Innover pour Bâtir 2024 : rendez-vous le 21 mars 2024 pour l’événement innovation de la FFB !

    Les défis environnementaux et sociétaux actuels font que l’innovation constitue un enjeu fondamental pour la filière construction, la FFB est et ses adhérents.
    En ce sens, l’évènement du 21 mars sera une nouvelle fois l’occasion de montrer que le bâtiment innove et comment les démarches d’innovation sont bien présentes dans les réflexions et les actions des entreprises mais aussi plus globalement de la filière.

    Programme :

    – 16:30 – 16:40 – Accueil introduction
    Olivier SALLERON, président de la FFB – Fédération Française du Bâtiment

    – 16:40 – 17:05 – L’innovation outil de rentabilité des entreprises
    Fany RUIN, vice-présidente CCI France

    – 17:05 – 17:20 – La FFB en action
    Karine LEVÊQUE LHÔTE, groupe Projet IA
    Nicolas CHABRAND, groupe projet Construction Numérique
    Jérôme COHADE, groupe projet Lean et productivité

    – 17:20 – 17:55 – Témoignage innovation entreprises
    Jefferson LOISON, président SAS Loison
    Benjamin MAUGY, gérant Maison Maugy
    Émilie FERAL, présidente Groupe Isotec Invest

    – 17:55 – 18:25 – Regards croisés enjeux d’innovation avec le secteur agricole
    Dominique CHARGÉ, président de la Coopération Agricole

    – 18:25 – 18:30 – Conclusion et perspectives
    Cécile MAZAUD, présidente de la Commission Innovation et Transition Numérique de la FFB

    Ayant Droits musique :
    – « Women in Power – Philippe Briand & Gabriel Saban”
    – « Heart Chained – Arnaud Riva, Alexandre Tran Van Tuat, Philippe Bozec & Mari vold Lexander”
    – “ Goals – Rex Banner”
    – “ Gigolo – A gentleman of Leisure”

    [Musique] bonjour à toutes et à tous ravi de vous retrouver ravi de vous retrouver alors bien sûr bien sûr le ralentissement économique que connaît le secteur du bâtiment n’a pas tardé à produire ses effets déléteres sur les entrepreneurs sur les entreprises dans cet environnement incertain les entrepreneurs ont-ils véritablement

    D’autres choix que de repenser leur stratégie de repenser leurs méthodes de revoir leurs organisations en un mot ont-ils d’autrees choix que d’innover c’est la question à laquelle nous allons essayer de répondre cet après-midi nous verrons comment la FFB accompagne les transitions en cours nous irons aussi à la rencontre d’entrepreneurs qui ont

    Fait le choix d’innover qui ont mis l’innovation au cœur de leur stratégie pour gagner en compétitivité et puis comme il est toujours intéressant de de regarder ce qui se passe dans d’autres secteurs économiques cette année N nous intéresserons au secteur agricole secteur qui comme vous le savez est un

    Tout petit peu chahuté également en ce moment voilà c’est le programme de l’événement innové pour bâtir de la Fédération française du bâtiment soyez les bienvenus nous sommes ensemble jusqu’à 18h40 en public depuis l’auditorium de la FFB à Paris et en direct sur YouTube Olivier saleron bonjour bonjour Olivier

    Saleron j’ai envie de vous dire c’est presque une laalissade mais dans la période actuelle in c’est une option ou c’est une nécessité alors avant tout je je tiens à remercier tout le tout le nombreux public présent aujourd’hui et puis et puis tous les chefs de fil élus alors avec tous les tous les

    Collaborateurs mais tous les chefs de fil que sont Cécile Mazo que qui est Carine qui est Nicolas bien sûr je vais en oublier plein et Jérôme évidemment et tous ceux qui qui collaborent avec les élus à toutes ces commissions innovation intelligence artificielle l BIM et cetera et cetera donc bravo à eux et

    Puis tous les collaborateurs de notre bien-aimé directeur Éric Duran voilà et et de vous aussi Julien on va aller voir cet après-midi voilà euh en fait dès qu’on cite ces nomsl ben on voit déjà euh la non résignation de la crise on voit face à la crise on voit le

    Dynamisme on voit l’innovation parce que pendant la crise oui la seule solution pour reconstituer des marges et en tout cas essayer de de franchir au mieux ces périodes de crise et bien c’est de former mais surtout d’innover le problème c’est que quand on a beaucoup

    De boulot on n pas le temps et quand on n pas assez de boulot on n pas le temps non plus donc c’est pas facile pour un chef d’entreprise de se repenser au quotidien comment on fait et bien d’abord on repère toutes les pistes d’amélioration c’est pour ça on a un peu

    Plus de recul on forme on forme on forme nos jeunes de moins jeunes et puis et puis même les les les personnes j’allais dire plutôt mû qui ont envie aussi dire voilà nous les personnes de ma génération ont encore envie de se former vous y croyez pas moi chaque jour je me

    Forme au courant bon voilà avec le ministre du Logement il y a quelques minutes intensifier les technologies pour retrouver les sources d’agilité de gain de productivité mais aussi et bien oui de gain de de temps de gainne d’argent et puis aussi de beaucoup de

    RSE il y a il y a aussi Catherine qui est dans la salle tout tous ces choseslà et bien c’est à ce moment-là qu’il faut y penser il faut y penser quand on a beaucoup d’activités et bien la nuit les weekends et quand on en a un peu moins

    On a peut-être un peu plus de temps de réfléchir aussi avec nos salariés avec toutes nos satellites qui forment ce merveilleux monde du BTP avec cet optimisme réaliste que nous avons donc du coup c’est un peu la FFB comme incubateur de tous ces changements et d’accompagnement de ces adhérant

    Finalement exactement ça incubateur la FFB Lab je sais pas si ça existe je sais pas si le nom est déposé ben voilà allons-y on y va un incubateur formidable avec de nombreus personnalités qui ont travaillé depuis longtemps tout à l’heure on avait le le papa de la journée d’innovation il est

    Peut-être là c’est Emmanuel gravier je cite beaucoup mais je tellement reconnaissant tous ces élus qui s’investissent qui prennent sur leur temps par passion et évidemment quelque foois au détrriment malheureusement du du temps passé dans l’entreprise mais il faut être fort nombreux groupes de travail qui inondent l’ensemble de la

    France l’ensemble du monde j’allais dire on était à saint-pierr miclon et bien oui l’innovation à Saint-Pier miclon c’est des architectes qui bossent en ligne en BIM un truc extraordinaire hein il y a 6000 habitants vous pouvez vous pouvez voir qu’on peut ruisseler toutes ces choses-là qui viennent de nos

    Superbes entreprises que nous avons au sein de la FFB sur les moyennes sur les petites et sur les très petite on a aussi de nombreux exemples dans tout tout à l’heure je remercie aussi madame la vice-président de la CCI et puis aussi je vais en oublier mais c’est pas

    Grave ils sont tous là avec nous et puis le monde agricole que je côoie bien au czx et qui ont pris beaucoup aussi d’avance il faut le dire voilà ils ont fait leur mutation technologique et surtout numérique bien écoutez je vous dis bonne journée on y

    Va et comptez sur moi ser là grand un grand merci un grand merci Olivier pour ces propos introductifs alors vous venez de le dire il est pas facile pour un chef d’entreprise ben de se remettre en question chaque jour et alors vous allez voir dans un contexte très très très

    Fluctuant c’est encore plus difficile et ce qu’on va c’est ce qu’on va voir tout de suite avec notre première [Musique] invitée [Musique] voilà alors bien que présidente du N SAA d’HLM la société immobilière Picard notre première invité de l’après-midi n’est pas entrepreneur dans le bâtiment mais dans l’industrie textile elle a

    Fondé et dirige l’entreprise de confection textile et d’objets sur mesure Fanny Stey elle est présidente de la CCI Amien Picardi première vice-présidente de CCI France également membre du Conseil économique social et environnemental je termine parce qu’après elle va rougir en ajoutant qu’elle a été nommée au Trophée des

    Femmes de l’industrie 2023 dans la catégorie femm entrepreneur bonjour Fanny ruin bonjour bonjour à tous alors Fanny nous avons nous allons retracer votre parcours parce que ce qui est intéressant c’est de montrer comment vous vous vous êtes adapté à des cycles économiques qui changent continuellement dans l’industrie textile c’est comme ça

    Qu’on a voulu démarrer cet événement et donc vous vous êtes entrepreneur la marmite de l’entrepreneuriat vous êtes tombé tout jeune dedans dès l’âge de 23 ans c’est ça ouais ça ça date j’allais vous donner la date mais ben voilà bon voilà 98 c’est ça merci donc création de

    Fanisy sympa pourtant ils m’ont fait passer au maquillage avant je leurais d enlever moi 10 ans mais ça y est c’est mort donc oui 98 création de de Fanny steel donc une entreprise qui fabrique des vêtements vraiment prêtes à porter à l’époque au Portugal alors pour des

    Marques comme Sonia riquel Eden Park La Redoute Briss voilà vraiment du surmesure et puis premier changement en 2000 c’est vrai que toutes ces toutes ces marques sont parties plutôt vers du Grand import c’était quelque chose que j’avais déjà vécu dans une première expérience professionnelle que j’avais pas

    Forcément envie de de revivre donc j’ai réorienté on on est passé sur du vêtement image en France donc avec des des marquages et puis petit à petit j’ai des clients qui m’ont dit bah voilà vous nous faites des tenues pour les salons mais on aimerait aussi avoir des goodies

    Stylo mug et autres et puis rapidement moi je suis plutôt une passionnée et puis j’avais aussi besoin d’aller chercher des produits à valeur ajoutée avec une forte valeur ajoutée et donc on est allé aussi euh sur tout ce qui était euh fabrication sur mesure d’objets alors toujours des goodies mais

    Fabrication sur mesure en fort lien donc avec l’événement CEL et là vous me voyez venir il y a pas que dans le bâtiment qu’on a les cou dures covid donc l’événementiel pendant la période covid pas évident zéro même le chire d’affaires je dirais d’un coup il s’écroule complètement ah bah

    Complètement vous retrouvez toute seule dans l’entreprise et des palettes qui reviennent alors du coup vous avez été aidé dans ce à ce moment-là qu’est-ce que vous avez décidé de faire bah c’est surtout que je suis pas du genre à attendre euh j’aurais peut-être dû j’aurais peut-être dû attendre des aides

    Mais c’est pas ce que j’ai choisi de faire j’ai choisi de bah de réfléchir au coup d’après parce que à ce moment-là on avait pas du tout le recul de savoir de quoi serait fait le le monde de demain et surtout que l’événementiel on était quand même loin d’y penser euh donc

    L’idée ça a été de vraiment réindustrialisé et donc vous avez créé le pôle textile vous avez recréé un pôle textile dans la Somme c’est ça en fait dans la Somme on est sur une terre qui à la base est une terre textile donc on a déménagé l’entreprise de 20 km parce que

    L’idée au-delà de créer une usine c’était vraiment de créer un pôle industriel avec un vrai écosystème donc on s’est mis à côté d’un d’un des un tricoteur en fait donc lui reçoit le fil le transforme en tissu et nous derrière on transforme les vêtements donc c’est

    Le grand retour là du principe de Made in France que vous avez voulu mettre en place complètement et donc l’usine a vu le jour en septembre 2020 et quelles sont les difficultés que vous avez identifié immédiatement alors les difficultés de devenir industriel c’est pas du tout c’est c’est un vrai métier

    C’est un vrai métier c’était vraiment de créer une vraie industrie donc l’aménagement ensuite la technicité des process et c’est pas à vous que je vais je vais la prendre et alors le gros point noir comme pour beaucoup le recrutement le recrutement ça a été un un vrai vrai sujet alors moi venant de

    L’apprentissage je pensais que ce serait facile de transmettre les savoirs en gardant ses valeurs puisque encore plus je pense pendant cette période là c’est imp de de garder ses ses valeurs et d’être droit dans ses bottes pour avoir une boussole pour avancer alors vous dites je pensais qu’on arriverrait à former c’est une

    Erreur mais pourquoi alors pourquoi c’est une erreur parce qu’en fait au début on a recruté des personnes de plus de 55 ans puisqu’on était sur une terre industrielle donc des personnes qui étaient ravies en fait de de revenir dans le métier puisque elles avaient à un moment donné il y avait eu un

    Décrochage av elles avaient pu trouver de de job dans le textile donc des plus de 55 et des moins de 25 ans qui sortaient de l’école sauf que quand il a fallu embaucher plus on a pas trouvé donc moi je m’étais dit on va on va former mais en fait la

    Formation c’est un vrai métier et ce qui s’est passé c’est que quand une couturière de métier fabriqué par exemple sur un un produit donné 150 pièces je m’étais dit on sera pas à 300 à 2 parce que j’ai on va faire une forme de partenariat d’apprentissage en

    Interne il y aura une perte bon 300 je m’attendais à 200 et ben à 2 elle produisait 50 elle a une grosse claque parce que je l’ai pas vu venir mais bien sûr euh voilà je l’ai pas vu venir du tout et du coup il a fallu il a fallu réfléchir et

    On a créé en fait un chantier d’insertion oui vous avez pas laissé tomber l’idée de faire de l’apprentissage néanmoins vous avez décidé de faire en sorte que ça soit un secteur en particulier exactement donc une autre structure associative complètement séparé de la société mais pour créer un vivier en fait parce que

    L’idée c’était de recréer un écosystème textile pour l’entreprise fan steyle mais pas que en fait pour l’ensemble du territoire donc ce qui est absolument génial c’est que vous vous relevez du covid vous mettez en place tous ces système et là la deferland fast fashion c’està-dire de TR des des des

    Mastodontes internationaux qui inondent le marché du jour au lendemain qui ont des gammes hallucinantes là on parle beaucoup de Chine on parle de la plateforme temu qui est en train de d’inonderer le marché comment vous faites face à ce genre de chos alors c’est vrai que ce genre de chose

    Existait déjà mais je pense que la covid a été un accélérateur mais non seulement la covid mais l’inflation euh typiquement l’inflation ça ça a donné un coût supplémentaire alors qu’est-ce qu’on fait je crois que vraiment on on Paris sur le made in France mais le made in France AB abordable et avec des

    Valeurs comment ça marche ça le abordable dans le made in France on fait comment alors euh comment on fait on réfléchit on se réinvente comme le disait le le président euh il faut automatiser il faut vraiment voilà aller chercher des nouveaux process il faut monter en compétence du coup le chantier d’insertion non

    Seulement c’est un côté RSE parce que on donne une seconde chance principalement à à des femmes de de retrouver un emploi et de se perfectionner donc on on vraiment on forme un à ce métier et puis l’automatisation on s’est équipé d’une machine notamment de coupe qui est surdimensionnée mais l’idée c’est

