Conjuguons e-commerce avec durabilité, RSE, environnement, impact et protection de la planète ! Oui c’est un défi énorme et je vous propose d’entrer dans le dur avec un exemple très concret !

    Parlons d’alimentation, d’agriculture régénérative, d’impact carbone ou encore de réduction des emballages et bien sûr de ventes, de ventes en ligne !

    Dans cet épisode, j’ai le grand plaisir de recevoir Joséphine Bournonville, co-fondatrice, COO et Chief Impact Officer d’Omie et Compagnie !

    Omie, vous connaissez déjà ! En effet, en juillet 2021, dans l’épisode 118, j’ai reçu un autre co-fondateur de l’entreprise, Christian Jorge. Nous n’étions pas loin après le lancement et mon invité était venu présenter cette DNVB. Deux ans après et 15 millions d’euros supplémentaires levés, je vous propose de faire un point de passage.

    Mais un petit rappel tout de même. Certifiée B.Corp, Omie est une entreprise à impact. C’est la première marque d’épicerie en agriculture régénérative. Elle propose une gamme de produits alimentaires, 100% transparents dans leur prix et leur fabrication, et elle rémunère dignement les producteurs et ceux qui les transforment.
    Son ambition ? Remettre à plat la répartition de valeur et favoriser l’émergence massive d’une agriculture durable.

    Comme d’habitude, dans un premier temps nous nous intéressons au marché, celui de l’alimentation. Les habitudes des consommateurs changent mais en cette période d’inflation la question de la sensibilité aux prix se pose et derrière elle celle de l’arbitrage dans l’achat des produits alimentaires. 

    Nous poursuivons sur l’histoire d’Omie et le chemin parcouru depuis son lancement début 2021. L’idée est de comprendre comment cette entreprise à impact porte ses convictions pour adresser son marché.

    Nous concluons par la nécessaire question de la relation client. Data, CRM, réseau sociaux, comment cette nouvelle marque d’épicerie entretient-elle le lien avec ses consommateurs ?

    Bonne écoute, toujours sans coupure !

    Omi en en quelques mots c’est la première marque alimentaire en agriculture régénérative qui fait donc de l’alimentation une solution euh face aux enjeux climatiques et sociaux en tant que marque alimentaire on adresse l’amont agricole donc on s’intéresse à la façon dont on produit et on accompagne euh la transition agricole et

    On s’intéresse à l’aval c’est-à-dire qu’on accompagne les consommateurs pour manger différemment manger mieux euh et on le fait avec un service qui doit rendre facile en fait le mieux consommer [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Applaudissements] bonjour et bienvenue parmi les Digital doers votre podcast source d’inspiration pour les acteurs de l’innovation ce

    Programme est coproduit avec come exposium pour l’événement incontournable qui est le One Toone retalcommerce de Monaco je suis Cyril dupessi acteur du changement dans le digital depuis plus de 20 ans je donne ici la parole aux personnalités de notre écosystème en France qu’ils soient prestataire annonceurs marque retiler ou pur player

    Ils sont des acteurs engagés dans leur business et l’innovation fait partie de leur quotidien source intarissable d’inspiration je vous propose une conversation dynamique et sincère pour vous donner accès à leur retour d’expérience leur vision et leur analyse sur les tendances et les perspectives marché depuis juillet 2019 les Digital

    Doers rassemble des témoignages uniques et de grande qualité directement accessible ici même mais aussi sur les chaînes partenaires en effet je produis et anime des chaînes de podcast pour comptte de tiers c’est-à-dire pour des prestataire de service du retail et du e-commerce le concept est simple invitz

    Un prospect à venir discuter de votre problématique avec un expert maison dans une conversation tripartite vous êtes intéressé n’hésitez pas à me contacter directement sur le site les Digital do.com ou via LinkedIn en attendant je vous souhaite une bonne écoute toujours sans coupure conjugons e-commerce avec durabilité RSE

