premier volet d’un triptyque didactique expliquant les enjeux de la transition écologique à l’appui d’exemples concrets et chiffrés.

    voilà alors il s’agit d’un exposé pas trop scolaire je l’espère mais un petit peu tout de même comme tout exposé oral et grâce à Hugo de marche une vidéo pour que le plus grand nombre puisse réagir poser des questions le sujet qui m’avait été demandé par mon groupe local de colombe les écologistes c’est qu’est-ce que la transition écologique alors la transition écologique ce n’est pas seulement car souvent on l’a réduit à ça la transition énergétique même si j’en parlerai beaucoup beaucoup euh donner une définition d’abord de la transition écologique et bien c’est une évolution avec des ruptures hein c’est pas une évolution linéaire et plane une évolution vers un nouveau modèle économique social environnemental qui apporte une solution globale et pérenne aux grands enjeux environnementaux de notre temps et aux menaces qui pèsent sur nous alors bien entendu il y a beaucoup de limites climatiques et autres euh dans notre planète beaucoup de limites il y a le changement climatique c’est ce qu’il y a de plus courant que tout le monde appréhende de plus en plus de façon sensible il y a l’érosion du vivant et de la biodiversité il y a l’interférence des cycles de l’azote et du phosphate qui est grave aussi et dont on parle beaucoup moins il y a l’acidité et l’état des océans bien entendu il y a un problème crucial dont je ne parlerai pas qui est celui de la gestion et de la question de l’eau et de l’eau douce en particulier en dehors des océans comme de la nature des sols et de leur qualité il y a la pollution lumineuse mais il y a surtout la pollution chimique qui est très importante pensons le président de la République a parlé récemment d’infertilité pensons au à toute la pollution chimique qui crée en partie cette infertilité chez les Françaises et les Français il y a les aérosols il y a la dépression de la couche d’ zone et là une bonne nouvelle au moins sur ces neuf limites planétaires une bonne nouvelle on est on a abouti a un accord et cette dépression elle est arrêtée mais pour le reste ça galope malheureusement ça galope alors je parlerai je ne parlerai pas de tout cela parce que ce serait tout simplement trop long on fera peut-être d’autres vidéos je parlerai essentiellement de l’érosion du vivant son donc de la biodiversité et également du dérèglement climatique et donc de la transition énergétique donc un modèle euh nouveau qui restructure nos façons de produire nos façons de consommer de travailler j’ajouterai de décider et dans la justice sociale dans la lutte contre les inégalités bien entendu avec un principe sur la fiscalité pollur payeur j’y reviendrai sur le financement possible de de tous ces enjeux les enjeux au passage ils sont multiples vous les connaissez tous parce que vous les vivez maintenant avant on disait ah bah c’est pour nos enfants nos petits- enfants non c’est ici et maintenant la multiplication des catastrophes dites naturelles qui sont amplifiés par exemple par le dérèglement climatique on vient de le voir cet été avec les mégafeu un peu partout sur la planète mais aussi en Gironde les inondations monstres par exemple récemment dans le Nord pcalais c’est pas forcément des événements nouveaux cas du Nord pcalé mais c’est des événements amplifiés par la crise climatique c’est donc des événements météo extrêmes et dans un monde à plus de 2 degrés il faut savoir que les climatologues prévoient que les inondations de ce type même en France dans une zone tempéré deviendront risque du moins de devenir la norme hein ce sont des périodes aussi alternativement de sécheresse qui augmente de 30 % C les rises de de mégafeu j’en ai parlé et à l’échelle mondiale dans la zone intertropicale chez les pays en voie de développement c’est des problèmes y compris de crise alimentaire hein de baisse de la production agricole liée à la question de l’eau et au réchauffement c’est enfin le Bou un bouleversement considérable énorme du monde vivant avec la suppression d’espèces des espèces en déclin lié aux pesticides mais surtout à la destruction de leur habitat naturel à la déforestation en particulier on dit que 25 à 30 % des espèces animales et végétales sont gravement menacés c’est un chiffre terrible je vais aborder la question de l’érosion du vivant parce que souvent on l’oublie or elle est essentiel hein c’est la question de la BI diversité beaucoup disent beaucoup de scientifiques disent que nous vivons la 6e extinction de