    Pouvoir aussi offrir de la coupe à d’autres et je pense que de plus en plus il faut qu’on travaille en écosystème en partage et non plus forcément en concurrence et vraiment se se créer des des pôles ça c’est des choses que vous pouvez anticiper que vous aviez pu

    Anticiper au moment de l’installation du pôle ou c’est des choses finalement vous vous êtes dit on le fait et on verra après si les opportunités se présentent bah un peu des deux quand même parce que en fait bon déjà quand on est un chef d’entreprise je crois qu’on a tous la

    Tête dans le guidon et on en fait je je sais pas vous mais moi j’ai l’impression que ces dernières années ça a été un accélérateur de tout autant quand on avait le temps d’anticiper de de voir venir les choses de mettre en place là j’ai l’impression que l’échelle de temps

    Est vraiment est vraiment raccourcie donc effectivement de temps en temps on prend des décisions un peu un peu rapide mais vous voyez par exemple cette machine de coupe a une découpe tellement précise que aujourd’hui on arrive à couper des écharpe polaire typiquement sans faire de couture et donc un gain de

    De temps ce que disait encore une fois le président qui dit gain de temps gain de productivité et ça nous permet aussi d’avoir des produits qui vont être concurrentiels en tous les cas sur ces produitsl je pense qu’on va pouvoir sortir l’écharpe made in France la moins

    Chère ouis donc c’est quand même le fameux made in France abordable qu’est-ce que vous pensez de des mesures qui encouragent au réemploi on a beaucoup ça aussi maintenant nous dans le dans le bâtiment et tout ce qui va être aussi on a beaucoup parlé au début d’année du bonus réparation c’est avoir

    La petite reprise pour conserver mon vêtement plus lentement plus longtemps pardon comment vous voyez arriver ce genre de d’initiative bah je crois que on est tous en plein deedans et et dans le bâtiment encore encore plus en tous les cas nous on le vit au quotidien et

    Je pense que c’est forcément un axe de développement il faut aller chercher des des contraintes en fait bah en faire des opportunités nous typiquement sur l’cycling c’est-à-dire que on réutilise des tissus de fin de collection pour en faire par exemple là on vient de livrer 60000 chouchous et bandeaux où on va

    Réutiliser la matière ensuite sur le chantier d’insertion ils ont obtenu le bonus réparation et puis on essaie de réfléchir différemment par exemple sur sur les vêtements de travail on s’est dit plutôt que d’aller dans la consommation et de pousser à la consommation on va essayer de faire des

    Choses intelligentes et de proposer une réparabilité donc certes on peut fournir du vêtement de travail mais on va aussi adapter c’est-à-dire qu’on va vous rajouter les coudièes qui vont bien si vous avez un métier où je vous avez par exemple un bip qui que vous devez avoir

    Apportter demain on va vous rajouter une poche et puis dans le temps on peut mettre des puces aujourd’hui pour savoir à qui appartient le vêtement et alleer le ré le réparer vous avez un accro il vous faut rajouter un bouton plutôt que de le de le jeter on répare et on vous

    Relivre et moyennant un forfait et je pense qu’on va aller de plus en plus vers ce genre de de production et dans votre entreprise comment ça se passe justement pour anti même si vous avez dit que c’était difficile j’ai bien compris mais pour anticiper B justement ces ces changements et vous adapter et

    Essayer de rester à flot bah écoutez je crois que on on essaie de d’être ouvert au monde ouvert à tout ce qui se passe ouvert au aux différents changements et je pense qu’on le voit tous hein que ce soit les les sujets énergétique économique on est en plein

    Dedans le RSE on est en plein dedans donc on essaie de donner du sens je pense que la on parlait de boussole au début de l’entretien je pense que c’est vraiment ça la boussole c’est de redonner du sens on le voit que nos salariés ont aussi besoin d’avoir du

    Sens donc le sens aujourd’hui c’est effectivement de fournir euh une formation et une deuxième une seconde chance à des personnes éloignées de l’emploi euh c’est de réutiliser des matières qui euh qui initialement partez à la ben un autre exemple on a on est en cours là d’achat d’une broy

    Pour vraiment les dernières chutes pour en faire des paniers pour chien voilà typiquement voilà le la la table de coup de coupe nous a permis aussi de tout digitaliser donc avec un minimum de déchets et de d’optimiser nos plans de coupe toujours pour avoir le le moins de

    Déchets possible donc voilà c’est c’est vraiment se réinventé tous les jours le côté CCI France si je vous demande de mettre cette casquette cette fois comment ça se passe justement enfin quel est le rôle de la CCI dans l’accompagnement de l’entreprise par rapport à à votre à votre schéma par

    Exemple bah je pense que l’ADN du chef d’entreprise c’est de se réinventer tous les jours maintenant on sait qu’une entreprise accompagnée à 25 % de chance de plus d’être pérenne donc je pense que c’est un peu ce que fait aussi la FFB hein c’est d’accompagner ses adhérents

    Il faut pas qu’ils soi tout seul on vit des transitions qui sont brutales que ce soit au niveau RH que ce soit au niveau économique que ce soit au niveau on le disait he énergétique et donc il y a un vrai accompagnement alors avec différentes aides on a notamment créé un

    Site qui s’appelle les.fr vous rentrez votre numéro de sirette et ça ça vous donne les Aes que vous pouvez obtenir et ensuite vous contactez un conseiller CCI et on vous accompagne notamment sur du montage de dossier mais ça peut être plein de choses ça peut être pour en

    Transition RH par exemple ça peut être pour la transmission de l’entreprise on peut être là pour vous accompagner sur le numérique on a bien vu l’importance de euh de tout ce qui était numérique pendant la période covid mais aujourd’hui de l’intelligence artificielle donc il a il y a beaucoup

    De choses qui peuvent être faites et puis sur la transition écologique vous êtes bien placé pour le savoir euh on est vraiment dans dans dans des chamboulements importants que ce soit sur les panneaux solaires le photovoltaïque lesolien et autres et je pense de plus mais vraiment qu’il faut travailler en

    Écosystème et créer des zones et c’est ce qu’on fait de plus en plus avec la CCI et je pense que c’est important de cartographier et et on peut le faire aussi avec la FFB je sais que ma ma présidente somme est là et on a évoqué le fait de se voir prochainement donc

    C’estgline barriier parce que je pense que c’est important sur un territoire de cartographier les besoins du territoire j’ai visité par exemple une usine récemment qui fabrique du caramel c’est en fait c’est du bon sens je pense qu’il faut qu’on mette de plus en plus de bon

    Sens dans ce qu’on fait et bien elle s’est mise à côté d’une d’une d’une société qui récupère la betterave et puis à côté d’une entreprise qui effectivement a de la chaleur fatale qu’elle peut récupérer et puis à côté il y a une entreprise qui récupère les

    Déchets le carton et en fait voilà il faut vraiment qu’on aille vers une économie je pense circulaire et que les déchets deviennent des ressources on n pas tellement d’autres d’autres choix que ça et de de se servir de de ces déchets de ces crises pour finalement faire des opportunités je pense qu’on

    Peut le faire tous ensemble et plus on va travailler ensemble sur ces écosystèmes sur la construc de ces écosystèmes plus on va être fort et plus on va être productif et on va faire en sorte que on est une France productive et viv le made in France et je pense

    Qu’on peut y arriver merci beaucoup fan ruin pour ces propos introductifs merci pour votre témoignage reste avec moi éclairant c’est pas facile on l’a compris et votre témoignage et votre parcours est très éclairant sur le sujet et vous l’avez dit mieux vaut être accompagné alors ce qui est fabuleux c’est que vous m’avez

    Fait la transition puisquon va précisément regarder maintenant ce que la FFB fait pour accompagner ses adhérents précisément sur les sujets que vous avez évoqués c’est ce que nous allons voir [Musique] maintenant voilà oser les transitions accompagner l’innovation et ben c’est la mission des trois invités qui m’ont rejoint sur le

    Plateau ils mènent les groupes de travail de laffb alors on va commencer avec avec vous Jérôme Jérôme koad vous êtes le chef de fil du groupe ligne et productivité de la FFB vous dirigez l’entreprise toptoi l’ étanchéité maintenance des toitures Terrass en Gironde à mes côtés Nicolas Chabran chef

    De fil du groupe projet construction numérique de la FB et vous dirigez l’entreprise ragousi gros œuvres dans les Hautes Alpes et euh je termine par Karine levclelotte Karine vous êtes la présidente du groupe projet intelligence artificielle vous dirigez également une entreprise de gros œuvres à Tréal dans

    Les Bouches du rô alors Karine c’est peu de dire que li a fait parler j’en veux pour preuve qu’un rapport de la commission de l’intelligence artificielle installée par Matignon a rendu un rapport la semaine passée qui formule je cite six grandes lignes d’action et la première vise la mise en

    Place d’un plan de sensibilisation et de formation de la nation et j’ai l’impression que pour la nation FFB c’est plutôt bien parti oui c’est vrai qu’on a un petit peu d’avance nous la Commission est née il y a donc en 2018 donc on travaille sur le sujet on a la

    Chance de trava travailler sur le sujet depuis plus de 5 ans il y a trois d’ailleurs il y a trois rapports qui sont sortis sur nos travaux que vous pouvez retrouver sur la sur le site de la FFB donc je vais pas m’étendre sur le sujet c’est vrai que c’est une

    Commission qui est composée on pourrait croire que ça ne concerne que les grosses entreprise mais au contraire c’est une commission qui est riche en diversité puisqu’elle est composée d’entreprises de toute petite taille d’entreprisees moyennees et puis de major major qui sont là et qui heureusement sont là parce qu’ils nous

    Aident quand même bien dans la réflexion ils ont un temps d’avance eu aussi euh voilà donc de tous les territoires on a un petit peu on vient de toute la France on est de toute activité aussi moi je suis du gros œuvre mais il y a des TP il

    Y a du second œuvre voilà c’est assez riche et puis on y assoi aussi d’autres activités parce que il y a des liens bien évidemment qui se créent des passerelles on ne peut pas travailler les uns sans les autres surtout quand on parle d’intelligence artificielle donc ça c’est très important euh voilà et

    Puis on se rend compte effectivement que le sujet interpelle et interroge puisque on est de plus en plus appelé sur les territoires pour intervenir voilà sur sur les fédérations régionales départementales et les syndicats de métier alors pour les équipes du réseau de la FFB he vous avez lancé il y a

    Quelques semaines les vendredis de la donc il y a eu quatre séances des webinaires d’acculturation et de sensibilisation donc maintenant que les permanents on va dire sont sont sensibilisés vous travaillez à un plan pour les chefs d’entreprise oui ça nous a semblait vraiment important qu’ prennent la mesure de

    De de ce que va amener a donc je vais parler d’IA parce que c’est plus court qu’intelligence artificielle he excusez-moi on a pas de temps euh donc c’est vrai qu’on va notre objectif c’est vraiment de les accompagner à réfléchir à tout ce qui touche àya dans leur entreprise donc mettre des outils en

    Place avoir de l’information rapidement savoir où aller la chercher donc on va parler on va on va parler d’acculturation alors je vais pas parler de formation en tant que tel c’est pas le mot formation qui est qui est utilisé pour ça mais on va parler d’ culturation

    On va leur expliquer ce que sont les données à quel point elles sont importantes pour pour leur activité parce que Ben la donnée c’est la data pas de Data pas d’ donc c’est la base on va partir de là et puis euh on va leur montrer des cas d’usage pour qu’ils

    Puisse se projeter ça c’est très important des cas d’usage dans le BTP mais pas que H parce qu’on s’aperçoit on parlait de l’agriculture tout à l’heure on a beaucoup appris de l’agriculture aussi donc autant s’inspirer de choses qui marchent et voilà donc après c’est mettre en place des outils qui vont être

    Des podcasts qui vont être on va garder quand même ce lien et ces visites sur les territoires parce que ça sememble vraiment important de rencontrer les gens euh voilà la fédération est présente et est très active donc il y aura toujours une écoute au sein de la FD sur les territoires directement sur

    Sur place donc voilà le le but c’est vraiment de les accompagner sur une stratégie globale euh de d’intelligence artificielle dans leur structure dans une interview récente aux echo vous avez des déclaré qu’il je cite de mémoire le risque avec lia c’est de ne pas’y aller ça c’est intéressant pourquoi ah oui ben

    Alors pour plusieurs raisons déjà on l’a dit tout à l’heure on est c’est un bouleversement qu’on est en train de vivre lia elle est déjà dans vos entreprises elle est déjà sur les logiciels qu’on utilise tous les jours elle est instylée et on ne le sait pas

    Forcément donc elle n’est pas choisie en fait on ne peut pas optimiser l’utilisation de cette là ça c’est le premier point le deuxième point je dirais qu’il faut qu’on on reste maîre des choix stratégiques qu’on va faire donc il faut être acteur et pas subir et

    Ensuite le dernier point pour moi qui me semble important c’est que j’essaie d’imaginer qu’est-ce qui se passera si je mets pas d’IA dans ma boîte que je suis face à un concurrent qui qui en met de de l’intelligence artificielle est-ce que je vais pouvoir offrir les mêmes

    Services sur la même durée et pour le même coût je suis pas certaine bien au contraire donc là il va y avoir un vrai problème de compétitivité et puis et puis puis on sera ringard attendez je suis désolé mais si on a envie de donner aux jeunes

    Euh l’envie d’y aller et de venir chez nous je pense qu’il faut à un moment donné bouger les lignes et et voilà et aller vers l’innovation et l’IA s’en est une alors le rapport que j’évoqué préalablement là de du gouvernement sur l’IA est finalement assez peu catastrophiste en terme d’emploi il dit

    Ça va pas supprimer d’emploi ça va supprimer des tâches est-ce que vous êtes d’accord avec ça à moi complètement toute façon c’est ce que je feraai chez moi pour moi une lia sera ce que vous en ferez donc au final si vous voulez une IIa éthique et uneiaa responsable on

    Parlait de responsabilité sociétale tout à l’heure la Fédération appuie la responsabilité sociétale et il suffit de il suffit de de de d’insuffler cette responsabilité sociétale au niveau de l’IA on va décortiquer les process et on va faire en sorte que cet Ia là dans les process qui sont intéressants pour nos

    Entreprises c’est ceux à forte valeur ajoutée viennent donner de la valeur ajouté à nos collaborateurs viennent enlever toutes ces clâes chronophages répétitives qui leur prend du temps et finalement j’aime bien cette formule je je je l’ai dit il y a pas très longtemps et je l’aime bien donc je vais la

