Mardi 26 mars 2024, SMART BOURSE reçoit Valérie Gastaldy (Stratégiste, DaybyDay) , Roni Michaly (Président Directeur Général, Galilée AM) , Evelyn Herrmann (Économiste Europe, Bank of America Global Research) et Léa Dauphas (Chef économiste, TAC Economics)
[Musique] bienvenue à tous dans Smart bourse votre émission quotidienne sur bmart pour rester à l’écoute des marchés chaque jour du lundi au vendredi à 17h pour la grande édition si vous nous suivez en direct sur bismart TV émission que vous retrouvez chaque soir en replay sur bismart.fr ou encore en podcast sur
L’ensemble de vos plateformes préférées au sommaire de cette édition ce soir on va commencer à tirer les premiers enseignements de ce premier trimestre sur les marchés financiers un premier trimestre qui aura été excellent en terme de performance pour les actifs risqués notamment on a des performances
Entre 8 et 12 % pour les grands indices mondiaux plus 8 % pour les actions mondiales à travers l’indice MSI world on est sur un petit + 10 pour les marchés américains à ce stade que ce soit le SNP 500 ou le Nasdaq et un peu au-dessus pour certains marchés
Européens quand on regarde notamment l’eurostock 50 qui est en progression de 12 % depuis le 1er janvier un premier trimestre donc qui aura été excellent en terme de performance boursière accompagné notamment par les dernières communications des banques centrales on sort de la séquence des meetings et des décisions de politique monétaire du mois
De mars avec l’idée quand même qu’il y ait un billet d’ovich qui s’est installé chez certaines des grandes banques centrales majeures puisque je vous le rappelle la Fed nous dit qu’il y aura plus de croissance nominale pour plus longtemps mais que il y aura quand même quelques baisses de taux devant nous
Cette année sans doute à partir du mois de juin le printemps des banques centrales nous y reviendrons bien sûr avec nos invités en plateau dans quelques instants et puis dans le dernier quart d’heure de Smart bourse le quart d’heure thématique nous nous focaliserons sur une grande thématique d’investissement comme nous le faisons
Régulièrement avec les équipes de Galilée Asset Management la méga tendance que nous décrypterons à 17h45 sera celle du Cloud et de l’internet des objets et c’est Ronnie michali le président de Galilea set manag qui sera avec nous l’invité de ce dernier quart d’heure de Smart BSE ce soir avant d’accueillir nos invités de
Planète marché les infos clés du jour chaque soir en ouverture de Smart BSE c’est tendance mon ami et c’est avec Pauline gratel les marchés européens évolue en légère hausse aujourd’hui le CAC 40 lui tourne autour des 8160 7 points au cours de cette séance mais on le voit bien les regards sont tournés
Vers les États-Unis et l’heure est à la prudence avant les chiffres de l’inflation PCE prévu vendredi des statistiques importantes donc attendu en cette fin de semaine même si plusieurs marchés européens seront fermés vendredi et lundi parce que c’est le grand weekend de pâack l’occasion rêvé pour
Moi de vous faire un point sur le prix du cacao parce qu’à P on mange du chocolat enfin si on en a les moyens la tonne de cacao frôle les 10000 dollars pour la première fois de son histoire et après avoir plus que doublé depuis le début d’année elle dépasse ainsi le prix
Du cuivre pour sa première journée de cotation sur le Nasdaq le groupe de Donald Trump propriétaire de son réseau social trus social s’envole de plus de 50 % valorisant la participation de Donald Trump à plus de 5,5 milliards de dollars en France le déficit public
Atteint 5,5 % du PIB en 2023 soit 154 milliards d’euros contre 4,9 % attendu selon les données ce matin publié par l’INC du côté de la dette publique elle est également supérieure aux attentes à presque 111 % du PIB mais Bruno Le Maire ministre de l’économie et des finances
Indique sur RTL qu’il n’y aura pas de hausse des impôts on peut parfaitement faire des économies sur les dépenses publiques sans aller piocher dans les poches des Français du côté des indicateurs aujourd’hui direction les États-Unis où les investisseurs ont pris connaissance de la confiance des consommateurs du
Conférencebard de mars qui se dégrade à 104,7 contre un consensus 206,9 les commandes de bien durabl sur un mois en février toujours aux États-Unis rebondissent de 1,4 %. pour rappel le mois dernier elles était en repli de 6,4 %. enfin l’indice des prix des logements pour un an en janvier
Jvier ressort à 6,3 % contre 6,7 % le mois précédent dans les actualités des société aujourd’hui Athos publie ses résultats annuels après deux reports l’entreprise fait état d’une perte nette de 3,4 milliards d’euros en 2023 contre 1 milliard l’année précédente le groupe entre en procédure amiable pour la
Renégociation de sa dette pour les investisseurs ces résultats ne sont pas convaincants le titre perd 7 % au cours de la séance Carrefour chute jusqu’à 4,5 % aujourd’hui après l’annonce du rachat de 3,5 % de son capital à la famille moulin cette opération s’inscrit dans un programme de rachat d’action de 700
Millions d’euros la famille moulin par ailleurs principal actionnaire du groupe galerie lafillette était un actionnaire historique pour Carrefour et cède donc sa place de première actionnaire autre info aujourd’hui à retenir et elle concerne 20 Boloré l’homme d’affaires entre au capital de Ruby le groupe de distribution de produits pétroliers et
De panneaux solaires Boloré détient ainsi 5 % du capital cette opération est saluée par les investisseurs et Ruby prend plus de 8,5 % en tête du SBF 120 demain les investisseurs prendront connaissance de l’enquête de confiance du consommateur en France pour le mois de Mars et de la première estimation
D’inflation en Espagne pour le même mois tendance mon ami chaque soir les infos clés de marché résumé par Pauline grattel en ouverture de smartbard sur [Musique] bmart trois invités avec nous chaque soir pour décrypter les mouvements de la planète marché Eveline Herman est avec nous économiste Europe chez Bank of
America Global Research bonsoir Eveline bonsoir merci d’être là merci à Léa dofas d’être avec nous également bonsoir léaonsir vous êtes chef économiste chez tac economics et Valérie Gastaldi nous accompagne bonsoir Valérie bonsoir ravi de vous retrouver vous êtes stratégiste chez day by day un mot peut-être de des
Conditions de marché en tout cas au terme quasi terme de ce premier trimestre Valérie je donnais quelques référence le MSI World c’est autour de 8 % de hausse le SNP le Nasdaq c’est un + 10 et c’est plus 10 plus on va dire pour les indices en Europe c’est + 12 pour
L’eurostock 50 si on prend des des grands indices de de référence pour les les marchés développés comment s’est faite cette hausse est-ce qu’elle s’est faite dans le doute est-ce qu’elle s’est faite dans l’optimisme est-ce qu’elle s’est faite dans l’idée d’une certaine complaisance peut-être alors peut-être qu’on peut distinguer deux phases une première
Phase qui a été celle du doute parce que bon dans l’ensemble le marché n’était pas inquiet en fin d’année dernière mais je crois que dans la majorité ce qui était envisagé c’était plutôt qu’on s’arrête sur les sommets précédents et puis qu’on consolide et puis que peut-être ça rebaisse un peu enfin bon
Donc on envisageait pas grand-chose pour 2024 euh mois de janvier c’est un petit peu ce qui s’est passé parce qu’on a commencé par avoir une une correction qui finalement cette correction a été très peu profonde euh moins de 5 % hein je pense hein on a même pas eu 5 % P je
