🟠 Dans cette vidéo, je vous parle de l’entraînement au seuil. Intéressé par les bénéfices des séances dites “au seuil”, j’ai souhaité faire une revue de littérature sur les bénéfices, et les fondements théoriques, derrière les entraînements dits “au seuil”. Dans cette partie 2, Laurent Messonnier, professeur des universités et chercheur en sciences du sport, répond à mes questions.

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    Bonjour à tous j’espère que vous allez bien je suis ravi de vous retrouver pour un nouvel épisode dans ce scientifique d nous allons faire suite à la partie 1 sur les entraînement dit au seuil ici j’ai l’immense plaisir de recevoir Laurent Messonnier pour échanger sur cette thématique professeur en sciences

    Du sport à l’université Savoie Montblanc Laurent est également membre senior de l’Institut universitaire de France une récompense attribuée pour l’excellence de sa carrière scientifique les travaux de Laurent couvrent de nombreuses thématiques dont une qui nous intéresse pas particulièrement pour cet épisode à savoir les effets de l’entraînement en endurance sur tous les processus

    Physiologiques impliquant le lactate le substrat clé quand on parle d’entraînement au seuil allez c’est parti pour l’épisode d’aujourd’hui au seuil de nulle part partie 2 aujourd’hui j’ai la chance de recevoir Laurent Messonnier qui est professeur des universités à l’université de Chambéry enfin à l’université sa Montblanc sur le

    Site de Chambéry et comme je vous l’ai dit dans l’introduction qui est membre iuf senor qui est un grade de connaissance pour l’excellence de la carrière scientifique de de que la personne a réalisé bah bonjour Laurent comment vous allez bonjour merci très bien et vous-même bah ça va super alors

    Je vous propose qu’on fasse quelque chose dès maintenant et qu’on passe sur le tutoiement ce sera peut-être plus sympa pour l’ensemble de l’épisode si si ça vous embête pas ça me va très bien la première question que je voulais te poser c’est déjà en introduction qu’est-ce que c’est que ces seuil ces

    Fameux seuil lactiqu 1 et de d’où est-ce que ça vient historiquement ou physiologiquement pourquoi est-ce qu’on parle de seuil et la question qu’on se pose un peu tous euh est-ce qu’ils existent vraiment W ça c’est une sacrée question alors euh les les seuils ils ont été euh ils ont été décrits depuis

    Très très longtemps par plein de manières de manièrees différente et ils ont surtout été appelés de manière très différente et parfois on a même utilisé les mêmes termes pour parler du prer soilactique et du deuxème soactique alors aujourd’hui c’est vrai que en tout cas en France on est

    Beaucoup on fait peut-être partie des pays qui font peut-être encore le moins de confusion B on sépare bien le prer soil actique le deième soil actique comme le premier seuil ventilatoire et le deuxième seuil ventilatoire mais il y a plein d’endroits encore et si on refait la littérature on retrouve encore

    Le seuil anirobi le fameux seuil anirobi dans la littérature notamment dans la littérature un peu médical ce sont pas des physiologistes qui écrivent mais qui utilisent l’activité physique et pour revenir sur ces histoires de seuil le le débat même si on va dire il est moins prignant

    Qu’auparavant il y en a toujours qui sont encore dans l’idée de dire bon bah le seuil le seuil lactique c’est le seuil anaérobi enfin il y a toujours cette confusion là qui existe dans la littérature alors les les se ils existent les seuils ils existent parce qu’en fait on les

    Voit d’abord alors c’est vrai que passer un temps on utiliser des modèles exponentiels pour faire passer la courbe c’est ça oui pourquoi pas sauf que en réalité si on fait des des protocoles beaucoup plus précis avec des incréments beaucoup plus fins et des des paliers long et ben on observe des

    Points de rupture dans la courbe la dynamique change et et et c’est très très fin on l’avait vu nous sur une étude qu’on avait fait chez George Brook aux États-Unis où en augmentant seulement de 10 W en 10 W toutes les 3 minutes on a une augmentation très très

    Lente et puis d’un coup il se passe quelque chose à un instant près il y a quelque chose qui se passe il y a un changement de dynamique et une augmentation plus rapide une accumulation plus rapide euh du lactat sang oui parce que là depuis tout à

    L’heure vous parlez de vous parlez de courbe et cetera mais on parle bien de courbe de la lactatémie donc de la concentration en lactate sanguin on est d’accord on parle de ça et la la question qui est sous-jacente en fait c’est là où il y a eu plus du débat

    Encore c’est de savoir à quoi sont D C ceux euh est-ce que c’est effectivement l’apparition de la filière à Nairobi est-ce que c’est ça c’est le concept plutôt de de de vasserman et de Brian whip et puis il y a l’autre concept qui plutôt côté métabolisme du lactate qui

    Était bah en fait non c’est c’est un déséquilibre entre balance production élimination voilà on en est là mais c’est points de repture dans la courbe il existent alors si jeux tout de suite déflorer un peu le problème à l’URE d’aujourd’hui on on sait à peu près à quoi sont d ces on

