Keynote
    Intervention de :

    Le SSF est responsable de la maîtrise d’ouvrage du maintien en condition opérationnelle (MCO) des matériels navals. Il est le garant de la disponibilité technique des bâtiments de surface, des sous-marins et des moyens nautiques.

    Présent sur tout le cycle de vie des unités navales, de leur conception jusqu’à leur déconstruction, le SSF propose et met en œuvre la politique de MCO des matériels navals en service et confie à des maîtres d’œuvre industriels la responsabilité de l’entretien des bâtiments via des marchés globaux.

    Naval Group, Maître d’œuvre industriel, concepteur et intégrateur d’ensemble des navires armés et des systèmes de combat, est un acteur international du naval de défense.

    Grâce à des savoir-faire et des moyens industriels exceptionnels, il conçoit, réalise, intègre, maintient en service, démantèle et déconstruit des sous-marins et navires de surface. La France lui doit d’être membre du cercle restreint des nations conceptrices de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE). Elle est aussi l’une des rares à disposer d’une armada aéronavale d’excellence, dont le porte-avions Charles de Gaulle, symbole de la dissuasion française conçu et entretenu par Naval Group, est le navire amiral.

    Depuis ses 10 sites de production en France, tous experts dans un volet clé de la chaîne de valeur du naval de défense, et depuis ses filiales internationales, Naval Group bâtit pour chaque marine une offre unique de produits et de services. Une offre adaptée à ses besoins propres et aux enjeux locaux.

    vous avez parlé de la complexité des des sous-marins ben c’est bien le sujet qui va nous intéresser maintenant puisque je vais demander à thry Mengo qui est responsable d’opération SSF à Toulon et Sylvain Tiran qui est directeur du département chantier d’d mess de naval group de bien vouloir nous rejoindre sous vos applaudissements ils vont nous parler d’un sujet qui est dans les mémoires en tout cas qui est un cas d’école réparation extrême le sauvtage de la perle c’était le 12 juin 2020 un incendie se déclare dans le sous-marin perle de la classe Ruby il est au bassin c’est un coup dur industriel et stratégique mais c’était sans compter sur la capacité des ingénieurs à trouver des solutions et redonner vie à ce SNA c’est ce que nos deux invités vont nous raconter vous avez une présentation voici la télécommande que j’allume vous avez des micros et vous avez 25 minutes monsieur c’est à VOUS bonjour donc nous allons vous parler de la réparation de la perle je ne vois pas ce que je vous présente l’écran là-bas parfait euh on va commencer par situer le le contexte le contexte c’est une contexte de mutation de la flotte des sous-marins nucléaires d’attaque et du port de Toulon les six sous-marins nucléaires d’attaque de type Ruby qui datent des années 80 sont progressivement retirés du service pour être remplacé par les sous-marins de la classe suffrain programme Barracuda dont l’entrée en service estchelonne pendant la décennie 2020 pour accueillir ce nouveau type de navire la base de Toulon est en travaux avec le Programme d’infrastructure accueil et soutien barracudda ASB la politique de maintenance des navires prévoit tous les 10 ans ce qu’on appelle une indisponibilité périodique pour entretien à réparation une hiper qui dure à peu près 18 mois et qui avec un million d’heures de travail redonne le potentiel dans notre jargon pour 10 ans de service et donc l’hyper numéro 3 de la perle c’est la dernière hyper de la perle et la perle c’est le dernier des sous-marins de type Rubi c’était donc la dernière hiè de SNA de type Rubi qui a commencé toute fin 2019 et qui était prévu de s’achever à l’été 2021 et début 2022 on libérait les installations pour permettre les travaux de refonte le 12 juin 2020 s’est produit l’incendie majeure suite à un feu électrique il y a eu aucune victime il y avait ni armes ni combustible nucléaire à bord et comme on avait déjà 6 mois de travaux derrière nous on avait débarqué l’essentiel des matériels à bord pour autant les dégâts matériels sont restés considérables en particulier pour les structures internes et pour la coque donc suite à cet incendi on a une mobilisation générale avec comme objectif d’assurer la disponibilité des sous-marins au profit des forces et ça sur trois horizon temporel à court terme compenser l’indisponibilité de la perle qui ne retrouverait pas le service actif à la date