Raisonne pas de cette façonl je raisonne de combien de quelle proportion on a baissé par rapport à ce qu’on avait monté d’accord ok et parce que c’est ça qui permet de la tendance change si elle peut repartir et cetera euh donc correction très peu profonde et c’est vrai que
Après après cette ce moment-l à partir du mois de février on a commencé et puis ça a pris de l’ampleur à envisager que les les banques centrales enfin notamment la banque centrale américaine B ses taux plus vite que ce que l’on croyait et que en même temps
L’économie ne soit pas si faible que ce que l’on pensait d’ailleurs c’est c’est plutôt fa un sens inverse on a plutôt d’abord anticipé une reprise économique meilleure que prévu et puis après bah voilà la surprise de banque centrale qui néanmoins serait prête à relaxer un malgré tout baisser les taux oui parce
Qu’on est passé par un moment où on se demandait même si la fête baisserait ces taux en 2024 oui bah oui oui oui bah la question tient toujours mais pour moi la question tient toujours ils ont pas encore baissé donc euh voilà donc est-ce que ça c’est fait pour
Répondre à vos questions dans l’ordre bon ça c’est ce qui s’est passé sur les actions sur les autres marchés il s’est pas passé Grand- chose hein quand même que ce soit sur les devises bon à part des mouvements sur le yen sur le franc suisse un petit peu mais si on pense à
L’euro au dollar qui sont quand même les deux gros poids euh il se passe rien depuis pas mal de temps on monte on baisse on monte on baisse mais finalement on reste toujours autour des mêmes niveaux sur les liation bah ça dépend vraiment de des dates qu’on va retenir
On va avoir soit des hausses soit des baisses mais là aussi ça fait quand même quelques mois que dans l’ensemble on consolide mais on sait pas très bien si ça va repartir à la hausse ça va repartir à la baisse mais pour le moment voilà c’est un peu statu ça reste
Canalisé pour l’instant oui matière première ça bougeote un petit peu euh pétrole qui s’est repris alors l’or bien entendu qui a été assez sensible au poss possible baisse des taux américain mais à part ça sur les métaux industriels qui sont quand même un petit peu plus pertinents pour l’économie hein
Comme indicateur potentiel d’une de frémissement euh bah on attend toujours qu’il se passe vraiment quelque chose c’est pas ça n’a pas baissé mais ça remonte toujours pas de façon significative donc il y a que les actions qui sont parties toutes seules parce qu’elle se retrouve dans une situation assez idéale hein
Effectivement plus de croissance des taux potentiellement plus bas donc tout se passe bien alors est-ce que c’était anticipé non dans l’ensemble c’était pas anticipé et certainement pas dans des proportions pareilles euh est-ce ça bouscule ça bouscule un peu les intervenants de marché le fait d’avoir
Plus 10 % sur les actions là au terme du du premier trimestre sans doute mais après ça je je sais pas je peux pas me enfin il y a pas de sondage estce que vous êtes bousculé bon donc oui je pense que ça gêne un petit peu parce que dans
L’ensemble les gens n’étaient peut-être pas prêts en terme d’exposition à avoir un tel mouvement et puis en plus le mouvement sectoriellement il surprend peut-être aussi un petit peu quand même he parce que c’est les banques les banques les banques bon pu après dans l’industrie il y a quand même pas mal de
Choses qui repartent avec on entend beaucoup mais en fait vous dites sur le terrain des marchés d’accord mais sur le terrain des marchés en Europe c’est un secteur comme le secteur bancaire financier qui tout ce qui de près ou de loin est quand même lié à la guerre et
Donc au réarmement ouis ça marche super bien ouis il y a pas que ça mais enfin ça a été ça ça a beaucoup beaucoup c’est c’est je pense que ça a quand même pas mal impulser les les mouvements alors que l’alimentation enfin la boisson plus que l’alimentation d’ailleursou le défensif quoi le très
Défensif voilà alors bon la santé pour le moment ça se tient euh et le luxe bah des destins un petit peu variés mais en en terme de sur ou sous performance c’est quand même pas super engageant ces trois secteurs là d’accord ok donc on a quand même je pense que c’était
Difficile d’envisager que les banques remontent autant que ça en fin d’année dernière est-ce qu’il y a de la complaisance dans les marchés comment vous mesurez le niveau de complaisance qui peut y avoir aujourd’hui dans les marchés action euh alors moi je pense pas qu’on soit à un niveau de complaisance très important
Pour le moment [Musique] maintenant il y a une asymétrie complète entre la fin des baisses et la fin des hausses l’une est rapide et l’autre est très lente euh donc étant donné que pour le moment on est au plus haut pour moi il y a pas de danger parce que c’est
Uniquement après qu’on a fait un plat pendant un certain temps au plus haut que pendant le plat l’optimisme est continué à croître parce que on a des données fondamentales qui sont bonnes mais qui en fait ont déjà été anticipées par le marché et et là on retrouve dans
Situation de danger pour le moment euh on monte et en fait on monte à un rythme qui est ça ça dépend comment on regarde c’est pas particulièrement effrainé euh à court terme c’est super régulier hein c’est une ligne droite donc on part pas en en parabole ce qui est la caractéristique
D’une bulle c’est de partir en parabole il faut plusieurs changements de vitesse pour décrire une bulle donc on a on n pas du tout dans un mécanisme de bulles sur les indices au sens large euh et si on regarde en graphique en en base logarithmique pour les prix parce que
Quand même c’est pas pareil avec un Dow Jones à 40000 qu’avec un D Jones à 10000 hein bah oui c’est enfin on a bien monté mais en même temps euh il y a rien qui interdise de monter plus non mais je vraiment non on n’est
Pas du tout dans un cas c’est le sens de la marche du monde comme j’essaie de l’expliquer non mais enfin depuis que le monde est monde les actions montent quoi la plupart du temps en tout cas la plupart du temps ouioire du monde qui dans un monde en
Expansion oui oui c’est pas interd on des bieniciel enfin bon on sait que non mais vous percevez pas de danger particulier alors toute chose égal par ailleurs mais il y a pas de de signaux comme vous dites d’exubérance ou de complaisance exacerbé c’est pas c’est
Pas le Nasdaq 99 qui prend encore 120 % entre le 1er janvier 99 et mars 2000 pardon c’est pas le ben on n’est pas dans la phase de fin de bulle entre le 1er janvier 99 et mars 2000 le le Nasdaq prend 125 % mais on n’est pas non
On n’est pas dans proportion là on n’est pas du tout on n pas du tout là parce que même les enfin les indice après il y a peut-être des valeurs qui ont galopppé un petit peu trop vite et cetera mais mais non on a une participation très large donc c’est
Solide ce que vous décrivez quelque chose de moi je je moi en début d’année euh en fin d’année dernière j’étais méfiante encore je craignais qu’on a encore une baisse avant de pouvoir partir à la hausse et puis après quand on voit que en fait à peu près toutes
Les actions repartent et que beaucoup repartent de façon très solide bah donc les indices c’est assez naturel qu’ se passe la même chose quoi il faut attendre les fins de haau c’est lent voilà c’est c’est ce qu’il faut avoir en tête euh la seule exception en fait bon il y
