Voici la publication du vendredi, jour dédié aux inspirations de la Poésie française :
Une émission spéciale animée par Jean Mambrino diffusée le 29 avril 1977 sur France Culture. Présences : André Dhotel, Diane de Margerie, Jean Mambrino, François-Xavier Jaujard, Patrick Reumaux. Lecture : Jean Topart, Catherine Sellers et Jean Faubert.
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Mise en ligne par Arthur Yasmine, poète vivant, dans l’unique objet de perpétuer la Poésie.
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Les inspirations de la Poésie française (en cours de construction) : http://bit.ly/2qC8PoQ
Dernières publications d’ÉCLAIR BRUT : http://bit.ly/2IgC72p
[RAPPEL des jours de publication :
– Lundi : modèles antiques (poètes de la Bible, de la Grèce ou de la Rome antique) ;
– Mardi : poésie médiévale ;
– Mercredi : poètes de la Renaissance ;
– Jeudi : poètes du Grand Siècle et du XVIIIème ;
– Vendredi : domaine international ;
– Samedi : poètes de la Modernité ;
– Dimanche : poètes du XXème siècle, poésie vivante et poésie-pensée.]
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L’univers est chargé de la grandeur de dieu elle doit jaillir tels les feux d’une feuille d’or qu’on froisse elle s’amoncellent force comme l’huile comprimé gicl pourquoi dont les hommes font il fit de son fouet les générations piétiner piétiner piétiner tout et flétrie par le négoce par le labeur brouillé souliers
Porte la crasse de l’homme sur un loader de l’homme le sol est nu maintenant et le pied ne peut le sentir et en chaussée l’impôt tous la nature n’est jamais épuisé la plus tendre fraîcheur vite au fin fond des choses et bien que l’ultime lueur est sombre et
À l’ouest sombre au bord brin de l’orion haut jaillit le matin parce que le saint-esprit couvent lecourbe monde de la chaleur de son sein et de la lumière 2 cl gerard manley hopkins poète anglais né en 1844 mort en 1889 donc à 45 ans publié pour la première fois en 1919
Donc trente années après sa mort peut être obscur et plus encore complètement inconnu de son vivant sauf de l’un ou l’autre ami et qui en quelques années dans la décade qui a suivi la guerre est devenue une présence prépondérante dans la poésie anglaise moderne et avec les une immense influence parmi
D’autres poètes de toutes les écoles au fond et qui est presque un classique aujourd’hui son oeuvre son hub de pau a été très courte une cinquantaine de poèmes avec une quarantaine de poèmes inachevé et deux volumes de l’être un volume de notes son journal ses carnets et enfin un volume de textes spirituels
Voilà l’oeuvre oeuvre très très difficile étrangement énigmatique passat à côté et pourtant d’une rafraîchissante puissance de vie le paradoxe c’est que ce jeune anglais dans un contexte de la fin deux dernières parties du 19e siècle s’est converti au catholicisme est entré dans les ordres avec une vie de religieux caché jusqu’à sa mort
À l’ordre des jésuites avec l’amitié du grand poète anglais rob huff bridge à qui il envoyait l’un après l’autre ses poèmes qui les recopiait qui les gardait et qui les a publiées après sa mort nous voudrions ici il essayait de le faire connaître et aimer surtout
En donnant à entendre sa voix le plus possible à travers ses poèmes en anglais même le plus souvent possible dans les traductions pour ce qui est de la poésie hélas toujours approximative un poème traduit est un poème en exil nous utiliserons quelques-uns des poèmes admirablement traduit il n’y a plus de
Quinze ans par pierre leiris et les autres sont un livre encore inédit à paraître à la fin de l’année l’enfance de hopkins on ne peut en dire que quelques mots paisible et raffiné au sein d’une riche famille anglicane je livrerai deux imams [Musique] sa coutume tous garçons de grimper en
Haut des plus grands arbres afin de connaître la couleur des feuilles du côté du ciel est encore ses larmes de joie un jour à la vue d’une fleur d’un certain rouge pourpre et d’un bleu profond ce trait de sa vie de son enfance à dire à compter des années plus tard
Par un de ses camarades qui n’avait jamais pu l’oublier mêlée à cette sorte de sensibilité extraordinaire raffiné peu courante chez un jeune garçon notre part de son caractère qui était si l’on peut dire eu un goût de l’héroïsme passion de la volonté et qui le menaient
Souvent du côté de ce qu’il faut bien appeler une sorte d’ascèse et il ya une histoire là encore quarante ans plus tard l’un des camarades présents la racontait bien après sa mort qui est assez significative il était un collège anglais et il avait fait avec l’un de ses camarades le pari de rester
Sans boire pendant 30 jours pas tout à fait nous pendant pendant un peu plus de trois semaines et ce pari fut tenu à l’insu des autorités du collège et il gagna le pari mais fut puni après coup de façon très cruel et l’anc ont su le sentiment d’une grande injustice il était passionné
Contre toutes les injustices ce camarade qui rappelle que l’histoire se souvient que la langue de gerard manley à quelques jours à la fin du pari était complètement noir est quelque chose de ce garçon est un nom de cet homme mystérieux de ce génie puissant déjà exprimé dans cette histoire d’enfance à auxerre
Où il fit des études très brillante ou lu quelques-uns des grands maîtres de la fin du siècle notamment parmi ses maîtres il avait deux goûts essentiels tels que nous pouvons les remarqués dans ces notes il écrivait des poèmes à ce moment là déjà mais c’est pour emi les a presque
Complètement détruits sauf un seul que vous entendrez tout à l’heure ces notes sont sur les mots le cliquetis des mots la passion qu’ils avaient du détail des mots de leurs racines de leur étymologie de leur consonance d’un côté presque palpable savoureux et d’autre part il ya des listes dont il en
Drap bleu de ces mots qu’il qu’il enfile les uns à côté des autres simplement pour en faire percevoir pour lui c’était d’incarner tout personnel qui n’ont jamais pensé qu’il serait dit on joue pour faire percevoir encore une fois la vie secrète de la langue et d’innombrables notation d’autre part sur
La nature regarder d’un oeil extraordinairement précis d’un oeil minutieux attentif avec une sorte d’ attention ardente nous le verrons mieux tout à l’heure quand nous nous penchons sur cette part de son journal qui est la première partie de ses écrits d’autre part dans son évolution spirituelle je
Ne peux montrer insisté que sur une chose son goût son intérêt à sa passion pour le rite est donc pour le côté sacramentelle de la religion ceci il ne peut être dit que façon trop brèves et commentent à 100 mais il est évident que c’est cela qui l’a amené peu
À peu vers la religion catholique à cause de son insistance sur les sacrements et parce qu’il voulait être absolument sûre comme ils disaient de la vérité de ces sacrements il a comme abandonnée l’église de son enfance au grand chagrin de ses parents et dans les sacrements c’était ce qu’il
Appelle la présence réelle de l’eucharistie qui était si importante pour lui mais on voit bien le lien avec les quelques années d’autres même que j’ai pu dire son goût extraordinaire du concret son goût de toucher la nature directement comme dans les mots la chair même du langage c’est la même impulsion
