Touristes Ne Respectent Pas Les Traditions Locales Et Réveillent D’Ancien Démon | Histoire D’Horreur
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M. Caucheffrayant
je m’appelle Rémy et ce que je vais vous raconter n’est pas une histoire à lire tard le soir c’est un avertissement un récit des événements qui m’ont suivi après avoir emménagé dans une petite maison à Saint-Émilion en France il ne s’agissait pas d’une aventure ou d’une recherche de sensations fortes mais d’une fuite une tentative d’échapper à une vie urbaine frénétique et de trouver refuge dans la sérénité d’un village qui semblait s’être arrêté dans le temps mais Saint-Émilion a ses secret comme je l’ai vite découvert je suis arrivé par un après-midi d’automne le soleil se couchait tôt et de longues ombres commençaient à couvrir les ruelles étroites et sinueuses la maison que j’ai louée était une vieille et solide construction en pierre située dans une rue peu fréquentée avec ses épais murs de Pierr et ses petites fenêtres elle ressemblait plus à un petit château qu’à une résidence les habitants m’ont accueillis avec une cordialité é réservé m’avertissant à voix basse et avec gravité de l’importance de respecter les anciennes traditions et coutumes de l’endroit plongé dans ma propre arrogance je n’ai pas prêté suffisamment attention à cess avertissements j’étais plus intéressé par le déballage l’installation et peut-être la dégustation d’un verre du célèbre vin local que par les légendes et les superstitions cette première nuit alors que j’explorais les recoins de la maison j’ai remarqué un air de mystère incrusté dans les pierres froides des murs les chuchotements que j’entendais n’étaient pas seulement les grincements d’une vieille maison qui s’installe c’était des voix basses presque inaudibles qui semblaient se parler faire des commentaires sur le nouvel habitant ignorant les frissons qui me parcouraient les chines j’ai mis tout cela sur le compte de mon imagination produit de la fatigue et du nouveau changement cependant cette nuit-là n’était que le prélude à une série d’événements qui allaient remettre en question ma perception de la réalité et tester les limites de mon scepticisme une histoire réelle et terrifiante que j’ai encore du mal à croire que j’ai vécu si vous êtes prêt à écouter restez avec moi mais sachez que ce qui suit est aussi réel que l’obscurité qui finit par nous envelopper après le coucher du soleil le deuxème jour en explorant le grenier poussireux de la maison j’ai trouvé un vieux coffre en bois recouvert d’une épaisse couche de poussière et de toile d’araignée ma tasse à café par exemple que je laissais toujours sur la table de la cuisine est apparue sur le rebord de la fenêtre de la salle de bain et la Mle que j’étais sûr d’avoir laissé ouverte dans le grenier était maintenant fermée et dans un autre coin il semblait que la maison jouait un jeu pervers avec moi déplaçant les choses comme un échiquier macabre j’ai donc décidé d’affronter ceux qui me tourmentaient une nuit je me suis placé au centre de la pièce parlant à haute voix aux ombres et au chuchotement je leur ai demandé ce qu’ils attendaient de moi pourquoi il troublaient ma tranquillité la réponse est venue sous la forme d’une brise froide qui a soufflé dans les couloirs éteignant les bougies que j’avais allumées et me laissant dans l’obscurité totale à ce moment-là j’ai senti quelque chose me toucher l’épaule une main froide et ferme mais quand je me suis retourné il n’y avait personne ce contact a été le tournant le moment où j’ai compris que je n’avais pas seulement àaire à une vieille maison et à ces bruits naturels j’étais face à quelque chose que je ne comprenais pas quelque chose qui pouvait être dangereux j’aurais dû prêter attention aux habitants j’aurais dû respecter les avertissements mais maintenant il était trop tard et j’étais pris au piège d’un cauchemar que j’avais moi-même inventé puis vint la nuit qui allait tout changer un orage féroce Saat sur saint-émilon comme si le ciel lui-même partageait mon agonie les éclairs traversent le ciel noir et le vent hurle comme s’il m’appelait par mon nom à l’intérieur de la maison les lumières vacillaient puis s’éteignaient me laissant à la merci de l’obscurité et du bruit de la tempête qui battait les vieilles pierres j’ai allumé quelques bougies et les ai dispersé dans