Aujourd’hui, plus que jamais, la société doit quantifier et réduire son impact environnemental. Le défi qui se pose à l’humanité est de trouver l’équilibre entre production et consommation tout en respectant les limites planétaires.

    Rejoignez Mélissa Bounouar, spécialiste des limites planétaires, dans ce webinaire captivant. Elle présentera une approche novatrice : l’intégration des seuils écologiques des limites planétaires dans une démarche d’éco-conception, grâce à une méthode d’évaluation absolue de la soutenabilité (AESA). Notre objectif est de questionner la notion de système éco-conçu à travers le prisme des limites planétaires

    [Musique] bienvenue pour ce nouveau webinaire du l’écoconception un webinaire un petit peu particulier puisque euh vous nous connaissez on a mis un tas de webinair sur des retour d’expérience des écoinitiatives euh sur des points particuliers des écooncepts qui sont des dire des des éléments de connaissance qu’on diffuse le plus largement possible

    Et là on va discuter d’une note d’une note sur les limites écologiques alors je vais peut-être juste repréciser le pococonception c’est le centre d’expertise de connaissance sur l’écoconception et la pensée en cycle de vie et euh on est là pour garantir des produits des services des systèmes ou des organisations plus durables par

    L’intégration de la pensée en cycle de vie alors avec moi je suis pas tout seul je suis très très content très fier d’accueillir Minissa bounoir alors Minissa bonjour bonjour bonjour à tous bienvenue parmi nous alors bienvenue parmi nous alors à plusieurs titres puisque tu as fait ton stage de fin

    D’étude de l’École des Mines chez chez nous et voilà ça s’est tellement mal passé que tu es aujourd’hui une collaboratrice du pôle et spécialisé sur limite planétaire bienvenue à toi merci bonjour à tous oui ça c’est tellement bien passé que j’ai décidé de rester au pôle donc moi je suis ingénieure

    Environnement de formation et pour mon stage du coup que j’ai effectué au pôle éconception j’ai travaillé sur le lien entre les liges planétaires et lescoconception pour voir comment on peut essayer d’intégrer c’est li planétaire dans une démarche d’écoconception et sinon depuis que je suis arrivé au pôle je travaille surtout

    Aussi sur les analyses cycles de vie et l’accompagnement d’entreprise dans des démarches d’écoconception vous inquiétez pas il va aller très très vite ce webinaire vu le flux de notre Amia mais voilà je pense que c’est un petit peu le stress on va pourvoir y aller alors VO bon toute façon on va peut-être

    Reprendre les choses dans l’ordre parce que moi c’était pas forcément très clair quand on s’est vu j’avais une idée un petit peu de ce qu’était les les limites planétaires mais j’avais pas fait vraiment d’approfondissement enfin je comprendais qu’il y a des choses pas dépassé le carbone et autres est-ce que

    Tu peux peut-être revenir peut-être le faire en plusieurs étape le le le Webin peutêre revenir sur sur le ce qu’est les limit planétaire où est-ce qu’on en est et puis après ben on t’attendra sur des retours d’expérience et puis surtout B on attend une synthèse là qu’est-ce

    Qu’il faut faire bon d’abord on va tout remettre à plat pour qu’on soit tous au clair c’est quoi les limites planétaires ah donc on va du coup parler des limites planétaires pour savoir donc de quoi on parle et euh et savoir en fait à quoi pourquoi elles ont été créées donc en

    Fait les limes planétaires donc c’est euh c’est c’est un concept qui est né en 2009 par les chercheurs donc du du Stockholm residence Center mené par Joan rockstrom et en fait ces chercheurs leur but ça a été de définir les processus qui définissent la stabilité de la terre

    Et donc de par leur travail ils ont réussi à définir donc neuf limites planétair qui correspondent à neuf processus donc desquels la terre dépend pour rester stable habitable donc pour les espèces humaines animales et cetera donc dans ces neuf limites euh on a deux catégories de limit dans les limites

    Planétaires on a des limites qui sont qui se manifestent on a un petit problème sur la diapo mais c’est pas grave on arrive quand même à lire euh on a deux types de limites on a les limites qui vont se manifester donc à l’échelle planétaire donc là on connaît

    Donc le changement climatique qui est la limite la plus documenté que vous connaissez sûrement vous connaissez sûrement très bien euh on a aussi la limite de l’apovvissement de l’appauvrissement de l’ozone stratosphérique on avez eu du coup des des des protocoles à l’échelle internationale pour essayer du coup de

    De résorber le trou de la couche d’ozone et en dernier on a aussi l’acidification des océans alors ce qui est bien en fait avec ces ces trois limites ces trois limites à l’échelle planéire enfin ce qui est bien c’est que ici on peut bien représenter le lien qui existe entre

    Chaque limite planétaire parce qu’en fait elles sont touses plus ou moins interconnectées les unes avec les autres je m’explique le changement climatique ce qui va participer au changement climatique on le sait c’est les émissions de gaz à effet de serre dans ces gaz à effet de ser on connaît du

    Coup le CO2 et ce CO2 en fait quand il va être beaucoup hmis dans l’atmosphère il va aussi être en contact avec les océans il va être absorbé dans les océans et quand il va être absorbber en fait ça va participer à l’acidification parce que quand il va passer de l’état

    Gazeux à l’état donc dissous dans les océans ça va augmenter l’acidification est ce qui va participer du coup la dégradation des corau et qui va participer aussi à la enfin qui va empêcher par exemple les les les coquilles les coquillages de se former donc une atteinte à la

    Biodiversité donc ça c’est pour les les limite à l’échelle planétaire et on a un autre type de limite qui sont celles qui vont se manifester en fait à une échelle plutôt locale voire régionale et donc ces limitesl elles sont liées aussi donc aux limit à l’échelle planétaire parce