En a eu deux mais celle dont tout le monde se souvient bien entendu c’est covid où on avait fait des nouveaux som historiques partout et puis tout d’un coup tout est tout s’est effondré mais bon c’est c’était pas pour une raison financière ouais euh voilà donc à part
Ce cas-là et d’ailleurs on on est revenu tout de suite au sommet he enfin ça a été super rapide donc à part ce cas là moi je connais pas de fin de Haus qui se fasse depuis les sommets alors après on aura peut-être des baisses de de 3 %
Ouis ouais je comprends bon ben très bien dans un schéma de marché où l’ambiance reste constructive quoi si je comprends bien oui je pense l’stant bah ça nous amène à évoquer quand même le printemps des banques centrales Eveline non mais vous l’avez dit même Valérie ça
A été quand même un un des catalyseurs ou un soutien quand même de la la performance des actifs risqués qu’est-ce que vous retenez des communications du du mois de mars est-ce qu’il y a un billet d’oviche qui émerge ou en tout cas l’idée quand même que on va avoir de manière peut-être même
Synchronisée de première baisse de taux de la part des grandes banques centrales majeures à horizon de la fin du printemps h B c’est toujours la définition de qu’est-ce qui est le printemps qu’est-ce qui est l’été là la BCE voilà mais non enfin quand on regarde toute la communication qu’on
Avait la semaine dernière il y avait quand même certaines nuances d’avch mais ça dépend vraiment des banques centrales donc quand on regarde la Fed on aura plutôt l’impression que c’est une banque centrale structurellement plutôt davish les voilà nous présentant une hausse de leur croissance prévision de croissance
Avec une hausse sur l’inflation qui est beaucoup plus modérée donc du coup vraiment l’histoire que c’est une reprise côté offre de l’économie qui est complètement compatible avec une désinflation dans l’économie vers la cible donc du coup ils aimeraient bien baisser les taux quand même à un rythme
De trois baisses cette année et quatre l’année prochaine ce qui est notre scénario de base donc changement côté croissance pas de changement côté les plans de la Fed même de baisser les taux ça c’est plutôt d c’est une banque centrale qui enfin structurellement c’est une banque centrale qui nous
Explique que on pense que l’offre le côté offre est en train de se rétablir mais également peut-être on est prêt à courir le risque que l’inflation reste à des niveaux supérieurs de 2 % on est prêt à tolérer ça on est prêt à tolérer ça alors que de l’autre côté de la zone
Euro c’est une économie un peu enrumé comme non mais donc du coup on a on fait face à une BCE qui est beaucoup moins structurellement dish plutôt structurellement Hok on avait la conférence de ecbn Watchers la semaine dernière on n’a pas appris grandes nouvelles choses par rapport à ce qu’il
Nous avaient dit en mars en mars ils avaient dit voilà nous prêt plus ou moins à commencer le cycle de baisse en juin mais dans un contexte très différent dans un contexte où les prévisions de la BCE sont de retour à la cible en 2025- 2026 enfin ça dépend un
Peu quelle composante qu’on regarde dans un contexte a révisé révisé révisé à la baisse le taux de croissance les prévisions de croissance à court terme dans un contexte où quand même il y a beaucoup de persistance dans les prévisions de la BCE que nous on a du
Mal à s’expliquer euh donc du coup c’est pas forcément très DV et une fois que la BCE nous dit bah voilà join on peut s’imaginé mais certainement pas avant ben la distribution de risque autour de cette baisse de joint elle est bancale elle est plus de risque vers un retard
En zone euro c’est pas forcément très dovish en tant que communication on y’y croit pas trop mais c’est pas très bon après la banque centrale qui a surpris euh c’était la SNB et oui la Suisse euh la Suisse qui prend donc du coup un point de vue complètement différent sur
L’inflation qui disent les les surprises qu’on a eu les mois derniers c’est vraiment des surprises qui nous fa ENF repenser toute la trajectoire d’inflation entre aujourd’hui et 2026 et donc du coup en baisse des taux Booum on pensait qu’il y aura une baisse un un
Cycle de baisse de taux de la SNB il commence plusutôt c’est peut-être parce qu’il VE plus utiliser excusez-moi leur bilan pour vous savez quoi je demandé si on peut couper la clime peut-être si les équipes en régie peuvent couper la clime vous êtes à la mauvaise place Eveline ça
Souffle non mais donc du coup c’est une banque centrale où on peut peut-être s’interroger s’il veulent plus utiliser leur bilan pour éviter une une appréciation de la monnaie c’est toujours leur leur leur craintte principale en Suisse mais ça reste une dynamique assez intéressante donc du coup on a une Fed qui ser certainement
Par rapport à leur économie est plutôt davish une BCE qui par rapport à leur économie reste plutôt même si on s’approche des baisses de taux une SNB qui nous a surpris ouais donc du coup voilà un peu le résumé on n pas encore parlé banque Angleterre mais et la
Banque d’Angleterre aussi qui est en train de visiblement le pricing de marché en train de déterminer si c’est pas la Banque d’Angleterre qui peut-être dès le mois d’avril je crois que c’est le prochain meeting pour la Banque d’Angleterre serait prête à déclencher une première baisse de Tau de 25 points de
Bas pour nous c’est un peu trop avancé quand on fait des micro pas vers une baisse de taux c’est pas dire que ça sera demain tout de suite on a quand même une inflation de service au Royaume-Uni qui est nettement supérieure à ce qu’on voit ailleurs qui est très
Loin de la cible et dans ce contexte là on a un peu de mal à s’imaginer que la Bank of England commencera les baisses de Tau avant août donc voilà je comprends que c’est un peu à front renversé quoi c’est les les banques centrales qui ont les moins besoin de
Baisser sont celles qui sont les plus allantes sur quitiell beso deanchement baisser son peuttre cell qui sont encore les plus réticentes d’accord avec ce constat Léa sur le printemps des des banques centrales et puis quand même la question est-ce que la fête joue avec le feu justement alors avec ce BIA
Structurellement dovich mais en entretenant quand même cette détente des conditions financières est-ce qu’ils prennent pas le risque que Jérôme Poel voulait à tout prix ne pas prendre celui de Arthur Burns en tout cas d’uneune r urgence d’inflation qui serait liée à une politique monétaire qui n’aurait pas été suffisamment restrictive
Suffisamment longtemps alors quand on réfléchissait on fait le bilan du premier trimestre on avait plutôt nous une séquence 2024 qui est plutôt la phase de transition sort du postcovid des tendances monétaires restrictive et c’est plutôt des questions 2025 que 2024 sur la question de la résurgence de
L’inflation 2024 je pense que tout le monde est à peu près d’accord sur les les les processus de baisse de taux quand on voit la nécessité il y a eu un moment parce que les banques centrales ont nécessité de baisser les taux il y a un argument qui pour nous va dans ce
Sens-là c’est le fait qu’effectivement aujourd’hui on a plutôt une fourchette dans lequelle la situation macro est extrêmement favorable favorable aux États-Unis plus résiliente qu’attendu côté zone euro également Royaume-Uni un point intéressant dans les indicateurs avancés des modèles qu’on utilise quand on fait les trajectoires de croissance les variables cibles les variables qui
Sont importantes c’est pas nécessirement à l’instanté les variables domestiques mais plutôt l’environnement global et on est dans une situation où on s’attendait on est plutôt un soutien global de l’environnement extérieur qui serait plus favorable au milieu d’année il semblerait que c’est au cours du deuxème trimestre qu’on est un peu cet effet