Profonde qui dans le domaine religieux la portée vers la religion la plus incarner si j’ose dire d’autre part il ya toute une partie de sa vie qui se révèle à nous dans ses carnets son journal ses lettres dont un volume a paru la traduction d’une partie au moins de cela dans la collection
10/18 traduit par hélène bokhanovski oui rené des forêts donc pour là encore que donner quelques extraits dans cette période de sa vie nous percevons qu’il a eu toute une série d’amour contrariée avec un grand sentiment de culpabilité qui s’en est dégagé et le sentiment que cela se produisait dans un certain désordre pour
Lui d’où déjà un fond de tristesse et déjà des sources de dérision tels que l’ on les trouvera dans des poèmes de la fin de sa vie en même temps qu’une mystérieuse attirance vers la solitude vers une sorte de paul comme plusieurs poèmes de ce début de sa
Vie il exprime comme s’ils étaient par le fond de lui-même comme happé par un courant qui l’entraînait loin lui qui était si concret si charnelle humain loin du contact humain c’est une des raisons pour laquelle il a renoncé à son sa vocation de peintre car il avait aussi
Un don extraordinaire de peintres et de dessinateur on a de ces dessins qui sont une pure merveille de précision et d’acuité il y à renoncer parce qu’il craignait 10 est il que cela l’entraînent trop loin dans les patients humaine dans son journal on retrouve ces constantes ou dieu n’est nommé qu’à travers la
Nature du jeu avec d’innombrables notation sur le temps est à la fois cette tension ce volontarisme cet ascétisme qu’il faisait continuellement se proposait des sacrifices des privations comme pour s’entraîner je ne citerai qu’un seul détail une histoire assez savoureuse qui se trouve dans un coin de ce livre et que lui-même
Rapporte dans son carnet secret dans un voyage qu’il a fait à la fin de cette vie d’étudiant il avait déjà décidé de se convertir et non seulement de se convertir mais de ce fait religieux il fait un voyage en europe et notamment en france et en suisse et un épisode
Absolument je trouve merveilleux où au cours d’une ascension en suisse ça doit être la suisse allemande dans les cantons protestants il avait un sac très lourd et le brave guide montagnarde des laze est proposé de prendre son sac et je ramène les toujours si c’est dur
Pour lui même si si épris d’héroïsme et d’un athlétisme très beau mais lui a refusé par sacrifice pour offrir un sacrifice à dieu et le brave montagnards le brave paysan avec sa foi naïve lui assez seulement exclamé n’est dieu n’est pas comme ça monsieur et le cher rodkin note dans son journal
Ce devait être un protestant sa son entrée dans la compagnie de jésus est une chose émouvante et bouleversante car cet homme déjà marqué jeunes déjà marqué par le génie a brûlé tous ses poèmes quelques uns selon surnager dont celui que vous là les entendre et qui exprime comme ça voilà plus
Intérieure on pourrait dire c’est l’âme qui parle l’âme féminine à nîmes à ses parents lui qui allait vers un profond silence j’ai désiré aller où une tare ils en vivent auchan tenue regrets lacérer le vestige où s’ouvre quelques lice j’ai quitté d’habiter ou le vent ne fait rage
Là où la houle ou glauque et muette dans les havres à l’abri du roulis des mères la période de sa vie qui va suivre est une période complètement enfouis il est entré au noviciat et jésuites puis il fera de longues années d’études et le voilà qui a disparu complètement du monde
Durant cette période il n’a plus écrit poèmes pendant huit ans il tenait pourtant son journal et continuant dans la lancée de ce journal et de ces carnets sous le même mot de façon imprécise j’utilise le mot carnet et journal en vérité les carnets sont plutôt de la période de d’étudiants à
Auxonne le journal commence au temps de sa vie religieuse le journal de cette période encore plus peut-être que celui de la période de hawx 2 est un journal rempli d’observation sur la nature nous allons y revenir dans un instant je voudrais noter seulement avant d’aborder de m’enfoncer avec une série de textes
Dans ce domaine que j’appellerais le parti pris des choses chez hopkins je voudrais rêver un instant avec vous sur un détail de sa vie car c’est pendant cette période où il était étudiant 18 il a fait quelques voyages à londres et notamment une fois en mai et juin
1874 pour visiter les musées nationaux tate gallery or et ceci fera plaisir sur noir andré dhôtel que nous allons attendre tout à l’air qui trouve des liens entre les deux poètes or depuis le mois de janvier 1874 arthur rimbaud se promène à lons j’ai même rêvé que quelque part dans le
Scradh il a pu croiser giornale of kings est que ces deux génies complètement obscur à cette époque et pour beaucoup d’années un instant ce sont comme entrevue mais gérard tourner dans son scolasticat ces maisons d’études et son journal est rempli de ces minutieuse description des éléments du monde alors on pourrait
Sans aucun classement finalement je vous propose deux têtes de liste le bestiaire notation sur les cristaux sur le ciel sur la mer sur le bout sur les fleurs je vous en donne quelques fragments je suis sûr que cela va inciter donner des idées à patrick renaud et à diane de
Margerie comme à françois xavier beaujard qui veulent bien partager ce dialogue qui ont beaucoup aussi à dire sur hopkins le bestiaire regarder comment hopkins parle par exemple simplement dupes en ces temps derniers dit il j’ai souvent vu le temps avec sa très nette à l’est elle a un gauchissement régulier comme un coquillage
L’oise aussi en baisse le renflement va vers l’intérieur en dessous le crever l’intérieur en dessus langage et ne s’ouvrent qu’à la lisière là où les plumes commencent à se séparer les yeux qui alterne quand la traîne est fermé comme des écailles ou des goudrons et voyez comme en anglais les mots sont
De l’extraordinaire précision technique en même temps forme quand elle est ouverte ses yeux forme comme déranger irrégulière replier la queue s’amenuisent et fonce dans la lumière elle perd le lustre et le satin qu’elle avait mais prend une autre splendeur grave et expressive et les yeux les plus extérieur détaché et singulariser
Suggère avec leurs franges cette forme très spécial d’être f le cul speed gondoles et qui sont souvent si décoratifs en art il fait frissonner à traîne d’abord et quand il l’adresse par instant les yeux sortent de leurs orbites tandis que le reste se brouille j’ai pensé que cela ressemblait à un
Plateau ou un panier vert ou à une aide sol fraîchement taille est émaillé de fruits de paradis des coupes et d’abord dans une barbe de fibres doré puis dans une chaîne verte plus verte que des reines claudes ou plus pour pour que des pentes ou disons que le couteau aurait
Attrapé un lambeau ou un carré de peau et leur est posée en travers de la chair et puis au coeur de tout cela une goutte d’huile noire ou pourpre indolente il ya un crack à pascal lui signer dans cette précision et dans cette matière de 2 alors que la description entre
