Aux Sables-d’Olonne, une usine traite les eaux usées vendéennes en sortie de la station d’épuration pour produire de l’eau potable. Un circuit court unique en Europe.

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    Dans un contexte de raréfaction de la ressource en eau, la réutilisation des eaux usées traitées (Reut) devient une option incontournable pour certains territoires. C’est le cas en Vendée, où une usine de traitement vient de sortir de terre. Construite en novembre dernier dans le cadre du projet Jourdain, cette unité purifie l’eau sortant de la station d’épuration de la commune des Sables-d’Olonne à un rythme de 150 mètres cubes d’eau par heure, soit les besoins de 15 000 personnes.

    « Normalement, les effluents désinfectés dans cette station repartent à la mer pour réintégrer le grand cycle de l’eau. Mais aux Sables-d’Olonne, l’eau subit un traitement particulier », précise Julien Orsoni, chargé de mission Reut et prospective pour Vendée Eau, le syndicat d’eau potable du département. « L’étape d’ultrafiltration permet d’enlever tout ce qui est particulaire et en suspension. L’eau est ensuite envoyée sur le barrel d’osmose à l’intérieur duquel se trouve des membranes encore plus fines qui permettent d’enlever les résidus médicamenteux, les pesticides et les produits chimiques. »

    L’eau est ensuite acheminée à quelques kilomètres de là vers la retenue d’eau du Jaunay, qui alimente la production d’eau potable. L’idée est simple : créer un circuit court pour renforcer les volumes disponibles dans une région qui, contrairement au reste de la France, ne dispose pas de nappes souterraines de grandes capacités. L’eau potable vendéenne est prélevée dans des sources superficielles particulièrement sensibles à la météo et à la sécheresse. Une tension sur la ressource accentuée par l’augmentation des besoins, notamment en été où l’affluence touristique et la pression climatique sont importantes.

    Mais si l’eau produite est pure et les besoins sont conséquents, il est cependant interdit de consommer cette eau directement en sortie de traitement. Elle est d’ailleurs tellement pure qu’elle nécessiterait d’être reminéraliser pour être buvable. Autre aspect à prendre en compte, l’acceptabilité sociale : rien de dit que les Vendéens soient partants pour consommer une eau qui vient directement de leurs sanitaires…

    D’ici trois ans, la station d’affinage devrait quadrupler ses capacités pour couvrir les besoins en eau de 60 000 personnes. À plus long terme, il s’agit de répliquer ce système sur d’autres sites du littoral vendéen et ailleurs en France. Une opportunité, sachant que moins de 1 % des eaux usées du territoire sont réutilisées.

    Ici on pouvait boire les EAU usées qui sortent des stations d’épuration l’eau des toilettes pour être plus CLA normalement les effluant désinfecté dans cette station repartent à la mer pour réintégrer le grand cycle de l’eau mais ici au sable d’Olonne l’eau subit un traitement de faveur dans cette unité

    D’affinage unique en Europe vous voyez l’étable d’ultrafiltration qui permet d’enlever tout ce qui est particulaire et en suspension l’eau est ensuite envoyé sur le barrel d’osmose inverse qu’on va voir à l’extérieur voici donc le barrel à l’intérieur duquel se trouvent toutes les membranes de d’osmose inverse ces membranes là sont

    Des membranes encore plus fines que les membrane d’ultrafiltration et donc grâce à cette étape on va pouvoir aller rechercher tout ce qui est pollution dissoute de l’eau et retirer résidus médicamenteux pesticides ou produits chimiques tels que les produits d’entretien une fois purifié l’eau est acheminée vers la retenue d’eau du

    Jaunet pour être à nouveau puisé et approvisionner le réseau d’eau potable l’idée est simple créer un circuit court pour renforcer les volumes disponibles dans une région qui contrairement au reste de la France ne dispose pas de nappe souterraines de grande capacité l’eau potable en Vendé est produite à

    Plus de 90 % à partir d’eau superficielle ce qui fait que ce sont des ressources naturelles qui sont fortement impacté par la météo et par le changement climatique et il y a d’un autre côté l’augmentation des besoins avec une démographie qui augmente et une forte attractivité touristique qui fait

    Que les besoins augmentent en plus très fortement pendant les 2 mois d’été si l’eau produite est pure et que les besoins sont importants pourquoi ne pas boire directement cette eau après traitement c’est parce que aujourd’hui en Europe et en France la réglementation est très stricte il n’est pas possible

    De produire de l’eau potable autrement qu’à partir d’une ressource naturelle pourtant technologiquement c’est tout à fait envisageable plus propre que propre à force d’être filtré l’eau nécessiterait d’être reminéralisé pour être buvable mais au-delà d’une réglementation pour l’instant contraignante une autre interrogation demeure je pense aussi si la perception

    Des des gens évolue parce que est-ce que les gens sont seront capables de de boire une eau directement en sorti de de cette étape de traitement ça reste aussi à à évaluer si se servir un verre d’eau en tirant la chasse d’eau n’est pas encore pour demain en attendant pourquoi

    Ne pas boire de l’eau de mer le dessalement de l’eau de mer en l’état actuel des choses est encore très énergivore coûte très cher et a des impacts environnementaux assez forts quand on fait du dessalement on est obligé de retirer le sel contenu dans l’eau de mer et c’est un sel qui est

    Présent en grande quantité et en fait on se retrouve avec un concentrat qui est tellement chargé en sel que même quand on le rejette en pleine mer il a un impact environnemental très fort et il faut donc le traiter de manière très spécifique mais peut-être qu’à plus long

    Terme il faudra y revenir et peut-être que finalement on aura un une combinaison de plusieurs solutions de réutilisation et de dessalement d’ici 3 ans la station d’affinage devrait quadrupler ses capacités pour couvrir les besoins de 60000 personnes à plus long terme il s’agit de répliquer ce système sur d’autres sites du littoral

    Vandé1 et ailleurs en France une opportunité sachant que moins d’un % des EAU usés du territoire sont réutilisés

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