— Séminaire Seine-Aval, 21-22 novembre 2023 —
    Regards croisés sur le développement actuel des outils et de la recherche (Manuel Muntoni, GIP Seine-Aval, Manuel Pruvost-Bouvattier – IPR, Fabrice Bureau – Université de Rouen, Nils Teichert – MNHN)
    Projet SA7 PROMESSE : https://www.seine-aval.fr/projet/promesse/
    Projet SA7 REEL : https://www.seine-aval.fr/projet/reel/
    Projet BERGES : https://www.seine-aval.fr/projet/berges-2022/

    Ça sera une présentation un peu introductive par rapport à la table ronde puisque comme voilà c’est pas une surprise mais nous sommes vraiment l’interface Scien gestion nous avons effectivement des ambitions concernant les échelles euh d’analyse pour pouvoir avoir effectivement des des informations à à l’échelle de l’Estoire de la vallée

    Dans sa totalité et un peu c’est ce qu’on est en train de faire avec un nouveau projet qui on a lancé récemment le projet promesse quiessaie de effectivement avoir une approche intégrée spacialisée bien sûr pour essayer d’avoir une stratégie globale cohérente à l’échelle de l’Estoire

    Euh ce projet vient un peu de de la suite logique de projet repè c’était les projet sur lequels on a travaillé les dernières années on a coutoyé l’adreéal dans ces projet l’idée c’était effectivement d’avoir un référentiel partager des priorités de restauration à l’échelle de la Val hisirienne euh on a

    Réussi effectivement avec en essayant d’alimenter ce diagnostique un peu territorial avec tous les informations que nous avons pu obtenir au cours des différents programmes sénaval et autres parmi tous les informations donc on on a abouti à une première liste d’orientation prioritaire pour la restauration de l’esttoire de l’Estoire

    Des orientations que par contre n’avait pas vocation à être spécialisé dans dans la première forme effectivement de de ce projet mais que néan moins on servit pour commencer à avancer réflexion sur des échelles plus locales et notamment avec bah la partie de la des sites ateliers du projet repè

    Dans lequel on s’était on s’était imposé d’accompagner les acteurs lors des lors des marches de restauration euh quoi qu’il en soit euh la première partie de repéè avait abouti à ces orientations prioritaires qu’on avait pas encore spacialisé puisque parmi les objectifs effectivement de ce projet il

    Y a le besoin de fixer des objectifs globaux et donc de se rendre compte un peu de de qulement marge de manœuvre pour pour pouvoir effectivement restaurer le stare de façon efficace en effet en effet euh bah différentses instances et tous je pense on est d’accord sur le fait que il y a

    Besoin d’une stratégie globale de gestion euh pour la restauration de la fonctionnalité hisirienne ça vient de différents instances comme je le disais ben on a entendu beaucoup parler de ces stratégie global mais euh bah mais la mettre en place c’est un défi c’est un défi puisque euh quand on a travaillé pe

    Sur le retour d’expérience sur la restauration écologique de l’Estoire on s’est rendu compte que bah mener des projets de restauration d’autant plus si d’ampleur c’est compliqué c’est compliqué puisque on doit faire face à plusieurs contraintes euh contraintte d’ordre technique contraintte d’ordre économique contrainte d’ordre sociétal et social économique effectivement euh parfois patrimonialité

    Ce qui nous empêchait effectivement de de d’avoir une vision globale et de nous accorder sur les objectifs un peu spatialisés et et quantifié surtout qui nous permettait de suivre à pas l’évolution de de de de l’avancement de notre stratégie de restauration euh Axel Romagne avait déjà pointé le

    Doigt sur la tyranie des petits projets de restauration il y a désormais 20 ans et on a vu qu’effectivement avec un regard de rétrospective sur ce qui s’était passé lors de ces 20 ans ben on avait tiré quelques conclusions euh notamment que bah la restauration une hisoire de scène se concrétise

    Principalement en réponse à desaménagement donc en réponse à des perturbations on avait vu qu’effectivement bah voilà la majeure partie des mesures de restauration effectué dans l’estire était lié à la séquence ERC RCE et donc effectivement bah ce qui nous donnait pas un gar net en terme de reconquête de Milie naturel

    On avait on avait un impact on essayait de le compenser tout en sachant qu’après effectivement il y a on perte nette d’efficacité quand on on on restore quelque chose euh et et ça effectivement c’est c’est une question qui se posé qui se pose aussi aujourd’hui puisque effectivement quand nous allons regarder

    Les stratégies territoriale la consommation foncière ici vous avez effectivement le mot d’coupation de sol euh croisé avec les classes àurbanisé qu’on peut retrouver dans les documents de planification territoriale et bah on voit que il y a encore une prévision à court terme de la consommation d’habitat par l’artificialisation prévue ici dans

    Le dans le cas spécifique dans les pu et dans les piui notamment par exemple nous avons encore 1143 hactares de préies qui seront aménagés et qui poseront la question de la recherche du foncier pour mettre en place des mesures de compensation mais au-delà de ce que effectivement déjà on risque de perdre

    Euh juste pour la petite chiffre bah c’est le 5 % de surface de prix actuel selon le le mode d’occupation de de sold définie par ozo 2019 bah euh historiquement on avait déjà vu comment le territoire avait changé ici vous avez le un petite un petit regard entre 1973 et 2009 bah on

    Se trouvait déjà dans une condition dans laquelle on avait perdu 6000 hectares de prairie euh 1500 hectares de vasière et effectivement bah comme ça ne surprendra personne mais effectivement on avait on avait euh augmenter le milieux urbain et industriel aussi bien qu’effectivement les terre arable able

    Effectivement bah voilà il y a un besoin foncier très marqué et effectivement la dynamique n’a pas encore vraiment changer dans le dans les documents stratégiques euh il y a effectivement la la la question de de de des coût aussi associé à la restauration et effectivement on sait très bien que des

    Plus les milieux sont dégradés plus nécessite un effort euh inter terme de géncologique important et plus effectivement bah les coûts montent au bout d’un moment les coûts montent je jusqu’au point que parfois peuvent être limitant par la réalisation même des projets de restauration et c’est dans certains cas effectivement notamment

    Dans une présence de sols fortement pollué les coûts d’assainissement peuvent représenter en limite et autre point bah on a vu qu’elle est jusqu’à présent donc à partir des des années 2000 mais avant on avait pas forcément beaucoup de projets de restauration mais jusqu’à présent effectivement les mesures de restauration concerne de

    Petites surfaces et donc ne sont pas forcément une mesure de palier au au fonctionnement on né moins l’ampleur de dysfonctionnement au aux pertes en terme surfassique que je viens de vous montrer donc ceci il pose plusieurs question euh quand on réfléchit bah stratégie globale bah il faut déjà se demander bah est-ce