    Environnement impact et protection de la planète oui c’est un défi énorme et je vous propose d’entrer dans le dur avec un exemple très concret nous allons parler d’alimentation d’agriculture régénérative d’impact carbone ou encore de réduction des emballages et bien sûr de vente de vente en ligne dans cet

    Épisode j’ai le grand plaisir de recevoir Joséphine Bournonville cofondatrice CEO et chief impact officer domomi et compagnie omi om I e vous connaissez déjà en effet en juillet 2021 dans l’épisode 118 j’ai reçu un autre cfondateur de l’entreprise Christian George nous étions pas très loin après le lancement et mon invité était venu

    Présenter cette dnvb 2 ans après et 15 millions d’euros supplémentaires levés je vous propose de faire un point de passage mais petits rappel tout de même certifié bicorp omi est une entre reprise à impact c’est la première marque d’épicerie en agriculture régénérative elle propose une gamme de produits alimentaires 100 % transparent

    Dans leur prix et leur fabrication et elle rémunère dignement les producteurs et ceux qui les transformment son ambition remettre à plat la répartition de valeur et favoriser l’émergence massive d’une agriculture durable comme d’habitude dans un premier temps nous allons nous intéresser au marché celui de l’alimentation les habitudes des

    Consommateurs changent et en cette période d’inflation la question de la sensibilité au prix se pose et derrière elle celle de l’arbitrage dans l’achat des produits alimentaires nous poursuivrons sur l’histoire domomi et le chemin parcouru depuis son lancement début 2021 l’idée de comprendre comment cette entreprise à impact porte ses

    Convictions pour adresser son marché nous conclurons par la nécessaire question de la relation client data CRM réseaux sociaux fidélisation acquisition comment cette nouvelle marque d’épicerie entretientt-elle le lien avec ses consommateurs mais avant de commencer Joséphine pourrais-tu te présenter en quelques mots oui bonjour donc je suis Joséphine j’ai 35 ans avant omi donc

    J’ai cofondé comme tu l’as mentionné j’ai une carrière d’à peu près 10 ans dans l’investissement et dans l’impact j’ai commencé comme investisseur dans les secteurs de l’environnement dans tuas un profil ingénieur marketing commercial c’est quoi tesors d’é que assez généraliste donc je fais sciencep donc cursus assez généraliste avec une

    Spécialisation sur l’Asie deux premières années j’ai passé un an en Inde ensuite dans le casre de mes études et puis j’ai fait un master finance et stratégie à Science Po ok voilà et donc après directement je suis allée en fondinvestissement travaillant sur donc l’Asie Inde et Chine en tant

    Qu’investisseur donc on investis dans les start-up et entreprise typé énergie renouvelable recyclage efficience énergétique euh j’ai fait ça 5 ans après j’ai re en quelle année quand tu pars en Asie alors quand j’étais en Asie en tant que étudiante c’était 2007 2008 et dans le fond et était 4 ans plus tard quoi

    Donc 2012 ouais c’est ça dans ces de là eu et donc ça c’était bah ultra intéressant j’ai beaucoup appris enfin un métier assez multi casquette qu’est-ce que tu faisais et qu’est-ce que tu as retenu en fait de ce que tuas cette expérience tua apporté alors j’étais chargé d’affaires donc rencontrer plein d’entrepreneurs

    Screener un peu tous les segments un peu qui étit assez nouveau parce que c’était un des premiers fonds vraiment typé full cleantech ce qu’on appelle Cleante tech et donc avec cette idée de faire du du crossborder donc trouver des technologies typé environnemental pour aller les amener en Asie ou directement

    Investir dans des sociétés en Asie qui étaient sur ce segment-l parce que c quoi clean technologie donc efficience énergétique recyclage énergie renouvelableement voilà et c’était il y avait déjà une première vague de cleanch Cé un peu la la deuxième mais c’était quand même le temps où on s’intéressait