masse des espèce animal et végétal il y a là un livre de référence qui a eu un prix le prix polyzer qu’on peut acheter en livre de poche donc c’est pas très cher c’est un livre d’Élisabeth Colbert qui est elle-même une journaliste scientifique qui s’appelle la 6e extinction et qui donne des données à partir de d’interview d’entretien avec une soixantaine de Scien scitifiquein rappelons que depuis l’apparition de la vie sur Terre il y a eu cinq extinctions nous serion à la 6e mais il y a deux différences fondamentales c’est que les cinq premières extinctions ne sont pas dues à l’homme d’une part et d’autre part qu’elles étaient très lentes ces extinctions par exemple la dernière extinction qui a connu la fin des dinosaures donc l’homme n’était pas contemporain des dinosaures c’est une une extinction qui a duré des di et des dizaines de milliers d’années donc là c’est plus court et c’est nous qui sommes à l’origine un autre livre que je signale qui est d’un scientifique français directeur du Muséum d’histoire naturelle qui se préoccupe beaucoup de ces sujets s’appelle et c’est plus tempéré comme propos que celui de Colbert s’appelle à l’aube de l’extinction c’est voyz vous voyez la nuance c’est un livre de Bruno David direct acteur au Muséum d’Histoire Naturelle hein alors les causes sont multiples évidemment il y a comme pour tous ces facteurs il n’y a pas une cause unique une cause magique non les comme c’est les solutions sont multiples il y a une cause majeure qui est la déforestation à l’échelle mondiale qui est terrible qui galope hein et c’est plus largement la disparition de l’habitat naturel d’un certain nombre d’animaux hein et d’espèces c’est lié au changement de l’affectation des terres pas seulement à la déforestation donc hein lié à des phénomènes d’urbanisation galopante d’agriculture intensive mais aussi parfois de braconnage lié à la pauvreté hein en Afrique c’est clair qu’on mange de la viande de brousse parce que on n’ pas d’autrre viande à se mettre sous la D si je puis dire hein c’est lié aussi parfois à la surpêche et là c’est plutôt les pays développés qui en sont responsables à grande échelle hein alors évidemment ça pose des questions ça ça a des conséquences terribles hein parce que vous avez 500000 à 1 million d’espèces qui sont en train au moins j’utiliserai volontairement une nuance à décliner fortement hein en île-de-fance par exemple pour parler de notre région vous avez 30 % de moineau des moineaux parisiens et autres en moins vous avez 70 % en moins des Irondelle bon ailleurs dans les champs compris dans la bosse et laabri vous avez 60 % des oiseaux des champs qui sont en fort déclin hein c’est un c’est important à le souligner alors je mettrai un bémol à l’idée d’extinction parce qu’elle est débattue hein par les scientifiques et pour certains le rythme des découverte de nouvelles espèces serait équivalent voir certains dit mais ils sont minoritaires supérieurs au rythme d’extinction qui serait donc plus lent que certains le disent hein par ailleurs il y a des efforts il faut le dire il faut être positif des efforts de conservation et de restauration parfois qui ont supprimé ce risque d’extinction pour de nombreuses espèces c’est le cas parle de la Nouvelle-Zélande qui avait une faune partic comme en Australie particulièrement forte originale y compris d’animaux sauvages et qui a réussi par une politique environnementale active à casser ce rythme d’extinction hein mais c’est vrai que par exemple pour la faune sauvage hein en particulier là on peut parler d’extin de de d’au de l’extinction hein d’au de l’extinction et pas seulement pour les rhinocéros les amphibiens les éléphants les grands primates donc certains diront une notion de déclin plus que d’extinction d’autres diront extinction mais dans les deux cas de figure c’est gravissime c’est gravissime et c’est un rythme extrêmement rapide hein voilà on estime actuellement qu’il y a 1800000 espèces qui sont connues et répertoriées et je vous ai dit le nombre hallucinant d’oiseaux d’insectes évidemment c’est lié à leur nourriture qui disparaissent à vitesse grand V mais la diversité par certains est estimée à plus de 100 million hein voyez 100liion répertorié peut-être 100 millions on trouve encore des espèces alors des fois c’est pas des espèces très réjouissante on vient de trouver il y a 3 mois une dizaine de nouveaux insectes dont trois mouches différentes qu’on n’avait pas répertorié par exemple en Corse hein mais on peut trouver aussi encore des primates dans la forêt congolaise qu’on