    Sait à ce qui se passe surtout le seuil 2 un peu moins le seuil 1 mais essentiellement le seil 2 là où c’est plus rigolo c’est de se dire on sait que les seuils de n’arriv le seuil 2 plutôt il n’arrivve pas à la même puissance pour tout le monde il

    N’arrive pas à la même puissance relative pour tout le monde on n pas forcément au même pourcentage de de Max pour tout le monde mais chez beaucoup dans une activité donnée il arrive à peu près à la même concentration de la et ça c’est un peu martien pourquoi on est

    Alors quand on fait référence au sotique on fait référence aux exercices incrémentaux et si je prends l’exercice euh rectangulaire c’est-à-dire euh à l’état stable euh en tout cas de de vitesse ou de puissance euh le 2ème calactique renvoie en fait au au MLSS c’est-à-dire un l’état stable maximal de

    Lactathémie oui donc en fait l’intensité euh l’intensité d’exercice maximal à laquelle la lactathémie va être stable et au-delà donc en fait utilisation élimination c’est équilibré et au-delà de cet état-là et ben en fait ça se déséquilibre ça se déséquilibre c’est c’est le dernier niveau en fait c’est le

    Dernier dernier niveau c’est la dernière puissance à laquelle je suis encore capable d’avoir l’équilibre en de ça en de ça j’ai aussi de l’équilibre entre voilà j’ai de l’équilibre puisque ma concentration reste stable par contre c’est le dernier niveau auquel je suis encore capable d’être à l’état stable

    Donc ça on c’est pourquoi on sait pourquoi on se met en état un petit peu de déséquilibre à ce moment-là en revanche pourquoi il arrive à à une même concentration quasiment chez tout le monde en tout cas en course à pied ou en cyclisme qui est aux alentours de 4

    Mimol mais en moyenne il y a très peu de variabilité hein entre les sujets et ça c’est un peu martien parce qu’on sait pas pourquoi 4 alors du coup ça me fait penser à un terme qui est souvent utilisé dans l’entraînement et dans dans ouais dans l’entraînement l’idée que des

    Personnes vont s’entraîner pour repousser le seuil lactique 2 et j’ai le sentiment que ce terme qu’on entend des fois sur le terrain oou des athlètes ou des entraîneurs l’utilisaient il est pas forcément correct puisque vous venez dire que globalement ça arrive à peu près au même même niveau pour tout le

    Monde qu’est-ce que vous en pensez quand on parle de repousser le seuil lactique c’est repousser la puissance c’est pas repousser la concentration c’est on repousse la puissance à la fois en valeur absolue mais aussi en en relatif en pourcentage de VO2 max on repousse ce pourcentage on repousse cette puissance

    À laquelle apparaît le deème soactique mais il y a grande chance qu’il va rester aux alentours de d’apparaître au autour de 4 mimol par litre de 100 donc c’est ça à repousser son seuil et du coup j’ai le sentiment alors tu me corrigeras si tu si je me trompe mais

    J’ai le sentiment que dans la littérature en fait le débat il était pas tant sur est-ce que les seuils existent ou pas mais il était plus sur est-ce que ce qui se passe juste en dessous d’un seuil est vraiment drastiquement différent de ce qui se passe juste au-dessus du seuil et que la

    Littérature était plus en fait un débat là-dessus à cause de la terminologie seuil et que depuis quelques années on est d’accord que en fait par exemple juste en dessous du seuil 2 c’est quasiment les mêmes processus que juste au-dessus du seuil 2 est-ce que tu

    Partages ce point de vue pour moi tu dis deux choses pas pas de choses différentes mais deux choses je vais essayer de l’exprimer quand on est sur le le le deuxième seuil lactique en fait on est sur le fil du rasoir et si on est un tout petit peu en

    Dessous ou un tout petit peu en dessus physiologiquement parlant la production de lactate ne sera pas diamétralement différente et la l’élimination ne sera pas diamétralement différente en revanche il se passe on est dans deux états différent il y en a un où je suis à

    L’état stable et il y en a un où je ne le suis plus et c’est très fin c’està-dire que j’ai j’ai un tout petit peu augmenté ma puissance mais je n’ai pas su augmenter suffisamment mon élimination et pourtant je l’ai augmenté c’est-à-dire quand je suis entre en dessous du deuxème seuil et

    Au-dessus du deuxème seuil j’ai augmenté ma production j’ai augmenter mon élimination contrairement à ce qu’on croit simplement je n’ai pas réussi à élever mon niveau d’élimination au même niveau que la production et c’est très fin et pourtant là je change d’état et en changeant d’état je passe d’une

    Situation je suis capable d’ peu près travailler 1 heure au deuxème seuil ça ça tape he quand on travaille 1 heure au deuxième seuil lactique c’est c’est c’est dur néanmoins je je suis capable de le faire si je passe au-dessus j’explose au bout de minutes parce que le lacttable va commencer à