    Que une le dépassement d’une limite à l’échelle planétaire va aussi aggraver on va dire l’état d’un processus à une échelle locale donc dans ces processus plus localis on retrouve l’intégrité de la biosphère donc là qui va se mesurer en fonction de la diversité génétique dans les espèces et la diversité

    Fonctionnelle quand on parle de diversité fonctionnelle c’est les les les les services rendus en fait par différentes différentes espèces par exemple on va avoir plusieurs espèces qui vont participer à la pollinisation du coup c’est ça qu’on veut dire dans la diversité fonctionnelle on a changement d’usage des sols avec la déforestation

    L’utilisation de l’eau douce avec la perturbation des cycles de de l’eau bleue qui représente l’eau qu’on va retrouver dans les rivières l’eau qu’on va retrouver aussi dans les Naves fréatiques et les perurtion des cycles de l’eau verte qui représente l’eau qui va être contenue en fait dans les

    Végétaux dans les sols dans les plantes et cetera ensuite la perturbation des cycles de l’azote et du phosphore qui est notamment perturbé par en fait la joue de d’engrais dans les sols ou pour l’agriculture et cetera euh et en dernier donc l’introduction d’entités nouvelles dans la biosphère là on va

    Parler de tout ce qui est euh donc nouvelles entités qui vont pas qui vont être introduites dans la nature mais sans test préalable donc qui va participer du coup à un dérèglement de la biosphère et en dernier l’augmentation des aérosols dans l’atmosphère qui là va concerner en fait

    Tout ce qui est donc microparticules en suspension qui va donc participer à la dégradation de la qualité de l’air et de la santé humaine donc ça c’est pour nos deux grandes catégories de ligne planétaire et donc après avoir défini tous ces processus qui régissent en fait la stabilité du système terre on va

    Essayer du coup de les quantifier on a nos processus mais il faut savoir où est-ce qu’on se situe pour savoir est-ce qu’on est est-ce qu’on a dépassé ou pas et ce qu’il faut savoir en fait c’est que la planète Terre c’est comme un ressort vous savez quand on a un ressort

    Et qu’on va un peu les tier on va exercer une force dessus et le ressort il va revenir à sa place initiale et quand on va trop tirer dessus le ressort il va se déformer et on pourra pas retourner à l’état qu’on connaissait avant et la terre c’est pareil en fait

    Quand on va trop perturber ces équilibres pour les neuf processus qu’on a nommé avant euh on va forcément atteindre un stade où en fait on va tellement dérégler le processus que la terre pourra pas revenir en l’état qu’on connaissait qui était propice à la vie humaine sans catastrophe naturelle et

    Cetera donc c’est pour ça que les chercheurs ont essayé de quantifier pour savoir où est-ce qu’on va se situer pour pour pas justement faire à la terre ce qu’on va faire un ressort quand on va trop forcer dessus en fait ça do être super compliqué parce que il y a autant

    De de limit planétair que de modisation de mode de calcul et puis il faut arriver à à se projeter com comment ça s gérer tout ça alors oui c’est très c’est compliqué parce qu’en plus en fait ce qu’il faut savoir c’est que la limite planétaire euh elle elle est difficilement quantifiable avec

    Exactitude en fait c’est euh ce ce point de bascule donc dont on parle quand on parle de limite il est difficile à il est difficile à à calculer précisément donc en fait les chercheurs ce qu’ils ont décidé de faire c’est euh de définir une zone d’incertitude dans

    Laquelle on sait que se trouve la limite que comme on peut pas la la la définir avec avec précision on va se donner un intervalle où on va se dire ok la limite on est sûr qu’elle est qu’elle est là-dedans et on va essayer du coup de

    S’éloigner de cette zone et euh et donc c’est pour ça qu’en fait vous retrouvez trois zones quand on vous parle de li planétaire on a la zone verte où on est sûr qu’on est loin de la limite et donc pas de danger on a la zone d’incertitude

    Que vous voyez en jaune sur le schéma où on sait que la limite où on sait que ça commence à être dangereux parce qu’on va se rapprocher de la limite et le rouge c’est là où on est sûr qu’on a dépassé la limite même si on sait pas la définir

    Avec exactitude on sait qu’on l’a dépassé donc ça sent pas bon quoi et euh et du coup c’est grâce à ce schéma qu’on voit le la notion de frontière planétaire en fait la frontière planétaire c’est donc voilà la limite on a du mal à la quantifier mais avec le le

    Principe de précaution on définit une frontière planétaire pour nous dire ok on va on va se tenir éloigné de la limite en se tenant éloigné de la enfin en respectant la frontière c’est pas de gestion de risque finalementilà voilà c’est c’est pour être sûr qu’on va pas se mettre dans une situation très

    Défavorable pour les espèce humaine et et pour la biosphère et ce qu’il faut savoir aussi c’est que c’est d’autant plus important parce que quand on va se rapprocher de la limite même si on va pas la dépasser rien qu’en se rapprochant de la limite on va aussi

    Avoir des effets de de dérèglement on voit bien aujourd’hui qu’on a du coup des des phénomènes de catastrophes naturelles qui vont devenir de plus en plus fréquent et ça va devenir ça va augmenter de façon exponentielle quand on va se rapprocher de la limite donc c’est aussi un are

    Intérêt de pourquoi il faut respecter les frontières et qu’il y a cette cette nuance entre frontières et limite h voilà pour pour ces notions de de quantification et du coup pour la présentation de limit planétaire on voulait finir sur en fait où est-ce qu’on en est niveau limite alors là ce

    Que vous voyez c’est le cadre des limites planétaires avant les dernières modifications qu’on a eu courant mai 2023 euh avec le dépassement et donc elles ont elles ont un peu changé aussi du coup courant d’année mais on s’est basé sur ce cadre là en tout cas pour l’étude qu’on a mené au

