Les Conférences de la Fondation FondaMental – Cycle 2023 : “Innover en Psychiatrie !”

    A l’occasion de l’Ecole d’Automne, la Fondation FondaMental à eu le plaisir d’accueillir Virginie Lassere et Nathalie Manaud de LEEM (Paris) ainsi que Alexis Génin et Alexis Brice de l’Institut du Cerveau (Paris) pour une conférence en présentielle auprès de nos collaborateurs en Centres Experts.

    Merci à toutes et à tous pour votre participation et nos échanges constructifs lors de cette nouvelle conférence FondaMental !

    [Musique] donc je suis Alexis Briss directeur de l’Institut du cerveau par que la moelle a disparu en tout temps et je suis très heureux de participer à cette 9e conférence et aujourd’hui vous l’avez entendu le programme fait appel à Virgin et Nathalie Man qui sont toutes

    Les deux au l ce que c’est exactement mais le l une association d’industriel de la pharmacie qui a qui réfléchit depuis très longtemps sur différentes pathologies qui ont produit un une plateforme dont elles vont nous parler dans le domaine de la santé mentale et de la psychiatrie qui va servir de base

    À une discussion on ne va pas parler de l’Insitut du cerveau directement mais on va parler du biocluster brain and mind et c’est Alexis Génin qui vous fera une présentation dans la foulée euh de ce biocluster euh qui nous semble extrêmement prometteur et qui va nous permettre de nous rapprocher de

    Travailler encore tous ensble euh voilà le programme ensuite on pourra évidemment interagir avec les orateurs prépareer vos question alors déjà je commence effectivement alors pour rappeler c’est un travail qui a été mené par par le L en fait le L qui regroupe un certain nombre d’industriel du

    Médicament 260 adérents au l qui qui comprend divers divers industriels du médicament des petits des gros des moyens un peu un peu toute la chaîne qui est présente euh ce travail on l’a initié il y a à peu près 2 ans euh on l’a initié il y a 2 ans parce

    Qu’effectivement on s’est dit que il fallait qu’on fasse quelque chose sur le domaine santé mentale et psychiatrie euh et donc on a commencé par réunir quelques industriels et petit à petit ça ça ça a augmenté et euh et vous allez voir qu’on a on a aussi essayé d’interagir avec un certain nombre alors

    Certains d’entre vous qui sont dans la salle mais également d’autres d’autres personnes pour essayer de prendre aussi un petit peu leur plan et d’adresser finalement les les les difficultés qu’on qu’on pouvait rencontrer alors bon là c’est juste pour remettre nos photos donc là c’est pour vous présenter un

    Petit peu les différents industriels qui font partie de de de de ce comité de cette réunion qui ont participé à ce travail et qui contribuent d’une manière ou d’une autre euh il y en a 12 aujourd’hui 13 il il y en a encore un nouveau qui qui va qui vient de

    Rejoindre qui est pas présent ici mais qui vient de rejoindre notre notre groupe de réflexion euh l’idée finalement c’était de de de de de réfléchir le premier travail qu’on a fait c’était finalement de se dire qu’est-ce qui bloque et qu’est-ce qui coince dans l’innovation en psychiatrie

    Et et partant de là on a travaillé sur les trois grands défis qu’on pouvait qu’on a qui nous semblaient être les points importants dans dans ce dans ce parcours en fait d’innovation le premier c’était Recherche et Innovation évidemment le deuxième c’était tout ce qui concernait l’accès sur lequel on on

    Pensait qu’il y avait un certain nombre de sujets en tous les cas qui étaient très clairement identifiés et qui posaent des problème et le dernier c’était le parcours de soins c’est-à-d ce qui permet de de rebouter ce qui fait la continuité euh voilà et donc n no les propositions qu’on a faites c’est-à-dire

    Le travail qu’on a mené par des interviews par la réflexion collective euh au sein de notre comité nous a amené à formuler 12 propositions de ce qu’on pense au niveau industriel qui qui serait important de de mettre en place pour pour faire de la psychiatrie et de

    La santé mentale un sujet où on a l’innovation en France de manière de manière dynamique alors ça reste des propositions ça reste évidemment à opérationnaliser aujourd’hui c’est pas euh c’est pas c’est pas finalisé c’est pas une fin en soi un certain nombre de choses qu’on qu’on porte et des choses

    Qu’on aimerait construire aussi avec vous euh et avec avec les différentes communautés alors pour alors voilà donc là c’était c’était le ça reprend un petit peu ce ce chemin et finalement les les endroits où nous on a travaillé pour essayer de voir où sont les différents points de les différents points de

    Blocage euh donc on est parti d’abord des des problématiques de compréhension de compréhension des besoins médicaux et je crois que là il y a le PPR qui se met en place et qui répond à un certain nombre de points notamment pour essayer d’apporter des connaissances fondamentales qui vont permettre

    Finalement de un peu mieux appréhender au niveau de la recherche de la recherche exploratoire et préclinique et clinique évidemment quelles sont les problématiques il y a la recherche clinique tout ce bloc là fait pour nous partie du défi du défi 1 sur la partie recherche et c’est celui que je vais

    Vous présenter et ensuite je laisserai Virginie en fait qui est euh qui est qui est la présidente au l’è du comité de ce comité santé mentale et psychiatrie et qui est par ailleurs mais se présentera elle qui par ailleurs de j’en en fait euh et elle vous parlera elle de la du

    Défi 2 sur le la partie accès euh et du défi 3 sur la partie usage donc sans plus attendre sur la partie recherche on a formulé on avait deux axes on avait un axe sur la partie coordination de la recherche qui nous paraît un élément important et avant de parler de celui-là

    Je vais d’abord parler de deè qui est sur l’attractivité de la recherche climique parce qu’en fait vous allez voir que les éléments sont liés ça n paraît extrêmement important alors on voulait d’abord d’abord on a on a pris le point qui était qu’on entend dire qui est que finalement la psychiatrie est

    Délaissé et pas extrêmement couverte donc on a regardé on a fait une recherche sur les essais cliniques alors là c’est les essais de sur la période 2021 2022 et on a regardé on s’est dit qu’est-ce qui quels sont les essais qui couvrent euh la psychiatrie alors les

    Les thèmes qu’on a choisi vous les voyez en bas c’est une recherche un peu très macro vous voyez les les les points qu’on a qu’on a adressé on n pas forcément tout adressé mais on a regardé cela et euh et on se rend compte qu’en fait la la le financement industriel euh

    Dans ces essais cliniques certes en volume il y en a peu mais en fait le financement industriel représente 53 % des euh des essais cliniques au niveau au monde qui sont sponsorisé par des industriels et quand on compare aux maladies du système nerveux central ben

    On est au dessus en fait euh il y a plus de financement sur la psychiatrie qu’il n en a globalement sur le système nerveux central alors certes on reste inférieur au cancer sur la période qu’on a choisi mais par rapport alors pardon c’est pas mon c’est Europe excusez-moi

    Mais quand on compare au total Europe on s’aperçoit que finalement la moyenne européenne elle est à 49 % de financement de sponsoring industriel sur les ESS cliniiques et on est on est dans les pures donc il y a pas finalement cette idée de dire les industriels ne soutiennent pas la re recherche en

    Psychiatrie en terme de recherche clinique c’est pas c’est pas vrai en fait c’est pas vrai mais par contre en valeur absolue c’est vrai c’est-à-dire qu’en nombre il y en a peu il y en a peu dans tous les cas en fait euh voilà donc ça c’était le la première chose qu’on a

    Qu’on a qu’on avait constaté qu’on a reconfirmé encore sur une deuxième période euh ce qu’on observe aussi ce qu’on a observé c’est qu’on s’est dit on va regarder dans ces essais quels sont ceux qui sont portés par des enfin quelle est la part de ces essais industriels qui sont portés par des

    Petites biothèques et là par contre on se rend compre qu’il y en a très peu c’estàdire que finalement là où on a un trou dans la raquette c’est peut-être sur la partie biotèque qui a du mal finalement à trouver les fond probablement enfin ça c’est notre hypothèse à trouver des soutiens

    Financiers pour arriver à avoir des esss cliniiques sur cette partie là il sont peu présents si on les compare eux par rapport à d’autres pathologies comme le cancer comme le système nerveux central ou autres euh donc voilà ça c’était le premier enseignement qu’on avait euh là c’était pour vous donner un petit peu

    Les types d’essaiis qui sont réalisés en fait donc là vous avez du coup ça vous donne des un certain nombre de nombre décès qui sont menés on est toujours sur la même période c’està-dire 2021 2022 donc en 1 on va retrouver la dépression la schizophrénie l’anxiété ça vous les

    Donne et et à côté ça vous montre un petit peu les différents sponsors qui existent et qui sont les industriels qui qui finalement mènent cet essai donc on retrouve Boringer euh jeen enfin Johnson and Johnson et on en retrouve un certain nombre qui sont présents dans notre

    Comité et avec qui on a des réflexions et c’était c’était l’idée pour nous c’était de de vérifier al il y a pas forcément des grand nombres d’esss mais en tous les cas mais de toute façon il y a pas il y en a pas un grand nombre en

    Valeur absolue c’est ce que je juste avant là on voulait donner quelques infos parce qu’on a fait on a un travail deorizon scanning et finalement dans ce dans ce travail deorizon scanning on on regarde sur la partie tout ce qui est neurologie on a regardé qu’est-ce qui

