’espace blanc c’est-à-dire que c’està-dire que le traceur de ligne il faut qu’il envisage tout l’espace que la ligne va va déterminer va régir elle va régir le blanc donc cette cette affaire là me paraît assez central la ligne apparaît donc comme un phénomène sensible en devenir une potentialité de mouvement Kandinski l’ défini comme le bon du statique vers le dynamique du point à la ligne le syntagmatique pur pour moi c’est ça c’est c’est du syagmatique c’est c’est c’est du c’est une sorte ça s’analyse par l’aspectualité et et selon le tempo hein si on dessine on plein de petits traits par exemple on cont fa un seul tracé on contra on va on va on va on va broyer les lignes pour faire de l’estompe euh autrement dit dans les schémas aussi la ligne bouge elle nous donne l’illusion de la fixité je disais le problème du caré sémiotique c’est d’une certaine façon son orthogonalité il est magnifique mais il a une telle orthogonalité que il pose ces quatre angles comme des positions absolument symétrique et et et et et ça fait disparaître un peu le les gradualités les les modes d’existence les virtualités les actualisations les potentialisations tout tout ce qui en fait fait bouger les coins du carré si vous voulez donc dans les schémas donc je dis la ligne aussi bouge l’orthogonalité du parcours génératif n’est pas neutre pas plus que les biais les bis les fameus voyez je son qume vous connaissez la théorie de caneman euh la théorie des cognitivistes américains caneman sur sur les biais cognitif euh bon parler mais les BIA déjà je trouve que le mot les mot le biais cognitif c’est c’est par exemple c’est la tendance que l’on va avoir spontanément si on a tort quand on fait une mauvaise action aussitôt à penser qu’elle est pas si mauvaise que ça on vafléchir c’est très joli la théorie des B mais mais déjà je trouve que le mot BIA est quand même une ligne c’est une diagonale dans un un des membres du groupe MU qui s’appelle Francis éeline collaborateur et ami de de Jean-Marie Klinkenberg actuellement le groupe de Liège constié pour l’essentiel de de [Musique] personnes etaniste il fait une théorie de la lig il a fait une théor de la lig est intéress typie des livec la LI contour la LI lie et la ligne creuse quatre grands types de lignes la ligne contour c’est celle que nous connaissons tous c’est celle deou c’est celle du dessin c’est où le trait désigne un extérieur et un intérieur la ligne de partage entre un extérieur et un intérieur entre une transparence et une opacité c’est le contour d’un objet contour d’un bouteille et CETA la ligne la ligne lieu c’est celle qui est refermée sur elle même qui désigne un espace qui par exemple un massif de fleurs ou la maison dessin d’un architecte avec la maison en perspective où on va voir la ligne la ligne A a pour effet de produire un effet de lieu euh la ligne virtuelle c’est la ligne que que l’on reconstitue mentalement lorsqu’il y a une absence une absence relative de ligne par exemple si si je dessine une bouteille comme celle-ci je peux faire cette ligne là hop je peux démarrer là et mon œil va va faire l’autre ligne il va il va il va supplé à l’absence par la composition euh définite de la présence et la ligne creuse c’est la ligne qui n’est ni contour ni lieux ni virtuel c’est la ligne qui est à elle-même sa propre fin c’est la ligne de l’écriture la ligne de l’écriture c’est-à-dire qui qui elle euh entre dans euh la ligne des schémas c’est la ligne des des des des modèles et je crois que c’est cette ligne là qui illustre le mieux à mon avis l’ambivalence de la ligne euh parce que parce qu’elle exige d’être lue pour elle-même la ligne creuse c’est pas c’est pas comme la ligne contour la ligne contour elle n’existe que par le que par les espaces quielle délimite la ligne de lieu elle nexiste que par la la forme qu’elle construit euh la ligne virtuelle c’est une ligne qui qui qui est une virtuelle de contour disons alors que la ligne creuse c’est c’est une ligne qui ne vaut que par elle-même et que par son que par son parcours elle c’est un petit peu peut-être ce que fait Guéry en architecture eTTH et et je dirais que cette conception de la ligne euh non comme comme est la ligne la ligne creu la ligne creux c’est c’est c’est son mouvement comme ça permanent c’est cela qui nous rapproche à mon avis rapproche du lien entre ligne et énonciation c’est l’acte c’est le mouvement et Matis écrit ceci quand il fait c’est mots dit la verticale est dans mon esprit elle m’aide à préciser la direction des lignes mes courbes ne sont pas folles éctil par ailleurs et il y a cette extraordinaire phrase trouve il dit il faut toujours