la maison essayant de repousser les ombres qui semblaient maintenant plus audacieuses plus formées presque humaine mais même la lumière des bougies ne parvenait pas à dissiper complètement les ténèbres qui s’épaississaient dans les coins de la pièce les cous recommençaient cette fois plus fort et plus déterminé comme si quelque chose voulait entrer ou comme si cette chose était déjà à l’intérieur et essayait de m’atteindre dans cette atmosphère tendue je m’engageis dans le couloir suivant les bruits qui semblaient maintenant provenir de toutes les directions curieux je l’ai ouvert pour découvrir une collection d’objets étranges des masques en bois au trait déformés de petits pots en céramique contenant des résidus d’une poudre sombre et de vieux livres en cuir à l’écriture indéchiffrable même si je ne comprenais pas exactement de quoi il s’agissait quelque chose dans la façon dont ils étaient soigneusement disposés me disait qu’ils avaient une importance particulière mais j’étais aveuglé par ma propre incrédulité à l’égard des superstitions ce soir-là j’ai décidé de porter l’un des masque en sirottant un verre de vin et en riant de la situation je me suis dit quel mal cela peut-il faire c’était un acte stupide un manque de respect dont j’allais bientôt me rendre compte qu’il s’agissait d’une grave erreur la maison semblait réagir à mon dédain car peu de temps après j’ai commencé à entendre des sons inexplicables ils étaient plus intenses que les chuchotements de la nuit précédente comme si quelque chose ou quelqu’un marchait lourdement dans le grenier au-dessus de moi cette même nuit je me suis senti observé chaque coin sombre de la pièce semblait cacher des regards invisibles je tournais rapidement sur moi-même essayant de prendre l’observateur au dépourvu mais il n’y avait personne la sensation était cependant si forte que j’avais du mal à respirer l’air semblait plus lourd comme s’il était porteur d’une énergie sombre presque tangible c’est premier signes que quelque chose n’allait pas du tout aurait dû suffire à m’arrêter et à reconsidérer mon attitude mais à l’époque j’attribuais encore tout au stress du déménagement et à la solitude de la grande maison je ne le savais pas mais chaque rire et chaque geste d’irespect creusait un peu plus ma tombe dans ce lieu oublié par le temps mais dont on se souvient pour sa force ancienne au fil des jours les phénom étranges se sont intensifiés une nuit alors que j’essayais de m’endormir j’ai remarqué des ombres qui dansait sur les murs de ma chambre il ne s’agissait pas d’ombre normal causé par le CLER de lune ou les voitures qui passaient mais de silhouette sombres et déformé qui se déplaçaient avec détermination et intelligence une fois l’une de ces aombre s’est arrêté devant mon lit et je pourrais jurer qu’elle avait des yeux des yeux qui me fixaient avec une sombre curiosité le lendemain j’ai commencé à remarquer que des objets personnels n’étaient pas là où je les avais laissés à chaque pas le parquet gémissait sous mon poids synchronisé avec le tonner qui grondait à l’extérieur puis une découverte inattendue sur le sol en plein milieu du couloir j’ai trouvé une vieille photographie il s’agissait d’une image délavée d’un groupe de personnes rassemblé dans le jardin de la maison toute vêtue de tunique et portant les mêmes masques que ceux que j’avais trouvé dans la malle la réalité de cette image était indéniable et terriblement claire ces gens avaient vécu ici et quelque chose de leur vie restait imprégné dans les murs dans les objets dans l’essence même de la maison je me suis rendu compte avec un frisson qui m’a parcouru les chines que la tempête à l’extérieur n’était pas seulement météorologique mais aussi spirituelle une tempête d’âme troublée peut-être irritée par ma présence et mon ignorance la nuit avançait et les manifestations s’intensifiaient les bougies ont commencé à s’éteindre une à une comme si les espoirs de comprendre ou de contrôler la situation s’éteignaiit les uns après les autres un sentiment de désespoir m’envahit alors que le passé de la maison son présent et mon avenir semble s’entremêler dans une danse macabre de mystères et de révélations au fil de la nuit je me suis senti de plus en plus piégé par les forces qui habitaient à la maison la photographie que j’ai trouvé semblait être une pièce maîtresse un lien entre