Bienvenue dans ce hors-séries de Rayonnantes, un reportage consacré aux Fashion Green Days, l’évènement qui a eu lieu pour la 1ere fois à Nantes les 16 et 17 novembre dernier !

    Pendant 2 jours nous avons célébrer la mode désirable d’aujourd’hui en découvrant sa richesse locale, son savoir-faire et ses dernières innovations pour imaginer celle de demain. 
    Un thème : “Re-créons la mode” qui illustre parfaitement l’ADN de cette ville qui se transforme pour un changement durable.

    Durant 4 épisodes, revivez l’évènement comme si vous y étiez ! 

    Episode 3 : 2nde main et réparation 
    Chaque année + de 800K tonnes de vêtements sont mis sur le marché ce qui fait de l’industrie de la mode la 6e industrie la plus polluante au monde. 
    La mode doit se régénérer, se réinventer… 

    Naturellement des solutions émergent pour chercher à prolonger la durée de vie de ces vêtements. Plus on fait durer le vêtement, plus on réduit son empreinte carbone.
    C’est donc toute une nouvelle économie qui émerge : celle de l’upcycling, de la réutilisation, de la réparation … 
     
    Dans cet épisode, vous entendrez des entrepreneurs et intrapreneurs sur toue cette question de valorisation des textiles en fin de vie.

    [Musique] hello à tous je suis lonur vigneron et je suis ravie de vous accueillir sur rayonnante dans ce podcast je pars à la rencontre de personnalités inspirant qui rythment l’actualité ou l’innovation à Nantes et dans la région ensemble nous discutons leur parcours de vie de l’origine de leur projet et de leur

    Vision de l’entrepreneuriat né rayonnante un podcast à écouter quand vous le voulez sur toutes vos plateformes de podcast bienvenue dans ce hor série rayonnante un reportage qui sera consacré au fassion green days organisé par l’association fassion green hub en partenariat avec la Samoa Nant développement Nantes Métropole et la

    Région cet événement qui a eu lieu pour la première fois à Nantes les 16 et 17 novembre dernier a rassemblé pas moins de 700 participants pendant 2 jours nous avons célébré la mode désirable d’aujourd’hui en découvrant sa richesse locale son savoir-faire et ses dernières innovations pour imaginer celles de

    Demain un thème recréons la mode qui illustre parfaitement l’ADN de cette ville qui se transforme pour un changement plus durable alors tenez-vous prêt parce que durant quatre épisodes je vous propose de vous faire vivre l’événement comme si vous y étiez chaque année plus de 800000 tonnes de vêtements

    Sont mis sur le marché ce qui fait de l’industrie de la mode la 6e industrie la plus polluante au monde la mode doit se régénérer se réinventer et naturellement se pose la question de trouver des solutions pour chercher à prolonger la durée de vie de ses vêtements parce que plus on fait durer

    Le vêtement plus on réduit son empreinte carbone c’est toute une nouvelle économie qui émerge celle de l’cycling de la réutilisation du recyclage dans cet épisode vous entendrez des entrepreneurs et intrapreneurs sur les sujets de valorisation des textiles en fin de vie je vous propose dans un premier temps de nous intéresser au

    Marché de la seconde main alors qui sont les nouveaux acteurs qui font bouger les lignes découvrons la marque récemment implantée à Nant la virgule avec Maxime labas l’un de ces trois fondateurs j’étais donc en équipe de France de planche à voile en jeune j’étaéis en préparation olympique pour

    Les gios de de Rio en 2016 et j’ai aussi fait les Jeux Olympiques des moins de 20 ans à Singapour en 2010 donc j’ai vraiment beaucoup navigué au quatre coin du monde j’ai été le premier ENF je pense que quand on fait des sports de de

    Nature en fait on est un peu les premier témoins de la pollution environnementale parce qu’on passe notre temps dans la nature mais paradoxalement je me rendais compte à la fin des régates si j’avais un trou dans ma voile ben je la prenais je la roulais je la mettais dans une

    Poubelle je me disais bah il y a forcément une une poubelle magique qui va recycler tout ça et non pas du tout ça a beau être des matières incroyables en terme de technicité il n’y a aucune solution donc c’est vraiment ça le constat de base et c’est pour ça qu’on a

    Créé la virgule c’est pour donner une seconde vie à toutes ces matières qui sont extrêmement techniques et qui apportent énormément de valeur dans le produit final si je prends ce sac à dos c’est un sac qui est fabriqué à partir de différents équipements de sport euh la matière principale que vous voyez ici