    Que c’est possible de mettre un acte en stratégie globale de la mettre en place quelles sont les surfaces disponibles pour la restauration comment hiérarchiser ces contraintes et comment identifier effectivement bah les opportunités de restauration et et ça c’est les questions qui nous ont mené effectivement à nous lancer dans ces

    Projets promesses euh qui effectivement bah essaie un peu de de de de de trouver des des des moyens d’arbitrer effectivement bah le le le compromis idéal entre les gains écologiqu et les contraintes effectivement quand on parle de opportunité bah l’idée c’est de pouvoir maximiser les gains écologiques

    Et bien sûr je sis entends là les services écosystémiqu annexe sous plusieurs points de vue mais peut-être que la diminution de l’inondation ça n sera qui sera les vient important pour la suite et de minimiser les contraintes avec un petit bonus euh bah il faudrait essayer dans un monde idéal de

    Transformer les contraintes en opportunité et notamment euh bah d’essayer par exemple de intégrer les changement climatiques la surmission et la rééation par exemple des zones d’expansion des EAU bah de les d’essayer de les transformer une opportunité pour propulser à la fois effectivement bah la protection des biens et des personnes à

    Euh au fonctionnement écologique comme ça peut être le cas effectivement pour ce petit exemple que je vous ai présenté ce travail nécessite effectivement de mettre en place des outils cartographique dédié qui nous permet effectivement de de de d’avoir un bon point de vue d’observation par rapport aux dynamiquees mais doivent

    Être surtout intégré on a vu queeffectivement on essaie de travailler de plus en plus sur des échelles larges à l’échelle de la vallée c’est un peu le le chift aussi dans dans nos projets qui passe du process à des typologies d’habitat et de serv qui sont associés

    En terme de voilà soit de de process effectivement par exemple bi biogochimique de capacité d’accueil et donc par contre faire ça nécessite euh de implémenter de façon effectivement intégrée différents aspects notamment bien sûr les caractéristiques physiques et chimique c’est que en réalité représente le biotope le sature

    Effectivement de de de le physiotope le sature de nos habitats euh les caractéristiques biécologiques comme par exemple ce projet comme c’est qu’on a qu’on vient de de qui vient de nous être présenté par Clémence Sébastien bah représente bien cette cette démarche donc effectivement arriver associer à des milieux bah des services

    Écosystémiques qui on puisse mesurer quion puisse quantifier qui puisse nous servir aussi pour nous projeter et pour poser essayer de d’avoir des objectifs plus long terme et après tout ceux qui représentent l’organisation du territoire et son son fonctionnement socio-économique dans lequel on peut mettre effectivement tout un panel d’

    Formation que malgré tout sont strctourantes puisqueeffectivement bah l’écologie par elle-même peut parler un certain nombre d’entre nous mais dans la réalité de fait il faut s’enfronter aussi avec la planification territoriale et donc on a essayé d’implémenter toutes ces informations euh dans notre système euh qui doit nous

    Permettre en fin de de de de faire des analyses multicritères qui doivent être un support euh à on est dans la décision et que donc de nous permettre de après de calibrer de choisir quels sont les les scénarios et quels sont effectivement les les meilleurs choix à faire euh donc l’idée c’est de

    Identifier des critères à la base des critères qui peuvent être basés sur des voilà sur des par exemple sur des aspects morphologiques donc sur la base effectivement des des différents objectifs écologiques qu’on qu’on veut se fixer et de la faisibilité comme je le disais donc essayer de arriver en

    Classification des contraintes qui nous permet après de crémer euh au fur et à mesure les sites qui sont trop compliqués pas intéressants de point de vue d’un point de vue restauration afin d’identifier à la fin des zones à forte potentiel de restauration euh or au-delà de de la des aspects

    Gmatiques est-ce qu’ on fait ce travail à l’échelle de parcell Maillé hexagonale rectangonale et quelle résolution on donne bah l’idée c’est d’arriver à avoir des scénarios dans lesquels effectivement on essaie de trouver ces compromis entre les gains écologiques et la faisibilité euh quand je dis gain écologique bah je pense par exemple à

    Bah plus les radation est forte et plus effectivement on a un gain écologique potentiel si on reconquérit ce milieu si on ronquér ce milieu et en terme de faisibilité c’est la même c’est un peu la même chose l’idée comme je vous ai dit avant c’est de trouver les

    Opportunités essayant de trouver un peu cette cette cet équilibre que après on peut concrétiser sous forme d’analyse des tradeoff dans lequel on pondère on hiérarchise les différents besoins pour essayer par exemple de d’arriver à trouver des stratégies communes par exemple on peut décider on veut minimiser les impacts sur l’économie du

    Territoire et donc effectivement bah on a un panel de choix euh dans lequel effectivement on peut avoir différents cas de figure avec des projets qui présentent un G écologique très fort mais une faisibilité moindre euh voire très FAI qui peut-être sont très compliqués à mener des projets qui au

    Contraire bah présentent un dégâ écologique plus faible notamment si on on on essaie d’améliorer la fonction de milieux qui sont déjà état naturel euh euh mais qui ont forte faisibilité et donc je vous présente ici un un des premiers tests qui on a fait avec avec érique mon collègue qui travaille avec

    Moi sur ce sujet dans lesquel on a commencé à à faire des tests pour effectivement voir si cette démarche pouvait pouvit aboutir à quelque chose son une démarche qui effectivement un travail qui qui est en cours et et qui a vocation à être en démarche itérative

    Donc l’idée c’est de mettre un outil en place qui puisse être interrogé et qui puisse être effectivement remémobilisé mais aussi richichi avec les nouvelles informations au fur et à mesure de temps euh ici nous avons fait euh le choix par exemple de répondre à des orientations repéère quel est euh quelles sont les

    Surfaces disponibles pour la récréation de mosaïque latéral et la reconnexion de préumide donc bah déjà on se concentrer sur le milieu de la plein louviale on a recherché afin d’avoir un scénario ce qu’on appelit le scénario B abordable donc avec un gain écologique qu’on peut considérer comme moindre puisqueon va

    Chercher des milieux qui sont sont déjà naturell mais on faisabilité forte on a cherché des zones qui sont déjà naturelles qui sont déjà dans les documents de planification afficher comme tel donc sont soit sont déjà naturels soit seront effectivement à reconvertir les naturel dans dans dans

    Un futur très proche après on a essayé d’éliminer tout euh ce qui pouvait entrer effectivement un conflit avec l’aménagement environnemental notamment tous les zones qui sont bâtis les zones qui présentent des infrastructures les prés les zones agricoles et après on est allé pour faire les encore plus simple

    Essayer de voir qu’est-ce qu’il y avait seulement dans le domaine public pour éviter effectivement de d’avoir aussi les problématiques liées à la nature foncière des parcelles et donc on a commencé à faire ce cet exercice donc euh on part avec effectivement la la on est crème déjà à l’échelle de la vallée