le passé et les événements étranges auxquels j’étais confronté en y regardant de plus près je me suis rendu compte que la cérémonie représentée sur la photo se déroulait exactement à l’endroit où j’avais trouvé le coffre contenant les objets rituels l’importance de C détail n’est apparu que lorsque j’ai compris que j’avais manqué de respect à un sanctuaire un lieu sacré pour ceux qui avaient vécu ici avant moi cette révélation m’a fait frémir ce n’était pas seulement une vieille maison avec ses bruits habituels et ses ses bizarreries c’était un espace sacré chargé de pouvoir que j’avais provoqué dans mon ignorance les manifestations surnaturelles sont alors devenues plus plus personnel et plus intense des silhouettes pâles ont commencé à apparaître glissant le long des murs et dans les coins des pièces c’étit des silhouettes déformées presque humaines qui disparaissaient aussi vite qu’elles étaient apparues laissant derrière elle une traînée d’air glacée dans cette même atmosphère chargée la maison a commencé à émettre des sons encore plus inquiétants c’était comme si les murs eux-mêmes gémissaient et pleurait se lamentant des affronts commis contre leur passé sacré 6 gémissement était accompagné d’une présence asphyxiante d’une lourdeur dans l’air qui rendait chaque respiration difficile j’avais l’impression que quelque chose d’invisible essayait de m’étouffer comprimant ma gorge et ma poitrine avec une force implacable dans une tentative des espérer pour mieux comprendre ce qui se passait et comment je pouvais apaiser s à force j’ai trouvé un journal caché dans un tiroir fermé à clé ce journal décrivait en détail l’histoire de la maison l’importance des rituels pratiqués et les terribles conséquences pour ceux qui leur manquaient de respect chaque page qu’il tournait semblait augmenter l’intensité des manifestations comme si le fait de lire ce journal éveillait davantage la colère des âmes piégées dans cette demeure la nuit semblait éternelle et à chaque instant la frontière entre ce qui était réel et ce qui relevait du surnaturel devenait plus flou il était clair que j’avais déclenché quelque chose que je ne pouvais niôler ni comprendre quelque chose qui nécessitait plus qu’un simple regret ou un retour au stat à l’oche de l’Aube mon état de désespoir s’est accru dans les mêmes proportions le journal désormais ouvert sur la table semblait être le catalyseur du chaos qui se déroulait autour de moi les murs de la maison autrefois simple spectateur silencieux se tordaient et palpitait comme s’ils étaient vivants murmurant des mots d’accusation et d’avertissement dans une langue que je ne comprenais pas mais dont le ton menaçant était universellement compréhensible dans un moment particulièrement intense je me suis regardé dans le miroir au bout du couloir m’attendant à voir mon propre reflet au lieu de cela le miroir montrait une scène d’un ancien rituel exécuté dans l’arrière-cour de la maison les personnages dans le miroir ne m’ont pas remarqué ils ont continué leur chant et mouvements rituels indifférents à mon étonnement lorsque je me suis retourné pour examiner l’arrière-cour par la fenêtre il n’y avait rien juste l’obscurité de la nuit et le jardin silencieux lorsque l que je me suis retourné dans le miroir la vision avait disparu cette distorsion de la réalité a continué à s’intensifier et dans mon esprit je n’étais plus sûr de ce qui était réel et de ce qui étit une illusion l’impression d’être prisonnier d’un cauchemar était oppressante et la maison semblait décidée à ne pas me laisser oublier l’erreur que j’avais commise j’ai essayé de partir à plusieurs reprise mais toutes les portes et les fenêtres étaient inexplicablement verrouillé comme si la maison elle-même refusait de me laisser partir l’énergie dans la maison est devenue si dense et menaçante que la respiration est devenue de plus en plus difficile à chaque tentative de comprendre ou d’interagir avec CS Force j’avais l’impression de m’enfoncer dans un abîme de désespoir et de folie il était clair que de simples excuses ou des tentative pour remettre de l’ordre dans les objets du coffre ne suffirait pas sauf ses àon ce n’est pas à apaiser ce que j’avais réveillé enveloppé dans cette atmosphère de terreur j’ai compris que je devais trouver un moyen d’inverser ou au moins d’apaiser la situation avant d’être complètement