    À ce secteur là en disant bah c’est quand même un truc intéressant quoi voilà donc ça c’était c’était cette première expérience et après j’ai rejoint le groupe roulier qui est un groupe agroaliment entire donc familial en Bretagne voilà saintmo exactement présent dans près 50 pays et donc leader

    Sur en Europe so les segment angrais et un peu d’agroalimentaire et moi là j’étais responsable croissance externe donc tout ce qui était partenariat acquisition d’entreprise donc je travaill avec les directeurs pays pour les aider à accélérer sur leur marché soit en rachetant des entreprises so en faisant des partenariats donc toujours plutôt

    Dans la dimension financière Mme oui STR né voilà donc étudier un marché typiquement les États-Unis on était déjà présent en tant qu’entreprise mais on voulait accélérer bah regarder avec qui on pourrait faire quelque chose qui est-ce qu’on pourrait racheter et puis faire les deals tout simplement racheter des

    Entreprises quoi qui est resté de quelle année à quelle année chez roulier alors année faudrait que je recalcule moi j’ai fait 2 ans et demi après avoir fait 5 ans dans le fond donc je sais plus c’est quand en année mais tu tu es ouais vers 2018 ouis 2018 2019 ouis ouais

    Ex tu retiens quoi de ces de ces expériences qu’est-ce que tu as appris qui va aujourd’hui te servir encore ou bah alors rouer est très intéressant parce que c’est un modèle donc de vente en direct d’angraé avec des équipes commerciales sur le terrain qui vont en gros rencontrer tous les jours des

    Agriculteurs donc déjà une une connaissance du marché de agriculture comment comment on produit aux États-Unis doncoup au États-Unis en Afrique du Sud aussi où je suis pas mal allé et en Europe c’est quoi les différences entre cesment là comment est organiser la chaîne de valeur en fait de

    De l’agriculture comment on vend un agriculteur des produits donc à travers des coopératives en direct le côté un peu il faut avoir des agents technicaux commerciaux sur le terrain comment on présente ces choseslà donc cette connaissance là un petit peu terrain des différents types d’agriculture et de ce

    Qui se passait qui commençait à se passer aussi en terme d’évolution sur les pratiques agricoles et de questionnement en plus quand une entreprise qui vend des engrais donc il est pas forcément typ écolo de base mais qui commence à avoir des réflexions parce que poussé quand même par des par

    Des pressions c’est donc très chimique les engrais là il y a c’est un chimiste alors roulier euh oui alors c’est différent c’est pas comme les pesticides c’est eng gr c’est euh donc par exemple donc NPK le nitrogène par exemple c’est des c’est des composants qu’il y a

    Naturellement dans les sols mais en fait le modèle d’agriculture justement que bah que qu’on essaie de transformer Xiaomi modèle intensif il est dépendant des engrais parce que en fait comme on veut produire plus il faut alimenter plus la terre plus que ce qu’elle a naturellement dans ses sols donc on met

    On va chercher ailleurs donc de la potasse on va aller l’extraire dans un sol riche en potasse et on va l’amener dans le champ euh pour pour que ça pousse plus vite et pour qu’on puisse voilà avoir la rotation plus rapide de production il y a des méthodologies de

    Travail que tu as tu as appris ou c’est uniquement un secteur que tu as découvert alors c’était aussi c’est une emprise assez un peu entrepreneuriale en fait dans l’état d’esprit familial donc avec une une gestion aussi un peu de de dire bah vas-y quoi tu prends ce segment

    Là on veut se développer aux États-Unis propose-mo une stratégie et puis et puis fais donc c’était en fait assez handsone finalement contrairement à ce qu’on pourrait penser parce que c’est quand même un groupe qui est qui fait 3 millions de chit d’affaires mais qui avait une une un état d’esprit assez

    Entrepreneurial donc ça moi ça m’a beaucoup aidé parce que j’ai j’ai appris voilà pas mal de choses à travailler un peu différemment avec différents types aussi de bah de de de personnalité parce que enfin quand on rachète une entreprise ça allit de la petite entreprise familiale avec donc les deux