    Tous les milieux qui ne font pas partie de la plain allouviale on va chercher pour la suite tous les zones naturelles donc comme je vous ai dit tous ceux qui relèvent effectivement des documents de planification euh on va enlever dans ces zones t ceux qui est qui n’est pas naturel et qui

    Effectivement on a enlevé tout ce qui est bâti infrastructure surface agricole et on arrive enfin à une surface approximative de 5000 hectares dans lesquel effectivement on a seulement les parcelles qui sont sous domaine sous domaine public ce qui devrait représenter quand même certain certain facilité de réalisation puisque il y

    Aurait des concertations moindre à faire je dis pas qu’il y en aurait pas bien sûr euh on arrive comme ça à h on quand on croit ça avec le mot d’ocoupation de sol bah on a effectivement bah différents milieux naturel H avec des surfaces qui sont relativement importantes quand même à l’échelle de

    L’Estoire par contre euh on peut aller plus loin et on pourrait par exemple commment ça identifier aussi quels sont les secteurs dans lesquels effectivement on a de la pollution on a mentionné la pollution comme étant peut-être un site un problème à l’échelle du site pour ce

    Qui concerne la faisibilité de la de la de la mesure et donc on pourrait ultérieurement écrémer après ces surfaces et après on a le petit bonus comme je vous ai dit avant bah bonus une perspective changement climatique et par exemple ici on a fait l’exercice d’utiliser le T5 JeanPhilippe il a il a

    Bien détaillé avant qu’est-ce que ça veut dire derrière mais effectivement voir comment euh par exemple le le changement climatique pourrait impacter ces surfaces et donc on a vu que par exemple euh dans les zones potentiellement inondables par débordement nous avons déjà 6000 hactares de pré naturel 2000 hactares des zones agricoles d’ailleurs petit

    Petit point dans les documents de planification on a des zones urbanisées qui tombent dans les zones inondable T5 statistique c’est qui comme on a vu avant ben ne nous dit pas grandchose pourrait devenir le T1 dans un future très proche ce qui pose effectivement des questions et que peut-être déjà

    Représente en fin des opportunités puisque quand je vois effectivement tous Cees sites là euh sur en prise inondation bah déjà ça ça peut faire réfléchir sous comment se projeter pour effectivement ronquérir une partie de C de ces de ces informations là mais on peut effectivement y mettre plein de

    Choses par exemple on parlera ici dans la dans la foulée de de Berg effectivement autre factur extrêmement structurant au vu des dysfonctionnement qui sont engendrés effectivement par la déconnexion li mineur li majeur sont les berges euh on peut effectivement voir pour la suite avec par exemple des

    Projets comme Atlantis bah quel est la positionnement et la surface des zones d’expansion des eau et donc effectivement avoir aussi d’autres billes qui nous éisent sur comment choisir nos sites comme les prioriser l’intensité de fonctions par exemple dans différents types de milieux cette approche effectivement euh à l’échelle

    De la vallée bien que puisse ser des incertitudes derrière comme Sébastien cléence nous a montré mais peut effectivement nous apporter des billes à large échelle et après effectivement avoir aussi une approche perspective avec bah les évolutions des habitats du lit mineur et et éventuellement du lit majeur donc euh bah nous essayons

    Effectivement de mettre de de faire de rendre honneur à tout l’information scientifique que nous avons en essayons de l’intégrer quelque part dans nos outils décisionnels de la décision reste le fait que que que la restauration et une opportunité de développement territorial mais quand même doit être amorcé politiquement effectivement c’est c’est c’est c’est

    Nécessaire ça et et ces politiques ont besoin de s’appuyer sur des outils euh sur des outils intégrés qui puissent prendre en compte effectivement le plus large panel possible je sais pas si on arrivera à l’exhaustivité mais les plus larges panel possible euh bah de de d’aspects qui caractérisent la structure

    De territoire et qui ne sont pas forcément strictement euh de nature écologique euh donc l’idée c’est de mettre en place cet outil euh qui se nourrira au fur et à mesure donc l’idée c’est de le mettre en place surous les long terme euh et et d’avoir un outil qui soit

    Itératif évolutif donc fournir des support cartographiques qui puisse servir comme support de concertation et qu’il faut bien sûr faire évoluer sur la base des attentes des acteurs c’est-à-dire que ces cartesl ne font pas loi il faut les discuter avec les acturs il faut les changer il faut les modifier

    Sur la base des attentes et après il y a une autre chose effectivement puisque bah la robustesse de des informations que que que l’on a euh issu de cette carte bah dépend Forté de la résolution des données d’entrée et donc effectivement il faut continuer à s’efforcer d’avoir des données de

    Qualité à pouvoir intégrer dans dans ce type de système je vous remercie et et donc vu ce que je dis et et vu effectivement l’intérêt que nous portons pour pour effectivement le la les Berg et notamment cette connexion entre l’ mineur et l’ majeur euh on a lancé

    Effectivement un projet euh c’est le chemme environnemental des berges qui donc dont manuel mtenant nous nous parlera euh et qui effectivement nous renseigne un peu sur l’état des berges en histoire de [Applaudissements] scène merci manuel euh je vais vous parler un petit peu de de d’un groupe d’études qu’on a mené sur

    La vallée de la scène euh concernant des diagnostics de l’État environnemental desberges et les propositions de restauration qui qui qui peuvent être fait à partir de ces études alors euh le début de nos aventures on a commencé en Île-de-France sur le le linéaire navigable en île-de-fance de la

    Scinene de la Marne et de l’Oise euh avec beaucoup de beaucoup d’enjeux liés à l’artifici l’artificialisation des berges notamment autour de Paris euh donc donc on a on a construit en fait une méthodologie euh adaptée à à ces enjeux là et surtout adapté euh au au fait qu’on on devait couvrir un très

    Grand linéaire et de façon homogène et et avec une méthode réplicable donc ça on avait fait ça en 2012 après 3 ans de travaux euh et donc ce ce diagnosti et les propositions de restauration d’éberges de de de ce linéaire on servit au schéma régional de cohérence

    Écologique en Île-de-France et puis on a eu une deuxième séquence de travaux euh en partenariat avec le GIPS naval et avec le consortium scientifique du programme consacre qui nous a mené en dehors de l’Île-de-France et nous commencé à nous rapprocher de l’estuire mais voilà on était encore en amont de pause

    Euh ce qui nous a permis déjà de de d’adapter certaines choses dans notre méthodologie à des contextes plus naturels avec des îles avec beaucoup d’embacles et avec des continuités écologiques euh plus on va dire plus plus fourni quoi là maintenant actuellement on relève un nouveau défi c’est celui d’adapter ses méthodologies

    À l’estuire de la scène euh avec un double intérêt c’est que on capitalise sur une expérience précédente et donc euh avec des méthodes qui permettent d’avoir une une enfin une information comparable sur tout le linéaire qui sera qui sera euh étudier euh mais avec euh avec l’aide du zips naval pour euh

