« Tous les poèmes mènent au chemin »,
    édition 2023 de
    « 60 poèmes par heure (60 pph) » :

    60 poèmes dits par
    60 poètes en
    60 minutes.

    Il s’agit d’un grand défi d’organisation, de production et de réalisation, pour une si petite équipe, mais le résultat relève de l’extase. Plus éclaté encore que par le passé dans les formes de poésie convoquées et plus diversifié également, puisque nous regroupons des poètes provenant de trois continents où l’on parle français : Amérique (du Canada : Nouveau-Brunswick, Ontario, Québec) Europe (Belgique, France, Suisse) et l’Afrique (Comores, Côte d’Ivoire, Niger, Tchad).

    Le défi éditorial et esthétique n’est pas moins grand : il faut agencer cet assemblage hétéroclite de voix, de voies, de démarches et d’approches, de façon à lui donner une cohérence, une unité.

    Le titre de ce troisième opus de 60 pph, s’est imposé de lui-même au réalisateur lorsqu’il visionnait l’ensemble des poèmes sur vidéo et vidéopoèmes.
    « Tous les poèmes mènent au chemin », n’est-ce pas ce même chemin qui ne mène nulle part ? puisque, comme la poésie nous l’apprend, la destination importe peu : seule compte la façon de s’y rendre. Ici, chaque poète et son poème nous conduit vers un chemin qu’il nous faut débroussailler.

    Nous vous souhaitons un plaisir sans borne avec ces poèmes, à la croisée des chemins.

    Conception et réalisation : André Marceau. Post-production audio : Multi-Sonik. Musique thème : Frédéric Dufour
    Animation graphique 3D : KJT
    Chargé de projet : Jérémie Aubry

    Les poètes (ordre alphabétique)…
    Alvin, Anick Arsenault, Nora Atalla, Samy Benammar Sylvie Bérard, Julie Bernier, Mélanie Bizier, Paul Bossé, Emmanuel Brasseur, Ariane Brisson, Rosalie Brodeur-Chouinard, Herménégilde Chiasson, Arnaud Clavet, Perrine Clément, Jean Coulome, Dominique Cybine, Julien d’Abrigeon, Paul Dallaire, Denise Desautels, Diane Descôteaux, Ellis Dickson, Thierry Dimanche, Alexandre Dostie, Michel Dumas, François Dumont, Louise Dupré, Fa.2mathsA (Ombre), Stéphanie Filion, Catherine Fortin, Matthias Gagnon, Sara Garneau, Jean-Chrysostome Gaury, Isabelle Germain, Sarah Haddad, Kim Lau, Chloé LaDuchesse, Vincent Lambert, Claire Lapique, Marie Le Moigne, Cédric Lerible, Sébastien Lespinasse, Charlotte L’Orage, LouNat, Matisse Makwanda, A.M. Matte, Marion Messey, Michèle Moisan, Marie-Thé Morin, Anais Palmers, Charles Pennequin, Anne Peyrouse, Michel Pleau, Rahim le parolier du Karthala, Axel Roy, Richard Sage, Emmanuel Simier, Jocelyn Thouin, Rosalie Trudel, Sonia Viel, Cosima Weiter.

    Cette présentation du Tremplin d’actualisation de poésie (TAP) bénéficie du soutien du Conseil des arts et des lettres du Québec et de la ville de Québec.

    [Musique] [Musique] [Musique] [Musique] [Musique] j’aimerais dessiner sur le soleil un rayon et perdre la vue que je vois depuis mon balcon j’aimerais sourire à la plante de mes pieds et que mon dos cesse de me contempler mes orteils sont des personnages qui ne regardent pas dans la même direction mon derrière ne C

    De se moquer de moi mais hier il s’est passé quelque chose j’ai touché le vide avec mon doigt de jours en jour les nuages raccourcissent mes doigts ressemblent à des saucisses je n’en suis pas vraiment sûr mais je crois bien que c’est la fin alors j’ai troué le ciel avec mon

    Coude le soleil est tombé dans mon verre d’eau j’ai étalé sa couleur sur une tartine il avait le goût des bonbons à l’eau à l’eau à l’au du temps où le soleil était un enfant de plus dans la cour j’aimis sous l’escalier me cacher et boire la lumière d’être

    Seul aujourd’hui encore me reste dans les mots quelques battements de ce petit cœur qui n’est jamais tombé j’aime m’appuyer contre mon ombre et ramasser le temps pour en faire un feu éclaté é pararpillé dans les yeux de tout le monde j’appelle regard cette fatigue sous les ponts encore aujourd’hui dans la cour un

    Enfant écrit sa vie en l’êre détaché je donnerai une chance au soleil rien n’est plus fort que la terre elle patiente elle a raison je resterai dehors facile à trouver dans ces lieux à aimer dans ces moments précieux ni blessure ni humiliation ni je le savais retour à l’air libre sous

