📣 Au programme de ce Mag Éco :

00:00 – Introduction
01:12 – PĂ©pina a convaincu une 50aine d’artisans et entrepreneurs crĂ©atifs avec un espace de travail pour dĂ©velopper leur projet.
12:23 – l’actu Eco en bref.
14:28 – Les DĂ©bats de l’Ă©co: Aujourd’hui, plus de 17% des salariĂ©s touchent le SMIC. Quelle incidence sur la reconnaissance du travail ? Comment lutter contre ce phĂ©nomène de smicardisation ?
32:02 – La chronique RSE
35:50 – Brangeon investit 21M d’euros dans un outil unique en Europe. Entretien avec le directeur gĂ©nĂ©ral du groupe, Victor Brangeon.

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Et bonjour Ă  toutes et Ă  tous dans l’actualitĂ© cette semaine un an Ă  peine après son lancement sur anger pepppina s’est imposĂ© comme une solution pertinente pour les artisans et les entrepreneurs crĂ©atifs en quĂŞte d’un espace de travail pour dĂ©velopper leur projet la sociĂ©tĂ© de coworking compte dĂ©jĂ  une cinquantaine de rĂ©sidents elle

Envisage de s’exportter dans d’autres villes on en parle dans un instant avec l’un de ses coffondateurs Emmanuel Berson depuis 2021 est le dĂ©but de l’envolet des prix Ă  la consommation le nombre de Français rĂ©munĂ©rĂ©s au SMIC Ă  Bondi aujourd’hui plus de 17 % des salariĂ©s touchent le revenu minimum qui

A Ă©tĂ© revalorisĂ© Ă  de nombreuses reprises avec l’inflation alors quelle incidence sur la reconnaissance du travail comment lutter contre la smicardisation du pays on en dĂ©bat dans un quart d’heure environ et puis dans la dernière partie de ce magazine nous serons avec le directeur gĂ©nĂ©ral du groupe Brangon Ă  l’entreprise moogeoise

SpĂ©cialiste de la gestion des dĂ©chets rĂ©alise en ce dĂ©but d’annĂ©e un investissement consĂ©quent 21 million d’euros dĂ©boursĂ©s dans un nouvel outil industriel unique en Europe une usine Ă  la pointe de la technologie qui va permettre de valoriser des milliers de tones Z de dĂ©chets ultime au lieu de les

Enfouir vous Ă©coutez le mageko nous sommes ensemble pour une heure d’information locale le mageko en partenariat avec le Journal des Entreprises et on dĂ©marre donc cette Ă©mission comme chaque semaine avec Olivier Amar du Journal des Entreprises bonjour Olivier bonjour Bastien vous recevez aujourd’hui l’un des trois coffondateurs de pĂ©pina oui Emmanuel bon

Bonjour bonjour vous avez donc fondĂ© pĂ©pina il y a moins d’un an un espace d’atelier partagĂ© c’est un tierslieu comme on dit un peu particulier il s des bureaux ni des espaces de coworking mais des ateliers vous avez 1600 m car dans les anciens locaux de laavpa c’est quoi

Le concept de peppina alors le concept c’est la mutualisation d’espace de machine de rĂ©seau voilĂ  c’est le concept c’est mutualisĂ© et puis et puis que chaque artisan chaque crĂ©atif puisse grandir au sein de de ses espaces comment elle est venue cette idĂ©e elle est venue j’Ă©tais moi-mĂŞme en Ă©cole de

Commerce et et puis envie de de faire menuiserie et de m’installer ben le problème quand on a 21 ans et qu’on veut s’installer c’est qu’il faut des machines et il faut un lieu pour exercer son activitĂ© il y a pas beaucoup de banquers qui prĂŞtent surtout quand on n pas de

RĂ©fĂ©rence donc voilĂ  le le but c’Ă©tait de se dire comment on peut rĂ©ussir Ă  s’installer sans complexitĂ© c’est quelque chose qui existtit ailleurs ou c’est un concept que vous avez vraiment inventĂ© alors c’est un concept qui existe les zones artisanales elles existent s lĂ  le but c’Ă©tait vraiment de

Mutualiser en plus de ça les machines donc le concept existe il y a des ateliers bois partagĂ© dans certaines villes il y a des ateliers cĂ©ramiques qui existent oĂą il y a plusieurs cĂ©ramistes mais aujourd’hui retrouver nous aujourd’hui on est 50 une cinquantaine il y a 43 professions

DiffĂ©rentes dans dans nos locaux ça je pense qu’ ailleurs en France ça existe pas comment on arrive Ă  monter un tel projet faut trouver 1600 m Carr anganger on sait que c’est facile de trouver des locaux et cetera comment vous avez rĂ©ussi Ă  convaincre euh on a rĂ©ussi Ă  convaincre en en

Expliquant le projet et en disant que ça allait apporter de la croissance et puis et puis que ça allait aider aussi pas mal de de d’entrepreneurs parce que ça reste des entrepreneurs qu’on soit menuisier ou plombier on est entrepreneur quand on se lance qu’est-ce que vous leur rapportez alors nous on leur rapporte

Bah dĂ©jĂ  l’investissement est rĂ©alisĂ© donc les machines elles sont elles peuvent ĂŞtre utilisĂ©es par tout le monde Ă  tout moment donc dĂ©jĂ  ça c’est quand mĂŞme une une grosse première nous on va leur apporter Ă©galement bah voilĂ  de des services donc les services de ppppina

Ils sont ils sont nombreux euh on va les aider Ă  dĂ©velopper leurs chiffrees d’affaires donc il y a un système d’apport d’affaires qui se met en place oĂą aujourd’hui il y a des entreprises du territoire ou bien mĂŞme des particuliers qui viennent et qui nous demandent bah

VoilĂ  moi j’ai besoin de faire un escalier euh est-ce que vous avez un menusier disponible et donc nous on va les mettre en relation et vous s vous les sortez aussi quel quelque part de leur isolement vous les faites se rencontrer peut-ĂŞtre qu’il crĂ©ent du business entre eux aussi ces gens alors

Clairement nous on y pensait au dĂ©part du projet maintenant c’est une rĂ©alitĂ© c’est-Ă -dire que on a des on a un menuisier qui avait sa menuiserie depuis 25 ans et puis il mourait de solitude finalement raconter son weekend le lundi matin autour d’un cafĂ© avec des

Collègues et bien voilĂ  ça ça a pas de prix finalement chez pĂ©pin euh gĂ©rer un espace de coworking c’est assez facile avec des bureaux partagĂ©s ici lĂ  il y a des machines il y a des gens qui ont besoin de travailler quand on a besoin d’une machine comment vous organisez la

DisponibilitĂ© des lieux et puis des Ă©quipements alors au final ça se fait assez naturellement c’est-Ă -dire que je vais prendre l’exemple de de l’atelier bois 300 m² avec de nombreuses machines entre ceux qui sont sur chantier ceux qui ont leur rythme de travail donc il y

En a qui travaillent que le matin il y en a d’autres qui travaillent que l’après-midi au final ça se fait naturellement au sein de chaque espace donc pareil pour la cuisine partagĂ©e il y en a qui y a des traiteurs qui vont faire une prestation et donc du coup ils

Vont ĂŞtre pendant 3 jours de 6h Ă  21h dans les locaux et puis après pendant 2 jours absent donc voilĂ  ça se passe assez naturellement vous avez 1600 m car il y a une cinquantaine de personnes enfin de de MTI une quarantaine de mĂ©tiers une cinquantaine de d’artisans

On va dire c’est assez grand alors c’est assez grand il encore de la place le problème c’est que quand on est un espace de corking c’est des bureaux et donc du coup on peut on peut rajouter ou mettre en tout cas plusieurs personnes facilement quand on est dans des mĂ©tiers

Artisanaux ben finalement l’espace manque toujours aujourd’hui on a encore quelques places mais par exemple on est en train d’Ă©tudier le fait d’ouvrir un atelier mĂ©tal pour les mĂ©tiers du mĂ©tal voilĂ  comment on fait on peut pas pousser les murs donc comment on fait ça veut dire que vous avez besoin

D’enrichir aussi le parc existant de machines par exemple alors ça c’est c’est une volontĂ© après on a que 8 mois d’existence faut pas oublier que en juin dernier il y avait que 5 rĂ©sidents aujourd’hui on est 50 allons-y petit Ă  petit et puis et puis voyons dans le

Dans le futur est-ce qu’ils sont vouĂ©s Ă  rester ces professionnels ou est-ce que c’est un trempelin pour eux c’est une façon de de prendre leurs ailes alors nous on a voulu simplifier le travail du rĂ©sident aujourd’hui quelqu’un qui s’engage il s’engage pour 3 mois minimum et après il

A un mois de prĂ©avis donc nous le le but c’est de leur dire vous restez autant de temps que vous voulez mais on est lĂ  pour vous aider Ă  vous dĂ©velopper mais sils font grossist ils font des stocks après ce sera plus possible de rester vous avez tout compris c’est c’est ça

Alors les collectivités les réseaux de dirigeants on peut penser à la CCI de méoire qui vous a invité à présenter pppina lors de sa cérémonie des vœux en janvier sont très attentifs à ce que vous faites ça veut dire que vous qui accompagnez vous êtes aussi très accompagné on est accompagné après on

L’est jamais suffisamment enfin je pense qu’on demande Ă  tout chef d’entreprise du du territoire est-ce que vous ĂŞtes vous sentez assez accompagnĂ© je sais pas si tout le monde vous rĂ©pondra oui oui oui oui oui voilĂ  donc nous on a on a toujours besoin d’accompagnement on est

