Un documentaire de Mathieu Casino sur la conception de systèmes de culture rizicoles conduit dans le cadre du projet « AC-Riz Camargue » par le Cirad et le Centre français du riz entre 2020 et 2022.

Une première phase de R&D a permis de développer des systèmes céréaliers performants et plus résilients face au changement climatique pour les zones de haute Camargue. Elle a avancé rapidement, en interaction avec des agriculteurs, en mobilisant des travaux du Cirad sur l’agriculture de conservation rizicole en milieu tropical et des systèmes d’agriculture de conservation développés en France métropolitaine.
En renforçant la biodiversité cultivée et des cycles continus de production-restitution de biomasse au sol, l’agriculture de conservation pose les bases d’une intensification écologique des systèmes de culture et de production plus à même de relever les nombreux défis auxquels est confrontée l’agriculture en Camargue.
Des travaux complémentaires permettront de mieux répondre à la diversité des objectifs des producteurs et de renforcer les performances économiques et environnementales des systèmes d’agriculture de conservation. Cela pourra se faire via l’intégration de double culture annuelle, de production fourragère ou du maraîchage de plein champ (melon, tomate…).
Pour les zones les plus basses de Camargue, combinant des contraintes fortes d’hydromorphie et de salinisation des sols et des eaux d’irrigation, la reconception des systèmes de culture et de production devra être couplée avec une réflexion sur l’évolution des aménagements et la gestion concertée de l’irrigation à l’échelle des « mailles hydrauliques ».

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[Musique] àérie en fait vise à faire convergerin dans des pratique maîtrisé en camarg ce que le CAD a a mis au point en matière de de système résicol et d’agriculture de conservation sous les tropiques avec toutes les connaissances les savoir-faire et les références qui existe en matière d’agriculture de

Conservation en France métropolitaine et en camarg notamment mais dans des systèmes non résicoles donc c’est faire converger l’acé tropical résicole avec l’AC métropolitaine non résicole pour l’ffire courte le blé on a eu des abasau tout l’automne on a pu le semer qu’au mois de février mars blé dur sur pourtant des

Terres qu’on appelle nous ici terre haute puisquon est plus 1 m de hauteur et après avoir sommé le blé bon on a une grosse sécheresse quasiment tout l’été très peu d’eau on a pris 300 mm sur sur toute la la durée du cycle après on a voulu mettre en place des

Couverts à à l’automne un couvert végétal un mélange fol vtical cols donc on avait fait un flash d’eau au préalable pour faire lever ça au mois d’août on a semé à l’intérieur et au mois de septembre quasiment 15 jours après le semi on a pris 110 mm d’eau

Donc on est passé dans état de sécheresse extrême un état d’excès d’eau et le couvert en fait à moitié marché sauf sur une terre qui est un peu plus haute que les autres ça mieux marché et les autres ben gr ça a claqué euh tout le travail du sol était fait c’est un

Travail de sol superficiel on a des taux de matière organique qui sont entre de 2 et demi et qui sont plutôt des taux de matière stable mais on un travail superficiel parce que c’est plutôt pour faciliter le passage des du matériel donc nous on travaille à pneumatique

Dans les rivières ça facilite aussi la portance de du tracteur à l’intérieur pour les traitements pour l’engrais tandis que si on décompacte si on l’Our trop profond les tracteurs il passent plus on peut plus faire l’entretien des cultures à l’intérieur alors l’ASS dans dans tout ça est perçu

Comme un comme un moyen c’est pas une c’est pas une fin en soi mais c’est un moyen à notre avis de construire des systèmes de culture et de production durable en mesure de répondre au défis assez complexes auquel est confronté l’agriculture camargaaise ce qui est clair c’est que les systèmes

Conventionnels et même bio à mon avis tels qu’ils étaient sont pratiqués aujourd’hui ne seront plus praticables dans le dans le futur il y a plusieurs raisons à cela bien sûr le le changement climatique a de multiples répercussions sur les conditions de pratique de l’agriculture en camarg le la Méditerranée est un est un