    L’impulsion qui pousse le corps vers la surface rien n’est jamais gravé la tête qui respire le cri des poumons tout peut arriver des passions libérées de l’eau chaude du sucre et des fenêtres ouvertes je convoquerai les deuils et les douleurs les tensions et les ruptures je leur chanterai mes chansons pour les

    Apaiser et leur écrirai un passage différent pour les mener vers des heures meilleurs je rassemblerai les morceaux je m’éloignerai pour mieux voir je lancerai les d ce sera une fin et un début comme dans les comptes ce sera une histoire un épisode une nouvelle saison action une femme écrit une lettre

    D’amour et se rend compte qu’elle ne sait plus parler de ces choses-là un homme incline la tête pour lire le titre des livres dans une bibliothèque un enfant éclate de rire en disant tout haut le mot étrange qu’il a inventé pour désigner son sexe une femme raconte la manière loufoc

    Dont elle a autrefois été trahie par un oiseau parlant une femme assiste à une dispute entre un homme et une femme et cherche un prétexte pour s’esquiver une femme seule dans un bureau le matin prépare le café pour ses collègues de travail un homme donne une

    Lampe de poche à une enfant pour qu’il ne s’égare pas dans la nuit un homme oublie de faire une transaction à la banque et téléphone pour rectifier la situation un enfant se gratte les jambes jusqu’au sang suite à une attaque massive de moustique ce que j’ai à vous dire est un peu

    Compliqué nous venons à peine de vous rencontrer vous et moi juste là et déjà tant des mois pour moi et oui ça fait des mois que j’attends ce moment et ce moment c’est maintenant c’est maintenant et nous voilà déjà bientôt obligé de nous quitter dans quelqu ligne et quelques secondes ça me rend

    Triste mais je me dis en même temps que ce sont toujours les premiers instants les premières rencontres dont nous nous souvenons la première fois alors je vous propose de savourer ce moment dont nous nous souviendrons là maintenant à une table dressée dans l’espace nous avons convié les enfants que nous étions

    Les enfants que nous aurons avant de nous envoler nous sommes devenus des images couchées sur le papier comme des arbres de raison sous une averse douce nous sommes revenus de ces temps suspendu nos cahillers remplis d’autres dire d’autres désirs mêlés à des odeurs de terre de mousse et de

    Framboise désormais nous marchons dans le clair de nos vies et nous semble toujours approcher de l’essentiel sans jamais l’atteindre là ce côtoie en toute quiétude la danse et la mort ns bouch et l’oubli la conversation à l’intérieur les script s’imprime dans la mémoire animale script cendre sur mes lèvres

    Automates les scriptes pour survivre avant tout même ici la feuille collée au visage bruit de rétrécissement de démolition en permanence dans l’oreille interne tout ce qui n’est pas créé dans la spontanéité ordinaire des pages et des pages qu’on accumule dans des chambres entières mortes page microlam qui st les peaux

    Invisibles au point du jour des embrassades au goût de fruits d’été et d’adieu j’ai pris la route d’Otawa à Québec par les cieux le temps était frais et l’odeur de la pluie m’a prouvé que je ne m’étais pas trompé alors glisse donc le long de la galerie et se

    Toi dans l’intérieur et Ben et chauffé repose tes souliers d’Hélène ils serviront plus tard en devant de la maison veille autant la baguette de Cournoyer et le phare alors glisse donc le long de la galerie et hisse-toi sur la chaise branlante qu’adevienne le souper la ronde des chiens et les fêtes

    Galantes au point du jour du pied enfin réveillé et agile j’ai battu jusqu’au Vieux Port l’asphalte j’ai brisé le bois pour qu’en Aiss la flamme et sur l’île j’ai fait une halte alors glisse donc à tes amis ces quelques mots et hisse-toi à leurs joues encore nacré de l’été et pose-leur un

    Baiser je viens de frencher tout ce qui éclate en fraîche cicatrice je reste armé ressort tendu la berge n’est pas très loin créature à double tranchant mi aquatique mi carnivore avec écaill et fourrure gère horors zone séparé au niveau du cou bouche de battement et de pulsion je ne suis plus

    Tranchante chargée de poisons épais dans les veines d’eau est cela tenir debout sans trop rouiller garder les mains ouvertes sans se retourner vie vi vi vibre virere vire VI libre VI vibre VI vive vive VI vi vi vibre vive vi [Musique] vi vi vi vive VI vive vive vive vive vive vive vive

    Brève [Musique] j’ai voulu écrire quelque chose pour moi pour quand je voudrais crever mais que j’arriverais pas à bien me décider alors j’ai pensé à débrancher mes antennes à casser tous mes disques à revendre mes livres à briser mes assiettes et laisser bien les débris partout il faudra encore