avait pas encore répertorier pendant longtemps pour le grand public et les naturalistes même c’était les naturalistes qui s’en occupé c’était on mettait en avant pour la défendre bah la beauté du monde la beauté des arbres la beauté des oiseaux la beauté du vivant et c’est vrai que ce sont des arguments sensibles culturels d’importance que je ne absolument pas hein mais en fait la biodiversité au-delà de la beauté du vivant il faut savoir qu’elle est nécessaire qu’elle est utile hein elle offre des biens totalement irremplaçables l’oxygène que nous respirons l’eau la purification de l’air hein elle offre des médicaments hein il faut savoir que l’aspirine s’inspire d’une de la molécule d’un de de l’écorce de Soule comme arbre elle offre des matières premières des fibres la laine le coton bien d’autres choses et surtout elle permet la pollinisation par exemple avec les abeilles hein au niveau des vég et tout hein les corau par exemple en mer c’est pas seulement beau les corau mais ça prévient les inondations hein ou ça aide à la prévention des inondations hein donc ça ce sont des points très importants et en plus de ça et c’est déterminant et ça lie le l’articulation entre crise de la biodiversité et crise climatique on le sait les océans et les grandes forêts intertropicales sont des puit de carbone qui séquestre du CO2 fur et à mesure qu’on les amenuise ces puits de carbone parce que il y a l’acidification des océans parce qu’on fait de la déforestation massive de l’Amazonie au Congo et bien nos puits de carbone ont tendance à décliner fortement et vont nous poser des problème ça existe même en France avec les mégafeu avec les périodes maintenant plus longues de sécheresse ns notre forêt qui est pourtant très importante en France hein euh elle elle décline au niveau en en terme de pu de carbone hein j’ j’oute ajouterai aussi que on a vu avec la dernière pandémie le rôle de ce que l’on appelle les zonoses c’est-à-dire ces maladies pandémiques ou endémique qui passe pandémique pardon qui passe de l’animal de certains animaux réservoir à l’homme hein ça c’est quelque chose qui existe très fortement ces pandémies hein et on a bien établi le lien par exemple avec la déforestation quand il y a eu cette terrible maladie qui était Ébola hein on avait 200 million d’hectares de forêt tropicale en 40 ans qui avaient été déforesté et Ébola est né au moment où il y a eu des zone supplémentaire de déforestation récente là il faut évidemment réduire l’interface entre certains travailleurs qui travaillent à la lisière de ces forêts et ces animaux il faut interdire comme c’était quand même le cas encore en Chine hein les marchés vivants d’animaux de ce type les les pangolins les chauves-souris et cetera qui sont des animaux réservoirs et qui lorsque leur habitat naturel est détruit et bien avance en lisière vers l’humain et parfois vers les élevages de de volaill par exemple ou de porort et ça se passe ensuite à l’humain il faut donc faire la prévention chez tous ces travailleurs il y a donc et il y a donc des limites aussi à la déforestation qui sont évidentes autrement dit la crise de la diversité abouti à une crise de la santé et à la notion de santé globale santé des animaux santé des humains santé de la planète ce sont des point relativement importants aussi alors on a parlé un peu du monde et c’est un peu logique je voudrais parler d’un cas assez particulier qui est qui qui peut sembler amusant anecdotique qui qui que parler c’est le rôle de l’éléphant d’Afrique alors il y a deux types d’éléphants d’Afrique a les éléphants de savane qui sont beaucoup plus grands et les éléphants de forêt qui sont plus petits et bien les éléphants de forêt en raison de leur taille ne s’attaquent pas aux plus grands arbres ce qui séquestent le CO2 et du coup il ce sont des jardiniers de la forêt tropicale ils permettent en ils permettent en élagant si je puis dire les arbres de plus petite taille aux arbres de grande taille qui séquestrent le plus de CO2 et bien de se développer hein par ailleurs au niveau de leur excrément ctins du du de l’éléphant de forêt d’Afrique il ils permettent aux graines qu’ils utilisent la germination dans d’autres sur d’autres sols hein c’est assez amusant de voir qu’un éléphant non seulement qui est en grand déclin en risque d’extinction est un animal qui peut servir à la lutte en gros contre le règlement et le réchauffement climatique pour passer de la forêt tropicale et du monde à car c’est un problème mondial hein ce déclin de la biodiversité cette érosion forte à la