    Répéter pour moi c’est ça n’est pas remplacer nos collaborateurs mais c’est les replacer à leur juste place et c’est vrai que c’est comme ça que je l’envisage je les replace à leur juste place celle qu’ils ont choisi quand ils sont venus intégrer une entreprise de BTP redonner du sens redonner du sens se

    Concentrer sur ce pourquoi on est arrivé dans le secteur merci beaucoup Karine pour la présentation de de votre objectif sur le groupe il on va passer au groupe construction numérique Nicolas alors j’ai bien dit outil numérique j’ai pas dit BIM ah oui tiens on a fait des

    Progrès effectivement on a changé on a enlevé BIM d’ailleurs c marqué Business Information modelling au cchg travaux donc on était mal parti donc on a parlé effectivement de construction numérique et plus largement de l’environnement numérique parce que avant de monter le Mont Blanc on va dire sans piolet sans

    Crompon il faut déjà je dirais sa culturé déjà au numérique et c’est ce qu’on a voulu faire et alors du coup ça pourrait être une la palissade mais alors Stéphane Loiseau qui se reconnaîtra que nous avions reçu ici il y a 2 ans à coutume de dire le meilleur

    Outil numérique c’est celui qu’on utilise moi j’aime bien ça bah oui je pense qu’il a entièrement raison euh effectivement faut que ça corresponde à des besoins à des usages autrement c’est pas la peine d’aller vers le numérique tout simplement et c’est ce qu’on a voulu faire avec ce groupe et on a fait

    Des fiches qui correspond à des besoins à des usages très très simples didactiques pédagogiqu facile à comprendre facile à lire et qui donne envie ben d’aller un peu plus loin donc pour consulter une maquette numérique pour réaliser des maîtr faire des rapports de visite bah c’est ce que je vous propose de

    Découvrir maintenant au travers de ce petit film de présentation vous êtes artisan ou entrepreneur et souhaitez gagner en temps et en efficacité des outils numériques simples peuvent vous y aider la FFB est là pour vous accompagner et oui le numérique dans le bâtiment ce n’est pas que le BIM c’est par exemple

    Faire vos relevés de côte grâce à un télémètre laser remplacez votre surligneur par un logiciel de maîtré utilisez une plateforme collaborative pour partager vos dernières versions de documents ou encore créer des formulaires numériques pour vos devis et commandes cela vous semble compliqué pas de panique il n’y a pas besoin d’être un

    Geek existe des solutions simples adaptées au bâtiment et accessibles à tous les budgets pour réussir votre passage au numérique allez-y étape par étape usage après usage vous verrez bientôt vous ne pourrez plus vous en passer retrouvez tous nos conseils pratiques sur ffbatiment.fr voilà donc un beau travail d’ors et déjà disponible donc n’hésitez

    Pas Nicolas où en est-on de la construction numérique du BIM par rapport au au travail collaboratif synthèse c’est des choses qui on s’acculture à ça justement pour un petit peu rassurer notre Président on avance hein quand même toutçon la meilleure preuve c’est que les éditeurs de logiciel eux ils ont pas de problème

    Hein ils font une marge à deux chiffres donc ça veut dire quand même que les les entreprises utilisent les outils numériques ça c’est clair concernant la construction numérique donc ex BIM ben quand vous avez quelque chose qui est qui fait de la synthèse de la compréhension collectif parce que vous

    Voyez tous la même chose du collaboratif ben je pense c’est intéressant et ça peut donner beaucoup de solutions dans nos chantiers nos affaires pour nos organisations aussi donc je vous encourage à découvrir le sujet Karine évoquit la l’intérêt aussi de de d’aller vers ça pour l’attractivité pardon no nos métiers

    J’imagine que la logique est la même pour ce qui concerne votre groupe de travail bien sûr je pense que le numérique aussi au niveau des la nouvelle génération he d’ailleurs la meilleure preuve c’est les war skill vous avez une une épreuve de construction digitale euh la première édition ben on avait six

    Candidats ben la 2e édition donc pour les wor kill 2024 grâce à Jonathan pires l’expert mondial qui est de la maison FFB et ben on a on a eu 70 candidats donc on voit que Ben la jeune génération pousse oui oui c’est intéressant je je je précise que Jonathan aura sous sa

    Houlette Ruben Johann qui défendra les chances tricolores et donc les finales international de World skills c’est à Lyon du 10 au 15 septembre prochain pour terminer Nicolas je voudrais qu’on dise un mot de l’appel à projet BIM pour tous parce que là on est vraiment dans le

    Concret on est en train de construire un projet à l’initiative de la FFB pas très loin d’ici à Créteil et il y a des des adhérents de la FD qui sont mobilisés alors tout à fait donc on va dire pour faire le B il faut être plusieurs et

    Surtout c’est un écosystème avec un mtre d’ourvrage des maîtres d’œuvre des bureaux d’études et bien sûr des entreprises donc l’idée c’était de prendre l’opportunité d’avoir dans notre féd PUL habitat donc on a fait un appel à projet avec eux donc avec le maître d’ouvrage et aujourd’hui ben c’est

    Savoir comment on peut mettre en place un BIM pour tous un BIM simple euh un BIM choisi et non subi euh pour avoir un DCE que nous on appellerait presque parfait et que qu’on puisse après au niveau chantier et au niveau organisationnel y trouver tous les

    Avantages par rapport à ce que j’ai dit la collaboration la communication la compr je dirais génial ça évite en tout cas quelques problèmes d’interface c’est sûr euh je précise que le maîre d’ouvrage on va les citer quand même parce que c’est important c’est valeur promotion côté des ramp habitat et puis

    L’entreprise de gros œuv c’est l’entreprise saine et marnaise Drouet merci beaucoup Nicolas j’en profite aussi pour signaler la tenue les 3 et 4 avril prochain du salon beam World qui met l’accent sur les gumeaux Numériques vous y serez présent tout à fait et puis vraiment je vous invite à aller au stand

    FFB où il y a des parcours didactiques selon vos besoins selon vos usages selon le ce qui vous intéresse c’estd pour éviter que vous perdz du temps et que vous preniez peur et ben la FB vous a prévu 9 ou 10 parcours de mémoire donc vraiment on vous a préparé le terrain

    Venez nombreux s’il vous plaît donc n’hésitez pas merci beaucoup euh Nicolas allez on passe pour terminer au c’est un nouveau groupe hein LG et productivité que vous dirigz Jérôme Coad euh donc du coup bah on va commencer par quels sont les objectifs euh alors la vocation du groupe c’est de réfléchir et de

    D’accompagner euh comme ça a été dit en introduction nos adhérents sur tous les sujets euh d’amélioration quiue des entreprises qui vont permettre d’améliorer leur rentabilité leur productivité donc là on est vraiment dans le dans le le line et donc vous avez pas peur d’utiliser le terme non

    D’autant plus que vous venez de le dire c’est un nouveau groupe qui est issu d’un groupe de travail qui s’appelait line tout simplement et qui avait avait pour vocation de de fournir des éléments de sensibilisation du réseau afin qu’on puisse multiplier ou faire multiplier les initiatives d’accompagnement d’entreprise et aussi

    Des initiatives de chantier en ligne donc ça c’est quelque chose que vous avez capitalisé et qui vous sert maintenant à faire une campagne de sensibilisation je dirais ouais tout à fait cette campagne on l’avait et ce groupe étit initié dans le groupe dans le cadre du programme recherche

    Développement métier de la FFB et euh et effectivement cette campagne est prête aujourd’hui les livrables sont sont sont rendu ou livré depuis la semaine dernière derre alors vous allez nous dire un petit peu quels sont les livrables je rappelle hein le prdm pour ceux qui sont pas familiers c’est un

    Budget d’un million d’euros annuellement que la Fédération du Bâtiment met sur la table pour accompagner l’évolution des métiers alors je reviens à cette campagne de sensibilisation qu’est-ce qu’on y trouve euh on y trouve cinq vidéos un teaser trois vidéos de sociétés qui ont été accompagnés pour mettre en œuvre le Lig

    Dans leur société et aussi une vidéo euh retour d’expérience sur un chantier sur un projet qui s’appelle La Closerie à anger réalisé avec la l’implication du maître d’ouvrage anger loirabita et la FFB bien sûr de manen noir qui ont porté ce chantier en ligne voilà encore d’État

    Séparé donc je vous prend propose qu’on regarde la fameuse bande annonce moi je le dis en français de la campagne de [Musique] [Applaudissements] [Musique] sensibilisation [Musique] [Musique] [Musique] [Musique] voilà pour le teaser de la campagne elle va être complété là dans les tous prochains jours par des fiches je crois

    Ou tout à fait les vidéos je l’ai dit sont sortis la semaine dernière et puis là on va sortir dans les prochains jours des fiches pratiques sur le lin ou sur des aspects techniques et des accompagnements et des outils du LG et aussi des livréss deux livrés un

    Livré sur le LG sur chantier et un livré sur le Lig dans nos entreprises alors j’ai presque envie de dire maintenant le LG c’est fait et on passe il y a l’autre élément de votre groupe de travail c’est la productivité qu’est-ce que vous entendez par productivité quoi sur quoi

    Vous allez travailler euh alors là on va essayer de se saisir justement de de ce sujet au sens très large on va avoir un un une réflexion un peu prospective on a déjà identifié des pistes comme la réflexion qu’on pourrait porter sur leur site qui est très actuel on entendoup

    Par euh est-ce que leur site nous concerne qui peut concerner jusqu’où comment voce que le site qu’est-ce que leur site donc ça c’est vraiment le travail que vous allez mener là dans les dans les semaines qui arrivent oui donc le groupe projet comme on l’a dit est le

    Dernier arrivé au sein de la de la Commission et là je crois qu’on a beaucoup de travail devant nous d’ailleurs on on accueille tous les adhérents de la FFB qui veulent bien se joindre à nous dans ces réflexions là et euh on on on voilà on va avancer

    Ensemble sur ce sujet et la productivité a s large toujours dans une logique d’accompagnement donc vous prenez toutes les bonnes idées finalement pour les partager les idées utiles par les temps qui court exact merci beaucoup merci Jérôme merci à nos trois intervenants à l’appel est lancé on fera le point

    L’année prochaine sur l’avancement de vos travaux respectifs il est 17h16 on va passer à la 3e séquence de cet après-midi avec des entrepreneurs vous allez voir qui sont passés à l’action [Musique] voilà le temps de retrouver nos places voilà bienvenue à à à toutes et à tous se repenser au quotidien innover

    Pour demain c’est exactement ce qu’on fait les trois invités qui nous ont rejoint sur le plateau nous allons voir avec eux comment ils ont mis en place leurs initiatives euh comment ils ont eu les idées de progrès comment ils les ont déployé dans leurs entreprises et bien

    Sûr on va essayer de voir quels quels résultat ils obtiennent alors j’accueille immédiatement Émilie Ferral présidente de la Société isoteec invest Jefferson Loison bonjour Jefferson vous êtes président de la Société Loison et enfin Benjamin Mogi Benjamin vous vous êtes gérant de la société maison mjji voilà alors merci à tous les trois de

    Nous avoir rejoint on est allé en immersion dans chacune de vos entreprises on a pris des images donc on va découvrir ça ensemble et je vous propose qu’on commmente à après chacune de vos initiatives ça vous convient alors c’est parti on va démarrer tout de suite on descend dans le sud de la

    France dans les Bouches du rô et on va dans les locaux de la société isoteec [Musique] invest on a pris la décision de créer un mode opératoire d’analyse de nos dysfonctionnement c’était un des problèmes de l’entreprise on n’arrivait pas à capitaliser sur nos erreurs et en fait les disfonctionnement

    Se répétait d’année en année lorsqu’une fiche de dysfonctionnement est ouvert par un collaborateur il y a une analyse qui va être faite pour détailler le problème et prendre la décision de savoir si on la traite en mode collectif ou en mode individuel le mode collectif peut se faire soit à l’entreprise soit

    Sur le terrain perso je préfère le terrain parce que c’est avec les collaborateurs les opérateur le chef de chantier qu’on arrive à mieux résoudre les problèmes le problème qu’on a eu sur ce chantier c’est qu’on a été alerté par la comptabilité qui avait un dépassement des quantités de déchets de

    Curage suite à ça on a convoqué une réunion avec le prestataire la compta la direction et le chantier pour traiter ce dysfonctionnement et notamment le fait que le prestataire n’appliquait pas les tarifs prévus par la convention du BTP pour le traitement des déchets nos objectifs vis-à-vis de cette

    Nouvelle méthode de management c’est de responsabiliser l’intégralité de nos collaborateur dans leurs tâches et dans leur définition de fonction dans le but d’optimiser et de lever le gaspillage en fait l’intérêt de cette méthode de management aussi c’est de pouvoir travailler en mode collaboratif c’est de l’intelligence collective ça valorise

    L’ensemble de l’équipe et puis ça met de la bienveillance aussi dans dans nos actes quotidiens dans les tâches que qu’on entreprend les uns et les [Musique] autres alors Émilie je rappelle vous êtes la présidente de isoek invest on a vu un petit peu vos chantier mais vous

    Allez nous repréciser ce que fait votre entreprise donc bonjour à tous le groupe isotec invest faut que je me rapoche mic plus euh le groupe isoch invest aujourd’hui est constitué de deux filiales isollea qui fait tout ce qui est désamiantage traitement du plomb et déconstruction sélectiv et isolis qui est dans la

    Rénovation énergétique en faisant l’isolation intérieure et extérieure alors dans le film vous dites nous n’arrivions pas à à capitaliser sur nos erreurs pourquoi alors la première cause déjà c’est de ne pas prendre le temps tout simplement pas de prise de temps la deuxième cause c’est d’identifier la source du problème mais

    De façon profonde et ensuite d’impliquer l’intégralité des acteurs de la chaîne c’est-à-dire les premiers qui sont à la source et c’est souvent les collaborateurs du terrain alors du coup quand vous pour identifier les dysfonctionnements comment vous y êtes prise et puis comment vous faites pour pas courir tous les lièvres à la fois

    Alors on a on a fait une formation qui qui est le ligne bien évidemment cette formation nous a permis en fait de travailler sur les sur tout un tas de sujets mais en arrivé pas à modéliser et à trouver une solution pour pouvoir vraiment travailler ses dysfonctionnements donc on s’est posé et

    On a réfléchi à quelle méthode on pouvait déployer donc on a créé cette procédure ce mode opératoire et on a cherché à comment en fait on pouvait faire parler les collaborateurs et les responsabiliser donc du coup on a créé ce ce mode opératoire d’application avec deux méthodes l’analyse en Goo donc Go