    Avait été approuvé dans les dans les TR dernières années 2 et demi en fait et qu’est-ce quels sont les les programmes en cours au niveau industriel et des choses qui pourraient arriver sur le marché en tous les cas potentiellement ça va dépendre ça va dépendre des

    Résultats et ce qui vous est présenté à droite ça ne concerne que des phases 3 euh des phases 3 en cours en fait et là on a on a pointé en fait un certain nombre de sujets c’està-dire que on voit dans ce qui a déjà été approuvé sur la

    Période la période antérieure on a un certain nombre de dans ce grand domaine neurologie on va dire on trouve un certain nombre de pathologies en psychiatrie et et et ce qu’on voit sur la période à venir c’est qu’effectivement ça se on on les retrouve encore dans le top 10 de ce qui

    Est fié donc on va retrouver la schizophrénie la dépression et tr bipolaire notamment dans le dans dans le dans les top 10 le petit chiffre entre parenthèses c’est ça vous donne la valeur telle qu’elle est estimée en appliquant un taux d’intrition donc ça montre que il y a quand même il y a

    Quand même un taux d’intrition qui est qui est qui existe qui est présent ça n’empêche pas les industriels d’investir ce secteur en dépit débit de ce fait euh voilà alors par contre ce qu’on a ce qu’on a fait ensuite c’est qu’on a fait un focus un focus France Europe on a

    Regardé plus précisément comment se positionnait la France et c’est là que c’est c’est intéressant c’està-dire que ce dont on s’aerçoit c’est que finalement il y a il y a peu d’essai cliniques en France en psychiatrie euh par rapport à d’autres pays comme l’Allemagne l’Espagne l’Angleterre enfin

    On est on est dans les dans ceux qui ont sur les ceux avec qui on s’est comparé euh on a pas tout mis on a mis les principaux euh on s’aperçoit que finalement le nombre d’ESS cliniques mené en France il est relativement for en psychiatrie euh et le et le

    Financement industriel des essa cliniques en France est également relativement faible alors on est on est à peu près au même pourcentage que l’Italie il n’y a que 50 % des essais cliniques menés en France qui sont sponsorisés par des industriels quand on atteint du 87 % en Espagne du 82 % en

    Pologne euh du 65 % en Angleterre 64 en en Allemagne donc donc voilà donc en fait le constat qu’on a eu c’était de se dire que finalement il y avait peut-être il y avait peut-être une problématique française sur qui qui expliquait aussi peut-être C impression que les industriels n’investissent pas le

    Secteur qui est finalement il y a peu d’essai cliniques en France alors la raison elle peut être multiforme on a essayé de comprendre les raisons finalement de ce moindre investissement du fait qu’il y en a moins on a regardé déjà pour commencer on a regardé est-ce qu’on participe à des essais

    Internationaux donc la réponse est oui c’est-à-dire que sur les six qui sont sponsorisés par des industriels ils ont au moins de sites en Europe donc en fait on est on est bon de ce côté-là mais c’est vrai qu’en valeur absolu on nen a pas par contre ce qu’on observe c’est

    Qu’en Allemagne en Angleterre il y a beaucoup d’essai cliniques avec un seul pays et donc on se dit peut-être que les industriels font des des bans d’essai sur ces pays-là euh quand parfois ils ont un pied sur en Europe ils peuvent tester sur un ils ont un essai aux

    États-Unis et ils essayent ils font un test en Europe ils choisissent pays peut-êtreon se retrouve sur ces payslà mais on les a pas en France en tous les cas on les capte pas ça nous donne quand même des marges de progression sur un certain nombre d’ESS qu’on pourrait

    Peut-être capter en avec en levant les différents verrous par contre donc là je je m’aventure pas sur les verrous parce qu’ils sont de de multiples natures et ils sont à plusieurs endroits c’est ce qu’on va essayer de vous montrer sur la chaîne donc on a peu d’essai cliniques

    En France en valeur absolue on en a peu par rapport à d’autres pays européens c’est pas un pays qui est choisi en priorité quand il faut faire quand il faut faire des sur un seul site en Europe euh et on a un nombre des C cliniques industriel qui est parmi les

    Plus bas les plus bas d’Europe alors c’est un constat très négatif euh quand quand on cherche un petit peu les raisons d’abord les conséquences les conséquences c’est que finalement le fait de pas avoir on observe un manque d’attractivité finalement de de la recherche clinique en France qui va se

    Traduire du coup par un manque de partenariat et finalement ça ça va avoir une une boucle de rétroaction parce que forcément ça va inciter moins la recherche à Mo aussi euh il va y avoir moins moins d’échange moins d’interaction et moins de recherche à

    Donc on va on va avoir un verrou sur la première partie et et finalement dans les propositions comporté c’était de dire que peut-être euh étant donné qu’il y a peu de moyens a les moyens sont réduits peut-être aussi en se coordant en se coordonnant pardon et en mutualisant les efforts et les moyens

    Peut-être que du coup on arriverait aussi à renverser cette vapeur notre idée c’est pas de de rester sur un constat pessimiste c’est d’ arriver à à renverser la vapeur et d’identifier là où il y a des points de blocage pour essayer de donc j’ en a un sur les

    Essais cliniques peut-être avec les échanges qui serait plus fourni ça permettrait de de mieux appréhender qui sont les acteurs et comment est-ce qu’on peut porter ces essais cliniques en France euh on reverra sur la partie usage notamment avec avec la partie la partie numérique qui peut y avoir mais

    Voilà c’est une des pistes il y a d’autres points de blocage qui sont qui ont peut-être un impact sur la recherche clinique et on pense qu’il y en a un mais ça ça je laisserai Virginie vous le détailler qui est toutes les procédures avalent parce que l’air de rien le problématique d’accès

    Derrière on sait que en France on aura pas on va être mal évalué on narrivera pas à porter les produits sur le marché là on va pas avoir tendance à choisir la France comme pays pour faire les essa cliniques puisque derrière il y aura pas forcément de débouché sur ce territoire

    Voilà donc ça c’est un élément sur lequel nous on travaille c’est un peu loin probablement de vos préoccupations encore qu’indirectement vous vous retrouvez avec avec moins de de médicaments disponible au final mais ça reste quand même un point que nous on vous adresse parce que ça explique aussi

    La raison pour laquelle il y a moins d’esset clinique côté français euh alors par ailleurs il y a tout un travail que le LEM mène pour essayer d’augmenter l’attractivité des essais cliniques en France et sur le territoire parce que alors sur le au niveau global

    Au niveau européen on se situe à la 2e 3e position enfin on est à peu près équivalent à l’Allemagne des fois elle passe devant des fois on est on est équivalent mais voilà on va dire qu’on est à la 2è place avec l’Allemagne en terme d’ESS clinique euh on essaie de

    Progresser l’Espagne a fait des des d’énormes progrès sur sur les essais cliniques avec une énorme campagne de sensibilisation à la fois du à la fois du public mais en mettant en place tout un certain nombre d’outils également pour favoriser les essais cliniques et en France nous on travaille sur les

    Différents points donc les points précoces les autorisations à NSM CPP qu’on essaie de de de porter à 78 jours les euh la partie conventionnement avec les différents centres et ça je pense que en tant que centre expert ça va vous parler euh c’est des points qui sont

    Importants il faut il faut que ça aille euh ça aille relativement rapidement parce que enfin il faut que ça tienne les délais la mise en place des centres ensuite de manière opérationnelle et l’inclusion du premier patient donc c’est des c’est des étapes qu’on regarde et sur lesquelles on essaie de voir

    Comment est-ce qu’on pourrait intervenir sur ces différentes étapes pour améliorer l’ frractivité de la France en terme de recherche clinique euh voilà aujourd’hui our on est à 167 jours il y a 167 jours pour inclure le premier patient et on a progressé parce qu’on était à 204 quand même en 2019

    Donc donc les actions qu’on mène sont pas portent leur fruit c’est ça prend du temps c’est long mais en tous les cas ça progresse et ça c’est pour vous dire un petit peu les actions qu’on mène parce que effectivement il y a ce point de blocage qu’on identifie sur la recherche

    Clinique qui va au-delà de la psychiatrie et donc l’idée pour nous c’est effectivement comme c’est d’accélérer les phases de de démarrage donc on essaie de travailler sur sur un certain nombre de de travaux avec des nouveaux modèles avec la DGOS les établissements de santé pour faire en

    Sorte que ça puisse se faire très vite les actions qu’on mène auprès des de la NSM et de la DGS il y avait eu un travail par le passé auprès des CTP qui avait été fait euh le travail d’anticiper le recrutement aussi donc on est impliqué

    Dans des travaux il y a une plateforme nationale qui se met en place pour essayer de présenter rec tous les essai cliniques qui sont sur le territoire et de pouvoir les présenter pour que ce soit plus facilement accessible et aux patients et aux médecins pour qu’il puissent orienter euh des travaux avec

    Des entrepost de données aussi pour essayer de de de consolider ces différ les différentes ces différents éléments qui sont importants pour la recherche clinique et puis un autre point qui est important c’est de d’intégrer toutes les nouveautés et notamment toutes les essa clinique décentralisé dématérialisé et