Hot spot de de du changement climatique sur la planète hein les températures remontent plus enfin et cetera et donc la camarg en tant qu’écosystème deltaïque et Ben est frappé est assez durement frappé par le changement climatique qui joue sur plusieurs plusieurs niveaux hein d’abord le climat lui-même avec des

Périodes de sécheresse qui deviennent de plus en plus marqué des événements plusu viiométriques qui peuvent être extrêmement violent on le changement climatique impacte aussi le cours le cours du rô est ce qu’on observe est- ce que ce que nous disent les modèles c’est que les étiages d’été vont être de plus en en

Plus marqué hein les cours les écoulements d’eau en été vont être de plus en plus faibles et parfois même au au printemps comme on l’a vu ces deux dernières années quoi donc ça pose problème parce que l’eau l’eau d’irrigation est pompé au fond du rô et

Que en été on se retrouve sur les zones de pompage les plus les plus basses dans le dans le cours du rô à pomper des des eaux impropres à à l’irrigation des cultures et on doit arrêter l’irrigation ce qui pose bien sûr des des des problèmes et puis il y a un autre

Problème qui se qui se pose lié au changement climatique hein qui est bien sûr en lien avec celui-là la remontée progressive progressive de de la du niveau de la mer hein alors ça peut paraître très près quasi insensible mais c’est quand même 4 mm 4 mm par an

Aujourd’hui et puis il y a des des problématiques qui sont aussi liées à une une pression réglementaire qui est très forte qui réduit les le champ des possibles en matière d’usage de produits phytosanitaire disponible et notamment des des herbicides donc là c’est clair que la pression réglementaire fait que ces monocultures

De riz là qui sont parfois continu depuis plus de 40 voire parfois 50 ans ne vont plus pouvoir se reproduire très très certain quoi et donc ça pose la question de comment comment on cultive dans ces dans ces milieux là et que dès qu’on a un accident une grosse pluie et cetera ces

Parcellesl sont incapables de d’évacuer il y a pas de drainage il y a pas de drainage général parce qu’on est très bas dans la toposéquence et donc l’eau ne peut pas s’écouler ailleurs puisqu’on est dans les zones les plus basses de camarg et puis il y a pas de drainage

Interne parce que cols sont tellement compactés que l’eau ne s’infiltre absolument pas quoi donc on est dans cette espèce d’impass quoi donc comment la question question qu’on se pose c’est comment comment on sort de ça quoi en fait on on on réfléchit à s’adapter à à deux schémas finalement d’une part c’est

La fin de la monoculturerie donc les impasses techniques nous obligent en fait à à reconsidérer nos itinéraire technique à intégrer beaucoup plus de de de culture sèche et donc du coup à repenser finalement la vie du sol et la fertilité du sol voilà l’agriculture de conservation ou ou en

France on appelle ça aussi agriculture de conservation des sols moi personnellement j’aime pas trop ces appellations je les trouve pas suffisamment explicites alors que LAAC a une définition technique très CLA que l’on peut résumer en en SCV hein c’est-à-dire système de semi-direct sur couverture végétale permanent quoi c’est

SCV c’est le terme que l’on utilisait quand notre équipe avec Lucien Segi à sa tête a commencé à travailler sur le sujet au milieu des années 80 donc ça se c’est la conjonction de trois de trois principes techniques et en fait voilà qu’on qu’on met en qui permettent une

Mise en en opération de l’agriculture de conservation hein c’est la fin de toute forme de travail du sol hein systématisé hein alors on peut avoir des recours en cas d’accident pour résoudre des problèmes he ça ça arrive toujours mais euh il n’y a plus de recours au travail du sol de façon

Systématique que à quelque fréquence que ce soit euh c’est la recherche d’une diversification la plus grande d’une diversification cultivée la plus grande possible hein à l’échelle des à l’échelle de la parcelle de la parcelle hein via des via des l’organisation des des rotations euh le intercaler des des couverts végétaux hein eux-mêmes

Composés dans toute la mesure du possible d’une diversité d’espèces importantes c’est travailler aussi sur des associations de culture hein une culture pouvont prendre le relais de l’autre ou des plantes de compagne et c’est aussi travailler sur des mixtes de variétés quoi donc une une une biodiversité cultivée la plus importante