prévue et donc concrètement prolonger le service d’un certain nombre de navires à moyen terme réparer la perle mais pas quoi qu’il en coûte si elle est réparable et à long terme minimiser le l’impact de ces travaux d’une part sur la construction des sous-marins d’un nouveau type et d’autre part sur les travaux d’infrastructure qui sont nécessaires à l’accueil des nouveaux sous-marins et on s’est donc concentré sur la question la perle est-elle réparable avec deux activités qui vont l’une avec l’autre avoir une idée précise de l’état du sous-marin et identifier les scénarios de réparation accessible le premier diagnostic ça a été quel est l’état de la coque résistante avec deux axes d’abord est-ce que l’acier de la coque qui a des performances mécaniques particulières est encore au niveau attendu on a réalisé des mesures directes à bord et sur des échantillons prélevés et on a aussi céder à des évaluations indirectes alors avec quelque chose qui ressemble un peu à du relevé d’indice on a analysé l’état des revêtements que ce soit les peintures ou le liège qui est collé sur la coque pour déterminer les températures qui avaient été rencontrées et puis il y a une modélisation numérique à l’image à droite de des températures rencontrées au cours de l’incendie et par ailleurs on a vérifié la géométrie de la coque parce que même si les capacités les propriétés mécaniques sont bonnes si la géométrie est perdue la résistance on l’ pas donc on a vérifié l’écarage des couples la flèche en maille et la circularité de la coque la conclusion c’est qu’on délimite finalement une zone arrière où la coque est restée saine et utilisable et une zone avant où la coque elle est irréparable les températures rencontrées on fait perdre les propriétés des matériaux la question c’est donc pour réparer la perle il me faut une nouvelle coque première possibilité construire une coque neuve ça a été écarté assez rapidement pour des raisons économiques mais aussi pour des RA mais calendaire parce que fabriquer une un avant de coque neuve c’était remettre en cause le calendrier des barracouas la deuxième piste c’est donc ce qu’on appelle l’hybridation entre l’arrière de SNA perle qu’on conserve et l’avant d’un autre sous-marin il y avait deux candidats possibles soit le SNA Ruby dont le retrait était prévu fin 2020 soit le SNA saphir qui était le premier qu’on avait retiré en 2019 euh pour assurer la disponibilité à à court terme on a prolongé le service actif du Ruby jusqu’en 2022 et c’est donc le saphire qui a été retenu comme donneur pour la greffe tout ça suppose quand même d’être capable de couper un sous-marin en deux d’amener deux moitiés de sous-marins l’une en face de l’autre et de les souder et ces moyens industriels ils existent en France mais il n’existe qu’à cherbour donc la question qui s’est posée assez rapidement aussi c’est la réparation est possible il faut juste envoyer un sous-marin cherbo à quel endroit on va couper la coque alors la position de coupe en fait n’a pas été la même sur l’arrière de la perle et sur l’avant du saphir on a décalé de d’un,40 la position de la coupe et ça pour plusieurs raisons bon ça permettait de pas fabriquer de coque nouvelles ça nous évitait d’intervenir à proximité de l’enceinte de confinement c’était favorable pour la manipulation des tronçons découpé puisque le la coque était plus rigide de cette façon et puis sur surt ça nous créa une zone supplémentaire qui permettait de réaliser les jonctions des réseaux ce c’est pas du tout un détail il y a à peu près 120 câbles électriques qui circule entre l’avant et l’arrière 60 collecteurs fluides et remplacer un câble électrique par une boîte de jonction quand il y a 120 boîtes de jonction aménager dans un sous-marin et ben on a besoin de volume conclusion une perle réparée c’est une perle rallongée le rallongement reste tout à fait raisonnable on parle de 2 % en longueur euh pour autant on a vérifié systématiquement toutes les performances euh attendues du sous-marin rallongé évidemment la tenue de la coque à la pression d’immersion euh comme on change la forme extérieure du sous-marin on change son comportement hydrodynamique que ce soit en résistance à l’avancement ou en qualité manœuvrière donc ça tout ça a été vérifié la sécurité plongée la sûreté nucléaire et de façon générale les performances opérationnel euh les bon fonctionnement de l’ensemble des installations du sous-marin ça apporte pé sur 100000 heur d’ingénierie