Guillemets semble s’achever dollar poussée de la prolonger au delà de trouver de nouvelles sortes de de comparaison en jouant sur les yeux n’est ce pas je suis tout à fait tout à fait d’accord avec vous et les les carnets est le journal de hopkins m’ont beaucoup peint terme en ont beaucoup à captiver
Mon attention parce que cette auquel c’est le moment où il donne son travail c’est le creuset de sa poésie et se creuser n’est pas moins poétique que sa poésie elle est très étonnante les observations sur les observations météorologiques par exemple ce sont d’une précision et d’une neutralité de
Temps tout à fait hallucinante qui se déroulent là aussi quand les pages entières où les moindres reflets les ourlets de lumière autour des nuages et selon l’heure et le moment et le coin du ciel c’est absolument fabuleux une tapisserie vivante qui seront déroule avec les mots et qui est là j’aimerais
Vous poser une question et si je peux justement il me sens que toutes et tous et paragraphe prodigieux qui ont trait à la nature et à l’observation de la nature il me semble que nous ne lisons que cela n’est ce pas dans les carnets précédent les années précédant la
Conversion et je me demande si cette attention portée à la nature si précise n’est pas comme une sorte de fuite tout au long des carnets une sorte de façon de ne pas dire autre chose ou alors presque une fuite d’un tête à tête avec dieu ou du moins
D’un rendre compte de ce tête à tête douloureux avec dieu qui est qu’en pensez vous personnellement notre manière je l’entendrai dans cette partie de sa vie d’une façon un peu différente comme une immense pudeur qui est le signe d’une véritable vie religieuse d’une véritable vie pour ne pas dire mystique d’une
Véritable vie de prière où dieu n’a pas tellement être nommé mais il est vécu et il ya comme un contact et ceci est très près du vieux ni de simone weill qui je sais que tu es un mystique naître mystique étonnant or qui attachent autant d’importance à cette présence de
Dieu à travers la création et d’une dernière le fait qu’ils ne parlent pas tout le temps de dieu dans ses carnets me paraît par certains côtés un signe d’ équilibre profond et de vérité et de respect même pour la création compte tenu que c’est la partie de sa
Vie la moins torturée au contraire il semble il a vécu ses années d’études dans la nature notamment au pays de galles et il y a puisé une sorte de rafraîchissantes goût et il a été comme un peu nourri même dans son être humain dans sa sensibilité qui était toujours
Réfréner et il elle pouvait comme s’exprimer à plein dans ce contact avec la nature william henry devrait simplement ajouter une chose une petite chose c’est que personnellement je ne crois pas tellement mois l’ équilibre de hopkins et à la vision rafraîchissante que lui procure la nature parce que si vous lisez avec
Attention ses notations sur les choses qu’ils voient vous apercevez que savent ils que la vision qu’il a de la nature c’est une vision qui est très dissociant tu par exemple ils ne remarquent pas les feuilles mais le miroitement des feuilles lorsqu’il regarde un barrage pas le barrage mais le remous d’amarrage quand
Il regarde le blay pas le blay mais seulement le blé en herbe c’est à dire le blay presque futur [Musique] il me semble au contraire que dans cette apparente façon de dissocier il y a une façon de rassembler et là il me semble que l’on touche au coeur même de la
Démarche dawkins en effet ils disent aussi sans arrêt et il observe les mouvements mais le mouvement c’est ce qui anime or n’oublions pas justement que dieu qu’il ne nomme presque pas dans cette partie de ses carnets de sa vie est omniprésent pour lui il le dit parlant d’une campagne nul à une ode
Beauty of love by it je connais la beauté de notre seigneur par elle à travers elle il est exact qu’il y a un côté extraordinairement précis et dissociées mais en vue d’une réorganisation presque volontaire et moi c’est cette volonté d’organisation chez hopkins qui qui l’intéressent à travers enfin une arme extraordinairement tourmenté rongé
Par l’angoissé au fond et qui finalement utilise la nature dans un grand système circulaire dieu la poésie et la nature se trouve organisé 1 1 en 1 to a divisé oui la crainte n’est pas absente et la crainte est pas absente moi je crois que le grand art de hopkins dans ses carnets
Dans ses poèmes c’est de rendre inquiétant ce qui en principe n’est pas très inquiétant par exemple s’il parle d’un cèdre tout simplement il écrit ceci les étages superposés du cèdre sont du cèdre centrale ne sont pas horizontaux d’un seul coup tout bascule imperceptiblement vers autre chose s’il nomme un chêne il dit
L’organisation de cet arbre est difficile voyez comment à partir de notation imperceptible de petits riens aperçus qu’ils sont dans le fond des choses très menue sa vie quotidienne il ya une espèce de réintroduction d’un mystère là où nous ne voyons rien de mystérieux là où nous le plaçons pas je crois qu’ils se
Projettent complètement lui et sa propre personnalité extraordinairement sahin des divisée dans la nature à laquelle ils demandent surtout la patience il appelait la patience le lierre du coeur c’est magnifique c’est les formules et puis ils lui demandent la minutie la précision et puis lui demande la plénitude
Oui c’est ça diane de margerie mais regardez ce qu’il dit sur le bout quelques mois plus tard l’avènement des livres aucun passage après le déjeuner on apporte à des cuillères jaune et des gobelets quelqu’un dit qu’elle était en cuivre j goûtait pour vérifier et cela m’a paru exact
Quelques temps après comme je revenais d’un petit tour que j’avais fait que monsieur ben brik il nous raconte à cuguen lui avait dit que la couleur écarlate aux roses des flamands étaient dues d’après les recherches à la fine couche de cuivre qui saupoudre leurs plumes comme il parlait vu dans la
Bouche un goût de cuivre ce qu’on appelle célébration un quotient une phrase approche c’est une merveilleuse grosses positions c’est assez la madeleine de proust mais sans qu’il ait aucun autre souvenir personnel que d’avoir goûté à ce cui oui il ya une méfiance aussi fantastique dans ce
Passage qui est il par led on en parlait de la foi de hopkins je crois qu’on peut dire que ce fut une fois très tourmentée si on relit le passage et si on s’arrête au gobelet ne l’ont pas plus loin après le déjeuner en apportant des cuillères jaune et des
Gobelets quelqu’un dit qu’elle était en cuivre gili paix pour vérifier je l’extrême méfiance oui justement je trouve très vu ses notations sur l’ angoisse l’angoissent qui est toujours présente chez hopkins et on aimerait savoir pourquoi une telle sensualité dans l’écriture dans l’oeil dans la notation dans la création
Pourquoi malgré en plus cette fois-ci profonde pourquoi il a pu à 44 ans écrire dans une lettre tout à fait pathétique ces mots tout ce que j’ai entrepris à avorter je suis pareil à un eunuque qui s’épuise en efforts infructueux c’est pour quoi j’aspire à la mort pourtant s’il me fallait mourir
À présent je mourrai parfait sans maîtrise de moi même et c’est bien la pire image de tout et je crois que malgré tout ce que nous voulons dire qu’ils merveilleux qui est succulent qui est pulpeuse je crois qu’il n’y a pas d’abandon chez hopkins mais une volonté