    Ça c’est un point qui je pense intéresse particulièrement la p euh notamment parce que enfin c’est pas forcément que des patients hospitalisés et là il y a des travaux qui sont menés alors qui sont menés sous l’égip d’un chantier ais et fcin pour essayer d’identifier des nouvelles méthodologies

    Et notamment de travailler sur C ces décentralisés donc on essaie nous de construire et probablement on aura besoin de de travailler aussi avec avec vous de de trouver des des cas d’usage pour pouvoir porter ces nouvelles méthodologies et en fait en faire des cas d’usage et ensuite qu’elle puisse

    Passer qu’elle puisse être adoptée et finalement arriver à à enclencher quelque chose de nouveau au niveau des évaluations ultérieurement euh voilà dans les évaluations et dans les aspects dématialisés les deux sujets je les ai je les ai regroupé mais voilà et finalement les propositions qu’on apporté dans cet axe

    1 donc je commence par le deuxième parce que c’est celui que je vous a le plus développé sur l’attractivité de la recherche clinique donc pour nous il y avait il y avait une i c’était de faire en sorte de faciliter l’accès aux essais cliniques en santé mentale et psychiatrie euh notamment à travers

    Cette plateforme de partage et c’est un sujet qu’on porte qu’on porte auprès de la plateforme il y a un autre sujet c’est de faciliter l’accès aux essa cliniques et de réduire les inégalités et là ça comprend les essai décentralisés pour justement permettre d’aller d’aller également trouver des

    Patients dans les zones où il pas forcément le grand centre hospitalier où il y a pas mais alors avec tout ce que vous faites au niveau des centres esère je pense que vous vous voyez ce qu’il y a sur les territoires et c’est un sujet qui est important dans bien embarquer

    Les territoires et puis ben à partir du moment où les essais cliniques on arrive à débloquer ça je pense que ça va être aussi source de partenariat mais néanmoins on a probablement quelque chose à faire en terme de partenariat probablement à accroître les interfaces et les dialogues euh ne serait-ce que

    Parce que les moyens sont pas extensibles sur ce sur ce domaine vous le savez mieux que mieux que nous je pense mais c’est aussi vrai côté industriel et pour essayer de de mutualiser les forces et les efforts h pour que ça puisse ça puisse avancer de mieux se coordonner et puis derrière bah

    Nous on porte aussi la proposition d’améliorer le financement psychiatrie ça nous concerne pas directement mais on pense que c’est quelque chose qui est extrêmement important pour que pour que derrière il y ait des innovations effectivement qui puissent qui puissent émerger donc moi j’en ai fini sur je

    Crois sur le défi 1 et je vais passer la suite à à Virginie qui va pouvoir vous parler de des problématique qui arrivent ensuite merci merci beaucoup merci beaucoup natthalie donc effectivement on enchaîne là dans le dans le parcours qu’on vous a qu’on vous a présenté et

    Bah une fois qu’on on a pu effectivement accompagner nos nos médicaments dans leur développement de la recherche fondamentale à la recherche clinique ben le nerf de la guerre après c’est de faire en sorte qu’il puisse être disponible et trouver un marché en fait et donc nous spécifiquement un marché

    Sur le territoire français alors quand on parle d’accès aujourd’hui on nous on a cœur bien évidemment à ce que cet accès puisse être le plus équitable possible c’est pu être accessible sur l’ensemble du territoire et et donc pour toucher bien évidemment bah les patients qui en ont besoin alors quand on parle

    D’accès aujourd’hui on parle d’évaluation et on parle de financement c’est vraiment les deux sujets aujourd’hui sur lequel on voudrait euh discuter avec vous alors je suis reparti en arrière j’avance et et peut-être aussi alors c’est sûrement des des éléments que vous avez tous en tête mais nous ça nous paraissait vraiment

    Important dans cette platforme de revenir en fait sur des des constats et des des constats notamment chiffré euh parce que pour tout vous dire cette plateforme elle on la partage avec vous aujourd’hui mais on a aussi à cœur de la partager avec un certain de politique et d’institutionnel et donc du coup c’est

    Essentiel qu’on puisse du coup aborder de façon très factuelle les défis qu’on a adressé ensemble alors vous le savez certainement mais la la psychiatrie en fait aujourd’hui les troubles mentaux représentent le premier poste de dépense de l’assurance maladie c’est pour dire que c’est bien sûr d’intérêt pour le politique en fait aujourd’hui alors

    C’est bien sûr la consommation de psychotrop vous en entendez sûrement parler mais c’est aussi lié on le sait aujourd’hui à principalement un coût en terme d’hospitalisation qui est extrêmement fort et qui impacte principalement ce poste de dépense c’est important à l’avoir en tête parce qu’aujourd’hui c’est supérieur en fait à

    La dépense qui est accordée au à la prise en charge du cancer par exemple ou des maladies cardiovasculaires qui sont aujourd’hui extrêmement aussi fréquente vous le savez aussi certainement puisque c’est une étude qui a été menée avec la fond tion fondamentale qu’on a pu mesurer et grâce à toute cette équipe

    Mesurer les coûts aussi indirects en fait que représente la prise en charge des maladies psychiatriques en France donc c’est 160 milliards d’euros c’est vraiment un qui est massif et considérable et là aussi qui interpelle bien évidemment les acteurs publics et les acteurs privés et puis on a un

    Certain nombre de chiffres qui sont plus qui sont aussi important à avoir en tête concernant le nombre de personnes en fait aujourd’hui qui sont cré en charge dans les établissements de santé et le nombre d’actes qui sont également portés en ambulatoire voilà donc tous ces éléments cifffrés sont importants à

    Avoir en tête et important à avoir en tête aussi c’est de comprendre et on a apporté beaucoup de pédagogie en fait aujourd’hui à différents acteurs qu’on rencontre en externe sur les spécificité en fait aujourd’hui de la psychiatrie la psychiatrie et un peu à part vivez V quotidien et nous on s’en rend compte

    Parce que dans nos laboratoires on travaille aussi sur différentes air thérapeutiques et en fait à la fois dans l’organisation des soins la SE autorisation en fait aujourd’hui hein qui av qui a ses vertus et qui amène en fait aujourd’hui un certain nombre de de faits et d’outils et de d’atouts mais il

    Y a également cette notion de financement qui fait que vous savez la psychiatrie a étaé financée par la DAF la dotation ànelle forfaitaire vous le savez aussi vous avez bénéficié en fait d’une réforme du financement de la psychiatrie qui a été votée en fait dans la loi de financement

    De la sécurité sociale il y a 2 ans qui a été mis en place en fait normalement depuis une petite année et qui permet justement aujourd’hui en tout cas qui a l’ambition de réduire un certain nombre d’inégalités ou de d’inégalités d’accès et de financement en fait sur l’ensemble

    Du territoire le point est que dans toute cette réforme en fait du financement de la psychiatrie aujourd’hui la le financement des nouveaux médicaments des innovation qu’elle soit thérapeutique euh qu’elle soit technologique ou qu’elle soit numérique en fait aujourd’hui n’est absolument pas adressé et ce qui fait que du coup c’est vraiment dépendant des

    Différentes structures en fait aujourd’hui qui vont ou pas àou un certain budget en fait aujourd’hui au médicament et pour permettre justement cette prise en charge adaptée pour les patients donc ça c’est un premier point que on a pu effectivement dresser et communiquer et l’autre élément qui est aussi exellement important et qui est

    Très spécifique en fait aujourd’hui aux établissements publics en santé mental c’est que ces établissements aujourd’hui ne bénéficient pas des mêmes enveloppes dérogatoires de financement que les établissements MCO ou que ce que vous pouvez vire en HAD ou en SSR c’est qu’il n’y a pas ce qu’on appelle cette fameuse

    Dist Enus qui est un financement dérogatoire qui est voté aujourd’hui dans la loi et qui permet justement une prise en charge des médicaments dit héreux et qui permet justement à Ben au patients de pouvoir bénéficier de cette prise en charge par la solidarité nationale pourquoi c’est important c’est

    Important bien sûr pour les médicaments psychiatri mais c’est également important pour toute la prise en charge en fait des maladies somatiques et c’est pas à vous que bien évidemment je je me permettre de rappeler à quel point cette comordal entre les maladies psychiatriques et les maladies somatiques sont extrêmement importantes

    Mais qui fait que du coup mais on l’a on a pu nous le constater et on a eu beaucoup de témoignages en fait aujourd’hui de de pharmaciens hospitaliers ou de cliniciens hospitaliers qui nous ont fait part du fait qu’il ne pouvaent pas dans certains cas êt en capacité d’utiliser des

    Médicaments je vais vous donner l’exemple de l’hépatite C qui est peut-être le plus illustratif en fait aujourd’hui il y a aujourd’hui un médicament qui permet de guérir l’hépatite C qui représente un certain coup mais qui ne peut pas du tout être ancé spécifiquement dans certains établissements puanté mental puisquils

    N’ pas de budget pour PIR le faire et donc ils acceptent malheureusement enfin ils sont obligé en fait de décaler cette prise en charge de ne pas permettre cette prise en charge ou de s’organiser sur un territoire pour faire en sorte que ce soit pris en charge par l’hôpital