    Poli ça me semble clair euh il y a des gens qui ont beaucoup aimé l’analogie euroslect au moins on la comprend bien et ça remet en perspective c’est toujours un peu mieux que le rouge le vert et le jaune c’est ça ça nous semble bien bien plus clair alors merci pour

    Pour ces éléments alors il y avait on avait nous enfin c’est la position qu’ prend aucoconception compris nous on travaille sur le développement des offres produits et et services et aussi sur comment intégrer l’environnement dans dans les organisations avec la pensée pensée en cycle de vie et donc la

    La question c’est com qu’est-ce qu’il fallait comment on pouvait le qu’est-ce qu’on pouvait en faire et et là on était attendu alors faut bien voir que nous on a différents visions de de ce qu’est l’échoconception alors jusqu’à présent l’échoconception c’était on va dire faire de la même chose avec moins

    D’impact sur l’environnement et forcément à un moment donné on a dû euh réfléchir à aller plus loin c’est-à-dire que si on on fait que ça bah c’est réduire la quantité de plastique dans les bouteilles d’eau c’est par la remise remettre en cause les les bouteilles d’eau et donc est

    Apparu un certain nombre de choses sur la problématique de modèle économique de remise en cause du modèle économique donc je on n pas le temps de présenter ça vraiment de manière détaillée mais on retrouve les étapes du cycle de vie de l’approvisionnement fabrication matière premières jusque à la fin de vie et

    Logistique inverse et il faut bien comprendre que aujourd’hui euh on parle plus de produits mais de système le système englobant à la fois des produits mais aussi des des services parce que bah il y a y a de plus en plus de numérique de services associés au

    Produits et donc le le la remise en cause du du modèle économique elle se fait selon trois de manière très très simplifiée hein de manière de trois grandes manières il y a la circularité c’est-à-dire recycler recyclable on pour faire l’analogie sur la GR la gros

    Sourcé de la de la de la même manière le deuxième point de d’achopement sur lequel on peut travailler c’est l’allongement de la durée de vie et on l’a vu aujourd’hui sur les nouvelles orientation européennees et les futurs règlements si on veut travailler sur l’allongement de la durée de vie ça va

    Être la réparation la réutilisation et toutes ces tous ces point là et puis le dernier grand modèle économique c’est ce que nous on appelle avec Mélissa je sais pas si on va le par c’est partagé par tous mais c’est l’intensification de l’usage c’est-à-dire comment euh un produit un service peut-être partager euh répondre

    À un système produitsice à une unité fonctionnelle un service rendu jusqu’à éventuellement de de l’économie de de fonctionnalité donc on a ces trois grands schémas de de de modèle et chaque orientation de modèle économique bien entendu elle va avoir des effets rebonds c’est-à-dire ben voilà si effectivement

    Vous voulez faire un produit qui est je sais pas partager et ben vous allez peut-être engager plus de matières premières parce que le fonction ement on va avoir des attentes qui vont être un petit peu plus particulières et donc la grosse question qu’on s’est posé à moment donné c’est le seuil c’est à

    Partir de quand on peut définir qu’un produit est éconçu et c’est là moi j’ai challengé c’est bien on est vachement emmerdé dans lesconception dans les normes on dit voilà on peut dire que l’entreprise ou le projet a fait l’objet d’une démarche d’écoconception mais ça nous donne pas ce moment où est-ce qu’on

    Est allé suffisamment loin est-ce que la réponse le bénéfice F client de l’utilisateur est suffisamment important par rapport au aux attentes ou la possibilité la capacité qu’à notre milieu ambiant je vais reprendre une analogie pe une petite analogie à Maurice rebex fait intervenir quelque fois le milieu ambiant pour pas dire

    L’environnement dans lequel on est donc voilà un petit peu où on on en était avec avec Missa euh alors j’ai des questions je vois qu’il y a des questions particulières on les traitera Ori à la fin parce que on est vraiment sur du spécifique je vous propose de continuer on les oublie pas

    Vos questions et donc comment on peut travailler là-dessus et je je le sais il y a eu une expérimentation qui a été faite dans dans dans la période de stage qui nous a permis d’apprendre beaucoup de choses sur un produit textile euh voilà donc sur lequel tu as pu travailler et alors justement

    Euh on avait déjà fait un webinaire dans le casadre de green to market sur le marketing durable je vous renvoyé parce que vous verrez euh beaucoup vous aurez beaucoup plus d’informations euh dessus et puis je me permets aussi je vous transmettrai sur le chat euh un petit

    Éch concept sur le textile parce qu’on peut déjà faire des choses sans aller jusqu’au limite planétaire mais la question qui tit posée B voilà tu as eu un casad d’expérimentation un textile un textile un petit peu particulier donc est-ce que tu peux nous faire un petit

    Peu le le le retour d’expérience al du coup pour vous présenter le produit euh sur lequel du coup j’ai pu mener l’expérimentation donc en fait c’est une c’est une robe madeine France de la marque Laurence glorieux et euh donc c’est euh c’est une robe qui a un processus de fabrication qui cherche à

    Être très local avec des matières comme du coup la la laine la laine de mouton merinos qui est un produit de de bonne qualité donc produit en France et cetera donc c’est sur ce produit-là que j’ai pu travailler dans le cadre d’un projet euh premier pas d’écoconception pour la la

    Première évaluation environnementale en fait du produit et donc euh on a cherché à savoir si l’ impact de cette robe était on va dire en accord avec les limes planétaires pour savoir est-ce qu’en fait cette robe elle respecte les limes planétaires ou pas et là je sais

    Ce qu’on on va se dire mais les limites planétaires c’est une échelle quand même assez grande c’est planétaire comment est-ce qu’on ramène ça à une robe qu’on va produire en France c’est pas vraiment la la même la même échelle bah justement en fait c’est c’est ce que cherche à