D’Allan de zone qui resynchronise une situation un peu plus favorable côté chinois donc un effet en fait d’attraction mondiale qui en fait combine à la fois des données domestiques un peu meilleures côté zone euro en tout cas toujours très bonne côté américaine et un environnement fa un peu plus porteur donc tout cela
Plaide et en tout cas donne une fourchette o les banques centrales peuvent se permettre de décélérer sachant qu’elles sont déjà toutes surrestrictives donc côté fed on a plutôt 125 BP de surrestriction BCE on est plutôt à 75 BP BO c’est plus compliqué elle suit en fait plutôt bien
Sa règle un peu 50 BP trop restrictive mais en fait il y a toujours un peu de marge donc la question c’est qu’est-ce que font les banques centrales aujourd’hui est-ce qu’elles donnent des marges de manœuvre sachant qu’elles sont trop restrictive qu’au final on est sur une situation macro qui est plutôt
Favorable euh est-ce que on garde des niveaux d’inflation même en ralentissant de 150 points de base côté Fed avec un un taux Fed funds à 4 alors qu’on va retrouver des chiffrages d’inflation autour de de est-ce qu’on maintient cette surrestriction alors qu’on sait que 2025 est une séquence dans lequelle
On a besoin de plus d’investissement on a besoin de banques central qui vont aussi soutenir un peu les politiques budgétaires qui ont besoin en fait de cette de cette répression financière pour permettre ces plans d’investissement massif donc pour nous c’est plutôt une séquence en fait en
Deux temps qu’il faut un peu mettre de côté le premier c’est qu’on décélère on est une situation macro un peu plus favorable la deuxième c’est effectivement une inflation pour lequel 2 % devient un plancher quand on est dans un dans un bas de cycle les inflations dev viiennent de plancher si
On a des cycles qui se reprennent bah c’est plutôt une inflation qui évolue dans un range 2 3 % avec le risque que ça aille au-dessus dans des phases de de choc dans les modèles de machine learning ce qui est assez intéressant c’est qu’il y a pas du tout de question
Sur 2024 2025 24 on retrouve en fait les cibles plutôt autour de 2 % côté banque centrale 2025 par contre on voit des tendances haussières qui émergent plutôt sur la seconde partie de 2025 donc c’est là aussi en factorisant les quelques baisses de taux qu’on attend pour 2024
Ex exactement en en ayant un environnement macro dans lequel le le le scénario aujourd’hui se passe bien on a une reprise enfin une décélération de la croissance limitée sur le premier semestre et les phases d’expansion du cycle qui seent qui se reprennent bien dès dès mi 2024 mais effectivement ça
Sur euh enfin en tout cas ça ça implique si ce scénoria se matérialise une reprise de l’inflation plus proche des 2,5i 3 % sur fin 2025 que maintenant donc c’est donc le risque de marché c’est pas les trois baisses de taux de la fête qui sont euh factorisé pour 2024
Mais c’est les trois prochaines celles qui sont factorisés en plus pour 2025 B c’est plutôt où où est-ce qu’on s’arrête en fait dans la baisse euh où est-ce qu’on s’arrête où est-ce qu’on va est-ce qu’on prend on fait exactement l’inverse est ce qu’on essaie de nous on s’est
Posé cette question est-ce que les banques centrales auraient inté aller très rapidement à la baisse au aujourd’hui pour retrouver des marges de manœuvre si jamais on a une pression inflationniste qui arrive ou au contraire est-ce que sachant le risque d’inflation arrive en 2025 il y a plutôt
Tendance à la laisser un peu de restriction et en fait 4 % serait cette phase un peu restrictive pour permettre ensuite d’éviter un retour de l’inflation sur 200 visiblement ils aiment bien la stratégie des petits pas plutôt he exactement et on le voit bien de toute façon compte tenu de la
Situation de de du risque d’incertitudes maintenant et les tensions structurelles qu’on a une économie de guerre des tensions géopolitiques ou autres la prudence fait que c’est plutôt sur le premier scénario qu’on qu’on s’oriente les trois premiers pas on attend et on regarde 2025 comment il se met en place
Qu’est-ce que ça vous inspire Valérie en tant que stratégiste de marché quel lien vous faites entre tout ce qu’on discute là sur combien de baisse de taux le taux terminal où on va à quel rythme et cetera est-ce que ça a une influence importante est-ce que ça aura une
Influence importante sur la course des marchés non mais c’est une vraie question hein c’est une vraie question et puis je veux bien qu’on redise un mot de ce que votre analyse vous amène à dire sur les marchés obligataires ça reste canalisé pour l’instant mais est-ce qu’on reste quand même avec des
Pressions baissières sur les marchés obligatair c’estàd des pressions qui sont plutôt à la hausse des taux et des tau longs encore par rapport au niveau qu’on connaît aujourd’hui euh alors euh d’abord moi je vois une alors je travaille pas du tout à partir des mêmes éléments que vous
Euh mais il y a une explication au discours plus dovich des banques qui sont dans les pays qui ont finalement la croissance la plus forte par rapport à la Banque centrale européenne notamment c’est que dans l’ensemble personne ne comprend bien pourquoi les taux de chômage sont au
Niveau auquel ils sont avec les taux d’intérêt qui ont subi le parcours qu’ils ont subi que ça c’est vrai en Europe ou aux États-Unis en Europe le taux de chômage est beaucoup plus é mais il est quand même au plus bas ou fouille après bien sûr euh et donc ça c’est pour
Ça que Powell a dit bah en fait euh c’est pas parce que ça va bien sur le front de l’emploi que on va pas baisser les taux parce que en analyse de la décision euh vous pouvez pas prendre une décision se partir d’un facteur que vous ne comprenez pas on comprend pas
Pourquoi on est là donc on ne peut pas en tenir compte donc on regarde le reste et le reste potentiellement ça peut autoriser des baisses de taux que ce facteur emploi a pas empêché l’inflation de baisser exactement voilà voilà donc donc on comprend pas on s’assoit dessus
Puis en temps quand on comprendra ce qui se passe on on réégrera reviendraendra euh et puis euh bah comme elles comprennent pas très bien non plus euh est-ce que on va tout de suite avoir des résurgences d’inflation est-ce que 2024 ça va effectivement baisser autant
Que enfin que il pense par que c’est en 2025 tout ça c’est quand même très difficile à prévoir donc moi je crois que ce qu’elles veulent c’est en faire le moins possible c’est si possible ne pas bouger voilà et en revanche elles ont un outil qu’ que paw
Manit très très bien bah c’est la parole donc les banques centrales qui ont une croissance un peu forte et où les marchés pourraient emporter les taux à des niveaux trop élevés bah ell essay de les calmer parce que elles veulent juste que avoir du temps pour mieux comprendre l’ensemble des déterminants de
L’inflation et donc ce qu’elles doivent faire estce qu’ parce qu’elles aiment pas engager un cycle pour une baisse de taux ou de baisses de taux sûr sans savoir où elles vont sans savoir où elles vont voilà donc elles essayent juste d’acheter du temps je pense voilà c’est tout euh alors est-ce que leur
Discours va être va être important bah il est toujours le le discours de banques central on est toujours pendu aux banques centrales mais en fait il peut se passer plein de choses parce que c’est à la fois le discours des banques centrales et en même temps les données qu’on va avoir de