Continuellement en éveil et ce mou de maîtrise de moi même me paraît très important ça je crois que oui vous touchez à des choses la très profonde même si on ne va pas jusqu’au bout de l’énigme d’un être on ne peut jamais et qui introduisent il me semble à son
Grand poème le naufrage du date chaude qui danse au terme presque de ces années de silence explosé dans une sorte de création inouïe que s’est il passé il l’écrit lui-même pour raconter à son ami brian bridges les circonstances de la composition de ce poème de michael jackson n’est ce pas le
Naufrage du d’athlètes ce prêtre connu bien plus âgées que hopkins lui avait envoyé une lettre pour lui demander s’il continuait à écrire vous me demandez si j’écris moi même ce que j’avais écrit je les brûle et avant de me faire jésuites décidons alors de ne plus écrire comme
Chose qui n’appartenait points à mon état à moi ça me fait la demande de mes supérieurs de sorte que pendant sept ans je n’ai rien écrit si ce n’est deux ou trois petites pièces votive voulue par les circonstances mais lorsque durant l’hiver de 75 1875 donc le deutschland son bras à
L’embouchure de la tamise et que cinq religieuses franciscaines exilé par les lois folk se noyèrent à son bas je veux ému par le compte rendu du naufrage et comme je mens était ouvert à mon recteur il exprima le désir que quelqu’un écrivit un poème à ce sujet
Ainsi encourager je me suis mis au travail et bien que je me trouve à savoir perdu la main pour commencer jean produisit un j’avais depuis longtemps dans l’oreille l’écho d’un nouveau rythme que je réalisais alors sur le papier c’est la prodigieuse d’explosion d’un très très long poème qui a été
Admirablement traduit par pierre hérisson sédition de seuils et dont nous ne donnerons hélas que quelques strophes où s’exprime une violence toute nouvelle on peut dire que le langage rythmique le vocabulaire hopkins ya et son art poétique c’est vraiment pour la première fois exprimé la dao maistre et demie corde
Gameloft prête nbre and world trade sourire de sea lord of the rings hand and down est band the enemy phase 1/2 flèche a mis trend by doing it just d’ardèche me ferait ch overgame rifi writing in fine dit oh toi mon maitrîser dieu d’honneur de souffler de pain fibre
Du monde mouvance des mers seigneur des vivants et des morts tu alliés en moi vin néo m’arrive échelle pour après coup qu’elle terreur presque des verts dont faire et d’autres chefs matusz tu de nouveau de nouveaux j’éprouve dont dois je te trouve à kiss my french doctor love laissant de starlight
Wifi nîmes à deux mètres d’eau chlorée en temps de crise my friend de deadwood thompson ouest si do androids dream of me blesse stand j’adresse un baiser aux étoiles alex qui est par claire stellaire où je distingue je rayonne et j’exulte dans le tonnerre j’adresse un baiser au couchant comme
Les deux brunes pour près car encore que sous jacent au prestige au prodige du monde son mystère doit sa prime et doit saint-imier aussi je le salue aussi tôt que perçu et je bénis quand je saisis mardi mr l’open world forum l’aspect gore d’ traude berenberg où le sort run and bike baude
Pâte à bytes je t’admire m duflot du déluge d’antan de la chute de l’an digues et refoulement des parois de la bim à la fois son enceinte et son quai et son mur étanche heures ap their d’un océan mouvement d’humeur le fondement de lettres et son granit dieu or de toute atteinte
Trônant derrière la mort en souverain qui veille mais ce voile qui connaît les temps mais attend le plus vaste brett caine et spiritueux de marque opel engine crise dont la merci chevauche la somme des eaux arch pour qu’ils écoutent dons pour quillan guy lamour se glissent plus bas
Que mort et que ténèbres veine vives pour la visitation des au delà de la prière des parcs est en prison des pénitents du dernier souffle terme extrêmes auxquelles notre géant plonger dans la passion et ressurgit le christ du père compatissant atteignent en l’ouragan de ces foulées ce naufrage contient toutes les images
Qui vont foisonner dans son oeuvre toutes les obsessions les thèmes les symboles la mer la tempête l’éclair l’étoile la flamme la baie la forge le mois de mai l’oiseau mais aussi le fléau le fouet la verge grodd world rim avec god et qui implique que son expérience de dieu se
Faisait toujours ce dans une sorte des craquements mystérieusement mais il a à l’intérieur de cet anéantissement comme parfois des fléchissements d’une extraordinaire douceur comme dans la strophe neuf ou s’adressant à dieu l’un de ses abonnés en de ces religieuses qui meurent diva aux athlètes ne lavent iphone dette winter est mort tué et
Claire et amour à la fois et je te trouve comme l’hiver un hiver tranier pour aborder ce prisme auquel il avait beaucoup songent et auquel la première fois il a tenté de donner une forme dans le naufrage de ce land bon disons tout simplement 4 à la tradition anglaise
C’est que la mesure du verre est déterminé par le nombre des syllabes que scande ayant houde et roche avec parfois dactyle pour ne pas être trop technique tandis que hopkins imagine le spring rythme c’est à dire un rythme abrupts comme on pourrait le traduire qui rompt avec cette mesure syllabique et qui se
Fonde sur une relation entre temps forts et temps faibles à la mesure du verne et plus déterminé par le nombre des syllabes mais par la seule valeur du stress c’est à dire l’espèce de battement est pour lui un verre de 9,6 là peut savoir exactement la même valeur et
Demie qu’a vert de 19,6 lab et le mot spring est explicable la façon suivante il l’écrit dans une lettre de 1979 le mot spleen que j’utilise pour ce rythme signifie quelque chose comme abrupte et ne s’applique légitimement que lorsqu un axe ensuite un autre sans interruption sans syllabes intercalé
Alors pour qu’il n’y ait pas t-il à bâtir kal el est évident qu’il faut des il faut des mots presque monosyllabiques d’où peu à peu dans la poésie de hopkins un abandon des mots long pour des mots bref de plus en plus rapprochées et rythmiquement mais entre lui et à
D’autres éléments qui intervient il ya par exemple les rimes extérieur intérieur un système extrêmement complexe et qui échappent d’ailleurs pour une part à l’analyse un système aussi d’assaut nantes et d’allitérations et à travers tout cela hopkins pensait en fait renouer avec une tradition si vous voulez antérieure à la tradition
Anglaise dans laquelle il venait saint céré est un peu contre laquelle il luttait il pensait renouer avec les balades bien plus anciennes les nurses que rise ce qui pour une part vrai mais en fait il y à une innovation fabuleuse chez lui il considérait que ce rythme
N’était plus parler et ça je crois que c’est très important parce que la poésie de son temps était une poésie écrite et tout d’un coup cette poésie écrite par ces sanctions par son rythme vraiment a besoin de la parole la parole on est le support mais il faut bien comprendre que jamais cette
Technique n’est technique pour elle même comme on dit l’art pour l’art à tout moment il s’agit d’exprimer une vision du monde entre les audi il faut tout même prevenir l’auditeur plus forte raison le lecteur jamais hopkins n’est un technicien jamais il est un théoricien c’est à dire c’est un homme