    Faire la nouvelle méthode une nouvelle méthode en fait qui a vu le jour après la la publication des des limites planétaires et en fait c’est une méthode qui cherche justement à comparer l’impact d’un d’un produit l’impact d’un système à la part que ce système devrait avoir à l’impact qui devrait avoir

    L’impact idéal en fait qu’ devrait avoir pour respecter l’ Lim planétaire donc en fait çaappelle la méthode AESA donc en français on va dire que c’est la méthode d’évaluation absolue de la soutenabilité environnementale et et donc c’est ce qu’on a cherché à faire ici et donc sur

    Ce schéma donc on voit que la première étape donc c’est de calculer l’impact réel et ça on l’avait déjà c’est ce qui ce que fait ce que faisait déjà en fait le pococonception avec différents outils on connaît surtout la CV donc ça cette partie là c’était c’était la partie la

    Plus simple on va dire du travail et juste un point ACV l’analyse du cycle de vie donc c’est la cartographie des impacts environnementaux selon une norme l’ISO 14040 et 44 de de norme et voilà qui permet de faire une comptabilité des des impacts environnementaux je referme la parenthèse ça lae reprendreau ouais

    Euh et donc voilà donc on a vu l’analyse cycle de vie euh qui était donc la partie qu’on a pu avoir donc avec le diagnostic les résultats et ensuite comment est-ce qu’on va calculer la part qu’on va attribuer en fait comment on calcule le budget qu’on peut allouer à

    Une robe comment est-ce qu’on peut savoir combien une robe devrait émettre pour être durable pour être soutenable en fait c’est la question qu’on s’est posée donc pour se faire on s’est basé donc sur la méthode AA qui consistait à faire une descente d’échelle deses planétaires c’estàdire qu’onz

    Accrochez-vous par moi j’ai eu un peu de mal donc si un moment faut tenir faut tenir faut tenir c’est là là oui c’est c’est moment important alors euh donc pour vous expliquer donc le cadre des limites planétaires c’est quelque chose donc à l’échelle globale on a un espace

    De fonctionnement sûr pour l’ensemble de la population on doit en fait tous se partager les ressources de la planète et ce que la la planète nous permet d’émettre nous permet de polluer entre guillemets parce que la planète a une certaine résilience et on peut avoir un une une certaine quantité de pollution

    On va dire autorisée que qui fait que on ferait pas sortir la terre de son étastan donc ça c’est ce qu’on doit se tous se partager ensuite pour passer de cette échelle globale à l’échelle à l’échelle personnelle on va dire on va du coup se répartir tout ce ce cet

    Espace entre chaque personne de la population pour avoir du coup une part égale par personne chacun a son budget en fait personnel voilà je peux je peux émettre tant de dans une t une certaine quantité un certain niveau de pression pour chaque catégorie de de limite

    Planétaire et quand on a obtenu du coup cette part personnelle on s’est dit ok on a une part personnelle par personne donc que j’ai le droit de me répartir mais je la réparti entre quoi parce que j’ai plusieurs besoins en fait j’ai le besoin de me nourrir j’ai le besoin de

    Me déplacer j’ai le besoin de me vêtir donc là pour la r c’était le besoin de se vêtir donc on a émis l’hypothèse où on s’est dit ok les les émissions du secteur textile c’était 6,7 % des émissions de gaz à effet de serre mondial donc on va dire que mon budget

    Pour m’habiller ça va être 6,7 % de mon budget total de ce que j’ai le droit de mon reste à émettre en fait donc ensuite quand on avait donc là on a obtenu du coup un budget pour tous les vêtements qu’on a pour le besoin de se vêtir à ce

    St bien d’accord en fait là c’est une hypothèse parce que en fait à date les AA sont pas suffisamment avancés pour donner on va dire ces grandes frontières Deah de quel quel service quelle allocation de service par personnes sont sont sont nécessaires donc il a fallu trancher pour pouvoir avancer et donc tu

    As pris les éléments qui cétait les les plus fondés et et disponibl pour pour en faire l’hypothèse bien entendu tout ça ça peut être aussi spacialisé dans le temps et dans l’espace parce que le besoin de se vêtir euh selon o on habite sur la planète il est pas tout à fait

    Même donc voilà donc mais par contre il il a fallu je me souviens dans dans l’étude avancé et donc on a dû trancher et c’est comme ça que ça a été fait il a fallu faire des choix parce que c’est vrai qu’on peut aussi répartir en

    Fonction de l’utilité de de du prod par exemple ou par exemple aussi du bonheur qu’il peut apporter aux personnes donc ça c’était euh c’était pas des des des principes qu’on a qu’on a pu appliquer nous on on s’est dit qu’on allait appliquer une une répartition on allait appliquer la même répartition qu’on

    Connaissait déjà donc ici celle des émissions de gaz et effet de serre donc à ce stade là on a notre budget pour tous les habits de notre garde-robe en fait ensuite l’idée ça va être de passer donc de ce budget à toute la garde robobe à encore faire une descente

    D’échelle et à prendre que la robe Laurence glorieux qu’on avait évalué juste avant donc dans mon budget on est d’accord que euh si j’ai beaucoup de vêtements ou si j’en ai peu euh mon budget par habit il sera plus ou moins important si j’ai pas beaucoup de

    Vêtements on peut se dire que ma robe elle peut plus polluer parce Queen fait j’ai plus de budget et comme j’en ai pas beaucoup euh je peux me permettre si j’ai beaucoup d’habit par contre il va falloir que mon budget je le dépense pour chaque pour chaque habit de ma

    Garde Europe je je vais avoir une plus petite part à dépenser en fait parce que j’en ai beaucoup donc c’est un peu cet arbitrage là euh qu’il faut faire et nous pour représenter ça on s’est dit euh on s’est dit qu’on allait prendre du coup euh des euh des des garde-robes