    Que je fasse un effort car il y aura ton visage et tes yeux tes yeux surtout tes yeux partout et le jaune en dedans qui brille comme l’or dans l’eau le jaune dans le verre le jaune dans le ruisseau qui donne envie d’aller chercher d’un lendemain et d’embrasser de serrer

    D’ouvrir son cœur tes yeux c’est la pire arme que je connaissent ils tranchent mes veines par leur gentillesse ils retiennent mon corps contre ton corps pour m’en sauver je devrai crever mes yeux il y aura encore l’empreinte bien ferme de tes yeux à l’intérieur de ma tête j’iraai chercher de mes doigts

    Gratt de mes ongles le reste des sourires de toi mais tu sais bien que je n’ai pas tant le goût de la terre dans la bouche que la peur du vent silencieux et du pas dépassant alors reste prêt le temps pour tes yeux de me rappeler qu’on peut vivre encore un

    Peu un dimanche de semaine enflammé par notre colère sur nos mères assommantes nous sommes très juvénils sur les marches bétonnées d’une école déserte en oubliant le froid de l’hiver un peu secondaire plus tard on s’égare on échange des rumeurs mais il me semble qu’il y en a trop

    Surtout alors on partage nos airpods et le joint qu’on avait roulé juste en et contemplant la neige blanche et pure et la soudaine légèreté de nos têtes on bat la cadence alors que sur notre histoire se grave l’amitié mon ami ma sœur choisis toujours un nouvel emoji animal pour commencer tes messages un

    ENT pu tu V c’est cute mais ça fait que je peux jamais anticiper le message avant de cliquer dessus puis de le lire pour frais anyway tu es toujours mieux en vrai toi ce soir mainant tu danses en collant vers d’autres avec les lumières de scin de toutes les couleurs il y a

    Peut-être un 10 % du temps où ton look est correct agréable à regarder pour une personne non daltonienne tu tapes du pied avec tes sncks noir poche qui ont plus aucun tonus mais qui font encore leur d’empêcher ton pied d’être en contact direct avec le sol ce genre de chouclac là ça traîne

    Tout le temps dans les objets perdu même que c’est peut-être bien que tu les a pris dans le fond c’est [Musique] weird nos mains ont les ongles courts le jour elles sculpte et écrive le soir elle dessine les cavités sincère sans déch ou alors juste un peu là où ça

    Frotte j’ai senti un jour tes doigts se promener dans les herbes folles et j’ai tenu à leur montrer le chemin j’ai senti un jour tes doigts sur mes aspérités et j’ai voulu qu’ils y restent à sonder le terrain des lignes géologique sourcière nos mains sont équipées pour

    De long randonné les corps comme des cartes les mystères dans leur plis chaque point un haut [Musique] lieu le carburant de ma machine de chair ne veut plus brûler pour toi je vais mieux rêver maintenant que je sais c’est écrit sur mon visage j’espère m souvenir demain tu m’as fait sentir invisible

    Dans ma robe ligée im mancable je te regarder sans que tu saches c’est jamais vraiment une bonne idée de faire ça je répète plus les phrases que tu m’as dit sur le même temps qu’avant tu as couché ton OS trop souvent j’ai tellement marché pour te rattraper que je sens encore la marque

    De mes souliers vibré sur mes pieds nus je crois que peut-être je dois te laisser aller et espérer te rattraper au f de l’eau ou pas tangled sheets and noncooperative pillow cases as if their lack of tidiness was a betrayal of some sort i am the bad

    Tornado i room the organized comfort for everyone which is basically just me j’aime pas ça quand tu es pas là j’ai besoin de ma dose dose de quoi de ta peau sous mes doigts de tes bras qui m’enlassent de nous sous les draps draps qui justement sont au

    Lavage j’aime pas ça quand tu es pas là ça sent le le manque ça sent le vide ça sent la chaleur évaporée ça sent l’absence de ton parfum et c’est pas l’odeur du TA qui va me satisfaire j’aime pas ça quand tu es pas là mes pensées tourn en

    Rond comme le linge qui tournoie dans la sécheuse je ne pense qu’à toi mon obsession ma compulsion ma dépendance je ne veux que me sous ton touché comme le font ses vêtements maintenant propres que j’ range en attendant ton retour tout tourne à partir d’un point repère névralgique tout doit tourner

    Irrémédiablement il faut que ça tourne à non plus pouvoir au centre il y a l’art et la matière la matière induit la manière la façon de tourner la tournure et l’entournure la manière de nouer les mots leurs artères dans le Coral de la langue le cycle des mots le tambour de

    La machine l’engrenage lié à son axe le rondpoint qui donne sens au manège incessant et inseccable entrer dans la danse conduite à tenir en acceptter la règle le code de la route la connaissance du tournement gage de la matière tout s’anime par une dynamique une pulsion un mouvement pulsatif le