    Faire évoluer la méthodologie et l’adapter à l’estuire et notamment donc euh prendre en compte la zone intertidale et tous les enjeux qui sont liés à la connaissance de cette zone donc là en fait ce qu’il y a dans dans les images d’illustration c’est simplement pour vous raconter un petit

    Peu euh euh les étapes principales euh d’une étude qui qui aboutit à la réalisation d’un d’un schéma environnemental d’berges tout commence en fait par une prise de vue systématique à haute fréquence donc on a des appareils qui sont dédiés à ça euh qui sont développés par la société

    Imergis ça s’appelle des imag box dans dans ce que vous voyez à l’image euh qui sont bien pratiques mais qui ont leur limite c’est-à-dire que ça a été euh ça a été développé ces outils pour euh des rivières où on peut s’approcher très facilement euh de la berge donc on a

    Adopté notre notre stratégie de de prise de vue avec un réflexe pour pouvoir zoomer mieux et puis en le réglant après des après des des essais qu’on a mené avec le gipsé naval pour avoir une cadence satisfaisante qui permet d’avoir une prise de vue systématique latérale

    De la berge qui va être utilisé après en photoinprétation en couplage avec des des orthophotos et qui permet de détailler très précisément la structure de la berge les aménagements euh les pentes les usages et cetera donc ce travail de photointerprétation en fait c’est le gros du travail c’est

    Celui qui prend le plus de temps c’est celui qu’il faut arriver à calibrer le mieux possible pour pouvoir disposer d’une base de données complète qui va renseigner donc tous les éléments et bien d’autres mais tous les éléments que vous voyez en photo donc tronçon par tronçon homogène et

    Puis les points intéressants pour la végétation les points d’érosion les points d’usage qui apport des contraintes et après en fait on va avoir un travail euh qui va consister à utiliser cette photoinprétation brut pour créer des indicateurs synthétiques et voilà et donc ça c’est c’est quelque chose qu’on

    Code de façon systématique pour avoir un un rendu homogène qui permet de produire les cartes qui qui qui qui constituent en fait le le schéma envirental des berges dans dans son ensemble voilà donc toutes ces cartes là en fait elles sont disponibles pour les phases précédente

    Sur le site du JEPS naaval et sur le site de l’Institut Paris Région et évidemment ce qu’on va produire avec le VIP sur l’estware sera également disponible sur les mêmes sites merci manuel euh donc on comprend bien donc c’est la nécessité de faire cette première phase un peu de

    Diagnosticque hein de de poser un petit peu tout l’existant et la variabilité aussi de toutes ces aménagements de berge euh maintenant la la question c’est bah qu’est-ce qu’on peut faire aussi comme type d’aménagement qui pourrait augmenter cette ce potentiel écologique de ces milieux rivulaires et donc bah Fabrice on va te passer la

    Parole pour présenter le projet sur le site de portjérôme et qui concerne aussi les les prairies humides oui al on va on va revenir à une échelle en fait en fait plus local l’idée c’estit aussi un peu d’accompagner en fait localement les projets de restauration donc là on est un petit peu

    Dans les retours d’expérience 3 de Rex donc on va être sur des surfaces plus petites on revient à l’échelle en fait de la parcelle mais on va voir que ça peut ouvrir des possibilités donc là on est en fait on a été sollicité notamment 2022 au niveau du

    Laboratoire en fait egodiv par un consortium qui existait déjà he qui était lié en fait à la compensation enfin au contexte de compensation de port Jérôme 2 euh avec comme partenaire notamment donc au saagloot euh la Chambre d’Agriculture l’adral ainsi aussi qui un autre organisme qui

    Avait été mis dans la Bou qui est le le le Parc Naturel Régional des Boucles de la S normande qui était aussi qui a fait l’objet de qui a participé à des réunions en fait au départ notamment et l’idée qui est ressortie en fait de leur réflexion c’était de regarder comment en

    Fait la restauration écologique pouvait s’inscrire dans un contexte en fait de restauration et comment éventuellement nous en tant que scientifique on pouvait l’accompagner donc on on leur a proposé de monter en fait un un dispositif expérimental institu he que vous voyez là qui est tout simple alors le site se

    Situe entre pour ceux qui ne connaîtraient pas entre entre Port-Jérôme en fait à l’ouest de Port-Jérôme donc de Port-Jérôme 1 et puis entre le pont de Tancarville donc c’est vraiment la zone d de port Jérôme i euh et là en fait on a on a sélectionné des parcelles alors l’idée

    De départ c’était il y avait une contrainte enfin une contrainte qui était il y a oui une contrainte qui nous a été posée c’est que cosenaglo qui était propriétaire des terrains euh souhaitait en fait maintenir une activité agricole alors il y a un verrou que tout le monde je pense connaît hein

    Quand vous dites un agriculteur qui a une culture tous les ans vous allez remettre en prairie il y a blocage on va être clair euh bon ce qui se comprend aussi hein euh donc du coup on a été un petit peu plus loin que ça on a discuté

    Avec les agriculteurs de cosocénaglo on a fait des visites de terrain tout ça et on on a essayé de trouver un compromis c’est mon côté suisse euh on a essayé de trouver un compromis en disant bah vous parce qu’il y a déjà des essais de remise en prairie ont eu lieu hein pour

    En rediscuter euh on va vous proposer de remettre en prairie permanente mais pour avoir notamment une une vision peut-être économique que nous on n’ pas vis-à-vis du monde agricole on on on va essayer de de aussi de remettre des prairies temporaires euh où vous pouvez en gros

    Maintenir en fait un système de culture euh donc les prairies permanentes on a pris la définition européenne he c’estàd c’est plus plus de 5 ans en prairie ça devient une prairie permanente et puis les prairies temporaires là on est parti plutôt sur une rotation de 4 ans en fait

    De préie temporaire et 2 ans en fait de culture l’idée euh qui est derrière ça est de savoir si en donc les terrains qui vont être remis en en en prairie sont à l’heure actuelle plutôt des monocultures en fait de maïs intensive qui vous sont indiqués sur le schéma qui

    Est derrière moi là plutôt en blanc les trois carrés blancs donc soit on remet en prairie donc il y aura trois parcelles remises en prairie permanente à partir de l’année prochaine et puis trois en prairie temporaire et on va comparer à des systèmes actuels en fait qui

    Sont donc existent donc on aura un témoin qui sera aussi constitué de trois parcelles en maïs des témoins en prairie de fauche et des témoins en prairie paturé donc l’idée qui est derrière c’est plutôt de suivre en terme de biodiversité les aspects en fait communauté végétale au niveau des fonctions de

    Suivre d’estimer en fait les stocks et de faire un suivi en fait dynamique des stocks ou du restockage euh et puis de regarder à nétrification potentielle sachant qu’à l’heure actuelle au niveau bioindicateur il y a une il y a une discussion qui est menée entre cenaglo l’adreal et d’autres partenaires pour