Qui a une théorie de la poésie il estime certainement que la poésie telle qu’elle est écrite autour de lui pour une part n’est pas perdu sa force ne reflète pas ce qu’il peut y avoir une actif dans le langage de brutales dabruck qu’il veut retrouver mais c’est tout même quelqu’un
Qui n’a pas d’idée préconçue et qui à chaque verre risque le tout pour le tout il s’agit en fait de comprendre que hopkins a je crois été sauvés j’étais un peu tenté de le dire tout à l’heure quand on parlait de ce qu’avait pour pour lui chaque objet de
Singulier d’unique je crois qu’il a été sauvé dans son appartenance à l’ordre des jésuites et donc dans sa lecture de saint thomas d’aquin ou d’ignace de loyola août je crois qu’il a été sauvé par la scott le génie de d’ascot et de marquer l’etg états c’est-à-dire la spécificité de
Chaque élément de la nature et de lettres et ça correspondait au goût de hopkins de faire attention littéralement à la spécificité de chaque moment et de chaque point et de jacquet être de la création je crois que devant le réel hopkins avait besoin de quelqu’un qui lui permettent de l’accepter justement
D’une manière à la fois double et entière et et d’un scot l’a aidé d’ailleurs ils le disent cela ne peut mener à rien mais peut-être pas rencontre avec d’un scot a été une bénédiction divine en effet tout ce qui est discipline à l’intérieur de son ordre notamment par exemple les exercices spirituels
Il l’a très bien vécu je crois qu’il avait besoin d’une discipline intérieure en tant qu’homme mais son problème peut-être son g a été de ne jamais laisser ces disciplines dont ils avaient besoin anéantir lettre qu’il était et c’est peut-être qu’il était avait vraiment besoin justement de se considérer comme
Unique non pas d’une façon orgueilleuse mais d’une façon très humble comme chaque parcelle de la création est unique et alors d’où cette ccir i’m an et cette double vision – oui et aussi d’où cette volonté de faire une ligne skype c’est à dire d’aller au fond de chaque
Chose pour en extraire cette espèce de cristal sans signe et l’été s’achève déjà les germes en beauté barbare c’est l’aide de toutes parts et là oh qu’elle vole du veau quelle grâce dans la lure de cette poche de soie nude un inutile jamais plus sauvage fougue ou le
Tourbillon de farine ou les écouler dans les cieux [Musique] je marque j’élève j’élève coeur au regard pour à travers ce corps en ciel de gloire granet notre sauveur regard quelles qu’aient lieu qu’elle lève ou fear réponse plus forte et franche en folle salutations d’amour dans la colline draper d’azur et son épaule dortmund
Majestueuse tel un puissant des talons plus que furent let tous toutes ces choses toutes ces choses était dit s’ils n’attendaient qu’un spectateur et quand tous deux enfin se rencontrent le coeur bat des ailes avec audace plus d’audace et rejette pour lui pour lui rejette presque long 1 sous ses pieds la tête [Musique]
Rien de tout ce que mes yeux voient wagon de par le monde mais à ce point a su clé que pour l’esprit le insuffle à ce point profonde poésie camaro breux dans les branches se feraient route dans le ciel [Musique] ainsi des branches de fresnes un jour de décembre elles soient étroitement contracter
Ou que de leur point de poids c’est fragile comme s’il elle s’ouvre tout et se nichent 20 blotti à la cime du ciel elle le touche tambourine si balance balayant de l’ordre if les normes et fumant firmament de l’hiver avec elle mais mélange le bleu et le
Blanc neigeux entre ces franges et fils en cure de verdure et la vieille terre cherche à tâtons et trappes harel le ciel profond dit de toute chose l’art au maire oui ce ruisseau sombre d’un brin groupe de cheval qui dévale sagres en août et rugissant roule des rocks dans la crique
Est la complice sa toison des cubes et tout en bas au creux du lac dont dans sa demeure un béret de mousse faubourg est devant virval et se défait à la surface du brouet d’un étang sinois de poids farouche et menaçant qu’il tout y est ou y le désespoir pour le noyer
Imbibé de rose et bariolée de rosé voici les replis des coteaux où le torrent 100 caisses lerèche touffe de bruyères les bosquets de fougères et le joli freine pearl est penché sur le ruisseau qu’arriverait-il au monde s’il se voyait ravir lumineux sauvage qu’il nous soit dont l’essai au qu’il
Nous soit laissé le sauvage et lumière que vivent encore longtemps herbes folles est lié au vin [Musique] mes chers 30 on les quinze aérienne apaisé apaisé ou arrêtez de leurs feuilles le bondissant soleil tous abattus a battu sont tous à bas d’une fraîche et fuyante fils resserré
Pas un nul épargnez qui dansait le ses sandales d’umbro glissante 6,90 sur la prairie la rivière elle arrive aux herbes rouler par l’errance du vent aussi vous saviez ce que vous faites quand vous creusez ou coupés en taille et torturé ce ver vivent la campagne s’étendra tout fait son être si fragile
Comme cette boule lycée lucide d’un coup piqué vue d’oeil du tout que lorsque vous même lorsque vous voulez l’amendé on l’a achevée quand vous coupez le creuset impossible ou suivant de deviner l’affût belle pente et dix ou douze seulement dix ou douze coups détruisent des réalise le doubs par des corps décor rustique
Un rustique décor d’où rare rustique [Musique] et oui j’en m’en brinon je crois que vous pourriez continuer à citer ma bohème mes exemples tirés de l’oeuvre de hopkins certains incongrus comme ur à la moisson ou dire franchement dans l’idée d’une joie une explosion de joie qui me semble personnellement un petit peu étrangère
Au monde tourmenté de hopkins vous avez dit tout à l’heure je crois que c’est françois-xavier jaujard qui en a parlé que hopkins avait été en quelque sorte sauvé par sa rencontre avec dance colts certainement mais je voudrais dire que saisine skype cette sorte de paysage intérieur des mots que hopkins essaie de recréer
Pour moi ce n’est pas ce qui le sauve c’est ce qui le père et ceux qui le perd complètement parce que ou bien la maîtrise des insights est une maîtrise absolue ou bien et on ne peut pas maîtriser l’absolu ou bien eh bien il se passe une formidable
Débandade dans quel sens je suis pas sûr de bien comprendre mais je crois que le l’ambition l’europe keynes chercher l’absolu et inventer une nouvelle maîtrise est la langue jusqu’à jusqu’à plus soif je dirais c’est une ambition qui qui aboutit pour lui a quelque chose à une expérience dramatique un échec
Dramatique on n’arrive pas à maîtriser la langue réinventée blanc ou complètement nouvelles ressortent sous la maîtrise des mots ressortent les obsessions les angoisses la division mais la beauté des mots est faite par ses obsessions et ses angoisses ce n’est pas un échec c’est un transfert c’est une métamorphose
Oui mais est-ce que ce n’était pas un échec pour lui c’est une merveille pour nous laisse que ce n’est pas un échec pour lui c’est une question qu’on ne peut pas se poser et dans ce cas là alors je reprends la lettre quel que soit l’usagé qu’il fait
Du mystère du christ où il dit voyez comme tous les grands conquérants furent arrêtés cours alexandre césar allait bien observer est au dessus de tous le christ notre seigneur sa carrière fut brisée et alors qu’il eût pu souhaiter réussir par le succès car il est fou de se dépenser par