    À côté et comme il y a cette notion de sectorisation aujourd’hui lors d’un épisode psychiatrique le patient ne choisit pas en fait l’établissement sur le dans lequel il est hospitalisé et ben du coup en fonction de cette attribution je dira ben vous allez pouvoir bénéficier ou non de financements qui

    Sont dédiés et qui vous permettent cette prise en charge de médicament Dion donc ça ça nous paraissait être des éléments quand même extrêmement importants et en toute transparence quand on communique en fait aujourd’hui sur ces sujets là auprès des acteurs politique c’est pas forcément connu et je pense que il y a

    Cette cette approche un peu pédagogique qui est également importante à à avoir donc en tout cas maintenant le le sujet est prix et il est non seulement prix que peut-être que vous avez avait lu en début d’année qu’ avait une mission qui s’appelle la mission borne qui a été

    Initiée en fait par la première ministre suite aux discussions qu’il a pu avoir notamment l’année dernière dans le cadre du PLFSS le PLFSS et le plan euh de financement de la sécurité sociale donc c’est ce qui nous permet aujourd’hui de voter le budget qui est alloué en fait à

    La santé pas qu’au médicament mais à la santé en général donc c’est le budget national de dépenses de l’assurance maladie et qui permet ou pas de financer un certain nombre de temp et l’année dernière ça était assez tendu pour tout vous dire et il y a eu beaucoup de

    Mécontentement de la part de beaucoup d’acteurs en fait aujourd’hui puisqueil y avait eu aucune concertation entre les acteurs quels qu’ils soi et l’État et ça a amené du coup à vraiment pointer du doigt la la nécessité de rediscuter de façon collective en fait aujourd’hui des modalités de financement de la santé sur

    Le territoire français c’est vrai pour l’hôpital c’est vrai pour les médicament c’est vrai pour les dispositifs médicaux c’est vrai à peu près pour tout et donc c’est comme ça que cette mission B est né c’est une mission dédiée à la régulation en financement en fait des produits de santé donc ça concerne

    L’ensemble des des des produits de santé pas que le médicament mais aussi dispositif médical et ça ça permet vraiment euh en tout cas ça a permis de poser un certain nombre de constats on pourra du coup le le partager si vous le souhaitez c’est c’est des constats qui sont vraiment publiques en fait

    Aujourd’hui qui sont disponibles il y a tout un comité des sages qui s’est réuni pendant plus de 6 mois en fait aujourd’hui et qu’on émis des recommandations qui ont été publiées cet été et là où nous n on était particulièrement euh fier je pe je pense qu’on peut dire

    Comme ça avec Nathalie c’est qu’on a pu du coup partager avec eux les sujets spécifiques sur la psychiatrie la santé mentale et il y a une mesure en fait aujourd’hui qui concerne justement cette problématique de financement et cette inéquité en fait qui existe sur l’ensemble du territoire en fonction des

    Typologies desétablissement donc pour nous c’était un sujet qui était vraiment important parce que ça a permis de montrer que bah il était pris maintenant au plus haut politique hein pour l’avoir discuté aussi avec le cabinet santé on sait que c’est un sujet maintenant qui est euh qui est vraiment connu et qui on

    L’espère en tout cas nous permettra d’être d’être travailler de façon beaucoup plus concrète cette année je me suis permis cette petite slide quand on a discuté avec Marion le voyit Marion je vous vois au au au fond euh vous nous avez effectivement conseillé de d’avoir un peu de pédagogie

    En fait et donc je vais me permettre juste deux petits slides de pédagogie qui est important parce que tout ça ça fait le lien avec euh la présentation en fait de Nathalie sur la partie de recherche clinique en fait aujourd’hui en France en tout cas c’est comme ça

    L’évaluateur l’état évalue en fait les produits de santé selon deux critères le critère du SMR qui est le service médical R 2 ou le critère de l’ASMR qui est l’amélioration du service médical r C’est la Haute Autorité santé en fait aujourd’hui qui est une agence indépendante et qui évalue en fonction

    D’une doctrine qui est publique en fait aujourd’hui selon des critères méthodologiques très très strict on va dire en tout cas très précis et très clair publi aussi qui évalue du coup les médicaments et en fonction en fait de ces différentes évaluations derrière vous avez une négociation de prise en charge avec une

    Inscription ou pas au niveau des collectivités et une négociation avec le CPS donc le comité économique des prix des produit de santé merci Nathalie et qui définit du coup le but enfin le le prix du médicament enfin la valeur du médicament et son coût en fait le représente effectivement pour pour

    L’assurance maladie et après il y a effectivement cette fameuse publication ojio pour que du coup les choses soient totalement acceptées ce qui nous paraissait important effectivement c’est de bien effectivement comprendre ces deux étapes et notamment donc voilà c’est ce que je vous disais bien comprendre que dans le SMR en fait

    Aujourd’hui donc il y a plusieurs niveaux et le SMR en fait aujourd’hui il vous permet essentiellement de définir le niveau de prise en charge de l’assurance malad donc c’est le taux de remboursement de médicamentens que vous allez effectivement avoir donc vous avez plusieurs plusieurs niveaux vous voyez

    Ici et il y a un niveau qui est i donc quand on a une un smri peut-être vous avez des industries qui V pas c’est vous avez pas de prise en charge donc votre médicament il’est pas réqué en France d’avoir un médicament pasouré c’est vraiment très compliqué et

    Vous voyez là à côté et ça ça nous paraiss important de le repréciser quels sont les critères en fait qui permettent justement à la Haute Autorité de Santé d’évaluer euh le niveau de SMR qui doit définir donc il y a la gravité de la maladie la place du médicament dans la

    Stratégie thérapeutique son caractère préventif curatif et symptomatique et bien évidemment l’efficacité en fait et la quantité d’effets de la démonstration à la fois du bénéfice risque bien évidemment on est sur l’efficacité de la tolérance donc ça c’est une première étape qui est indispensable donc une fois qu’on a cette première étape et

    Juste du coup on a fait une analyse parce que c’est aussi toute la puissance du la c’estêtre en capacité du coup de mener des analyses assez poussées sur des données publiques on a fait l’analyse là récemment faut prendre des petites notes euh sur les deux dernières

    Années euh on a évalué donc sur les deux dernières années on a eu 12 produits 23 indications parce que tout ça c’est évalué par indication et euh pour la psychiatrie plus spécifiquement on a eu CQ produits sur les 23 qui ont été évalués en smri donc pas de remboursement pas

    Lancement c’est généralement c’est très compliqué de on peut toujours lancer mais généralement c’est peu util deuxième élément qui nous paraît aussi extrêmement important et là clairement ça fait tout le lien avec toute la partie de la recherche chinique c’est l’amélioration effectivement du service médical r l’amélioration du service médical rendu ça répond

    Effectivement à la question c’est qu’est-ce que votre produit apporte par rapport à l’existant quelle est la plusvalue en fait aujourd’hui la valeur ajoutée effectivement de du médicament donc là aussi il y a différents grades donc là il y a un petit il y a un petit palmarès parce qu’effectivement si vous

    Êtes vous avez une smmr 1 2 ou 3 vous faites partie vous êtes considéré comme faisant partie des médicaments les plus innovants effectivement sur le marché vous avez laasmr 4 qui est considéré comme une asmr mineur c’est un bénéfice qui est dit incrémental et vous avez laasmr 5 qui dit que vous n’apportez

    Aucun aucune plusvalue en fait aujourd’hui par rapport à l’existant et et à droite là on vous a mis effectivement quels sont les critères de jugement de la Haute Autorité de Santé pour effectivement ir en fait cette asmr donc la valeur médicale ajoutée la qualité de la démonstration donc là on est sur des

    Sujets de méthodologie de typologie de population de pertinence en fait des critères qui sont utilisés la quantité d’ffets en terme d’efficacité clinique qualité de vie et tolérance et le dernier point qui est vraiment très important c’est la pertinence clinique pertinence clinique de cet effet qui vraiment intègre en fait cette

    Problématique notamment par rapport au comparateur qui est défini comme étant clinque unquement pertinent pour la haute autorité et on insiste en fait sur CEJ là parce que pour le coup les discussions qu’on peut avoir avec vous et avec l’ensemble des industriels on se rend bien compte que sur cette partie

    Smmr c’est là où ça pêche le plus et sur les 23 indication dont je vous parlais tout à l’heure il y en a 15 qui ont été estimé en un asmr 5 et qui dit asmr5 ne pas de bénéfice si vous n’apportez rien de plus ça veut dire que du coup vous

    Devez générer des économies pour la la collectivité donc ça veut dire que dans la négociation prix en fait pour AA le laboratoire avec le CEPS il devra de toute façon dégrader son prix par rapport à l’ et je pense que c’est important en fait d’avoir ces différents éléments en

    Tê parce que ça vous ça peut expliquer aussi malheureusement parce que quand vous avez plusieurs médicaments et vous connaissez le coût des développement des médicaments puis qu’on a pas reparlé en fait de de ça et de toute le le la mécanique en fait aujourd’hui des laboratoires par rapport au

    Développement et la prime de risque en fait qui est qui est pris on se rend bien compte que bien sûr et pour des petites structures comme pour des grandes structures ben vous allez effectivement vous interroger avant d’investir sur un territoire ou dans dans une indication spécifique si vous