    S’accumuler et quand il va s’accumuler je ne vais pas aller au-delà de 9 10 millmol je vais cramer à ce moment là et et je les atteinds aux alentours de de 30 minutes parfois moins si si je fais et et encore une fois j’insiste sur le fait que c’est très fa vous augmentez

    Votre puissance de 5 % moins de 5 % vous vous passez d’un état à un autre et vous basculez dans un état qui est intenable alors du coup on va pouvoir rentrer ça ça tu m’ouvres directement la voix voit vers en fait la thématique un peu plus

    Fine de aujourd’hui puisqueil y a déjà un épisode qui est disponible en ligne pour les personnes qui souhaitent l’intéresser sur qu’est-ce que c’est que c’est se mais c’était je trouve super intéressant de refaire un état un petit peu de des des connaissances la question que moi je me posais vraiment

    Aujourd’hui c’est ok ce seuil il existe ou alors c cette balance cet équilibre entre production et élimination elle existe et comme tu le soulignes depuis tout à l’heure au bout d’un moment s’il y a trop de de de de concentration de lactate je vais do so mon exercice c’est

    Un déterminant de l’arrêt de l’exercice et je pourrais pas continuer à produire de de l’exercice la question que j’aimerais vraiment qu’on commence à aborder nous ensemble aujourd’hui c’est comment est-ce qu’on fait pour entraîner ces processus là tous les processus qui entourent le lactate donc son sa sécrétion son élimination et la première

    Question que je me pose là c’est est-ce que c’est possible déjà d’entraîner ces processus là est-ce qu’on peut s’améliorer en terme de production de lactat est-ce qu’on peut s’améliorer en terme d’élimination ou de réutilisation du lactat ou c’est quelque quelque chose qui est grandement déterminé et on aura

    Du mal à le à l’améliorer alors concernant la production c’est il y a peu de données les les données qui qui existent elles sont elles sont très parcellaires à l’URE d’aujourd’hui chez l’homme il y a il y a deux deux études il y en a ouis c’est pas pltor il y en a

    Deux qui ont tendance à dire que la production elle est liée au pourcentage de VO2 max donc c’est en lien au pourcentage de VO2 max c’est pas en lien forcément avec la puissance absolue c’est en lien avec le pourcentage de VO2

    Max à 65 % de VO2 max à 75 % de l’au de Max on va tous plus ou moins produire de la même manière il y a une étude chez le R qui date de 86 c’est de mémoire c’est c’est Favier collaborateur c’est cocorico c’était une équipe française

    Qui avait montré que euh il y avait eu un peu moins de glycolyse euh chez des rat entraînés mais on n’était pas bien sûr si c’était de la puissance absolue de la puissance relative c’est c’est toujours moins bien contrôlé sur l’animal que que que chez l’homme mais

    En règle générale on considère que chez l’homme à puissance relative on produit à peu près la même chose ce qui fait la différence c’est justement son aptitude à éliminer le lactate et ça on sait l’entraîner enfin on sait l’entraîner on sait que l’entraînement améliore l’élimination du lactate ou le recyclage

    Du lactate et ce recyclage du lactate il se fait de deux manières essentiellement par oxydation c’est-à-dire qu’il y a des fibres qui vont utiliser le lactate comme substrat énergétique à la place du glucose ou du glycogène pour en faire de l’ATP et du coup ces fibres là elles font une pierre

    De cou c’estàdire non seulement elle permettent de de baisser ou de retarder l’accumulation de lactate donc de mieux le recycler mais en plus elles utilisent pas leur glycogène donc ça veut dire qu’ell réserve elles gardent leur réserve énergétique et puis il y a un deuxième il y a un deuxième volet c’est

    La néoglucogénèse donc c’est le foi qui récupère le lactate circulant qui le retransforme en glucose alors ça ça ça existe hein mais c’est un petit peu moins préignant que la capacité à oxyder le lactate et donc la vraie différence c’est pourquoi à 65 % de VO2 max un

    Sujet non entraîné est à l’état stable et pourquoi un sujet entraîné à des niveaux de lactate plus bas à 65 % de V de Max c’est parce qu’il est éimine mieux ce qui fait que il est capable à l’état stable à 4 millimol de lactate millimol par litre de lactate il est

    Capable de travailler à 75 % de VO2 max alors qu’il produit plus il produit plus mais comme il élimine plus et qu’il élimine autant que ce qu’il produit et ben il reste à 4 mimol par litre de lactate et il reste à l’état stable donc en fait les athlètes qui sont très

    Entraînés on va dire que ils sont doublement gagnants parce que d’une part ils sont capables d’éliminer de réutiliser de recycler ce substrat qui va les pousser à l’arrêt de l’exercice s’il y en a trop et d’autre part ils sont capables d’économiser le glycogène musculaire donc en fait une

    Source de carburant qui leur permet de produire de l’effort donc ils sont gagnants avec grâce à deux de voix on va dire c’est ça c’est ça s’il reste à à une même puissance relative par contre comme ils sont capables de recycler ils sont capables de travailler un pourcentage plus élevé alors comme il