    C’est-à-dire qu’aujourd’hui il faut pouvoir interroger l’ensemble des acteurs de l’entreprise dont les collaborateurs du terrain et les cas qui sont plus simple on va dire c’est directement le service QHSE qui s’en occupe et dans le cas qu’on voit là précisément dans le film où finalement

    Bon on se rend compte que le tarif pour le traitement des déchets n’est pas celui qui était prévu à l’origine on a identifié le le sujet mais comment être sûr que ça va pas se reproduire alors pour ça ben en fait il y a un certain nombre d’actions qui ont été établies

    Euh notamment la création d’un logigramme où aujourd’hui tout le monde sait qu’est-ce que chacun doit faire au niveau de la tâche pour pas que ça se reproduise et le point qui est le plus important à mon sens qui remonte toujours sur le sujet des études comment au niveau de l’étude on doit fonctionner

    Parce qu’aujourd’hui il faut être conscient que l’application de la Rep ce n’est pas facile et quelle décision on doit prendre au moment de l’étude alors j’ai l’impression que en fait vous faites du LAN mais en mode Canada drive voulait surtout pas prononcer le nom je me trompe oui c’est exactement ça euh

    Pourquoi ben parce que tout simplement quand on a discuté avec les équipes terrain le Moline n’est pas passé faut pas voilà c’est pas passé donc on a fait le choix de l’appeler amélioration continue parce qu’en fait c’est ça he on va simplement mettre un mot français sur quelque chose qu’on qu’on applique Voilà

    Tout simplement et concrètement en terme d’investissement du coup enfin j’allais dire là pour le coup matériel ou logiciel ça vous ça coûte de faire ce que vous avez fait euh non non pas des tablettes un petit peu peut-être sur le chantier CH Oui alors oui par rapport à ça enfin aujourd’hui effectivement on

    Est en on a mis en place une application pour nous permettre de dématérialiser mais tout le monde a un smartphone tout le monde se sert de son smartphone donc en terme de coût financier aujourd’hui pour nous c’est un coût qui est neutre c’est simplement du temps mais ce tempsl

    Quelque part on le récupère derrière par rapport à l’investissement qu’on y a mis vous disiez il y a des résultats que vous avez avez pu mesurer notamment du côté de laamande parce que la miande c’est une activité hyper réglementée pour le coup alors pour le coup c’est hyper réglementé on est confronté en

    Fait à des audits réguliers et on avait des des dysfonctionnements qui se répétaient d’année en année et le fait de digitaliser d’être en cours de digitalisation de l’intégralité de nos processus nous permet de répondre d’une façon qualitative à ces dfonctionnement là donc vous avez gagné en sérénité on

    Gagne en sérénité effité en efficacité et en efficience souci merci Ilie on va revenir tout à fait à la fin de notre entretien sur l’aspect managérial de votre action auparavant je vous je vous propose de retraverser la France on va aller dans le nord direction armentière pour nous retrouver dans l’entreprise looison [Musique]

    [Applaudissements] regardez nous sommes une entreprise de métalerie de bâtiment de 170 person personn dont les l’ADN des métiers est très artisanale et donc on a souhaité faire évoluer nos process en les digitalisant pour en améliorer la maîtrise de l’information et la prise de [Musique] décision donc aujourd’hui que ce soit

    Sur terrain ou dans les ateliers l’ensemble des des collaborateurs sont équipés de tablettes qui permettent de compléter différents formulaires ça peut aller du contrôle qualité au pointage aux besoins de transport aux demandes d’achat au reception de support donc il y a un éventail très très large on peut avoir une information beaucoup plus

    Riche puisque on peut l’enrichir de photos de d’jo ou d’autres d’autres éléments et surtout on peut aussi aller y mettre du monitoring ou du contrôle de gestion ce qui permet de mettre une deuxième strate d’amélioration continue au sein de nos processus avant en cas de dépassement financier sur un chantier on constatait

    Les écarts presque une semaine après voire plusieurs semaines après alors qu’aujourd’hui en temps réel on mesure notre activité on a l’information sur le budget ce qui nous permet d’être beaucoup plus réactif et de réduire nos coûts à nous l’objectif c’est que nos collaborateurs puissent remplir leur mission dans les meilleures conditions

    Et donc finalement de remplir notre promesse client on travaille sur la digitalisation de nos processus depuis plus de 10 ans aujourd’hui je pense que chacun de nos collaborateurs ne se verrait pas faire retour en arrière que chacun mesure les gains que ça apporte pour la société et donc c’est une très

    Belle réussite pour l’entreprise dont on est très fier [Musique] voilà l’entreprise looison à armentière quelques mots Jefferson si vous voulez bien pour présenter votre entreprise bonjour donc on est une entreprise de0 collaborateurs bas armentière métallerie de de bâtiment on a plusieurs métiers on fait de la structure métallique de la

    Façade et puis de la métallerie on va dire qu’on a deux gros types d’activités une activité service qui consiste plutôt à accompagner les collectivités sur des des des des commandes de quelques centaines à quelques milliers d’euros et puis des chantiers de taille importantes qui vont de plusieurs centaines à

    Plusieurs millions de d’euros alors on a entendu dans le reportage votre volonté de digitaliser l’entreprise l’ pas dit hier une dizaine d’années vous dites qu’est-ce qui vous a motivé à aller dans ce sens il y a eu deux deux faits générateurs d’abord on a bien senti la montée de la contractualisation dans

    Dans nos affair et on avait un besoin de traçabilité notamment sur la le jalon du du hordordair euh et puis surtout on avait aussi besoin notre ADN est artisanal à 170 collaborateurs on rajoute des Services Support donc des interfaces donc des problèmes de communication donc on a besoin de

    Pouvoir aussi donner des des outils à nos à nos gens qui sont issus du terrain pour les les aider au quotidien alors on on le voit également dans le film Le entre le contrôle qualité les achats la réception de support euh même la réception de ncel je crois euh les

    Ventail des solutions que vous avez développé est très large comment vous comment vous les identifiez ces cas d’usage ben à chaque fois qu’on a un problème on essaie de trouver une une solution et les problèmes manquent pas donc les les les solutions à mettre en œuvre non plus et ouis elles manque pas

    Non plus on on a assez créatif alors vous avez créé un écosystème complet je voudrais qu’on rentre un peu dans le détail autour de votre RP donc le le RP c’est le logiciel qui vous sert à gérer l’entreprise finalement qui est un hub et vous vous avez créé une multitude

    D’applications autour donc ça s’est bâti effectivement strat par strat ça fait très longtemps qu’on qu’on a un ERP et puis effectivement au fur et à mesure on a rajouté les briques la première ça a été une application qui s’appelle kysoforms qui est une application de dématérialisation de formulairire où on

    Peut créer n’importe quel formulaire euh la deuxième ça a été une application qui s’appelle mondday monde.com qui est qui est un workos qui sert finalement à suivre à suivre des projets euh et puis là-dessus on a aussi du un logiciel de roquetage qui nous permet d’aller attaquer l’ensemble des entrepôts de

    Données et de créer du contrôle de gestion alors là on le voit pas dans le film et vous m’aviez parlé d’un d’un élément qui m’avait beaucoup intéressé c’était la gestion des flux irritants vous avez dit alors c’est quoi un flux irritant et et bien bah c’est les les flux qui déstabilisent les les

    Collaborateurs parce que il créent des des des dysfonctionnement et en l’occurrence un des flux importants qu’on a c’est tous les ouvrages qui doivent passer par les ateliers mais qui sont pas lancés en production par le bureau d’étude donc c’est lancement en production par le bureau d’étude est

    Très processé mais à partir du moment où on a besoin d’un bout de toerie de de bout de tube ou de notre activité service qui peut lancer des petits ouvrages ça se retrouvait en production par des canaux qui peuvent être très différents ça pouvait être un mail un coup de téléphone un

    Postit et donc cette multiplicité des des des canaux risquait de bah de pas réussir à produire dans de dans de bonnes conditions aujourd’hui on a un seul canal pour lancer ce ce type d’ouv ouvrage qui est entièrement digital où on peut aussi suivre l’avancée du traitement de la de la demande on voit

    Que ça fait 2 ans et demi qu’on travaille qu’on a mis en place ce flux là on a traité quasiment 3000 demandes par le biais de de de cette de ce canal donc on se dit que si les collaborateurs l’utilise c’est qu’ils y trouvent un intérêt ouai ça c’est et du coup la

    Question que j’ai envie de vous poser c’est comment on mesure est-ce qu’on peut mesurer l’intérêt euh à part l’usage je dirais mais de toutes les interfaces et de toutes les applications que vous avez créé B le le gain financier il est toujours difficile à mesurer maintenant un exemple assez

    Simple c’est que effectivement quand on reçoit nos nos matériels de location type ncel on fait toujours un un état des lieux qui est qui est fait à l’aide de de la tablette et la la première année où on avait mis en place ce genre de de de de d’équipement rien que le

    Coût de ce qu’on a pu dire au loueur ben non le matériel est arrivé à abîmé déjà abîmé payer la le coût d’investissement de ce qu’on a mis en place donc donc il faut le prendre dans une multitude de petit gains c’est ça finalement l’amélioration continue plutôt que

    D’imaginer tout de suite une révolution dans l’organisation de l’entreprise finalement euh oui et puis il faut effectivement essayer d’aller sur sur le plus de terrain possible avec l’objectif effectivement de de d’apporter de la fluidité et de l’excellence opérationnelle au collaborateurs merci beaucoup Jefferson on va continuer à échanger auparavant je

    Vous propose de terminer ce tour d’horizon on va à quelques kilomètres plus à l’ouest en Normandie dans l’heure et on va à la rencontre des maisons [Musique] mjjis la fabrication h site est un système de fabrication où nous assemblons le maximum d’éléments à l’atelier pour faire en sorte que sur

    Chantier nous ayons le moins travail possible à faire la phase de conception est primordiale lorsque l’on fait la préfabrication lorsque l’on reçoit la commande d’une maison mon dessinateur va dessiner l’entièreté de la maison même les moindr détails tels que électricité plomberie ensuite c’est envoyé en production donc là les machines vont

    Tailler à la maison sur une période à peu près de 3 jours suivant la taille de la maison après c’est envoyé aux machines d’assembl en gros une maison de 80 m² en 2 jours c’est assemblé et après il y a toute la finition donc le bardage

    La pose des minuseries la pose du placot l’électricité la plomberie ça veut dire que même la prise de courant et la prise hydraulique sont installé à l’atelier avant de partir sur chantier c’est plus agréable de travailler à l’atelier que sur un chantier car d’une on est plus en

    Sécurité de deux on a plus de problème avec les fournisseurs parce qu’on a tous les matériaux au commencement du chantier et la coordination des métiers se fait mieux sur site donc c’est que du positif que ce soit pour l’entreprise et pour les ententes entre les collègues la conjoncture actuelle est

    Extrêmement difficile les clients n’arrivent pas à avoir leur prêt n’ont plus beaucoup d’argent de côté et la préfabrication nous permet de baisser nos coûts d’avoir des prix plus attractifs et ceci nous ouvre beaucoup de nouveaux [Musique] marchés [Musique] bonjour Benjamin mi bonjour bonjour bonjour Alors ben vous ne on sacrifie

    Pas la tradition vous allez nous présenter votre entreprise donc nous sommes constructeur de maison individuelle donc on traverse une crise qui est quand même assez compliquée en ce moment nous faisons aussi de la rénovation énergétique et des agrandissements alors c’est une entreprise centenaire centenaire oui c’est mon arrière grand-père qui a créé

    L’entreprise en 1921 et après mon grand-père mon mes parents et moi-même à chaque fois d’affilé alors la préfabrication le orsite c’est dans votre ADN un pe depuis le début finalement oui euh les la les métiers de charpentier ont toujours fait du orsite c’està direire que lorsque l’on est à l’atelier

    Que l’on taille notre charpente c’est déjà une forme de horsite euh l’ossaturbois se prête vraiment au horsite euh mes parents euh dans les années 80 ont commençé à faire des à fabriquer les murs au saturebois à l’atelier avant de les emmener sur chantier euh la seule chose c’est

    Qu’après j’ai été un petit peu plus loin que ce que mes parents ont fait même si eux-mêmes allaient déjà très loin en mettant à l’époque l’isolant bien sûr entre monant mais aussi le bardage et la munuserie à l’atelier et alors il y a eu un épisode qui a chamboulé tout c’est le

    Même que celui qu’a évoqué tout à l’heure Fanny ruin c’est le covid covid plus derrière l’INF sur les matériaux là ça a été compliqué ça a été ultra dur en fait le covid a compliqué les choses parce qu’il fallait continuer de travailler mais on pouvait plus recevoir

    Les clients quand on fait de la maison individuelle le choix de carrelage le choix de robinetterie à distance est très compliqué donc il a d il a fallu s’adapter et nous en plus dans le bois on a une particularité c’est que la crise du la crise des matériaux on se l’

    Prise un petit peu avant tout le monde c’est-à-dire que un an avant l’inflation du bois a été très forte en 3 mois on est passé à peu près de 400 € le M C de boî de charpente à quasiment 1000 € donc bah ce qui fait que derrière bah la Tréo

    Bah très compliqué alors déjà qu’elle avait été entamé par le covid donc là bon B ça a été ultra dur et il a fallu bah bien sûr essayer de se réinventer un un maximum pour pouvoir continuer dans le dans ce que moi j’aime faire c’estàdire leur site et

    Du coup plutôt que de vous replier et d’attendre que l’orage passe vous avez dit non on va on va investir et ben ouais en fait j’ai investi dans un centre d’assemblage de mur auature bois l’avantage c’est qu’on peut sortir une maison en gros en une journée et demi à

    Trois personnes on peut fabriquer l’intégralité des murs un peu plus si jamais on va jusqu’au bout comme vous avez pu voir dans la vidéo en mettant le placot et en mettant aussi derrière l’électricité la plomberie mais moi on m’a toujours dit en temps de crise c’est

    Le moment où il faut investir bon ben voilà je l’ai écouté donc l’investissement ça représentait quoi à peu près en terme de à la fois le bâtiment et puis le le process industriel que vous avvez mobilisé l’ensemble on est sur 2 million demi d’euros d’accord 2 million vous avez été

    Un peu aidé ou pas ouais j’ai alors j’ai été bien aidé parce que l’investissement je l’ai fait grâce à France relance ù pas sur pas sur la partie bâtiment mais sur la partie machine et en gros j’ai une subvention qui est à peu près de 50 % du montant des machines alors pourquoi

    Vous êtes pas allé on le voit dans le film vous êtes pas allé au modulaire 3D vous vous êtes arrêté au au murcher pourquoi le modulaire 3D demande encore un investissement plus colossal et après derrière il faut pouvoir rentabiliser si jamais je le faisais d’un seul coup le