    Frères qui ont créé leur petite boîte dans le fin fond du Michigan à l’entreprise qui est déjà une grosse coopérative à qui on bah on a évidemment pas le genre de de discussion donc c’est aussi cette cette capacité c’est là d’adaptation et puis travailler bah aux États-Unis puis en Afrique du Sud puis

    En Angleterre donc ça c’était ce côté un peu bah ouais multi cascade quoi qui qui est assez intéressant tu sors de cette aventure là pourquoi comment c’est quoi la suite ouais alors bah donc c’était plutôt raison perso parce que je voulais rentrer justement sur Paris tu étais vraiment à Saint-Malo ouais j’étais basé

    À Saint-Malo et en fait je voyage énormément donc c’était quand même la moitié de mon temps j’étais voir un peu plus j’étais en déplacement donc donc c’était quand même aussi assez fatiguant et puis j’avais un envie de de bah revenir sur Paris voilà pour raison perso mais en fait à ce moment-là

    J’étais déjà en train de me questionner aussi sur le côté bah qu’est-ce que je vais vraiment faire avec un une idée de de chercher un peu un vrai projet coup de cœur mais le temps de trouver je suis quand même allé repasser donc une autre entreprise qui s’appelle imeris où là

    J’ai fait du MN pur qui était pas du tout mon projet coup de cœur mais qui était un peu le temps de réfléchir à ce que j’allais faire ou c’était l’opportunité pour toi de revenir à Paris déjà voilà en fait voilà et donc j’ai été chassé par cette entreprise là

    Donc à ce moment-là j’étais en mode bon bah ça va être le bon moment peut-être pour bouger je me suis dit bon bah je vais prendre ce truc je reviens à Paris et puis je réfléchis à ce que je veux vraiment faire et donc là im c’était pur

    Mn donc assees finances assez une entreprise côté en bourse donc avec pour le coup des mécaniques très court terme donc en terme de philosophie j’étais quand même assez loin de de ce que je voulais mais par contre bah c’est le moment où moi j’ai commencé à me questionner beaucoup justement sur les

    Modèles de consommation les modèles aussi économiques donc je me suis un peu replongée dans mes dans des nouvelles lectures un peu élargir mes horizons on va dire et découvrir des nouveaux modèles euh typer la théorie du donut je sais pas si entendu parler qui une économiste anglaise bah qui repense un

    Peu les modèles économiques que moi j’ai appris aussi à l’école justement avec un angle bah il faut prendre en compte les limites planétaires et le fait qu’on est en ressource limité et donc il faut repenser nos schémas parce que le le le driver principal ça va plus être le PIB

    Mais ça va être le bah faire en sorte que nos modèles de demain d’entreprise il soi compatibles et h per permettre d’aller vers une économie qui respecte les limites planétaires et qui s’inscrit dedans et et qui qui est positive et non pas modèle ex extractif et productiviste comme on l’a principalement voà ça

    C’était un peu mes réflexions donc je commenais à avoir une grosse dissonance cognitive quand même entre ce que je faisais au quotidien et et ça donc je me suis engagé à titre perso dans dans uneasso que j’ai cofondé pour justement les salariés en entreprise qui veulent pousser les sujets écologiques au sein

    De leurs entreprises qui veulent faire évoluer les modèles et pousser des donc c’est un modèle syndicat écologique qui existe toujours qui s’est développé entretemps mais sa mission c’est comment on aide comment on peut aider en tant que tiersce parti ouais des salariés à transformer leur entreprise c’est un

    Syndicat en fait donc le syndicat qui est historiquement pour protéger donc les intérêts des salariés défendre les intérêts des salariés on lui a on a fait ça mais en disant le le but principal de ce syndicat c’est de pousser les sujets environnementaux par les salariés au sein des entreprises avec l’idée que bah