    Déséquilibre des contraires prendre un risque s’établir dans l’écart en prendre la mesure puis tourner tourner encore pour ne pas chuter question d’avant et d’après de vide et de néant de trop plein et d’infini comme de choix crucial de nœud d’œuvre de cœur Gordien et giratoire tout tourne les ouragans

    Intérieurs dans la grisaille nrié d’ouragan les cisailles Taillades le jour sans fil ni filet au-dessus des oiseaux en dessous des vers niches de poussière lâcher prise se renverser sur le verre tomber dans des cavités bomber le torse et se rédire de ressentiments chaque croix de lêre se distant pour ne plus s’agripper les

    Sorties s’évadent par les embrasures d’où viennent les mirages couleur de fontaine ou vont dans le sable se perdre les pas point d’éco point de rime les mensonges tricotent des imparfait au raison le mois d’ en finit plus de monourir nous ridons son crépuscu jusqu’à la tombe nos ombres sont longues

    Et sans armur loin devant nous nos ombres savent déjà ce qu’il y a de l’autre côté de ha ce qu’il y a de l’autre côté de haù concept de flou à la ligne dure horizon frontière cheval de fer renversé dans le talu une seule limite a été franchi et

    Le soleil reste secret sur les tortures de la nuit mon ventre est une fenêtre gémissement du vivant ventre évelo des mot invitations des lettres pliées r des silences ce confrôle chez l’être aimé ton père était un silence sa façon d’être un homme il t’aimait sans le

    Dire tu avances tout de même PL à vif comme des renoncules qui s’ouvre dans la transformation on perd aussi mon ventre a contenu des enfants et beaucoup de sang à quel règne appartient-on vraiment l’é au mousse tu t’en souviens enfant tu détestais mettre ton pied dans la vase

    Maintenant tu en recherches toute la langueur le cœur à vif comme les miraculés le froid piège des beau à 4h le matin armé de chiot le feu repasse au vert tes yeux en bernes accrochés au pont tu leur prendrais tout forcerait le lienonnerit leur tête bê de monstres des cuisses gratur battent la

    Fréquence tu dé valalises les locomotives le vacarme des oies enlass des accoufes enlass tes acoufèes tes acouphèes enlass tes acouphèes maintenant laisse-moi te voir avant que tu avales mon dernier œil je veux te toucher une dernière fois tu sais que il mourra à la fin du poème

    Que tu te lis à voix haute avec des oreilles abassourdies que je te caresse comme un livre prends le cetteil qu’on en finisse avec la lumière je dois descendre parler à des bactéries dans l’intestin semblet-il tu à un monstre qui vit là-dedans je veux le connaître continue de nous transporter

    C’est tout ce que je demande fais-nous visiter ta vie tes meilleurs souvenirs et le pire je te connaîtra l’autre côté des résistances je veux te voir laisse-moi entrer dans tes yeux je te laisserai entrer dans les miens soyons honnêtes regarde-moi imagine une mutation qui ferait de toi l’unique genre

    Civilisé parvenu au sommet de la dernière chance tu habiterait le mastrom urbain d’un continent de retaille au cœur d’océan sans monstres ni Maré tu rêverais d’une gravité autre que terrestre te demandant à quoi sert de prendre racine parmi les statues aux pierres des détacher du réel libre tu cesserais de fabriquer de

    Détruire de l’art tu puiserais des formes d’amour des mots qui procré un remède pour la vérité [Musique] TR tours de serrure et la prison la plus tenace est celle de vouloir apparaître dans la première chambre les paradis perdu n poiss dans la seconde la nuit te fait jouir comme tu n’as jamais

    Souffert dans la trè il s’agissait d’agglomérer la solitude dans un moment forêt ce qui était pant n’est pas tendre ce qui était patant n’est pas tendre ce n’est pas tant le plaisir qui découle en vapeur de la foule ce n’est pas tant le souvenir qui flétrit en silence et oublie mais la [Musique]

    Défiance la nuit tu prends de l’avance tu t’appuies sur ces [Musique] nuances dans désespoir tu trempes tu as du noir au cou tu as du noir au ventre la nuit tu t’enfuis tu accélères de quelque part en quelque part on a gagne rien à te garder on ne

    Perd rien à te détruire allez zéro un autre un autre fait le monde depuis les fausses de l’enfer S21 le lycée de la terreur quatre bâtiments beiges banal 3 ans 8 mois 20 jours la malemort deux fois millionnaire le réel en noir et blanc le père la mère l’enfant

    Déconstruit à coup de certitude et de barre de fer cûte que cûte goutte à Coutte une gicelée brune etc la Bousse qu’in aujourd’hui à ts slang côté court on recoue la mémoire avec des barbelet côté rue un ballon bondi côté ciel les impunis à côté des crânes des cris tout