    C’est de la toile de zodiaque donc les bateaux à moteur les bretelles elles sont faites avec des ceinture de sécurité de voiture qu’on vient couper dans les casses directement là le système de fermeture c’est des cordes d’escalade et si vous ouvrez le sac à l’intérieur vous allez r trouver des

    Ailes de kite surf pour faire toutes les poches donc on arrive à faire un sac qui est fait 100 % hcyclé en Europe donc on est une des seules marques à produire aussi des sacs en Europe tous les sacs sont faits en général en Asie euh des

    Sacs à dos en tout cas sur les sacs techniques à partir des matières qui était censé être détruite Camille brinjekel créatrice de la marque secondde Shou notre objectif c’est de pouvoir remplacer les achats entre guillemets made in China par des produits obstaclés au sein même de l’entreprise donc voilà quand on quand

    On travaille avec des entreprises on réfléchit à la définition de leurs besoins on les accompagne dessus on met à disposition notre réseau d’atelier puisque du coup la précédente expérience en prête apportter nous permet d’avoir plusieurs ateliers partenaires on les accompagne sur des chiffres détaillés sur l’impact de de cette production ob

    Cyclé et pour vous donner donc un exemple très concret aujourd’hui on travaille sur une expérimentation avec la citane donc pour ceux qui ne connaissent pas c’est l’opérateur de transport en commun de Nantes pour revaloriser leur polo à travers des housses de sièges pour leurs chauffeurs alors l’idée comme ça semble

    Particulière mais en fait c’est un vrai besoin exprimé de la part des chauffeurs d’avoir une protection sur leur siège et comme les polos é arrivé en fin de vie voilà la la boucle est bouclée quelles sont les initiatives qui facilitent l’achat et la vente de de seconde main écoutons Simon peronau cofondateur de

    Losange la première solution d’industrialisation de l’ cycling et de réutilisation des matériaux on permet en fait à nos clients événement collectivité grand groupes marque de prête à porter haut de gamme luxe milieu de gamme de passer à l’ cycling sans considérer la découpe comme une contrainte ça fait 3 ans qu’on travaille

    Sur des sujets de cycling en moyenne le coût de la coupe en up cycling ça représente 50 à 65 % du prix final d’un produit obcyclé ce qui n’est pas normal quand on sait que sur la production traditionnelle ce prix là il est il est

    Bien en dessous de 5 10 % mais le sujet du passage à l’échelle pour les marques il se faisait aussi par une logique économique c’est vrai que le cycling c’est c’est écologique on l’a expliqué c’est aussi stratégique parce que ça permet à des à des à des marques à des

    Groupes de revaloriser des textiles qu’il possèdent déjà c’est aussi stratégique d’une certaine manière pour ces marquesl puisque elles se conforme aux législation qui rentre en vigueur en France et aussi à l’échelle européenne avec des dispositifs de de ce mois de juin qui sont qui passent aussi petit à

    Petit aussi de se mettre en accord avec les scoring environnemental qui arrivent très bientôt et et le sujet de cycling il est naturel quand on pense scoring environnemental impact écologique stratégie aussi de storytelling potentiellement mais il y avait une logique économique qui est bloqué et cette logique économique en fait elle

    Provenait essentiellement de la phase de découpe et cette phase de découpe une fois automatisée elle nous permet de proposer à des clients ben des tarifs finalement qu’ils auraient retrouvé dans la production traditionnelle aujourd’hui on a une quinzaine de clients depuis 6 mois qui qui sont passés par par nos par

    Nos services et on a pu revaloriser déjà 20 tonnes de de de produits finis de vêtements et produits qui à peu près 5000 produits upcyclé grâce à cette automatisation de la découpe existe-t-il des collaborations entre les marques de mode et des organisations dont le cœur de business et la seconde main Maxime

    Labas cofondateur de la virgule nous par exemple on travaille en direct avec les marques du sport et deoutdoor not un de nos partenaires principaux c’est Patagonia aujourd’hui on bosse avec The nor face avec eliensen avec toutes ces marques en fait qui font des produits incroyables mais qui ne savent pas

    Vraiment comment gérer cette partie fin de vie eu et donc on est obligé de s’inscrire en fait dans ces écosystèmes de transfert des matières pour qu’ensuite elle puisse être découpée et ensuite cette matière doit être lavée préparée mis sur palette pour ensuite être emmené dans des ateliers de

    Confection euh donc là nous on va produire en France ou au Portugal ou en Allemagne si on va faire des sacs étangches par exemple on va vraiment choisir l’atelier en fonction du produit final qu’on veut avoir tout en ayant en tête que la qualité du produit fini est extrêmement importante parce que faire