rechercher le désir de la ligne le point où elle veut entrer où elle veut mourir c’est une véritable prosopopée de la ligne qui qui devient une sorte de sujet en fait qui devient une instance énoncante d’où voilà oùen bienens mon idée c’est c’est de considérer cette ligne qui est responsable de la forme de nos théories de la considérer comme une instance éante en tout cas comme la trace euh immobilisée d’une instance et non alors je rappelle très rapidement la théorie des instances et nonem j’en ai déjà pas mal parlé euh hein c’est euh c’est c’est au fond pour moi la force de cette théorie c’est d’intégrer la présence corporelle sensible et perceptive à l’intérieur de la théorie de la signification on pas construire une théorie de la signification qui installe l’énonciation comme une simple présupposition je dis je dis que pour moi l’originalité et la force c’est d’installer la présence somatique c’estd perceptible corporel le corps présent en prise sur le monde touchant voyant sentant de l’installer d’installer cette présence là au cœur de la théorie de la signification et de ne pas construire une théorie de la signification séparé cette instant serait séparé et il critique à mon avis à juste titre la la le statut de l’énonciation dans la sémiotique grmatienne rappelez-vous énonciation comme parcours génératif la théorie grmatienne c’est un moment du parcours c’est le point de conversion des structures euh sémonarrativ et profondes en structure discursiv personne n’a jamais adhéré à ça d’ailleurs mais c’est que l’énonciation est une présupposition et donc ça reste ça reste une abstraction hein ça reste une abstraction parce que l’énonciation elle est simplement il y a pas d’énoncé sans qu’il eu un acte d’énonciation mais on n dit rien on le présuppose et et la théorie des instan elle conditionne la possibilité même d’oncer et donc il faut la prendre en compte elle est incorporée à la théorie du langage et c’est pour ça qu’il propose lui cette distinction entre la fus qui est la présence du le corps et non sent en quelque sorte et le logos qui est le produit structuré distancié au 2e degré en quelque sorte moi je dis débrayer débrayer enrayer et cetera et donc je trouve que ça je trouve pour moi çaent une une vraie réalité donc fusis slogos la prise la reprise des instances sujet non sujet tiers actant les prédicats somatiques et les prédicats cognitifs en les quelques con cl de cette théorie me paraisse intéressant d’abord par comme je disais tout à l’heure en réponse l’observation de Diana pour moi il y a une intégration effec des sioti dans le Logos on retrouve le principe d’immanence dans la fus on a la présence effective du cors et non sang qui est notre condition et ça c’estê qui dit et c’est c’est c’est une sorte de présence physique et dans une condition d’intersubjectivité euh donc euh voilà donc j’en arrive à cette idée que bon je ne sépare pas la ligne qui fabrique la forme de nos théories des de l’acte de l’instantiation énonciative qui leurait qui lui est sous-jacent et qui est sa détermination et j’en arrive à ce moment-là au à ce que j’appelle moi les régimes d’immanence je je renoncerai au principe général d’immanence et je préférerais des régimes d’immanance parce que quand on pratique les les les la sémiotique littéraire la sémiotique des textes euh esthétiques la sémotipe de l’art la sémotipe de de la poésie sotique de une des questions qu’on narrête pas de se poser c’est mais ces œuvres nous révèlent quelque chose qui était inaperçu jusqu’à elle elle nous révèle quelque chose qui était de l’ordre du non visible elle rendent visible ou perceptible le non perceptible et je dirais que cette cette chose là c’est ce qui nous permet d’assouplir pour moi considérablement le parcours génératif tout en adhérant à cette générativité comme si on faisait des focus si vous voulez des focus qui qui qui un objet est inaperçu je le perçois je l’isole je l’installe dans un régime d’immanence je le décris oui je l’installe dans son régime d’immanence pour moi c’est c’est c’est c’est là qu’il y a une je ne projette pas la lourde grille cadrée par des lignes sur cet objet parce que parce qu’il y a euh il y a une hétérogénéité dans nos expériences du sens hein on fait des des micro rêves euh qui surgissent d’un seul coup on a des images inattendues on a il y a des il y a une hétérogénie la signification qui est du sens et donc je trouve qu’il faut que les modèles théori gardent une certaine disponibilité que ce soit non seulement des instruments de description mais que ce soit des instruments d’ d’accueil au desructi d’accueil descrip qui n’a pas encore été décrit