    À côté un Boudha impvide verset long é l é lourd é l long l l’é d’elle et l’é en lui l’él en lui d’elle l’élan en elle de lui de lui vers elle d’elle vers lui en élan en de élan en non un élan qui l’amène à l’ l’amener

    Vers elle et elle l’amené vers lui d’elle à lui à elle à lui de lui en elle en elle de lui en elleè elle en lui et lui en elle ne pas dans l’élan dans la lame je tombe long map och non approche de proche en proche désire non approche désir de l’Autre

    Décroche dégrae non je dégrae non je m’approche ne pas j’avance monte la main temps pa m’accroche ne pas colle non ne pas avance j’avance m’avance ne pas plaque me plaque non je t’accroche par ne pas les lè le cors non ne pas non plaqu contre contre plaqu contre enfance

    M’enfonce je m’enfonce enfonce ma main temp tendu contre ton non contre toi ne pas ni je ni tu ni toi ni moi ren résiste pas [Musique] pas l’aube nous a piégé jusqu’au crépuscule à boire l’arrosé au goulau à faire fondre sa peau et ses MUXs la lumère s’ffrite dans le silence des oiseaux

    Pêcheurs les chiens tombent de fatigue le museau enfoncé dans le sable ventre au ciel il se vautre dans les derniers rayons dans la puanteur des poissons pendules la vapeur du feu fend l’air fantômatique du débumé le froid poignarde le pied qui cherche une surface où s’appuyer dans la mouvance du qui tombe

    Elles ont le sort du monde entre leurs mains les vieilles sont les mères de demain et les filles d’aujourd’hui ell passent petite Rabou gris et si forte se donne comme de grands étendards on s’y colle s’y incruste elles ont tout à dire tout à avouer le temps des vieilles se livre

    Complice et témoigne d’une fontaine après l’autre d’un frolllement après l’autre les vieilles on s’y suspend pour mieux prendre notre envol on les écoute et les vieilles détruisent le brouillard où passe là mort mamie lune mamie Méditerranée mamie trompée mamie violentée mamie livre mamie collage mamie souveraine mamie

    Intime il lui dit VO de débruit-toi ne compte pas sur moi tu es déjà une grande fille en plus ta maman n’est plus là du moment où ses camarades sont sur le banc de l’école elle a 8 ans assisee cette dame pour espérer la fin de la journée

    Avoir un repas quand tu l’amené ce soir je meurs de faim ce qui est sur un petit plat de moural quand il me fera du bien à 13 ans la voilà vendeuse de légumes au petit marché on l’appelle la mère de son papa mais elle dans tout ça n’a cessé de

    Rêver mieux serveuse dans un Maqui à 16 ans afin de joindre les deux bouts ce soirl la patron n’est pas là à elle de s’occuper de tout monsieur je dois fermer vous êtes le dernier client ce dernier n’est seulement pas client mais Brigant abusé d’une fille sans défense juste pour satisfaire sa perversité

    Sexuelle quelques mois plus tard porteuse d’un enfant sans père elle se demande encore pourquoi le monde est si cruel je te parle d’elle tu me diras peut-être que tu ne la connais pas mais tu la croises tous les jours sans savoir ce qu’elle traverse vraiment un projet un espoir avec vous mes sœurs

    Afghanes écrire dans le noir seul en grand nombre près du silence dire j’écris l’absolue nécessité à deux pas de votre bouche même lointaine je sais l’envers et l’endroit du vide et son pesant baillon tout ce qui se tient debout nou et serré au désir de ma main gauche

    Notre arme posé sur la table de survie sous un ciel rebelle un projet un espoir flambois Denise des hôtels c’est dans le feu des mots que ma plume s guise dans la mêlée je le mélange les manies à ma guise puisque les lettres ne serait que de vulgair

    Signes s’il n’était pas roliier c’est en le liant à ma voix qu’ils ont fait naître à moi le parolier par les mots car les mots parl ma voix mes écritures des écrit pures qui stipulent tout et rien une plume en rupture avec les tabou sans scrupule mes écrits des écrits cru

    À la conquête de la vérité répondant la requête de la nature je mutprlameimimani des temps modne c’est inspirant d’ temp s’exprimant en vous fugeant dans le temps temple d’émotion je prête ma voix autant que silence soit je vous confie son histoire je vous confie son histoire une voix une seule voix qui

    Pleure tout près et nous revi vient à la mémoire la détresse du monde rejeté le long du corps tel des doigts dénudés incapable de cacher les yeux d’essuyer la joue nuit immense jetée sur nos épaule à nous incroyant qui avons pourtant appris il y a longtemps à répondre à l’appel et l’on

    Apporte nos fragilités et quelques psaumes pour voir à nouveau des rir sur les lèvres et nos filles plus robustes que des croix on ouvre les bras oui poème liberté minuscule consolation chaque texte est un envoûtement un labyrinthe je plonge dans des morceaux de chair viv habités possédés par leur charge leur