    De l’écoconception en amont c’est très bien mais avoir un produit qui dure 3 mois ça n’a aucun sens donc il faut créer des produits qui vont durer 20 ans 30 ans et qui soi réparablebl à vie pour qu’on ait vraiment un impact énorme on retrouve ellisabeth perz sénecille qui

    Parle de la collaboration entre ikkss et la plateforme SMA très clairement c’est un autre métier comme tu disais on s’est dit qu’on avait besoin de se faire aider sur ce sur ce sujet-l et là localement on a ce mala et on les a rencontré très rapidement et pour elle bah c’était

    Intéressant de collaborer avec nous puisque bon moi j’étais très surprise la première fois on a été les rencontrer il y avait un énorme local avec je crois plus de 100000 références et quand je lui ai demandé ben combien de temps en fait là pour tout ça elle mea dit il y a

    3 semaines de de vente là tous les 3 semaines son entrepôt se se renouvelait tellement tellement en fait il il y avait une appétence en fait sur la seconde main au niveau de l’enfant et on a très vite commencé à discuter ensemble sur Ben comment travailler ensemble elle

    Elle avait elle a besoin de de gisement comme elle dit en fait un besoin de produit et puis nous on a besoin en fait d’un savoir-faire parce que effectivement ce que ce qui a été dit tout à l’heure la seconde main c’est beaucoup de logistique et du coup ben en

    Fait de travailler avec quelqu’un qui a des déjà éprouvé tous les systèmes le la collecte comment renvoyer le Colissimo et cetera comment on traite ça et cetera comment on remet ça en vente ben c’était franchement un atout en fait dans dans notre choix dans le principe en fait

    Nous on va collecter le produit une fois que le Produit est collecté il va être mis en vente et sur le site smala et sur le cite ikaks s’il est vendu sur le site ikaks elle nous verce une commission si en fait il est vendu sur nous donc nous

    On on a le donc la la vente et donc on la paye juste en fait de la la partie logistique en fait he du service qu’elle leur a fourni et alors comment une entreprise plus traditionnelle peut faire pivoter son business model éise cheekomarini chef de projet RSE pourochamp petit à petit hein parce

    Qu’on ne transforme pas une entreprise aussi grande d’un coup mais qui a commencé à faire pivoter son business model en tout cas en textile à partir de 2019 il y avait donc ce souhait de se lancer sur la seconde main et on a eu une une chouette opportunité de

    Rencontrer une start-up qui nous a proposé de euh implanter des corners de seconde main dans nos hypermarchés donc ça paraît un peu fou à l’époque on était les premiers à le faire euh on s’est lancé alors en février 2020 mauvais timing vous me direz avec le covid

    Néanmoins on s’est lancé et on a réussi à déployer dans 113 pour être précise hypermarché une offre de seconde main donc qui est principalement textile sur de l’homme de l’enfant de la femme et du bébé et qui nous permet en fait de pouvoir tester la pétence de nos clients

    Aller euh au aussi se positionner sur un marché dans lequel on veut pivoter demain on a réussi dès le démarrage avec eux à lancer un programme de collecte auprès de nos clients donc pour à la fois récupérer le gisement eux se chargai d’en faire le tri la catégorisation et nous permettaiit de

    Leur passer des commandes selon nos process habituels d’avoir un réapprovisionnement automatisé on recevait finalement des produits qui étaient étiquetés euh et et donc nous ce qu’on avait à faire c’est ce qu’on sait faire de mieux les mettre en rayon et les vendre et donc c’est vrai que ça a

    Bien fonctionné entre nous puisque on est était complémentaire sur nos savoir-faire et on n pas souhaité chez auchamp en tout cas au démarrage se lancer sur des métiers qu’on ne connaissait pas on est sur un modèle d’achat revente donc on supporte les stocks aujourd’hui chez Auchan de de de

    Seconde main on les fait livrer et transiter par des plateformes logistiques finalement qu’on utilise déjà pour le reste de nos produits et donc nous ce qu’on a souhaité faire finalement c’était d’aller mutualiser le les flux existants de les massifier pour pour gagner en en efficience quels sont les PR principaux défis auquels les

    Acteurs de la mode de seconde main sont confrontés notre défi principal c’est de faire des produits qui soient vraiment qualitatifs je pense que tout passe par là la désirabilité du produit final elle est extrêmement importante donc tous les jours on va travailler à avoir les meilleurs produits et les plus

    Écologiques sur le marché ensuite évidemment nous on travaille dans cet écosystème donc ça va être continuer à aller creuser les partenariats aller plus loin aller chercher encore plus de matière nous on a un jeu sur sur la formation au-delà du fait de dans la formation dans les métiers de couture c’est vrai que