    Le le prévisionnel amenit sur quelque chose de très enfin on se serait pas sorti donc du coup je préfère y aller par étape dans un premier temps le 2d et plus tard peut-être dans un deuxème temps le 3D en plus quand on transporte les murs les murs en 2D sont tous les

    Uns à côté des autres quand on transporte du 3D on transporte du vide beaucoup de vide ouais effectivement alors il y a quelque chose qui est dit par vos collaborateur c’est cette capacité à maîtriser le ce que moi j’appelle le chemin critique des corps d’état ça c’est des compétences que vous

    Vous avez en interne ou c’est d’autres entreprises qui viennent travailler dans vos locaux non c’est les compétences qu’on a en interne mes parents avaient fait un choix à l’époque c’était de d’avoir tous les corps d’état intégrés à l’entreprise donc au fur à mesure o on a

    Eu besoin de de compétences et ben on les a intégré on a embauché donc ça veut dire que nous en interne quand on fait une maison de A à Z c’est les salariés maison mjie alors du coup dans le film également on le voit à la fin enfin on l’entreaperçoit vous dites c’est

    Intéressant parce que ça m’a permis de capter de nouveau marché alors là faut que vous nous en disiez plus en fait j’avais le choix entre deux deux façons de faire progresser mon entreprise soit je faisais la façon traditionnelle donc de que connais tous cmist donc ouvrir des agences bon ben vu

    La conjoncture ben j’ai essayé he j’ai fait une agence à rouan bon ben voilà au bout de 6 mois je l’ai fermé ça a pas marché et surtout que on est dans une situation dans un contexte économique où bah on n pas les moyens en fait de de de prendre le temps

    Euh donc j’ai fait l’autre choix c’est ouvrir aux collègues et de prendre mon bâton de pèlerin de leur dire pourquoi est-ce que le bois c’est magnifique de leur expliquer pourquoi est-ce que mon process est lui aussi magnifique et de les emmener avec moi dans la maison de

    Saturbis mais alors pas que dans la maison c’est ça leur permet aussi de s’emparer de l’extension de la surélévation enfin autant de choses dont on parle beaucoup aussi on a bien compris qu’au fait on a bien compris qu’en ce moment la la maison est pas

    Trop le voir en poupe donc du coup enfin du moins pour le pour pour l’État mais les agrondissements les surlévations elles oui et c’est vrai que lorsque l’on dit au client écoutez on va vous faire la maçonnerie une fois que que l’on amène les murs un petit agrandissement en une journée

    L’agrandissement est entièrement fini il reste plus qu’à connecter le réseau électrique et le réseau hydraulique bah c’est vrai que ça fait mouche ais alors la Seris sur le gâteau c’est que vous êtes pas très loin du port du Havre oui et que vous allez probablement vous êtes en passe d’exporter vos productions vers

    La Martinique ouais exactement en fait alors déjà la première surprise que j’ai eu c’est au début je me suis dit bon je vais faire Normandie Haut- France c’est déjà pas mal et puis en fait on m’a appelé en Île-de-France on m’a appelé en Bretagne on m’a appelé de dans dans le

    Grand est donc alors déjà je pensais avoir territoire quand même pas mal mais bon bon bah dans se coup je me retrouve moi tout seul représ verp à devoir faire la moitié de la France et j’ai eu la surprise d’un architecte parisien qui me

    Dit qu’ a a qu’ a un hôtel qu’ un hôtel en Martinique cherche justement à faire des lodges et c’est vrai la proximité du Havre me permet de pouvoir envoyer directement aux Antilles alors Antill guyan Saint-Pier miclon aussi hein et après ben pourquoi pas un peu plus loin

    Peut-être réunion après on verra mais et et et vous allez jusqu’à imaginer que votre business modè puisse être plus uniquement que fournisseur de solution et de et plus du tout vous d’être actif sur les chantiers ben je je pense que c’est un peu compliqué d’être des deux côtés c’estàd que sur un territoire

    Donné je vais dire au constructeur ben écoutez je vais être votre fournisseur puis en même temps je vais être votre concurrent euh donc je il va falloir faire un choix bon benah le choix je l’ai fait hein je pense que vous avez compris par rapport à ce que je viens de

    Vous expliquer le choix a été fait euh et et c’est un choix qui a été assez compliqué à faire parce que que Ben mes parents eux B ont eu un peu peur de du choix que j’ai fait mais mais mes collaborateurs ont aussi eu un peu peur du choix que j’ai fait

    Euh après ce que je enfin je leur dis nous on est chararpant on restera charpentier c’est juste qu’on a évolué sur un process qui plaît parce que j’ai beaucoup de demandes et en gros nous il faut juste que l’on devienne industriel et qu’on garde notre cœur d’artisan al

    Un process qui plaît et qui a été remarqué puisque j’en profite pour signaler que votre initiative a été récompensée au dernier challenge de l’habitat innovant organisé par Paul Habitat vous avez eu la médaille d’or dans la catégorie ma vision du métier justement c’est assez symbolique alors

    On voit bien au travers de vos trois exemples que quand on repense son organisation et vous l’avez dit tous sans exception il y a rien qui se fait sans les collaborateurs et d’ailleurs il y a quelque chose qui est coroboré par votre conducteur de travaux Émilie qui

    Dit le fait que la direction se rende sur le chantier c’est très bien vécu par les équipes je pense je pense qu’aujourd’hui c’est vraiment un point qui est primordial descendre sur le terrain c’est là où en fait ça se passe accompagner les collaborateurs les faire monter en compéten reconnaître leur

    Travail aussi pour trouver les solutions liées au gaspillage parce qu’en fait le gaspillage ça c’est de partout c’est des petits toutes touch à droite à gauche donc oui il faut aller sur le terrain il faut travailler avec eux et la confiance la le management collaboratif chez

    Isotec invest ça va jusqu’où ben ça va jusqu’à une journée team building avec l’ensemble de l’équipe l’année dernière au mois de juin je peux réduire mon impact vis-à-vis de la transition écologique puisqu’on avait eu une conférence de 45 minutes sur le climat au préalable le deuxième sujet c’était comment au niveau

    De notre bâtiment on peut faire des pareil des économies aussi dans tous les sens et puis le dernier sujet qui a beaucoup plus c’est comment on se projette dans le groupe sur les 7 prochaines années la stratégie à 7 ans vos collaborateurs il ils participent mais ils nous ont fait des propositions

    Qui aujourd’hui rentre en application on va voir pas compliqué super intéressant j’ai personne dans le reportage vous dites que vos collaborateurs reviendraient jamais en arrière ce qui est vrai là aussi votre approche pour les intégrer dans la démarche parce qu’à 170 c’est pas simple de faire en sorte

    Que tout le monde s’applique et s’implique pardon dans la dans dans dans cette démarche d’amélioration continue effectivement après tout le monde voit l’intérêt de de de l’outil et ce que ça apporte au quotidien et c’est ça où quand quand le sens est donné et que les les gens voient le résultat bah

    Le le le moteur se se met en route tout seul he et du coup après ça s’autoalimente ça s’autoalimente et est-ce que vous avez été accompagné pour mettre tout ça en place est-ce que vous êtes allé chercher des accompagnements ou vous laissez tout seul al on avait la

    Chance d’avoir on a la chance d’avoir des compétences en interne donc on a réussi à mettre à tout tout travailler tout seul après c’est un choix qui doit appartenir à chacun et si vous deviez donner des conseils sur la mise en place de ce process d’amélioration continue à

    À vos collègues vous vous commenceriez par quoi c’est toujours l’approche terrain effectivement qui doit qui doit guider et puis euh être à l’écoute de de de ce qui peut être de ce qui peut être proposé et et garder à l’esprit le les les les gains qui peuvent être qui

    Peuvent être de de ce travail ré Émilie féral vous vous avez été accompagné ou pas dans votre démarche tout à l’heure je vous dis un petit peu vous avez dit je crois oui oui oui on a été accompagné on a on a participé avec la FB pa donc

    Un groupe LG h euh qu’on a continué à éori ensuite on a mis un terme à la collaboration avec le consultant et on s’est formé nous-même donc mon directeur et ma responsable QSE à la méthode LG mais qu’on naappelle pas LG dans l’entreprise on l’UR compr on l’URA

    Compris pardon Benjamin Mogi il y a une notion de compét aussi qui est à prendre en compte parce que bien évidemment c’est de la gestion prévisionnelle aussi he des des compétences notamment par rapport à ce que vous évoquez c’est plus tout à fait le même métier comment vous y êtes

    Pris bah il y a eu une phase qui a é un petit peu compliquée avec certaines personnes au sein l’entreprise euh qu’il est toujours un petit peu mais après il y a eu en particulier une personne dans l’entreprise au fait qui lui est devenu une maladie et donc du coup

    Interdiction d’aller sur le chantier euh alors interdiction de chantier et surtout pour un charpentier très embêtant interdiction de travaux en hauteur et il est venu me voir dans mon bureau il m’a dit bon ben écoute si tu veux me licencier je comprends et moi je lui dis bah alors je vais t’apprendre un

    Truc c’est que j’ai un projet et je vais pas te licencier je vais te garder et tout ce que tu connais parce qu’en plus ilta chef d’équipe tout ce que tu connais toutes tes connaissances et ben tu vas les mettre au service d’entreprise dans un atelier VO il connaissait l’entreprise

    Et vous comprenez pas trop donc je lui expliqué l’investissement qu’on allait faire et là d’un seul coup quelqu’un qui était bon mais bon voilà est devenu très bon parce qu’en fait il s’est réveillé et il s’est dit je pense qu’il s enfin je pense hein qu’il s’est dit là on

    M’offre une opportunité de pouvoir rester dans le métier que j’aime et de pouvoir continuer à faire de la charpenterie euh et surtout en plus je lui expliqué vraiment là où je voulais aller et il avait et donc du coup il a une promotion parce que bon maintenant il est ch d’atelier

    Euh après certaines personnes me disent moi je veux bien faire l’atelier mais je veux toujours faire un peu de chantier hm hm je pense que au bout d’un moment il y aura des choix à faire j’ai une autre structure à côté je peux très bien si je l’ metis les gens veulent vraiment

    Faire que le chantier ben je les basculerai sur structure et je j’emboucherai d’autres personnes qui elles veulent veulent vraiment faire enfin veulent vraiment être dans l’atelier mais c’est pas facile à faire le changement en terme de gestion de compétences Émilie ça se passe comment chez vous parce que vous avez quand même

    De de deux activités très très différentes hein d’un côté l’isolation thermique avec des difficultés actuelles liées je vais pas revenir à ça mais sur toutes les études de de de de dossier et de l’autre côté la miante vous pouvez imaginer des croisements où c’est totalement exclus non quand bah le

    Secteur de la rénovation énergétique en crise effectivement on a imaginé des croisements euh l’idée a toujours été de discuter en toute transparence avec les collaborateurs et de les accompagner sur un un plan de montée en compétence sur proposition c’est-à-dire qu’on a rien imposé on a identifier différentes techniques sur lesquelles il pouvait

    Être formé et chacun a fait le choix d’aller se former là où il souhaitait en expliquant le process marché qu’est-ce qui se passait comment on pouvait faire les choses aussi mais c’est toujours pareil à partir du moment où les collaborateurs sont en confiance forcément ils vont faire un choix et on

    A réussi à se former sur ben je prend l’exemple de la paille parce que c’est c’est un sujet qui nouveaux matériaux enfin ancien matériaux mais qui revient voilà qui revient au bout du jour on a formé des collaborateurs au risque amiant effectivement où ils peuvent intervenir notamment sur sur notre autre

    Filial sur certains points bien spécifiques alors je voudrais qu’on termine cette table ronde par le le fait que chaque fois que vous avez mis en place quelque chose je sais pas si vous en aviez conscience mais vous avez dé généré des données et on nous a dit aujourd’hui multiple reprise que ces

    Données c’était une richesse alors j’ai deux questions répond qui veut c’est est-ce que vous considérez que ces données sont des richesses est-ce que vous l’avez identifié comme telle et deuxième question est-ce que vous seriez prêt à les partager qui veut démarrer il le savait pas je précise je peux

    Démarrer aujourd’hui comme je disais nous on utilise un logiciel de requ donc nos données on sait que c’est une richesse on les exploite pour le pour le contrôle de gestion et après si on vient plus sur un côté opérationnel euh on a parlé du BIM on travaille

    Depuis très longtemps en 3D et même avant le BIM on se partage des modèles entre entreprises parce que c’est la c’est la logique de de l’amélioration de la de la synthèse qui est qui est un gros sujet donc c’est son de l’histoire pour vous oui il y a ou pas la donnée

    C’est la donnée ouais un regard particulier sur la question bah après le line on va sur l’IA tout simplement c’est connecté voilà très bien Benjamin oui moi personnellement partager le partage fait partie si l’identité de l’entreprise on a partagé beaucoup de choses j’ai toujours partagé avec des

    Collègues donc oui oui bien sûr si jamais il faut par enfin la façon bizarre non c’est pas ça que je voulais dire ce que je voulais dire c’est le le le le partage oui bien sûr partager les données partager les données de l’entreprise pour pouvoir créer un un

    Réseau encore plus important et puis faire en sorte que surtout en des temps comme nous vivons en ce moment qu’on puisse se serrer les coudes et puis s’en sortir tous ensemble en tout cas merci beaucoup pour le partage de vos expériences respectives je pense qu’on peut les applaudir vous restez avec moi une

    Seconde quant à nous ben écoutez nous allons terminer cet après-midi par la séquence regard croisé en nous intéressant je vous l’ai dit tout à l’heure au secteur [Musique] agricole [Musique] voilà il est 17h51 l’heure d’aborder la dernière séquence de cet après-midi le secteur agricole est en plein bouleversement à

    L’actualité récente nous l’a montré moteur de changement probablement aussi du coup moteur d’innovation et vous allez le voir le similitude avec le bâtiment sont nombreuses pour en parler je suis ravi d’accueillir Dominique chargé bonjour Dominique bonjour Alors Dominique charger vous avez 60 ans vous êtes agriculteur en Loire Atlantique

    Votre exploitation contre trois associés et un salarié Vous êtes actif dans l’élevage de vaches laitièr l’élevage de volaill et la production de céréales absolument et on vous a beaucoup vu et entendu ces dernières semaines lié je l’ai dit à l’actualité puisque vous êtes le président de la coopération agricole

    Alors à ne pas confondre avec la coordination agricole la coopération agricole c’est l’organisation professionnelle qui rassemble les coopératives et c’est pourquoi je voudrais qu’on commence par rappeler le le le rôle des coopératives le positionnement des coopératives dans le secteur agricole alors d’abord à quoi sert une coopérative mais je pense que