L’échec sa prudence et la première des vertus cardinales et il était le plus prudent des hommes cependant il fut condamné à réussir par l’échec ces plans déjouer ses espoirs anéantis et son oeuvre réalisée en étant interrompue brutalement et laissé inachevé il a laissé l’exemple exemple très réconfortant mais ce sens excepté nullement consolant
Peut-être cela répond c’est un texte europe chine d’une lettre d’europe keynes qui d’actes je n’ai pas la date je crois que je lui parle de rien si tu parles échec en geste mais je pense il y aurait à double mot a inventé entre réussites et échecs pour arriver à un
Mot anglais hope qui l’ignorent et si elles s’expriment peut-être parce que malgré tout plus on fera entendre sa voix mieux c’est le par le poème la mer et l’alouette où nous avons nous avons une finale sur l’échec et la splendeur du monde qui est recréé là
Dedans et c’est l’homme qui va à l’échec comme lieu de cela on l’analyse et la mairie tout notre sentiment se croit s’exprime là la mer et l’alouette dans l’aurès enfin deux sont trop anciens pour mourir ce grave d’un côté la marée qui se ruent au rivage rouleau qui croule ou basse
Berceuse ou lourd tonnerre fréquentent l’ tant que la lune suse et s’achemine de l’autre au loin j’entends l’escale à dante alouettes sa musique a les cheveux est fraîche filet qui s’enroulent env y vivent des bobines et à folle allure harriet qui grêle et ruisselle jusqu’à la suprême il est comme c’est 2010 notre
Ville veine est fragile comme résonne clair en ce sordide turbide de temps est ainsi pure nous fierté de la vie et son fleuron avons perdu ce champ ta charme du monde à l’origine notre faire notre effet se défait se dissout en ultime poussière humaine vite entraîné à son premier lit mot mais
Au fond est-ce que vous la réponse à votre question pour autant qu’il y en a il n’y a d’ailleurs pas de réponse si on va de l’avant c’est cette espèce d’élan qu’il ya en lui vers la beauté impossible qu’il lui faut placer ailleurs plus haut et alors c’est le
Lieu de citer son chef-d’oeuvre ce grand poème admira n’est ce pas l’écho de plomb et l’écho doré ou la combinaison des mots l’invention de la langue la folle beauté du chant et exprime pour exprimer l’échec de tout ce qui est créé et qu’il convient de placer donc 10 est
Il plus haut est nulle exprime cela mieux nul poème que cette extraordinaire chef-d’oeuvre l’écho de plomb et les codeurs et comment tenir et il quelques unes n’est-il aucune ne saurait ton nulle pa nul ne boucle ou broche agrafes ou fibules ni la la c’est loquet cliquer ou clips
Pour détenir beauté pour retenir beau tu es beau tu es beau tu es de s’évanouir rien pour effaroucher ces rides c’est à roye de creuse reid pour chasser s’est muée message et ses massages et combien chagrin c’est triste message et furtif du gris prochain non nul n’est rien
Non nul n’est rien oh non non nul n’y rien ni longtemps ne seras tu commences jours d’itt belle quoi que tu puisses faire oui quoi quoi que tu puisses et sagesse ici ne diffèrent mais des aspects comment ce don puis donc il n’y a rien non rien à faire
Pour refouler l’âge et les mots de l’âge chef enneigées faceries des fripes et corps voûté mal de mort et pire après mourir suaire tombe vert retombé en poussière comment ce don oui donc commence désespère en hulk les ni rien non rien ni nuque lui commence doux comme ans dont des aspects des aspects
Des aspects des aspects espère il en est une oui j’en ai une trêve de pleurs mais non pas dans le champ de vision du soleil nom dans le champ de brûler zon du grand soleil de alizon dû au soleil ni de perf’ de corruption de l’air terrestre quelque part autre parent ou
Quant à cela il en est une une wii jeu c’est pareil clé oui je puis dire pareil lieu où tous ceux qui de nous est précieux et basse de nous et fraîcheur trop fugaces de nous aide ou semblant mais bientôt ce descousse dénouer ses faces des faits détruit vite détruit encore que chèrement
Périlleusement doubs où tous deux nous visage faussetés tel lot sous la risée sans nulle matin pour l’égaler fleurs d’user de beauté trop à trop prompts à s’évader jamais pu ne s’évadent est enfermement liés par la plus tendre vérité au meilleur de son maître en plus exquis de sa jeunesse
Et comment ne serait ce une éternité de 1,2 toute jeunesse allons thémines des manières d façon gentille déserte et me disais grâce des deux jeunes filles ton innocence ensorcelante et akram riz conquérante doux minois et mes chevaux let presse anglaise cadenas accroche-coeurs entre un vainqueur résigne l’est
On y va les signes celle adresse et que ton souffle les émeuvent et dans une volée et dans une envolée de soupirs l’aider voix des livres mais fait diligence cette beauté tiennent en essence oui longtemps avant que ne meure rend la beauté remet la beauté la beauté a dû de
La beauté lensois le donateur aussi bien voire pas un cheveu pas un cil doperait de tes yeux pas le plus petit si minime soit-il qui se perdent chaque cheveu chaque chaque cheveu de ta tête et compte et mieux ce que notre main légère otero terre n’aura laissé s’éveillant est
Croissant et se mouvant au vent durant le temps que nous dormons ira de ci de là branlant son chef pesant et centuplé le temps tout le temps que nous sommes et lyon pourquoi dès lors aller d’un pas si lou ans il a un casier perdu ligoté de
Soucis de soucis qui nous tue va mener leur est déçu pour but puisque ce dont nous des mimes librement et gardé plein mouvement oui plus jalousement gardé que nous notions garder garder avec un soin bien plus jaloux nous lution perdu quant à nous oui bien plus combien plus jaloux garder
Mais où dites le nous ont dit non seulement ou là-haut comment si loin si haut mais nous suivons et sur le champ au loin là oh oui tout là haut là haut après ce merveilleux poème dans la belle traduction de pierres d’iris je crois que nous sommes prêts
À entrer dans le mystère de la prière chez rock king fait par an lui très silencieuse fait part malgré tout inexplicablement apaisé exprimé aussi son immense amour musicale pour l’heure seul et c’est un compositeur c’est un musicien infiniment silencieux il ya un grand poème de hopkins qui s’appelle la sainte vierge
Comparé à l’air que nous respirons où il médite il prit à partir de l’air que l’on respire comme une ouverture sur celle qui dans le christianisme se présente comme la mère de jésus christ la mère de dieu [Musique] marie immaculée une simple femme d’une présence d’une puissance plus
Souveraine on en rêvait jamais pour aucune des f sont membres unique laissé à travers elle toute la gloire de dieu septembre la gloire de dieu qui veut flux et à travers elle c’est cool et des longs loin et par nul autre on leur dit que nous sommes en vie et de
Grâce tout autour comme d’air marie de même et plus encore dont le nom est merci puisque andré dhôtel est parmi nous poète du roman romancier des poètes et qui aime beaucoup je crois ne prendrai ce poème qui vous a inspiré entre plusieurs de hopkins j’ai envie de vous demander comment vous sentez cela