on a fait des aménagements de maquettees 3D des calculs de structure des simulations hydrodynamiques pour produire un dossier documentaire qui a permis de démontrer aux autorités compétentes la commission de sécurité maritime pour la sécurité plongée et l’autorité nucléaire pardon l’autorité sûreté nucléaire de défense pour les aspects nucléaires que le bateau modifié pouvait naviguer en toute sécurité avec les performances attendues et donc depuis l’in du 12 juin 2020 on a travaillé de façon parallélisée et pas complètement séquentielle pour mener des enquêtes des diagnostiques des expertises identifier des scénarios de réparation possibles planifier programmer d’un point de vue industriel C ces activités et puis traiter les aspects contractuels et financiers qui étai pas forcément un détail pour arriver en septembre 2020 à une description détaillé des options accessibles associé à des engagements de coût de délai de performance ce qui permis le 22 octobre 2020 4 mois après l’incendie que la ministre des Armées Madame Florence parli puisse annoncer la décision de réparation et donc 4 mois après l’incendie commencé la mise en œuvre de la réparation de la perle bonjour à tous donc pour réaliser cette opération il a il a été nécessaire de réunir les compétences adéquates celles du lié à la construction du sous-marin et celle de la maintenance ou du MCO mais que ce soit aussi bien dans la partie ingénierie étude que dans la partie réalisation nous avons donc monté une équipe multisite le départ de la perle abîmée a été un premier défi sécuriser le navire définir son état de masse et de de stabilité réaliser son déséchouage et être en capacité de le réaliser sa pose dans un navire porteur avec des supports spécifiques un projet en soi réalisé en moins de 3 mois la perle arrive donc à Cherbourg à son lieu de naissance accompagné des collaborateurs toulonnaés connaissant parfaitement le navire le saphir s’y trouve déjà et les opération de préparation à la découpe ont déjà commencé à l’aide d’équipe mixte cher bourgeoise spécialisé dans le dans le démantelllement et les Toulonnais spécialisés dans la maintenance pourquoi Charbourg comme le le disait Thierry pour ceux qui ne le savent pas à Charbourg nous construisons les les sous-marins à partir d’anneau et de tronçons que nous assemblons donc découper une coque et la ressouder et presque une opération courante sur ce site les moyens industriels comme le DME où les marcheurs s’y trouvent avec notamment une possibilité rare de pouvoir aligner de demicoquees avec une géométrie maîtrisée précise et qualifiée la soudure de la coque elle-même est très spéciale elle est réalisée par les soudeurs cherbourgeois hautement qualifié et entraîné pour travailler sur cet acier indépendamment des photos précédentes que nous voyons qui sont parus largement dans la presse en fait ce qu’il faut réaliser c’est le travail de préparation qui a été nécessaire pour en arriver là ce que l’on voit moins donc c’est les opérations qui ont consisté à découdre les entrailles du sous-marin constitué de réseaux fluidiqu électrique au bon endroit et de la bonne manière afin de pouvoir les reconnecter chaque tuyau chaque câble ont été repérés ils ont chacun fait l’objet d’étude spécifiqu suivant leur technologie et ils ont subi un process de requalification ce process de requalification a nécessité aussi chez naval group l’entraînement de plusieurs équipes qui ont été désignées et qui sont entraîné à reconnecter un à un les différents réseaux du sous-marin à la suite vis-à-vis de ce processus de qualification nous avons vérifié l’atteinte essentielle des performances de la Résistance et de la tenue dans le temps de ces jonctions cela fait l’objet d’un dossier qui a été remis en temps réel au SSF et à la DGA pour validation vous voyez donc sur sur l’image de gauche l’avant de la perle l’avant du Safire pardon qui a été découpé au bon endroit avec l’ensemble des liaisons les câbles électriques les tuau et les câbles pyroténx qui était mise en attente afin d’être reconnecté donc pour ça bien sûr on va dire un petit peu le le défi qu’on a réussi à relever c’est d’arriver à tuiler les opérations d’étude et de réalisation dans un délai très très court l’utilisation de la maquette 3D a permis de définir et de valider l’ordre de remontage de toutes ces liaisons cela permis aussi de vérifier l’aménagement et de vérifier les positions de travail de chaque collaborateur lors des