    Ça existe dans le bâtiment donc évidemment le le monde agricole n’ aucun privilège mais comment est-ce que je perçois la coopérative par rapport finalement à mon métier d’agriculteur mais la coopérative c’est l’outil collectif que nous avons créé à plusieurs agriculteurs alors c’est pas moi he c’est mes prédécesseurs et dont le rôle est

    Finalement de être l’interface entre bah le le les marchés et puis également de nous accompagné dans l’approvisionnement de nos exploitations et le conseil dans dans nos exploitations donc finalement cet outil collectif c’est un outil qui est ancré sur les territoires je vous disais à l’instant il est transgénérationnel

    C’estàdire que moi j’estime que cet outil collectif son rôle c’est d’être le moteur économique collectif de l’économie agricole et alimentaire d’un territoire et donc je je le dis assez souvent pour pour essayer de bien faire comprendre ma vision des choses c’est un outil dont nous avons hérité de nos

    Prédécesseurs et que nous avons emprunté à nos successeurs notre rôle et de faire en sorte qu’on puisse l’adapter pour qu’il reste ce moteur économique agricole et agroalimentaire d’un territoire et donc cet outil collectif il est à la fois je disais un outil pour approvisionner conseiller nos exploitations dans les différents

    Intrant dont nous avons besoin et puis la particularité peut-être pour nous c’est que c’est aussi un outil collectif qui collecte notre production la transforme et commercialise des produits produits alimentaire donc cet outil collectif c’est le prolongement de mon exploitation c’est un investissement collectif je ne je suis pas producteur

    De lait comme vous le disiez à l’instant je suis producteur de fromage de beurre à travers ma coopérative je ne suis pas producteur de poulet mais de volaille que vous allez pouvoir consommer je pourrais vous citer quelques marques mais je m’en garderai pour ne pas faire

    De jalou voilà et en fait on a trois agriculteurs sur quatre aujourd’hui en France qui sont adhérant d’une coopérative et donc après des coopératives il y en a évidemment dans toutes les productions il y en a sur tous les territoires elles sont plus ou moins de grande

    Taille et le rôle est tout à fait déterminant puisque elle pèse aujourd’hui 60 10 % de la production agricole et 40 % de l’agroalimentaire c’est des produits que vous consommez tous les jours alors présentez-nous maintenant la coopération agricole alors la coopération agricole c’est le syndicat d’entreprise qui comme

    La FFB représente les les coopératives il y en a 2100 en France des coopératives je vous disis à l’instant elles sont de toute taille 93 % d’entre elles sont des TPE et des PME il y a à peu près 150 ETI et il y a également une vingtaine de grands

    Groupes qui dépasse dans Don le chiffre d’affaires dépasse le milliard d’euros la coopérative dont je suis visceprésident sur le territoire des Pays de la Loire et dont le siège social est à anen et qui s’appelle terena est une coopérative qui fait 5,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires qui a

    20000 associés coopérateurs 11000 11000 salariés 11000 collaborateurs en entreprise et dont la particularité est une c’est d’être une coopérative qui est engagée sur l’ensemble des activités agricole de son territoire à la fois dans l’amont et dans la transformation donc ce qui veut dire qu’on a une diversité on est une grosse entreprise

    Par la consolidation mais en fait on est une somme de PME qui finalement traite une partie importante de l’activité de son territoire d’autres coopératives sont plus encré ou en tout cas construite bâti sur un seul métier c’est le cas de la betterave par exemple ou de

    La production de sucre où on a en France deux grandes coopératives qui produisent 90 % du sucre français et puis vous avez d’autres modèles à côté qui sont par exemple la viticulture dans laquelle vous allez retrouver une somme importante de plutôt de petites coopérativ très local très territorial

    Et adapté finalement à leur marché donc finalement le rôle des coopératives c’est d’être adapté à leur territoire et à la diversité de leur marché donc la coopération agricole c’est des structures en région et des métiers absolument c’est on est organisé en section métier dont certaines sont fusionnées au sein

    De la coopération agricole d’autres soi associé ça c’est c’est c’est c’est un enfin une une quelque chose une complexité interne mais on est en train de travailler à la à une organisation plus enfin plus unifié plus abouti tout ça cétit mon ce que j’ai fait et ce que

    Je continue à faire pendant mes mes mandats et effectivement on est aussi organisé en section territoriale et on a 13 sections territoriales qui sont finalement la représentation des des des régions administrative parce que pour nous le lien au territoire est essentiel comme je vous le disais à l’instant et c’est

    Important pour nous d’avoir des relations en territoire peut-être pour un petit peu traduire ce qu’est aujourd’hui notre état d’esprit nous avons redéfini moi je suis en poste depuis 2018 je suis dans la dernière année de mon 2è mandat et on a travaillé à partir de 2018 sur refonder un peu

    Notre notre raison d’être et nous nous sommes définis comme étant les bâtisseurs solidaires d’une alimentation durable et de territoire vivant donc les deux entrées qui sont importantes pour nous c’est à la fois être ceux qui nourrissent qui produisent pour nourrir donc donc citoyen et le deuxième angle

    C’est celui d’être aussi des acteurs de territoire vivant et donc de mettre nos coopératives dans une fonction et dans une une ambition beaucoup plus mobilisé à l’échelle des territoires pas seulement sur nos activités mais sur des activités de services globaux sur les territoires pour irriguer les territoires alors je l’ai dit les enjeux

    Communs entre le bâtiment et le secteur agricole sont nombreux alors on en a sélectionné quatre ce que je vous propose c’est que je vais succintement poser le débat pour le bâtiment et puis vous nous direz ce qu’il en est pour le secteur agricole ça vous convient très

    Bien alors on y va le premier sujet que nous avons identifié évidemment c’est la décarbonation pourquoi parce que le bâtiment compte parmi les plus grands émetteurs de CO2 c’est un levier donc essentiel pour lutter contre le dérèglement climatique alors le virage de la décarbonation est amorché dans

    Tous les secteurs et dans tous les métiers du bâtiment qu’en est-il du secteur agricole et quels sont les principaux leviers sur lesquels vous pouvez agir alors l’agriculture et l’alimentation c’est la chaîne alimentaire ce que nous incarnons en particulier on est le deuxè émetteur secteur d’activité émetteur en France

    Derrière le transport avec à peu près 19 20 % des émission nationale ce qu’il faut bien percevoir à l’intérieur de ça c’est que ce que représente la part de l’agriculture c’est 90 % de ses émissions et finalement la part transformation ça n’est que pour d’accord donc on a une très forte la

    Production on a donc une très forte empreinte par la production à l’intérieur de cette empreinte sur dans la production on a deux grandes catégories de de d’émissions la première et les traits végétales ce sont les engrais azotés h par le protoxyde d’azote qui est un un un

    Gaz qui crée un gaz à effet de serre et la deuxième émission elle est pour les productions an et les ruminants c’est la production du méthane par la la rumination des des des beauovvins chacune de ces deux euh de ces deux émissions représentent à peu près 45 % des émissions de la

    Production c’estàd 90 % en tout le reste bah c’est l’électricité qu’on utilise pour nos activités et c’est aussi le carburant pour nos tracteurs notamment qui représente 6 à 7 % ce qui veut dire que pour nous la mobilisation elle ne se fera pas sur le le le la conversion

    J’allais dire de l’utilisation des carburants à énergie fossile nous suivrons ce que les gros émetteurs trouveront comme solution sur cette parti-là en revanche notre mobilisation elle est très forte aujourd’hui sur à la fois le protoxyde d’azote et sur sur le méthane et là on travaille sur des solutions qui devront

    Être moins émissives de de carbone et donc on travaille sur des ang vert sur des engrais décarbonés notamment à la construction de ces engrais parce que construire un engrais notamment un engrais azoté c’est très très consommateur d’énergie et et d’hydrogène donc on on travaille à la à la décarbonation de ces parties là

    Notamment avec des énergies renouvelables nucléaire ou énergie verte sur la partie méthane c’est plus complexe et là on travaille sur des solutions en lien avec l’alimentation des troupeaux avec de nouvelles des innovations qui nous permettront de diminuer le méthane le dernier point sur lequel je voudrais insister sur le sujet

    C’est que nous sommes émetteurs mais nous sommes aussi capteurs oui le l’agriculture est est le seul euh le seul secteur qui est aussi qui peut capter du carbone et on peut capter du carbone et le stocker dans le sol le stocker dans nos a le stocker dans nos

    Prairies et donc il y a aussi une compensation j’ajoute à ça que dans les différentes composantes de la coopération agricole il y a aussi euh une une section de la forêt qui elle évidemment un rôle important dans la captation du carbone et l’autre point c’est que j’ai entendis tout à l’heure

    Parler de la paille comme matériaux biosourcés et bien nous sommes évidemment aussi producteurs de biomatériaux il y a des coopératives aujourd’hui qui se sont spécialisé par exemple dans la production et la culture du chanvre et qui permettent ou du lin pour le textile mais du chanvre pour faire des matériaux d’isolation du le

    Bois également donc on a évidemment aussi un rôle à jouer dans la décarbonation des d’autres activités ce qui met une balance positive quelque part à notre enfin ce qui met du crédit à notre balance de de production et d’émission donc finalement fournisseur on le voit bien nous hein dans

    Effectivement de de matériaux biosourcés alors je le précise parce que j’ai été très étonné le protoxyde d’azote au début on rigole parce que c’est le fameux gazilarant puis après on rit beaucoup moins quand on sait qu’il a il a 300 fois le pouvoir réchauffant du du

    CO2 donc c’est pas tout à fait la même chose c’est un sujet pour nous c’est un sujet sur lequel on avance euh mais sur lequel il il les les solutions par l’innovation à la fois sur la fabrication mais derrière il y a effectivement aussi la destruction c’est

    Le moment où l’utilise où on a aussi la porté à la bonne dose au bon moment peut-être par des enfouissements qui permettront d’être moins émetteur le juste dosage alors le deuxième enjeu que nous avons identifié c’est un peu le corollaire finalement de la décarbonation c’est l’enjeu énergétique

    Alors dans le bâtiment c’est un enjeu qui est au cœur des évolutions puisque ça représente le bâtiment représente 44 % de l’énergie consommée en France là aussi un un grand mouvement de transition est amorcé he pour réduire la dépendance au énergies aux énergies fossiles davantage utiliser les énergies

    Renouvelables améliorer la qualité du du du du parc neuf rénover le parc existant comment ça se passe l’enjeu énergétique dans le secteur agricole bah c’est un enjeu majeur comme pour vous la différence peut-être du du secteur agricole donc je l’ai dit tout à l’heure qu’elles étai les les pars de

    Consommation en électricité et en en énergie fossile pour pour la partie production il y a une évidemment aussi une une partie importante en transformation de consommation d’énergie là aussi en électricité en et et en énergie fossile on a on est très utilis la production agricole on est avec du

    Vivant et le vivant vous ne pouvez pas le conserver si vous ne le stabilisez pas et pour le stabiliser il y a que deux solutions possibles soit vous le séchez et à ce momentl vous consommez de l’énergie gaz ou électricité soit vous soit vous le congelez vous le surgelez

    Et là vous consommez aussi beaucoup d’énergie donc on est consommateur là du coup plus par la partie transformation mais sur la partie énergie la particularité du secteur agricole c’est qu’il est le premier producteur et le seul producteur de biomasse et cette biomasse elle est la source demain de la

    Décarbonation et de la fameuse planification écologique qui est en cours et le deuxième point c’est que nous sommes aussi j’ai dit tout à l’heure on est producteur de matériaux biosourcés mais on est aussi producteur de biocarburant bien sûr avec trois sources principales la source des bioéthanols plutôt issu de la

    Fermentation de l’amidon donc des céréales des biodiesel la plutôt issu des de la de la de l’extrusion des protéines et des oléos protéagineux et puis la trème source bah c’est le biogaz par la méthanisation donc le méthane dont je parlais tout à l’heure peut redevenir du coup une source de

    Production d’énergie c’est à nous de dompter de maîtriser j’allais dire d’apprivoiser tout ça pour en faire des sources on y travaille évidemment il y a énormément de de projets qui sont en cours sur enfin qui sont déjà réalisés et qui sont en cours sur la méthanisation et donc c’est pour nous un

    Levier énorme sur la question énergétique et de nous rendre aussi autonome sur le plan énergétique et puis il y a deux autres solutions deux autres sources sur lesquelles on travaille bah c’est de mettre à disposition nos mais là on n pas les seuls je pense que quand

    Je parle aux gens du bâtiment je parle à des gens qui savent ce dont ce dont je parle qui est de faire des surfaces de maximiser les les les misisees à disposition de surface pour mettre des panneaux solaires et puis bah comme nous sommes aussi j’allais dire ceux qui utilisent les

    Espaces ruraux c’est de mettre aussi bah des surfaces lorsque c’est possible et qu’elles sont désignées comme étant des surfaces où les sur lesquelles on peut mettre des éoliennes pour produire de l’énergie donc sur mon exploitation j’ai des j’ai des éoliennes alors qui ne m’appartiennent pas pour le coup mais je

    Loue des terrains sur lesquels il y a des éoliennes parce qu’ils se prêtent à la possibilité de mettre des éoliennes j’ai du photovoltaïque je n’ai pas de méthaniseur mais il y a des méthaniseurs collectifs dans les enfin sur lesquels je participe de la même façon et qu’est-ce que vous pensez de l’agri

    Vololtaïsme là l’idée qui consiste à mettre des panneaux solaires et de faire de la culture en dessous de manière à ne pas avoir de conflit d’usage de la de la terre c’est le sujet d’aujourd’hui et le sujet de demain c’est la possibilité de mettre un maximum de surface à

    Disposition pour pouvoir produire de l’énergie solaire effectivement pour nous la question est que l’on puisse gérer la concurrence que ça pourrait produire vis-à-vis de la production agricole et de la capacité à nourrir les populations donc on est évidemment très soucieux et et attentif à la façon dont sera encadré aujourd’hui

    L’agrivoltaïme il y a un débat dans la profession en tout cas ce qui est sûr aujourd’hui c’est que l’agrvoltaïsme est une solution possible effectivement à condition qu’elle ne soit pas sinon qu’elle n’engendre pas la mise en retrait ou en danger de la production agricole qui doit rester l’activité principale des surfaces mise à

    Disposition ce que jeallais vous dire c’est que c’est une question qui a été traitée il me semble ou réglée pour cétait biocarburant ou ou pas encore complètement ouais en fait elle est elle est elle est traitée euh où elle est en cours de traitement parce qu’il y a exactement effectivement les mêmes