    Savez que derrière vous n’aurez pas forcément un une méthodologie qui permettra justement de mesurer ou de démontrer la valeur ajoutée de votre produit et que le par exemple le comparateur qui est utilisé et c’est un comparateur qui n’est pas reconnu en fait aujourd’hui par la France et pas reconnu par la ha

    Autorité donc voilà j’enchaîne mais en tout cas ça nous paraissa effectivement important et donc le premier constat qu’on a pu faire de façon très macro c’est que sur les C derniers antipsychotiques en fait aujourd’hui de 2e génération qu’on ét développé après 2005 et bien il y en a zéro qui sont

    Disponibles en fait sur le territoire français voilà donc c’est c’est un effet donc c’est ce que disait Natalie en accution vous avez aujourd’hui un arsenal thérapeutique qui est moins important en fait que vos collègues européens je pense que vous le savez tous on en a déjà beaucoup parlé vous

    Savez très bien qu’aujourd’hui vous avez des médicaments qui ne sont pas accessibles sur le TH donc aujourd’hui ce qu’on voilà notre notre notre souhait c’est de de voir comment on peut avancer bien s ensemble que changer cette mécanique euh on voit bien que il y a beaucoup à faire encore aujourd’hui mais

    En tout cas nous on a à cœur à s’attaquer à un sujet ou deux sujets spécifiquement avec vous pour que que du coup on fasse effectivement renverser la vapeur et on voit bien qu’il y a cette difficulté aujourd’hui à qualifier la valorisation en fait aujourd’hui des innovations parce que ça va être c’est

    Un gros sujet aussi pour BR forcément par rapport à ça mais effectivement il faut que on soit en capacité d’intégrer les spécificités aujourd’hui de la psychiatrie et on voit bien que la doctrine de la Haute Autorité de Santé aujourd’hui elle ne permet pas d’intégrer les spécificités de la

    Psychiatrie et vous n en parlez beaucoup parce que vous avez cette horogénité au niveau des tableaux cliniques cette comorbidité qui est importante cette difficulté en fait aujourd’hui dans la méthodologie des aess cliniques qui ne permet pas cette démonstration clinique et aussi on a cette importance au niveau des comparateurs non pertinents ou

    Cliniquement plus pertinents en fait aujourd’hui et qui sont parfois aussi très ancien et en toute transparence même si vous démontrez une efficacité par rapport à un comparateur qui est cliniquement pertinent mais qui est très ancien c’estàd qu’ a un prix très bas ben c’est extrêmement compliqué du coup

    Pour le labor laboratoire de pouvoir négocier un prix qui permettra en fait aujourd’hui de vraiment refléter la valeur du médicament et et lui permettre du coup une mise à disposition sur le territoire donc dans cette démarche les propositions du coup qu’on a formulé sur ces deux axes à la fois donc l’axe de

    L’évaluation et à la fois l’axe d’inégalité d’accès donc c’estd du financement dont je vous parlais notamment par rapport aux établissements santé mentale donc on a fait deux propositions pour chaque la première au niveau de l’évaluation c’est faire effectivement reconnaître cette perspective notamment patient en tout cas ces spécificités en fait aujourd’hui

    Qui sont liés à la clinique en fait de la psychiatrie dans l’évaluation ça ça me paraît effectivement important et s’assurer que du coup c’est reconnu d’un point de vue méthodologique donc éligible en fait aujourd’hui par la Haute Autorité de Santé et aussi il nous paraissait important d’envisager parce

    Qu’aujourd’hui a un collège en fait d’experts au niveau de la Haute Autorité de santé il y a plus aucun psychiatre alors eux nous disent que c’est parce qu’il y a plus d’innovation psychiatrique donc ils ont plus besoin d’exer psychiatrique enfin voilà on s’en sort plus voilà donc l’idée c’est qu’en

    Tout cas nous on on prône le fait qu’il y ait systématiquement la présence en fait d’une expertise psychiatrie au niveau de l’évaluation des produits pour pour pour le collège de laut et puis par rapport à à cette notion de financement donc là il nous paraît indispensable de se concerter

    Avec l’ensemble des acteurs pour définir en fait aujourd’hui cette liste de médicaments on définir j’aiéchangé avec un de vos collègues en début de semaine d’abord c’est quoi un médicament onéreux en psychiatrie quand on regarde les critères de de l’ensus classique je dirais plutôt en cancérologie on va

    Prendre cet exemple là il est aussi assez illustratif ça correspond en fait aujourd’hui un surcout de 20 % par rapport au TR journalier c’est ça bien ça donc voilà donc du coup c’est important aussi qu’on se repose la question c’est quoi un coup de traitement journalier en fait en

    Psychiatrie ça correspond à quoi et c’est quoi un traitement onéreux du coup si on reprend ce critère on peut peut-être avoir un autre critère on sait pas mais on voit bien qu’ toute façon un traitement onéreux en cancérologie ben n’aura pas du tout le même coût qu’un

    Traitement hé en P donc c’est pour ça que c’est important de le valoriser parce qu’on peut possiblement rentrer dans une enveloppe qui sera totalement accessible en fait aujourd’hui par la collectivité mais ça tant qu’on l’a pas tant qu’on l’a pas défini tant qu’on l’a pas posé tant qu’on n’est pas en

    Capacité aujourd’hui de définir quelle est la consommation en fait des médicaments dont vous avez besoin en psychiatrie et ben du coup on n pas capable de discuter et la DGOS donc la direction générale de l’offre des soins qui fait partie en fait du cabinet santé

    Quand on discute avec eu il nous dis bah donnez-nous t chiffres venez avec des chiffres et du coup c’est ça don c’est ça qu’on aurait vraiment besoin de faire avec et le dernier point effectivement ça concerne ben cette notion de comparateur de référence et donc là il y

    A ce ces deux sujets il y a c’est sujets de comparateur cliniquement pertinent parce qu’il y a parfois des comparateurs qui sont très utilisés dans d’autres pays est pas chez nous et du coup c’est utilisé parce que les études cliniques qu’on mène elles sont menées vous

    Imaginez en tout cas pour je vais parler pour mon cach gen scè c’est c’est défini au niveau monde donc c’est défini pour que ça puisse fiter enfin matcher le plus possible avec l’ensemble en fait des des besoins des différents pays et donc parfois ben il y a des des

    Utilisations des usages qui sont très différents et on peut utiliser un comparateur qui est très utilisé en Allemagne et pas du tout utilisé en France et du coup là ça vient très compliqué et du coup il y a cet aspect là qui il faut effectivementuter puis cette notion d’ancienneté aussi par

    Rapport à la référention j’enchaîne je sais pas du tout dans on du coup voir on est un peu dépassé la demiure ok très bien merci alors j’enchaîne avec le troème défi le troisème défi effectivement il est sur le parcours de parcours de soins et de d’assurer effectivement en tout cas ce

    Continuum de parcours de soins hors hôpital et donc l’axe qu’on a défini là il est unique en fait c’est vraiment poursuivre cette innovation organisationnelle alors pourquoi on est parti de quelques constats que vous avez aussi tous bien en tête j’en suis certain mais le premier en tout cas pour

    Nous qui nous paraiss important c’est que 50 % des patients qui sont atteints d’ TR le psychiatri sévère connaissent ou connaîtront en fait une rechute les reconduisant à l’hôpital dans les 2 ans donc ça ça nous paraissait vraiment un chiffre très fort et comme on a vu tout

    Au début que bah les dépenses de l’assurance maladie sont qui est le coup le plus important en fait pour les maladies psyatriques c’est essentiellement dû à une problématique de réhospitalisation bah ça nous paraissait effectivement extrêmement important à avoir en tête et l’autre chip que je voulais partager avec vous

    Que j’ai relu là en préparant la présentation c’est que c’estes réchut elle multiplie par 4 le coût d’hospitalisation donc on voit bien que là il y a un enjeu extrêmement fort en tout cas il y a sûrement des éléments à à travailler cette problématique de diagnostic ttif

    Ça vous saviez bien mieux que moi aussi l’entrée du parcours qui se fait principalement en fait au niveau de la médecine générale avec cette prescription de psychotrope et d’anxiolitique en fait aujourd’hui qui est certainement à rediscuter et là on rentre dans un autre sujet qui celui de

    La maîtrise médicalisée mais si le coûp aujourd’hui le plus important c’est celui effectivement des psychotropes qui sont très en médecine générale ben il y a quand même un sujet et en tant que spécialiste aussi forcément vous êtes impacté par par ces prescriptions aujourd’hui qui sont probablement pas adapté

    Donc voilà c’est un autre point et dans cette dynamique là en tout cas nous là on s’est senti légitime au niveau du groupe c’est de se dire qu’on avait sûrement à saisir le potentiel en fait du numérique pour mieux accompagner en fait ces ruptures de parcours de soins

    Et il y a notamment eu un peut-être que vous connaissez cette euh cette enquête qui a été publiée récemment par l’Institut sapien qui a évalué en fait aujourd’hui que le numérique pouvait effectivement émettre des une économie en tout cas ou de diminuer les dépenses publiques de façon massive je crois en

    Psychiatrie on se dit que on a tout intérêt à travailler ensemble pour être en capacité justement de démontrer cette ce bénéfice et cet impacte d’un point de vue budgétaire alors je voudrais vous parler juste d’une initiative qu’on a qu’on a pu mener qui est une première