jonctions dans un environnement très étroit vous voyez quelques photos qui montre le travail d’ingénierie qui a été réalisé en étroite collaboration toujours avec les équipes de terrain pour revenir sur ce projet hors norme euh ce qui est réellement hors norme en fait c’est le délai sur laquelle n nous avons réussi à remettre la perle au service actif je vous rappelle qu’en octobre 2020 donc la décision est prise après 3 mois de préétude permettant d’établir un dossier de réalisation et un dossier de choix qui amené la décision ministérielle de réparation de la perle 3 mois après la perle quitter tou longon pour arriver en 2021 à Charbourg dès janvier 2021 où on a procédé à la découpe de ces coque au jonctionnement à la découpe de la coque de la perle à la découpe de la coque du saphir au jonctionnement des deux parties et à la remise à flot il faut voir aussi que durant cette année 2021 nous avons opéré les opérations de de contrôle et de restauration de la coque du SNA saphir pour arriver à donner aussi à cette partie un potentiel de navigabilité de 10 ans au retour de Toulon au retour à Toulon en novembre 2021 les travaux d’hyer reprennent notamment avec l’ensemble des opérations de maintenance chaufferie en coactivité avec les travaux de jonctionnement interne du navire des réseaux fluidiques et électriques sans su une sortie bassin en novembre 2022 hein qui a nécessité déjà de réaliser à peu près 500 essais pour qualifier le la capacité du navire à sortir de de sa cale sèche et ensuite nous avons réalisé l’ensemble des autres essais un volume complet de 1500 essais élémentaires en compagnie de l’équipage sous la supervision du SSF afin de prouver que le sous-marin était en capacité de naviguer en sécurité que c’est ses capacités opérationnelles étaient garanties et de de vérifier ses performances manœuvrières pour réaliser tout cela en fait 277 ordres de modification ont été déployé car dans la maintenance il ne suffit pas de faire des travaux la documentation aussi est très importante 55 sont liés à la réparation notamment sur le raboutage et par l’utilisation d’une nouvelle maille comme nous travaillons dans un sous-marin pour ceux qui le savent le volume disponible est toujours une denrée rare nous en avons profité pour faire quelques améliorations notamment doté la perle d’une nouvelle caisse à e douce ainsi qu’un système de distribution permettant d’augmenter sa capacité d’emport d’au douce et nous avons pensé donc aux conditions de vie des marins en y intégrant donc une nouvelle chambrée pour 5 personnes dans un sous-marin ce n’est absolument pas anodin on peut dire aujourd’hui que en novembre 2020 c’est un sacré Paris à l’été 2023 comme nous n nous étions engagés en fait la perle est revenue à son service actif nous n’oublions cependant pas les leçons qu’on doit emporter qu’on doit nous n oublions pas cependant les leçons de cet événement inhibiteur l’incendie de la perle les chantiers de maintenance et particulièrement les chantiers de maintenance navale sont toujours des chantiers à risque avec énormément de bon de feu énormément de travaux d’ACD ou la coactivité basson plein l’organisation de sécurité incendie est un point primordial tout de suite après l’incendie nous avons analysé l’ensemble de l’organisation en place qui était déjà conséquente et nous l’avons largement amélioré nous avons ainsi augmenté l’effectif de pompiers de première intervention nous avons procédé à une réduction drastique de la charge calorifique mené à bord hein par des parquets par des parquets provisoires maintenant métalliques à l’intérieur des sous-marins et nous avons augmenté le nombre d’exercices que ce soit avec les pompiers en terme de fréquence et de qualité bien sûr d’autres systèmes ont été mis en place l’amélioration de tout ce qui est détection incendie de chantier au sein du navire et un système qui nous permet de savoir à l’instant quel collaborateur est présent dans le sous-marin pour revenir et pour finir ce qu’on peut retenir de cette opération déjà c’est que la clé les clés de la réussite ont été un engagement fort de tous les acteurs à tous niveau que ce soit industriel ou étatique et immédiat une agilité de l’organisation qui a été mise en place qui nous a permis de réunir des compétences multisit avec un travail en plateau et des boucles de décisions courtes et rapide et enfin un tuilage relativement exceptionnel quand on regarde dans le rétroviseur entre les études et la réalisation