    Euh tuas un représentant syndical un représentant syndical qui va récolter en fait tous les euh parce qu’il y a beaucoup en fait en entreprise et moi quand j’étais dans je me suis rendu compte aussi y compris dans des entreprises très traditionnelles comme celle où j’étais il y a beaucoup de

    Celll qui se posent des questions qui voient des choses qui se disent ah bah tiens on pourrait faire telle chose pousser je sais pas mettre un nouveau modèle de de génération d’énergie dans mon usine mais effectivement le HRO ce projet-là il est un peu plus long que si

    Je faisais le truc trad mais je pense que sur le long terme c’est intéressant où des il voit des aberrations du genre on se source pour cette matière première dans tel pays le truc du coup il fait des kilomètres et en fait c’est une histoire de 2 centimes sur le différence

    De matières prières mais comme on est uniquement dré par le prix on se pose pas la question de l’impact écologique et donc c’est quand même dommage donc il il y a vraiment des gens qui enfin qui ont ses réflexions au quotidien mais il manque d’une structure un peu pour les

    Aider à faire émerger ces problématiques là et puis le leur donner un poids en fait collectif donc c’est tout l’intérêt d’un syndicat parce que le le représentant syndical est le seul habilité en fait à représenter les salariés au sein des de de de devant la direction et donc voilà l’idée c’était

    De le faire souvend ça s’appelle printemps écologique donc tu peux aller ok j’irais voir voilà et donc donc ça ça ça m’occupait pas mal mais euh mais entre tempemps bah j’étais je voulais quand même que mon job au quotidien lui aussi soit aligné avec les convictions

    Que je m’étais forgé qui était bah il est possible en fait de faire différemment euh un business différent qui prend en compte euh l’environnement le social et qui est aussi performant d’un point de vue économique financier euh et euh et moi alors j’ai pas dit mais je viens d’un milieu aussi très

    Agricole donc mon père d’agriculteur j’ai beaucoup de de famillees dans le secteur agricole donc j’ai vu aussi beaucoup de modèles différents de comment on fait de l’agriculture intensif bio conservation des sols il y a beaucoup de questionnements dans ce milieu là et donc j’ai étis un peu

    Nourrie par ça et euh et donc j’avais cette conviction que enfin j’avais l’envie aussi de faire quelque chose dans le domaine de agricole et de l’alimentation euh et parce que aussi quand on s’intéresse aux enjeux environnementaux on voit rapidement que l’alim mugentation c’est un problème aujourd’hui c’est bah une grosse partie

    Des émissions carbon et sur ces émissions c’est 1/ers des émissions carbon et sur ce 1/3 c’est principalement l’ mon agricole donc c’est la façon dont on fait les aliments com on produit donc l’agriculture qui est responsable des émissions plus les enjeux sur la biodiversité qu’on connaît effondrement des insectes volants en

    Europe érosion des sols qui fait que d’ici 2050 60 % des sols vont être inutilisables d’un point de vue production donc voilà donc l’alimentation elle concentre tous ces enjeux-l les gros problèmes et en même temps et c’est ce que j’ai découvert aussi par mes lectures et mes rencontres on a développé aujourd’hui d’autres

    Façons de faire de l’agriculture ce que N on regroupe sous le nom d’agriculture régénérative qui font une solution euh de qui font de l’agriculture une solution et donc et qui sont capables de produire à grande échelle de nourrir la planète mais tout en produisant différemment donc exite voilà le la

    Façon industrielle qu’on a de produire qui étaient justement les modèles que je voyais plutôt chez roulier euh mais donc donc pour moi ça ça a été un peu le déclic de me dire wouh c’est quand même on a là une solution à porter de main ultra intéressante et donc il faut

    L’amener il faut lui trouver une voix de de j’ai envie de traver voilà c’était ça c’était mon point de départ et puis bah après j’ai rencontré mes associés et c’est comme ça comment ça s’est fait ces rencontres alors c’est vraiment des des des grand des trucs un peu de la vie où