France rappelons que la le déclin de la biodiversité il existe aussi chez nous hein parce que chez nous c’est pas seulement l’Hexagone c’est aussi les territoires d’outrem par exemple la Guyane la forêt guyanaise hein et puis N nous sommes le deuxième espace maritime au niveau du monde donc on a 10 % de surface des récifs coraliens c’est pas c’est c’est beaucoupin alors on en était à dire que la biodiversité c’était aussi en France pas seulement dans l’exagone puisque il faut pas oublier les territoires d’outremer et la forêt guyanaise par exemple où il y a des jaguars où il y a des animaux qui sont de la faune sauvage entre autres et euh notre 2uxème espace maritime je disais on a car on est le 2è espace maritime mondial on a 10 % de surface de récif coralien alors il y a un plan de biodiversité en France qui date de juillet 2018 il y en a eu un second en 2023 et récemment ça s’appelle maintenant ça s’appelle plus plan de biodiversité ça s’appelle stratégie nationale pour la biodiversité il y a six axes il y a quand même 200 mesures dans cette 3è édition qui sont intéressantes sur le papier freiner l’artificialisation des espaces naturels créer pour cela entre autres entre autres choses de nouveaux parc national en camarg en Guyane on en parlait et dans le bassin de la loarde donc tr parc nationaux nouveaux c’est pas rien développer la nature en ville aussi en milieu urbain ce n’est pas rien faire de l’agriculture et de l’agroécologie une allié de la biodiversité c’est très important réduire les pollutions chimiques il fa réduire les pesticides évidemment lié à l’agroindustrie il y a nous disait Elisabeth borne 10 milliards quand même de subventions mais en fait ce sont pas c’est pas de l’argent nouveau supplémentaire c’est des réaffectations qui sont pas faites et pas faciles à faire c’est des réorientations si vous voulez de finan publi mais il y a pas de calendrier il y a pas de décision juridique parce qu’il n’y a pas de loi sur aucun de ces plans ni sur les pesticide ni sur la chasse intensive il y a pas d’objectif contraignant autrement dit pas de valeur juridique et on sait ce que ça donne en général mais il y a ces cette tentative officielle qui n’est pas inintéressante parce que elle est récente hein et qu’elle au niveau du diagnostic au moins sinon des solutions met bien les choses je pense en avant hein alors la France c’est le 6e pays au passage à avoir le plus grand nombre d’espèces menacées sur 12500 espaces répertoriés en France hexagone et outremer 2300 sont menacés je vais pas vous faire le catalogue des 2300 vous en doutez mais pensons à des choses qu’on voyait dans nos jardins comme les hérissons par exemple mais plus grave peut-être les abeilles domestiques qui pollinisent le Vison d’Europe de très nombreux enfibien j’ai parlé des oiseaux 60 % des oiseaux des champs 30 % des moineaux urbains 70 % des irondelles c’est énorme alors on a la on a des oiseaux très beaux la tourterelle de bois par exemple des bois la Grue cendrée le le marin le martin pêcheur donc qui qui qui sont certains sont encore chassables au passage hein qui sont des espèces en fort fort déclin hein et qu’il faudrait tout à fait protéger hein alors par rapport à ça il y a des je dirais qu’il y a des des débats compris chez les écologistes je me rappel de l’intervention de José BOV sur la question on a réintroduit des de la faune sauvage en France le lynx dans les vauches qui pose pas de problème c’est un bon prédateur pour les rongeurs et C l’ours dans les Pyrénées du côté français il y en a beaucoup beaucoup beaucoup moins que du côté espagnol du côté espagnol il y a une bonne cohabitation elle est plus difficile avec l’ours dans les Pyrénées françaises mais ça se ça se fait par contre avec le loup c’est plus délicat parce que le loup il est beaucoup plus mobile qu’un ours ou qu’un lynx il se balade davantage il est souvent en bande et en meute et il se reproduit beaucoup et donc là il y a un dilemme évidemment jusqu’où on défend le loup bon les écologistes sont pour en dernier recours l’abattage mais en dernier recours dans les Alpes il y a eu quand même des troupeaux qui ont été attaqué l’année dernière plus d’une vingtaine de fois par des meutes de loup et le loup il tue dans une sorte du Briss de des mesures au-delà de ce qu’il va mangerin donc ça fait des dégâts si vous voulez terribles en effet pour les bergers les pasteurs et les troppaux de mouton de chèvre donc on peut pas non plus voilà en faire abstraction il y a un équilibre à trouver mais c’est l’abattage en dernier recours