    Charme ma dualité mcartel ma liberté m’incarcèire je refuse je demande le refuge loin du champ d’une muse et de ma fleur qui me réclame je prends du recul j’écoute le battement du pendule j’observe le mécanisme de la de la penture j’endure le grincement j’ai besoin d’être seul j’ai besoin de

    Maintenant j’écris de la troisème à partir du soleil je me couche en la regardant tourner en direct de la Station spatiale internationale tourner dans une immobilité sans born que je sens ici dans cette chambre et que j’emporte partout avec moi je pense un jour tplé source après montagne après tâ de

    Rouille après vert blanc après nimbau Stratus après mot après mot je pense donner mon nom pour Mars et finalement rester tard dans les infimes opérations les bribes de la vie ble je coupe le courant et nous vois perdu dans le temps nous les réfractions les doigts de

    Quelque chose le Grand Esprit abîmé dans les broutilles en ns mondes en chacun relié par les images jouant jour après jour avec les formes d’un merveilleux rêve ordinaire animé parce que tout est animé pierre qui flotte le slam à peine rentré dedans je ne voulais slam et command personne pour

    Avoir le slam j’ai du charme et sa grand-mère croiser des rimes plates dans le but de l’embrasser du slam du slam j’étais embrasé je conjuguais amour et passion et mon cœur en dictionnaire je lui offrais mes mots et moi il me rendait ivre ivre il était tout en ver

    Je conjuguais les métaphores conjug les métaphores je conjugua les métaphores je conjugua les métaphores pour un amour infini à chaque fin de T était triste mais l’inspiration était complice monam tu veux qu’il soit un slam voyou et je s sa voyelle que de ces cloches de RIM consonne donner un sens consol Mo

    Le sirop d’érable est un trésor national la honte est une ivresse sans joint ce qui est brisé doit être réparé la solution serait d’avoir un rêve plus grand que les déficiences du passé toute zone de silence récupère ce qui vit au milieu des étoiles la Catarie du néor fait briller l’étoile

    Moribond les nav disent que les M marchent sur sentier la route blanche et la route rouge je suis gagouche le loupgarou de la tribu intrpide comme le carcajou je goûte les pâtisseries de l’univers attention des mots qui de partout débordent d’un cerveau rococo des paragraphes qui protestent des chapitres qui complotent des pages

    Qui se soulèvent ces sujets là on les contraint à l’organisation alors qu’ils exigent une insurrection attention j’ai des mots qui de partout débordde d’un ton trop haut si je sembl en furie devenu hystérique ou diabolique ne m’exorcisez pas laissez-moi grimper dans les rideaux monz sur mes grands chevaux laissez-moi

    Mes Cros mes grands sabots mon halau ne vous inquiétez pas de mes sursuts au fond je ris je vis je prie ce que j’ai ce n’est que le diable au m 2 3 ta TAA dis pas ça boom dis pas ça les gars les filles va pas là drag queen parle

    Pas de ça LGBTQ va pas là à la Boudha Shiva va pas la Chabbat chakraaman Islam parle pas de ça génocide charia dis pas ça dis pas si dit pas dit pas ça dit pas pandémie charlatan cuuxlan arrête ça complotisme dit pas ça lu Mor 10 catholique hébraïque islamique politique va

    Dis pas ça l’anglais français parle pas oublie ça oublie ça oublie ça oublie ça parle pas de ça dis pas ça dis pas si dis pas dis pas ça pas perler ta peau perler ta peau hors de moi de moi perler ta peau perler ta

    Peau hors de moi hors de moi désir qui embrasse désir qui embrasse enbras en L le rugissement de la baissement de connais pas le regret et à craindre plus que plus que tout son sac à tour tour amour à Dieu follet l’encre mes doigts coulent sur la page comm autant

    D’ avaler avaler larme comme les l de celles qui ont craint la bête enfermé dans une tour dans son sac langue qui claque langue qui claque c’est toi il faut parler toi crier faut parler hurler hurler j’ai salué dans le vide les bras en l’air la grande

    Salutation et la foule et mon sourire et le geste étrange l’étrangère il me reconnaît pas normal je le connais pas non plus je l’ai prise pour la blonde de ma cousine la mère de l’amie de mon fils le chauffeur de taxi la caissière du dépanneur la fois où j’avais gagné 100

    Pièces le client du beaufère de mon ex l’ami du secondaire j’ai regardais à terre en me passant la main dans les cheveux et en chercha un nde rue pour me sauver le brouillard s’épaissit entre le familier et l’étrange je me suis mise à parler aux oiseaux ma honte est une

    Révolution je suis un poète désenchanté j’aurais tellement aimé chanter au lieu de ça je picole comme un con Brisky coca et bière piquon quand je rentre ma blonde me gueule dessus moi je rigole comme un beau je suis par l’ENV alexandrin mais je suis sûr qu’elle y

