🎙️ Dans ce nouvel épisode exclusif de UNIK, Hélène in Paris est ma Rencontre Inspirante de cette semaine.
    🧠 Dans cette vidéo, Hélène nous partage son parcours de vie exceptionnel dont elle est l’architecte hors pair. A la fois entrepreneure, artiste et chanteuse, Hélène a littéralement vécu 1001 vies hors du commun. Durant cet échange intimiste, on discute de réussite, d’audace, des opportunités à saisir, des relations avec les autres, et de beaucoup d’autres sujets passionnants !
    📺 Hélène in Paris nous livre ici, sans filtre, comment ne pas avoir peur d’oser et comment poursuivre ses rêves.

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    Franck Nicolas, depuis les 20 dernières années, a une passion: aider les gens et les entreprises à maîtriser les stratégies de l’engagement maximal, pour leur permettre de passer au niveau supérieur dans la mise en œuvre de leur vision et de leurs projets de croissance.

    Peu importe votre degré de réussite aujourd’hui dans votre carrière, votre entreprise, vos finances ou votre santé, ce n’est qu’un début. Président de quatre entreprises, Franck est considéré comme une autorité en stratégie du leadership & entrepreneuriat dans la francophonie.

    Il est aussi appelé par ses participants “le coach des coachs” pour avoir formé nombre de professionnels et aidé des dizaines de milliers de personnes, notamment grâce au Programme Spark. Franck adopte une approche andragogique qui permet d’entrainer son mental, son corps et ses émotions.
    “La plupart des leaders d’entreprise et des entrepreneurs ont misé essentiellement sur l’accumulation des connaissances avec une perte de focus dans la mise en application.
    Les professionnels ont davantage un problème de résultats que de connaissances.”
    Ce dont Franck est aussi le plus fier c’est de pouvoir à présent contribuer pour un monde meilleur au sein de GLOB mais aussi de ses activités de Philanthropie.
    Ayant souffert lui-même durant son enfance de manque d’argent et élevé dans un quartier défavorisé, il consacre une grande partie de son énergie à redonner à ceux qui en ont le plus besoin.

    #oser #francknicolas #entreprendreaufeminin #réussite #entrepreneur #inspiration

    J’ai toujours été une battante. Ce n’était pas l’argent qui m’a motivé, c’est la réussite, la réussite, la satisfaction quand on réussit l’étincelle. Et de dire à Hélène. In Paris. Madame Hélène in Paris ça. Elle a explosé les compteurs YouTube pendant le qu’Ovide, elle a failli représenter la France à l’Eurovision.

    Mais la plus américaine des Parisiennes est aussi une entrepreneuse du luxe et de la déco. Elle dévoile ses 1000 et une vie dans Unique. I’m gonna do it. I’m gonna fucking do it. Beaucoup de clients, des millions de dollars de ventes. Ça a été le jackpot immédiat. Le New York Times est venu.

    Tout le monde venait. Barbra Walters qui venait, Spielberg qui venait. The sky is no limit. Pour rêver grand et rien n’est impossible. Même si des fois, quand tu as la trop grande vie, tu oublies qui tu es. C’était superficiel à fond. Ça peut mener qu’à l’échec ce genre de vie.

    Puis le 11 septembre, tout s’est arrêté. J’ai fait zéro zéro zéro zéro le premier mois. Tu as vendu ta boîte. J’allais m’embarquer dans une aventure que je ne connaissais pas. Donc j’ai pris mes enfants avec mes valises. Quel courage ! Tout est possible, Il n’y a pas d’impossible pour moi.

    J’ai déposé ma demande à l’Eurovision. Elle est folle, mais finalement, j’ai été prise parmi les douze premiers pour être dans la finale Synchronicity. Il ne faut pas faire attention à ce que les gens disent. J’utilise toutes les opportunités. Je rentre dans tout. Je lève la tête vers Dieu.

    J’ai Alright, Let’s do it ! Soyez déraisonnables, ayez l’audace de choisir vos valeurs pour faire de vous un grand leader pour un monde meilleur. Bonjour, je suis Hélène et Paris avec Franck Nicolas. Je ne pensais pas que tu le dirais avec l’accent anglais. Of course. I love it !

    Come on ! Comment tu vas ? Bien ? Super ! Je suis content de te recevoir. Mais je suis ravie de te rencontrer et de te connaître. Moi aussi. C’est le. Début d’une grande amitié. Ça c’est certain. Je suis sûre. Je voulais vous présenter Hélène in Paris. Pour quelles raisons ?

    Je vous présente Hélène parce que vous savez que dans nos émissions, dans nos podcasts, on est là pour vous inspirer. Aujourd’hui, on va vraiment rentrer dans la tête d’une femme aux 1000 et une vie. C’est bien 10 000 et une vie. Oui, oui, incroyable ! C’est dingue parce que moi même je me surprends.

    J’ai tellement fait de choses, tellement je me suis tellement accrochée, je me suis tellement battue et voilà, voilà, J’ai vécu toutes ces vies là et c’est c’est pas fini. Tu es née riche, multi-milliardaire. Tout était facile. Ah bon, d’accord, je. Suis issue d’une famille très confortable, à l’aise, bien.

    Mais j’ai toujours été une battante. J’ai toujours été une travailleuse dans le sens j’ai été élevée dans dans du coton, on dit avec la cuillère en argent. Les femmes ne travaillaient pas tellement. Née à Meknès. Au Maroc, j’ai grandi à Casa puis à Paris. Je te raconterai tout après.

    Et on m’a plus élevée pour épouser un beau monsieur, pour avoir des enfants. Et donc j’ai tout fait sauf ça aussi. J’ai eu des enfants, bien sûr, des magnifiques enfants, mais j’ai eu une vie extraordinaire. Oui, avec des problèmes comme tout le monde. Mais voilà. Hélène, commençons justement née à Meknès,

    Au Maroc, avant hier, comme moi exactement. Et avec Waouh ! Ouais, c’est trop mignon. Quelle était ton enfance ? Une enfance pleine d’amour, pleine de câlins, pleine de. Et c’est peut être ça qui m’a rendu costaud, solide comme ça. Parce que quand on reçoit autant d’amour, on a des bases extraordinaires.

    Que faisait papa maman alors ? Papa était dans les transports à l’époque, à Meknès, après à Casablanca, dans les transports de camions, c’est à dire de kérosène, des trucs comme ça. Un entrepreneur, un big. Entrepreneur, big entrepreneur. Oui, il a. Commencé, il était, il était du grand grand sud marocain du désert marocain.

    Il a été orphelin à l’âge de quinze ans à la tête de huit ou neuf enfants donc, et son père avait laissé un camion. Donc il a dû quitter l’école et se mettre au boulot. Et puis il a créé sa situation extraordinaire plus tard en France. Et c’est magnifique. Self-made-man, complètement.

    Donc si tu veux, j’ai toujours eu un exemple extraordinaire et j’ai toujours voulu réussir pour faire plaisir à mon père. Ça a été et là il est parti, il nous a quitté et je continue à vouloir lui faire plaisir. Et maman faisait quoi ? Maman était sympathique, drôle, qui nous amuser toujours.