hein il y a eu des libérations euh des lois voté en Europe et en France récemment les écologistes ont protesté à juste titre il n’empêche que José Bovet a dit par exemple un autre écologiste que l’abattage bon ben dans certains cas s’avérait une triste nécessité hein donc ça c’est je laisse ça au débat des uns et des autres certains bandiront par mes propos nuancés sur la question mais c’est un vrai problème que de défendre la faune sauvage chez nous d’attaquer les autres dans les pays pauvres quand au déclin leur propre faune sauvage et de voir que nous-même avons des difficultés avec le loup parce que évidemment il faut quand même rappeler qu’un éléphant de savane ça fait aussi des dégâts sur les cultures qui sont à la lisière hein bon c’est pas non plus pas d’angélisme sur ces questions mais voyez où on met le curseur bien sûr c’est là qui ce qui est très important sur le loup on dit en dernier recours parce qu’il y a des solutions mais elles sont pas miraculeuses c’est le chien Patou qui est bien élevé pour lutter contre les loups par exemple c’est un chien spécialisé dans la lut contre les loup pour leur faire peur bon il y a des encloss avec des choses électriques plus ou moins qui peuvent se promener d’ailleurs avec le avec les les bergers et cetera mais il n’empêche que on a constaté des dégâts et on peut pas parler de lobby les paures ils sont déjà très fragilisés économiquement les bergers voilà ils récl ils réclam l’abattage le droit pour eux d’abattre en cas de bon je laisse à ce point disons à la réflexion voilà alors la crise de la biodiversité évidemment suppose des solutions les solutions on les connaît en généralin en milieu rural c’est essentiellement de replanter ce que l’on a enlevé c’est-à-dire des ha et des arbres y compris là où il y a des culture intensive et où il n’y a plus ni arbre ni haie hein ces ha elles app elles apportent beaucoup de bénéfices contre l’érosion des sols contre les pluies contre l’eau pour l’eau mais elle et même pour les cultures par exemple quand il y a des ha il y a des cxinelles qui reviennent et et d’autres auxiliaires qui reviendront hein mais là il y a le problème des pesticides aussi qui tuent ces insectes et ces oiseaux hein euh ces oiseaux on on a dit même en milieu urbain 60 % dans les champs c’est énorme c’est énorme alors les oiseaux des champs c’est pas tout les oiseaux de France ni d’ailleurs les c’est 10 % des oiseaux seulement hein au total les oiseaux des champ mais quand même sur ces 10 % il y en a 60 % qui disparaissent en milieu urbain B bon à Paris on va à Paris tous quand on habite colombe on n pas loin les moineau ont largement disparu alors les hirondelles aussi c’est dû à deux phénomènes là d’abord il y a une perte d’habitat parce que les réaménagements de façade font qu’ils n’ont plus beaucoup d’endroits se pour se nicher ils ont moins d’endroit pour se nicher et c’est surtout le manque de nourriture et le manque de nourit cure parce que les insectes ont tendance aussi à disparaître alors dans les villes y compris à colombe et là Monsieur Hugo de marche vous en parlera il faut créer évidemment des parcs des jardins et il faut végétaliser alors comment on végétalise à colombe Hugo nous le dira est-ce qu’il faut végétaliser les toitures est-ce qu’il faut végétaliser les cours d’école je crois qu’il y a un programme sur les cours d’école qui est en cours et qui est très très important pourquoi bah déjà pour réduire les effets des vagues de chaleur les lors des canicules qui sont encore beaucoup plus fortes beaucoup plus fortes en ville qu’à la campagne évidemment plus largement on sait qu’à colombe il y a des lieux de biodiversité la coulée verte par exemple notamment sa première partie est un lieu magnifique pour les oiseaux et les chauve-souris il y a le Centre Nature près de la gare du stade il y a la prairie du moulin joli euh et puis il y a d’autres projets je sais qu’on veut végétaliser dans 2 ans des nouveaux espace créer 7 7 hactares je crois de d’espace végétalisé je rappelle au passage que colombe fait 780 hactar donc vous voyez que il y a de la marge hein euh on a la chance d’avoir ça c’est l’aspect positif euh de d’avoir une zone pavillonnaire extrêmement étendue la plus étendue de l’Ouest parisien et où il y a des jardins et des arbre bon ça c’est un aspect de la lutte pour la biodiversité je dirais pas pour le réchauffement climatique puisque c’est pas sont les arbustes hein en fait mais tout de même bon c’est c’est pas inintéressant

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