    Comprend rien je fais des promesses que je tiendrai pas promis demain j’arrête de boire CIT sans compter la grappa que j’avais planqué dans le tiroir faut vraiment que j’arrête la picole j’ai 20 suiveurs sur Instagram c’est promis demain je m’y colle plus jamais je serai à 3

    G je veux bien savoir à qui je parle à qui je parle et qui est-ce qui m’écoute qui est-ce qui écoute la parole quelle est la Parole qui serait écoutée par moi-même est-ce que je veux savoir qui me parle est-ce qu’il y a quelqu’un qui parle en même temps que je l’écoute je

    L’écoute en même temps me parler j’écoute la parole mais je ne comprends rien de ce que je me dis je ne comprends pas puisque je n’écoute pas ce que je dis j’écoute quelque chose j’écoute quelque chose qui parle mais ce n’est pas moi c’est une parole c’est une

    Parole qu’il y a à l’intérieur il y a à l’intérieur quelqu’un qui se parle quelqu’un qui parle à l’intérieur de moi mais ce n’est pas moi c’est quelqu’un d’autre qui parle il y a quelqu’un d’autre qui parle et un autre aussi qui se met à écouter mais il écoute rien et

    L’autre ne parle pas il y a personne qui parle et personne qui écoute à l’intérieur de moi tu le sa tous les soldats finissent par péter les plombs un jour quand l’armée n’a pas le temps d’étouffer l’affaire tu les retrouves barricadé dans ta TV sur le bord de faire sauter

    Leur ch puis leur servil dans la bataille pas de médaille tout le monde perd la face toi je ne padawan c’est au computer que tu fais la guerre tu passes tes journées à scraoller tu tournes en rond tu te désanimes trois images par seconde d’influenceur à dinosaur all your friends

    Dead nous sommes des objets désanimés des extensions de machines de guerre demain tu devras placer les laptops en rang tu devras faire de l’ordiulture car il ne restera que le Cloud pour contenir tes [Musique] idées le dimanche soir défilit au ralenti j’ai roulé dans ma tête surtout l’autobus s’est vidé le chauffeur

    Faisait sa route pleine de détours je voulais pas descendre et je suis pas descendu j’ai fait la route deux fois toute seule avec le chauffeur intrigué parce que tout le monde a toujours une histoire il m’a demandé like stop here non il s mis à [Rires] chanter j’ai pris l’autobus du

    Dimanchoir celui qui fait le plus de détour parce que je voulais pas arriver trop vite au lundi matin prochain arrêt thermostat out of W sacagé chaque racoin de la planète les isperg se mettent en ligne pour se suicider faudrait pronto appeler le réparateur d’abitau mais ça fait B des lunes qui

    Est obsolète si tuas l’argent qu’il faut pas de trouble tu t’ajettes une grosse Chun de terre fraîche en Nouvelle-Zélande avec un bunker à trois garages si tu connaî chacun qui connaît chacun tu arriveras peut-être à te sécuriser un spot dans une villa avec un jardin une Mélice juste un pauvre esclave avec un

    Crappy CV puis des dettes pu finir une nouvelle planète comm sur Amazon ta meilleure bête je dirais sera ta carcasse dans prochaine navette qui part pour la planète rouge depuis que l’Asie offore off c’est pas mal la seule place de rest il y a encore de la [Musique] job

    Gère dans l’endroit sans nom l’immense oubli qui nous lit mes doigts glissent sur l’air durci des légendes et j’entends le vacarme d’une guerre indifférente au fond de chaque mot j’entre dans l’eau noire qui lave les sols c’est la nuit qui supporte le jour le noir continue d’ perce des

    Couleurs splendides par l’obscurité qui murmure en elle j’emporte l’inépuisable mer l’éternel soif des plantes le prodige infini de l’attraction des âmes merveille qui se détourne avec moi de ce qui les [Musique] ignore [Musique] ser m Monne le même continent il y a une mère entre les [Musique] [Musique] [Musique] deux

    Il y a ces épisodes de vision éclipsé que du sombre dans mes failles que du sombre dans mes failles l’essence ne prend pas sur ce bois tendre en sueur même le vent en robe d’angelure les ventricules de mes actions figées ces moments trop profond où la lentard calcule l’air qui entre

    Par ma survie égarée il faut cueillir au bout des incertitudes le pourquoi de se relever le comment du continuer les jus tachés de printemps rire en force de son corps bien entamé des projets avortés des carrières carèr qui n’existent [Musique] pas [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Musique]

    Je marche mais mon pas est haché tâé par un être acharné qui derrière moi de ses pas décharné s’acharne me pour chasser pas pas pas un pas néchaste de la chair tu cherches et chasses tu n’acures de ma peur des tu qui dans mon dos perle les