    Non, elle ne travaillait pas. Et quel genre de petite fille tu étais comme maintenant. C’est génial ! Je savais ce que je voulais, J’étais tout le temps la meneuse de bande. A toujours, toujours. À dix ans. Mais tout le temps Leader. Je savais ce que je voulais et depuis

    Petite, j’avais dit un jour et mon père le savait. J’ai dit un jour j’habiterais aux Etats-Unis et je me marierai avec un Américain. Mais tu avais quel. Âge quand tu as dit ça ? Onze, douze. Ans ? Est ce que l’ambition, l’audace, voir grand, réussir, c’était important dans la famille ?

    Plus papa, mon père, oui, mais plus moi. Ce n’était pas l’argent qui m’a motivé. C’est la réussite, la réussite, la satisfaction quand on réussit. Être connu ou pas. C’était quoi la réussite ? Non, la satisfaction de dire je suis arrivé, je l’ai fait. Donc les défis.

    Le défi et de dire I did it de se fixer un objectif. Et des fois, ce sont des objectifs impossibles à atteindre. Mais moi, tout est possible. Il n’y a pas d’impossible pour moi. En fait, il n’y a pas de Sky is the limit, there is no limit.

    Mon expression, c’est The sky is no limit, Pas de sky is the limit parce qu’il n’y a pas de limites dans ma vie. Et donc, à deux ans, tu quittes Meknès. À deux ans, je quitte Meknès et donc j’ai grandi à Casablanca jusqu’à l’âge de

    Treize ans et à treize ans, j’ai déménagé en France. Donc treize ans terminer le Maroc, terminer le Maroc. Mais on retournait tout le temps dont tu parles. C’est papa maman qui quitte alors le Maroc. Pour quelle raison ? Pour moi, parce que j’avais plus envie de vivre au Maroc.

    C’était pas comme j’avais toute la famille de maman qui habitait en France, tout le monde était libre, on faisait ce qu’on voulait et petite fille au Maroc, c’était plus difficile. C’était. A la même chose. Très belle vie mais plus contrôlée. Et tu arrives en France.

    C’est la vie est belle. C’est le cas de le dire. Là c’était la liberté. Je sortais, je faisais ce que je voulais comme je voulais. C’était en New York. Exactement. C’est vrai. C’était génial. C’était mon New York de l’époque, tu vois, C’était la splendeur de Paris.

    Mais c’était important pour tes parents que tu puisses réussir études et études. Alors tu pars à Dauphine. C’est ça ? J’ai fait Janson de Sailly. J’ai fait Dauphine. D’abord, je faisais beaucoup la fête. J’adorais. Oui, oui, j’ai beaucoup travaillé. Fiesta, boîte de nuit, jet set. Les jet set, les boites de nuit.

    Tu es un animal social toi. J’adore. J’aime les gens. J’adore les gens. Et ça depuis toujours. Depuis toujours. Donc finalement, boîte de nuit, jet set sortie, c’est pour connecter, pour. Passer des bons moments, pour faire pas la fête. J’aime pas dire la fête. Oui, à cette époque.

    A cette époque là, on partageait. Des bons moments avec les. Gens, être en groupe sympathique. Donc c’était Régine, l’aventure, Jimmy et Régine et je rentrais très tard et j’allais directement en fac. On m’a. Changé, tu t’es changé et je suis. Allé à la fac sans. Dormir. Non ?

    Ah oui, mais t’étais résistante comme femme déjà. Et donc Fiesta France etc. Et tu dis à un moment donné bon, c’est bien, mais il me faut plus. Et à 25 ans, qu’est ce qui se passe ? Il y a un. Copain qui m’appelle et qui me dit Écoute

    Hélène, j’ouvre Fred, vous savez Fred, Jules il m’appelle et me dit voilà, j’ouvre une nouvelle joaillerie à Rodez au Drive in Beverly Hills. Viens pour l’inauguration, viens, viens dormir à la maison. J’ai dit OK, donc je vais directement à Lausanne. Mais comment tu avais ces copains aux Etats-Unis en arrivant du Maroc ?

    Fred Mais je connais tout le monde dans le monde entier. Donc déjà tout jeune, tu réseauter. Je suis une bombe de J’adore les gens. Donc quand on aime les gens, automatiquement tu les attires. C’est vrai. Il y a un magnet, c’est. Vrai. Voilà.

    Est ce que tu es d’accord avec moi que quand on veut développer sa carrière et ses affaires ou sa vie, il faut aller vers les gens, rencontrer les gens ? Everything is about people. Oui, mais il ne faut pas se forcer, Il faut tu te forces pas, jamais, jamais.

    Il faut être libre, naturelle, spontanée. Il ne faut pas calculer. Je ne calcule jamais. Je déteste calculer. J’aime être moi même. I have to be me. Donc, à 23 ans, tu as déjà des amis sur la planète ? Quoi ? Oui, beaucoup, ça c’est fascinant.

    Donc je pars à Los Angeles et Someone Set me up. On a Blind date et à l’époque il n’y avait pas. Il n’y avait pas Google, il n’y avait pas de, il n’y avait pas. Il n’y avait. Pas de réseaux sociaux. Tous les sites. Etc. Donc je ne pouvais pas checker quel est

    L’animal qui allait venir me chercher pour aller dîner. Donc je sors dîner et ça a été le coup de foudre, non ? A Total attends, t’as 23 ans, on te demande d’aller à Los Angeles pour l’inauguration ? Oui. Et j’arrive à Beverly Hills. C’est exactement. Exactement.

    Et il y a un mec qui m’appelle. Il me dit Luke, je vous mentirais si je vous disais que j’étais le Messie. Ce soir, je suis libre. Voulez vous dîner ? J’ai dit Pourquoi pas ? Il vient me chercher et that’s it.

    Et à la fin de la soirée, on savait qu’on allait se marier. Mais c’est un truc de. Ouf. I know it ! Et lui aussi le savait. Et le lendemain, il m’a présenté à ses parents. Carrément. C’est. C’était. C’était fait. C’est rare quand même, C’est rare. Et donc là, on passe ensemble.

    Combien d’années ? Dix ans ? Dix ans. Et on a deux enfants, deux enfants. Donc on se met ensemble. Je rencontre le prince charmant. J’ai deux enfants, mais toi tu as 23 ans. Tu fais quoi comme boulot là bas du coup ? Alors ?

    Mais que veux tu qu’une française fasse à L.A dans les années 80 ? J’ai dit je vais commencer un business de mode. Alors j’ai commencé d’une chambre. Sans rien y connaître. Nothing. Mais moi, c’est ça qui me passionne, c’est de commencer quelque chose quand je ne connais rien.

    Incroyable ! C’est ça qui est plus palpitant. Ce que tu apprends dans le tas, tu vois jamais la. Peur de l’échec depuis tout ton. Parcours ? Non, de temps en temps, tu as des petits papillons parce que tu as tout le temps.

    Au départ, j’avais plus des petits papillons parce qu’il y a le jugement. On a plus la mentalité du jugement des autres. En France, quand tu as plus une mentalité anglophone, tu t’en fous. Mais là. T’arrivais quand même de Meknès et de

    France, donc tu avais quand même une sérieuse empreinte du jugement des gens. Tout le monde attendait de voir ce que j’allais faire, etc. Et j’étais la fille de mon père aussi. Oui, voilà. Donc là tu te lances dans la mode, mais. J’ai commencé à faire quelques

    Échantillons dans une chambre de service dans notre maison. Et puis j’ai présenté une collection au David Center a New York. Et puis j’ai eu tout de suite genre 1 million de dollars de commande like et mon sac Fifty Avenue est venu Blooming dal, C’est venu un.