    Plus ou moins remples et euh et de se dire ok en fonction de de de de si on a beaucoup de vêtements ou pas euh comment est-ce qu’on peut définir si le si la robe elle est elle est durable alors je pense qu’on va prendre une petite pause

    Parce que c’est pas évident on va tu peux revenir à la diapo d’avant parce qu’on a quand même des questions je l’ai comprends on nous dit bah ouais 7 % des émissions de gaz d’effet de serre au niveau mondial à quoi ça correspond l’impact du textile il est énorme donc

    Bien expliquer moi ce que j’ai compris c’est que c’est juste pour avoir une répartition du budget c’est l’idée c’est pas le seuil c’est dire bah si j’avais mais tu me corriges c’est bien pour définir quel est la part dans l’impact environnemental de la partie textile par rapport aux autres

    Se nourrir se loger et cetera et que ça on est bien là-dessus hein ouis en fait on a pris du coup cette répartition mais parmi tout un tas d’activités et du coup on on a d’après l’étude en fait le textile c’était 6,7 % des émission parmi

    Un tas d’activités dans le monde et du coup on a juste voulu réappliquer cette répartition à la à la façon dont une personne lambda aller en fait dépenser son budget habi si vous voulez après la question du seuil de budget on on va on va la traiter et après l’idée c’est de

    C’est pas dire on va polluer un max et il faut pas dépasser 7 % pour le pour le textile mais c’était d’avoir la répartition par rapport au besoins spécifiques des habitants et donc ça c’est c’est une première que tuaelle une première descente c’est pour ça qu’on a

    Mis les souhaites de ski c’est on fait de la descente aujourd’hui et la deuxième partie c’est comment arriver juste parce que à s’habiller c’est quelque chose de général et comment on l’applique à un device à un produit une robe un produit spécifique euh pour l’expliquer peut-être autrement

    C’est que en fait euh quand on a le budget pour s’habiller euh on va essayer de voir comment varie ce budget du coup en fonction de si mon ma garde-robe elle est remplie ou pas parce que comme on a vu un même vêtement dans une garde-robe remplie ou dans une

    Garde-robe o on va dire sobre euh il aura plus ou moins de budget et donc c’est comme ça qu’on a réussi à faire des hypothèses euh où on s’est dit euh si euh je porte un vêtement par jour ça me fait 365 tenues et au contraire si

    J’ai une garde-robe sobre si j’ai entre deux et trois tenues c’est que je porte une tenue 180 jours par an et du coup là ce qu’on a voulu se dire c’est mais en fait combien de jours par an je dois porter ma robe pour me dire ok là elle

    Est durable c’était ça du coup la la question euh qu’on s’est posé finalement au fur et à mesure qu’on a réalisé la l’analyse absolu de la soutenabilité et en appliquant du coup ce paramètre là euh on est arrivé à à à la conclusion que la robe elle devait

    Être utilisée 38 fois par an pour euh pour qu’on puisse dire qu’elle respecte les limes planétaires ah peut-être là faut faut rexpliquer parce que comment on arrive à un moment donné euh à la répartition du textile par rapport aux autres besoins euh humains de manière générale à l’échelle planétaire puisque c’est là-dessus que

    Ça pour la traité à euh à un nombre euh d’usage par la par la personne du produit en sachant qu’elle a d’autres choses dans dans la Gard de r je pense qu’il faut qu’on onevienne un peu c’est pas forcément super évident euh je vais essayie d’être le plus Simp possible

    Euh on a on a considéré euh notre robe Laurence glorieux dans une dans une garde de robe euh en fonction de si c’est rempli ou pas on va plus ou moins utiliser les vêtements donc en fait ce qu’on a ce qu’on a utilisé comme comme donnée c’est la fréquence d’utilisation qui est

    Reliée du coup au au au fait enfin au au remplissage de ma de ma de ma garde-robe donc c’est grâce à cette fréquence d’utilisation qu’on a mis dans nos calculs qu’on a pu aboutir à la fréquence de 38 fois par an c’est juste qu’on a traduit le remplissage de la

    Garde-robe en fréquence d’utilisation en se disant on va on va faire l’hypothèse que chaque habit est porté autant de fois dans l’année en fait parce que c’est un budget annuel euh le la répartition d’espac de fonctionnement sûr la répartition de de mon budget euh de de mon reste à y

    Mettre c’est un budget annuel et donc c’est pour ça qu’on est parti sur la fréquence d’utilisation sur une année de l’abille pour savoir à quel taux je dois je dois l’utiliser comment combien je dois avoir de vêtements en fait pour pour être sûr que l’utilisation de ma

    Robe elle dépasse pas mon budget ok alors en plus on est dans un cas particulier on est dans une robe qui qui se met qure saisons de mémoire voilà donc imaginez que c’est encore plus complexe si c’est une r d’été pour pour faire ces éléments là et alors juste euh

    Je trouve que la question est très bonne exuse je te coupe je sais que c’est un point important et que c’est là où il y a beaucoup d’hypothèses et c’est là où va falloir approfondir derrière 38 fois euh mais combien de fois 38 fois alors ça du coup ça dépendait de nos

    Hypothèses pendant l’analyse cycle de vie parce que du coup nous on a pris une durée de vie de 5 ans donc là le budget c’est 38 fois par an pendant toute la durée de vie de la robe donc 5 ans pendant 5 ans en fait

    Donc on est bien d’accord qu’il y a un croisement entre l’étude la CD et euh la projection sur les les AESA voilà forcément du coup ma ma ma conclusion elle va aussi dépend des hypothèses que j’ai fait quand j’ai évalué les impacts de la robe h ou par exemple euh oui euh