    Tu rencontres quelqu’un qui te parle de quelqu’un et qui tu vas prendre un café avec ce quelqu’un qui était en l’occurrence chistiant et et qui lui est entrepreneur pour le coup depuis toujours qui avait l’envie de faire quelque chose dans l’alimentation dans l’impact et donc on a commencé à parler

    Parce que bah moi je lui raconéis un peu ces trucs là et et donc ça ça a eu un peu ce ce truc ah bah on peut peut-être faire un truc ensemble et c’est comme ça que ça ça démarré c’est comme ça que mi est né est-ce que tu peux à en deux

    Trois phrases avant qu’on lâche omi quelques temps quelques minutes pour qu’on parle du marché bah nous pitcher mieux que ce que moi j’ai fait omi c’est quoi sa mission est-ce que enfin aller un peu plus loin pour expliquer le projet que la courte description que j’ai pu faire dans l’introduction ouais

    Bah au MIN en quelques mot c’est la première marque alimentaire en agriculture régénérative qui fait donc de l’alimentation une solution face aux enjeux climatiques et sociaux en tant que marque alimentaire on adresse l’amont agricole donc on s’intéresse à la façon dont on produit et on accompagne la transition agricole et on

    S’intéresse à l’aval c’est-à-dire qu’on accompagne les consommateurs pour manger différemment manger mieux et on le fait avec un service qui doit rendre facile en fait le mieux consommer parce que ce qu’on se dit c’est pas au consommateur de porter tout le poids de devoir où est-ce que je dois acheter le meilleur

    Truc faire 10000 magasins on veut lui apporter les bons produits donc très bon en terme de goût c’est avant tout c’est des produits alimentaires hein donc on fait des recettes c’est pas de la chimie justement c’est de la cuisine on les amène avec un service de qualité au

    Consommateur donc euh en ligne quand au démarrage on s’est créé comme une entreprise en ligne donc tuachètes sur notre site ou l’application et aujourd’hui on est aussi distribuer en magasin pour justement être le plus accessible possible à tous nos consommateurs et c’est une marque en fait qui se veut Marque Repère dans un

    Monde où c’est ultra compliqué il faut scanner tous les produits pour savoir est-ce que c’est bien fait tu as des dilemmes tous les jours entre est-ce que j’achète ce truccl qui est bio mais sous plastique et qui vient de je sais pas où ou cette marque là qui a l’air sympa

    Mais quand même le prix je comprends pas en voilà donc on essaie de résoudre ces dilemmes de tous les jours du consommateur avec une marque horizontale qui couvre tous les besoins un besoin un produit il y a pas 10000 différents variations pour un besoin mais quand

    Même avec une idée un peu de de goût d’originalité et et voilà simplicité de gamme tu as tous les besoins c’est une seule marque qui s’appelle omi et on t’apporte toute la transparence sur Comment c’est fait qui gagne quoi sur le prix que tuachètes que ton pot de 3 €

    Combien gagne le producteur combien gagne le fabricant combien gagne omi et voilà ça c’est vrai que sur le site je vous invite chers auditeurs à vous rendre sur le site Domi puisque c’est très bien expliqué on voit de façon schématique le prix j’ai en tête

    Je crois c’est un bocal ou je sais plus ce qu’il y a dedans mais il y a euh il y a la décomposition et on sait exactement dans le prix payé ce qui revient à l’agriculteur qui a produit euhou les graines de je sais pas quoi de moutarde

    Qui vont dedans voilà ouais c’est ça et donc c’est le la meilleure version de chaque produit d’un point de vue environnement social et goût c’est c’est ça le la promesse ok merci pour cette précision on va revenir dessus un peu plus tard avant ça on va parler du

    Marché tu as commencé à l’évoquer c’est la rencontre entre les besoins des consommateurs et la réalité écologique de la production de de de matières premières pour produire les les aliments que vous faites se rencontrer moi je voudrais qu’on on parle du marché de l’alimentation générale comment tu le