    Maroc. Parce que tu avais des relations déjà ? Non, rien du tout. Non, non. Mais tu savais coudre ? Non, pas du tout. Mais j’avais pris un échantillonnage, on avait fait quelques échantillons, j’avais décidé de faire des couleurs sorbets, donc j’avais acheté de la teinture. J’avais fait ça dans mon lave linge que

    J’ai dû remplacer parce que je l’ai foutu en l’air, je l’ai. Foutu en l’air. Et voilà. Donc j’ai fait ma collection que j’ai présentée. Et puis tout d’un coup, il y avait plein de gens qui sont venus et qui ont commandé. Mais mon problème c’est que j’avais toutes

    Les commandes en main, mais je savais pas comment livrer, je savais pas comment, je connaissais personne. Donc il a fallu que je me retrousse les mains et que je dise ok, let’s go ! Donc j’ai débauché des productions, manager, des shipping, manager, des des voilà.

    Mais là on parle en un mois, en six mois, en un an. Alors j’ai livré trois mois après. Et là tu as 20 85. Ans, j’avais 25 ans. Bah ouais. Ça paraît tellement simple quand tu le dis. Ça paraît simple, mais j’ai travaillé non-stop. Je suis une très grosse travailleuse. J’adore bosser.

    Oui, j’adore ça. C’est des semaines de combien d’heures ? Là. Il y a plus ? Il n’y a pas d’heures ? Je sais pas, je travaille, on sait pas, je calcule pas. Et donc, à la suite de ça, j’ai ouvert une boutique sur Beverly Hills et après

    J’avais des showroom à New York, à Dallas et les Miami et voilà. Et ta marque c’était. Pistache. Pistache et ça remportait un large succès. Très. Super, super. Succès. Donc là, c’est beaucoup de clients, des millions de dollars de ventes et pas des. Millions, mais bien réussi. Quelques, quelques millions, quelques millions.

    En tout cas, c’était suffisant pour toi pour t’apporter cette fierté, ce plaisir. J’avais déjà réussi. La petite Française qui arrive aux États-Unis, qui fait une petite collection d’une chambre de service et avec une machine à laver en train de mettre et rajouter les couleurs, etc. Et voilà, un délai incroyable. Voilà.

    Et c’était génial ! Et après ça, moi dans ma vie, il y a toujours eu des détonateurs, il y a toujours eu la rencontre, le coup de foudre avec l’étincelle. Avec mon Américain. Ça fonctionne très bien pour toi. Là bas. La grande. Ville, c’est la grande ville.

    Là, voilà Beverly Hills hôtel, la cabana, la piscine, etc. Très ami avec Liner Richie d’ailleurs si nous vois je fais coucou, très ami avec Sidney Poitier avec toutes. Des stars. Voilà les stars qui venaient à la maison. Donc c’est la belle vie, c’est le grand monde, c’est la jet set, c’est too much.

    C’était là la trop grande vie. Qu’est ce que tu veux dire ? Tu sais, des fois, quand tu as la trop grande vie, tu oublies qui tu es et surtout quand tu es beaucoup plus jeune. Tu vois, tu te laisses porter par des

    Choses et tu as un manque de vrai, un manque de profondeur. Et surtout aller à Los Angeles, c’était. Superficiel, à fond, très très surtout. Ça peut mener qu’à l’échec ce genre de vie. Oui. Oh my god ! J’ai aimé Rising. Oui, oui, je. Connais. Il te regarde même pas.

    Mais il te regarde. Ils font. Ils regardent. Non, non, ils font comme ça. Gorge. Oui, oui. Donc ça, à l’époque, ça te choque un petit peu, mais tu fais du bien. Ça ne m’a pas choqué. Je suis rentré dans le jeu, je suis rentré dans. Le jeu de la modélisation. T’as imité.

    J’ai beaucoup travaillé, je me suis occupé de mes enfants, j’ai mes enfants. Mais à force d’imiter comme ça, est ce que tu me dis on peut se perdre aussi ? Tu t’es un petit peu perdu. À un moment donné. Je me retrouvais plus, j’étais plus c’était. C’était pas pour moi.

    Un jour, à la naissance de mon fils, je me suis juste après l’accouchement, j’ai dit c’est pas ma vie. J’ai eu un déclic comme ça. Et quand j’ai des déclics, je me casse. Donc là du coup, tu divorces. Je divorce. Et direction New. York, direction à temps. À. Je suis revenue à Paris.

    Je me dis que Attends ! Direction 1000 et une vie. Qu’est ce que je voulais que je vous dise ? Direction Paris. Tu repars à Paris. Évidemment, avec les enfants et tout ça. J’ai fait un deal avec mon mari. Je lui ai dit Ecoute, tu me laisses les enfants, je ne veux rien.

    Donc il était très content. Donc j’ai pris mes enfants avec mes valises et on a quitté. Quel courage ! Tu as vendu ta boîte ? La boîte, je l’ai laissé à mon associé qui l’a gardé parce qu’à la fin j’avais un associé et j’ai dit à Leave a don’t stop.

    Et là j’ai dit Écoute, on fait un deal. Moi, l’essentiel, ce sont mes enfants. Parce que quand tu habites à L.A. J’avais une autre copine française qui avait divorcé en même temps que moi. Elle était obligée de rester vivre à Los Angeles.

    Parce que tu ne peux pas sortir les enfants des Etats-Unis et surtout de l’État de Californie parce que les enfants doivent rester en Californie. C’est comme ça. Et donc j’ai fait un deal avec mon ex-mari de prendre mes enfants et donc j’ai réussi à les emmener ici.

    Donc on est arrivés ici et au bout de valises. Enfin voilà, je me suis installée et j’ai mis les enfants à l’école américaine. Ils étaient tout petits encore, alors j’ai deux enfants. C’est une fille qui est très franco marocaine à fond et mon fils qui est très très très américain.

    C’est genre à voir le drapeau américain, il se met à pleurer. Donc c’est des opposés. Et mon fils me dit Ecoute maman, si moi j’arrivais pas à me réhabituer à la vie de Paris parce que c’était revenir dans le.

    Au sein de la famille et les obligations familiales et tout ça, c’est pas pour moi. J’ai besoin d’être libre. J’ai toujours été libre et donc mon fils me dit Maman, si tu ne vas pas aux États-Unis, je vais vivre avec papa. No way, la. Grande claque là !

    Alors j’ai décidé d’aller m’installer à New York. Je ne savais pas. Je ne connaissais personne. Donc j’ai dit Où est ce que je peux ? Pourquoi New York et pas Miami ? Pourquoi ? Parce que j’ai dit New York. J’ai fait. J’ai vu la carte des États-Unis.

    J’ai dit O.K. New York. Incroyable ! Voilà. Donc là, c’est vraiment. Il n’y a rien de réfléchi. Rien. Il n’y a pas de la stratégie. Non, non, non. Spontané. Alors que j’avais jamais. Si j’avais été en visite à New York. Quand on va deux ou trois jours, tu vas te balader.

    Donc tu arrives. À New York et tu connais. Personne. Personne. Deux, trois personnes, ça va, mais c’est pas. Et puis les conseils de mon père, il m’a dit Ecoute Hélène, pourquoi tu ouvrirais pas un petit magasin To give you and incentives pour te donner un but, un but, un revenu aussi ?