    Travaillent un pourcentage plus élevé ils vont produire plus donc ils vont là pour le coup ils vont consommer plus leur glycogène mais ils vont réutiliser le lactate né enmoin comme ils vont courir plus vite et ben ils seront plus performants alors je fais tout de suite une petite parenthèse puisqu’on a on va

    Aborder le problème de l’entraînement ce qu’il faut garder quand même à l’esprit c’est que la puissance à laquelle on a le deuxème seil laactique c’est le déterminant majeur des épreuves en endurance et quand je dis des épreuves en endurance c’est c’est des épreuves qui vont de de

    3 4 minutes à au marathon et plus au-delà du marathon je sais pas trop je connais pas trop l’ultraendurance mais en tout cas sur toute cette marche de cette cette gamme d’épreuves euh à filière aerobi très majoritaire et ben ce de cette puissance au deuxième so laactique c’est le meilleur paramètre

    Qui est corrélé à la performance petite pause si ce scientifique d vous plaît je vous invite à aimer la vidéo la commenter à partager et vous abonner à ma chaîne en activant les notifications pour ne rater aucune de mes publications je vous invite aussi à rejoindre courirmieux sur ces autres réseau comme

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    Les différents abonnements proposés vous donnent accès à de nombreux avantages à à des contenus exclusifs et à la possibilité de poser vos questions à mes invités le lien vers les offres est dans la description allez on retourne à l’épisode du coup de pour pour arriver doucement sur l’entraînement il y a la

    Métaanalyse la la revue littérature plutôt de casque à dos et collaborateur que j’ai vulgarisé là en publié en 2023 qui parle de ça qui propose une c’est une perspective he c’est une revue de littérature avec qui se veut ouvrir des pistes vers euh l’entraînement et eux ils avancent que il faut justement

    S’intéresser à cette concentration en lactate sur des intervalles training typiquement donc des des fractionnés pour travailler une certaine concentration et ne jamais la dépasser la question que je me pose pour moi ça ça revient un petit peu à la grande tendance qu’il y a dans certains cycles d’entraînement de séparer très fortement

    Je travaille mes max donc par exemple je travaille V de Max donc je vais très très haut en intensité ou je travaille au seuil donc en fait je suis un peu en dessous je suis autour de ce SL2 et pour moi ces deux perspectives se rejoignent

    En en disant si je veux améliorer mon seuil donc typiquement en fait quand je veux améliorer mon seuil je veux améliorer ma capacité à utiliser du lactate qui est produit et ben je vais travailler au seuil est-ce que ça ça te semble être la perspective d’entraînement la plus pertinente ou

    Est-ce qu’en fait c’est pas si simple alors d’blé je vais te dire c’est c’est pas si simple mais je vais commencer par par faire aussi une une petite parenthèse quand je parle de la puissance au deuxième seu lactique elle est déterminée par deux choses elle est terminé par ma consommation maximale

    D’oxygène quelqu’un qui a 5 L par minute de consommation maximale d’oxygène il a une puissance au deuxième soilactique plus importante que quelqu’un qui a 3,5 l par minute donc ma puissance elle est déjà liée à ma valeur de VO2 max et en plus elle est liée au pourcentage de VO2

    Max auquel je suis capable d’être encore à l’ét stable donc quand je m’entraîne et que je veux entraîner mon seuil j’ai bien ces deux volets à jouer sur lesquels il faut que je joue c’està-dire ma valeur de VO2 max et sur mon recyclage du lactate si je travaille que

    Sur le recyclage du lactate j’oublie VO2 max ok donc une fois que j’ai dit ça je vais dire plein de choses et je n’ai aucune recette toute faite et et préparé alors dans les arguments c’est de dire je je vais m’entraîner au seuil pile à à

    4 mimol par litre où je vais rester et et je vais m’entraîner ça peut marcher est-ce que que j’aurais intérêt à ne faire que ça mon sentiment il est non je vais aller un petit peu plus loin dans ma démarche si je travaille au deuxè SO

    Laactique je vais être un petit peu sur l’intermédiaire c’est-à-dire je vais être ni dans une gamme proche de VO2 max je vais être un petit peu en dessous je vais pas être non plus proche du premier seil lactique où je vais vraiment être en endurance fondamentale donc je vais

    Jouer un petit peu sur les deux tableaux est-ce que c’est la meilleure manière d’améliorer VO2 max c’est pas sûr est-ce que c’est la meilleure manière d’améliorer mon pr mon seu lactique mais c’est mon endurance et ma capacité aérobie oxydative pour être plus précis c’est pas sûr non plus et donc j’ai

    Envie de dire si je suis en mesure de ne m’entraîner qu’une seule fois par jour euh m’entraîner au seuil au deuxième seuil ça peut être un compromis intéressant si je suis un athlète de très haut niveau et que je dois euh avoir l’entraînement le plus performant possible est-ce que entraîner tout le