    Vois et puis que on puisse évoquer aussi je commencais à le dire en introduction Les enjeux économique qui viennent se greffer de façon peut-être plus forte aujourd’hui sur le budget des consommateurs comment toi tu perçois un peu ce marché est-ce que tu as d’ailleurs des chiffres pour nous est-ce

    Que c’est du bio c’est pas du bio comment voilà le marché en général c’est quoi oui bah global le marchéépiterie en France c’est 35 milliards d’euros les produits bio aujourd’hui bah c’est une portion en plus un peu un petit peu en décroissance en ce moment

    Qui entre 6 et 7 % de cette consommation là et les surfaces cultivées c’est moins de 10 % bio aujourd’hui en France et alors comment on le perçoit bah je pense il y a eu un cet effet effectivement covid où les sujets environnement sont devenus de plus en plus présent chez les

    Consommateurs et et se sont retrouvés c’est c’est dans leur choix d’alimentation le côté bah est-ce que c’est un bon produits bien fait sont devenus plus importants en ce moment le fait que effectivement il y a beaucoup d’inflation fait que les gens ont perdu du pouvoir d’achat et ça s’est

    Retrouvver enfin ça c’est ça ça pénalise aujourd’hui le secteur bio secteur bio qui est traditionnellement plus cher ch que le traditionnel je sais pas comment le qualifier mais le conventionnel quo ouais alors oui mais alors ce qui est intéressant c’est que avec là l’inflation elle a été beaucoup plus

    Forte dans les produits justement dit conventionnels que bio notamment parce que bah en bio on utilise moins d’intan chimique il y a moins de pétrole aussi pour les machines et cetera donc il y a eu un peu un rattrapage en fait donc l’écart il s s s réduit et d’ailleurs

    Sur les légumes fr légumes des fois enfin les produits é même moins cher moins cher actuellement mais ce qui est intéressant et ce qu’il faut comprendre aussi c’est que la la la baisse du secteur bio donc il y a un sujet prix évident avec l’inflation mais il y a

    Aussi un sujet un peu de défiance en fait les consommateurs quand on regarde un peu les études la la remise en cause du bio c’est aussi la non compréhension de de cette différence de de prix justement de la valeur qu’il y a derrière et parce qu’en fait il y a eu

    Aussi des dérives dans le secteur bio de notamment du bio qui vient on sait pas où il pas de transparence sur les origines et finalement une promesse qui était ouais parce que bio en fait ça peut être bio cultivé selon des critères bio qui sont dans un pays qui qui

    Respect pas les normes sociales exactement et puis il y a tout le trajet pour apporter le produit euh oui c’est ça oui c’est ça c’est qu’en fait le le le le bio c’est un label et c’est une obligation de moyens donc c’est les moyens sont sur les pestides la non utilisation de pesticide

    C’est pas une obligation de résultat et ça prend ça prend pas le CAH des charges bio he après il y a des produits bio qui le prennent en compte ça prend prend pas en d’autres éléments comme biodiversité le voilà le cycle de l’eau et cetera ce que nous en fait enfin xomi

    On fait via le Planet score qui est une notation qui va au-delà du CAH déchargge bio et qui prend en compte justement ces aspects biodiversité climat et cetera et bien-être animal également donc du coup c’est il y a une lecture compliquée des consommateurs de ce qui est le bio donc

    Cette défiance qui arrive en disant oui enfin on me dit que c’est bio mais j’entends dire que c’est l’ pas c’est une façon de faire payer plus cher alors derrière il y a pas et donc c’est ultra dommageable pour effectivement ceux qui font bien le le bio parce que il y a

    Effectivement des acteurs historiques et la bio historiquement c’était c’était l’état d’esprit c’était vraiment bah avoir une solution environmentale globale y compris en prenant en compte l’impact sur l’eau sur le climat sur la biodiversité et cetera mais il y a eu cette dérive du Biol là avec un bio industriel qui est effectivement pas