    Éventuellement aller vers d’autres indicateurs oiseau amphibien et cetera alors le gros avantage que moi scientifique en fait je vois c’est qu’on parle en fait de système en maïs et que pour par exemple la fonction de stockage de carbone c’est des plantes en fait en C4 donc on pas la

    Même photosynthèse que les plantes en C3 3 donc là le gros avantage qu’on peut avoir à faire ça c’est en fait de pouvoir suivre la dynamique de reconstitution hein puisque les plantes en C4 vont marquer la matière organique qui est dans le sol si là on arrête le

    Maïs qui est qui s’intègre au sol par les culture ou les racines qui restent en fait sur place on pourra voir progressivement comment les plantes en C3 lié en fait à la prairie vont remplacer en fait les plantes en C4 ce qui permettrait de là de quantifier en

    Fait une durée au bout d’un moment on pourra dire à titre d’exemple bah voilà il y a 30 % de votre maïs au bout de tant de temps qui a été remplacé en fait par la prairie et d’arriver peut-être à une on l’espère mais bon là ça va être

    L’idée c’est de pouvoir arriver à dire qu’ maïs est totalement en fait remplacé de dire bah là ça y est on a vraiment une prairie est-ce que les critères écologiques qui vont avec nous indiquent que c’est une prairie permanente telle qu’on la souhaiterait voilà donc il y a

    Une alors je sais pas si vous avez remis l’autre diapo peut-être non voilà il il y a une il y a un suivi qui a été fait parce que moi en tant que scientifique j’avais un peu peur que vous savez comment ça se passe he on n’est pas sûr

    En fait des parcelles donc on a fait quand même une validation c’est cette année par un stage qui a été de Master qui a été financé par le Jeep pour regarder au moins al là c’était très j’étais un peu perso au moins si au niveau des stocks ça fonctionnait

    C’est-à-dire au moins qu’on était sûr que depuis la remise en maïs on avait déjà des cultures de maïs qui étaient en théorie plus basse en terme de stock donc là vous avez un graphique en fait sur la sur le le graphique en fait qui est pardon ici là qui est en fait plutôt

    Sur le 0,60 et le graphique qui est ici en fait qui est plutôt sur le euh 0,30 cm avec un rappel dans le petit encart là des résultats que l’ADEM a obtenu au niveau en fait national et on voit effectivement ce qui est rassurant que

    Bah dans le maïs on a en fait des différences de stock hein on est à peu près sur 60 cm à 150 tonnes hectar dans les prairies on est à peu près à 180 tonnes heectares et puis quand vous descendez on maintient cette tendance là

    Sur le 0,30 où on est à peu près à 90 tonnes heectar dans le 0,30 donc la partie labourée historiquement au niveau des maïs et puis dans les prairie on est passé on est aux un de 120 tonnes et quand on regarde en fait les chiffres de

    Laaden donc le carré que qui est entouré effectivement on est à 125 tonnes hectares en fait dans les prairies donc ça veut dire que le dispositif en fait pourrait bien partir là-dessus on est rassuré et la perspective c’est un un projet qui est en cours de montage en

    Fait avec le le GIPSA à l’heure actuelle on est en discussion pour éventuellement euh compléter cette approche à l’échelle parcelle pour justement augmenter en fait l’échelle de prospection à l’échelle de l’estuaire et d’essayer de prospecter pour mettre plutôt dans les prairies permanentes plutôt de prospecter un réseau de parcell sur un

    Gradient à la fois d’entrropisation et un gradient d’inondation euh pour avoir si vous voulez une sorte d’index puisque les problèmes de en terme de restauration souvent c’est le problème du suivi aussi he qui se fait sur du court terme là c’est 3 ans au bout de 3 ans je pense pas qu’on aura

    Restocké en fait beaucoup de carbone euh et si ça si on a des valeurs importantes sera surtout en fait en surface donc ça serait pouvoir de disposer de de pouvoir disposer pour les gens qui sont maîtres d’œuvre sur des projets de restauration au cours des des premières années et qui

    Souhait restaurer en fait des prairies inondables d’avoir au moins en fait les valeurs de biodiversité et de de de stock de carbone et de dénétrification voilà c’est un peu l’idée merci Fabrice tu as parlé de gradient euh quelle belle transition pour effectivement la la présentation de

    Projet RIL pour Nils on a parlé beaucoup de gradient bah de comment les gradients structurent effectivement bah le fonctionnement en fin de de des milieu de l’Estoire un histoire qui effectivement c’est surtout autour de gradient logitudino transversau et dans le projet que Nils va nous présenter effectivement on s’attaque à à

    La connexion entre les mineur et effectivement les parties de liur de li maageur désolé euh et notamment à travers à travers langanguille on parle ouais ouais ben j’enchaîne merci Manu euh oui donc le projet ruil donc on va rester aussi sur les milieux latéraux mais là plus sur le le volet

    Poisson avec le prisme de langanguille du coup une espèce migratrice donc un cycle de vie assez singulier et à l’arrivée dans les milieux continentaux en fait elle va avoir aussi une très forte plasticité ce qui fait qu’on va pouvoir la retrouver à la fois dans le

    Lit majeur mais aussi dans dans le lit mineur au niveau des habitats latéraux et ce sur l’ensemble du gradient estuarien donc un modèle assez intéressant pour voir un petit peu les les fonctionnalités d’utilisation des habitats à latéraux par les poissons euh le projet RIL en fait fait suite à une

    Première étape qui a été réalisée l’année dernière qui était en fait une étape de synthèse bibliographique en fait un état de l’art des des états des des connaissances en fait qu’on pourra avir sur sur l’anguille sur le bassin de de la scène et qui a mis en évidence en

    Fait que on avait relativement bonne connaissance de de la la répartition sur le lit majeur sur les principaux affluents mais finalement sur les habitats latéraux on a assez peu de données et assez peu de données aussi sur l’écologie en général de l’anguille dans ces milieux estuéiens en général et

    Aussi sur sur le bassin de scne plus particulièrement alors le projet qui est proposé dans le cadre du programme RIL donc qui vise à renforcer les connaissances sur l’anguille européenne au service de la restauration des habitats de l’estuire de Scine il a pour vocation logiquement à à être initié au

    Cours de l’année prochaine et et se décompose en deux volets un premier volet qui est qui a pour but d’avoir une vision assez large en fait à l’échelle de du bassin de de de l’estuaire de scène globalement l’idée c’est de comprendre un petit peu mieux comment l’anguille se réparti sur les

    Habitats latéraux comment elle utilise ses habitats latéraux pour sa croissance et essayer d’évaluer un petit peu la qualité des différents types d’habitat qu’on va pouvoir retrouver sur ce bassin donc donc ça c’est une vision relativement large échelle pour ce qui est du premier volet et le second que je