Jeune on a besoin de de grandir voilĂ  après bientĂ´t un an vous l’avez dit vous Ă©tiez 5 au dĂ©part il y a 50 personnes aujourd’hui c’est on peut parler de succès quand mĂŞme en moins d’un an avec un taux de frĂ©quentation qui est record est-ce qu’il y a des choses auxquelles

Vous aviez pas pensĂ© au lancement des choses que vous avez dĂ» revoir changer amĂ©liorer ou arrĂŞter ou renforcer on s’adapte toujours nous lĂ  oĂą on s’est adaptĂ© c’est au mĂ©tier au final les artisans qui venaient visiter bah ils avaient des contraintes je pense aux cĂ©ramistes qui sont arrivĂ©s ils ont

Besoin d’un point d’eau ils ont besoin de brancher un four c’est des contraintes techniques donc on s’adapte tous les jours tous les jours aux mĂ©tiers qui sont reprĂ©sentĂ©s chez pppina vous l’avez dit tout Ă  l’heure vous ĂŞtes aussi apporteur d’affaires il y a des gens qui viennent vous voir qui dis j’ai

Besoin d’un plombier et cetera des entreprises aussi qui peuvent avoir des besoins euh vous organisez aussi de la formation ouais on a on lance on lance ce système de formation pour le grand public on s’est rendu compte que pour dĂ©velopper le chiffre d’affaire de nos rĂ©sidents c’Ă©tait un un un levier

IntĂ©ressant de d’ouvrir des formations donc les formateurs sont des rĂ©sidents de chez peppina euh et ils sont rĂ©munĂ©rĂ©s pour ĂŞtre formateurs euh donc du coup le grand public vient s’inscrit via notre site internet et puis euh et puis on les rĂ©sidents peuvent comme ça bah se dĂ©velopper en donnant de la

Formation c’est des stage pour apprendre Ă  faire soi-mĂŞme c’est ça exactement si vous voulez vous mettre Ă  la cĂ©ramique par exemple j’y penserai vous avez Ă©voquĂ© euh une quarantaine de mĂ©tiers vous avez parlĂ© de plombiers menuisier cuisinier il y a il y a des mĂ©tiers très

Très divers ah ouais ou ouais ça va de la restauratrice de cĂ©ramique d’art au plombier donc lĂ  on a un grand Ă©cart on a un Ă©bĂ©niste acousticien des charpentiers on a un mosaĂŻste on a des graphiste on a la maroinerie voilĂ  je v pas tout Ă©numĂ©rer ça vous qui avez un

Regard un peu extĂ©rieur enfin un peu au-dessus de de de ce qui se passe est-ce que vous sentez qu’il y a vraiment ça donne vraiment ça leur donne vraiment un Ă©lan Ă  ces gens-lĂ  ouais en fait c’est il y en a beaucoup qui se disaient je vais jamais rĂ©ussir Ă 

M’installer trouver un local Ă  anger dĂ©jĂ  bon courage et puis nous c’est des tarifs qui sont qui qui qui dĂ©fient la concurrence en fait en plus d’avoir tous les services en plus d’ĂŞtre entourĂ© en plus d’avoir un rĂ©seau ils ont un espace et ça permet Ă  des gens de se lancer des

Gens qui n’avaient pas forcĂ©ment qui avaient peur c’est justement le modèle Ă©conomique de pppina vous vous y retrouvez aujourd’hui c’est un système d’abonnement c’est ça pour les rĂ©sidents c’est ça nous c’est c’est que de l’abonnement mensuel on a des des le business model c’est la formation c’est l’apport d’affaires c’est les

Abonnements et puis on loue les espaces parce que 1600 m² c’est finalement assez grand pour accueillir des Ă©vĂ©nements pour des entreprises euh ou pour des institutions pour faire des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales ou des choses comme ça voilĂ  le le business model est assez assez complet et c’est dĂ©jĂ  rentable

Aujourd’hui ou pas alors on ne l’est pas encore on a fait des investissements qui sont très très lourd l’atelier cuisine on a une cuisine au norme de 300 m² avec avec une chambre froide de 30 m² 14 m linĂ©aires de Hute voilĂ  c’est c’est quelque chose cĂ©tait un Ă©norme

Investissement pour pour nous mais euh ben voilĂ  on espère ĂŞtre ĂŞtre en table assez rapidement en tout cas euh vous avez dit 1600 m² c’est assez grand est-ce que c’est assez grand est-ce que vous pouvez envisager d’agrandir Ă  anger ou peut-ĂŞtre dĂ©velopper un deuxième lieu

Et cetera s’il y a des auditeurs qui ont du foncier euh tĂ©lancer dans dans d’autres villes on est on est Friant gourmand on regarde pour se dĂ©velopper oui ça fait partie des axes de dĂ©veloppement de de pĂ©pina c’est d’ouvrir un pĂ©pina dans dans une autre ville euh dans l’Ouest ou ailleurs

On a dĂ©jĂ  quelques l’idĂ©e c’est pas d’agrandir spĂ©cialement Ă  anganger mais vous ĂŞtes sollicitĂ© dans d’autres villes de l’Ouest pour dĂ©velopper le modèle ça veut dire qu’il y a un il y a un vrai trou dans la raquette par rapport Ă  ça et puis il y a des villes que ça

IntĂ©resse ouais je pense qu’il y a un retour de de l’artisanat l’Ă©conomie a fait que les mĂ©tiers manuels aujourd’hui on a pas mal de personnes qui Ă©taient dans les tours Ă  la dĂ©fense qui viennent chez pppina parce qu’ils ont envie de de remettre la main Ă  la patte et de de

Faire des mĂ©tiers qui ont du sens et donc du coup oui on on rĂ©pond Ă  un besoin de plus en plus nĂ©cessaire dans dans toutes les villes ça veut dire que vous voyez aussi arriver des gens qui se rĂ©oriente complètement un peu ce qu’on a vu avec le covid avec des gens qui

Avaient envie de reprendre leur vie en main entre guillemets avec des des parcours très divers ben je je vais prendre l’exemple de Julien Barron il est plombier Ă  vĂ©lo Ă  Angers avant il Ă©tait ingĂ©nieur il construisait des des bateaux Ă  Bordeaux et aujourd’hui il est

Plombier donc oui il y a un retour rĂ©el et j’ai pris cet exemple mais il y en a d’autres chez pĂ©pin l’objectif de dĂ©ploiement dans d’autres villes c’est quelque chose auquel vous aviez pensĂ© au dĂ©part ou vous vouliez vous focaliser uniquement Ă  anger euh on pensait petit

Donc on on se focaliser sur anganger euh aujourd’hui on a des appels qui nous font dire oui on va aller ailleurs euh voilĂ  les villes en question on peut connaĂ®tre ou pas non dans l’Ouest pas pas encore dans l’Ouest dans ouis j’ai tendance Ă  dire tant que rien n’est

SignĂ© euh euh rien n’est fait bientĂ´t euh vous avez ouvert il un peu moins d’un an vous allez fĂŞter votre soufflet votre première bougie ce sera en toute discrĂ©tion vous allez marquer le coup non on va le faire en toute discrĂ©tion voilĂ  c’est ça sera très simple merci

Beaucoup en tout cas Emmanuel Berson d’avoir Ă©tĂ© notre invitĂ© conf fondateur de pĂ©pina Ă  anger on sera donc très attentif au dĂ©ploiement dans les prochains mois peut-ĂŞtre ou les prochaines annĂ©es merci encore on vous le souhaite en tout cas et ben merci Ă  vous il y aura des annonces on en est

SĂ»r merci beaucoup Emmanuel bon on rappelle le site internet www.pepina.fr pour avoir toutes les informations sur l’entreprise on reste dans l’actualitĂ© Ă©conomique de l’Anjou Olivier quelques informations en bref en commençant par des nouvelles euh et bien de de de la filiale du groupe umel France je ne connaissais pas la sociĂ©tĂ©

Une sociĂ©tĂ© ch groupe URMET France s’appelle FDI elle emploie 170 collaborateurs Ă  Cholet donc 70 ingĂ©nieurs elle conçoit l’industrialise elle fabrique des systèmes de contrĂ´le d’accès d’interphonie et d’oti pour les marchĂ©s rĂ©sidentiels elle va ouvrir une filiale en Allemagne en 2024 elle verra arriver ses premiers collaborateur en ce mois de fĂ©vrier il

Visera Ă  renforcer la stratĂ©gie de l’entreprise Ă  l’international FDI annonce aussi vouloir accentuer sa prĂ©sence dans d’autres pays en 2024 notamment en Australie en RĂ©publique tchèque ou en Slovaquie portĂ© par le Conseil dĂ©partemental et la ville d’Anger pour sa partie foncière Terra Botanica va lancer Ă  partir du mois de

Mars un appel Ă  manifestation d’intĂ©rĂŞt pour faire appel Ă  un opĂ©rateur privĂ© pour sa gestion tout Ă  fait c’est une dĂ©marche qui devrait permettre au parc enevin dĂ©diĂ© au vĂ©gĂ©tal et Ă  la biodiversitĂ© d’augmenter le montant de ses investissements et son attractivitĂ© les acteurs du tourisme intĂ©ressĂ©s

Auront jusqu’au mois de juin pour rendre leur proposition le choix de l’acteur devrait intervenir au second semestre 2024 pour la mise en place des futur opĂ©rateurs qui est envisagĂ© au premier semestre 2025 rappelons qu’en 2023 Terra Botanica avait accueilli 554000 visiteurs ce qui Ă©tait un record et puis