Possible et puis c’est maintenir maintenir trisème principe un une couverture permanente des sols hein soit par euh une mise en culture qui euh doit attendre dans toute la mesure du possible vers 365 jours de de plante cultivé sur 365 jours hein et puis euh une gestion entre cent travail du

Sol donc où on restitue le maximum de biomasse résidu de culture ou ou biomasse biomasse découvert végétaux laisser à la surface des sols donc des sols jamais perturbé et couvert en permanence quoi [Musique] très bon que j’ai ici je suis très très très très content marche du feu de [Musique]

Dietion ici une parcelle qui a été dans un couvert qui éta av été dominé par par des R hein on est sur une parcelle de sorgo où bon les sorgo ont beaucoup patiné au démarrage et puis de l’autre côté même date de semi même variété même

Même flumur et cetera on a un couvert qui a été un sorgo qui a été couvert sur qui a été semé sur un couvert de à forte dominante de de légumineuse qui était très un très beau couvert assez exubérant qui avait été contrôlé un peu de temps quelques quelques semaines

Avant le avant le semi pour conserver de l’humidité même si après finalement on a retouché de l’eau un peu et où on voit complètement le comportement des cultures complètement différencié alors qu’on est sur des historiques parcellaire analogue avec plus de 15 ans de semi-direct derrière euh en tout on

Doit être à 80 ou 85 maximum d’unités d’amonytrate voilà c’est tout ce qu’on apporte on apporte plus de de PK depuis ben 25 ans maintenant ça c’est 20 ans de semidirect là 15 15 4 % de matière organique vous faites des pâtes mais c’est du couscous qu’il faut faire c’est

Du couscous ouis là c’est 35 ans de non travail du sol 35 ans de non travail du sol ok AR un bébé et on a l’été dernier profité en fait de de de l’été pour réaplanir IR la parcelle euh préparer préparer le sol et on a semé au mois de septembre un

Couvert végétal qui a poussé du coup tout l’automne et tout l’hiver et qui a colonisé ensemble de la parcelle euh donc ce couvert était à base de de fèvolle de graminé et de visses et l’idée c’était justement de faire en sorte que le couvert prépare le sol à au

Futur semi- de riz euh donc on a semé dans le couvert en semi-irect le riz au mois de de mai et donc là c’est le résultat du semiirect donc du coup des riz qui se sont développé en semi à sec avec simplement de flash d’eau et qu’ils se

Sont développés dans le couvert voilà et maintenant on voit que le riz ben finalement profite de la dégradation du couvert et des relicas azotés laissés par par les plantes légumineuses à l’intérieur donc pour préparer le prochain riz on va semer juste avant la récolte un couvert à base de trèfle et

De et de colzaa le but c’est que ce couvert Vienne occuper le sol tout l’hiver Vienne structurer le sol pour préparer le le riz de de l’année [Musique] d’après donc l’ASSER en fait permet de de gérer à à l’échelle de la parcelle cultivée par le biologique ces deux

Fonctions hein de les activer ces deux fonctions de de gestion de la fertilité et de de protection de protection agroécologique intégré de des des culturesin pour ça elle elle manipule on a on a deux leviers hein et l’agriculture de conservation permet de manipuler ces deux leviers hein c’est d’une

Part la biomasse la biomasse c’est-à-dire des des stocks d’énergie solaire qui qui s’accumule et ensuite se restitue et et se distribue aux vivants au cours de leur décomposition progressive à la surface du sol quoi et puis l’autre levier donc cette cette énergie solaire quand décomposant nourrit nourrit le vivantin et donc l’autre

Levier B c’est justement ce vivant c’est la c’est la biodiversité hein donc c’est-à-dire une une information vivante du vivant de plus en plus de plus en plus diversifié et qui organise petit à petit un un écosystème un écosystème que que l’homme cultive quoi c’est c’est plus l’homme qui organise l’écosystème c’est

L’homme qui mobilise des processus d’organisation d’autoorganisation de de ces parcelles [Musique] [Musique] cultivées [Musique] alors le colza ici il a un réel intérêt c’est un réel levier dans la rotation qu’on a décidé de créer avec l’agriculteur parce qu’il permet de rentrer dans un cycle de culture sèche