    Voilà approche à notre réflexion on a là ça on avait fait ce travail on a sorti du Livre Blanc psychiatrie numérique que vous connaissez probablement aussi on a pu du coup évaluer le fait qu’il y avait par que c’est énorme he tout ce qui est solution numérique en fait aujourd’hui

    Et il y a 15000 applications et services qui sont disponibles aujourd’hui dans le domaine de la santé et dont 25 % en santé mentale ça paraî juste énorme en fait aujourd’hui et la grande majorité de ces solutions sont orientées autour du télésuivi ou a du self mais ce qu’on

    A pu analyser en fait dans ces dans ces approches là c’est que la majorité en fait de solutions elles non elles ne sont pas évaluer on connaît pas forcément le bénéfice qu’elles peuvent apporter en fait aujourd’hui elles ont pas forcément trouvé de marché sur le territoire elles ont pas forcément

    Trouvé de de financement non plus sur le territoire bref tout ça c’est pas très structuré et pas très bien d’organisé donc ça nécessite bien évidemment un accompagnement la première initiative qu’on a pu faire elle s’appelle impact elle a donc il y a eu un impact 1 et il

    Y a un impact 2 Alexis je te laisserai aborder du coup cet impact 2 en tout cas on a souhaité euh monter un nouveau collectif alors là ça réunit tous les industriels santé médicaments et numérique un certain nombre d’acteurs publics euh bien évidemment le ministère de la Santé la Direction Générale des

    Entreprises un certain nombre d’acteurs des des académiques aussi et et puis des ce qu’on appelle nous des business ers donc des fondations en fait aujourd’hui des venture capital qui sont prêts à investir et puis également les mutuel et puis on a souhaité pendant une année accompagner on a fait un appel à

    Manifestation d’intérêt et on a sélectionné sur une cinquantaine en fait de candidats qu’on a pu avoir on en a sélectionné cinq ils sont ici vous voyez un petit peu comme ils ont été ils se sont organisé articulé en fait autour du parcours de soins mais l’objectif c’était qu’on puisse accompagner

    Effectivement ces start-up puisque la plupart du temps c’est des start-up dans leur développement pour leur permettre justement un déploiement national et bah en toute transparence ça pas été simple du tout et et mais en même temps c’était très apprenant et c’est important parce que ça nous permettra demain et c’est

    Notre volonté aujourd’hui vous avez probablement entendu qu’il y avait un grand défi santé mental qui était en cours de construction je sais pas du coup si Alex tu parleras un petit peu de de cette dynamique mais c’est c’est aussi important qu’on est s enête donc c’est une initiative aujourd’hui du du

    Ministère délégué à la santé mentale de justement saisir ce potentiel numérique spécifiquement santé mentale et donc c’est important bien sûr qu’on partage nos différentes expériences et et et les enseignements de cette de cette approche aujourd’hui sur ces cinq start-ups qu’on a accompagné il y en a au bout d’un an

    Deux qui ont quand même déposé le bilan donc c’est pour ça que c’est important qu’on se pose en fait et qu’on comprenne quels étaient les enjeux quelles étaient leurs barrières et il y a plusieurs en fait enseignements qu’on a pu tirer le première c’est que un la plupart de ces

    Euh de ces solutions de ces équipes aujourd’hui elles arrivent dans un univers de la santé qui est extrêmement réglementé et la plupart en fait elles le savent pas encore mais les solutions qu’elles proposent répondent à à des réglementations du dispositif médical qui aujourd’hui euh vit en fait une

    Sorte de de révolution en terme de réglementation au niveau européen au niveau français donc c’est extrêmement compliqué en fait pour elle de les accompagner de généralement c’est des c’est des sociétés qui n’ont pas complètement en qui sont pas matures on va dire d’un point de vue technologique

    Oui mais qui sont pas totalement matures sur la finalité en fait qu’il veulent vraiment porter c’est quel bénéfice je vais apporter à qui est-ce que c’est un bénéfice pour le patient est-ce que c’est un bénéfice professionnel de santé qu’est-ce que j’apporte en fait au système de soin et l’autre élément qui

    Est aussi extrêmement important c’est le rapport à la donnée de santé parce que dans toutes ces solutions ce qui est important pour démontrer en fait la valeur ajoutée que vous avez vous êtes en capacité de démrer ce que vous avez fait ce qui se passait avant et- ce que

    Vous apportez de plus et donc là il y a toute une notion autour de la donnée de santé qui est extrêmement importante et ils sont pas matures en fait aujourd’hui par rapport à ça pour savoir quels sont les typologies données dont ils ont besoin est-ce que c’est des données médico-administratives alors ce momentl

    Je travaille effectivement avec avec le S ou avec le système national des données de l’Assurance Maladie est-ce que quel typologie en fait données clinique besoin quel type d’apparement et C et bref tout ça pour dire qu’il y a une nécessité aujourd’hui d’accompagner bien évidemment ces équipes elles sont

    Indispensable en tout cas nous on est convaincu c’est indispensable de travailler avec eux et de leur apporter grâce à vous une expertise bien évidemment clinique et du besoin avec les patients les avoir également avec nous pour qu’on comprenne bien aujourd’hui quelle est la finalité peut-être l’usage pour que du coup

    Demain il puisse effectivement trouver un marché et répondre à ce continuum aujourd’hui hors hôpital ou pré hôpital en fait aujourd’hui parce qu’il peuvent aussi accompagner beaucoup tout ce qui est Rance diagnosti et nous permettre on l’espère de mieux accompagner les patients et les aidants aussi donc dans cette démarche

    Aujourd’hui on a fait euh trois dernières proposition et on on s’arrêtera là donc il y a une notion sur la maîtrise médicalissée des industriels j’en ai moins parlé là mais vous l’avez compris au démarrage cette prescription en fait aujourd’hui de psychotrope elle mérite probablement qu’on se pose mais

    C’est un autre sujet et c’est aussi un sujet qui est important pour l’État donc on on en reparlera peut-être et puis il y a effectivement ces aspects autour de l’évaluation aujourd’hui des outils digitaux dans le système de soins donc les tiers lieux d’expérimentation c’est vraiment important l’initiative brainem aussi elle va être extrêmement

    Stratégique en fait dans cette dynamique et puis de voir comment on peut au mieux intégrer ces outils digitaux dans la prise en charge on a on salue souvent un exemple qui s’appelle movec qui est un exemple en fait aujourd’hui qui est qui est l’histoire d’un dispositif médical dans et qui accompagne en fait

    Aujourd’hui les les patients qui ont qui souffrent d’un cancer du poumon et qui permettent en fait de prédire en fait une rechute ça ça paraît vraiment très très très joli ils ont été très loin en fait dans leur démonstration ils ont fait une phase 3 pour être en capacité

    De démontrer la plusvalue qu’ils avaient d’utiliser effectivement le le solution par rapport à l’absence de solution ils ont été auprès de l’assurance de la Haute Autorité de santé ils ont obtenu un prix et un remboursement ce qui était la première en fait aujourd’hui de SP médical à faire ça la problématique

    Qu’on a rentré et rencontré après c’est l’usage ça c’est une solution qui n’a pas été suffisamment utilisée ni par un prescripteur ni par un patient donc c’est pas voilà donc il y a toute une démarche qui est importante aujourd’hui à avoir de pédagogie qui est importante

    À avoir à la fois pour les cliniciens à la fois pour les patients pour se dire dire que ce potentiel en fait du numérique on le comprend et on l’adresse de façon collective voilà donc ça c’était les défis qu’on s’était voilà les défis qu’on a souhaité partager avec vous les

    Solutions qu’on a souhaité partager avec vous comme le disait Nathalie en introduction on est dans une phase aujourd’hui de communication d’ensemble de nos propositions l’objectif c’est d’être concret en tout cas c’est notre objectif sur 2024 et de voir vraiment avec vous quels sont nos sujets d’intérêt commun sur quoi on peut

    Avancer ensemble comme comme quelles sont les initiatives que vous avez déjà euh initié et sur lequel du coup on peut mutualiser nos efforts et et avancer ensemble on est vraiment dans une phase aujourd’hui de déploiement de cette plateforme aussi bien auprès du politique et de l’Assemblée nationale

    Que vous voyez ici que des acteurs comme vous aujourd’hui qui sont indispensables dans tout le réseau et donc notre voilà notre projet c’est de on l’espère c’est que ce rendez-vous soit le début de synergie pour le futur et je vous remercie on vous remercie à nouveau pour votre invitation et pour les discussions

    On est ravi de pouvoir répondre à vos questions merci merci beaucoup Virginie merci Natalie pour ces expation très clair pour le constat et des propositions important je retiens qu’on partassez loin et donc il a une marge d’amélioration encore énorme et je crois qu’il faut saisir de cette opportunité fondamentale et une

    Réponse à travers son réseau je CIS que mind en est une autre et c’est pour ça que c’est intéressant de voir ce que merci beaucoup bonjour à tous et toutes donc je m’appelle Alex g je suis en charge des et l’innovation l’Institut de cerveau et et je vais participer au démarrage