    Questions pour l’approvisionnement des méthaniseurs ou les méthaniseurs sont approvisionnable à partir de de déjections des des déjections des productions animales mais les méthaniseurs sont aussi approvisionnables à partir de cultures qui mis à disposition donc là on a des possibilités qui peuvent être des cultures intermédiaires entre des des

    Cultures de production ce qu’on appelle des cultures intermédiaires qui pourrai être récolté pour approvisionner des méthaniseurs et produire de l’énergie donc on a devant nous tout un champ possibilité boulevard voilà un boulevard sur notre contribution euh à la production de bomasse parce que finalement cette question liée euh à la

    Source de la biomasse et qui sera la base de la planification écologique elle s’adresse spécifiquement à nous parce que c’est évidemment et là ça repose un peu justement le débat de la de de la nécessité de produire et de de de ne surtout pas être dans une dans une

    Situation de décroissance en France et en Europe c’est bien d’être en capacité de de produire l’ensemble et le maximum de biomasse possible pour pouvoir justement approvisionner l’ensemble euh des filières et des besoins qui nécessiteront de la biomasse demain besoins très bien on va passer au troisè enjeu que nous avons identifié c’est

    L’adaptation au dérèglement climatique alors dans le bâtiment l’adaptation des règlements climatiques c’est un tout petit peu différent de ce qu’on a évoqué préalablement parce que là on va parler d’exigences complémentaires en terme de confort d’été tout globalement ce qui va se passer autour des épisodes de sécheresse he la robustesse des

    Constructions y compris l’existant par rapport à ces épisodes plus violents la nécessité aussi de repenser pour ce qui nous concerne en tout cas l’organisation des chantiers en condition estivales et puis en terme d’aménagement du territoire et là vous êtes aussi toutalement concerné c’est des épisodes météorologiques beaucoup plus violents à

    Traiter alors du coup comment vous vous envisagez les choses ben je vais commencer par un euh par un petit calcul personnel auquel je me suis livré je suis irrigant l’exploitation mon l’exploitation enfin ma société est irrigante et donc nous avons euh une réserve d’eau et si j’avais stocké 20 %

    De l’eau qui est tombée depuis le 15 octobre jusqu’à aujourd’hui j’aurais de quoi irriguer par rapport au besoins que j’ai aujourd’hui pendant 17 ans malheureusement il y a une controverse sociétale énorme aujourd’hui sur nos capacités de stockage et on est en train de se priver d’un moyen de capacité de

    Produire qui est assez préjudiciable mais ça c’était pour la boutade n au moins la question de la ressource en eau est elle est elle est elle est centrale et je pense qu’il faudra que nous regardions notre gestion et notre que nous entrions dans une approche de la gestion de l’eau

    Différente de celle que nous avons eu jusqu’ici mais en tout cas le défi du changement climatique pour nous il est majeur il est majeur parce que nous sommes à la fois les premiers concernés par les questions du changement climatique parce que nous en sommes euh victimes et nous sommes aussi acteurs et

    Un acteur important de la solution et donc pour nous la première des questions c’est la remise en cause de nos modèles de production euh notamment production végétale à l’échelle de mon exploitation je ne fais plus du tout ça fait 33 ans que je suis agriculteur euh nous ne

    Faisons plus du tout le même comment dire le même nous avons plus du tout le même modèle de production que celui que nous avions il y a il y a 30 ans aujourd’hui nous avons rééquilibrer j’allais dire nos productions fouragères entre des productions d’été ou de fin d’été et des productions de printemps

    Nous avions pratiquement abandonné les productions de printemps parce que les productions d’été étaient abondantes lorsque nous avions une une une pluviométrie j’allais dire équilibrée là on revient sur un modèle dans lequel nous avons réinstauré réinstaller des cultures de printemps pour équilibrer notre modèle le deuxième point c’est que

    Pour nous l’innovation est un levier essentiel et notamment dans la sélection variétale pour nous aider à avoir peut-être de nouvelles espèces mais surtout de nouvelles variétés qui seront plus résistantes à la sécheresse et qui nous permettront de pouvoir adapter là encore nos modèles de production fourragère ou céréalière au au contexte ou aux

    Conditions du changement climatique deème point c’est effectivement celui de la ressource en eau alors celui de la ressource en eau il passe effectivement par nos capacités de stockage mais il passe aussi par notre capacité à être plus sobre dans nos utilisations par des méthodes d’irrigation nouvelles et qui

    S’appuient plus pour le coup sur des capteurs et sur l’apport de l’eau au bon moment au bon endroit et à la bonne dose ensuite sur la question de l’eau bah il y a évidemment le stockage donc j’en ai parlé j’y reviens pas mais la controverse sociétale dans laquelle nous

    Sommes aujourd’hui est une controverse évidemment à travers laquelle il faudra passer mais nous devons aujourd’hui changer notre regard et et notre mode de gestion et avoir des capacités de stockage pour récupérer l’eau quand elle tombe de manière abondante comme c’est le cas depuis 5 mois pour pouvoir la

    Réutiliser dans les périodes de de sécheresse deè interrom peut-être une seconde j’ai noté aussi que vous travaillez à à permettre la réutilisation des EAU usées ah vous y venez alors viens l’autre levier effectivement dans la maîtrise de nos de de notre de nos capacités à mieux gérer

    L’eau c’est celle de pouvoir dans nos entreprises pour le coup réutiliser l’eau d’abord utiliser dans nos process pour la traiter et la remettre pouvoir la réutiliser plusieurs fois parce que dans nos process nous utilisons aujourd’hui de l’ eau potable euh que que nous traitons et que nous rejetons

    Après donc il faudrait qu’on puisse d’abord réutiliser l’eau enfin faire en sorte que cette eau soit réutilisable et qu’on la fasse beaucoup plus tourner dans des circuits courts le deuxème point c’est réutiliser l’eau issue de nos productions lorsqu’elles sont en transformation je vais vous donner quelques exemples pour vous situer ce

    Que je veux dire la betterave par exemple c’est une c’est une c’est une un un une un végétal qui est composé à 70 % 65 ou 70 % d’eau lorsque nous faisons du sucre nous avons l’extraction de sucre qui représente à peu près 20 % il y a 20 %

    Qui représente à peu près la pulpe hein c’est-à-dire là du coup qui peut être un un produit bio bio qui va faire du méthane et puis il y a les 60 % d’eau là où nous aimerions avoir la possibilité par des règlements qui nous le permettrai de réutiliser l’eau c’est la

    Même chose pour le lait le lait c’est composé à 90 % d’eau une eau que nous transportons d’ailleurs de nos exploitations vers les lieux de de transformation donc déjà on a a peut-être un effort à faire pour gagner en efficacité sur le transport et puis ensuite être en capacité lorsqu’on sèche

    Ce lait parce que ce lait il est séché en grande partie et bien de réutiliser là aussi l’eau dans nos process donc on a des technologies aujourd’hui à mettre en place mais on a surtout et c’est là où c’est un peu sans doute dommage en France des difficultés à avoir les

    Autorisations qui nous permettent de pouvoir réutiliser ces eau qu’ell soi issu de nos process ou issu de nos productions parce que nous n’avons nous nous n’avons pas et encore à ce stade les règlements qui nous permettent de le faire alors que c’est possible en Espagne c’est possible en Allemagne mais

    Je vous prends rien dès lors que on parle de ce type de sujet en France et puis le dernier point sur sur ce sujet c’est puisqu’on est sur le changement climatique c’est celui de l’adaptation de nos élevages parce que quand on parle de changement climatique on parle effectivement d’alternance de

    Pluviométrie avec j’allais dire des comment dire des fréquences des abondances qui sont très différentes de ce qu’on avait il y a y a une vingtaine d’années mais on parle aussi de température euh à l’excès dans les froids sans doute un peu mais surtout dans dans les canicules d’été donc là

    L’adaptation de nos élevages est quelque chose de prioritaire là aussi tout à fait important donc c’est évidemment là aussi des conceptions finalement de bâtiment d’élevage qui vont être mieux adapté à la ventilation des animaux l’été et puis bah c’est là aussi l’installation alors peut-être aussi de dans des réflexions sur les matériaux à

    Utiliser donc il y a peut-être des des choses à faire et puis surtout dans des ventilations inst installer pour nos animaux euh des des des systèmes qui permettront de mieux les ventiler alors il y a un récent rapport de la Cour des comptes sur l’adaptation au au changement climatique qui qui qui cible

    Qui dit qu’il faut faire beaucoup sur la production céréalière et qui plaide pour un appui de la puissance publique pour encourager au changement qu’est-ce que vous pensez de du rôle de la puissance publique pour favoriser cette transition bah elle a un rôle essentiel la puissance publique les solutions

    Viendront des acteurs mais le le l’impulsion l’encouragement et surtout l’accompagnement j’allais dire technique et financier euh peut venir de de la puissance publique euh ce que je peux regretter alors on a des débats en cours par exemple sur l’utilisation de nouvelles technologie h euh les nouvelles technologies c’est je

    Il y a un débat actuellement à l’échelle européenne que ces nouvelles technologie qu’on appelle NBT les new breed technology donc de nouvelles techniques pour arriver à créer des nouvelles variétés dont je vous parlais tout à l’heure on a là aussi en Europe et en France en particulier un peu de mal à

    Avancer sur ces sujets là je vous repasse le débat sur les OGM qui ont été qui a été enterré il y a une dizaine d’années une quinzaine d’années aujourd’hui on a des nouvelles technologies qui sont pas des OGM mais qui permettent de pouvoir accélérer les processus de sélection naturel des plantes c’estàdire

    De faire à l’échelle d’un temps très réduit ce que la nature aurait fait en terme d’adaptation par exemple pour justement s’adapter au changement climatique aux températures excessives ou des choses comme ça et donc on a effectivement besoin aujourd’hui de la puissance publicique pour nous soutenir et puis demain pour organiser la

    Recherche mais on a aussi quelque chose qui est très très important dans nos métiers et pour lequel on aura besoin d’un accompagnement nous sommes en en train de passer d’une époque dans laquelle nous avions des itinéraires de production qui étaient très standardisés et dans lesquels on pouvait couvrir 80 %

    Des situations dans un sur un territoire avec une solution qui était très souvent chimique et valable dans 80 % des cas là aussi on a le défi d’être obligé de sortir de l’utilisation de ces Intrum en tout cas de réduire l’utilisation de ces intran chimiques donc on passe à des solutions qu’on appelle

    Agroécologiques ce que va engendrer ce changement c’est celui d’être de rentrer dans une situation où on ne peut plus couvrir 80 % des situations avec une seule solution mais on va avoir des solutions à tiroir issu de différentes combinaison finalement de solutions et qui vont pratiquement nécessiter que

    Nous ayons une solution par écosystème et un écosystème c’est pratiquement le périmètre d’une exploitation ce qui veut dire que nous aurions en France aujourd’hui 400000 solutions ou combinaison de solutions à trouver et donc on va avoir besoin d’un déploiement de ces transitions agroécologiques qui sont pour nous le cœur des sujets on va

    Avoir besoin d’énormément de moyens et notamment moyens pour déployer ça sur les exploitations et donc on est évidemment très demandeur là d’un accompagnement des pouvoirs publics pour soutenir ça alors 4e et dernier enjeu identifié pour cet après-midi c’est tout ce qui va être digitalisation des process algorithmes data alors dans le

    Bâtiment on en a parlé toute cet après-midi ça progresse à grand pas l’aioti l’internet des objets se développe les algorithmes d’intelligence artificielle reste l’épineuse question là aussi on l’a évoqué des données de la propriété des données de leur sécurité de l’interopérabilité des systèm de ce point de vue le secteur agricole fait

    Figure de pionnier puisque vous avez mis en place un ha data hub oui mais avant ça je voudrais revenir sur l’histoire de de du monde agricole en fait euh à partir des années 50 et surtout avec les lois agricoles des années 60 vous l’avez sans doute constaté il y a eu un

    Formidable développement de la production euh par des solutions de mécanisation et et des des solutions aussi d’accompagnement chimique j’en parlais juste avant et en fait ça c’est beaucoup fait avec de l’intelligence artificielle mais de de l’intelligence non artificielle justement de l’intelligence collective à l’époque et il y a eu une acculturation

    Très forte du secteur agricole pour réussir ce formidable développement dans les années 60 et 70 avec la mise en place de ce qu’on a appelé à l’époque on appelait ça qu’on peut résumer sous le sous le l’intitulé des contrôles de performance c’est-à-dire que on a mis en

    Place euh de du contrôle individuel par exemple au niveau d’un troupeau laitier he moi c’est plutôt l’histoire là de de mes parents dont je vous parle euh où on contrôlait chaque mois tous les animaux ce qui nous permettait et on a mis on a aussi à ce moment-là développer

    L’insémination artificielle donc il y a eu une acculturation de cette nécessité d’avoir ir une donnée qui nous permette de fiabiliser et de progresser d’ê dans une dynamique voilà la gestion par la performance et dans une dynamique de développement de de de de partage de ces données de combinaison d’exploitation de

    Ces données pour pouvoir atteindre la performance ça c’est vrai sur le monde animal c’est vrai aussi sur le monde végétal et en fait cette formidable ce formidable développement cette recherche de la performance cette acculturation quelque part à la collecte et au traitement de la donnée a permis

    De faire faire un gain de compétitivité et de productivité énorme au secteur agricole dans les années 60 70 80 je tiens d’ailleurs à dire en passant que l’ensemble de ces gains de productivité et de compétitivité ont été rendus au consommateurs qui a pu par là développer d’autres sources de

    Consommation et c’est grâce à ça que vous avez tous un smartphone aujourd’hui c’est grâce à nous je tenais à vous le dire on vous remercie voilà je vous en prie par contre ça juste pour terminer et passer un message sur ça n’est plus possible parce qu’aujourd’hui on nous

    Demande de le faire faire autrement et pour le faire autrement on aura besoin de rapatrier un tout petit peu de ses gains de valeur ses gains de productivité compétitivé donc votre alimentation va vous coûter un peu plus cher mais rassurez-vous ça restera encore très accessible je préfère vous

    Le dire pour vous soyez pas surpris à partir de maintenant mais aujourd’hui finalement on a gardé cette culture de la de la donnée cette culture de de l’exploitation de la donnée et de la recherche de performance par le traitement de la donnée en fait pour nous c’est extrêmement important parce

    Que il y a quelque chose d’essentiel dans nos métiers c’est la traçabilité et cette traçabilité elle doit aller aujourd’hui depuis ce que j’appelle l’amont de l’amont c’est-à-dire moi je suis producteur tout à l’heure vous l’avez dit de volaill H ces volailles sont sont issus de poussins qui