    Temps au deuxème seuil c’est pertinent je ne suis pas sûr nous on avait fait une petite étude il y a quelques années et vous avez fait enfin tu as fait mention d’ailleurs dans un de tes de tes papiers enfin de ta petite revue de littérature en papier qui avait été fait

    Chez les rameurs il se trouve que nous on avait travaillé chez les ramurs et on avait regardé qu’est-ce qui déterminait le deuxième seuil laactique chez les ramur de haut niveau et on s’était dit B on va regarder l’entraînement qu’ils ont fait on va quantifier les différents types d’entraînement et la quantité

    D’énergie dépensée dans les trois zones zone en dessous du deuxè du premier seuil dans la zone intermédiaire et plutôt en haut de la deuxème de la zone intermédiaire et puis qui était au-dessus et ben en fait ceux qui avaient le seuil le plus décalé vers la droite c’était pas ceux qui avaient

    Passé plus de temps dans la zone autour du deuxième seuil ou juste en dessous et ça ça nous avait étonné parce qu’effectivement on était parti du principe que c’était plutôt en travaillant au deuxème seuil qu’on allait améliorer le deuxième seuil et c’est pas ce qu’on a observé et si on

    S’intéresse un petit peu à à différencier ce type d’entraînement on pourrait réfléchir de la sorte mais je n’en ai pas la preuve mais on pourrait réfléchir de la sorte je vous ai dit enfin je t’ai dit je dis à l’auditoire que notre deè seil lactique il est dépendant de notre VO2 max donc

    Ça ça voudrait dire qu’il faudrait travailler relativement en intensité pour essayer de développer VO2 max mais en même temps j’ai dit que c’est la capacité à recycler le lactate et le recyclage du lactate c’est principalement de l’oxydation et l’oxydation c’est quoi c’est être capable de prendre du lactate de le

    Transformer en acide pyruvique cet acide pyuvique rentre dans le cyle de crpse et qu’ soit utilisé comme substrat énergétique et ben ça c’est typiquement non pas des paramètres cardio-vasculaires cardiaqu qui interviennent dans VO2 max faut quand même garder à l’esprit qu’il y a toute cette dimension cardiovvasculaire là on

    Est typiquement dans du métabolisme musculaire donc plus périphérique très périphérique très très périphérique et la question àer c’est est-ce que finalement c’est pas à des niveau plus bas qu’on va véritablement entraîner le système à réutiliser le lactate comme substrat énergétique si je regarde le niveau où je suis le plus efficace à

    Éliminer le lactate et c’est là où il y a une nuance entre la balance production élimination et les paramètres d’efficacité d’élimination c’est une nuance qui est compliquée et je vais pas rentrer dans les détails et ben si je regarde cette capacité cette efficacité à éliminer le lactate en réalité elle

    Est la plus importante en terme de de valeur aux alentours du premier seuil laactique en tout cas en dessous du deuxième seuilactique et la question qui est c’est est-ce que j’ai pas intérêt à travailler dans cette zone d’efficacité maximale plutôt que de travailler là où je commence à être un petit peu en

    Difficulté alors vous allez me dire ou tu vas me dire ou les a l’auditoire va dire oui mais est-ce que c’est pas plutôt en travaillant là où je suis commence à être un peu dans dans mes retranchements que que c’est là où je vais je vais

    Mieux l’améliorer et ben il y a pas de littérature là-dessus en revanche pour conclure ma capacité à éliminer le lactate c’est-à-dire ma capacité que je mesure au deuxième seactique elle est directement dépendante elle elle détermine directement ce deuxème soil lactique et elle détermine directement ma performance mais c’est pas l’endroit

    Où je suis le plus efficace à éliminer ce que tu as raconté ça me fait penser à trois choses il y a deux il y en a deux c’est juste une petite remarque et il y en a une c’est ça va être une question suivante la première chose que tu as dit

    Et que je trouvais super intéressant c’est que déjà VO2 max et seuil lactique 2 c’est une erreur de les séparer aussi aussi aussi franchement que ça peut l’être fait des fois que des fois en fait l’approche j’ai le sentiment que c’est ce que tu disais comme c’estçon un

    Pourcentage de VO2 max bah que l’idée je travaille mon VO2 max et puis après je travaillerai mon seuil en fait c’est pas si tranché que ça et dans tous les cas tu vas travailler des choses qui sont très en lien en tout cas que les deux semblent très très corrélés si jamais ce

    Que je dis là dans tout ce que je te raconte tu es pas d’accord tu pourras le dire après mais là j’ai l’impression que déjà ce que tu dis c’est que l’idée de les trancher les deux c’est pas forcément une bonne idée et ils sont pas si indépendants l’un de l’autre que des

    Fois les terminologies qu’on peut utiliser parfois dans l’entraînement pourrai nous laisser le croire la deuxième chose que j’ai oublié la trème donc je vais directement aller à la deuxè euh enfin la 2uxème donc je vais directement aller à la 3ème la ce que ce