Vient pour hopkins moi il me semble évident qu’il s’agit d’une étude dans le sens même de rimbaud une étude qui mène un quoi pour comprendre quoi en tout cas ce qui est évident n’y a pas ce souci d’être lu ni de charme ni d’entraîner les gens dans des dans une extase poétique alors
Qu’ils activent bien je pense qu’il s’agit d’une énigme ici l’homme fait partie de l’énigme oui au lieu de contempler mari il est dedans il est dans le vent et ça cette histoire du mans on la retrouve dans ses notes de journal qu’est ce qu’il dit à un moment donné
Un vent du sud car est le visage de tout ce délicieux et quand je sorte il me semble à l’amphi des comores avait l’ombre dans laquelle on marche comment se coiffe ou sans capuchon avec l’abri d’un toit ou d’un auvent ou d’un book tôt j’entends par là que le vent frémissez
Palpiter commun lie n’enléve et qu’on pouvait en sentir les plis et laisse tout âge est en fait un drapeau qui flotte comme du vent visible il est ce que sont les herbes dans l’eau vive à laurier il s’agit de chercher avec précision ce que c’est que le vent est
Bien dans le poème sur la salière on cherche à savoir ce que cinq levant c’est quelque chose qui nous baigne et qu’on respire alors ça se passe un peu la même chose que dans le mois de mai si ce qu’on aime est-ce qu’on respire simplement souffle
De mort il ne peut en aucun moment donné la vie voilà l’énigme alors mais si l’air nous fait respirer si l’air nous donne la joie si le vent nous enveloppe il nous enveloppe non pas de la vie mortelle non pas de malheur mais il nous enveloppe d’éternité
Ah oui c’est pour ça que ici c’est la vierge la sainteté de la vierge qui est comparé au vent sa perfection qui nous enveloppe et comme elle était une mère et nous enveloppe aussi de le sale race maternelle alors cette grâce maternelle n’est pas surtout seulement une comparaison avec le mans
C’est un renversement de perspective s’il n’y avait pas la vierge marie il n’y aurait pas de vent n’y aurait pas de respiration mais il va jusque là parce que il est bien qu’on respire la mort willy viard qui nous empêchent de respirer la mort vous comprenez moi j’ai l’impression d’un pin’s et s’exprime
Très difficilement parce que c’est pas d’un état fort qui veut c’est très facile de comparer les bienfaits de la vierge aux bienfaits du blanc rien de plus aisé non ce qui veut dire simplement c’est que le bienfait du mois est ressortie directement parce que c’est la vierge elle même c’est l’esprit
De même qu’il inspire rené ce qu’il y a forcément second est divin où il n’est rien oui il ya ce renversement de perspective de hyères vous leur trouveriez dans le dos de flandre ou alors c’est beaucoup plus difficile à comprendre donc ce qu’ici c’est le malheur et la mort
Est bien le malheur et la mort ne serait n’existerait pas si vous voulez ne serait rien s’il n’était pas prophétique leurs marques ray renaud le van kim 90 kg et prophètes qui est trop fait parce qu’elle a perçu le nord elle m’a l’air ici nous sommes pas dans la nord et dans
Le malheur pour contraire dans l’est dans la naissance et dans la vie mais voyez de la mer rapprochement avec très beau c’est que le vent je voulais me séparent seulement le nom ce n’est pas seulement le signe du salut c’est le salut lui même oui c’est l’éternité dans une année
Encore tel salut présent [Musique] souad nous au maire gérer mon atmosphère mon pays plus heureux mon chum ineson leur encontre de téflon pour le fait de moi autour de moi repose au programme ait lieu rebelles un tendre ciel sans cicatrice vivement noël et en vivant et parle de l’amour divin de passer pénitents
R maternelle ou monde personnage aulas et par trois îlots pressé par toi attirant ton intime cancer et y insérer au bercail de tes bras pour ma faim [Musique] 2 [Musique] et d mais voici le terme de l’existence si courte de gerard manley hopkins et de ce temps que nous voulons passer avec lui
Et il faut bien l’écouter dans le cri le plus bouleversant qui les pousse et cesson est terrible écrit dans les dernières semaines les derniers mois des trois dernières années de sa vie où s’exprime le dessèchement de son âme le sentiment d’abandon et de stérilité absolue sans révolte mais pourtant avec
Une sorte de nausées qui peuvent être compris de bien des manières au fond il faudrait un grand respect de vente n’ont pas essayé de comprendre de les réduire soit à une épreuve de dieu soit à une névrose tout humaine il faudra l’écouter en lui-même pierre leiris disait admirablement ses
Psaumes ce sont nos psaume des profonds 10 moderne comme des cris venant des profondeurs de l’homme moderne abandonné décès chez nous nous donnons que trois de ses sonnets l’un tout à fait terrible le premier qui va être d’abord lu en anglais ils n’ont pas de titre le second comme
Un instant de paix de repos sein même de cet épouvantable angoisse le troisième qui date pourtant de la veille de sa mort un mois avant qui est non seulement presque désespérée mais un peu comme une moquerie sur lui-même c’est là la suprême bouleversante humiliation de ce grand génie nord-ouest de riesener
Peach des griffes mon pain gsell school de fort benning while the rings the way we were here comes the thing mairie marc hovasse ou un réseau de l’ihf mike rose riverains demandent aux relais nominatif pur world soro jobs est mort in the thing de livres furent écrites non lindgren let me be
Fait la force amos beef au démarage malheureusement d’un clip the wolf wright paul scheer nommé martin aux antilles mais vous n’avez robert naudi crypte reach nom de pire rien le noir que le noir des chagrins affres fruits d’affreux vieille affreusement vont m’écraser consolateur ou dons ou des aides à consolation
Marie mère de nous tous où donc est on soutient may cry montrent bel temps foule afflue en un malheur majeur un malheur monde sur l’antique enclume il vibre et juin puis sa lentille s’abandonne hurle furie pas de sursis serait cruel force dans la voir tôt finie à l’esprit esprits à ces montagnes
Effrayante falaise aux apic de vertige un sondés seuls les minimise qui n’y fut suspendu et longtemps ne peut notre infime endurance affronter cet aplomb cet abîme et si sous le sous la queue souffle la tempête un tour de vis mort met fin à chaque jour meurent dans le sommeil mon propre coeur
Que j’en aie pitié qu’avec mon triste mois désormais je vive tout en douceur charité ne vivent des tourments de mon esprit par cet esprit encore de ses tourments tourmenté je me jette un réconfort sans pouvoir l’attraper et tâtonne alentours de mon désolé comme les yeux aveugles dans leurs nuits 4 jours
Où la soif sans fin sa soif en lots d’un monde inondées am moi pauvre mois gueules rouges de lady flapi laisse ce à dire un peu dépensé ailleurs laisse réconfort s’enraciner croître la joie quand voudra dieu comme voudra dieu dont le sourire n’est pas forcé vois tu mets imprévus
Tels le ciel entre paumelle de sim illumine une belle lieu le front du berger fourchue d’éclairs emporte toute l’horreur la dévastation et la gloire les anges dombes ils sont des tours du haut du ciel histoire de juste majestueuse géante plainte mais l’homme nous échafaudage de petits os cassant y