L’économie enfin donc prévoir le futur donc prévoir une conjonction de d’éléments macroéconomiques c’est super difficile parce qu’en fait les marchés prennent des décisions à partir d’éléments qu’il faudrait regarder en tendance longue ils les prennent sur la la variation d’un mois sur l’autre ça n’a aucun sens mais c’est comme ça
Qu’ils réagissent mais donc ces réactions c’est uniquement du comportemental voilà donc on verra compte en comportemental quel sera le discours des banques centrales au moment où on aura certains indicateurs et donc quelles pourront être les réactions mais mais du coup moi ce que je vois en tout cas sur les taux
Américains c’est que les probabilités de baisse sont quand même assez faibles quoi si on regarde les taux des marchés oui ah bah l’ampleur de la baisse déjà a été considérablement réduite he ça c’est sûr bah oui on attendait 6 se baisse de taux touours ENF on en attend deux fois moins
Euh si vous voulez euh bon la base du travail sur les prix ou les ou les rendements enfin sur les évolutions de marché c’est que comme je disais tout à l’heure quand on a un certain mouvement selon elon la consolidation qui suit ce mouvement et bien on peut comprendre que
Le mouvement est terminé je comprends et que donc on s’engage dans un contraire R ou alors queon est juste en pause c’est ça destiné à repartir alors est-ce qu’on est destiné à repartir en 2025 ou en 2024 sur l’inflation sur les taux oui sur les taux sur les taux l ouais hein
Au moins parce que sur les taux court c’est plus ils sont vraiment plats là en ce moment pour euh c’est un petit peu la question et en fait justement on peut avoir une année boursière très bonne en 2024 avec des taux long en 2024 qui patient guidé par des discours de banque
Centrale fin piloté piloté piloté par des discours de banque centrale fin parce que au niveau des actions elles vont pas être nécessairement très enfin bon moi j’ai pas les mêmes projections en terme d’ inflation je pense que ça doit repartir plus tôt donc bien sûr je suis un petit peu d’ord donc
D’où l’idée qu’il y aura peut-être pas autant de baisse de taux cette année que un peu mais en même temps s’il n’y a pas autant de baisse cette année c’est aussi parce que j’ai des cycles économiques qui me laisse penser que on peut avoir un petit rebond quand même de la
Croissance américaine en 2024 pas très fort enfin c’est quand même là en 2024 un moment où ça peut se reprendre donc j’ai quand même un scénario macroéconomique simple avec mes outils qui est tout à fait cohérent oui oui euh et qui peut faire marcher qui peut faire
Monter les actions parce que les actions peuvent monter avec les taux si on a suffisamment de croissance des bénéfices c’est de la croissance nominale pour après il y a un moment où on sait que ça ça va ça va s’arrêter il y a une limite mais là encore dans mes projection c’est
Pas tout de suite ou ouais c’est pas en 2024 pour les marchés que le risque de hausse de taux se présente mais je vois pas non plus une bulle en 2024 sur les actions donc c’est plutôt quelque chose qui va être très c’est un sweet spot pour l’instant encore c’est vraiment le
Sweet spot pour l’instant on m’a expliqué que pour les actions l’intervalle d’inflation 2 3 % c’est le meilleur intervalle possible pour maximiser la la valeur des actions boursières sur les marchés 2 3 % d’inflation c’est le régime idéal pour les actifs action sur les marchés euh à
Propos des taux je voulais bien qu’on dise un un mot alors de la dette en général je veux stigmatiser personne ici bien sûr je me tourne vers vous Eveline mais j’ai j’ai lu le le l’interview du patron du CBO donc le Congressional budget Office qui est l’organisme bipartite indépendant du Congrès
Américain sur les questions budgétaires dans le FTI ce matin c’est un warning clair il y a avec les projections qu’on a remise à jour d’ailleurs sur le déficit américain qui va rester autant de 6 % pour encore 10 ans et l’envolet de la dette américaine qui va arriver
Quasiment à 120 points de PIB ou 115 points de PIB autour de 2029 on va entrer en terre inconnu et il le dit très clairement il y a un risque à la trus à un moment sur un marché obligataire comme le marché américain si jamais les gouvernants ou le politique
Prend des décisions qui effectivement seraient contraire peut-être à la capacité ou au marge de manœuvre de l’État américain comment vous considérez ce risque et à ce stade comment vous expliquez que l’ampleur des déficits ça a été le sujet de toute la journée aujourd’hui en France par exemple ne se
Retrouve pas dans les indicateurs de marché quand on regarde les les écarts de de prime de taux bah je pense je le mettrai peut-être dans contexte ouais je le mettrai peut-être encore dans le contexte US Europe et les trajectoires potentielles sur les taux à court et à long terme effectivement les question de
Du déficit très large côté États-Unis c’est une question enfin que nos collègues aux US regardent évidemment aussi une façon de d’argumenter ici c’est que effectivement c’est un risque que aujourd’hui les taux de 10 ans aux US ne reflètent pas du tout donc si j’accumule tous les risques
Qu’on a aux États-Unis il y a quand même beaucoup plus de risque que on aura une hausse sur les taux de 10 ans aux États-Unis peut-être que sur la zone euro il y a le risque sur un jour on va se poser la question que les États-Unis
C’est une économie avec un twin deficit avec f déficit jumeau déficit interne déficit externe qu’il faut financer il y a un risque que les États-Unis a une inflation plus large pendant plus longtemps il y a un risque que un risque positif que la croissance potentielle aux États-Unis reste supérieur par
Rapport à ce qu’on avait avant la covid et par rapport à ce qu’on a encore aujourd’hui un peu comme hypothèse de base donc tout ça fait que on peut très bien justifier aujourd’hui que sur les taux de 10 ans aux États-Unis il y a a un spectre enfin il y a des intervalles
De confiance autour un scénario de base qui sont larges et qui sont également larges à la hausse par des multiples facteurs comprend y compris les questions autour de la soutenabilité de la dette c’est la prime de terme cette question de la de la prime de terme du
Niveau de la terme prime de risf de risque prime d’inflation enfin voilà la totale donc il y a plein de facteurs qui font que en Europe j’aurais tendance à dire que on a un peu le même problème autour de on a des déficits larges on a des règles du budgétaire qui nous restra
Enfin qui nous contraignent un peu dans l’avenir mais en se pose pas du tout les mêmes questions sur la croissance je pense qu’il y a relativement pe on se pose pas de questions sur la croissance hein pour dire les chose evel c’est pas une question la croissance chez nous donc ça
S’améliore un peu cycliquement maintenant heureusement d’ailleurs parce qu’on a attendu depuis 2 ans mais on se pose pas la question en zone euro si on a peut-être un taux de croissance potentielle qui est supérieure aujourd’hui par rapport à ce qui ne l’était il y a 3 4 5 ans c’est une
Question qu’on se pose pas côté inflation certes on a un peu plus d’inflation aujourd’hui mais avec un profil de PIB qui est quand même nettement plus faible qu’on pensait avant je pense qu’il faudrait plus qu’on se pose la question zone euro si on retombe pas dans un scénario en dessous