Le 7 février dernier Olivier Clément a succédé à Henry juin à la présidence du directoire du groupe électronique en jeevin et Han oui tout à fait spécialisé dans la conception de cartes de haute technologie produite en petite moyenne et grande séries et leur intégration dans un produit final le groupe eolan

Travaille pour marchĂ©s diffĂ©rents dĂ©fense industrie TĂ©lĂ©com ferroviaire automobile mĂ©dical Ă©nergie aĂ©ronautique sachez qu’il dispose de 13 sites il emploie 2400 personnes avec un siège Ă  anger il y a 26 il y a 600 personnes qui travaillent en manĂ©loire pour un chiffre d’affaires de 326 millions d’euros en 2023 le groupe se

Dote actuellement d’une nouvelle usine aussi en Malaisie elle va dĂ©marrer la production dans les tous prochains mois merci beaucoup Olivier on poursuit notre magazine avec les dĂ©bats de l’cho les dĂ©bat de l’cho RCF enj vous le savez il existe de multiples façons de gratifier financièrement un collaborateur en entreprise de la prime

De partage de la valeur Ă  l’Ă©pargne salariale en passant par la prise en charge de la mutuelle de la restauration ou des frais de transport mais malgrĂ© tous ces dispositifs et bien bon nombre de travailleurs restent avant tout prĂ©occupĂ©s par leur salairire des salaires qui ont d’ailleurs augmentĂ©

LĂ©gèrement plus vite que l’inflation au 4e au 4e trimestre 2023 selon les chiffres publiĂ©s cette semaine par le ministère du Travail c’est seulement la deuxième fois que ça arrive depuis le dĂ©but de l’envolet des prixs Ă  la consommation en 2021 mais c’est insuffisant pour combler la perte de pouvoir d’achat enregistrĂ© par les

SalariĂ©s depuis 3 ans alors Ă  l’heure des nĂ©gociations annuelles obligatoires l’enjeux des augmentations de salairire et central selon le baromètre du syndicat UNSA paru hier 83 % des salariĂ©s espèrent ĂŞtre revalorisĂ© en 2024 et 60 % des sondĂ©s ont l’impression de ne pas ĂŞtre payĂ©s Ă  la hauteur de

Leur travail peut-ĂŞtre aussi parce que de plus en plus gagnent autour du SMIC plus de 17 % des Français aujourd’hui qui travaillent dans le privĂ© bĂ©nĂ©ficient du salaire minimum contre un peu plus de 10 % il y a 10 ans c’est un problème soulevĂ© encore rĂ©cemment par

Gabriel hatal lors de son discours de politique gĂ©nĂ©rale le Premier ministre veut prendre des mesures pour dĂ©smicardiser la France alors comment faire progresser les salaires faut-il remettre en question ce fameux SMIC et laisser les partenaires sociaux gĂ©rer cette problĂ©matique on en dĂ©bat aujourd’hui avec Henri Mercier ancien dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral du medf Enjou et

Aujourd’hui administrateur de la marque produit en Enjou bonjour Henry bonjour merci d’ĂŞtre avec nous et vos cĂ´tĂ© Alexis Voisard dirigeant du cabinet RH perf Ă  anger bonjour Alexis bonjour Bastien bon le SMIC indexĂ© sur l’inflation a Ă©tĂ© revalorisĂ© je sais plus 7 ou fois depuis 2021 forcĂ©ment il

Y a un effet de rattrapage avec les salaires de de la classe moyenne est-ce qu’on peut vraiment y faire quelque chose finalement Ă  cette smicardisation de du pays selon vous alors moi personnellement non parce que je ne suis ni Ă©conomiste ni politique et plutĂ´t heureux de l’atre dans cette

Configuration je sais pas Henry benah moi moi j’ai toujours une question que je pose he je suis un ancien chefentreprise et je pose la question Ă  des collègues ou Ă  des copains je leur dit est-ce que tu as envie que tes enfants gagnent le SMIC et alors alors

Souvent on a envie que nos enfants fassent des Ă©tudes on parle de mĂ©tiers manuel je salue pppina parce que je trouve que c’est une très très belle initiative de faire hein et et les gens disent oui mais moi je veux qu’il fasse des Ă©tudes et puis je veux qu’il gagne

Beaucoup d’argent bon et souvent la vie elle est pas comme ça c’est-Ă -dire que après il y a a il y a la rĂ©alitĂ© hein et en fait ben faire un mĂ©tier manuel ça peut ĂŞtre aussi noble que de faire des Ă©tudes hein moi j’ai pas fait de grandes

Études au dĂ©part et on touche parfois plus que le SMIC en gag très bien sa vie ou bien gagner par rapport Ă  ce que chacun a besoin en fait c’est ça la rĂ©alitĂ© on y reviendra mais le SMIC aujourd’hui moi c’est ça la question est-ce que vous avez envie que vos

Enfant gag le SMIC après ça veut rien dire est-ce qu’on est Ă  la campagne ou est-ce qu’on est en ville un SMIC Ă  Paris c’est très compliquĂ© un SMIC dans la campagne sous Muroise ou en vendz peut-ĂŞtre que ça permet de vivre mieux ce qui se joue derrière ça c’est obtenir

Une rĂ©munĂ©ration qui permette une vie dĂ©cente finalement plus que le SMIC Alexis oui tout Ă  fait après on tou on touche Ă  quelque chose bien qu’il y ait rĂ©alitĂ© du prix des prix d’achat de des matières et de de ce qu’on a besoin d’acheter de nos consommations et cetera

On touche quand mĂŞme un sujet extrĂŞmement subjectif vous des Ă©tudes qui qui montrent que quand on interroge une population en fait tout le monde souhaite quel que soit son niveau de rĂ©munĂ©ration ĂŞtre rĂ©munĂ©rĂ© 20 % de plus qu’il nit qu’il ne l’est parce que c’est lĂ  qu’il estime qu’enfin smque ou

Pasmique vous voyez donc il y a quelque chose d’extrĂŞmement subjectif derrière ça et je pense qu’il faut par prudence aussi bien distinguer les personnes qui ont qui qui sont vraiment dans dans des situations assez prĂ©caires et pour lequel la question de la R rĂ©munĂ©ration devient vital rien qu’en terme de

DignitĂ© et de prĂ©caritĂ© et et heureusement ça n’est pas la majeure partie de la population mais je pense qu’il faut bien faire un distingo pour pour pas faire d’amalgame est-ce que selon vous le SMIC contribue Ă  dĂ©valoriser le travail voilĂ  parce que parce que de fait c’est le minimum non

Pour moi pas du tout en fait je crois qu’il y a il y a pas de bien sĂ»r le le la question de la rĂ©mĂ©ration est un sujet de reconnaissance et et derrière ça se joue tout un et ça n’est pas le seul levier de reconnaissance mais se

Joue tout un dialogue qu’il doit y avoir entre l’employeur l’employĂ© pour et le collaborateur pour pour justement essayer de d’Ă©valuer ensemble et d’essayer de d’Ă©changer sur ma performance ma responsabilitĂ© mon autonomie et que ce soit un dialogue de vĂ©ritĂ© un dialogue de justice pour

Autant il y a pas de il y a pas de de Y a aucune honte Ă  avoir par rapport Ă  un niveau de rĂ©munĂ©ration je parle pas de HON je parle de juste de voilĂ  de reconnaissance pour moi pour moi et puis en fin de compte au bout du bout c’est

Une question c’est le pourquoi en fait pourquoi une une rĂ©munĂ©ration en fait ça ça touche Ă  la question du statut ça touche Ă  la question de de de du regard personnel que l’on porte sur cette question lĂ  donc c’est c’est un dĂ©bat que je trouve hyper polluĂ© hyper piĂ©geux

En fait je trouve vraiment pas facile est-ce que vous Henry vous avez le sentiment que ça participe Ă  un renforcement de d’impression de dĂ©classement aussi d’une partie des travailleurs c’est c’est surtout une assurance de pas ĂŞtre payĂ© en de ça d’un d’un certain niveau parce que c’est ça

On a connu des Ă©poques hein moi je suis pas tout jeune j’ai connu une Ă©poque oĂą on travaillit 40 heur par semaine oĂą le SMIG Ctait le SMIG hein et voilĂ  il y avait quand mĂŞme du travailleur prĂ©caire alors il y en a toujours aujourd’hui on est prĂ©caire

Parce que on est Ă  temps partiel on est prĂ©caire parce qu’on fait un travail 3h le matin 4h le soir et c’est pas Ă©vident euh voilĂ  c’est il y a diffĂ©rentes formes de prĂ©caritĂ© il y a pas que le salaire hein il y a aussi mainement ce

Qu’on peut vivre au quotidien euh faut aussi penser que on parle de pouvoir d’achat bon al moi je fais pas de politique hein mais je veux dire on a supprimĂ© la taxe d’habitation on a supprimer la cotisation chĂ´mage he pour les salariĂ©s bon ça c’est du pouvoir

D’achat derrière ça il y a des entreprises on dit sont SMIC euh et il y a la participation en fin d’annĂ©e au BĂ©nĂ©fic il y a les primes Macron oui que il y a plein de façon de rĂ©munĂ©rer alors quand on parle SMIC moi je parle toujours de salaire brut annuel c’est ça

Ce qu’il faut regarder alors est-ce que lĂ  c’est 17% pour je sais pas il a ensuite la participation transport vĂ©hicule et cetera vĂ©lo tout ce qu’on veut tramoĂ© enfin l’entreprise en paye 50 % ce qui Ă©tait pas le cas dans il y a quelques annĂ©es donc il faut vraiment