    Que tu me dis là c’est que ce que tu vas travailler quand tu es à très haute ce que tu vas ce qui va se passer dans ton métabolisme quand tu vas être à très haute intensité et ce qui va se passer dans ton métabolisme quand tu vas être à

    Plutôt basse intensité autour du Soleil lactique 1 et au-dessus du soleil lactique 2 et ben c’est de ce que j’ai compris c’est un peu les deux zones où tu as des chances d’améliorer le plus possible ton utilisation de l’actate j’ai le sentiment que enhiligran ce qui est décrit c’est en fait la méthode

    Polarisée avec du travail à très haute intensité du travail à très basse intensité est-ce que j’ai mal compris ce que tu as raconté ou est-ce que en fait c’est un peu ça qu’on peut comprendre alors tu as très bien compris ce que je voulais dire c’est que je suis assez fan

    Du du travail polarisé mais attention mon esprit est biaisé par par mon expérience qui qui est qui est une expérience de ramur or le on n’est pas un coureur à pied et un coureur à pied à chaque fois quand il quand il quand il

    Court il met le pied au sol et à chaque fois ça un impact et et donc il ne peut j’ai le sentiment qu’un coureur à pied ne peut pas avoir la quantité d’entraînement et le kilométrage entre guillemets sous-jacent que peut avoir par exemple un rameur un rameur il peut

    Faire des énormément de kilomètres à basse intensité c’est pas un problème il fera pas mal parce que il y a pas de chot il y a pas d’impact donc il peut se permettre de faire du travail polarisé parce qu’il peut faire beaucoup de travail à basse intensité comme un peu

    Un cyclisme en cyclisme à l’inverse j’ai pas non plus que le travail polarisé excluait totalement le travail au seuil pour moi le travail polarisé c’est une question de de de de balance entre les trois zones et que cette balance elle est elle elle n’est plus en balance

    Justement elle est elle est un petit peu décalée avec une grosse partie en à basse intensité une partie on va dire euh deuxième partie à haute intensité en moindre quantité et il y a quand même la partie intermédiaire qui doit être existante à plus basse quantité mais elle doit être existante aussi en

    Revanche effectivement le travail qui est spécifiquement centré sur le sur le l’interseuil et en baissant les quantités sur les zones extrêmes la littérature n’y donne pas un écho favorable actuellement ça me fait penser du coup dans alors comme je l’ai dit dans la partie 1 malheureusement les

    Évidences et comme tu le soulignes dans l’épisode là on est c’est vraiment un point commun je pense qu’on peut rouigner ici c’est que la littérature elle est pas hyper nourrie sur les Thém qu’on est en train de discuter et que contrairement par exemple à ce que j’avais pu rédiger quand j’avais fait ma

    L’épisode sur entraîner VO2 max j’avais je sais pas 5 si métaanalyes de de 20 à 30 études chacune c’était super facile comme épisode là on est quand même dans une situation où la littérature est pas si claire et donc forcément on marche un peu sur des UF parfois et ça j’espère

    Que c’est bien clair dans la tête des auditeurs la seule métaanalyse que j’avais trouvé vraiment intéressante c’était celle de rosenbal et collaborateur de 2019 que j’ai vraiment revulgarisé dans dans la partie 1 c’est une méanalyse de RCT donc bon déjà ça fait partie des études qui sont assez

    Robustes et ils ont tris RCT sur des distances de 10 km à pied et 40 km vélo donc des 35 40 minutes d’effort à peu près donc c’est ça ça fait quand même une certaine durée et il montrait dans ces trois là que les personnes qui avaient le plus progressé sur ces

    Performances qui étaient au seuil enfin typiquement quand tu fais un 10 km de 1 demi-heure ou 40 km à vélo à fond 1 demi-heure 40 minutes t à ce qu’on appelle le solil lactique 2 et ben en fait ceux qui avaient le plus progressé là-dessus c’était ceux qui avaient

    Travaillé en polarisé et pas ceux qui avaient travaillé maximum au en zone 2 c’est-à-dire au seuil et du coup ça me ça pour moi ça a reconnecté avec ce qu’on vient de dire enfin ça me semblait pertinent de le ressouever euh ici qui est actuellement malheureusement une des

    Seules évidences qu’on a là je suis je entièrement d’accord sur les deux points on a un vrai défaut sur le métabolisme du lactate parce qu’en fait on sait pas l’étudier on sait mesurer une concentration ça il y a aucun problème mais on ne sait pas d’où elle vient et

    Donc euh à partir de là euh on sait le faire mais c’est très très compliqué c’est des mesures très très compliquées donc euh à partir de là voilà on mesure une concentration mais une fois qu’on a la concentration on en fait quoi et comment on fait pour la

    Diminuer ou voilà donc il y a des petites méthodes mais c’est c’est c’est pas c’est pas très poussé en fait les la vraie méthode pour comprendre les mécanismes sous-jacents à l’effort c’est la méthode des traceur donc très compliqué très coûteuse extrêmement coûteuse et surtout c’est une technique qui n’est valable que