    Coule qui s’écoule comme le sang dans mes veines qui s’écroule j’ai le souffle court tu es sour à mes cris je piétine et cours pendant que tu ACC cours à cours d’idée je perds pied je meffraye des failles je me fraye un chemin loin de l’effroid Tu me suis je suis làass et

    Essuie les marques de suis qui s’en suivent noir noirs sont le sol et les cieux comme ton esprit falaeux tu me suis je ne sais plus où je vais qui je suis j’ai oublié comment me sauver je suis quelques essais j’essaie de te perdra et de me retrouver je

    Marchais simplement dans la rue je marchais et maintenant je suis nu il y a sur mon navire une rivière elle coule le long de mon coup c’est une rivière dans une profonde un Torrin où les cordes rompent presque et nous nous faisons peur pour rire nous rions fort et parfois nous

    Nous faisons peur pour vrai il nous content etrainé ns Boué dans l’eau noir noir comme mon cœur mon amant marcher dans l’hôtel qui borde la mer ennui mes chers parents sur le bord du quai où chante ma mère avec son cœur son cœur battant à un rythme régulier la mer

    Remue poitrine les seins en haut mouvant j’ai construit un hôtel de sable sous la pluie [Musique] détruit je fais ce rêve incessant je dérive à la mer impossible de revenir sur le rivage je me laisse aller au large il m’accompagne partir c’est le monde flottant coule rivière de

    Douleur ne freine point devant les embuscades des monts bleus traverse nos joues et montre ton mécontentement au fusqué qui déborde de ton ardeur ne marche surtout pas dans la tristesse et cours dans l’élan de ta joie sors de ta précieuse forteresse et brise à son silence et sa loi

    Démontreleur ta véracité et empêche les d’offenser celui qui détient ton nid car lui seul emprisonne cette vérité qui pousse autrui à continuer ses farces et ses supplices ne te souci point du barrage de cile il ne peut empêcher tes inondations ton silence troublant les yeux de celui qui te fixe demandant soit

    De l’amour mais sûrement de latention coule rivière de douleur coule je suis un peu sonné de sornette les de mains dans la boitete et deux pieds dans la pâte et dans la bouche des mots qui m je déborde j’inome ce village déser le front gravé de la guerre des

    Mil une fé abattu dans le cancer d’un ventre goulu je suis cette multiplié l’ABU ne passe pas dans l’estomac ma génétique est brûlé vive regarde sous chacun de mes doigts les marques de ta cuisine ce sont celles de mes arrières avec leurs blessure je te saigne des poèmes

    Je laisse passer un tram stop et j’aime le bruit du tram stop derrière le cinéma il y a un escalier dans cet escalier il y a des choses taguées des trucs cochons des trucs salasse c’est dégueulasse ils écrivent même que la sœur d’Amed est une

    Chienne et toi tu es où déjà si près de moi ça se voit pas allez suis-moi je te le dirai pas de fois vote vote vote voter pour moi tu t’en remettras pas tu prends ton temps mais tout fou Lecamp je comprends pas vraiment pourtant disent

    Tous que c’est le printemps et moi moi je me fond je m’enlise je trace dans la Maré qui m’efface et je marche et je vogue au milieu de la marche funèbre et je laisse le monde me voler mes erreurs votez vote vote vote pour moi tu t’en remettras pas on n’en reviendra pas

    Il faut parfois ramper pour bien connaître le terrain de tout notre être devoir sans cesse se ravaler se réprimer s’user jusqu’à corde se suspendre peut-être une fois de trop et les restants diront j’ai rien vu venir à travers mes tempêtes intérieures qui Bardasse chaque jour un peu plus à la

    Limite de ma propre survie j’ai perdu l’humanité en moi noyer l’humanité en moi dans ma propre course vers l’inutile j’ai rien vu venir aujourd’hui j’abdicte le quotidien je me laisse bercer réfugier dans mon fort aujourd’hui j’ai cotisé mes 11 % au régime des rentes en me berçant d’illusion je n’arrive toujours pas à

    Espérer aller si loin il faut fa parfois ramper toute une vie durant pour bien connaître le terrain tout ce qui se dit tout ce qui se dit s’écrit aussi tout ce qui se disécrit tout ce qui se disécrit se lit aussi tout ce qui se disécrit se lit

    Tout ce qui se disécrit se lit se crit aussi tout ce qui se discit se lit ce crit tout ce qui se discrit ce lit ce crit nous lit aussi tout ce qui se dit ce crit se lit ce crit nous lit tout ce qui nous lit tout ce qui nous lit tout

    Ce qui nous lit ce dit crit ce lit se criit aussi tout ce qui nous lit tout ce qui nous lit tout ce qui se dis ce cris se lit ce CR nous lit aussi tout ce qui nous lit tout ce qui nous i tout seoli [Musique] fini [Musique] [Musique]

    2 Comments

    Leave A Reply