    Présenterai pas ici hein que je détaillerai pas et un second volet qui est qui a pour but d’apporter une vision avec à une échelle spatio-temporelle beaucoup plus fine parce que là l’idée c’est de se focaliser sur des sites ateliers qui ont des qui ont des intérêts écologiques

    Majeurs donc là je vous ai présenté un un site qui sera vemblablement étudié qui est la réserve naturelle de de l’estuaire de de Scine mais il y a d’autres sites aussi qui sont en cours de réflexion notamment le Maré Vernier euh mais le site de la réserve en fait

    On on a déjà entendu parler beaucoup hier aujourd’hui donc il présente des intérêts forts d’un point de vue des enjeux écologiques parce que il notamment au niveau des fonctionnalité pour les poissons euh et il a des structures avec des des côtés handigués non handigués donc avec une une gestion hydraulique assez

    Particulière et et gérée par l’homme pour différents enjeux et ça ça peut également avoir une influence aussi sur la répartition des poissons et l’utilisation des habitats latéraux donc pour acquérir de la donnée l’idée ça va être d’avoir une approche en télémétrie acoustique des anguilles qui permet d’avoir des données F échelle l’idée

    C’est tout simplement de capturer les anguilles de mettre un émetteur dans l’anguille qui va ensuite émettre un signal acoustique qui peut ensuite être détecté par les par des hydrophones donc des hydrophones qui sont des récepteur en fait qu’on va placer à différents endroits du de de la Réserve Naturelle

    Là donc à différents nœuds hydrographiques de manière à pouvoir compartimenter un petit peu le le les différents secteur hydrographique de la réserve et identifier caractériser en fait les mouvements de l’anguille et l’utilisation de la réserve par les anguilles donc on aura de l’information sur la mobilité des anguilles et quelle

    Zones spatiales elles vont utiliser l’idée derrière ça va être tout simplement de pouvoir déjà avoir une approche descriptive pour pouvoir décrire dans quelle mesure les quelle est la dynamique de mobilité et d’utilisation des habitats à différentes échelles temporelles que ce soit à l’échelle saisonnière mais aussi à des

    Échelle plus F notamment quelle est la mobilité de l’anguille en fonction des cycles niééau des cycltiau et cetera est-ce qu’elle a des moments dans l’année où à à certaines phases où elle va avoir des comportements exploratoires plus marqués et plus finement en fait on va avoir donc à la fois des informations

    Sur la mobilité des individus dans le système mais aussi sur les conditions environnemental qu’elle va pouvoir rencontrer donc en terme de niveau d’eau de manœuvre de Van donc là avec des des liens directs avec la gestion mais indirectement aussi l’influence de la température et cetera et on va pouvoir

    Mettre en lien justement le comportement des anguilles avec ces variables environnemental l’idée derrière ça c’est bien d’arriver à apporter des éléments pour pouvoir accompagner en fait la gestion euh du de ces réseaux de fossée de ces réseaux de Maré en faveur de langanguille pour sa période de croissance donc on va pouvoir identifier

    Notamment tout ce qui est période clé euh dans l’utilisation de ces habitats des périodes clé au cours desquelles il devrait y avoir une nécessité de restauration de la continuité écologique ou encore identifier des points limites de favorabilité hein est-ce que en dessous d’un certain niveau d’eau on a

    Des on a de de l’échappement d’angui est-ce que ça devient le milieu devient défavorable pour le pour les poissons l’idée c’est d’observer un petit peu ces différents points limites qui puissent derrière fournir des clés pour la gestion de cette espèce dans les milieux latéraux merci Nils j’ouvre les questions moment question de

    La part de la salle vous avez des questions concernant ce qui était dit il a plieurs merci euh moi j’avais une question à Nils du coup par rapport aux anguilles est-ce que nous on étudie dans projet par exemple Everest on va étudier les vasières la restauration de enfin fonctionnalités écologiques de vasièr

    Par rapport au biofilm de microfyobentos et tout ça est-ce qu’il peut y avoir un lien et quel est l’habitat en fait optimum pour les Anguis est-ce que est-ce que ces types de vasières peuvent être favorables ou pas ça peut être des milieux sur lesquels on va les retrouver

    Ben justement c’est c’est c’est ça sera aussi un petit peu la la la question du premier volet he l’idée là du je l’ai pas présenté ici mais l’idée du premier volet ça serait d’avoir un un échantillonnage accès assez exhaustif des différents types d’habitat qu’on peut retrouver à la fois sur le gradient

    Longitudinal donc le long du gradient salin mais aussi du gradient latéral donc on va on va all échantillonner sur des vasières sur des filandres également sur des fossées sur des mars ou ouou mettre à profit des données existantes aussi sur des affluents et l’idée c’est bien d’avoir cette approche comparative

    Entre les habitats pour pouvoir identifier quelles sont les zones qui potentiellement sont les plus favorables euh pour la croissance et puis derrière aussi pour pour pour la constru la construction des réserves énergétiques de de l’individu quoi mais potentiellement il y a peut-être des points à faire justement en terme de

    Lien entre productivité des milieux et caractéristiques justement des des des poissons sur lesquels on va les capturer ou euh moi j’avais une une question sur le concept de des prairies temporaires euh donc si j’ai bien compris c’est en en en changement avec avec de l’agriculture et est-ce qu’il y a des

    Des règles de jeu pour l’agriculture en en application de de phytosanitaire et cetera est-ce que c’est considéré alors ce qui a été discuté avec les agriculteurs qui vont participer c’est qu’ soit en agriculture de conservation donc réduction en fait du travail du sol et des intrants mais autorisation de

    Fumier au moment de la mise en culture ok merci moi j’ai une question sur les indicateurs car vous évoquez les oiseaux les batraciens mais donc je me demande si on ne néglige pas une fois de plus les insectes et les micro-organismes du sol euh faute de de

    Gens qui soient vraiment pointus sur la question mais euh est-ce qu’on ne se prive pas de d’informations qui sont là vraiment pertinentes car euh on s’aperçoit là où on peut euh du du lien entre euh euh fleur végétaux et cetera polinisateur et cetera bon et tout cela euh bon ça ça

    Donne par ailleurs des informations qui sont euh extrêmement importantes et intéressante donc voilà ou oui non mais il y a pas de souci surtout vous parlez à un pédologue donc tout ce qui est faute du sol ça ça va ça va être pris en compte en fait le le là j’ai cité en

    Fait les les les principaux groupes qui ont été évoqués mais on a évoqué ça en fait avec cenaglo parce que il y a en un des plans de gestion en fait qui vont être mis en place pour la zone là je maîtrise pas tout encore donc en fait il

    Y aura discussion probablement avec les bureaux d’études qu’est-ce qu’ils vont suivre exactement à quelle échéance comment ils vont suivre pour qu’on puisse compléter éventuellement par les groupes qui manqueraient mais vous avez tout à fait raison sans doute ça sera la faune du sol donc nous on pourra