    L’cycling c’est pas toujours quelque chose de naturel de plus en plus on a la chance d’avoir un un un bac pro métier de la mode à never et du coup bah on a forcé pour que les programme des prochaines années soi orientés sur l’ cycling puisqu’on reçoit beaucoup

    Beaucoup de de jeunes stagiaires chez nous la première chose c’est d’aller expliquer aussi quelle est la différence entre un produit reconditionné est-ce que ça veut dire qu’il y a une garantie est-ce que ça a été vérifié surtout cont quand on parle de produits dans lesquels on a des enjeux sécuritaires donc ça

    Peut être le cas effectivement sur de l’électroménager donc avant tout c’est aussi de savoir passer le message en interne à nos conseillers de vente à nos employés dans les dans les magasins pour que eux puissent être la voix de de de ça auprès de nos clients de savoir l’expliquer finalement aux clients en

    Quoi c’est c’est c’est différent en quoi c’est plus vertueux en quoi ça vaut le coup finalement d’acheter ces produits qui sont issus de l’économie circulaire depuis la loi à JEC qui interdit de détruire les stocks d’un vendu l’ de la mode a dû trouver des débouchés la réparation est une pratique qui retrouve

    Un véritable engouement aujourd’hui pour en parler Elsa chassaniette la responsable du fond réparation Cherif fashion l’écoorganisme qui collecte et redistribue l’écoontribution versé par toutes les marques qui vendent des vêtements ou des chaussures en France on a d’abord fait une une étude avec l’Institut Cantard en juillet

    2022 qui nous a mis en avant plusieurs choses sur les freins liés à la réparation il y avait le frein financier effectivement et c’est pour ça que le bonus réparation est né ça c’est ce que les pouvoirs publics nous demandaient mais c’était pas le seul frein à la

    Réparation il y avait aussi vraiment à égalité avec l’aspect financier il y avait la la méconnaissance du réseau de réparateur on ne sait pas aujourd’hui où faire réparer nos vêtements et puis il y avait une méconnaissance des savoir-faire une tendance à croire que on a des produits jetables si on prend

    La basket aujourd’hui qui représente un peu plus de 60 % de de ce qui est vendu en France et bien la basket c’est un produit réparable c’est pas du tout un produit jetable il y a plein de choses à faire sur la basket donc ça c’est des

    Choses aussi que nous on va devoir déconstruire à travers le fond réparation aujourd’hui le coût moyen d’un vêtement vendu en France c’est 12,50 € et que le coût moyen d’une réparation c’est 19 €. c’est aussi pour ça qu’il y a le bonus réparation pour essayer de combler un peu ce un peu ce

    Gap comment fonctionne le bonus réparation donc le bonus comme je vous le disais il est donc financé par les les écontributions des marques le principe est assez simple c’estàd qu’on sent que que que consommateur on se met face à notre placard on regarde les les pulls et les chaussures qu’on laisse

    Traîner depuis 3 ans parce que il y a un trou il y a une semelle qui est décollée et qu’on les aime beaucoup mais que voilà on fait rien et ben là on va faire quelque chose donc on va sur le site bonusreparation.fr qui en fait recense les trois infos principales

    Ça recense les les réparations éligible donc il y en a 4 textiles 5 en chaussures on trouve les montants de bonus à dosier donc ça va de 6 à 25 € c’est cumulable donc ça veut dire que si vous avez sur une veste un problème de

    Manche décousu et de ZES cassé bah vous pouvez cumuler les deux bonus et puis la troisème chose c’est qu’on trouve la cartographie avec les réparateurs labellisés donc ça ça permet de se géolocaliser et puis de trouver le réparateur le plus proche de chez soi donc après on va chez son réparateur

    Avec son pull avec son trou le réparateur nous dit coucou bah chez moi une réparation de trou c’est 12 €. le bonus c’est 7 donc il vous reste reste à payer 5 € on paye 5 € fin du jeu et nous rashion on rembourse le le réparateur quelles sont les initiatives sur ce

    Sujet Blandine Barret qui a créé l’outil digital les réparables pour faciliter l’accès à la réparation on est un service digitalisé qui permet de commander directement en ligne ses réparations donc le client peut voir le prix est-ce que c’est faisable et puis pouvoir envoyer un colis de réparation

    Ou déposer dans un point partenaire ou déposer dans nos ateliers directement suivant où il est situé géographiquement et en fait tout ça ça permet si on n’ pas le temps si on sait pas combien ça coûte si on peut pas se déplacer ou autre de tout de même pouvoir avoir ce