    Alors j’ai dit OK, donc j’inscris mes enfants à l’école et je fais le tour. J’appelle Cushman Wakefield, tu sais, la boîte immobilière aux États-Unis et je me mets à chercher des boutiques. Et là on m’amène Et évidemment, tu demandes quelque chose de

    100 mètres carrés, on te demande pas 100 mètres carrés, on te montre 300 ou 400. C’est New York, c’est comme ça. Mais tous les agents immobiliers, tu leur demande quelque chose. On te donne, on te monte beaucoup plus. Haut, plus cher. Ou plus cher. On me montre une boutique dingue, dingue,

    Dingue, qui faisait plus de 350 mètres carrés sur Madison Avenue. Je rentre là dedans. Pierres de taille, balustrades, des mezzanines à droite à gauche comme pour mon mari. Le coup de cœur On va se marier. On va se marier avec un jardin. Et j’ai dit C’est dingue, je veux.

    C’était quand même un coup de poker. D’abord, on n’a pas voulu me le donner parce qu’ils ont dit une femme, mais. Tu n’avais pas d’arriéré. Si tu avais, tu avais l’entreprise de l’époque. Mais bon, pas assez. C’était pas. Mais tu avais plus de compte bancaire là bas et tout.

    Donc là, ils demandent en général de tout remonter. Tous les comptes, les assurances, les comptables. C’est l’enfer toute seule. Mais toute seule. Alors là, c’est le moment où j’ai eu la plus grande boule des papillons dans le ventre. Parce que ce que j’avais fait, j’avais commencé à.

    J’avais laissé mes enfants et j’étais à New York seule pour préparer le terrain. Et tu sais, même si tu es bien installée dans un bel hôtel, etc. Quand tu as de l’angoisse, un peu la trouille, tu peux être dans un bel hôtel, un moche hôtel whatever. C’est ton intérieur, c’est toujours le même.

    Absolument. Et donc c’est là où j’ai eu des papillons dans le ventre. T’as eu peur ? Un peu le trac ? Oui, c’est normal parce que j’allais, j’allais m’embarquer dans un dans une aventure que je ne connaissais pas. Investir beaucoup, faire beaucoup de projets. Vous entendez les mots qu’elle utilise qui

    Estompent complètement l’intensité émotive. J’avais des papillons par forte intensité émotive, j’avais le trac. Le trac. C’est une faible intensité émotive aussi. Vous réalisez ça ? Tu as conscience des mots que tu utilises en ce moment pour décrire une situation qui aurait pu être effrayante, Non ? Mais pour toi, Non, non.

    C’est à dire que tu prenais suffisamment de recul en étant positive, en disant It’s ok, I’m gonna do it. Non, j’ai pas dit OK, I’m gonna wait, I say I’m gonna fucking do it. Ouais, ouais, mais là, tu avais une confiance en toi. Incroyable. Ben oui, han ! Stop !

    Mon père qui m’a dit Hélène à chaque fois quand il me posait la question Tu es sûr ? Je le regarde et je dis positive. Une fois que je donnais cette parole, je pouvais plus faire marche. Donc là, c’était un magasin de décoration. Alors je ne savais pas ce que j’allais faire.

    Non, non, non mais tu vas pas prendre 300 mètres carrés ! Mais non, je sais pas. Mais arrête ! Je ne savais pas alors ce que j’ai fait. Mais non mais attends, attends, t’es en train de me dire que t’avais juste un peu le truc, un peu le papillon ?

    Tu prends un truc du 300 mètres carrés alors que t’en voulais 100. Tu arrives à New York, Tu connais personne. Avant de signer le bail ? J’y retournais régulièrement. Matin soir, je restais assis. J’ai dit Qu’est ce que je vais bien pouvoir vendre de choses ? Qu’est ce que je vais bien ?

    Non mais c’est incroyable ! Quand je vous parlais d’audace les amis. Qu’est ce que je vais pouvoir vendre dans cette boutique ? Dans ce. Et je me suis assis, j’ai dit J’ai l’impression d’être chez moi. J’ai l’impression d’être à la maison, à la maison. Je l’ai appelé à la maison.

    Et c’est comme ça que j’ai créé chez moi. J’ai créé une maison, j’ai fait salon. C’était très novateur à l’époque. Dans les années, au début 90, j’ai fait salon salle à manger, j’ai fait une chambre à coucher, j’ai fait une cuisine, j’ai fait un jardin, j’ai tout décoré comme dans une maison.

    Tu venais. J’avais les coussins, les canapés, les fleurs, les tables dressées. Mais tu arrives là bas. Et combien d’économies, toi ? Parce que tu prends un truc de 300 mètres carrés ? Tu t’inquiètes pas ? Tu as de quoi vivre pendant combien de temps ? Six mois ? Un an ?

    Deux ans ? Cinq ans pour savoir si tu avais une assise financière. Je me suis lancé et ça a été le jackpot immédiat. Alors je vais te raconter pourquoi. C’était quelque chose qui n’existait pas. C’était une maison, une boutique maison. Donc les gens venaient.

    Et regardez en plus l’américain, il t’achète pas un verre et ta chatte la table vers les fils qui pendent et tu achètes et tu achètes tout avec la totale. Voilà. Parce que c’est comme ça, il. Veut du client en main. Il veut des clés en main.

    Donc j’ai ouvert quelque chose de très novateur. Ça a été la curiosité. Tout le monde venait. J’avais Barbara Walters qui venait, Spielberg qui venait. C’était c’était vraiment. Il y avait le tout Hollywood qui venait. Et quand ils achetaient, ils achetaient gros. Et ce que j’ai fait. Un mois après, j’ai fait un Frontpage.

    Home section New York Times. Et là. Il faut quoi ? Il faut payer. J’ai pas payé. Mais non. Ils sont venus. Ils sont venus me voir. J’avais ni pire ni rien du tout. Ils sont venus me voir. Le New York Times est venu. T’as fait une.

    Alors que les gens se prostituent à fond. Ou alors il faut payer des belles annonces. Mais rien. Rien. Donc parfois je trouve qu’on a des fois la lumière. Non mais c’est la synchronicité, it’s like. Et donc le New York Times est venu et m’ont dit voilà, on veut vous faire une interview.

    Ils sont venus me prendre en photo, j’avais ma photo Frontpage et là, get it ! Ah oui. Alors là, c’est l’explosion, c’était les. Cadeaux d’entreprise, les cadeaux de fête, les cadeaux. Le camion de livraison ne s’arrêtait pas d’aller livrer. Voilà, c’était génial. Donc là. T’as vécu de belles années.

    Fabuleuses et après il y a catégorique du Today show. Elle m’a dit You I want you are here in my show. Et en plus c’est du direct, c’est pas une interview qu’on ait dite à me couper, etc. Et j’ai fait un défi de faire trois tables dressées pour deux personnes chacune dans le.

    Show, dans. Le show, chacune à 100 $ tout compris. Ça aussi c’était nouveau à l’époque, mais. J’ai pas pris les choses de bon magasin. Si j’avais pris trois articles, on aurait atteint les 100 $. Donc ce que j’ai fait, j’ai fait Walmart, Kemar, Jessy, Penny Hum. C’est malin ça !