    Les conclusions elles peuvent être différente par exemple on peut dire c’est 38 fois par an ou on peut avoir un objectif de se dire ma robe je veux l’ porter euh 50 fois ou je va je veux l’apporter 10 fois par an alors pour euh pour pouvoir l’apporter X fois sans dépasser les

    Limites planétaires je dois faire un effort sur les impacts de ma robe on peut essayer de de de de gérer un peu soit on va agir sur enfin il on part d’un budget et du coup on doit essayer de faire en sorte que le l’impact de Mare respecte le budget

    Je te propose de continuer par on y reviendra parce que c’est c’est c’est sur les limites de l’étude est ce qu’il faut approfondir c’estê un test et je rappelle je vois encore des question que dans notre cas précis c’est une robe 4 saisons alors si on peut on peut

    Descendre l’ensemble de de l’étude hop euh du coup la conclusion euh du coup pour pour ce travail là donc comme on l’a dit en fait cette cette étude là c’est plus une preuve de concept et et un test en fonction des données qui sont qui sont disponible et

    Ce qu’on peut faire à notre échelle en fait parce que il y a des tas de thèses sur 3 ans qui essayent de faire ce ce travail de descente d’échelle sur des secteurs spécifiques donc là nous on a voulu tester en tout cas sur un produit

    Euh il faut savoir aussi du coup euh aussi qu’on s’est basé sur les travaux de des travaux de recherche de la Commission européenne pour avoir nos facteurs pour faire nos calculs et et l’apport du travail en tout cas c’est qu’on a réussi à aboutir à des scénarios d’utilisation durable pour la robe euh

    Qui dépendent pas de la personne qui va produire la robe mais des utilisateurs mais ça donne aussi une une donnée plus quantitative que de dire il faut porter ses vêtements le plus longtemps possible et les garder le plus longtemps voilà pour la conclusion de de l’étude euh

    Euh je te laisse reprendre la main ouais mais en fait vous l’avez compris c’est c’est un premier point qu’on partage avec vous moi ce que j’en comprends et le résultat j’en a c’est que il y a tout tout un tas de méthodes existantes pour ce limite planétaire n

    Nous on a fait un choix c’est de travailler sur la esa la esa pourquoi parce que c’était ce qui était plus proche peut-être de la CV puis le plus sur lequel il y avait plus de consensus scientifique c’est c’est bien ça alors en fait laa il faut savoir qu’on a deux

    Façons de faire une évaluation absolue de la soutenabilité et nous on a choisi la méthode qui se coller plus à à l’ACV en fait parce que le pôle fait beaucoup d’ACV donc c’était celle quion pouvait le plus appliquer par rapport aux activités du pôle mais il existe

    Plusieurs façons du coup de de faire une aosa et nous on en a choisi une qui qui était la plus compatible en fait et et et on est bien sur du multicritère c’est vrai qu’on on a choisi l’indicateur carbone euh dans l’exemple pour faire la la la la

    Répartition parce que c’était la donnée qui était la plus proche mais on est bien sur du du multi critère et je je crois me souvenir qu’à un moment donné on pilote l’ensemble des impacts environnementaux des limites des limites associés sur sur la base sais que même les prof deséconomi

    Ont un peu du mal sur cette partie là parce qu’elle est pas super évidente en regardant l’impact maximum où est-ce qu’il situait on pilote cet indicateur là et on vérifie les transferts de de pollution sur les autres planétair c’est c’est on est bien sur du multicritère en

    Fait l’idée c’est de se dire sur du coup sur tous les critères de d’impact qu’on avait calculé pour la robe c’était de se dire je trouve une une fréquence d’utilisation qui me fait respecter toutes les limites donc il fallait regarder du coup laquelle était la plus éloignée et sur laquelle il fallait

    Travailler pour assurer le respect de toutes les limites planétaires alors avant avant de passer approfondir jeu de de de questionsréponse quelle synthèse tu en fait où est-ce qu’on en est aujourd’hui parce qu’on est bien on voit bien qu’on est sur l’Exploratoire et d’ailleurs je vois je vois je reconnais

    Tout un paquet d’experts qui posent des des questions et je les ai remerci d’être là à ton avis qu’est-ce queas ta conclusion la grande image grosso modo tu as travaillé limite planétaire tu as fait le choix de la esa tuas tu as tu as travaillé pour voir comment l’intégrer avec les

    Méthodes d’cv qui a tout un tas d’hypothèses tu as descendu ça sur un cas d’étude voilà qui était textile qui pourquoi pas c’était pas si mal parce que c’est quelque chose qui est assez étayé parce que l’affichage environnemental il y a certain nombre de choix d’indicateurs bientau qui sur

    Lequel on a un consensus mais où est-ce qu’on en est to qu’est-ce qui manque aujourd’hui pour vraiment le déployer et puis ma petite question d’après c’est le gar pour arriver à dire comment on pourrait l’intégrer pour définir un produit éconu si tu dire on en est rien que ça tellement

    Vite alors moi moi l’avis que j’ai du coup sur cette nouvelle méthode c’est que déjà elle est il faut elle dépend grandement du secteur dans lequel on l’applique parce que forcément en fonction du secteur on aura pas à disposition le même type de données et aussi elle dépend des données par

    Exemple pour moi mon secteur textile où j’avais la donnée des émissions de gaz à effet de serre mondial j’ai cherché une répartition sur d’autres sur d’autres limites planétaires et je les ai pas trouvé et c’est pour ça que on a choisi d’appliquer cette même répartition

    Partout donc il y a aussi un un travail à faire sur la la mise à disposition de de données pour pour pour faire pour faire les calculs et aussi des données pour appliquer d’autres d’autres principes de partage comme on avait mentionné avant je cense c’est super important ces principes de partage eu

    Pas mal de questions alors c’est vrai que nous on a fait l’exemple un petit peu au forceps mais mais a moi j’ai compris qu’il y avait un truc politique à un moment donné c’est j’ai V passer l’ONU et cetera fa faut il nous manque quelque chose c’est