De 2 % donc moi j crois pas trop qu’on reste dans les 2 3 % sur l’inflation en zone euro du tout pas il faudrait il y a un risque de voir l’inflation pour nous c’est le scénario de base pour 25 2025 pour 25 on a en moyenne le
Sous-jacent à 1 et le headline à 14 euh on a plein de raisons pour c’est aussi une raison pour laquelle on pense que la BCE va devoir accélérer les baisses de taux à terme mais tout ça fait aussi que d’un point de vue taux à 10 ans dans
L’économie bah il y a relativement moins de risque à la hausse en zone euro par rapport au niveau qu’on a aujourd’hui États-Unis h or la question autour de la taille des déficits elle se pose un peu partout envie de dire donc du coup c’est toujours une discussion relative euh
C’est aussi une discussion relative qu’on peut avoir à l’intérieur de la zone euro vous l’avez mentionné aujourd’hui tout tout est plein du déficit français euh on peu enfin on peut après discuter est-ce que c’est la meilleure trajectoire enfin la trajectoire française elle est meilleure que la trajectoire allemande où on a un
Déficit très resserré mais du coup pas de croissance voilà donc c’est très compliqué mais en terme de marché encore une fois pour moi c’est plus un risque de où où est-ce qu’on a un risque que les taux neutres soient supérieur à ce qu’on pense peut-être aujourd’hui où il
Étaient dans le passé c’est aux US ou est-ce qu’on a plus de risque par rapport à la macro à la hausse au déficit à la hausse bah c’est aux US donc du coup ça fait pour nous qu’ voir un écartement des spread Intercontinental qui est plus plus plus
Important dans l’avenir qu’ ne l’ aujourd’hui c’est un peu comme ça que je cadre je retiens effectivement la neutralité que vous avez c’est trop d’excédents c’est pas forcément mieux que trop de déficit pour des éconies diffou je sais bien non non mais c’est c’est les déséquilibres budgétaires ça
Marche dans les deux sens également je repose la question de manière peut-être un peu plus frontal Léa mais l’Italie déborde de son déficit de de points je crois la France 06 points supplémentaires par rapport à ce que ce qui était communiqué d’une certaine manière au marché bon les spread non
Seulement bouge pas mais se ressert h je rejoins totalement ce qui avait été dit sur sur la question sur sur les questions de soutenabilité on a fait des travaux alors c’est pas du cycle c’est pas de l’analyse conjoncturelle mais des travaux soutenabilité de dette euh avec une question simple si on a un
Changement de régime sur les taux d’intérêts et si on est sur des taux d’intérêt autour des niveaux des niveaux actuels qu’est-ce qu’il faut pour pas qu’on rebascule sur des crises des dettes souveraines et donc si on caricature effectivement il y a beaucoup d’autres facteurs à mettre en parallèle
Mais si on caricature à outrance il faut en fait que la croissance nominale soit au moins égale au niveau des taux d’intérêt donc si on dit que en Italie on a des taux d’intérêt à 5 il faut réussir à avoir une croissance nominale autour de 5 pour avoir une croissance
Nominale autour de 5 il nous faut soit bah qu’on aille chercher des cibles d’inflation autour de 3 et puis peut-être une croissance potentielle à de est-ce qu’en Italie on croit nécessairement une croissance potentielle à de inflation euh à 3 non euh on peut ouvrir le débat la France et
Je pense aussi que la la question sera non euh donc à partir de là il y a effectivement euh une solution aujourd’hui quand on parle de ces questionsl c’est comment on augmente la croissance potentielle euh comment on fait en sorte que ces problématiques de dett euh dequel on on ne peut plus
Aujourd’hui les mettre de côté dû à cette C cette manière d’actter les les besoins en transition et oou la question de de l’économie de guerre euh en Europe euh quand on fait ces calculs là ce qui est à la fois intéressant et triste sur les les les dépenses liées à la défense
C’est que c’est des dépenses avec des multiplicateurs fiscaux qui sont très forts donc pour 1 € dépensé vous avez nécessairement nettement plus élevé donc on pourrait très bien rentrer dans des scénarios qui sont très optimistes hein je met je mets beaucoup de de poids là-dessus que on arrive dans une
Situation plus favorable où ces dépenses qui sont nécessaires cré un minimum de croissance potentielle supplémentaire avec un minimum d’inflation et qu’en parallèle ça par contre c’est indispensable il faut des banques centrales et notamment les BCE qui reste en répression financière et qui permet en fait d’équilibrer un peu un taux
D’intérêt qui permet de stabiliser la dette en tout cas d’éviter d’arriver sur trajectoire soutenable et donc le Infiné de tout ça c’est qu’en fait malgré toutes les conditions MACR qu’on a il y a un gros poids qui est à la fois la crédibilité des entités monétaires mais
Aussi des entités nationales et donc il nous faut bah une Europe qui se construit euh ensemble et qui fassent des plans communs et qui amènent et une banque centrale qui soit à la manœuvre donc beaucoup de facteurs en fait sont infin associés à des question politiqu dans une situation on a les élections
Européennes qui sont en attente les polarisations que ce soit d’ailleurs aux États-Unis en Europe il y a beaucoup de poids au-delà des facteurs MACR et de toutes les contraintes qu’on met qui sont aussi sur est-ce qu’on a des entités des autorités financières et politique auquel on croit et qui peuvent
Permettre aussi de stabiliser cette situation là donc c’est un peu toute cette strate là pour lequel on arriverait à des situations positives mais c’est compliqué aujourd’hui mais la market créibility comme vous dites là on on enfin je veux dire on est au bout du bout de ce qu’on peut apporter comme
Crédibilité ou bah pour l’instant en tout cas la BCE a annoncé son TPI on a très peu de détails dessus on avait beaucoup de de de questionnements à l’époque sur comment il fonctionne comment il marche et comment il peut être utilisé aujourd’hui on voit bien que dans des situations telles qu’elles
Sont aujourd’hui on n pas d’écartement sens des SPRE marque c’est ça c’est cette dissonance entre le discours alors du jour en France Gabriel Atal je crois à l’Assemblée nationale on parle d’austérité enfin on en est presque là à parler d’austérité alors pour la France un cas peut-être particulier 50 ans sans
Budget en équilibre et cetera il y a peut-être un track record à corriger de ce point de vu là et ce qu’on voit sur les marchés où les marchés je dis pas que les marchés donnent un feu vert aux États mais c’est pour l’instant le marché reste tout à fait serein
Visiblement par rapport à ce genre de situation alors la question de pourquoi on n pas été testé la crédibilité moi j’en ai pas la question parce que je me pose aussi le fait pourquoi on va pas tester un peu plus loin la crédibilité des états c’est Infiné on alors il y a
Eu aussi l’épisode SVB on voit bien que les banques centrales sont à la manœuvre très rapidement sans attente dès qu’on a épisode listrus aussi he je suis désolé je le remets dans la dans le débat mais au-delà de SVB c’est plus l’istrus pour moi qui a marqué les esprits des des
Décideurs de politique et de politique budgétaire notamment exactement et quand on voit le poids que pourrait avoir toute déviance d’tau italiens ou destau français on sait bien que de toute manière les banques centrales sont à la manœuvre des donc je pense qu’il y a un gros poids crédibilité BCE d’ord qui
Joue làdedansou en tout cas moi c’est la raison où j’avance sur le pourquoi on n pas plus de tension aujourd’hui sur sur ces périphériques là je comprends dans le bras de faire listrus il y a eu un moment de tension entre le policy Maker et la Banque d’Angleterre complètement