    Regarder dans notre labo on a les compétences pour le faire après faut que j’intéresse les enfin avec Estelle qu’on intéresse les collègues mais normalement oui ça ça pourrait ça pourraittre faire après c’est un problème vraiment de transfert d’échelle parce que la zone que nous on prospecte en fait c’est

    Vraiment quelques parcelles par rapport à toute la zone qui est concernée en fait par la compensation donc ouais juste un petit complément d’Arnaud qui se coupe à Adal de ce dossier merci manuel Arnaud Diara chargé de mission du coup à l’adreal Normandie j’ai du coup j’ai la chance de

    Collaborer avec le monde scientifique sur ce dossier de por Jérôme alors oui monsieur Barbet c’est prévu d’étudier la faune du sol donc ces protocoles sont pas complètement définis mais en gros c’est les les vers de terre et puis le enfin voilà ces types de micro-organisme qui qui représente la richesse

    Biologique du sol voilà j’ai pas envie de me tromper parce que c’est pas moi qui qui le faire directement et simplement aussi quelques précisions sur le contexte de cette expérimentation il y a pas de règle qui est proposée ou de doctrine qui dirait aujourd’hui que sur une mesure compensatoire on peut faire

    De la culture le le but c’est justement d’essayer d’étudier ces possibilités parce que comme on l’a vu ce matin il y a beaucoup de pression foncière sur sur l’estuire et finalement autant pour les aménagements que pour les les choses qui nous intéressent en mesure de restauration le monde agricole est

    Impacté et du coup une demande de leur part exprimé à plein d’occasions et notamment dans le cadre du projet repè c’était de euh d’avancer sur ces questionslà puisques sont persuadé que il y a des possibilités de de mener à la fois des cultures et de d’avoir des

    Objectifs écologiques donc là on a eu l’occasion dans dans le cadre de ces mesures compensatoires de lancer un projet en ce sens-là c’est bien une expérimentation euh pour répondre à je suis désolé j’ai oublié le nom de l’intervenante mais à la dame qui a posé la question les conditions d’entrée

    C’est effectiv Z0 in Tran des techniques avec très peu de labour et l’idée là c’est de d’avoir un roulement prairie avec ce type de culture de voir ce que ça donne côté fonctionnement écologique de voir aussi ce que ça donne côté agronomique et si jamais les deux réponses sont favorables voilà là on

    Pourra imaginer des opportunités pour faire une combinaison des deux mais mais si jamais c’était pas forvorable notamment sur le côté écologique on n’aurait pas de suite à donner sur des mesures compensatoires qui accepteraient de la culture mesure compensateur de restauration de préumide qui accepterait de la culture voilà

    Oui moi j’aimerais remre à moi du lesésu j’aimerais revenir sur les les anguilles et euh je me demandais si vous avez prévu d’investiguer les réseaux d’assainissement parce que je pense en particulier au Cai où j’ai pu assister à malonner à un curage de réseau de la

    Part de suè et ça grouillait de Civel là-dedans et dans les filets antimacréchet qui sont installés l’exutoire des réseaux on retrouve aussi des anguilles alors parfois elles sont vivantes on peut les rejeter et parfois c’est trop tard ouais pour l’instant en fait les le design d’échantillonnage a pas encore

    Été défini et et l’idée là c’est vraiment comme je le disais de y il y a 2 minutes de ventiler relativement large donc de reprendre un petit peu toute la structure du réseau hydrographique et tout ce qui est réseau d’assaainissement en fait bah c’est vrai qu’on s’est posé

    La question et possiblement ça ça vaut peut-être le coup d’aller mettre deux trois points de prélèvement justement sur ces milieux là de manière à avoir aussi des éléments de comparaison avec des des structures un petit peu plus entropique donc pourquoi pas mais je pense que ça c’est des c’est une

    Réflexion qui sera qui sera menée au lancement du projet justement pour définir quels sont réellement les habitats et leur diversité qu’on qu’on va qu’on va pouvoir investiguer quoi n reste le temps pour une dernière intervention c’est pour Clémence merci Nicolas euh moi j’ai une question pour les données de prairie euh

    C’était pour savoir d’où venaient les informations de gestion paturé permanente temporaire et cetera et savoir si elles étaient Open Source euh non elles viennent simplement la discussion sur le terrain en fait avec les agriculteurs et la connaissance qu’avec auocagloot en fait des de ce qui s’est fait dans les prairies mais c’est

    Même pour nous hein c’est une information qui est pas simple à avoir et du coup est-ce qu’on pourrait la récupérer ah oui oui oui il y a pas de souci oui pour dernière question il y a quelqu’un qui merci je c’était plusun c’est pour ça oui sur la problématique de Lang

    Européenne est-ce qu’il est prévu de mesurer ou de détecter les anguilles en amont du barrage de pose il se trouve que bon les anguilles dans les suè de la scène une grande partie est résidente ou résidante dans les affluents ou potentiellement résidente en fonction des ouvertures latérales mais une grosse

    Partie du stock qui migre qui remonte va vers des affluents qui se se situe en amont de de ce barrage donc moi il me paraît indispensable d’avoir une image de ce qui des anguilles qui ne font que passer dans l’estuaire et qui vont vers les affluents àontt de ce barrage euh

    Oui oui non c’est c’est sûr que si on regarde le stock d’angille à l’échelle du bassin de la seène on a on n pas forcément une une très bonne idée de ce qui est présent sur la zone estuairienne et c’est c’est c’est bien là le le souci

    C’est qu’en fait on a on a un flou de de l’utilisation des des habitats latéraux sur sur l’estuire de vraiment au niveau de la zone estuairienne et et et c’est pour ça qu’en fait du coup le le le point focal sera mis sur la zone vraiment tidale donc il est pas prévu

    D’aller dans le projet en amont de pause par contre il y a il y a par des suivis hein qui qui sont qui sont mis en place notamment sur lesestuur de de pause he par par par ces normesig qui permettent d’évaluer un petit peu les les remontées

    De Civel au droit de l’ouvrage et qui nous donne une idée en tout cas de des abondances qui peuvent remonter sur sur ce Sitel mais malheureusement oui on pourra pas échantillonner sur l’ensemble de du linéaire donc on se focalise essentiellement sur les habitats latéraux de la partie estuarienne la dernière dernière petite

    Euh donc mon intervention elle porte essentiellement en fait sur le projet qui a été présenté au niveau de portgérô en compensation en fait de des projets industriels qui sont en cours donc c’est-à-dire il y a quatre sites qui concernent en fait le futur projet isman futtero ainsi que celui qui

    Est en cours de d’usine de production d’hydrogène Air Liquide et j’oublie le le 4e est-ce que cela nous renvoie pas encore un peu à ce que Alex Romana a dit la tyrannie des petits projets sachant qu’en fait la zone qui a été indiquée est une zone qui est déjà