    Et j’ai fait trois tables et ça a tellement bien marché. Mais le direct sur NBC, c’est. Oui, mais qu’est ce que tu veux. Dire ? C’est effrayant au départ, tu sais, même après c’est toujours effrayant. Mais toi tu avais peur de rien quand même. T’avais comme tu dis, les petits papillons.

    Ah ouais ? Le premier. Show là, c’était les gros papiers, le. Premier show. J’avais l’impression de tomber dans les pommes. Mais bon, c’est. Toujours comme ça. C’est le. Trac. Oui, c’est le trac. Et après les shows d’après, ça a été. Donc finalement, tu deviens une célébrité, une figure connue, une petite personnalité publique.

    Et après j’ai monté ma propre collection de vaisselle, etc. Et j’avais mon show sur Home Shopping Network in Tampa. Donc là, on parle de combien d’années à New York ? Dix ans ? Dix ans ? Moi c’est dix ans, dix ans, dix ans. Ouais oui, c’est intéressant.

    Le dix il faut que tu retienne le dix dans un instant. Je vais te surprendre là dessus. J’aimerais savoir. Il y a eu finalement un départ le 11 septembre. Tu as quitté New York. Je commençais à être saturé de New York parce que grande ville et grande soirée épuisant.

    Beaucoup de soirées de charité. Parce que New York c’est très soirée de charité, c’est merveilleux. Et puis le 11 septembre, tout s’est arrêté. Au départ, je faisais par exemple 20 zéro zéro zéro par jour, J’ai fait zéro zéro zéro zéro le premier mois et j’avais quand

    Même entre douze et quatorze personnes qui travaillaient pour moi ensuite. Donc j’ai gardé tout ce monde là. Et après tu peux tenir un mois, deux mois et après tu fais 100 $ par jour 200 donc. Tu peux pas. Pas tellement repris ensuite du tout. Parce qu’après tu as eu la guerre de

    L’Irak, tu as eu la catastrophe aérienne à Boston après, donc c’était un peu la série noire aux Etats-Unis, c’est pas pour ça que j’ai quitté, mais. Il y avait un ras le bol, il y avait un contexte. C’était triste et j’avais envie de changer. Et donc là, tu changes pour Londres.

    Non, je savais pas. Ah non. Je savais pas. Il y a une copine qui m’appelle Synchronicity qui me dit écoute, il y a un monsieur qui vient de perdre sa femme et on aimerait bien te le présenter parce que des copines comme ça, il n’y en a pas beaucoup.

    Non, pas vraiment, non. Voilà. Et donc je venais tout le temps voir mes parents à Paris et j’ai décidé d’aller à Londres. Donc c’était dîner chez Harry Bar très chic. Oui, donc on a mis les belles tenues, les belles robes. À l’époque, je portais des bijoux, j’en porte plus, c’est vrai ?

    Non. Ça te gonfle, ça sert à rien. Oui, oui. Ça sert qu’à attirer le regard des autres. Un regard qui n’est pas nécessaire et je me trouve plus sympa et est plus belle sans bijoux. Ce que j’adore, c’est mes petits pompons de toutes les couleurs qui coûtent 10 €.

    Et voilà, c’est parfait. Mais ça te va bien. Les robes ne font pas 10 €. Je n’y connais rien anyway. Donc j’arrive à Londres. On me présente ce beau monsieur, un gentleman italien, banquier d’affaires. Ma belle. Ma belle affaire là. Mais. Et donc il me dit you know ?

    Je connais votre magasin sur Madison Avenue. Je viens d’emménager. Il était resté trois ans en travaux dans sa maison de huit étages à West Square. Un milliardaire ? Ah oui, oui. Et c’est sa femme qui avait engagé le plus grand architecte d’intérieur qui s’appelle Very Green. Et celui là, il m’a détestée après.

    Donc. Alors le mec me dit écoutez, je peux dire son nom, il s’appelait Pépé et il m’a dit Come to my house help me. Oui, c’est ça. Mais moi je me suis dit le. Mec il me drague à fond. Oui mais c’était. Il m’a bien plu quand même.

    Oui, donc tu t’es dit pourquoi pas ? Donc j’ai dit j’y vais à la guerre comme à la guerre. Donc j’arrive dans la dans la maison, il était encore en train d’accrocher des appliques etc. C’est dingue la vie des fois tu dis ça let’s. Synchronicity.

    Mais il faut être ouvert parce que je serai peut être pas venu le rencontrer. Il faut. Oui, c’est vrai, c’est vrai. Moi je trouve que j’utilise toutes les opportunités. Je rentre dans tout. Si ça me plaît, je reste. Si ça me plaît pas, je m’en vais. Mais je n’ignore pas les signes.

    Ah Knowledge, c’est très intéressant. Voilà, très intéressant ça. Je rentre dedans. Donc là, tu arrives chez lui, j’arrive. Chez lui et il me dit voilà. Alors il m’a montré, c’était très chic, gris clair, gris foncé, gris, gris souris, gris anthracite. Désastre. Et donc il me dit je like.

    J’allais pas lui dire que j’aimais pas. C’était très chic, mais très sombre, très triste. Alors je lui ai dit il y a un super. La focus. Très focus. Ah oui oui, mais j’allais pas. Tu peux pas dire à quelqu’un que t’aimes pas chez lui, non. Surtout en arrivant chez lui, non ?

    Et puis il m’a dit Ahhhhhhhhh ! Et il m’a dit je vais te proposer quelque chose de dingue, mais j’y vais. Voilà les clés. Tu refais chez moi carte blanche, je te jure, tu peux l’appeler. Téléphone PP et donc carte blanche. Pour refaire toute la met toute l’année.

    Il m’a dit tu fais ce que tu veux. Huit étages Alors sous sol, piscine, Les hammams, les saunas, vous en avez pour. Combien de temps de travail là ? Je sais pas, j’étais pas architecte d’intérieur moi, j’étais pas décoratrice, j’avais une boutique, j’étais dans la mode, j’ai jamais fait ça.

    Alors Et tu dis quoi ? J’ai dit Je suis désolée, j’habite pas là, j’habite New York. J’avais pas encore quitté, alors je suis allée vers New York et c’est impossible dans les villes. Je connais personne à Londres. Il m’a dit Ton mari a un appartement.

    Mais là il était en train de te draguer. C’est pas possible ! Je te jure que non. On a rien. Eu, Il y a rien eu, rien. Même pas une caresse, même. Pas une caresse. Tu lui as serré la main quand même. Ben non, J’ai fait des bisous. Mais pas des.

    Gros bisous. Oui, oui, oui, d’accord. Ah oui, Chic chic ! Ah oui. Anyway. Et donc j’ai réfléchi et j’ai dit Je lève la tête vers Dieu. J’ai Alright, let’s do it ! Et donc j’ai commencé à travailler encore sept jours sur sept, soit l’iPhone Seven. J’ai fait tous les ateliers de tissus,

    J’ai pris des entrepreneurs, des des menuisiers en ne. Connaissant personne à Londres et j’ai. Jamais été architecte d’intérieur. J’ai pris une couronne et je me suis sacrée architecte d’intérieur. Voilà. Et puis j’ai mis un an pour faire tout ça et donc il a fallu prendre le m’enregistrer au tax office VIP Number.