et du coup ce que j’appelle des régimes d’immanence c’est c’est c’estibil possibilité ouverte de saisir par le senstion de on a été saisi à notre parfois alors ça ce je pr au centre de la théorie on a l’onciation instances et doubleance d’une part l’immersion dans le sensible et d’autre part la distanciationbr l’immersion dans le sensibleimmersion catacr océanique encore un texte don j’aimerais bien a le temps de parler parce que je trouve que c’est c’est un des plus beau textes d’immersion qui se passe c’est la dernière page de martinen de Jack London que vous saz souvenez s doute c’est quand le héros Mar sur un bateau au large à 1800 mil de la côte la plus proche sort par le hublot de sa cabine se laisse glisser dans l’eau et se noie et la description de la noyade et un texte absolument extraordinaire parce que c’est justement une une désesthésisation euh progressive avec des efforts d’esthésie et des efforts de de desesthésies pour réussir sayard C deux pagesl son tout fait remarquaes bref je dirais que la forme de la théorie selon ma proposition sera déterminer par l’entrreelac de cette double Valance dans le va et vient du sensible ce que le sujet saisit et ce qui saisit le sujet c’estàd que il y a il y a une une bidirectionnalité qui est d’ailleurs très bien analysée je trouve par Jean-François Bordron C à la fois le fait que le sujet perçoit mais aussi le sujet est perçu par ces objets vous savez le la fameuse phrase de Merl pontin qui m toujours beaucoup plus dans le visible et l’invisible c’est euh le témoignage de peintre qui lui disait comme sésam le disait d’ailleurs euh je regarde un arbre et je commence à pouvoir peindre cet arbre lorsque ce n’est plus moi qui regarde l’arbre mais que c’est l’arbre qui me regarde et cette réversibilité de la perception justement c’est ce qui c’est ce qui rend possible la saisie la saisie de ce que j’appelle les régimes d’immanence lorsque les expériences toutes les expériences nouvelles qui nous apparaissent à mon avis les vres d’art restituent il faut construire le régime d’immanence qui va permettre de les décrire et je retrouve alors complètement l’immanence au sens sémiotique à l’intérieur de ces espaces de ces espaces modulables modulable selon les textes sur les œuves sur les les situations voilà donc les ma conclusion serait cela encore les lignes qui onnent le schéma seront alors moins droites moins rigides es retrouveront modularité du mouvement qui est à leur départ avec ses plein et ses déliers avec SESL multiples avec ses arrivées improbables seront prises par l’pectualisation qui régit l’avement la construction et la processualité sans pour autant ignorer l’horizon d’une schématisation il s’agit de renouer la forme fixe avec la labilité qu’ l’a fait advenir peu çaette idée monaire CLA et j’arrive tout à fait à la conclusion que je l’emprise et la tyrannie de la perspective pas accé de prix ce concept siotique de perspecors j’écris ceci les formes des théories n’échappe pas quel que soit le rort d’objectivation de généralisation à la som de la perspective les lignes qu’ell dessinent les concepts et leurs avancements toute leur cartographie abstraite révèle en creux comme les débats et les controverses l’attestent si fréquemment et parfois durement toutes cette toutes les lignes qu’elle dessine révèlent en creux les occultations les manques les parts oublié de la totalisation qu’elles entendent établir les formes des théories aussi ambitieus so sont soumises à la tyrannie de la perspective elles n’ont pas d’Alf elles n’ont pas d’Alf ce que c’est l’ALF l’ALF dans l’univers de bquess c’est le lieu où se trouve dans sa sans se confondre tous les lieux de l’univers vu de tous les angles l’inconcevable univers vu selon la totalité simultané de toutes les perspectives possibles évidemment chose nous sommes dans bien c’est pourquoi je propose ici dans ce travail sur l’océanès le départ de multiplier d’accepter la tyranie de la perspective et de multiplier les perspectives et d’essayer de voir ce que c’est que le sacrétisme T sacrétis des perspectives vous vous souvenez dans le dictionnaire de séiotique il y a TR entrées dans le dictionnaire de séiotique de GR cour il y a TR entréesutour de question sont intéressantes il a l’entrée perspective il l’entrée point de vue l’entrée focalisation et le texte de dit que en donant une définition de ces différents concept que le travail n’est pas fait le travail reste à faire pour euh envisager euh une meilleure définition de ces concepts euh je dis pas que j’ai fait le travail mais ce que je crois c’est que euh euh le concept euh hyperonéique de cette série c’est