    C’est à quoi on a droit voilà ça ça manque en fait de de discussion parce que forcément comme on doit tout se répartir ce que la planète a nous à nous offrir en fait il faut forcément avoir des discussions entre les habitants de de chaque pays et en fonction de de ce

    Que chacun a besoin et cetera et c’est aussi un peu en lien avec le donut vous savez où on a en fait un un palier social et des limites planétaires à respecter et il faut du coup pouvoir s’assurer qu’un maximum de personnes ENF en tout cas que toutes les personnes

    Puissent avoir accès à ce palier social en respectant les limites planétaires et forcément c’est en fait une une discussion que à avoir à l’échelle à l’échelle internationale nous on a appliqué du coup des des des des hypothèses pour le faire à notre échelle mais euh il y a pas de consensus

    Sur toutes les études qui sortent sur la esa en fait vous avez différents différents principes de partage qui sont appliqués et ça ça va dépendre de la vision de de l’entreprise qui qui fait la la la l’étude àa ça va dépendre des données disponibles donc euh ça permet pas un choix

    Que un choix purement basé sur OK tel principe de partage est le meilleur entre guillemets parce que déjà il y a pas de principe qui est meilleur que l’autre c’est qu’on les justifie différemment et euh en plus quand on a choisi que qu’on s’est mis d’accord sur

    Un principe à appliquer il y a le problème du coup de trouver les données pour pouvoir appliquer ce principe donc ça déjà c’est une des c’est une des des pistes sur lesquelles du coup les chercheurs travaillent actuellement sur pour améliorer laa en tout cas moi j’ai vu euh

    Tu me confirmes ou pas que la recherche se se consolide un petit peu dessus al en France on est peut-être pas forcément les meilleurs mais on voit au DTU à delP ou à Amsterdam qui il y a beaucoup de je crois qu’il y a même un institut qui

    Prend secret sur ces questions là au Danemark ils ont un institut du coup sur la la la la soutenabilité absolue et le leurs travaux sont sont clairement du coup dirigé et centré sur sur cette question ok alors euh la suite c’est quoi toi la suite la suite parce que là là

    Voilà gross modo tu as fait un un état de l’art tu as fait une expérimentation donc qui fait l’objet al pas d’une note scientifique et d’une note qui sera diffusée auprès des adhérents du pôle donc d’ailleurs j’en profite pour vous dire que on fait de l’appel à cotisation

    Pour l’année 2024 si vous voulez pouvoir bénéficier de cette note on sera très heureux de vous compter parmi nos membres mais la suite voilà on voit qu’il a il y a plein de choses qui sont on voit plein de questions nombre de questions on on verra ce comment on peut on peut y

    Répondre mais on répondra sans doute pas tout là parce que nous comme on expliquer on est dans l’expérimentation l’objectif céit de voir un petit peu là où on en était et toi la suite pour moi la suite ce serait du coup d’essayer de de creuser vers comment essayer de d’accompagner les entreprises

    Pour tendre vers plus de soutenabilité et du coup en essayant d’intégrer les liges planétair alors après comment c’est à discuter c’est c’est rechercher des partenaires avec lesquels travailler pour pour essayer du coup d’aller vers des des systèmes plus plus soutenables et et c’est dans dans ça en fait que j’aimerais pouvoir faire

    Du coup des des recherches essay de trouver une méthode en fait qui puisse être appliquée pour que chacun puisse essayer de se challenger en disant ok j’ai fait mieux qu’avant mais est-ce que c’est ce que j’ai fait c’est assez bien pour avoir enfin garder les lies planétaires en tête en tout cas

    Nous on a fait le le projet comment de stage avec avec l’École des Mines puisque toi toi tuasais fait à non les mine à Lille ou lou je je vais vexer par contre le SAL il s’est fait dans le cadre d’un master à l’école de recherche à l’École des

    Mines et donc avec Natacha Gondran pour ceux qui qui connaissent un petit peu les éléments planétaires c’est un peu la personne voilà ad hoc au niveau français et donc là nous le pôle on va investir alors on va investir sur Missa et vous avez compris et on va lancer une thèse

    Donc on va faire un dépo de thèse actuellement donc on travaille avec un pour monter un groupe de travail avec laadem sans dou on va faire un dépô de thèse au CIF ou à laadem ça va voir un petit peu en fonction mais en fait ce qu’on s’est rendu compte c’est qu’il y

    Avait beaucoup de choses euh qui nécessitait des approfondissements vous avez compris comment on a loue les données comment on fait le lien même les limites planétaire et donc le le le le projet pour nous ça va être de de transcrire ça dans le déploiement des des produits ou des services al j’ai des

    Questions B2B B2C filière euh voilà le champ l’ensemble des questions que vous posez ça pourrait être une thèse en tant que tel donc on va restreindre à voir quel cadre méthodologique on peut faire et ce qu’on cherche aujourd’hui c’est des entreprises d’une certaine filière ça peut être le textile ou autre qui

    Souhaiteraient s’associer avec nous c’est pas de l’argent qu’on cherche c’est du temps et l’accès aux données euh pour juste justement faire une expérimentation de de bien plus large et bien bien plus étayée et voilà donc Missa elle a pour objectif de de se connecter au niveau européen

    Avec les chercheurs on bien entendu on refera des présentations dans le cadre de la recherche on pour aller un petit peu plus loin donc voilà on fera ça dans le cadre des cososd qui est le réseau des chercheurs français jeexcuse vois les questions sont tellement tellement

    Précises voilà ça va être compliqué à à traiter comme ça on va quand même les prendre euh et on va regarder pour vous faire des réponses par courriel quand quand on quand on a quand on a les éléments euh voilà c’est pour nous c’était un une découverte euh donc on