Eveline non j’allais juste dire qu’en Europe on a aussi la constellation qu’on connaî pas trop ou qu’on est qu’on a pas connu depuis 2002 2005 c’est que c’est l’Allemagne vraiment la partie archi faible en ce moment en zone euro et ça ça aide pourquoi ça aide bah parce que
De ce point de vue là c’est pas le pays avec les banquers central les plus faucon dans la zone euro qui vont vouloir enfin ils le font quand même mais pas de la même façon donc du coup c’est très différent quand d’un point de vue spread dynamique de marché narratif
De marché quand c’est l’Italie le point faible d’accord c’est très différent quand c’est l’Allemagne le point faible ça ça aide on a aussi en relatif c’est très différent pour des investisseurs et des participants de marché et il y a aussi le débat émergent effectivement et
On voit il y a un an encore on nous a déclaré j’exagère un peu fou quand on a dit l’inflation zone euro va tomber en dessous de 2 % l’année prochaine aujourd’hui c’est une question qui nous est posée beaucoup moins en il y a beaucoup plus d’accord sur ce scénario
Là ce qui fait que effectivement il y a aussi cette dynamique la discussionour des T neutre autour de l’inflation zone euro qui fait que tout se limite parce qu’ il y a juste pas beaucoup de marge de la part de la BCE de de faire des folies avec une
Macroéconomie tellement faible en zone euro ouais B mais ça crée une forme de convergence hein on va le dire en tout cas il y a pas de fracturation financière aujourd’hui en zone euro une minute pour finir avec vous Valérie je sais pas le c’est quoi le trade du 2è
Trimestre là ah bah oui bah oui ben oui non mais si non mais les tendances que vous décriviez en début d’émission sont des tendances qui sont amenés à se prolonger on peut se poser d’autres questions aujourd’hui je pense que le deième trimestre c’est plutôt comme le premier quoi ouais
Donc les banques l’industrie enfin banque assurance l’industrie la construction des voilà en Europe hein ouaendou et puis bah surtout pas l’alimentation la santé et les produits de consommation il y a pas de signe de force dans ces secteurs qui sont très surveillés quand même un santé j’en entends beaucoup
Parler mais il y a pas de signe de force relative dans ces secteurs aujourd’hui pour moi on est en train de bâtir partout des des des des grosses figures baissières en force relative en terme de prix pour santé food and beverage c’est ça santé food and beverage ça y est
C’est déjà parti ça fait ça fait un moment que c’est parti et alors ça plonge ouis et en fait alors sur santé c’est pas la même configuration mais mais en fait on voit bien que l’appétit pour le secteur dé croix donc il est toujours un peu là mais donc il y a un
Moment où normalement il y en a plus ou ouais euh voilà mais en fait tout ça ça va rester conditionné je sais pas si il faut quand même regarder les matières premières voilà donc un frémissement chinois serait bienvenu enfin un frémissement qui prendrait de l’ampleur si on a un signal sur les matières
Premières c’est c’est à peu près c’est en scénario de croissance pendant quelques mois qu’il faut déployer sur les marchés c’est ça d’accord c’est quelque chose qui également les marchés action et desérur pasignre dans dans le puzzle le grand puzzle des marchés bon on suivra ça merci à vous TR merci d’avoir été les
Invités plan marché ce soir Val B of America et economic le dernier quart d’heur de smartb chaque soir c’est le quart d’heur thématique le thème ce soir c’est justement celui de l’univers de la gestion thématique et plus précisément du thème ou de la tendance liée au Cloud et à l’IoT ou
Autrement dit l’Internet des Objets une thématique qu’on décrypte avec Ronnie michali président de Galilé Asset Management qui nous accompagne chaque mois pour venir parler de c’est c’est megéga trend bonsoir Rony bonsoir grgire merci d’être avec nous Cloud et Internet des objets je veux bien qu’on définisse quand même un peu de quoi on
Parle parce qu’on fait tous semblant de savoir qu’on sait très bien de quoi on parle non mais quel est le périmètre un peu de cette thématiques et quels sont les les les les fondamentaux et les les forces et les grandes tendances sur lesquelles s’appuie cette thématique une
Des 25 que vous analysé chez chez galiléa M tout à fait alors ça peut effectivement pas être totalement intuitif dès le début donc déjà on est sur une thématique bicéphale Cloud et IOT comme on a luxe et lifestyle par exemple tourisme et loisir gaming et méaverse donc là c’est
Une thématique avec deux technologies qui sont complémentaires pourquoi parce que les dispositifs IOT donc l’Internet des Objets les objets connectés utilise des quantités de Data et utilise le Cloud pour stocker pour analyser pour traiter ces données et le Cloud va être un facilitateur dans tout ça en fait il
Va faciliter bien sûr la connexion à distance hein si vous êtes sur votre smartphone et que vous voulez fermer les volets par exemple chez vous parce que euh voilà il y a besoin de le faire à ce moment parce que mon assureur vient de m’envoyer un message en me disant que la
Grê va arriver qu’il faut tout fermer parce que c’est comme ça que ça marche oui c’est comme ça que ça marche et ben vous allez pouvoir le faire grâce au Cloud euh ça ça facilite aussi une certaine flexibilité dans le dimensionnement des des des de l’Internet des Objets c’estàd on peut comen
Avec un deck avec deux trois ampoules connectées puis ensuite dimensionner plus facilement avec le Cloud qu’avec un réseau local et bien sûr ça facilite également la sécurité parce que le Cloud est beaucoup plus bah sécurisé que les réseaux locaux bien s donc on va ensuite analyser à la lumière de tout ça la
Lumière de cette définition bah les les les fondamentaux finalement qu’est-ce qui en fait une vraie grande thématique structurel mondial transversal Rony alors structurel bon déjà en 2025 on estime qu’il y aura à peu près 41 milliards d’appareils connectés dans le monde donc il y a une croissance exponentielle des données que ces
Appareils utilisent et donc pour les stocker dans le Cloud évidemment c’est c’est un dimensionnement qui doit suivre les méga tendances qui portent la thématique puis que c’est ça qu’on regarde quand elle est structurel la croissance de la population mondiale bien évidemment l’émergence des classes moyennes puisqu’on est sur des gens qui
Sortent de la pauvreté qui vont commencer à consommer à à voilà s’équiper à à à voyager euh également à tout simplement utiliser des moyens de transport comme par exemple la navigation connectée ou des choses comme ça euh l’urbanisation et les Smart cities dans les Smart cities il y a
Énormément de Cloud qui est utilisé et d’objets connectés avec des capteurs et cetera euh le développement de l’a qui incite à une plus forte consommation finalement de données dans le Cloud et une puissance de calcul plus élevée donc ça va inciter les investissements et enfin l’émergence de la santé prédictive
Ça c’est très important avec les bracelets connectés et cetera euh qui vont bien sûr être des des choses qui ne sont pas curatifes mais prédictifs et donc ce marché uniquement pour le Cloud hein c’est un marché qu’on estime à 400 milliards et qui pourrait arriver en
2030 à 1300 milliards ça veut dire un triplement de ce marché donc ça c’est pour voilà alors des moteurs puissant hein qui porte cette thématique on comprend absolument alors internationale et transversal je vais aller rapidement mais euh donc on a bien sûr deux deux domaines dans le Cloud qui vont être