Après le riz et en limitant les risques l’ travail du sol et aux épisodes Seol d’automne qu’on pourra avoir sur un semi de blé [Musique] classique le couvert vivant principal c’est en camarg c’est la c’est comme dans d’autres régions en France c’est la c’est la Luserne que l’on peut associer au aux

Cultures de de blédure ce qui permet de conduire deux un cycle voire deux cycles voire jusqu’à trois cycles si la Luserne est en est en état de de de blédure en en succession ce qui permet de maintenir sans sans sans sans que ce soit une monoculture les les les cultures les

Plus les plus rémunératrices quoi euh le fait de de semer des luernes et de semer le blé dans la luuserne ça c’est un truc qui m’a beaucoup plu parce que du coup il y a aucun travail du sol et on voit que le blé dans la luuserne

Il est il est magnifique mais c’est vrai que pour un blé c’est c’est super efficace quoi c’est le couvert pousse après la moisson le couvert la Luserne pousse elle elle prend la place tout l’été et après on redémarre unbl ensuite derrière ça annule tous leseffet de de la rotation de la monoculture c’est

On sort du riz en se col à la volée dans le riz associé à une Luserne et du coup ça nous évite de tout trava du sol le col se développe pendant l’hiver après la moisson du riz ensite on récolte ça la Luserne est censé pousser pendant l’été et ensuite on

Repart sur du blé après après l’été on peut enchaîner comme si la Luserne est efficace qui fait un bon couvert permanent pe enchaîner de de blé facilement voire TR si on a la chance repartir et repartir sur du riz comme ça ça permet de limiter tout le stock de

Mauvaises herbes du riz de détruire dans le sec les herbes du riz ne vont pas pousser et inverse avec de l’eau les mauvaises herbes du blé ne vont pas se développer mais pour ça il faut d’abord que les les terre soit un peuformé enfin améliorer que la pente soit là donc j’ai

Pas toutes mes parcelles qui sont comme je je suis en conversionant toutes mes parcelles ne peuvent pas avoir ceci donc j’ai juste mes mesctarderies qui passent petit à petitprs dès qu’il passent culture sèche on pourra après adapter à une double culture c’est vrai que c’est

Un cap à franchir au début bon il y a la transition en faire qui est pas pas évidente forcément mais je vois là là ça fait la 3è année je trouve ça [Musique] intéressant là l’idée c’est d’essayer de d’appréhender les techniques de de de semidirect pour Ben corriger ce qui va pas

Essayer de de comprendre un peu le mécanisme le fonctionnement euh sachant que les années les plus complexes et les plus compliquées c’est c’est les premières années les années oùù on rentre dans la technique et petit à petit on a espoir que la fertilité du sol et et la vie du sol puisse prendre

Le relais finalement du du travail qu’on réalise plus moi je connaissais pas du tout ces technique de travail et je sortais de de rotation riz sur riz depuis 15 ans c’était ici Ctait très hydromorphe on a du mal à à drainer l’eau et donc j’étais jamais arrivé à

Faire de culture sèche donc je faisais que du riz et et là le fait de pouvoir passer en agriculture de conservation en mettant NZ couvert et tout on voit qu’on peut arriver à passer sur des sur des cultures sèches et pour nous c’est un intérêt pour pouvoir sortir du riz quoi [Musique]

Alors ici c’était pour sortir du riz on était passé par du du colsa se à l’hélicoptère ver la moisson qu’on avait récolté ce qui a permis de faire la transition entre culture risière et culture sèch donc après il y a eu du blé

Et là on est sur la 2uxè année de le blé et on a essayé de semer du du soja après la après la moisson donc qui était semé ind direct juste après la moisson et on a on a arrosé pour pour faire lever le soja et on voit que là c’est c’est assez

Joli là donc peut-être sûement pour le récolter donc c’est ça c’est quelque chose à étudier aussi oua après il faut faire attention aux endroits où le reste il faut faut vraiment travailler sur l’arrosage pas [Musique] et là on irrigue absolument pas la Luserne sauf vraiment catastrophique sécheresse