Prendre l’ensemble de rĂ©munĂ©ration mais ce que je crois moi c’est que bon un travailleur en CDD Ă  la fin du CDD mĂŞme siosm qui touche une prĂ©caritĂ© de 10 % par contre euh oĂą oĂą lĂ  moi ce qui me gĂŞne c’est que il y a des mĂ©tiers moins reconnus c’est-Ă -dire des mĂ©tiers qui

Sontosmqu qui devraient pas l’ĂŞtre et qui do rĂ©munĂ©rĂ© le service Ă  la personne par exemple je sais pas moi quand vous nettoyz le le hein le le le vous allez chez chez des personnes âgĂ©es le matin vous ĂŞtes obligĂ©s ben de faire leurs toilettes et cetera je trouve que humainement

DĂ©jĂ  non ça devrait pas ĂŞtre auosmic ou quelqu’un qui ramasse les pouvets mĂŞme si aujourd’hui chez ALM on a moi dans mon quartier c’est une Ben qui vient avec un bras et qui enlève la poubelle mais enfin il il y a des mĂ©tiers quand mĂŞme enlever la merde des autres pardon

Du terme he c’est quand mĂŞme ça dorait ĂŞtre mieux reconnu mais qu’est-ce qui devrait ĂŞtre SMIC alors selon vous pour pour moi pour moi le SMIC c’est vraiment un salaire de dĂ©part voilĂ  donc c’est un salaire de dĂ©but de carrière on commence on est en CDD euh voilĂ  dĂ©jĂ  d’avoir un

CDI moi dans monentreprise c’Ă©tait comme ça et puis il y avait un 13e mois bah une fois que tu as dĂ©marrĂ© tu as tu as passĂ© ton CDD et ben tu as accès Ă  un premier Ă©chelon qui doit ĂŞtre au-dessus du SMIC et lĂ  les partenaires sociaux et

J’en ai fait partie doivent nĂ©gocier avec les syndicats pour essayer de dĂ©terminer quel serait le salaire minimum acceptable pour l’entreprise pour la rĂ©gion je parle bien de ça on n’est pas en rĂ©gion parisienne pour la rĂ©gion euh pour et pour le salariĂ© le SMIC c’est ça aussi pour vous Alexis ça

Devrait ĂŞtre juste finalement le salaire d’un dĂ©but de carrière qui est vouĂ© Ă  Ă  Ă©voluer ensuite je je ne sais pas honnĂŞtement après j’aime bien ce que dit Henri sur sur quel regard on porte sur les diffĂ©rentes professions en fait on est dans un dans un monde Ă©conomique qui

Est devenu un monde du service en fait et lĂ  on marche un peu sur la tĂŞte et je sais de quoi je parle puisque je fais partie de cette catĂ©gorie lĂ  mais quelque part aujourd’hui c’est pas le monde du service qui nous fait vivre vous voyez c’est c’est le le monde du

Service repose sur le tissu industriel qui repose sur l’agriculture on parle des professions manuelles Ă©galement donc comment on reconnecte Ă  un travail rĂ©el en fait et je crois que la question de la rĂ©munĂ©ration et on peut prendre des exemples par exemple au Luxembourg qui ont qui ont indexĂ© le SMIC sur

L’inflation de manière mĂ©canique on connaĂ®t la situation au Luxembourg qui est complètement dĂ©positionnĂ©e complètement artificielle qui n’a plus de de logique en fait et donc qui n’est plus connectĂ© Ă  un travail rĂ©el donc quel regard on a envie de porter comment on a envie de de de valoriser des

MĂ©tiers qui ont perdu un peu de leur dignitĂ© alors que c’est des mĂ©tiers fondamentaux la crise agricole nous le dĂ©montre tous les jours je veux dire on l’a bien vu c’est le sujet d’actualitĂ© mais sans agriculteur il se passe plus rien en 3 jours he on connaĂ®t les on

ConnaĂ®t les statistiques donc pour moi il y a un sujet de de de de remettre de l’ordre dans dans le regard qu’on porte sur les diffĂ©rentes professions est-ce que c’est pas aux partenaires sociaux de gĂ©rer Ă  eux seuls cette cette question lĂ  enfin on a aujourd’hui 170 branches professionnelles en France est-ce que

Qui fonctionne plus ou moins bien mais Henry est-ce que c’est pas Ă  elle de faire le boulot c’est ce que je disais tout Ă  l’heure moi moi je trouve que le le le paritarisme et la nĂ©gociation et et est quand mĂŞme quelque chose de très important c’est vrai que

Il y a des mĂ©tiers qui peuvent rĂ©munĂ©rer plus qu’ font pas forcĂ©ment hein je je rentre pas dans le dĂ©tail mais il y a certains mĂ©tiers de la distribution ou des bon on a parlĂ© de l’agroalimentaire avec les paysans moi je crois aussi que euh bah des grosses sociĂ©tĂ©s

Agroalimentaires ont des salariĂ©s très bien rĂ©munĂ©rĂ©s avec beaucoup de primes avec et cetera et ils partagent pas assez avec le coĂ»t de production des agriculteurs mais ça tout ça il faut il faut l’État intervient bien sĂ»r mais quelque fois il intervient trop quoi il y a il faut enlever la politique de cela

Garder l’humanitĂ© et l’Ă©conomie en fait c’est ça et de se dire en fonction de la rĂ©gion en fonction de si qu’est-ce que je peux faire mais je crois que je reviens lĂ -dessus le SMIC c’est un c’est ça peut ĂŞtre un ser dĂ©marrage pour pour des jeunes pour des moins jeunes et ça

N’a rien Ă  voir avec les diplĂ´mes et ensuite on Ă©volue par rapport Ă  une carrière une entreprise et les les les ressources de l’entreprise ça reste indispensable en tout cas selon vous je veux dire aujourd’hui l’État propose un salaire minimum vous c’est pas envisageable selon vous enri un jour

Bien on remplace ce salaire minimum par une prime une sorte de prime d’activitĂ© qui puisse compenser non non moi je je trouve que l’État intervient dĂ©jĂ  beaucoup trop hein alors tout le monde attend justement justement on pour on pourrait dĂ©lĂ©ger aux partenaires sociaux la question du salaire et puis laisser Ă 

L’Ă©tat de ou il faut quand mĂŞme il faut protĂ©ger il faut protĂ©ger les plus faibles hein euh il y a des gens qui seront jamais nĂ©gociĂ©s mĂŞme dans une convention et qui des petites fĂ©dĂ© ou des gens qui sont un peu fragiles qui vont bah accepter 100 balles de moins

Pour dĂ©marrer parce qu’ils ont pas de travail non mais ça il faut faut ĂŞtre objectif lĂ -dessus par contre sur les prix je reviens sur les prix agricoles ça en fait partie de de de de ça et la rĂ©munĂ©ration des des des producteurs euh je je je je crois que euh le salaire

Minimum c’est pas la solution en agriculture ce sont des indĂ©pendants qui investissent beaucoup c’est plutĂ´t la reconnaissance et le consommateur est coupable hein et lĂ  je reprends ma casquette d’ancien prĂ©sident de produit Enjou c’estĂ -dire qu’on dit toujours aux gens l’Ă©tat tout le monde gueule sur Macron machin tout ça moi j’en sais rien

Mais il faut arrĂŞter de tout attendre de l’État je crois que le consommateur euh vous savez moi je mets souvent un hashtag hein nos achats son nos emplois hein tout le monde veut ĂŞtre augmentĂ© effectivement tout le monde veut tout payer moins cher mais ça ça n’existe pas

Il faut il faut ĂŞtre capable de payer le prix de son salaire et de ce point de vue-lĂ  le consommateur a une responsabilitĂ© c’est par ta carte bancaire par ton argent que tu dĂ©penses que tu euh peux faire que les salaires que les des que ce soit des agriculteurs

Des employĂ©s des ouvriers ou des cadres puissent progresser la smicardisation du du pays la faute au au consommateur qui fait pas les bons choix en tout cas ça rejoint la question du pouvoir d’achat en fait on le sait on l’a encore vu dans le dĂ©bat la part de l’alimentaire

Aujourd’hui dans nos portefeuilles de mĂ©nage est très faible 5 % si je dis pas de bĂŞtises est très faible parce que justement on veut pas payer au juste prix et parce que on est dans une sociĂ©tĂ© oĂą qui est une sociĂ©tĂ© du service encore une fois une sociĂ©tĂ© du

Loisir oĂą on va prĂ©fĂ©rer les vacances au ski on va prĂ©fĂ©rer encore une fois je je distingue les populations comme je l’ai dit en prĂ©ambule mais Ă  un moment donnĂ© c’est lĂ  aussi il faut il faut il faut rĂ©investir je pense le travail comme

Vraiment un lieu oĂą on se en fait on se on trouve de la dignitĂ© on se restaure comme personne on se construit et et après la rĂ©munĂ©ration doit doit doit doit valider et valoriser cette approche lĂ  est-ce qu’on vit audessus de nos moyens je je je je ne sais pas je je

HonnĂŞtement je ne sais pas moi je je crois qu’honnĂŞtement il y en a on a un grand enjeu un grand enjeu et les questions de transition Ă©cologique et de limite planĂ©taires nous le ramène tous les jours l’Ă©conomie dans laquelle on vit ne ne s’inscrit pas dans les limites

PlanĂ©taires on a un vrai sujet par rapport Ă  ça donc oui il y a un enjeu de sobriĂ©tĂ© de frugalitĂ© et de repenser notre modèle Ă©conomique pour pour se rĂ©inscrire dans les limites planĂ©taires et aujourd’hui honnĂŞtement on est on en est loin que le politique arrĂŞte de se