    Quand je suis à l’état stable c’est-à-dire la zone 3 elle n’est pas utilisable donc en fait tout ce que l’on sait du métabolisme du lactate et des effets de l’entraînement c’est entre le repos et ce qui se passe au deuxème solactique ce qui se passe au-delà du deuxième solactique c’est c’est c’est

    Presque une boîte noire alors on a des méthodes on a des méthodes euh de modélisation qu’on utilise pendant la récupération qui nous permettent d’avoir un petit peu des idées mais attention c’est des choses qui sont mesurées pendant la récupération et on fait des inférences sur ce qui se passe pendant

    L’effort ça c’est le premier point et le deuxième point bah il y a très peu d’études faites sur l’entraînement et les le peu d’études qui ont fait des études sur l’entraînement elles se sont acharné parce qu’il en a eu quand même trois voilà c’est c’est pas beaucoup

    Elles se sont acharnées à expliquer ce qui se passait au justement au deuxiè seil laactique et quels étaient les mécanismes sous-jacents au deuxième seil laactique mais point point ça ça s’arrête là pour moi c’est à l’ORS d’aujourd’hui les faisceaux d’indis dont on dispose vont plutôt dans le sens de l’entraînement polarisé que de

    L’entraînement au seuil voilà mais encore une fois ça reste fragile c’est ce que je disais aussi des fois on a quand même une on est obligé de faire des choix dans l’entraînement on n pas le choix on n pas on peut pas faire toutes les séances possibles sinon on

    Les ferait toutes et puis on aurait pas se poser la question de laquelle je préfère puisquon pourrait faire toutes les séances mais on doit faire des choix et dans les choix ça veut pas pour moi forcément dire j’en parlais dans l’épisode numéro 1 sur les seuils lactiques ventilatoires avec avec

    L’invité que j’avais eu ça veut pas dire forcément complètement exclure comme tu l’as dit les séance en zone 2 ça veut en fait peut-être juste dire donc en zone 2 qu’on appelle la zone au seuil ça veut peut-être juste simplement dire peut-être diminuer l’importance qui lui est parfois accordé euh et peut-être

    Garder en tête que c’est pas forcément apparemment aujourd’hui en l’état de l’art c’est pas forcément la zone qui semble développer le plus de choses ça reste une zone d’alure spécifique ça reste une zone où ça va être intéressant de travailler de temps en temps mais c’est pas forcément celle qui

    Contreintuitivement améliorera plus les mécanismes qui s’y produisent en fait c’est un petit peu ça qui est contreintuitif mais qui qui me fait sourir je je suis entièement je suis entièement d’accord le dernier point que je voulais aborder avec toi avant qu’on passe dans juste la petite partie on va

    Dire privée de cet épisode c’est la dernière question que j’avais C revenir sur ce que tu as dit au début que il y a deux choses que tu as dit que j’aimerais connecter pour juste un peu les mieux les comprendre au début de l’épisode là de notre échange tu as

    Parlé de fibbr qui utilisait mieux le lactate que d’autres ou qui était plus performante à utiliser le lactate que d’autres et juste après quand on a parlé de polariser ou entre les deux juste avant de parler de polariser tu as parler de du fait que travailler à basse

    Intensité autour du seuil lactique 1 ou en tout cas dans cette zone là c’était également une zone c’était la zone où on était le meilleur à utiliser le lactate et donc ça amélioré aussi en fait capité à réutiliser à recycler lactate tout ça ça me laisse entendre que tout le

    Travail qui va être fait à basse intensité a également une forte importance dans l’amélioration des mécanismes qui utilisent le lactate est-ce que c’est bien ça qu’on doit retenir oui oui c’est c’est exactement ça c’est notamment dans la zone 1 juste en dessous du du premier seil laptique autour du premier se

    Laptique c’est à peu près dans cette zone là où on pense que il y a aussi il y a peu d’études mais en tout cas c’est on sait que c’est pas au deuxième série que c’est le plus efficace mais on sait que c’est en CH et on pense que c’est

    Aux alentour du premier qu’il y a la meilleure capacité à à éliminer le lactate enfin en tout cas la meilleure efficacité à à éliminer le lactate et s’entraîner dans cette zone là ça pourrait être intéressant alors l’autre élément aussi qu’il faut garder à l’esprit on peut le voir de

    Deux manières à s’entraîner à basse intensité c’est travailler peut-être aussi d’abord à à recycler mieux parce que quand je travaille à basse intensité le lactat que je produis ben je suis capable de travailler à le recycler et aussi c’est peut-être un endroit où je suis capable aussi de travailler sa

    Moindre production parce que quand je travaille à basse intensité c’est aussi dans la zone où je suis le plus favorable à travailler sur les lipides donc je vais aussi retarder en travaillant dans cette zone là les mécanismes de production de lactate puisque je vais augmenter mes capacités de production d’énergie via les lipides