ce travail d’équipe c’est l’objet aussi d’un savoir-faire industriel c’est une app une application individuelle de chacun et de chaque collaborateur et des mobilisations multisites avec pas mal de missions que ce soit pour les chbourgeois ou pour les toulounis dans tous les cas la clé de la réussite dans le métier de la maintenance ça reste la rigueur et le pragmatisme il faut des procédures formalisées un suivi adapté et comme jamais ne se passe forcément comme prévu un suivi des écarts via un processus de dérogation maîtrisé je vous remercie merci messieur de cet éclairage c’est une situation idéale pour commencer pour lancer le le ce forum 2024 on a un petit peu de temps pour éventuellement prendre une ou deux questions de de la salle est-ce qu’il vous avez des des questions à leur poser en sachant que vous allez pouvoir les rencontrer euh il y avait une main qui sétait élevé non c’était un c’était est-ce que vous avez pas de question tout est clair euh c’est voilà vous nous donnez la démonstration de de de la qualité de la coopération tout ce que vous venez de dire le le le pragmatisme la rigueur cette capacité aussi à agir vite c’est un très très bel exemple être très réactif très agile finalement et tout ça ça peut se faire et ça fait le lien ben je vous remercie puisque il y a pas de question ah si il y a une question je vous amène un micro ça ça va faire le lien avec la table ronde suivante sur sur la formation une question oui bonjour Alors vérifie que le micro soit bien allumé c’est aussi de la maintenance merci pour votre présentation et puis la démonstration de cette performance qui est quand même assez exceptionnel euh mais j’ai une question en en vous écoutant assez basique euh on a pris la moitié d’un sous-marin l’autre moitié de l’autre j’imagine qu’évidemment ce que je vais demander a été évoqué est-ce qu’il aurait pas été plus simple de requalifier complètement c le Ruby en fait pour 10 ans puce qu’on en a pris la moitié le le saphir en l’occurrence le saphir pardon euh il y a aussi la question vous m’entendez du de la chaufferie nucléaire et des systèmes qui sont à l’arrière entre le saphir et la perle au neevage il s’est passé une dizaine d’années voire un peu plus donc la il y a certains éléments de la chaufferie nucléaire à commencé par la cuve qu’on ne sait pas remplacer et donc la cuve ça reste la cuve du bateau pendant toute sa vie et c’est notamment le potentiel de la chaufferine nucléaire qui a conduit à dire euh il faut garder l’arrière de la perle de manière très objective est-ce qu’il y a encore une question oui je vous amène un micro je vais faire si je fais toute la salle toute la journée ça va être merci beaucoup merci pour votre présentation alors une question très pragmatique on a tous nos habitudes et là euh c’est exceptionnel deux équipes une équipe de Cherbourg une équipe de Toulon comment avez-vous organisé cet aspect collaboratif parce que chacun a son mode de sa manière de fonctionner comment avez-vous fait pour pouvoir jouer de concert cette belle symphonie alors c’est avant tout lié à l’organisation qui a été très vite mise en place en identifiant les les bonnes personnes dans dans chatsite porteur en fait du du du programme d’ensemble eTTH via des des rituels très étroits en fait ce projet entre guillemets de d’un an de réparation a fait l’objet de de rituel pratiquement tous les deux jours dans l’ensemble des spécialités et des donc des des rituels qui étaient partagés entre Cherbourg et et Toulon et avec même avec le SSF on va dire pas mal de de de restitution de situation euh au fil de l’eau chaque semaine et ce qui a été relativement important aussi c’est que l’ensemble de nos services était en relation direct pour parler à niveau l’ingénierie avec l’ingénierie les experts avec les experts les experts du chantier et de la maintenance entre Thierry sur ce sujet la coopération a il y a une expression qui qui tourne dans dans nos milieux c’est la sous-marinade alors c’est ça n’a rien de que linaire il y a quand même c’était pas un problème Toulonnais cette histoire là le la réparation de la perle on l’a dit c’est un traumatisme au départ l’incendie ça a marqué tout le monde y compris en dehors de Toulon et la mobilisation elle a été aussi que quel que soit le site et finalement quel que soit le dossard tout le monde avait envie d’y arriver merci beaucoup Thierry Mengo et Sylvain tyran

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