Vendre Ă  l’Ă©conomique et se recentre sur des sujets des pratiques rĂ©galiennes de sĂ©curitĂ© de de protection des plus faibles de santĂ© d’Ă©ducation c’est autant de mĂ©tiers qu’on a mĂŞme pas citĂ© mais qui sont quand mĂŞme en grave prĂ©caritĂ© pour le coup et et que l’Ă©conomie les dirigeants jouent leur

RĂ´le et que les consommateurs peut-ĂŞtre remettent de du sens aussi nous les premiers bien Ă©videmment dans nos achats alors les dirigeants on en parle on en dit un mot quand mĂŞme Henry vous l’avez Ă©tĂ© souvent ce qui pourquoi hochig a augmentĂ© les les salaires c’est parce

Que parce que ça leur coĂ»te très cher pour 100 € d’augmentation c’est 230 250 € qui va falloir investir en plus euh est-ce que c’est euh encore une fois la question des charges qui qui bloquent finalement que que les salaires progressent ou sur sur les bass alors aujourd’hui on a bien progressĂ© depuis

Quelques annĂ©es sur l’apprentissage sur les les alternants hein puisqu’il y a plus de charge sociale hein patronnal et salarial il y a mĂŞme une prime he si on embuche un apprenti mĂŞme si on a peur que ça dure pas euh sur les bas salaires SMIC c’est vrai que bah il y a quasiment

Plus de pas pas beaucoup de charge sociale jusqu’Ă  1,6 fois le SMIC je crois pour le salariĂ© il y a quasiment rien il y a 3 % je crois ou quelque chose comme ça euh euh voilĂ  mais euh fondamentalement tout ça c’est c’est un tout enfin on peut pas dire on fait

Si on fait ça c’est trop facile he effectivement tout le monde se dit moi je suis pas assez payĂ© par rapport Ă  ce que je suis le truc c’est un peu le pĂ©chĂ© d’orgueil hein forcĂ©ment c’est un peu comme quand vous posez la question sur les patrons vous dites c’est tous

Des salot machin et puis mais sauf le mien parce que le bienen il est super B oui faut rapper que la smicardisation touche aussi les patrons patron sur 5 de TPE PME je voulais y venir quand avec moi mon pou bancaire quand on négociait sur les investissements et je leur disais vous

Savez patron de PME parce que des fois il R les banquers ils ont envie de devenir patron ils croient que ça gagne beaucoup d’argent un patron ça gagne entre Z0 PME TP PME entre 0 et 5000 € c’est Ă  peu près ça he la fourchette il y a quelquesuns qui sont adessus après

Ce sont Ăą des des plus grandes entreprises ou bien des salariĂ©s entreprises un directeur gĂ©nĂ©ral qui est nommĂ© en consadministration voilĂ  mĂŞme voir prĂ©sident qui qui n’est pas euh propriĂ©taire hein faut bien savoir et donc lĂ  on paye un talent on paye un comportement quelqu’un qui est apte Ă 

Encadrer 600 personnes 800 personnes 1000 personnes et cetera et Ă  faire progresser l’entreprise et je termine juste sur les enseignants parce que lĂ  aussi euh moi j’ai des copains ou des copines un ce ti enfin professeur des Ă©coles ces gens-lĂ  devraent ĂŞtre je pense pas un niveau supĂ©rieur parce

Qu’ils gagnent très bien leur vie mais un niveau infĂ©rieur il devrait mieux ĂŞtre rĂ©munĂ©rĂ© parce que quand vous avez 20 ou 30 gamins c’est un peu comme des salariĂ©s sur le dos toute la journĂ©e qu’il faut faire avancer tout ça par rapport Ă  un schĂ©ma qui est imposĂ© par

L’État ça doit pas ĂŞtre facile Alex si vous vouliz rĂ©agir oui je je voulais Ă©voquer pour aller au-delĂ  de la question de la rĂ©munĂ©ration mais je pense qu’ des question central c’est la question de du partage de la valeur un un entrepreneur un dirigeant essaie avec ses collaborateurs de crĂ©er de la valeur

Pour assurer la pĂ©rĂ©nitĂ© de l’entreprise et une fois que la valeur est crĂ©Ă©e il faut la partager et aujourd’hui on est encore une fois dans un modèle Ă©conomique qui est très Ă  l’avantage du capital oĂą le le rapport de force entre capital et travail est pas du tout

ÉquilibrĂ© et moi je plaide plutĂ´t pour un rĂ©investir le sujet du du du travail et il y a beaucoup Ă  ce titre de levier effectivement on a parlĂ© de PPV de prime de partage la valeur d’intĂ©ressement de participation de et diminuer les Ă©carts de salair au sein de l’entreprise ou pas

Ouais bien sĂ»r c’est un indicateur c’est un indicateur il faut ĂŞtre attentif Ă  ça alors on entend beaucoup de choses mais ça peut ĂŞtre un et ça dĂ©pend des structures des tailles Ă©videmment mais un asset par exemple ça peut ĂŞtre un bon ratio entre le salaire le plus bas et le

Salaire le plus haut oui c’est oui c’est des indicateurs et et je crois qu’ ça nous demande un peu de d’Assa mais au bon sens du terme que d’arriver Ă  proportionner un petit peu les les les Ă©quilibres plafonner les salaires dans l’entreprise moi je trouve plafonner je

Sais pas mais il faudrait trouver un ratio effectivement parce que un chef d’entreprise qui est propriĂ©taire il peut se rĂ©munĂ©rer diffĂ©remment c’estĂ -dire qu’il peut avoir quand il fait du rĂ©sultat bah il distribue c’est super hein c’est pourquoi pas donc une partie pour les salariĂ©s une partie pour la distribution et une partie pour

L’investissement faut pas oublier parce qu’aujourd’hui si on a une industrie qui a Ă©tĂ© affaiblie mais qui va mieux aujourd’hui c’est aussi parce qu’on a dĂ©ficite d’investissement et lĂ  je salue les espaces partagĂ©s parce que c’est vrai que c’est une bonne manière aussi pour un petit artisan de pas acheter une

Machine cher dont il va se servir 2 jours par semaine mais c’est important aussi de partager la valeur il faut le faire autrement de toute façon on peut plus continuer comme ça que ça soit au niveau salariel au niveau de de l’Ă©cologie voilĂ  on est arrivĂ© Ă  espèce

De somom oĂą il faut changer notre sociĂ©tĂ© c’est c’est c’est un fait donc voilĂ  agissons dans ce sens-lĂ  ce sera le mot de la fin merci beaucoup messieur d’avoir appris par Ă  ce dĂ©bat enri merci ancien dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral du mdfanjou Alexis Voisard dirigeant du cabinet RH perform Ă  anger reste avec nous hein

L’Ă©mission se poursuit dans un instant nous serons avec Victor Brangon le dirigeant de l’entreprise du mĂŞme nom implantĂ© dans les Mauges le spĂ©cialiste de la gestion des dĂ©chets vient d’annoncer un investissement d’ampleur 21 millions d’euros injectĂ©s dans un nouvel outil destinĂ© Ă  amĂ©liorer la valorisation de ce qu’on appelle les

DĂ©chet ultime on Ă©voque ce sujet juste après une courte page de pub Ă  tout de suite et de retour dans le magagecho dans un instant on va revenir sur l’actualitĂ© du groupe Brangon l’entreprise familiale des Mo je viens de rĂ©aliser un investissement colossal je le disais 21 million d’euros qui vont

Permettre Ă  la sociĂ©tĂ© d’ĂŞtre encore plus performante dans la valorisation des 870000 tonnes de dĂ©chets qu’elle traite chaque annĂ©e pour en parler nous sommes en duplexe avec nos studios Ă  Cholet oĂą nous attend Victor branjon directeur gĂ©nĂ©ral du groupe Victor bonjour bonjour merci d’ĂŞtre avec nous

Avant de vous donner la parole sur ce projet d’envergure on accueille notre chroniqueur Laurent marbacher bonjour Laurent bonjour Bastien alors co-auteur je le rappelle du livre l’entreprise altruiste accompagnateur de dirigeants et d’Ă©quipe apprenantes cette saison vous nous faites rĂ©flĂ©chir Laurence sur cette notion justement d’Ă©quipe au sein de l’entreprise 5e Ă©pisode aujourd’hui

OĂą est-ce qu’on en est dĂ©jĂ  lĂ  alors bien sĂ»r nous avons commencĂ© Ă  par souligner la nĂ©cessitĂ© d’un climat de confiance de sĂ©curitĂ© psychologique dans une Ă©quipe ensuite nous avons vu que rien n’est possible si l’Ă©quipe n’a pas une Ă©toile qui la guide on appelle souvent la vision et avec cette vision

Explicite et partagĂ©e bien chaque membre de l’Ă©quipe peut et doit occuper toute sa place prendre des initiatives c’est-Ă -dire exercer son leadership et puis la dernière fois j’ai insistĂ© sur l’indispensable capacitĂ© Ă  entraĂ®ner ceux qui sont Ă  l’extĂ©rieur de l’Ă©quipe ce qui nous amène donc au 5è pilier et

Que vous avez intitulĂ© la dynamique de progrès oui alors c’est sans doute le pilier le plus familier pour nos auditeurs dans l’industrie en particulier on pratique depuis longtemps les dĂ©marches d’amĂ©lioration continue pour Ă© par Edward Deming et donc des cycles rĂ©pĂ©tĂ©s pour Ă©liminer les sources de nonconformitĂ© pour ajuster en