    Eux-mêmes sont issus d’œuf qui ont été produit voilà et donc on doit avoir cette continuité dans la la donnée à disposition de la chaîne de production et surtout du consommateur infin donc ça pour nous cette chaîne de données elle est extrêmement importante cette traçabilité elle est extrêmement importante c’est ce qui nous permet

    D’être hyper réactif au moment où on doit faire des retraits pour des problèmes sanitaires et c’est ce qui fait aussi qu’ nous n’avons plus en France de problème en tout cas extrêmement peu quand il y en a on en parle beaucoup je vais juste vous donner un chiffre pour que mais vous répéterez

    À personne en au début du du du 20e siècle c’est-à-dire en 1900 le lait que nous donnions aux enfants tua 4000 enfants par an évidemment à l’époque personne n parlait par des problèmes sanitaires je vais vous dire qu’aujourd’hui dès qu’il y a un problème sur un nourrisson et c’est

    Tout à fait normal ça fait l’objet d’un problème aujourd’hui on sait traiter ça de la manière donc ça c’est extrêmement important d’avoir cette cette ressource c’est les mêmes bases de données qui nourrissent aujourd’hui voilà nutriscore le deuxième c’est exactement ça le deuxième point c’est qu’on est effectivement en train de demander

    Aujourd’hui la chaîne d’approvisionnement de pouvoir renseigner toute une batterie d’indicateurs toute une batterie d’éléments qui vont effectivement donner de l’information au consommateur et cette information elle est de plus en plus riche de plus en plus l je sors d’une réunion enfin la semaine dernière avec Olivier Grégoire où on est en train

    De travailler aussi sur mieux informer sur l’origine des produits et donc de travailler sur une origine info mais ce qui est pour nous capital c’est effectivement cette toute cet ensemble de données c’est de bien faire en sorte qu’elle soit d’abord fiabilisée h et qu’elle soit ensuite mise à disposition

    Mais avec des règles précises moi je je suis de ceux qui disent que la donnée appartient à celui qui l’a produit voilà évidemment quand elle est produit elle ne sert à rien il faut pouvoir l’exploiter donc l’exploitation elle doit être collective mais tout ça doit être régé et réglementé et effectivement

    Nous avons créé des structures dans nos différentes dans nos différents et notamment par les Chambres Consulaires les Chambres d’agriculture nous avons trité créer des structures qui nous permettent d’avoir le stockage de ces données leur fiabilisation leur harmonie isation et derrière leur utilisation par des utilisateurs que l’on dont on

    Connaît à la fois l’identité et aussi le le le le métier c’estàd ce qu’ils vont en faire oui parce que ce qui vous avez quand même motivé c’était que vous l’avez dit le management par la performance c’est quelque chose qui était ancré depuis longtemps la nouveauté c’est que de nouveaux acteurs

    Sont venus et j’allais dire prélever la donnée si je peux me per sans trop voilà on arrive on arrive exactement à la situation dans laquelle aujourd’hui c’est que comme tout le monde on a des capteurs partout voilà on va avoir des capteurs dans nos champs on a des

    Capteurs dans nos tracteurs je vous disais tout à l’heure pour irriguer et mettre la bonne dose au bon moment au bon endroit je vais avoir des capteurs donc on va avir des capteurs partout on est en liaison permanente avec le satellite qui c’est’est à peu près tout ce qu’on fait à chaque instant

    Obligation dans le CRE de la pack d’ailleurs ça complètement et donc on a des capteurs aussi aujourd’hui dans nos matériels de traite par exemple donc cette donnée le problème c’est que aujourd’hui le constructeur a aussi il est comme tout le monde compris quelle était l’importance de la donnée et quelle

    Était l’importance pour lui de la donnerée pour fiabiliser aussi l’utilisation de son matériel c’est ce qui fait que par exemple vous le pour ceux qui utilisent du matériel mais je suppose que ça concerne un certain nombre d’entre vous vous savez comme moi que aujourd’hui le constructeur ou celui

    Qui vous a distribué le matériel peut vous appeler pour vous dire attention ton tracteur va tomber en panne dans 48 he j’ai détecté un truc qui fonctionne pas ou qui va qui va lâcher à tel endroit voilà pour le robot de traite c’est la même chose le le l’agent de

    Maintenance peut appeler l’agriculteur l’éleveur en lui disant attention tu as un truc qui disfonctionne ça veut dire que globalement l’information est très importante mais la donnée est en train de nous échapper et donc nous on est extrêmement vigilant au fait qu’il faille que le donnée reste à disposition de l’exploitation des agriculteurs enfin

    De notre chaîne alimentaire et pas euh de John Deere ou pardon de de de les citer parce que c’est les plus en avanceemp plus plus en avance sur le sujet ou de l’ en ce qui concerne les robots de traite donc voilà pour nous quel est l’enjeu aujourd’hui c’est de

    Continuer évidemment dans cette quête de la donnée et de la performance mais de faire en sorte que nous puissions quand même utiliser toutes les technologies tout à l’heure j’ai entendu parler d’ d’intelligence artificielle évidemment dans nos métiers pour nous aider à avancer notamment sur les transitions écologiques l’intelligence artificielle

    Va être primordiale donc il faut qu’on arrive à sécuriser tout ça on y travaille je sais que ce c’est évident que ce sera pas par fait ce qui compte c’est que finalement l’agriculteur y trouve au bout du compte et le consommateur parce que je pense que ce

    Sont les deux acteurs d’un côté et de l’autre de la chaîne il trouvent leur compte et que ils soient fiabilisés dans l’utilisation de ces données donc aujourd’hui h data hub c’est l’endroit où on concentre les données et après chacun vient avec son idée de cas d’usage éventuellement absolument c’est

    Ça data concentre de la donnée de la donnée qui est celle des exploitations agricoles de la donnée qui est celle aussi de nos entreprises de transformation on concentre tout ça on avait créé ce qu’on appelait num malim et et numagri on a concentré tout ça et effectivement derrièreah un distributeur

    Ou un opérateur peut venir pour utiliser la donnée alors il y a évidemment ce que traite aussi AG dat hub c’est le consentement à l’utilisation de la donnée c’est qu’il y a un consentement évidemment normal mais il faut simplifier cette chaîne il faut la combiner il faut faire surtout en sorte

    Que les acteurs entre eux se fassent confiance sur à la fois la collecte le traitement et l’utilisation de la donnée ce qui est un enjeu colossal on a beaucoup progressé moi je me souviens des première réunion que j’ai fait il y a une quinzaine d’années sur le sujet je

    Mettais une vingtaine de personnes autour de la table et tout le monde était d’accord avec moi moyen en finance évidemment donc on est sorti de ces sujets là et on y a trouvé l’intérêt collectif et finalement l’intérêt collectif c’est celui qui qui qui fait qui nous fait progresser le plus vite

    C’est très vrai aujourd’hui au niveau notamment de la sélection animale on a gagné un temps fou en sélection animale c’estàd qu’aujourd’hui avec ce que l’on sait faire en traitement de la donnée mais surtout dans notre capacité à aller lire l’ADN très tôt sur les sur les animaux ben moi je fais aujourd’hui on

    Peut faire en en en 6 mois ce qu’on faisait en 5 ans et je pense même moins de 6 mois ce qu’on faisait en 5 ans il y a il y a 20 ans quoi voilà donc c’est quand même tout à fait intéressant et on progresse effectivement très vite donc

    Un mouvement d’innovation qui va permettre et on l’espère à vos à vos entreprise de retrouver de l’air parce qu’on a bien compris que c’était pas forcément facile en ce moment non c’est pas facile mais en tout cas il y a il y a une dans l’histoire du monde agricole il y a

    Quelque chose qui est quand même très fort et qui reste et qu’il faut surtout préserver c’est la solidarité nous sommes des je pense comme un certain nombre d’entre vous nous sommes d’abord des gens issus des milieux ruraux dans lesquels l’esprit de solidarité a toujours prévalu et je pense que c’est à

    Chaque fois avec ça qu’on en sort et les coopératives je terminerai par là mon propos sont l’expression de cette solidarité parce que c’est une de nos valeurs très fortes nous sommes finalement de ce monde mutualiste de ce monde collectif et c’est ça qu’il faut faire perdurer parce que c’est comme ça

    Qu’on avance nous ne sommes pas des entreprise animé par la rentabilité des capitaux à court terme nous sommes des entreprises animées par la pérenité et le service que nous rendons à la fois aux agriculteurs et et et au monde de l’alimentation d’une manière générale et au territoire en particulier et ben

    Écoutez merci beaucoup monsieur chargé pour votre éclairage sur les nombreux défis qui bah qui attend le secteur agricole nul doute que il y a il y a du pain sur la planche mais il y a aussi on a vu des des solution possible le pain sur la planche c’est nous c’est vous oui

    Exactement il est 18h29 on a une minute d’avance présidente l’heure de conclure cet événement et nous allons le faire avec la présidente de la commission innovation de la FFB qui nous a rejoint bonjour Cécile Mazo Bour bonjour et ben écoutez j’ai pasabitude des MICR c’est pas très compliqué hein je vais vous

    Laisser la parole pour ce mot de conclusion merci Julien merci à toutes et à tous euh on a vu des tables rondes vraiment très riches avant de conclure je voulais vraiment expliquer l’objectif de de de ces TBL rondes et de cet événement le premier objectif c’est d’inspirer je pense que dans des

    Périodes aussi complexes que nous pouvons vivre depuis 2020 en tant que chef d’entreprise nous avons une obligation c’est de prendre de la hauteur euh nos collaborateurs sont dans l’opérationnel nous sommes dans l’opérationnel et donc donc on voit bien que finalement l’innovation à tous les niveaux à toutes les tailles

    D’entreprise à tous les toutes les corporations et les secteurs d’activité euh nous permet de voir l’avenir avec plus de sérénité d’anticiper les changements et de structurer nos entreprises donc c’était vraiment important euh de d’avoir tous ces échanges d’inspirer et d’échanger voilà donc merci à tous les intervenants alors du coup mes petits

    Mots de conclusion je suis un peu ému parce que vraiment on a je trouve que les échanges étaient très riches et et merci Julien je t’en prie je tiens à remercier de tout cœur chacun des participants ici présents ou connectés en ligne qui ont contribué à faire de

    Cet événement un moment unique et inspirant merci à notre président Olivier saleron Karine lévque Nicolas Chabran et Jérôme can Fanny Rouin Benjamin mogie Émilie feral pardon excusez-moi je suis unmu Jefferson Loison et Dominique charget et bien évidemment notre star international Julien pour la qualité des échanges et l’organisation merci votre passion pour

    Innovation a véritablement animé nos discussions et ces tables ronde un merci tout particulier aux membres de la commission innovation dont le dévouement et l’expertise ont été le pilier de la réussite de nos travaux et ils sont nombreux je rappelle que les membres de la commission innovation sont aussi des

    Chefs d’entreprise c’est du bénévolat c’est du temps aussi qu’on prend dans nos entreprises donc c’est important aussi de de de remercier tous les m de cette commission qui est très dynamique l’innovation peut paraître des fois éloignée de notre quotidien c’est une erreur de penser cela comme vous avez pu

    Le voir aujourd’hui l’innovation c’est avant tout trouver des solutions concrètes pour répondre à des besoins nous innovons souvent sous la contrainte et période de crise ou lorsque nous nous retrouvons bloqués innover c’est développer de la créativité avec nos collaborateur et c’est également et surtout créer de la valeur en imaginant de nouvelles solutions

    En facilitant la vie de nos équipes en protégeant leur santé en développant de nouveaux marchés et services nos entreprises deviennent non seulement attractives mais elles deviennent plus compétitives et agiles nos entreprises sont la clé de voûte des transitions sociale environnementale économique et l’innovation va nous aider à accélérer l’intelligence artificielle

    Via la gestion de nos données la construction numérique le lin nous permettent d’anticiper de décider plus vite de gagner du temps et le temps nous manque cruellement dans nos métiers où tout va vite et se désorganise en permanence alors cette journée marque non seulement un temps fort de partage

    Et de découverte mais aussi le point de départ de nouvelles collaborations et innovation avec l’ensemble de la filière qui j’en suis convaincu façonneront l’avenir de notre secteur notre objectif est de continuer ensemble à construire cet élan à partager nos connaissances et à œuvrer pour un futur où l’innovation est au

    Cœur de toutes nos actions innover seul peut s’avérer être un chemin semé d’embûes où les obstacles techniques réglementaires ou même financiers peuvent freiner voir stopper des initiatives prometteuses c’est pourquoi nous mettons en place un pilier central dans la stratégie d’innovation du secteur du bâtiment le réseau des

    Innovateurs de la FFB et nous vous invitons à le rejoindre notre objectif est de rassembler les pionners de de notre profession regroupant des entreprises audacieuses et des experts techniques ce réseau développé autour de notre commission innovation ambitionne de devenir le cœurbattant de la transformation et de la modernisation

    Des professions du bâtiment son objectif est de créer un écosystème dynamique où l’échange de bonnes pratiques et le partage d’expériences et d’expertises ne sont pas seulement encouragés mais deviennent la norme c’est le lieu pour débattre des défis actuels et futur et ccréer des solutions adaptées aux besoins spécifiques du secteur je tiens

    À remercier toutes les commissions innovation qui se développe sur notre territoire merci pour l’engagement et la vision que portent les présidents et présidentes qui accompagnent cet élan c’est un véritable succès et nous le devons grâce aux chefs d’entreprise engagés pour nos métiers le réseau des innovateurs de la

    FPV vise à instaurer une culture d’innovation ouverte où chaque adhérent quel que soit sa taille ou sa spécialité peut contribuer à façonner l’avenir du bâtiment en France ensemble nous changeons l’image de nos métiers et nous transformons nos entreprises merci encore à tous pour votre participation et votre enthousiasme ensemble nous faisons de

    Cette grande mission de l’innovation une réalité concrète et porteuse de succès pour notre industrie et je vous retrouve à très vite et notamment on a un petit cocktail juste après pour continuer à échanger parce qu’on voit bien que les solutions sont multiples et on aura pas

    Mal d’échang donc voilà à toutes et T merci beaucoup Cécile encore une fois merci beaucoup Dominique charger permettez-moi également un mot de remerciment pour tous ceux qui ont préparé cet événement si vous avez raté une partie des débats si vous voulez les revoir si vous voulez les diffuser bah

    N’oubliez pas le replay hein il est disponible d’ors et déjà sur la chaîne Youtube de la FFB quant à moi je vous souhaite une excellente soirée à bientôt merci [Applaudissements] [Musique] merci [Musique]

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