    Qui eux ne produisent pas de lactate qui eux ne produisent pas de lactate donc en fait en travaillant dans cette basse intensité je je vais jouer aussi peut-être sur les deux tableaux à la fois sur la production en la baissant et en augmentant mes capacités d’élimination bah c’est super alors pour

    Les personnes qui écouteront ce podcast un peu plus tard que à sa sortie je suis en train de préparer un épisode sur le travail à bas àité et la lipolyse puisque j’avais commencé à lire un petit peu sur les mécanismes quiaméliorent la lipolyse et en fait on s de parce que

    Pour l’instant j’avais lu la meilleure moyen d’améliorer la lipois c’est de travailler dans la zone 1 à basse intensité qui est la zone où en fait elle va tourner à fond à plein régime cette lipolyse et qui justement l’améliore donc j’espère que d’ici quelques épisodes j’auraai encore plus

    Développé ce point-l mais merci de l’avoir déjà souligner Laurent on va passer donc maintenant c’est la fin de l’épisode qui va être disponible partout je te remercie déjà dans un premier temps énormément pour ton temps on va avoir quelques questions nous ensemble qui seront qui est dans la partie qui

    Est réservée aux abonnés pas trayon de courir mieux avant de conclure cette cette partie d’épisode est-ce que tu pourrais nous dire où est-ce qu’on peut te suivre est-ce que tu utilises x l’ancien Twitter est-ce que tu partages tes travaux quelque part oou les auditeurs pourraient regarder ce que tu

    Fais alors je suis sur Twitter euh je suis pas hyper hyper présent mais je suis sur Twitter sinon je suis sur research gate ou je suis aussi sur linktin donc voilà je suis et puis après pour ceux qui sont un peu plus adeptes de on va dire de la recherche scientifique bien évidemment

    Je suis sur P ok super et ben je mettrai tous ces liens là dans la description de cet épisode Laurent je te remercie énormément pour ton temps je te garde encore une petite quinzaine de minutes pour notre échange supplémentaire mais déjà au nom de toutes les personnes qui

    T’ont écouté et qui vont utiliser tes conseils ici je te remercie énormément merci en tout cas c un plaisir voilà c’est tout pour l’épisode d’aujourd’hui j’espère que son contenu vous a pl plus et vous a permis de mieux comprendre ce qu’est ou n’est pas ce fameux seuil lactique et comment entraîner les

    Processus physiologiques impliquant le lactate comme vous l’aurez compris à travers la partie 1 et 2 sur cette thématique le sujet n’est pas si simple mais l’expertise de Laurent et sa pédagogie m’ont beaucoup aidé à mieux cerner ce dernier j’espère qu’il en a été de même pour vous n’hésitez pas à

    Suivre Laurent sur ses différents réseaux les liens sont dans la description à très bientôt pour un nouvel épisode

    13 Comments

    1. Je pense que cela dépend fortement de l'activité cible : pour un marathon par exemple, l'entrainement au seuil se montre intéressant (intervalles longs plus spécifiques que VMA, et se situe juste au-dessus de l'intensité allure marathon).

    2. Moralité, la phrase qui dit "courir lentement pour courir plus vite" je commence à la comprendre grâce à cet épisode 😁J'y vois vraiment plus clair maintenant et effectivement l'entrainement polarisé, même s'il parait contre-intuitif à la progression de prime abord, semble être la voie principale à cette progression.
      Ça rejoint ce que disais Aurélien Dunand-Palaz également.

    3. J'aimerais ajouter grain de sel que j'entends souvent: le problème des études seuil vs hiit c'est que c'est toujours à court terme et donc biaisé hiit par essence.

    4. Super intéressant j’ai adoré la qualité de ton invité et tes questions très pertinentes. C’est triste que nous n’ayons que peu de littérature sur le sujet. Pouvons nous expliquer les très bonnes performances de nos récents marathoniens français par le fait que la plupart avait des bases d’entraînement en VMA très solides auparavant car venant du cours ? De fait ils avaient surtout besoin de travailler l’endurance fondamentale et le spécifique marathon ? Merci

    5. Top épisode. A la fin, j'ai l'impression que Laurent Messonnier pense aux travaux de G. Brooks (et I. San Millan) sur l'intensité cible qui recycle lactate (sub LT1).

    6. Cyril, question : si on met de coté les adaptations structurelles liées au travail en zone 3 en course à pied (modèle à 3 zones), ne serait-il pas judicieux de bosser cette intensité max sur un sport porté pour avoir le maximum de bénéfices et bien se taper dedans ? De mon expérience, j'aime bien le faire sur velo car peu technique, pas d'impact, et forte possibilité d'aller bien profondément en zone 3. La physio bosse pareille, sans la fatigue des impacts à ces niveaux d'intensité. Peux tu me donner ton avis la dessus ?

      Merci pour cet épisode, gros boulot encore une fois 😌

    7. Super vidéo je ne connaissais pas Laurent Messonnier et je trouve ça vraiment dommage (pour nous les sportifs passionnés) que l’on ne l’entende pas plus souvent. Merci Cyril pour ton travail 👏👏

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