le concept de perspective parce que c’est une contrainte inhérente à la perception je le vois le dessus de la table je vois pas le dessous je vois le monde de mon m 75 mon M 8 M50 je le vois pas du bas je vois Pasut la contrainte de perspective elle détermine tout d’O l’importance pour moi d’aille possible stique des échelles parce que ce sont nos perspectives qui commandent les échelles selon lesquelles nous percevons le sens et donc euh les deux concepts sous-jacents c’est le point de vue qui est qui est qui est qui est la perspective selon le sujet et c’est la focalisation qui est la perspective selon l’objet le gros plan le plan éloigné le slow mootion le le panoramique et cetera et il me semble que tous les modèles théoriques auquels n nous avons affire compris les C doigs ce sont des perspectives sur l’objet euh qui peuvent à mon avis avoir des zones de jonction avoir sans doute des des des régimes d’immanence commun c’est pour ça que je répondais à tout à l’heure cette cette manière et et et c’est comme ça que j’essai je voudrais essayer d’associer la multiplication des perspectives sur l’océan dans cette dans cette idée d’un syncrétisme des perspectives et et non pas dans une totalisation par exemple je me poserai la question de savoir comment l’imaginaire de l’océan qui est manifestement présent dans les grands romans maritimes du 19e siècle comment l’imaginaire de l’océan retentit encore dans l’écoanxiété euh lié aujourd’hui à la montée des océans à la fonte des glaciers au réchauffement des mers c’est comment il y y a des lignes de où les disciplines convverent les unes avec les autres voilà discuter un petit peu oui oui c’est ça oui je propose je propose quand tu parles du régime duance tu met l’instance du non du Logos et du dans une annance ou pas ouiais le régime d’im je le pose comme une I du descriptible c’est pour pouvoir décrire l’objet une fois que je l’ai isolé je je je je je P ce régime d’immanence j’stalle du parcours génératif à l’intérieur je vais je vais mais je je ne le fais pas en le séparant des instances énonçantes qui on permis d’identifier cet objet qui m’amène à l’isoler tu ne tu ne suis pas à bon Mo non non non non je suis pas tu sais il y a il y a un T que vous connaissez vous connait tous qui qui est qui qui très intéressantex de Michel sur le problème du Commentaire où il dit c’est étonnant de voir comment notre culture est une culture de la profusion du Commentaire comment n’importe quel texte bourgeonne de commentaires les commentaires forment autant de texte sur le texte comment on a cette espèce de de d’étonnante prolifération comme si à chaque fois un sens caché là-bas dans le fond du texte devait sortir à la surface et cetera mais je crois justement c’est pour moi les la profusion des commentaires c’est des régimes c’est des régimes d’immanence si j’analyse ces commentaires je les analyse régime d’immanence c’est TR intéressante pour ton propèse et mais je je ne vois pas comment le sa do peuvent aider à à mettre en for cette analyse que je trouve très bien expé et ça ce vouspr les CQ doigts c’est un récit c’est c’est c’est un récit rétrospectif de ce qui s’est passé à mes yeux depuis la disparition de gremas en 19 92 dans le champ des des des disciples des premiers collaborateurs des plus proches proche ou plus ou moins proche de gréas donc c’est c’est une sorte Deon pourrait raconter à des étudiants voyez ce qui s’est passé je vous raconte une petite histoire disons mais tu n’as pas besoin des pour moi non non même des des des dooits pour faire ton analyse du non je n’ai pas besoin de do non mais mais en même temps en même temps si tu veux mais mais mais en même temps je considère que c’est par exemple je considère que chacune de ces de chacun de ces doigts apporte des éclairages qui peuvent être mobilisés de façon complémentaire par exemple je direette tensivité me paraît une découverte formidable je disais l’affaire de la concession euh la mise à la même hauteur du concessif et du du et de l’implicatif mais je trouve que dans cette théorie de la sémiotique tensive à mes yeux il manque il manque on est dans on est dans on est on est sous la frontière euh du du du sensible c’est le sensible c’est la Forie c’est le sensible qui est à la base mais il y a pas de corps il y a pas d’instance mais il y a pas en je trouve d’accord mais je qu’ a pas il y a pas d’énonciation on a pas chez chez Bordron il y a a a une il y a une un parcours esthésique magnifique mais il rabat j’ai parlé avec lui ça il rabat le concept d’énonciation sur le concept de séiose il dit toute seméiose est une énonciation et moi j’avais refit on av