En immersion au CHU de Reims, à la découverte du bloc opératoire et de la chambre funéraire

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L’hôpital est un lieu ouvert au public et pourtant certains services sont interdits d’accès. Au sein du CHU de Reims, nous sommes allées à la découverte du bloc opératoire avec un chirurgien, et de la chambre funéraire avec un médecin légiste qui pratique notamment des autopsies.

19h36 l’heure de retrouver votre feuilleton de la semaine consacré au lieu fermés au public ce soir on vous emmène dans le plus grand hôpital de la région le CU de reins on vous emmène découvrir le bloc opératoire et même la chambre funéraire à la rencontre d’un des médecins légistes épisode signé

Clément pravas Teddy Caruel et Guillaume Balin c’est sans doute l’un des endroits les plus ouverts au public le CHU de reince mais sein même de l’hôpital certains services sont interdits d’accès nous avons pénétré deux d’entre [Musique] eux le premier lieu vous en doutez à ma tenue c’est le bloc opératoire on va

Rentrer au sein d’une salle d’opération pour rejoindre le docteur merol bonjour Docteur vous êtes vous êtes chirurgien ben merci de nous accueillir dans votre bloc opératoire alors là c’est très calme mais il faut imaginer que pendant une opération ça ressemble pas à ça ah ça ressemble pas du tout à ça c’est une

Petite ruche dans lequel il va y avoir une dizaine de personnes autour d’un même patients qui vont s’occuper de lui et donc tout le monde va s’activer avec le patient ici sur la table [Musique] d’intervention et en terme de de sécurité d’hygiène alors on voit on a des tenues mais ça s’arrête pas

Seulement là il y a l’air aussi qui est contrôlé bien sûr l’air de cette pièce est vérifié purifié suivant un cycle qui va du plat fond vers le sol sans arrêt avec une certaine pression comme vous le voyez auudessus de la porte qui équilibre tout ceci moment on est en

Train de parler s’il y a une urgence tout est déjà prêt pour intervenir là tout est déjà prêt ça c’est le secteur anesthésique ici vous avez le ce qu’on appelle le respirateur qui va aider le patient pendant son anesthésie générale donc ces appareils qui sont jamais jamais éteints parce qu’il faut faut les

Allumer et puis si vous avez des produits qui sont prêts au cas où éventuellement il y aurait besoin de de faire un Gest rapidement ce bloc opératoire fait partie des 27 blocs du CHU où 200 personnes travaillent près de la moitié de leur 27000 interventions annuelles sont des

Urgences après un passage à l’hôpital on y sort bien souvent guéri mais dans certains cas on y décède et c’est ici dans le service de chambre mortuaire que sont pris en charge les défunts plus de 2000 personnes décédées passent dans ce service chaque année les SEP agents de chambre mortuaire

S’occupent d’eux pour les rendre présentables aux familles avant un enterrement je rejoins le docteur Anne durlac bonjour vous êtes la chef de service de cette chambre mortuaire alors c’est quoi ces armoires qu’on voit autour de vous en fait ce sont des cellules réfrigérées dans lequel les patients décédés sont conservés pendant

Un certain temps il y a donc des des cellules qui sont à + 4°gr ou à – 20°gr en particulier quand il y a un but de d’autopsie médicau légal et c’est un endroit très sécurisé pas accessible à tout le monde tout à fait seul les les les membres du personnel badget nommés

Peuvent avoir accès à cette à ce lieu et c’est quoi la prochaine étape une fois que les corps sont ici et ben les prochaines étapes on retrouve les quatre missions de la chambre mortuaire c’est-à-dire les patients décédés présentés aux familles ou alors peuvent également avoir une autopsie médico-légale mais également une

Autopsie médico-scientifique ou alors possentiellement être donneur de greffe être donneur de corné dans certains cas une autopsie est nécessaire sur le corps des défunts et ça se passe ici avec le professeur for bonjour vous êtes médecin légiste alors qu’est-ce que vous pratiquez ici dans cette salle alors il existe deux

Catégories d’autopsies les autopsies médicales qui sont pratiqué à la demande de nos collègues cliniciens de l’hôpital pour rechercher les causes d’un décès inattendu inexpliqué et évidemment contribuer à apaiser le deuil des familles parce que aujourd’hui les familles à juste titre souhaitent connaître les causes de décès et puis nous pratiqu

Des autopsies judiciaires en à peu près environ 200 parents qui sont là ordonné par le procureur de la République avec comme objectif effectivement aussi de rechercher la cause du décès mais de rechercher aussi les circonstances du décès et notamment de distinguer un homicide un accident un

Suicide une mort naturelle et ce dans le prochain épisode on vous emène derrière les murs de la sous-préfecture de reins lieu chargé d’histoire et de recoin très peu exploré