Permanence les processus mais plus fondamentalement pour une Ă©quipe la dynamique de progrès consiste Ă  se poser en permanence les questions peut-on faire mieux peut-on faire moins cher peut-on faire plus vite peut-on faire avec moins d’effort et donc comme les champions qui rĂ©pètent sans cesse le mĂŞme geste pour le peaufinĂ© et bien ou

Les artisans bien dans n’importe quel domaine l’excellence passe par ces protocoles explicites et rĂ©pĂ©titif qui font que la connaissance le savoir-faire s’inscrive progressivement dans dans l’inconscient donc quand on voit un Virtu haose jouer du piano ça semble facile naturel et voilĂ  ce que vise la dynamique de progrès pour chaque Ă©quipe

Grandir en en efficience et en efficacitĂ© collective alors concrètement comment une Ă©quipe peut-elle s’y prendre alors les outils abondent sur ce sujet que ce soit dans la longue tradition du mouvement de la qualitĂ© que j’ai dĂ©jĂ  citĂ© ou plus rĂ©cemment dans les mĂ©thode agile mais face Ă  ce foisonnement il

Convient de trouver en fait ce qui a du goĂ»t pour l’Ă©quipe et surtout ce qui est plus simple pour ancrer cette habitude alors par exemple on peut se poser quelques questions après une rĂ©union ou un Ă©vĂ©nement important qu’est-ce qui a bien marchĂ© qu’est-ce qui a moins bien marchĂ© qu’est-ce qu’on ferait

DiffĂ©remment qu’est-ce qu’on a appris Ă  travers telle ou telle sĂ©quence voilĂ  et donc un tel retour d’expĂ©rience en fait n’est pas très très compliquĂ© Ă  mettre en place ça ça a l’air simple et fin est-ce qu’il y a d’autres recommandations alors oui moi j’aime bien l’approche des catas

D’apprentissage qui nous vient de de Toyota et qui est peut-ĂŞtre un peu moins connu alors au judo au karatĂ© un cata c’est une succession de mouvement qui reproduit une situation de combat la rĂ©pĂ©tition de ces mouvements fait que dans les combats rĂ©els ça s’enchaĂ®ne comme des automatismes alors pour une

Équipe bah c’est l’automatisme de l’apprentissage qui est Ă  dĂ©velopper donc un cata d’Ă©quipe consistera Ă  rĂ©aliser une sĂ©rie d’expĂ©riences dans le but de rĂ©pondre Ă  un dĂ©fi particulier et donc avant chaque sĂ©quence l’Ă©quipe dĂ©crit ce qu’elle s’attend Ă  trouver en faisant cette expĂ©rience et puis après l’analyse qui s’est passĂ© rĂ©ellement et

C’est souvent dans cet Ă©cart entre ce que nous croyons et puis ce que nous voyons bien que N nos a prioris sont mis en Ă©vidence et donc c’est une approche qui est source de de crĂ©ativitĂ© qui permet Ă  une Ă©quipe de s’engager de façon très pratique dans une dynamique

De progrès un mot pour conclure alors ce qui compte le plus dans ce pilier c’est pas tant de savoir si on utilise telle ou telle mĂ©thode ce qui est le plus important c’est l’Ă©tat d’esprit quianime l’Ă©quipe dans l’entreprise on prend souvent des des vessis pour des lanternes c’estĂ -dire des simples

Croyances pour des vĂ©ritĂ©s inĂ©branlables donc la dynamique de progrès c’est une attitude qui consiste Ă  dire bon notre façon de travailler est la meilleure qu’on a trouvĂ© jusqu’Ă  prĂ©sent il y en a peut-ĂŞtre meilleure encore continuant de la chercher et alors il y a presque 100

Ans dans son livre le milieu divin tard de Chardin disait la mĂŞme chose avec plus d’Ă©lĂ©gance je le cite non seulement pour ĂŞtre un bon ouvrier de la terre l’homme doit quitter une première fois sa tranquillitĂ© et son repos mais il lui faut savoir abandonner sans cesse pour de formes meilleures les formes

Premières de son industrie de son art ou de sa pensĂ©e Laurent marbachet merci beaucoup Laurent pour cette chronique peut-ĂŞtre que elle suscite d’ailleurs une rĂ©action de notre invitĂ© Victor Brangon qui est avec nous en duplexe de de Cholet la dynamique de progrès avec vos Ă©quipes c’est c’est Ă©videmment

Quelque chose qui qui qui vous anime toujours dans la recherche du du mieux ou c’est fondamental c’est fondamental pour n’importe quelle entreprise je pense de de rechercher cette amĂ©lioration on appelle ça cheznous l’amĂ©lioration continue et on challenge nos Ă©quipes sur ce sur ce mode lĂ  oui ça nĂ©cessite d’abandonner de remettre en

Cause des process tout le temps ah oui toujours se poser la question est-ce que c’est est-ce qu’on est dans le vrai est-ce que c’est demain ce qui va se passer et de se remettre en question de manière permanente et notamment donc en ce qui concerne la la valorisation des

DĂ©chets qui est l’une de vos trois activitĂ© principale avec le transport et et la logistique Brangon c’est 870000 tonnes collectĂ© et traitĂ© chaque annĂ©e d’abord elles viennent d’oĂą elles viennent de tout producteur de dĂ©chets aujourd’hui tout tout agent Ă©conomique quelques part produit des dĂ©chets donc c’est principalement des

Entreprises quel que soit leur taille ou des collectivitĂ©s d’accord donc dans la rĂ©gion notamment oui alors de manière gĂ©ographique nous on opère sur le grand ouest donc notre maillage il est du du Havre Ă  Bordeaux et c’est principalement sur ce pĂ©rimètre lĂ  que nous collectons les dĂ©chets de nos clients alors si on

En croit les les chiffres donc que vous prĂ©sentĂ© sur votre site internet aujourd’hui 78 % des dĂ©chets qui sont pris en charge par Brangon sont valorisĂ©s de de quelle manière donc la valorisation il y a deux grandes familles c’est d’abord la valorisation matière c’estĂ dire que bah par exemple on collecte du carton ce

Carton lĂ  on va le rĂ©cupĂ©rer pour refaire du carton c’est la mĂŞme chose pour la ferraille voilĂ  et puis la valorisation Ă©nergĂ©tique la valorisation Ă©nergĂ©tique c’est celle de prendre la matière qui peut pas redevenir qui peut pas ĂŞtre rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e comme ça donc lĂ  on va s’en servir comme combustible et ça

C’est une autre forme de de valorisation et aujourd’hui oui on a 78 % de des matières que nous collectons que nous sommes en mesure de valoriser soit de manière sous forme de matière soit Ă©nergĂ©tique c’est c’est 50 50 hein d’ailleurs euh pas forcĂ©ment non c’est c’est plus de valorisation matière

Aujourd’hui le 5050 il est sur notre projet mais aujourd’hui on valorise davantage sous forme matière que sous forme Ă©nergie et quand vous dites Ă©nergie c’est les fameux CSR lĂ  les combustibles solides de rĂ©cupĂ©ration c’est ça c’est du combustible qui est gĂ©nĂ©rĂ© Ă  partir de dĂ©chets qui jusqu’Ă  maintenant aller en

Enfouissement mais qui aujourd’hui on peut s’en servir comme comme d’un combustible et c’est ce qui remplace les Ă©nergies fossiles et qui qui vous rachète ensuite cette cette matière ou ce combustible alors on nous la rachète pas on doit payer une redevance pour pouvoir brĂ»ler ces CSR et aujourd’hui ce sont

Essentiellement en France en tout cas des cimentiersord qui qui qui rĂ©cupèrent cette matière lĂ  pour l’utiliser dans leur dans leur four d’accord l’objectif c’est Ă©videmment d’aller plus loin de tendre vers le zĂ©ro dĂ©chet vous dites qu’il faut finalement qu’on qu’on se mette dans dans dans dans l’esprit de

Plus parler de dĂ©chets mais de ressources c’est ça l’idĂ©e oui alors on parle de dĂ©chets par commoditĂ© mais c’est vrai qu’aujourd’hui les matières sont très diffĂ©rentes en plus le dĂ©chet c’est un terme très gĂ©nĂ©rique mais aujourd’hui c’est très diffĂ©rent de traiter du carton que de traiter de la ferraille

Que des aluminiums que du dĂ©chet vert c’est la la logique est est spĂ©cifique Ă  la matière et donc c’est vrai qu’aujourd’hui on devrait parler davantage de ressources parce que c’est quelque chose sur lequel on peut on peut capitaliser pour en faire des matières premières secondaires qu’on va rien

Encore orĂ© dans des dans des produits dans de l’emballage et cetera et donc ça c’est ça c’est important ou c’est tout le sens d’ailleurs de Ă©coterie donc cette nouvelle usine qui va qui va naĂ®tre prochainement 21 million d’euros d’investissement en quoi c’est une première en Europe en quoi c’est une innovation finalement

InĂ©dite c’est inĂ©dit parce que nos Ă©quipes elles ont beaucoup travaillĂ© sur ce projet lĂ  pour aller bah ils ont visitĂ© un certain nombre d’usines de par le monde pour trouver les meilleures technologies qui qui existe et et les mettre bout Ă  bout en fait pour arriver Ă  trier ces diffĂ©rentes matières dont je

Viens de parler puisque dans du dĂ©chet ultime il y a plein de matières diffĂ©rentes qui sont agglomĂ©rĂ©es et l’idĂ©e c’est de trouver les technologies qui vont bien appropriĂ© pour sĂ©parer chacune de ces matièreslĂ  et ça c’est inĂ©dit parce que sous cette forme lĂ  dans cette dans cet assemblage lĂ  sur