fait avec un ami brésilientina travaillé sur le parcours génératif et et et et en fait on avait proposé g parce que vonica travaill avec moi sur ce sujet on avait proposé de définir l’énonciation comme la charnière entre le plan de l’expression et le plan du contenu c’est-à-dire que c’est l’opérateur de conversion de quelque d’une matière qui devient substance d’expression en une une autre matière qui devient for conten l’énonciation comme opérateur de céose du coup ça Peret de voir l’énonciation n plus à penser comm niveau du parcours génératif comme conversionurond de Surace contra sur tout le parcours comme un AX fait exister réciproquement de l’expression du contenu d que et ça me paraissait plus intéressant de penser comme ça et maintenant après ma ma dernière conversion coqutienne je dIR EN je trouve que ça reste ça reste quand même abstrait c’estàdire que dire que l’énonciation c’est l’opérateur de la sémiose qui fait passer qui fait exister réciproquement un plan d’expression et un plan du contenu je dirais maintenant c’est plus que ça c’est c’est ce qui euh présuppose surtout une instance sensorielle sensible présente à autruiti et cetera dans dans des dans des scènes dans des scènes euh de type phénoménologique dans dans des situations de de perception et qui sont elles-mêmes intégrées dans la structure du langage le langage n’est pas construit indépendamment de cela et d’ailleurs on on le voit bien quand même par exemple les discussions actuellement sur les langues la langue en France la langue inclusive sur la la question des genres on voit bien que la Grande Mère elle est pleine de nos corps sexués elle est pas indépendante et toutes ces discussions sur sur le yel sur le sur les bien sûr ça on peut se révolter dire stop et oui il faut bien reconnaître que l’usage sancien trévient c’est-à-dire le produit de la praxce énonciative qui a généré la grande mer c’est c’est c’est pas une abstraction c’est des gens c’est des corps c’est des relations sociales c’est des c’est des rapports de pouvoir c’est des qui sont déposés comme des couches sédimentaires dans dans le symbolique de la même manière qu’on a des couches sédimentaires déposé au fond de l’océan c’est ça que je trouve euh d’accord mais si tu n’as pas un une instance passage d’un niveau profond à un niveau superficiel tu n’a pas besoin de pas ce que je disais sur la sur la densité sémque à la limite ça me suffirait si veux on le voit très bien par exemple quand on a la relation de contradiction dans le car sémiotique on a là un dispositif dont la denité sémique est la plus lâche la plus faible ça s’applique à tous les contextes si je passe à niveau j’augmente la densité sémiquef et je vais je vais appeler ça conjonction disjonction j’augmente la densité simique je vais appeler ça polémicité contractualité j’augmente la densité séique je vais appeler ça querelle dispute engueelade négociation j’aiugment j’arrive à tuis je laite j’augmente la densité séique j’ai monsieur Intel chef du syndicat CGT qui discute avec Monsieur le patronat représentant du patronat et C et je descend de densité séique densité séique à la limite j’ai pas besoin de la sence de conversion au sens énonciatif du terme sauf qu’il y a l’nonciation tout long il a il y a l’énonciation tout le tout le long de depuis depuis depuis la première sommation du sens la première catégorisation contradiction jusqu’à jusqu’à la la description la plus fine la plus la plus figurative de de la scène de la négociation entre le président du et le président du patronat je déser que par des rôles thématiques je peux les appeler Paul jacquesan et par de cheveux grisux blanc ce que j’ae bien géné finalement j’auraisvie de dire que cetteaire deité suffirait au parcours génératif alors un conceptte comme une ponimie hyponimie ça suffirait pour expliquer chose SP que ça oui pe dire que je n’ai pas besoin d’ parénratif j’ai des hperéroles et des éponymes et et ça marche parce que il y a une densité semique que c’est qui c’est cré dans ces parcours les é les dir parce que le problème de l’hyonie c’est qu des thes qui désigne qui désigne une qui appartienent à un secteur de linguistique très très oui mais ça c’est c’est une chose qui me vient comme ça je dit qui d’un certaine façon le parcours générative du sens n’a pas pas de sens un lien de transformation transformation alors le problème c’est que dans le parcours génératif originel il y a sémantique et dimension syntaxique alors si on a quelque chose du genrepony hypérony même récursivement rcsive pour descre la plus grande hyponymieyon maximal plus on resterit dans du sémantique et je cisintérêt la