consumé par la maison et ces souvenir tourmentés le poids de l’air les chuchotements accusateurs et les apparitions fantommatiques me rappelait constamment que quelque chose de bien plus ancien et de bien plus puissant que je ne le pensais était en en jeu alors que les premières lueurs du matin perçaient timidement à travers les lourds rideaux je me suis accroché à la dernière parcelle de rationalité qu’il me restait je suis monté au grenier là où tout avait commencé espérant trouver une solution ou au moins une compréhension dans les pages de ce maudit journal en lisant plus attentivement j’ai découvert une issue possible un ancien rituel de réconciliation décrit dans le journal qui pourrait peut-être calmer les forces que j’avais dérangé la description du rituel était complexe nécessitant le repositionnement d’objets sacrés à leur place respective accompagné de mots spécifiques de repentir et de respect je rassemblais tous les objets que j’avais éparpillés dans la maison et les replaçais soigneusement dans le coffre avec une solennité qui m’avait fait défaut jusqu’alors chaque objet semblait vibrer d’énergie lorsque je le remettais à sa place cependant lorsque j’ai essayé de réciter les mots du rituel les manifestations surnaturelles se sont intensifiées l’air ambiant se déforma visiblement comme si une vague de chaleur émanait des murs de la maison des ombres commencèrent à apparaître plus clairement se déplaçant rapidement du coin de l’œil et le bruit des chuchotements s’amplifia jusqu’à devenir presque assourdissant la situation semblait totalement hors de mon contrôle et chaque pas que je faisais vers la réconciliation ne faisait que provoquer encore plus la colère de la maison l’atmosphère devint insupportable l’air chargé d’une énergie presque électrique qui me faisait dresser les cheveux sur la tête et me picoter la peau c’était comme si la maison elle-même résistait à mes efforts défiant chaque mot de repentance que j’essayais d’offrir j’ai alors compris qu’il ne suffirait peut-être pas de rendre les objets et de réciter de vieilles paroles la maison et C entités voulit quelque chose de plus quelque chose que je ne comprenais pas encore tout à fait mon désespoir s’est transformé en panique alors que je m’ forçais de trouver une solution avant qu’il ne soit trop tard avant que le jour naissant n’apporte avec lui plus d’ombre que de lumière face à la résistance de la maison et des entités qui l’habit je me suis rendu compte que ma compréhension du rituel N CIT une approche plus approfondie j’ai relu une dernière fois le journal à la recherche d’indice qui m’auraiit échappé j’ai alors découvert qu’en plus des mots et du remplacement des objets le rituel nécessitait une offrande un geste de bonne foi pour montrer mon respect et ma soumission aux traditions que j’avais violé j’ai donc décidé de réaliser le rituel selon les instructions complète en commençant à l’aube j’ai placé les objets sacrés en cercle dans la cour exa exactement à l’endroit où la vieille photographie montrait que des cérémonies similaires avaient eu lieu avec une bougie à chaque po du cercle j’ai commencé à réciter les mots du journal chaque syllabe tremblant dans ma voix chargé d’un timide espoir alors que les mots raisonnaient dans l’air froid du matin les apparitions commencèrent à se matérialiser plus clairement autour du cercle c’étaient des silhouettes obscures vestiges des anciens habitants de la maison qui observait silencieusement chacun de mes mouvements l’intensité de leur présence était effrayante mais en même temps je sentais un certain calme émané d’ell comme si elles évaluaient ma sincérité soudain une voix claire et profonde s’est fait entendre non pas d’un endroit précis mais de partout elle demandait plus que des mots et des gestes elle demandait un véritable à comprendre et à respecter les forces que j’avais dérangé sentant le poids de cette demande je me suis engagé non seulement à garder les objets à leur place mais aussi à préserver et à protéger l’histoire et les traditions de la maison comme en réponse l’atmosphère autour de moi a commencé à changer l’air lourd et chargé s’est progressivement allégé et les personnages autour du cercle ont commencé à disparaître un par un se dissolvant dans l’air du matin comme la brume dans le soleil pour la première fois depuis le début j’ai senti