    Service et effectivement de couvrir toutes les zones blanches où il n’y a pas de de réparateur évidemment si vous avez une un une retoucherie un couturier de quartier à côté de chez vous et que vous avez un problème bah il faut y aller c’est c’est évident on est plus là

    Pour couvrir tous ceux qui n’ont pas accès les les marques et les distributeurs s’emparent du sujet avec plusieurs enjeux pour en parler Camille courmon du groupe de travail réparons la mode évidemment que l’apparition du bonus réparation ça ça pousse tout le monde à à adresser le sujet ou en tout

    Cas au moins s’en informer après il y a quand même aussi une forte volonté d’un point de vue impact et RSE aujourd’hui toutes les entreprises sont sont engagées dans l’allongement de la durée de vie des produits qui peuvent qui peuvent produire et mettre sur le marché donc effectivement le la répar le bonus

    Réparation fait partie des leviers sur lesquels ils peuvent ils peuvent agir pour pour répondre à ça donc finalement le il y a beaucoup de bon sens derrière derrière ce sujet pour pour les uns et les autres le modèle économique de la réparation on propose un service de

    Réparation qui soit en interne qui soit en externe qui soit avec une plateforme de de mise en en relation ça peut être aussi de plutôt partir sur l’autoréparation comment on accompagne nos consommateurs nos clients vers la réparation eu même avec des ateliers de doitureself avec des vidéos avec du

    Contenu des tutos de la mercerie aussi vendre des petits kits pour aider eux-mêmes à réparer donc il y a vraiment en tout cas c’est les deux grosses façons qu’on a identifié de de d’avancer sur le sujet elshset pour ref fashion donc aujourd’hui il y a des marques font pas

    Partie de ton groupe mais il il y a des gens comme vja par exemple qui se posent la question de comment on massifie comment on centralise un atelier avec plusieurs marques pour bah tout simplement pouvoir faire être rentable sur ces services là Blandine Barret les réparables et puis donc pour les marques

    On est une solution leur SV en fait externalisé de réparation donc autour de ça il y a il y a plusieurs solutions possibles plusieurs offres possible avec certaines on va tout simplement être leur atelier externalisé donc la marque va gérer le service client le fait de rassembler les

    Produits et de nous les envoyer au quel cas on peut travailler en marque blanche ou de manière visible en collab s’il souhait être adossé au réparable on peut aussi pluger notre solution qui permet enfin qu’on peut mettre sur le site de la marque pour que leurs clients puissent commander directement la

    Réparation et ensuite que ce soit envoyé vers nos ateliers on fait également des événements autour de la réparation pour pouvoir sensibiliser et puis on va dire apporter de la pédagogie autour de autour de la répar directement au sein des points de vente donc c’est ça qui est intéressant c’est que

    Leur leur métier change à eux aussi en fait ils ne sont plus que metteurs sur le marché ou plus que distributeurs ils apportent désormais le service qui va avec le produit reste un sujet essentiel une question la logistique Camille courmou c’est un vrai sujet parce que c’est d’un

    Point de vue rentabilité évidemment il il y a quand même toute cette notion de prise en charge de de transport de alors soit ça s’imbrique dans une reverse logistique c’estàdire que le la l’entreprise va s’appuyer sur ses propres flu logistiqu elle va être capable de entre guillemets de les

    Optimiser pour faire remonter la réparation ou ce genre de chose soit elle va s’appuyer sur sur des partenaires ou sur des des prestataires mais effectivement c’est toute cette somme de coût qui va définir si oui ou non le modèle est rentable pour le service est rentable pour l’entreprise

    Donc il y a à la fois ce sujet de il faut proposer au clients d’une façon ou d’une autre de la réparation ça fait partie en tout cas de la vision de de de bon nombre de d’entreprises mais aussi comment et à quel prix parce que là

    Toutes s’entendent en tout cas dans le groupe de travail pour dire oui on va adresser le sujet de la réparation oui on veut pas forcément tirer de bénéfice dessus mais par contre ça doit être une opération au moins à zéro mais ce qui est intéressant pour les marques c’est

    De calculer quels sont les les qu’est-ce que la réparation permet d’éviter en terme de coût autre à savoir donc les retours clients la satisfaction l’engagement client et en fait t tous ces coups là peuvent aussi se s’annuler ou en tout cas se compléter j’espère que ce trème épisode exceptionnel au cœur des fassion

    Green days vous a plu si vous l’avez aimé vous pouvez le partager autour de vous et nous le dire en nous laissant un commentaire ou une note sur Apple podcast et Spotify pour la suite je vous donne rendez-vous dans quelques jours pour le dernier épisode sur la mode de demain I

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