    De avant de commencer je pense que les slides les slides vont enchaîner euh dans les donn éé qui m’ été transmise a le fait que si on veut avoir accès à des solutions innovantes pour les patients il faut contribuer à les développer l’endroit où les solutions sont

    Disponibles c’est là où la RD a lieu donc la red doit avoir lieu ici en France la deuxème info que vous avez eu c’est que les essas cliniques en oncologie par que il y avait des données positives 20 fois plus d’essa cliniqu en oncologie par rapport à la 20 FO donc et

    C’est pas parce que les gens aiment pluscolog c’est un industriel va aller dans le domaine où il a confiance dans une capacité de succès la confiance dans la capacité de succès se justifie par les outils qu’on lui fournit pour montrer qu’on est capable de dérisquer les développements et d’arriver ensuite un

    Succès mise à disposition donc c’est c’est un des objectifs que que brman va tenter de d’accomplir c’est c’est un des nouveaux biocusters qui ont été annoncés par le gouvernement et qui sont dotés de somif icatif pour débuger les étapes de développement industriel industriel au sens de industrie du médicament grande

    Comme toute petite avec la startup mais aussi industrie de la technologie donc neurostimulation neuromodulation digitale et je vais aller très très vite parce que j’ai 7 voilà je commence à les compter pour vous dire que ça vous savez tous que ça a été assez dramatique pendant longtemps parce que plus personne voulait investir

    En psychiatrie et en euros au sens large par par que excessivement risqué cette diapo vous montre que c’est quand même on s’arrête juste avant la crise ukrainienne mais c’est ça va quand même mieux les investisseurs américains sont revenus dans le domaine massivement et des investisseurs européens donc ceux

    Qui permettent à des start-ups de se développer plus bas et plus lentement sont aussi revenus donc il y a un moment d’opportunité où la communauté de ceux qui mettent l’argent sur les développement se disent il y a moyen de faire quelque chose et il y a moyen de

    Développer de l’innovation et et on pense que avec fondamental euh institut de la vision ICM et bien d’autres on a l’environnement pour le faire en île-defance du fait de la masse de recherche du fait qu’on s déjà créer des start-ups qui lèvent de l’argent je vais aller excessivement vite excusez-moi et

    Du fait que on a quand même quelque chose de formidable en France qu’on retrouve pas forcément partout c’est la capacité à intégrer de la recherche fondamentale très profonde dans des environnements de soins avec des plateformes Tech qui permettent d’accélérer le passage de la prinique à la clinique alors on a plein d’autres fa

    On va pas on va pas les mentionner ici ça c’est des assets qui sont très forts cette capacité d’intégration vous voyez assez peu aux US un site hospitaliers dans lequels il y a de la plateforme technologique il y a de la recherche fondamentale c’est souvent c’est souvent

    Séparé et donc sur cette base le projet du B cluster c’est le fameux cercle vertueux désolé pour la lainte la teinte à la crème parce qu’on connaît on connait les lieux commun mais qui rassemble à peu près tous les grands acteurs Clini pr clinique industrielle vous avez une

    Partie de rou seement ici et d’intégration pour dérisquer facilité accélérer le développementinnovation en neuroscience pas de différence entre psychiatrie neurologie et organ des sens on se dit qu’il faut raisonner sur la base du neurone avec des applications dans les différentes pathologies et que les méthod utilisés en psychiatrie pe

    Être absolument crucial pour développer efficacement en neurologie réciprement applications des techniques qui sont utilisées dans les déficances sensorielles qui peuvent aussi être formidables pour faire d’évaluation en psychatrique mouvement oculaire mod densité de laartin et autres euh et donc je vais très rapidement vous montrer les trois piliers pour pas vous faire perdre

    Trop temps donc Bren and m est notifié de à peu près 100 millions d’euros sur les 10 années à venir 100 100 millions d’euros dont l’objectif clé est de s’assurer que plus d’industriels start-up grands groupes vont venir avec vous pour développer depuis laamont jusqu’à l’aval les solutions thérapeutiques de demain et encore une

    Fois du médicament de la T digital et des points qui font mal alors on a parlé de la recherche clinique mais on a aussi parlé des startups qui ont tendance à mourir trop vite elle meurt vite parce que ell démarent en pariant sur un powerpo elles essaient de vendre un PowerPoint

    En ayant excessivement peu de donné réell de la valeur de la techno et donc les investisseurs au bout plus tout envie de mettre de l’argentessus et puis comme je disais Virgie elle pense paslementaire elle pense pas à la donnée et donc le peu d’argent qu’elles ont au démarrage C

    Pour rien et finissent par mourir pas d’un très Bellet elle peut changer ça normalement avec une façon relativement simple qui été peu fa c’est au départ intéressent les investisseurs BO mais les investisseurs disent on sait pas technologies sont réellement solides et si l’investissement que je mettre a une possibilité de d’être

    Rentable avec ce premier pilier ce que proposer c’est des packages de dérisquage où on va demander à l’ensemble des investisseurs qu donné exactement ils attendent pour être convaincu que la technologie a du sens Etman investira pour que ces données soi fourni revenir vers l’investisseur écoute voil on les a donc la techno est

    Solide le règlementaire est bordé on sait dans quelle indication ça peut faire du sens les meilleurs cliniciens et les meilleurs scientifiques se sont pchés dessus donc maintenant vous pouvez mettre l’ si ça fonctionne on devrait avoir sur des impacts 3 4 5 donc des programmes des programmes d’accélération

    On espè beaucoup moins d’entreprises qui Meur et beaucoup plus qui sont capables de cranter sur des investissements et donc d’aller vers le développement clinique ça c’est le deème pilier de alors on c’est de nouveau excusez-moi j’ pas besoin de de faire de changement diapo sans changement en diapo

    Euh ce qui a été mentionné sur le plus faible nombre d’essais qui sont réalisés en France donc il y avait la première chose qui faisait mal 20 fois plus pour la deuxième chose qui faisait mal deux à trois fois moins en France par rapport à aux bons européens et c’est une succession de

    Facteurs donc il y a le réglementaire mais il y a pas que ce qu’a fait l’oncologie qui fonctionne formidablement bien c’est qu’ils ont organisé des réseaux coopérateurs dédiés à la recherche clinique donc pas uniquement la physiopathe mais aussi la capacité d’avoir les mêmes critères qualité les mêmes façons de d’évaluer de

    Normer les patients et des biomarqueurs performants pour aller réaliser des essais cliniques précoces si on est capable de refaire la même chose dans nos domaines en se basant sur le besoin des pipelin des industriels mécaniquement ils vont revenir c’est des gens très pragmatique si on le montre qu’on est capable de

    Faire des essais rapidement avec avec de la qualité ils vont venir donc ça c’est des P numéro 1 étape numéro 2 parce que ça c’est juste goodof si on veut être meilleur il faut que méthodologiquement il y ait aussi des innovation pour que les dessins adaptatifs soi plus

    Systématique et qu’on ait pas besoin de reconstruire l’usine de la RD à chaque fois qu’il y a un nouvel essai et enfin on manque quand même massivement de biomarqueur précoce d’efficacité ou de biomarqueur de stratification des patients on voyait le le taux de rechute ou le taux de non réponse des patients

    C’est probablement expliqué par leur diversité biologique que ce que fondamental app les endophénotypes qui sont pas suffisamment bien caractérisés en général en tout cas pas systématiquement dans donc inves massivement et là aussi sur vos projets pour que c viux marqueur pertinent puiss devenir un peu le standard devation clinique et dernier

    Point société alors Virginie tu parlais des difficultés pour communiquer avec le payeur finalement pour convainc du service médical rendu et une grande partie de ça est la définition de ce qui est un service médical rendu pertinent dans le domaine de la santé mentale effectivement les données de vie Ré sont très peu prises

    En compte alors qu’elles sont alors qu’elles sont cruciales et il va falloir réussir à travailler pour plutôt avoir un environnement où le le régulateur comprend les enjeux du domaine et les comprend avant que le dossier soit sur son bureau avec une demande de remboursement donc pour ça dans une

    Approche polic fondamental va être là-dessus qui est là et c’est idéeavir cet écosystème on va faire se parler des gens beaucoup plus tôt pour que la douleur soit moins rude ou l’acculturation moins violente lorsqu’on arrive sur le bureau du régulateur euh et dans le domaine du MTech tu l’as

    Aussi mentionné Virginie les les attritions donc les risques d’échec sont plus faibles que dans le que dans le médicament mais généralement les boelles se prennent des gâin arrivver sur le marché personne nutilise et ça c’est une question d’acculturation à l’usage du prescrpteur donc çaêre le paramédical ça

    Va être l’IPA euh et on a également besoin là-dessus d’avoir une sorte de d’école de formation continue pour que lorsque l’innovation est démontrée et qu’elle arrive elle soit réellement utilisée et ça demande une capacité de classticité dans les usages dans les services et pas seulement dans les services pour les intégrer donc voilà

    Les trois points piliers clés de brain and mind et je crois que W j’ai même 15 secondes d’avance compte vous dire ça démarre euh la per donc ça va être plus compliqué que ça sur les slides ça l’air facile mais le les points clés 1 ça démarre en

    2024 on est en train de finaliser la contractualisation avec et de voilà et de la ce qu’on pense à des éléments clés pour ça fonctionne c’est que un il faut que les industriels soient aussi puissant que les académiques dans ce projet si on part pas du besoin de la communauté