Cette dimension lĂ  en plus en incorporant euh de l’intelligence artificielle par le biais de robot de de tri bah ça n’existe nulle part ailleurs voilĂ  donc aujourd’hui on est capable de dire que en Europe ça n’existe pas parce qu’on a visitĂ© un certain nombre de de d’usine qui serait un peu similaire mais

Mais on a Ă©tĂ© plus loin qu’en Europe après VO je veux pas affirmer que ce soit dans le monde entier parce qu’on a pas tout explorĂ© mais en tout cas on est Ă  peu près sĂ»r de nous pour dire que oui c’est c’est inĂ©dit c’est comment ça va fonctionner concrètement

ÉcĂ´terie alors c’est assez simple sur le principe c’est-Ă -dire que donc c’est une une usine qui est qui est situĂ© euh dans les Mauges Ă  la poidevinière exactement sur la commune nouvelle de beaupro et l’idĂ©e c’est que toutes les tonnes aujourd’hui que nous que nous recevons

Euh dans dans cette dans ce dans ce flux lĂ  il y a ce qu’on appelle le dĂ©chet ultime c’est un dĂ©chet qui va aujourd’hui en stockage euh et l’idĂ©e c’est de dĂ©tourner 65000 tonnes de ce qu’on de de de ce dĂ©chet ultime pour le passer dans l’usine de tri et cette

Usine de de surt mĂŞme va va permettre de de sortir les diffĂ©rentes matières qu’on retrouve dans du dĂ©chet ultime dans Duch ultime il reste un petit peu de grava il reste un petit peu de carton il reste un petit peu de ferrail un petit peu de bois certains plastiques et donc ça on

Peut aller les chercher pour justement les valoriser sous forme matière ou Ă©nergĂ©tique et sur ces 65000 tonnes qui seront traitĂ©s dans cette nouvelle usine et cĂ´terie l’idĂ©e c’est d’en valoriser quelle quelle part 80 % donc 80 % de ce qui va rentrer euh sera valorisĂ© donc on

Parle de 52000 tonnes sur les 65000 qui qui seront valorisĂ©s et qui n’iront pas de de ce fait en stockage quand vous dites stockage c’est en fouissement oui c’est le terme le plus appropriĂ© est celui de stockage parce que voilĂ  jusqu’Ă  prĂ©sent enfin il y a quelques annĂ©es on parlait d’enfouissement mais

Aujourd’hui on parle de stockage parce que c’est dans des alvĂ©oles qui sont hermĂ©tiques et qui demain potentiellement pourrait ĂŞtre rĂ©ouverte pour aller chercher du dĂ©chet qui aujourd’hui n’est pas valorisable mais qui peut-ĂŞtre dans quelques annĂ©es le sera c’est pour ça qu’on parle de stockage puisque on stock le dĂ©chetacord

Ça veut dire que vous pourriez aller rĂ©cupĂ©rer dans les anciens dĂ©chets de la matière potentiellement il il y a eu quelques expĂ©rimentations qui ont pas Ă©tĂ© très couronnĂ© de succès Ă  chaque fois mais mais il y a des expĂ©rimentations quand mĂŞme et l’idĂ©e c’est de se dire demain peut-ĂŞtre que la

Technologie nous permettra d’aller chercher du dĂ©chet qui qui sera valorisable aujourd’hui juste pour bien comprendre avant Ă©coterie les les les les les milliers de tonnes de de dĂ©chets ultimes ils allaient directement au stockage il y avait aucune façon de d’en traiter mĂŞme une partie non enfin l’idĂ©e

Ce qu’on fait nous c’est que elle c’est c’est C ton lĂ  ce ces matièresl elles transitent par nos sites sur nos sites on essaie toujours de faire un peu de tri voilĂ  donc on a une pelle avec un opĂ©rateur qui va ressortir les matières qui sont facilement identifiables et

Facilement qu’on peut facilement prendre pour pour les pour les Ă©carter et les trier donc on le fait on fait cette forme de tri sur nos sur nos sites mais euh mais c’est pas possible de le faire Ă  grande Ă©chelle et d’aller chercher ce qu’on dit nous Ă  la pince Ă  Ă©piler dans

Dans le tas euh Ă©conomiquement c’est pas c’est pas viable et donc l’idĂ©e c’est justement de de de se dire on va le faire de manière automatique par un process qui va permettre de de rĂ©aliser ce tri Victor branjon avec justement cette cette nouvelle enfin ce nouvel outil vous allez pouvoir donc amĂ©liorer

Votre votre prĂ©cision vous allez pouvoir amĂ©liorer le le tonnage global de de de dĂ©chets qui vont pouvoir ĂŞtre valorisĂ©s oui oui lĂ  aujourd’hui comme on l’a dit on est Ă  78 % de taux de valorisation on est estime qu’avec cette ce nouvel outil on monterait Ă  Ă  90 % de taux de

Valorisation ce qui est très consĂ©quent dans nos mĂ©tiers euh pour rappelle la lĂ©gislation demande Ă  ce qu’on valorise 65 % des dĂ©chets d’ici 2025 donc on est dĂ©jĂ  en avance lĂ  on creuse encore l’Ă©cart j’ai envie dire et et de ce fait oui c’est ces derniers ces derniers 20 %

Qu’il faut aller chercher qui sont les plus compliquĂ©s parce que voilĂ  ça nĂ©cessite des investissements lourds comme on le fait lĂ  et donc c’est sĂ»r que c’est c’est c’est c’est c’est 20 % S c’est 20 % on all en chercher 10 % et ça c’est c’est quand mĂŞme consĂ©quent lĂ 

Ouais et alors c’est bon Ă©videmment pour pour la planète je sais pas si vous avez arriĂ© Ă  mesurer l’impact carbone les Ă©conomie sur les les ressources naturelles ou les tonnes d’Ă©missions de CO2 Ă©vitĂ© mais mais vous le dites ça a un coĂ»t lĂ  aujourd’hui 21 millions d’euros est-ce que est-ce que c’est

Facilement rentable dans le modèle Ă©conomique oui parce que aujourd’hui on est on est poussĂ© Ă  enfin c’est c’est notre mĂ©tier notre mĂ©tier c’est d’offrir des solutions Ă  nos clients pour aller mieux valoriser les dĂ©chets qui nous sont confiĂ©s euh c’est une mission qui va m au-delĂ  de satisfaire nos clients c’est

Pour nous c’est l’avenir de notre entreprise et l’avenir de la planète quelque part et donc on se doit de de mettre en place des solutions qui qui vont dans ce sens-lĂ  alors oui c’est 21 millions d’euros bien sĂ»r on a un business model associĂ© Ă  ça et euh ce

Qu’il faut comparer c’est que le coĂ»t du dĂ©chet ultime son traitement aujourd’hui de le mettre en stockage ça coĂ»te dĂ©jĂ  cher au producteur et donc et donc de se dire bah voilĂ  il y a une alternative qui est meilleure pour pour la pour l’environnement pour la planète et cette

Alternative elle a un coĂ»t mais quelque part elle est justifiĂ©e et rentre dans un business modèle qui est qui est viable on rappelle le le le chiffre d’affaires de de l’entreprise branon aujourd’hui donc aujd enfin en 2023 en tout cas on a rĂ©alisĂ© un chiffre d’affaires de 255 millions d’euros sur

Tous nos sur tous nos pĂ©rimètres et on ambitionne plus de 270 millions Ă  la fin de cette annĂ©e 2024 et que reprĂ©sente la la filiale recyclage lĂ -dedans alors la filiale recyclage c’est plus de 50 % du du du chiffre d’affaires consolidĂ© aujourd’hui clairement c’est c’est lĂ  que bah les investissements sont les

Plus consĂ©quents he comme je je viens de le dire et puis c’est lĂ  oĂą on a le plus de de besoin et aussi de pression j’ai envie de dire saine mais rĂ©glementaire technologique c’est lĂ  oĂą il y a le plus d’enjeux et donc quelque part c’est c’est c’est ce qui porte

Aujourd’hui la croissance du groupe ou nous sommes avec avec Victor branjon directeur gĂ©nĂ©ral du groupe branon RCF en joue le mageeko alors vous l’avez dit Victor branjon aujourd’hui avec votre entreprise vous ĂŞtes au-delĂ  des j’allais dire des des des critères des des obligations mĂŞme lĂ©gislatives qu’est-ce qui reste Ă  faire

Pour pour atteindre ce fameux zĂ©ro dĂ©chet est-ce que c’est un mythe dĂ©jĂ  ou est-ce que vous pensez qu’on peut l’atteindre un jour oui moi je pense qu’on peut l’atteindre on peut l’atteindre d’abord parce que bah le produ producteur lui-mĂŞme a fait dĂ©jĂ  Ă©normĂ©ment d’effort aujourd’hui les entreprises comme les mĂ©nages trient

Leur dĂ©chets et ça c’est d’abord la base c’est ce que nous on on inculque Ă  nos clients c’est de dire d’abord trier Ă  la source c’est ce qui coĂ»te le moins cher c’est plus efficace le performant le plus vertueux et donc on demande est-ce que nos nos clients collectivitĂ© comme

Industriel tri Ă  la source et ça c’est important et ça c’est le meilleur le meilleur tri et puis ensuite demain bah il y a plusieurs mĂ©thodes pour arriver Ă  ce zĂ©ro dĂ©chet c’est bah les investissements comme on le fait lĂ  pour mieux aller chercher le dĂ©chet qui est

