L’ISEN Ouest accueille chaque année des étudiants internationaux. Jules est originaire du Cameroun est a intégré l’ISEN en 1ère année. Il est maintenant en cycle ingénieur par l’alternance et témoigne de son expérience.
Plus d’information sur l’international à l’ISEN : https://isen-brest.fr/international-accueil/
Plus d’information sur le cycle ingénieur par l’alternance
– à Brest : https://isen-brest.fr/formation-ingenieur/ingenieur-apprentissage/
– à Nantes : https://isen-nantes.fr/ingenieur-par-apprentissage/
Plus tard j’aimerais bien travailler dans la Cybersécurité et sur des missions qui touchent un peu plus des attaques offensives et aussi un peu la défense. Alors je savais déjà dès le début que je voulais continuer mes études à l’étranger, du coup c’était
Plus la question de la destination. Donc la France déjà pour la langue et aussi pour son accueil. Dans le catalogue de Campus France quand j’ai trouvé l’ISEN je me suis renseigné et j’ai vu que la prépa qu’elle proposait me permettait de faire directement ce que je voulais dès les premières
Années. Je pense qu’au début je réalisais pas encore que j’avais fait le déplacement, que j’étais loin de ma famille. J’ai eu un bon accueil de l’ISEN, des étudiants et j’ai bien pu m’intégrer avec toutes les activités qui étaient mises à disposition extrascolaires, avec le BDE
Et les différents clubs. C’est un rythme assez costaud donc faut vraiment suivre, faut prendre le train sinon ça peut s’avérer être pas facile. À l’issue des deux années de prépa j’ai décidé de m’orienter vers une filière par apprentissage parce qu’elle me permettait de beaucoup plus,
Enfin d’être plus proche de l’entreprise et d’avoir des missions un peu plus concrètes ,pour résoudre des problématiques vraiment réelles. Là je travaille sur un projet de remédiation automatique et ce qui me permet de mettre en valeur des compétences qui touchent de la mise en
Place d’un projet jusqu’à sa mise en production. Si j’avais un conseil à donner à un étudiant qui serait à l’étranger et qui souhaiterait rejoindre la France pour les études, je dirais de pas avoir
Peur et de faire le pas et que la connaissance n’a pas de prix et qu’on ne perd rien à essayer.