    Tu as créé une. Entreprise anglaise, évidemment. Oui, il fallait tout, tu sais, pour faire tout. Et là tu étais seule pour faire tout ça toute seule. C’est incroyable ! J’arrive donc, alors je travaille, je prends les Eurostar à 4 h du matin sur les quais en plein hiver, le blizzard et je vais.

    Je vais trouver les fabricants de je sais pas quoi parce que je voulais que ce soit une réussite. Pourquoi tu prenais l’Eurostar Pour rentrer en France ? Pour aller chercher des tissus en. France, aller en Belgique pour aller ? J’allais partout, je faisais les grandes foires d’art.

    Contemporain et c’est comme ça que tu te mets à vivre à Londres. Je n’ai pas choisi Londres. Londres m’a choisi et au bout d’un an, je livre la maison qui est une grande réussite. Alors tu peux imaginer après. Donc donc. Là, le bouche à oreille. Je pensais quitter moi.

    Il n’était pas question que je reste à Londres. Et puis la grande vie. Mais t’avais tout vendu à New York. Le magasin ? Ben oui, tu peux pas, Tu avais tout vendu de toute façon. New York était, était éteint, c’était éteint. C’était triste. C’est horrible. Et donc je suis à Londres.

    Et voilà la grande vie des clubs privés. Annabel, Toulouse Hearts Club. Voilà. Et puis le travail. Et j’ai commencé à avoir des contrats dans tous les pays Moscou, Kazakhstan, Azerbaïdjan, Bahreïn, Qatar, Arabie Saoudite. Attends, Arabie Saoudite, il y a il y a 20 ans j’ai mis les abaya et j’ai été en

    Arabie Saoudite à l’époque où il y avait du sable et quelques baraques. C’est pas l’Arabie Saoudite aujourd’hui, c’est pas aujourd’hui. Voilà, donc c’était Gad, c’est très osé. Donc là, tu vis combien d’années dans cette nouvelle vie ? Quinze ans à Londres, c’est. Beaucoup, tu vois. Ce qui est beaucoup pour toi.

    Surtout que tu es dans des cycles de dix ans, toi. Non. Après, j’ai fait quinze ans et puis à un certain moment, tu sais, il y a le CEO de Dior qui me contacte et qui me dit Tu sais Hélène, j’aimerais que tu nous aides à faire la promo.

    On ouvre l’énorme magasin, le flagship store de Dior sur nous, Ben Street à Londres. Tu vas nous aider à faire le lancement. Je dis c’est pas mon business. Il m’a dit écoute, tu connais tout le monde, etc. Donc j’ai fait un premier événement chez

    Dior tout en étant architecte d’intérieur tout en étant ça et j’ai quand même. Je suis une maman, j’étais la fille de mes parents était sold out, donc j’ai donné un premier événement chez Dior. Ça a tellement bien marché qu’on m’a demandé d’en faire un deuxième.

    Le deuxième, j’ai fait une soirée de 500 personnes pour Dior, donc c’était pas Dior qui donnait la soirée, c’était Hélène Benhamou, un Dior invité. Waouh ! Voilà. Et puis à la suite de ça, toutes les marques m’ont contacté. Donc finalement, tu t’es fait une incroyable réputation à force de travail et de compétence.

    Et d’audace aussi. Beaucoup, beaucoup. Et en étant vrai tout le temps, en étant moi même, toujours en disant ce que j’aime et ce que je n’aime pas, sans faire de mal aux gens en pas en blessant les gens. Mais j’ai toujours écouté mon intuition, mais toujours j’ai toujours été naturel, spontané, pas calculé.

    Mais une super vendeuse aussi. Tu étais une super vendeuse. Quand tu es toi même les gens. Tu peux être, tu peux être toi même et rien vendre. Mais les gens te font confiance. Quand tu es toi même, les gens te font confiance. Tu attires la confiance des gens.

    C’est quand tu joues un jeu que que les gens doutent. Et donc au bout de quinze ans, je commençais à en avoir ras le bol. Et puis et puis voilà, Clic. Clic, clic, clic, clic quoi. Un autre détonateur le Brexit. Eh oui ! Donc moi, le Brexit, ça me changeait pas

    Tellement parce que j’avais mon nombre d’années, tu sais, il fallait calculer. J’ai dit tiens, c’est le moment de se casser. Et puis je me suis dit peut être retourner à New York, à Milan. Et donc en venant voir mes parents, il y a un copain à moi qui a un appartement place

    Furstenberg et qui m’a dit Je vais le lâcher. Est ce que tu veux l’appartement en pied à terre ? Parce qu’à l’époque, quand j’habitais à New York, j’avais un pied à terre rue Jacob, très joli et j’ai dit pourquoi pas ? C’est une bonne idée, Mon père était pas content.

    LN Notre grande maison, Tu te rends compte ? Tu as toute ta chambre là et on veut te voir, etc. Donc j’ai quand même été visiter l’appartement très joli des hauteurs sous plafond, mais les chambres petites et les petites salles de bain etc. J’ai dit. Et puis le prix astronomique.

    Et comme j’étais en visite chez mes parents, maman était malade. Moi, j’ai toujours besoin d’action et de me pas pas débile, c’est tout. Tout va bien. Je ne suis pas la fille qui court dans tous les côtés. J’ai appelé un agent immobilier ou une agence, un agent immobilier.

    J’ai dit Voilà, qu’est ce que vous avez similaire Rive gauche ? Et on va faire des visites. Et en passant, elle me dit Écoutez, on va passer rue de Rivoli chercher des clés chez un confrère. Et en montant, j’ai vu l’appartement rue de Rivoli. Coup de cœur. Comme pour mon mari, comme pour.

    Le magasin. Aussi. Le magasin, comme tout. Même intuition. La même chose. J’ai dit Je déménage à Paris. Et te voilà à Paris donc. Et ensuite boum et boum ! Coville Oui mais Hélène elle tient pas en place. Elle aurait fait quoi ? Alors je suis devant mes fenêtres. Une vue incroyable.

    Les arbres, les fleurs, les oiseaux, les canards des Tuileries qui se mettent à marcher dans toute la rue de Rivoli parce qu’il y avait personne. Les animaux avaient pris la la possession de toutes les rues. Donc là tu te retrouves à Paris. C’est le vide, c’est le vide.

    Et je me mets à faire des posts sympathiques pour mes amis, pour les amuser. Et puis un jour alors, je faisais des posts drôles avec mon téléphone que je posais sur une échelle ou sur une table de nuit ou un truc comme ça.

    Et puis finalement, j’ai mis de la musique en fond et un jour, je me suis mis à chantonner sur la musique alors que je n’ai jamais chanté de ma vie. Je chantais très très mal, Je ne sais même pas comment je chantais

    Parce que je n’ai jamais chanté et mes amis ont tellement adoré. Pas le chant, vraiment. C’était plus le package. L’énergie aussi. Je mettais une robe longue devant une œuvre d’art. C’était tellement beau à voir. Je me maquille et je me coiffait alors que tout le monde était en pyjama pendant qu’Ovide.

    Et puis les gens ont tellement aimé que j’ai pris des cours de chant pendant le cours en visio. Et après il y a mon prof de chant qui m’a dit Vous voulez faire une chanson ? J’ai dit oui, pourquoi pas, mais pour Instagram, pour que je chante comme ça.

    Et puis en sortant du confinement, il m’a dit on va en studio, en studio. Donc j’ai dit allez, on va en studio. Après, on m’a dit Il faut faire un clip, je veux dire un clip. Pourquoi ? Pour qu’est ce que c’est ?