    Voilà on est on est content de du résultat on est inquiet de la somme de travail qui qui qui qui reste à faire et du voilà de l’ensemble des choses qui qui sont réalisées alors moi j’avais quelques petits mots à vous dire euh avant euh oui alors juste pour vous rappeler que

    Pour l’coconception on lance des formations donc il y a une formation sur inspiraction si tu peux faire la diapo d’après donc aspiraction c’est un jeu de sensibilisation sur sur l’écoconception j’ai vu qu’il y Ava cristop fromin qui était là c’est un fabuleux animateur sur la région Aquitaine voilà donc si vous voulez vous

    Former pour animer ça et puis petit secret que je j’ouvre à vous la fresque de l’écoconception qui est un partenariat gimco 21 BA et conception est finalisée et commence à être déployé dès que j’ai plus d’informations je vous tiens au courant l’autre date c’est le lancement de la

    Formation certifiante je sais pas si il y avait un truc je sais pas si ça se lance c’est pas grave autrement si si voilà voà on a plein de vidéos maintenant on en profite euh donc pour tous ceux qui voudraient devenir animateur éc conception avec une certification du pôle ben je vous invite

    À vous connecter auprès de de Sacha euh Sacha g noir Sacha euh et je m’aperçois que j’ai oublié de vous envoyer des éléments que je vous enverrai après donc là c’est c’est certification de de de compétenence c’est 7 jours de formation vous présentez devant un jury votre projet et

    On vous donne une certification animateur écoconception voilà et vous avez un super logo ça permet de de structurer et tout donc ça fait pas de vous un expert sur l’écoconception mais c’est faites-vous quelqu’un qui est capable d’animer l’écoconception dans votre entreprise voilà VO un certain nombre d’éléments

    Qui sont traités et surtout là on vérifie vos compétences et la certification qui arrive après si on peut on peut continuer voilà euh sur les autres dates on fait toujours les formations les module en ligne pour ceux qui a pas forcément le temps de de rentrer dans des formations aussi

    Complexes et bien entendu les éditions on a un petit truc on va sortir un livre mais j’en dis pas plus sur l’écoconception en en 2024 d’abord pour nos adhérents et on diffusera plus largement donc vous avez des bouquins sur le service sur le marketing et autres et voilà et je un dernier point

    Je croismement ah et demain si vous avez pas pris note sachez que il y a euh un un webinaire sur euh l’agroalimentaire donc c’est notre spécialiste agroalimentaire Louis Gibert qui qui le fera je vous mets le dans le chat l’invitation si ça vous intéresse et là pour le coup c’est un document qui

    Sera publique ce sera un 10 page sur comment intégrer l’écoconception dans l’alimentaire et on reviendraans sur la problématique de la CV puisque c’est quelque chose qui est pas forcément super simple pour piloter les les les projets d’écoconception en agro en agroalimentaire donc voilà sur les les

    Grands je vous le mets dans chat euh on arrive un peu à la conclusion je suis désolé on va sans doute couper le le le webinaire moi je voulais vraiment féliciter Mélissa sur le projet vous que c’est un projet complexe la note elle est en cours de mise en page donc sera

    Distribué aux adhérents d’ici la fin de l’année ou tout début d’année 2024 prochain rendez-vous on verra avec Dominique mer on en avait déjà parlé pour avoir une présentation plus scientifique sur justement on pourra discuter un peu les gens qui étaaient là on pourra éventuellement s’y retrouver

    On pourra rentrer un peu plus dans les détail sur les question étit tellement précis je pense c’était pas forcément l’objet pour pour une pour une première première découverte et puis on attend on vous attends vous entreprise si vous êtes motivé à contacter méissa on vous enverra ses coordonnées si vous voulez

    Vous inscrire dans dans le projet de thèse pour un démarrage en en 2024 sur 3 ans sur expérimenter l’écoconception euh dans les ça n’allait pas trop non mais on va travailler sur le flux ça c’est je pens il y avait un petit un petit point de stress tu es

    Super contente mais un peu stressé quand elle a vu le nombre de personnes inscrites et donc l’idée bah c’est de vous retrouver et de toute façon on vous informera je pense qu’on refera des webinaires sur des point plus particulier justement de l’écoconception des limites planétaires sur l’année 2020

    2024 parce que il y a autant de questions comme je le dis qui était là autant de discussions ou de de projets de recherche un petit mot de la fin euh Mélissa ben déjà merci pour vos retours et j’ai vu certaines questions passer qui je pourrais aussi vous du coup faire

    Un un retour par mail pour vous expliquer plus B les les choix qui ont été faits et cetera et pourquoi ils ont été faits euh et et voilà et moi j’attends j’attends que mon téléphone sonne pour pour discuter avec vous je suis ouverte et euh et je suis euh

    Motivé pour la suite voilà voilà bon al les applaudissements merci à tous c’est la première fois qu’on finit un webinaire plutôt alors pour pour plusieurs raisons euh voilà il y av tellement de questions que c’est impossible de de les traiter mais voilà on on va on va y

    Répondre merci pour bah votre votre présence votre confiance demain webinaire sur l’alimentaire l’année prochaine on relance aussi des webinaires on sera en pleine période de sport d’hiver on fera un pointtit retour d’expérience sur Rossignol les projets d’éco conception ski qui est pas forcément super simple un composite bois

    Euh des produits euh pas recyclables jusqu’à présent ils vous diront où ils en sont euh sur ces projets je vous dis à bientôt et je vous souhaite de bonnes fêtes à tous

    2 Comments

    1. super webinaire comme d'habitude 😉 Je suis curieuse de savoir si vous avez fait l'exercice des vêtements en fonction de l'âge. je rêve notamment à avoir un outil qui me permette de jauger mes achats à l'échelle d'une vie en fonction de ma contribution au non dépassement des limites planétaires

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