Qui qui peut ĂŞtre agglomĂ©rĂ© qui peut ĂŞtre souillĂ© et cetera et puis c’est c’est la la l’Ă©coconception aussi en amont des produits parce qu’aujourd’hui on a encore beaucoup de produits qui sont un voilĂ  un agglomĂ©rat de plein de rĂ©sines de plastique diffĂ©rentes de de de de de de produits qui qui qui

Contiennent plusieurs matière et ça c’est difficile pour nous d’aller d’aller d’aller traiter ces ces matières lĂ  donc il y a tout un un enjeu de l’Ă©coconception en amont de la chaĂ®ne qui est très important sur lequel l’âge on a beaucoup moins de de de prise pour

Nous mais qui qui qui est essentiel et puis et puis demain bah voilĂ  technologiquement parlant on doit arriver Ă  avoir des outils qui qui vont aller plus loin et qui vont nous permettre de de d’amĂ©liorer encore le le le le recyclage des dĂ©chets et vous

Parliez tout Ă  l’heure du du tri et et du rĂ´le de vos partenaires lĂ -dedans est-ce qu’il y a des des erreurs de tri aujourd’hui est-ce que c’est rĂ©gulier est-ce que c’est un frein aussi oui ben ça encore les erreurs de tri euh c’est un frein mais on on sait aujourd’hui le

GĂ©rer c’estĂ dire que l’erreur de tri bah c’est tout une pĂ©dagogie qui doit ĂŞt associĂ© Ă  ça donc quand il y a une erreur de tri sur qu’on constate sur nos sites on prend des photos et on communique avec le client pour expliquer voilĂ  ce qui s’est mal passĂ© on remonte

La chaĂ®ne pour essayer de comprendre avec le client comment on va amĂ©liorer le process pour Ă©viter ces erreurs de tri lĂ  et ça c’est c’est alors c’est un travail de longue haline c’est de la pĂ©dagogie et beaucoup de communication bon on imagine qu’ave avec Ă©coterie et le lancement de ce programme il va

Falloir recruter prochainement il y a il y a un plan de recrutement en cours oui il y a 18 postes Ă  pourvoir au total sur sur Ă©coĂ´terie donc donc on a un plan un plan en cours exactement avec notre service ressources humaines notre service recrutement pour aller chercher des postes qui sont difficilement

Captables aujourd’hui hein dans nos mĂ©tiers on a beaucoup de mal Ă  Ă  recruter je parle de conducteur d’engin je parle de technicien de maintenance je parle d’agent de nettoyage de contrĂ´leur de production enfin voilĂ  c’est des mĂ©tiers qui sont sous tension euh dans dans une rĂ©gion qui est très

Dynamique oĂą tout le monde recrute et oĂą il y a pas de chĂ´mage donc très clairement pour nous c’est un c’est vraiment un un enjeu fort parce que voilĂ  on a beau investir dans dans un process si j’ai pas si on n pas les les hommes et les femmes Ă  mettre dessus ça

Marchera pas donc donc pour nous c’est c’est le deuxième enjeu qui est qui est très d’actualitĂ© c’est d’aller recruter ces personnelsl ouais ils doivent ĂŞtre recrutĂ©s et prĂŞts pour pour le printemps c’est ça pour le dĂ©marrage de de de finalement des lignes Ă©coteries c’est ça on va rĂ©ceptionner logiquement donc la

La la ligne le bâtiment et la ligne de tri en mois de mai et donc bah oui il faut mĂŞme en amont qu’on a dĂ©jĂ  le personnel pour pouvoir commencer Ă  le former voilĂ  Ă  la ligne et au process et Ă  l’attendu donc oui c’est c’est en

Cours Ă©coterie donc qui sera inaugurĂ© Ă  la poid devinir dans dans quelques moi tiens ça vous inspire quoi Laurent d’entendre ce ce tĂ©moignage et ce projet d’envergure B moi je salue l’entrepreneur hein c’est-Ă -dire que investir autant d’argent de se prendre ce risque mĂŞme si les choses sont il est

MesurĂ© Ă©v on va dire voilĂ  mesurer mais malgrĂ© tout voilĂ  c’est c’est c’est louable et et intĂ©ressant et puis surtout ça va dans dans dans un sens qui nous concerne tousin donc voilĂ  moi je suis enthousi enthousiasmĂ© et après voilĂ  ces questions que vous Ă©voquez sur le recrutement sur en fait la communautĂ©

Humaine donc vous avez aussi la responsabilitĂ© au-delĂ  de simplement remplir des postes sur un process c’est ça qui m’intĂ©resse le plus Ă©videmment et qui j’imagine dans une entreprise aussi familial a des caractĂ©ristiques peut-ĂŞtre particulières enfin il y en a ou pas Victor branjon des caractĂ©ristiques particulières quand vous

Recrutez vouz dire ce que enfin nous notre ADN elle est par forcĂ©ment donc ça aĂ© Ă©voquĂ© entreprise familiale rĂ©gionale on fait cette annĂ©e nos 105 ans très clairement oui c’est c’est je pense que venir dans une entreprise familiale c’est pas la mĂŞme dĂ©marche que d’aller dans un grand groupe et et donc

ForcĂ©ment oui on a on est attachĂ© Ă  des valeurs fortes qui sont bien sĂ»r liĂ© Ă  Ă  l’humain et au respect de des personnes qui travaillent avec nous c’est très important il y a combien de de salariĂ©s aujourd’hui dans le groupe en tout aujourd’hui nous sommes 1450 quand mĂŞme hein voilĂ  avec avec

VolontĂ© de de de progresser et de de recruter encore mais c’est vrai que c’est c’est le nerf de la guerre et c’est aujourd’hui un un sujet une prioritĂ© pour nous d’amener de fidĂ©liser les salariĂ©s au sein de l’entreprise parce que c’est c’est un enjeu de tous les jours et sans sans les

Hommes et les femmes du groupe on peut rien faire donc c’est très très important bon et juste une dernière question il nous reste une minute Victor branjon on a parlĂ© beaucoup de la la filière recyclage un mot sur la filière transport parce que des paris des risques vous en vous en menez plusieurs

De front il y a quelques il y a quelques mois vous vous disiez que branjon avait l’intention bien d’Ă©quiper sa flotte de camion en camion hybride et Ă©lectrique Ă  hauteur de 20 % oĂą est-ce qu’on en est aujourd’hui donc aujourd’hui j’ai fait les comptes on est Ă  Ă  Ă  17 % de de

Camion qui fonctionneent Ă  Ă©nergie alternative voilĂ  c’est pas que des camions Ă©lectriques euh donc on progresse bien on a on fait des renouvellements très rĂ©guliers de nos flottes de vĂ©hicules et donc Ă  chaque fois on s’efforce d’aller chercher des vĂ©hicules autres que qui fonctionnent au

Diesel et oui ça ça ça avance bien donc mais mais maintenant ce qu’il faut c’est fiabiliser les nouvelles technologies qui vont plus loin donc je pense bien sĂ»r Ă  l’Ă©lectrique et demain Ă  l’hydrogène et pour le moment c’est encore c’est encore un enjeu oui et fiabiliser ça veut dire quoi ça veut

Dire que vous avez l’impression de jouer un peu les les cobailes que tout n’est pas parfaitement rodĂ© oui enfin quand on joue les Coba c’estĂ d que lĂ  on est en mode test voilĂ  on a achetĂ© des vĂ©hicules Ă©lectriques forcĂ©ment il faut que ces vĂ©hicules bah il s’adaptent Ă  notre ou peut-ĂŞtre que

C’est Ă  nous aussi de nous adapter aujourd’hui c’est plus plus dans ce sens-l d’adapter notre fonctionnement notre exploitation Ă  des vĂ©hicules qui font qui forcĂ©ment ont une autonomie moins moins moins forte et donc ça vra qu’on a des vĂ©hicules Ă©lectriques pour lesquels c’est difficile de faire une

JournĂ©e complète donc donc on doit on doit adapter l’exploitation et et voilĂ  c’est c’est c’est pas Ă©vident donc on sait que s’il va avoir une grosse progression sur la technologie les constructeurs travaille dessus notamment sur l’autonomie des batteries et bon ben ça ça va venir mais il faut qu’on essae

Parce que si on essaie pas on on SAA pas dĂ©terminĂ© aller dans ce sens lĂ  en tout cas merci beaucoup important merci beaucoup Victor branjon d’avoir pris le temps de de rĂ©pondre Ă  nos questions directeur gĂ©nĂ©ral du groupe branjon implantĂ© Ă  Ă  mochurlois qui va donc prochainement inaugurer son nouvel outil

Industriel baptisĂ© Ă©coterie on suivra Ă©videmment ses performances avec intĂ©rĂŞt je crois que le lancement donc c’est au printemps au mois de mai il sera efficient voilĂ  dans le courant de l’annĂ©e fin de l’annĂ©e on espère c’est ça c’est ça monter en charge d’ici la fin de l’annĂ©e pour que pour que tout

Soit opĂ©rationnel comme il faut Ă  la fin de l’annĂ©e oui merci beaucoup Victor branjon d’avoir Ă©tĂ© avec nous merci Ă  vous allez c’est la fin de ce magazine merci Ă  vous de l’avoir suivi merci Ă  Olivier Hamar qui Ă©tait Ă©galement prĂ©sent du Journal des Entreprises merci Ă  David mainfroid qui s’occupait de la

Technique et la rĂ©alisation de cette Ă©mission et c’est ainsi que s’achève ce Meko vous pouvez Ă©videmment retrouver en podcast sur notre site internet rcf.fr on se donne rendez-vous mercredi prochain d’ici lĂ  portez-vous [Musique] bien

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