    Donc j’ai fait un clip et après j’ai posté la chanson Just be You. La vie est belle. Just play again. Love life and no Routine. Passionnée de yoga Celine. You have the fire in you so just be you. Ah, j’adore. Et tu l’as tournée devant un café parisien ?

    Le clip est canon et donc à partir. De là, j’ai vu avec les musiciens et donc. À partir de là, beaucoup de producteurs m’ont contacté et après j’ai sorti un deuxième titre. Après, j’ai fait mes études, j’ai fait une émission en direct avec Laurent Ruquier,

    J’ai fait l’interview en direct, j’ai chanté en direct, en direct. Et puis Hélène a eu le l’audace ou le culot de dire je vais faire l’Eurovision. Et puis j’ai été sélectionnée. Donc il fallait remplir des dossiers, envoyer des chansons, chanter en français, en anglais, whatever. J’ai envoyé, on a envoyé le dossier, ils

    Ont dit voilà, on va vous rappeler si jamais vous êtes prise. On m’a rappelé, j’ai été prise parmi les 30 premiers. Après, il a fallu chanter devant tout France Télévision dans un théâtre. On a dit on va vous rappeler si jamais.

    Et finalement, j’ai été prise parmi les douze premiers pour être dans la finale. C’est juste. C’est juste. Mais quand je. Disais aux gens Je vais faire. Je vais me faire déposer ma demande pour l’Eurovision. Elle est folle. Mais c’est incroyable ! Non mais c’est pour prouver que rien n’est impossible.

    Ouais voilà, il faut rêver grand et rien n’est impossible. Mais il faut. Il ne faut pas faire attention à ce que les gens disent. Surtout, le plus nocif dans la vie, c’est la vie des gens. Parce que c’est pas sincère. Le meilleur avis, c’est le vôtre. Et toujours voir grand.

    Moi je vois quand tu es un soleil qui brille devant moi, dans ma dans ma vision, ça veut dire que c’est beau voir. Grand, avoir de l’audace milles et une vie. Moi, ce que j’aimerais qu’on fasse maintenant, c’est Si tu l’acceptes, j’aimerais que tu imagines la petite Hélène à l’âge de dix ans.

    Qu’est ce qu’elle aurait dû entendre et qu’elle n’a pas entendue ? Imagine qu’elle est devant toi, imagine qu’elle est au téléphone et tu vas lui dire des choses qu’elle aurait dû entendre. Prends le téléphone, parle à la petite Hélène âgée de dix ans. Et qu’est ce qu’elle aurait dû entendre ?

    Hélène, tu es prête ? Alors prépare toi ma chérie, La route est longue et plein de choses vont se présenter à toi. Alors vas y, fonce ! Tu vas voir ce qui va t’arriver des merveilles. Alors prépare toi. Bisous. Quand tu repenses à la petite fille que tu étais.

    Tu penses à quoi ? Toujours bienveillante, Toujours gentille. Toujours. Mais il ne faut pas m’ennuyer. Alors voilà. Hélène, est ce que tu pourrais me choisir un objet derrière toi ici, qui t’inspire, qui veut dire quelque chose pour toi et

    Sur lesquels tu pourrais me parler de ce qui traverse ta tête La boîte aux. Papillons. Donc ce que je te propose, c’est qu’on rejoigne maintenant la boîte aux papillons et on va rentrer dans la tête d’Hélène. Ok. Tu imagines ma belle Hélène, Combien de fois tu m’as cité l’expression avoir les papillons ?

    Je te demande de te retourner. Et qu’est ce que tu choisis ? Des papillons ? Ben oui, mais ça me parle. D’abord, c’est un peu toutes mes vies quand je me suis envolée. Ça c’est moi à chaque moment de ma vie. Je ne parle pas des papillons dans le

    Ventre, là, non, je parle de Hélène qui s’envole vers des horizons, des vers, des avenirs fabuleux, des aventures. Et je trouve que le papillon s’envole un peu comme ça, un peu comme moi. Ça te fait penser à la liberté aussi. Tout à fait. Je suis une femme très libre.

    Je déteste être coincée dans quelque chose et ça, ça me représente. J’adore ça. Est ce que les papillons aussi c’est la capacité de renaître à chaque fois, De se transformer ? Ah ça, j’ai pas pensé à ça. J’ai pensé à la légèreté, à la liberté, à la beauté, à la fragilité aussi.

    Le côté éphémère. Et puis hop, on recommence. Tu t’es toujours réinventée dans ta vie, toi, toujours. Il y a toujours eu une transformation. Tu fais de la décoration, tu en as jamais fait, Jamais. J’ai fait la chanson, j’en ai jamais fait. J’ai fait de la mode, J’en ai jamais fait. Tout.

    Pour quelle raison tu fais tout ça ? La vie, il faut qu’elle soit vécue complètement. Faire des choses banales, c’est pas moi. Est ce qu’il y a une crainte aussi de l’horloge qui tourne ? Pas du. Tout. Pas du tout. Je suis très heureuse de vieillir.

    Je trouve que je m’aime encore beaucoup plus maintenant qu’avant. Donc c’est quoi la recette pour bien s’aimer avec les années ? Bien s’aimer, c’est surtout se faire plaisir, ne pas faire attention aux autres, ne pas faire attention au regard des autres. Vous voulez mettre un chapeau avec des plumes ?

    Mettez le chapeau avec des plumes. Vous voulez sortir ? Mais dès le moment où vous faites pas de mal, faites vous plaisir. Voyez, c’est très important et ne pas faire attention. Mais je trouve que la chose la plus nocive dans la vie, c’est la crainte de ce que les gens vont dire.

    Et ça, c’est un blocage complet. Mais comment as tu affronté au cours de ta carrière qui n’est pas terminée et qui recommence encore ? Tu te renouvelle en permanence. Comment as tu ? Es tu parvenue à affronter le regard des autres, le jugement, la peur du rejet ?

    C’était quoi ta recette à toi ? Je m’en fous. Complètement. Complètement. C’est à dire que j’ai tellement vécu avec cette mentalité depuis petite que là, maintenant, plus ça va et je m’en fous. Je fais ce que je veux, comme je veux, où je veux. Donc aucune peur du rejet.

    Non, pas du tout, pas du tout. Mais de rejet de qui ? De qui ? La seule personne que je crains au monde, c’est Dieu. On peut appeler ça une personne. La seule chose que je crains dans la vie, c’est Dieu.

    Sinon, les gens je les aime ou je les aime, ou je les aime pas. Quand je les aime pas, je m’en fous, je les vois pas. Si les gens que j’aime aiment ce que je fais, tant mieux. S’il n’aime pas ce que je fais, tant mieux

    Aussi pas tant pis, Il n’y a pas tant pis chez moi, c’est tant mieux. Si tu le pouvais, qu’est ce que tu recommencerais ? Rien. Rien. Je continue. Je continue ma vie. Est ce que tu es prête pour le doit de coaching. Sur Let’s do it ? On y va ?

    Allez, c’est parti ! C’est notre dos à dos. Coaching Hélène sur une échelle de 0 à 10 Ecoute bien, zéro étant le minimum, dix étant le maximum. Quel est ton degré de bonheur au moment où je te parle plus dix ? A Wow ! Pour quelle raison ?