qu’il existait peut-être un chemin vers la rédemption un moyen de coexister avec le passé que cette maison gardait si farouchement le calme qui a suivi le rituel a été de courte durée à la tombée de la nuit une nouvelle vague de tension s’est installée dans la maison je me sentais épuisé mais je savais que ce répis pouvait être temporaire je décidais de rester éveillé à l’affut de tout signe indiquant que les entités n’étaient pas complètement apaisées l’obscurité semblait plus épaisse et le silence au lieu d’apporter la paix était porteur d’une attente lourde comme l’air avant un orage au fil des heures le sol s’est mis à vibrer légèrement sous mes pieds des sons indistincts comme des chuchotements dans une langue oubliée emplissaient les couloirs augmentant de volume jusqu’à devenir presque des cris puis un phénomène eff an ses produits du sol de la salle principale où le rituel avait été accompli des tourbillons de vent froid ont émergé tourbillonnant en spirale qui semblaiit jaillir des planches de bois elles-même c’était comme si la maison revivait ses anciens rituels avec ou sans ma participation des figures spectrales éclairées par une lumière non naturelle ont commencé à apparaître exécutant des mouvements cérémoniels complexes j’étais paralysé regardant le spectacle surnaturel se dérouler devant moi ces apparitions semblaient concentrer une énergie qui dépassait mon entendement une force qui m’attirait et me terrifiait à la fois au fur et à mesure que la nuit s’enfonçait ma perception du temps commençait à se déformer les heures passaient en minutes les minutes s’étiraient en heures j’étais pris au piège dans un cycle d’événements surnaturel qui mettait en péril non seulement ma santé mentale mais aussi mon existence physique la réalité qui m’entourait semblait se fragmenter révélant des dimensions de désespoir et de tourment que je n’aurais jamais pu imaginer l’intensité des manifestations a atteint son paroxysme et toute la maison a semblé vibrer d’une énergie ancienne et puissante la sensation d’être consumé par cette force devenait de plus en plus PAL ble à mesure que la frontière entre mon être et le surnaturel s’estompait j’étais absorbé par le passé éteré de la maison de plus en plus éloignée de la réalité que j’avais connue lorsque l’aube arriva enfin elle apporta avec elle une étrange paix l’aube était pâle et silencieuse contrastant fortement avec le chaos de la nuit précédente je me sentais différent comme si une partie de moi avait été abandonné dans les ombres qui se retiraient lentement avec la lumière grandissante dans le grand hall où les tourbillons de vent et les apparitions avaient été les plus intenses il ne restait plus qu’un profond silence et un sentiment de finalité autour de moi la maison semblait enfin au repos comme si les énergies qu’il avaiit agité pendant la nuit étaient maintenant apaisé mais le calme était trompeur sur le sol du salon parmi les cercles de bougies maintenant fondu et dispersés mon corps gisait immobile je n’étais plus vivant au sens conventionnel du terme mais une partie de ma conscience persistait attaché à la maison observant et sentant à travers un brouillard éterré la découverte de mon propre corps était choquante mais d’une certaine manière pas surprenante j’avais senti l’intensité de CF force surnaturelle si réelle et si puissante que la mort semblait une issue inévitable la maison avait réclamé quelque chose de moi une offrande peut-être pour rétablir son équilibre sacré que je n’avais pas respecté au fur et à mesure que le soleil se levait les derniers vestiges des ombres et de la terreur que j’avais vécu s’estompaient la maison était calme presque accueillante cachant bien les secrets et et les histoires que les vieux murs renfermaient à l’extérieur le village de saint-émilon se réveillait inconscient de ceux qui s’étaient passés à l’intérieur de cess mur pendant la nuit au fil des jours la vie du village et de ses habitants continuaiit indifférente au sort qui m’était réservé la maison est restée là imposante et silencieuse attendant peut-être que le prochain locataire ou le prochain curieux défie ses traditions et ses gardiens spirituel mais pour moi Rémi l’histoire avait pris fin un sombre dénouement qui servirait d’avertissement à ceux qui franchiraient le seuil de cette maison sans respecter les forces qu’ l’habit