Respirons poupon rentrer bientôt chenu a hoqueté dont le souffle et notre memento mori qu’elle bat c’est notre violent pour les tons tragique lui main à la bouche il vit ce vide honteusement et malgré son haut non brillant et blasonnés homme un pur qu’aucun le mec sa compagne une garce
Et moi qui meurent ces morts qui nourrit cette flamme qui au miroir des cuillères et pis la vie masqué dont tu mets tempête là mais faisait fièvre fait de chichis parmi les poèmes que l’on vient d’entendre trois des sonnets terrible celui qui m’inquiète le plus ce que je trouve le plus étonnant
C’est le dernier lui je pense le front du berger fourchue d’éclairs parce que là on trouve la trace très mystérieuse en fait mais la trace évidente d’un échec il semble que pour hopkins finalement l’homme se vide de toute sa substance et que les mots eux-mêmes et besoin d’une dernière évacuation un petit peu
Honteuse comme si l’homme était une sorte de composites sans visage si vous voulez et comme s’il y avait au creux de l’homme un sas et l’image du sas elle est présente dès les carnets hopkins note ceci petite note sur le passage de l’eau à travers un sas
Dans l’hudson ceci je passe au sas d’un sablier contre la paroi ferme mais miné par un mouvement une coulée qui sa meute et qui ce quart d’heure vers la chute cet univers plein d’eysines skate cette sphère parménide yen si je peux dire ronde lice dur comme un joyau comme un
Bijou et bien l’être elle se vide et ça c’est l’effroi ça c’est l’ angoisse à c’est ce qui me semble être le plus terrible dans l’essonne est terrible oui mais je pense que cette angoisse est à l’origine des sonnets terrible et que donc c’est là à un cercle vicieux je
Veux dire si l’échec est à l’origine de la réussite il n’est plus un échec oui on te j’avoue que je ne sais plus que dire n’est ce pas car ce poème a été longtemps interdite de publication pratiquement il était même pas remis depuis le début parmi les poèmes publié
D’abord il n’a pas été publié dans la première édition puis dans les éditions suivantes il a été mis comme honteusement dans les poèmes inachevé tellement il semble bien qu’il était un peu effrayant oui oui mais je pense qu’on ne peut pas non plus négliger c’est cet élément très
Fort de dérision qui lie h et hopkins a fait partie de de son talent au même prix que la minutie enfin ce mot stupide et borné de masochisme peut-être qu’il y a une certaine veine d’autodestruction g chez hopkins mais qui va vers la création qui est outil de création
Il y as certainement une sorte de soumission de renoncement de souhait que la volonté se plie de répétition du fouet enfin d’autodérision mais justement c’est une veine créatrice à mon avis hopkins ne cesse de renverser le sablier et même si ce poème est un ultime même s’il date d’un mois avant sa
Mort même s’il manifeste très profondément un sentiment d’échec le fait même qu’il soit ce point claquant martelé et réussi deux parents pas prouve bien que le sablier chaque fois se renverse l’échec et la réussite chez lui sont sains et en même temps ou à peu près à la même époque où il
Écrivait cessonnais du fond du désespoir qui sont dérision en plus comme des planes de job il écrivait c’était d’ailleurs une tentative qui elle-même avortait jette un poème inachevé cette epita l’âme qui se veut en même temps qu’ils vivaient c’est effroyable déréliction un ultime ims ce qui prouve
Que vraiment chez lui tout se renverse immédiatement et dans l’instant le fond du désespoir touche à la joie possible et j’avoue en effet pour ma part qu’il ya un mot dans ce dernier sonnait le même jack dont l’allusion n’a pas pu être rendu en français qui est directement une citation de shakespeare
C’est jacques dans qui veut dire qu’aucun mais qui est employé d’henri iv appliqué à fond et c’est le thème du fou dans shakespeare le fou comme disait dans sa dernière lettre deux semaines avant sa mort à ses parents simone weill les fous dans shakespeare sont les seuls
Qui disent la vérité il y a là une espèce d qu il me semble de la plus grande la plus haute jenny la poésie anglaise que sans qu’il ait presque voulu hopkins nous donne et la splendeur dont vous avez parlé va nous offrir un final comme un dernier rim à la gloire du
Monde à travers une simple promenade dans la campagne l’été où ce grand génie ce bug parmi des jeunes enfants comme n’importe quel homme du monde [Musique] écoute entendent elle entend ce que je fais prête toi feint de croire d’être enfouis quelque part sous la capuche feuillus d’un bois
Branchies bossu au berceau bissau ne valons du sud gorges du lancashire plus du devon qui s’incline au flanc des collines où couleurs de candy de brune glu doré une rivière marmots reanbell turbulente entre rock et racines descendance ce dodeline tout en écume et bulles d’eau nous sommes là quand nous parvient une
Clameur qui fait frémir et raimu les dans l’air le rideau des chèvrefeuilles les coudrier corner sous le couvert c’est l’émeute d’une meute de garçons venus sans doute de la ville à leur baignade bien souverain de l’été près de la passe 1 étrangers disent très attiré par le bruit il descend vers la
Rivière invisibles ils voient leur s comment les gars avec une audace de dauphin s’enfonce et le corps lisse et luisant comme r1 émergents pêle-mêle dans la terre monde et leur monde hello monde se fondant mill road rayonnant cette guirlande gambadant flambe sa poitrine d’un site brusque transport
Pour les joies de l’été qu’il vole à l’étang proches et ce qu’ils voient l’emportent suavistes fraîcheur dhombres clause enchanté être de soi fresnes en volutes de réussie comores horn blanc sauvage charme etc fret étage leur feuillage alentours flou sur flot de feuilles flammèches légères ainsi lancé peintes sur l’air plane comme faucons ou
Sphinx crépusculaire comme les étoiles où les anges du ciel comme chose qui ne connut jamais la terre jamais une racine a surgi il fait ses fastes mais suffit soudain il ôte arrache à la fois le linge et lainage pêle-mêle en un tas colorés ils gisent dans tortiller puis mèche parents l’oeil front plissé
Crispés devant la tâche à ses doigts taquine vite il délaisse ses souliers serré puis les arrache pour pouvoir de ses pieds nus fouler le sol et s’avancer vers un bassin massivement bâti deux blocs de roche creusé par le hasard self et carys l’illustré où l’eau en son baby lee bondit herbeuses et cristalline
Résident de rayon evry vif argent et duos de la lande sa fraîcheur de ciel la remplit toujours la nuit et le jour inlassablement cette ici oui c’est ici qu’il valait c’est l’élément rapide et red délicieusement glace et se briser contre ses membres à loisir c’est là que nous
La bombe nous follement folâtre alors qu’il jette partout les yeux et riz et nage 2 on diane de margerie françois xavier beaujard patrick bremaud andré dhôtel et jean membre hinault vous en parlez de gerard manley hopkins les poèmes été lu par jean faubert genthod par et catherine seles vous
Rappelant que les traductions de gerard manley hopkins par jean membre hinault paraîtront prochainement chez seghers prise de son jean paul herbert collaboration technique mireille françois assistant de production françoise de ville réalisation jeanne rôle inverse [Musique] 1 [Applaudissements] et