Principaux le sas ouais et euh donc le le software à the service et l’infrastructure à the service euh pour ceux qui connaissent pas le sas c’est finalement comme si on louait une une maison meublée l’emploi et cetera voilà alors que l’infrastructure de service c’est comme si vous louez un terrain
Finalement et que vos ingénieurs peuvent construire une maison c’estàd vous louez des espaces des serveurs dans le Cloud voilà donc là c’est bien sûr internationale même s’il y a une domination américaine bien sûr là c’est Microsoft c’est sales force c’est Oracle aux États-Unis c’est sa un petit peu en
Europe mais et en Chine c’est Alibaba cloud c’est tenensen c’est Huawei voilà ça c’est ça c’est pour le sas et pour l’infrastructure de service c’est plutôt AWS et Microsoft Azure et enfin transversal j’ai eu du mal franchement à trouver un seul secteur qui était pas impacté bien sûr tous les secteurs sont
Impactés a des me la santé on en a paré le logement avec tout ce qu’on appelait la domotique avant le transport avec les capteurs connecté dans les dans les camions et cetera pour voir la température l’humidité et cetera et puis bien sûr l’industrie combien ça va en bourse quel est le la performance
Boursière de cette thématique et combien est-ce qu’elle vaut en bourse quand on la mesure comme vous le faites chez Galil M r absolument je sais pas si vous êtes prêts pour ces performances on voir en 2000 19 selon nos indicateurs thématiques Galilé la performance c’est 35 %. 2020 46 % 2021
13 % 2022 c’est l’année noire avec la la remontée des tau – 40 on on on se on se rattrape beaucoup en 2023 plus 59 % et year to date plus 4% on voit ici le graphique de la valorisation c’est structurellement plus cher quoi naturellement plus cher que le MSCI
World on est sur sur 32 fois à peu près le MSCI World à peu près sur 23 fois donc les attentes des marchés sont très élevées même si les croissances sont également élevées on parle quand même de croissance du chiffre d’affair de 18 % par an c’est énorme donc attention à ne
Pas surpayer cette thématique globalement on a eu quand même une normalisation un petit peu même si on est on est remonté on est plus à à 40 45ou bien sûr ça cétait le P po post covid ouais bien sû effectivement donc on pense qu’il y il y a quand même ces
Croissances ne cessent d’augmenter les marges des sociétés ne cessent d’augmenter donc on pense qu’il y a quand même un un un potentiel intéressant mais voilà la question de la la de la chireté ou de la valorisation de cette thématique ça fait partie des risques qu’il faut avoir en tête
D’ailleurs quand on fait un peu l’analyse des des risques alors risque positif ou risque négatif force et faiblesse qu’est-ce qui ressort de de cette analyse Rony alors on peut commencer par les forces il y a bien sûr un fort investissement public et privé dans cette thématique il y a même des
Partenariats publics privés dans les Smart City par exemple pour les l’éclairage public pour la gestion des déchets pour aussi le le le trafic routier la régulation du trafic routier et ça nous fait donc bien sûr pour les pour les États pour les collectivités des nouveaux investissements et pour les sociétés des nouveaux
CAPEX aussi un nouveau cycle de CAPEX qui a été engendré aussi par le le par l’IA et tout tout ce qu’ a comme comme besoin comme infrastructure nécessaire au dévelppement li donc ça c’est une première chose ensuite il y a le développement dans la santé on en a un
Petit peu parlé mais par exemple si on si on prendre des exemples concrets par exemple les moniteurs de glucose qui sont maintenant des objets connectés les dispositifs de surveillance cardiaque les bracelets de fitness aussi donc ça c’est des développements énormes et le développement dans les transports surtout avec la conduite autonome pour
La sécurité et bien sûr pour optimiser les itinéraires qui sont pris par ces voitures don ça c’est première premier gros point positif deuxième gros point positif pour l’investisseur cette fois-ci en bourse la qualité financière des entreprises est très bonne ouais on a une bonne croissance du du chiffre d’affaires une bonne croissance du
Résultat on a des marges qui sont élevées on a l’accès à la rentabilité de certaines sociétés de taille intermédiaire qui encore n’étit pas rentable il y a 2 3 Ansouis et on a un endettement maîtrisé donc ça c’est vraiment deux points très positifs et les points faibles ouais on a la
Géopolitique ù où se trouvent les données la dépendance à certains acteurs américains ou chinois et aussi le problème qu’on a de leur faire appliquer nos règles et parfois les amands de record qui peuvent impacter le bilan de ces sociétés qui bien sûr pour un investisseur en bourse peuvent être des
Choses qui qui provoquent des trous d’air dans dans le cours boursier des des boîtes et puis il y a bien sûr la sécurité de données les cyberatttaque ça ça peut être vraiment très très violent très rapidement pour le cours de bourse de ces sociétés ouais donc et puis
Niveau de valorisation oui voilà mais ça se paye cher on l’a expliqué il y a des raisons pour lesquelles ça se paye cher attention parce que effectivement ça peut aussi à un moment se payer peut-être trop cher par rapport à la à la réalité c’est la deuxième thématique
La plus chère que l’on regarde sur les 25 thématiques chez Galilée la première étant il aérobotique c’est ça il a tout court même pe il aobotique euh comment investir sur cette thématique du Cloud et de l’Internet des des objets là dans l’univers des fonds d’investissement quels sont ceux qui ressortent pour vous
Rony alors dans le gisement de fond qui est la dernière étape de notre modèle d’analyse on a retenu un fond et deux ETF oua donc il y a mon pensier cloud leaders ouais qui est un fond assez concentré 30 valeurs un fond assez intéressant aussi pour ceux qui veulent développer leur portefeuilleg puisquil
Est ffdr9 euh et qui se concentre plutôt sur le Cloud B2B et qui est le plus rentable en fait donc c’est vrai que c’est un fond bonne manière d’ VO avec un gérant physique assez concentré avec beaucoup de conviction sinon pour ceux qui veulent de la gestion passive aller sur
Des ETF on a le Global x cloud pardon global x cloud computing qui est sur les pur players du cloud réellement 38 valeurs mais là vous aurez vraiment uniquement les P players du cloud ça nous a semblé très intéressant et enfin chez BlackRock le high shares future cloud 5G NTECH tout
Est dans le nom euh celui-ci est intéressant pour ceux qui veulent pas y aller B en tête pour ceux qui veulent un peu diversifier avec des grands acteurs de la tech et des grands acteurs de la 5G vous allez retrouver les plus grands acteurs du cloud mais diversifiés avec
D’autres pour ceux qui veulent pas être vraiment spfiend merci beaucoup Reny et merci pour cet exercice de de décryptage des grandes tendances d’investissement euh que vous venez nous apporter chaque mois ou régulièrement en tout cas sur l’antenne de bmart dans Smart BS Ronnie michali le président de Galilée Asset
Management était l’invité de ce quart d’heure thématique
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Super merci ! C’est rafraîchissant de voir un plateau avec des intervenantes féminines. Cela apporte une perspective différente et enrichit la discussion. Bravo pour cette diversité ! J’adore particulièrement Valérie Gastaldy !!