    Assez on va dire préservée puisque majoritairement c’est des terrains qui sont déjà en prairie et ensuite j’interroge aussi sur la question en fait de la connexion avec la scène parce que ce secteurlà va se retrouvé globalement assez déconnecté par rapport au fleuve puisque juste devant devant la zone qui a été pointé

    En fait il n’y aura plus que des sites soit industriels soit d’entreposage merci oui on est oui on est derrière en fait la enfin la partie qui concerne la partie le site expérimental qu’on monte est en et derrière en fait ce qui est prévu comme nouvel aménagement en extension

    Effectivement par contre après bah là moi je vous dirais oui oui par contre sur la zone qu’on a on a quand même beaucoup de de systèmes en fait cultivés en maïs il y a une bonne partie on est on n’est pas sur les terrains on prend en fait des terrains qui étaient en

    Prairie permanente fauché paturé comme justement comme témoin c’est aussi l’intérêt de cette zone là et justement le questionnement vous vous posez bah on l’a avec le le GEP c’est effectivement moi je reconnais que c’est un petit projet et l’idée qui est derrière c’est de fournir alors surtout pour des

    Données peut-être plus parce que je pense qu’en en diversité en fait par exemple végétal on a déjà pas mal d’informations mais faut faut suivre après la dynamique sur le court terme et tous les projets de restauration souvent on manque de de de on va dire d’écosystème objectif en

    Fait à atteindre et là le gros avantag c’est qu’on peut en plus combiner au niveau scientifique l’intérêt de si on parle de la fonction de stockage euh on on pourra suivre en fait une dynamique et mettre en fait des vitesses puisqu’on est quand même dans des zones

    Au niveau sol et stockage de carbone qui sont déjà très riches en stock hein les stocks qu’on a sont très importants par rapport à d’autres cultures qui tournent plutôt en France auentour de intensif qui tour de 50 tonnes hectar les prairies hors zone humide c’est plutôt

    80 hectares là déjà en en en système maïs on est largement au-dessus de ça donc il y a déjà un stock qui a préservé alors après il y a plein de question mais je suis tout à fait d’accord avec vous mais c’est pour ça que nous on a

    Été sollicité pour avoir en fait des réponses quantifiées en fait à tout ça après nous on doit apporter des réponses quantifiées avec des chiffres après il y a une prise de décision qui se fait par les voies classiques de consensus et est-ce qu’il faut le faire pas le faire

    Et cetera mais là à l’heure actuelle on manque on manque de de verrou sur les aspects notamment stockage de carbone ou capacité d’érification ou retour d’une biodiversité est-ce que c’est celle qu’on veut pas celle qu’on veut est-ce qu’elle est intéressante donc moi mon rôle de de scientifique il est de le

    Tester en mettant en place en fait un dispositif en terme d’échantillonnage qui sera le plus convaincant possible pour tout le monde qui ne devra pas être mis en cause et après les résultats sont fournis et après on décide de ce qu’on fait mais ça reste quand même sur la

    Restauration ça va être un projet de 3 ans donc c’est pour ça qu’il y a il y a aussi cette on a en discussion un petit peu là-dessus avec le Jeep et puis l’adreal qui sont comment on fait pour suivre aussi ces projets là sur le long

    Terme ne serait-ce que pour nous hein mais moi je pense qu’à moi là enfin je m’entends en terme de financement parce qu’ un projet de restauration sur 3 ans quand on sait à l’heure actuelle en restauration qu’on ne retrouve jamais les écosystèmes qu’on veut et on sait

    Que alors on retrouve très vite la la composition végétale par exemple puisque moi j’ai travaillé sur d’autres systèmes totalement différents qui sont la STEP de laacro donc là c’est un système très sec on retrouve assez rapidement la composition floristique si les flux d’espèces sont on a jamais la structure

    Donc pour la structure faut par exemple dans ces pr là faut absolument réinttroduire du pâurage ou de la fource qui va guider donc il y a tout ça or là sur le premier temps le le système le dispositif expérimental les prairies vont être remis en enfin les cultures

    Vont être remises en prairie au printemps prochain donc si si le financement est concrétisé si en fait on a les les ressources humaines pour pour faire le travail qu’on a qu’on est en train de de de planifier euh bah il y aura il y aura un an de suivi 2 ans de

    Suivi donc l’intérêt c’est pour ça aussi que dans le projet qui a été présenté il y a cette idée de d’aller plus loin en prenant en fait un réseau de parcelle de prairies permanente sur l’intégralité pour faire aussi un état zéro sur les les sur un certain nombre d’indicateurs pour justement pouvoir

    Guider aussi ses travaux de restauration parce que oui oui il y a une il y a une tyrannie de la petite restauration mais là on essaie de jouer un petit peu sur les deux échelles et quand on voit le projet là très intéressant qui a été présenté en fait avant bah là on

    Commence à avoir des cartographies à l’échelle de la la grande grand difficulté en écologie scientifique a toujours et pour d’autres disciplines c’est le c’est en fait comment on passe d’une échelle à l’autre donc quand on regarde les petites échelles ben on voit des choses assez précises au niveau quantification mais quand on essaie

    D’aller plus loin échelle de l’estur moi moi je suis incapable de répondre au stockage pour l’instant de carbone à l’échelle de l’UR alors que des projets comme ceux qui viennent de nous être présentés on aura au moins une idée et donc voilà c’est en fait le principe

    C’est de partir d’un non à priori mais comment le scientifique il peut parce que là moi vous me demandez je sais parfaitement alors je je parai pas ma chemise presque que la préie permanente va mieux marcher en stockage de carbone que la préie temporaire après le compromis va être

    Est-ce qu’on veut une prairie performante en terme de stockage de carbone il y a pas besoin de cette étude là on le sait pourett de la PR permanente par contre est-ce qu’on veut maintenir une activité agricole en cadrant certaines pratiques puisque là on est sur l’agriculture de conservation alors après on peut discuter

    Effectivement de ça et c’est c’est tout à fait ce qu’évoquait en fait manuel tout à l’heure il y a un compromis mais là c’est pas à nous de le voilà nous on peut apporter des des éléments quantifiés pour pour le débat mais c’est pas à nous de décider en final de de ce

    Qui sera le mieux si merci à tous alors merci aux intervenants merci à vous pour les échanges euh pour bah juste rebondir peut-être sur sur ces derniè ces derniers échanges voilà en fait la la composante temps c’est une composante qui est essentielle he on l’a bien compris il y a un changement

    Effectivement d’échelle spatiale à prendre en considération ça c’est quelque chose de aussi d’important mais la la composante enfin l’échelle temps effectivement une une composante à ne pas oublier et euh bah plus on aura de de recul et de retour d’expérience et je pense plus on on aura de matière à à

    Opposer peut-être euh nos nos voix enfin en tous les cas à poser nos voix pour s’élever contre certaines certaines certains aménagements

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