    Parce que je me sens bien. J’ai fait ta connaissance. Tu es très sympathique. Je ne sais pas. Les mots me viennent spontanément. Je suis à l’aise. Tu es à la maison ? Dans la famille. Je suis bien. Quels sont les les prochains méga projet ?

    Les belles surprises d’Hélène pour les mois à venir ? Un album et pas n’importe quel album. Un album pour vraiment maintenant montrer de quoi je suis capable. Avant, c’était des petites chansons sympa, mignonnes et là, maintenant, c’est des vraies chansons. Avec l’album Boom, j’ai fait deux duos avec Marc Lavoine.

    Trans Burgalat m’a composé plusieurs chansons. Léonard la souris également. C’est un magnifique album. C’est pas parce que c’est le mien, mais je l’écoute en boucle tellement j’aime. Ça. Représente quoi pour toi cet album alors que tu n’as jamais été chanteuse de consécration ? La consécration ?

    Il y a autre chose à part l’album. On prépare un. Livre ? Il me semblait bien aussi. C’est pas un livre sur ma vie parce que je ne suis pas encore. Je suis connue, mais pas assez connue. Donc c’est un livre qui va, qui va être un

    Peu les bonnes manières d’Hélène, mais très drôle, très sympathique. Quelle est l’erreur qui t’a fait le plus grandir ? J’ai subi une intervention chirurgicale où on m’a fait une opération du cou et là, c’est ça qui m’a fait le plus grandir. Parce que là, tu prends du recul et tu te

    Rends compte combien la vie est importante et chère. Et si tu. Devais finir ces phrases la vie c’est. C’est un. Miracle. Les gens sont. Fabuleux. Je suis. Merveilleuse. Quelle est la question que tu aimerais que je te pose ? Dont tu sais que la réponse est extrêmement importante pour toi ?

    Quelle est ta prochaine étape ? Pour quelle raison ? Cette question est importante. Parce que je veux montrer que, à mon âge, c’est jamais la fin de quelque chose. La fin, c’est l’être humain qui se la fixe.

    Donc moi, il n’y a pas de fin dans ma vie tant que je suis en vie. Je fais des choses et je vais de plus en plus haut et j’atteins mes objectifs. Hélène in Paris Qu’est ce que tu pourrais

    Dire à celles et ceux qui n’ont peut être pas la même audace que toi, peut être, qui pourraient manquer de culot aussi, qui pourraient manquer de confiance aussi, qui pourraient manquer de vision, de créativité, d’idées. Qu’est ce que tu pourrais dire à ces hommes et ces femmes ?

    Peut être qu’ils sont dans un creux de vague, dans un moment difficile de leur vie pour les encourager. Tout passe dans la vie, les mauvais moments, les bons moments. Bien sûr, tout passe et surtout croire et la foi. La foi m’a beaucoup aidé dans tout et ça

    Nous rend plus, plus solides, plus costauds et Et se dire qu’on peut y arriver, Plein de gens y arrivent, donc pourquoi ? Pourquoi pas vous lancez vous ? Allez y ! L’avenir est lumineux. Merci Hélène, à bientôt. Bye Darling by. Frank. It was great meeting you.

    Voilà, j’espère que ce nouveau temps fort t’a gorgé d’énergie et d’idées. Et si à ton tour tu veux vivre ta vie à 110 %, il te faut développer notamment une vision, retrouver de l’audace, faut oser et une forte créativité pour trouver des idées.

    Et que ce soit dans les affaires, la carrière, la santé, les relations, l’argent, quoi que tu fasses, ton mental, c’est 80 % de tes résultats. Et ton principal obstacle à ce jour, ce sont peut être toutes ces histoires que tu te racontes en boucle du matin au soir lorsque tu es seul.

    Et j’ai d’ailleurs pour habitude de dire que la vie est plus douce que les histoires que nous nous racontons. Alors pourquoi nous accrochons nous à des histoires aussi décevantes, douloureuses ? Pourquoi on s’accroche à la faute plutôt qu’à la leçon qui vient de notre déception ?

    Eh bien, pour t’aider à atteindre ton projet, ton rêve, ton sommet, à te débarrasser de tes mauvaises idées qui te freinent en permanence et pour accélérer sur toute la croissance, j’ai un livret digital que nous t’offrons. C’est un livret stratégique. Tu vas y découvrir comment miser sur tes

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    42 Comments

    1. Bravo!!!!! Une femme exceptionnelle!!!! Elle m a boostée, mais ce que j ai aimé surtout dans tout ce qu elle a dit"La seule personne que je crains , c est Dieu, enfin si on peux dire une personne"" elle a parfaitement raison car Dieu est Esprit! Ce que j aime c est qu elle a la Foi! Respect Madame Hélène in Paris!!!

    2. Je n'ai vraiment pas l'habitude de faire des commentaires sur YouTube mais là j'en ai le souffle coupé ! J'ai cliqué sur la vidéo sans réelle conviction…. Je viens de tout quitter en France, je suis arrivée à Québec pour des études, seule, loin de ma famille et de mes amis. J'ai quitté une relation qui ne me convenait plus où je me sentais manipulée et bafouée dans mon amour propre… Encore hier, rien n'allait mais en me couchant la nuit dernière, je me suis faite la promesse de vivre dorénavant pour moi, de me prioriser et de ne faire que les choses que j'aime et qui ME font PLAISIR ! C'est UN ENGAGEMENT que je fais avec mon moi profond ! Assez de penser aux autres, ASSEZ d'écouter ce que peuvent penser les autres ! FUCK ! C'EST MA VIE ! I CAN DO IT ! LET'S GO, IT'S TIME TO CHANGE MY LIFE !

    3. Mes pensées bouillonnent… Ne rien avoir à perdre, hormis la vie, la santé ou sa famille quand elle offre respect et amour est la plus grande des libertés car on peut tout se mettre presque. La réussite n’a de sens que si elle nous permet d’atteindre un but et d’incarner de belles valeurs. La réussite, c’est rendre possible un défi qu’on se fixe, même s’il est dit d’impossible… sinon à quoi sert il de vivre?
      Se focaliser sur sa réussite est primordiale, comme le partage et merci beaucoup pour celui-ci;
      l’argent l’est aussi mais sans sentiments de réussite, il sert peu ou de pansement. C’est la plus belle histoire d’amour que j’ai entendu, même si elle a une fin, l’humain peut-il réellement être heureux seul. La liberté est un concept mais c’est difficile de vivre sans tout donner pour soi, sa famille ou un avenir meilleur et seule l’action motive et donne espoir. Mais 100 m2 et on te montre 300 est la meilleure de l’histoire des réussites, l’insouciance peut mener loin avec de Audace.
      Cette femme est d’une authenticité, 1001 vies quoi, « j’ai pris une couronne et je me suis sacrée … » était-elle vraiment prête ? Elle n’a cessé de se réinventer et de suivre de son instinct, au talent. Alors on pourrait se demander si c’est la vie ou des humains qui créer les miracles sans authenticité, sans engagement et sans audace on fait rien de très bien ou de très grand.

    4. L'une des meilleures vidéos de ta chaîne Franck ! Cette femme est extraordinaire et inspirante ! J'ai finis par pleuré de joie, parce que tu te rends compte qu'au final la vie tu décides d'en faire ce que tu veux avec un peu d'audace et d'authenticité 🎉🎉💪🎯

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