    Industrielle on risque de pas cranter et l’objectif de les refaire venir avec des composés sera pas remp de il faut qu’on soit capable d’exécuter très rapidement que les décision d’investissement sur les plateformes de nouveaux biomarqueur de la plateforme digitale doivent pouvoir seendre vite et ça c’est le CFT test

    Qu’on va avoir dès 2024 don il va probement qu’on des Res d’apprentissage mais pour tous vos projets de parcours de soins de structuration de vos réseaux cliniques pour vos pathologies vous avez normalement avec brin and mind un nouvel outil qui va vous permettre d’obtenir des investissements et de bosser main

    Dans la main avec avec un ensembleindustriel pour refaire venir des composés innovants ou des techno innovante et les développer plus rapidement voilà on espère que ça va se passer aussi bien que ça et très bien merci à [Musique] vous fait une question plutôt la première partie mais merci pour vraiment

    Lesation c’est extrêmement r beaucoup à réfléchir c’est pas pas habitué à ces logiciel là en fait en tant que médecin en tant que chercheur sur les la question des classifications SMR des moi je toujs assez surpris cl des médicaments niveau 5 donc en fait aucun intérêt alors qu’en fait c’est vrai

    Qu’il apportent pas un bénéfice par rapport à d’autres médicaments du marché il sont peut-être un peu plus chers mais pas beaucoup plus cher que médic cancérologie et c moi ce qui m’étonne quand même c’est qu’on se pose pas la question du fait qu’il a des patients qui ont des effets secondaires aveutres

    Méic par exle psychotique beaucoup d’effets secondaires donc on va tonner on va mettreapine les passurs pas et en fait on nous dit un nouveau médicament carasine par exemple d’action celui on le valide pas en France parce que dans les études clinque ne montre pas d’intérêt par rapport aux autres sauf

    Que pour le patient qui est devant moi à ce momentl je me dis si j’avais un arsenal thérapeutique plus étendu peut-être que là je pourrais améliorer sa prise en charge et ça je sais pas comment faire passer bien le message que nos patients ils ont besoin d’avoir plusieurs molécules à disposition pour

    Qu’on puisse avoir un choix et qu’ sont pas tous égau face aux effets secondaires par je je me permets je démarre du coup merci beaucoup de votre témoignage c’est c’est sincèrement exactement ce qu’on entend au quotidien et on est totalement d’accord avec vous je vais je vais faire écho à ce qu’a

    Mentionné Alexis sur les données en vie réelles je pense que on a clairement besoin aujourd’hui de mieux collecter nos données en vie réelle quand vous parlez de bénéfice risque en fait aujourd’hui d’avoir une qualité données une profondeur des données en fait aujourd’hui qui soit méthodologement reconnu par le régulateur et par le

    Payeur aujourd’hui et qui puisse être intégré en fait dans cette évaluation c’estàd que la qualité de vie en tant que telle même si la Haute Autorité de santé nous dit et vous pouvez dire dans sa doctrine oui bien sûr on intègre les données de qualité de vie que vous nous

    Fournissez pour évaluer les médicaments dans leur globalité aujourd’hui il y a en toute transparence très peu de de cas où on a pu être en capacité Durie donc il l’intègre mais il l’intègre pas forcément pour évaluer de façon euh supérieur on va dire euh le l’apport en

    Fait de de la molécule donc donc voilà donc il y a cette éducation qui est important il y a aussi besoin qu’on a de plus en plus de cas d’usage en fait aujourd’hui qui nous permettent de démontrer factuellement ce que vous nous dites voyez soit pas que empirique en fait soit pas

    Qu’une qu’une compréhension clinique que vous avez aujourd’hui ça ça a très bien marché pour l’urasp par que l’urasp obtenu l’autorisation pour la forme injectable parce qu’on avait on l’avait enu et pour les médicaments qu’on a pas du tout sur le territoire car on peut pas avoir de donn env simplement par

    Qu’on a pas de médicament alors là aussi il y a un travail qui peut être fait par les industriels et qui est pas simple non plus c’est de d’en capacité de faire reconnaître des données enviréel qui peuvent être collecté dans d’autres pays qui puissent être reconnu en fait par le

    Le régulateur français c’est ça fait aussi partie des réflexions qu’on doit mener aujourd’hui bien évidemment merci vous voulez compléter du coup Alex a une autre question micro pour ceux qui sont en ligne sin il il y avait des laboratoires qui n’avent plus forcément vocation à à développer des nouveaux principes actif

    Mais qui pouvait quand même dévoter des nouvelles gques comme par exempleber qui a a permis pour la première fois en France une BO courte en manger table si ces laboratoires qu’on peut entre guillemets oubli parce qu’avec des vieilles molécules il étaient aussi intégrés dans dans le l parce que une [Musique]

    Alors vraiment c’est sur la base du volontariat en fait la contribution du L donc nous on est ouvert à tout le monde tout le monde peut venir et et quel que soit son portefeuille de maintenant ou de demain en fait donc c’est vraiment à eux de prendre mais on a vraiment

    Plusieurs profils aujourd’hui de d’industriel qui sont avec nous donc oui on a besoin de toute façon d’avoir tous ces cas un peu spécifiques pour être en capacité du coup d’être le plus représentatif possible c’est l’objectif natthalie ou oui non je complte juste effectivement il a il y a ce type

    D’industriel qui existe aussi il y a pas que ceux qui sont sur une innovation nouvelle molécule des nouvelles fores aussi mais ça fait partie aussi de l’innovation développer des nouvelles formes et des nouvelles modalités d’administration a merci il y a aussi la question des innovation thérapeutiqu biologique non médicamenteuse dans les stimulation

    Cérébrale par exemple et dans l’évaluation par les instances reste extrêmement flou il a pas de la mais il y a aussi il a l’intervention de Haute Autorité de santé avec un système d’évaluation qui est un peupque qui reste un peu ou alors tout à fait alors c’est vrai

    Que nous on est plutôt industriel du médicament mais ceci dit toutes les remarques que vous faites on touche vraiment le sujet de difficulté qui le sujet de la méthodologie et sur lequel il y a vraiment besoin de d’arriver à travailler d’apporter des choses élémentaires quand on voit le cancer qui

    À à faire approuver des molécules avec euhz on va dire un à 2 mois de survie gagné et qu’onarrive pas en psychiatrie à augmenter un arsenal euh qui est quand même assez réduit je pense qu’il y a il y a un vrai sujet de méthodologie de comment est-ce qu’on comment est-ce

    Qu’on développe ces nouvelles des nouvelles méthodologies qui vont permettre finalement de de trouver des critères qui vont permettre d’amener des choses un peu nouvelles et euh et comment est-ce qu’on met en place comme disait Virginie des cas d’usage qui vont permettre ensuite de démontrer que effectivement on apporte des choses on

    Améliore le le système sachant que alors une réflexion quand même c’est que quand il y a pas de molécules qui sont développées sur le territoire les molécules suivantes on peut pas non plus les comparer c’est un dou quand même donc il faut vraiment qu’on arrive à à craquer ce ce [Musique]

    Sujeté il y a il y a un cas un cas brûlant à la HAS sur l’évaluation de la TMS dans la dépression qui qui justement un espèce de craft qui montre comment les méthodologies d’évaluation doivent changer parce que visiblement les métaanalyses qui ont été incorporé étaient pas étaient pas les bonnes qui

    Progress avec un petit conflit neurolog psychiatrei on parlera pas voilà ok euh d’autres questions toujours pas de question là-bas là je me tourne vers l’écran là je ne vois pas de main levé pour l’instant vous avez encore une chance levez la main Bruno as levé la main ah alors Bruno

    Vas-y bonjour Non je voulais vous demander est-ce que finalement le le les périodes d’inclusion et le rythme des inclusions dans les essais sont plus long en France et notamment en santé mentale c’est non seulement entre les pays et aussi selon la discipline concernée euh etidement ce n’est pas fait pour renforcer

    L’attractivité euh merci alors on l’a pas regardé en détail sur le sur la partie santé mentale mais par contre oui on s’aperçoit qu’effectivement les centres d’inclusion en France peuvent être plus long euh et ce qui peut être plus long aussi c’est des centres qui sont des centres qui sont ouverts et qui

    Ne recrutent aucun aucun patient en fait et ça c’est un impact parce que c’est extrêmement plutôt d’ouvrir un centre euh et donc là il y a là là pour le coup c’est c’est c’est un sujet sur lequel on on adresse aussi pour essayer de trouver

    Quelles sont et là il y a il y a un travail qui est mené aussi au niveau du ministère là-dessus qui est piloté pour essayer justement de récolter les données les données d’un des différents hôpitaux avec la DNS aussi avec la DGOS pour essayer de savoir justement où sont

    Les les fils de patients et comment se sont les inclusions pour essayer d’améliorer le système en fait donc on on contribue aussi à ce travail mais il est pris il est pris au niveau au niveau national par contre je saurais pas vous dire la différence on l’ pas regardé merci

    Beaucoup merci Bruno je penseeffectivement intéressant de regarder parce que il y a sûrement à chacune des étapes la possibilité d’améliorer le rythme voilà donc je ne vois pas d’autres questions même online donc je vais remercier no oratrices et [Musique] orateurs

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