relation de contradiction c’est une relation quand on arrive au niveau ça devient une syntaxe quand on arrive au niveau discursif ça devient un procès quand on arrive au niveau superficiel ça une une une dispute entre deux personnes et cetera donc c’est il y a y a une dimension syntaxique intégré je trouve alors que l’idée sémantique de l’iérarchie fond hein de hiérarchie entre générique spécifique et cetera ne semble occulter cette dimension euh syntaxique mais le problème c’est c’est que quand on quand on prend ça contradiction euh transformation transformation euh procès action dispute et CER ça marche assez bien quand même la conversion de niveau en niveau mais je crois que ça fait le problème c’est que ça fait que des conversions partielle toutes les relations du cariséiotique ou deens de bas se procède pas de la même manièreander chose sur la multiplication sur la multiplication des perspectives sur l’océan c’est c’est fascinant de penser à ça mais alors je pensais à si on pense d’une façon Surienne alors c’est le point de vue qui crée l’objet bon euh ce que tu dis là-bas c’est que euh tu vas créer on obljet euh créer de différentes perspectives alors c’est ça et ce que je je voulais te de dem monand DC pour faire ça bon alors tu vas prendre par exemple de l’écologie l’écologie a construit un objet d’une certaine perspective alors tu vas prendre le texte résultant de cette perspective tu vas prendre les textes résultant d’une perspective que politique et tout ça et tu vas les examiner d’une perspective sémiotique jeess c’est pas ça exactement c’est ça que je voulaisir est que tu peux est-ce qu’on peut mettre le suivant on par C 5 va arrêter mais pour la prochaine fois on va va on va prendre le cas si tu veux j’aimerais prendre le cas mais pas beaucoup j’ai pas fini sur le problèmeend on va prendre le premier problème le premier problème que j’ai appelé classé taxinomie ah classé taxinomie parce que c’est le premier geste face à l’inconnu on classe face à l’inconnu on classe et et et moi ce qui m’intéresse j’ai pris j’ai pris truc j’ai pris julver l’inconnu et le connaissable l’inconnu et le connaissable face à l’inconnu identifier s classés et j’ai découvert je aujourd’hui ou hier à quel point julver c’est génial parce que parce que vous avez au début de 20 sous les M qu’est-ce qui se passe il se passe que il y a un événement sur l’océan incroyable et des bateaux qui sont coulés par quelque chose on sais pas quoi qu’on appelle un récif errant et et et donc on va on va se mettre en quête de ce que c’est cette sorte de force inconnue est-ce que c’est un animal est-ce que c’est un un objet matériel est-ce que c’est est-ce que c’est un fantôme est-ce que d’O ça vient et cetera et le un le monstre inconnu qui attaque les navires un écueil errant et euh il faut chercher dit le le le narrateur qui est un qui est un un éthologue en fait qui est un éthologue de euh scientifique qui va se faire prendre par le par le capitaine Nemo et son nutilus mais avant bien avant queon identifie on sait pas du tout que ça va être le Notilus on croit que c’est un narval il dit il faut nécessairement chercher l’animal en question parmi les êtres marins déjà catalogués et il dit après si c’était ass céassé il surpassait en volume t ceux que la science avait classé jusqu’alors et encore et le truc est magnifique c’est que ce savant comme souvent chez julverne il a un domestique qui s’appelle conseil et c’est le statut du vet un peu comme chez Molière chez Mar toute la tradition du domestique et ce domestique de euh du du du du du savant narrateur euh il s’appelle conseil il donne jamais le moindre conseil mais il le dit conseil écrit- c’est comme ça qu’il le présente conseil était mon domestique j’avais en lui un spécialiste trèféré sur la classification en Histoire naturelle parcourant avec une agilité d’acrobate toute l’échelle des embranchements des groupes des class des sousclasses des homes des familles des g sous des espèces des variétés mais sa science sarrêta là classé c’était sa vie il n Savit pas davantage donce formable donc la prochaine fois la prochaine séance on va s’intéresser à la taxinomie et montrer de voir comment le problème de la taxinomie scientificéraire euh chez julverne chez mville euh comment ça va nous conduire euh au problème de la taxinomie chez euh le professeur au Collège de France par exemple qui est de travailler sur ces questionsl et cetera aujourd’hui tu vois donc c’est c’est ça ce que j’appelle le sacrétisme la tentative la multiplication de point la multiplication du point [Applaudissements]

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