Intense des mais sinon là c’est une Luserne tous les 28 jours est coupé et on fait cette coupe sur une année de début avril jusqu’à octobre là dans le coin là ils sont plutôt sur 5 si coupes 5 si coupes se coupes c’est vraiment le le maximum

Qu’on puisse faire mais on y va pas en général par qu’en général ce qu’on fait on fait plutôt six coupes et la dernière on la laisse au sol ouais quand même nourrir le sol parce que plutôt que d’exporter [Musique] absolument donc pour le moment on on a fait sur

Cette partie ici qui est inconventionnelle parce que il y a quand même la la problématique de de détruire les les couverts avant d’implanter la culture euh donc la en biologique ça c’est pas trop encore au point et après ce qu’on va essayer de faire c’est de rajouter aussi l’élevagees dans la dans

La rotation avec les couverts végétaaux donc pour nous c’est intéressant parce ça nous fait toujours des engrersr il y a toujours de l’herbe il y a toujours donc pour les levages aussi ça ça pour être intéressant [Musique] ça mais je pense qu’il faudrait aussi sur ces étage haut qu’on travaille qu’on

Travaille sur tout ce qui est marêchage de pleinchamp hein ça me semble essentiel parce que aujourd’hui beaucoup d’agriculteurs bah pratiquent ou euh lou des terres à des des des maréchers spécialisés sur des cultures de de plein champ hein principalement melon et et tomate industriell euh et je pense qu’il faudrait vraiment travailler

Sur l’intégration dans des systèmes d’agriculture de conservation pour qu’il y ait pas cette rupture qu’on perde pas tout le capital accumulé au cours des des des pratiques de d’agriculture conservation précédente lorsque l’on veut faire un cycle de de de de de maréchage hein qui qui sont économiquement des cultures très attractif quoi [Musique]

Donc les les questions qu’on se pose un petit peu quand même c’est aussi l’avenir de de ces cultures basses en de ces parcelles basse puisque’à force de faire de la monoculture de de riz ben on a des problèmes de désherbage et puis là de plus en plus notamment cette année on a aussi

Des remontées de celles qui sont assez fortes euh et qui empêche même de faire de de la culture de riz comme on voit un petit peu sur cette parcelle là où on a un gradiant de sel on va dire de l’entrée d’eau qui est plutôt faible et

Et vers le fond là-bas où on voit que c’est plus doré le gradient de selle monte et et le riz a du mal à pousser dans ces étages les plus bas et ben c’est sûr que les problèmes sont plus sont plus compliqués et et nécessite nécessite de de d’aborder de construire et

D’aborder ces ces situations à l’échelle non plus de la parcelle ou de l’exploitation mais à l’échelle de la de la maille hydraulique ou d’une situation topographique dans laquelle on devra réfléchir au aux entrées et sorties d’eau de façon collective et et organiser collégialement quoi il faut

Commencer à c’est ce que cherche à faire le projet à trouver des solutions à trouver des solutions à l’échelle des parcelles et des exploitations pour pouvoir ensuite aller vers des problèmes plus complexes de de de gestion de gestion concertée de l’eau de de projection sur le futur en terme de en

Terme hydraulique et hydrologique et puis de coexistence agriculture et conservation de la nature dans un territoire qui est som toutoute assez assez assez assez étroit [Musique] qu [Musique] [Musique] [Musique]

1 Comment

  1. Les sécheresses et les inondations ne sont pas des fatalités liées au dérèglement climatique mais le résultat logique d'une très mauvaise gestion des eaux de surface, Inondation c’est quand l’eau repart trop vite vers la mer, sécheresse c’est quand elle est repartie trop vite … Avec DEUX fois plus de précipitations on aurait DEUX fois plus d’inondations mais toujours pas assez d’eau l’été … La France ne manque pas d'eau, la consommation (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des précipitations annuelles, mais juste de réserve. Actuellement les rivières françaises rejettent entre 50 et 70% des précipitations (alors qu'il ne faudrait jamais dépasser les 30% …) ce qui provoque des inondations ET un assèchement mathématique des bassins hydrologiques.

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