    Celui qu’on a envie de voir donc ça c’est et ce qui ce qu’on voit d’ailleurs c’est malgré cette défiance là et la perte de de vitesse du Bio il y a une croissance sur les catégories euh typées euh 100 donc les euh sans pesticides sans ingrédients ultra transansformés

    Sans alcool sans antibio euh voilà sans antibio exactement donc ce qui montre en fait qu’il y a une chez les consommateurs une inquiétude sur euh la façon dont s produit euh et euh et ça c’est c’est une tendance de fond ça fait euh c’est les produits s ils ont fait

    Plus 6 % au même moment où le bio lui-même descendait de 6 % donc c’est intéressant de voir ça et justement nous c’est ce qu’on adresse avec euh notre notre gamme he parce que on répond exact à ces sujets donc le les inquiétudes consommateur enfin ce qui les fait

    Pencher pour des produits dit durable ça va être perception du local donc produit en France localement des filières courtes sans ingrédients bizarres ultra transformés et cetera sans pesticides potentiellement et pas forcément en fait ils vont plus faire enfin c’est vraiment ça qu’ils ont en tête quand ils veulent

    Acheter durableable plus que bio ou pas bio ok donc là les consommateurs continuent d’évoluer en fait ils deviennent de plus en plus matur on peut plus leur raconter n’importe quoi oui c’est ça c’est ça on doit prouver en fait ce qu’on on doit prouver la valeur en fait qu’il a

    Derrière le produit derrière un prix en fait et quelque part quand il y a un doute il préfère rester sur du conventionnel c’est c’est c’est un peu ça l’histoire ou oui le le marché de l’alimentaire c’est l’offre et la demande dans l’offre aujourd’hui globalement on voit que ça

    Évolue dans le bon sens selon toi ou et puis derrière la question c’est celle de la capacité à à produire suffisamment pour nourrir la planète hein avec des moyens qui sont plus respectueux est-ce que c’est possible est-ce que c’est quelque chose de tenable est-ce qu’on aura l’offre

    Suffisante ah oui alors d’un point de vue offre il y a vraiment pas de de de problème à avoir enfin nous à notre échelle évidemment on a les volumes qu’on a aujourd’hui mais nous on sait que on peut produire on globale si demain on devait nourrir l’ensemble de la France ne serait-ce que

    L’ensemble de la France avec que des produits respectueux selon les critères d’Omis on en reparlera tout à l’heure en détail qui respecte la planète on arriverait bah oui mais alors pas pas le jour même c’estàd une soltion de transition mais évidemment s’il y avait un accompag parce qu’ après une question

    De politique publique si un accompagnement des politiques publiques et de de de modèle de subvention qui aujourd’hui il y a un modèle enfin la pack c’est un modèle de subvention l’agriculture française est subventionnée l’agriculture intensive principalement donc il y a quelques critères écologiques mais qui sont pas

    Du tout au niveau de ce qu’on devrait attendre mais si on on tout cet argent là qui est quand même une façon de de dire quel modèle agricole on veut aller vers des pratiques dit régénérativ ou bioagroécologique alors oui il y aurait aucun problème à produire en quantité

    Suffisante tu parles de l’Europe de la PAC effectivement dans le marché il y a l’offre la demande et il y a le régulateur alors là est-ce que c’est un régulateur je sais pas mais il y a les États qui sont là au travers de l’Europe et au travers des états nation

    Qui viennent influencer la production de denrées alimentaires tu viens de le préciser qu’est-ce qui existe pour favoriser les initiatives respectueuses plus que la pâack tu vois parce que tu viens de le dire la pack c’est d’abord prime il y a une prime à la conversion quand on passe en biologique

    Mais qui est sans doute pas suffisante parce qu’on voit aujourd’hui d’ailleurs il y a quelques phénomè aussi de déconversion parfois parce que quand on a des en fait c’est en fait c’est tout le système qu’il faut parce qu’il faudrait aussi un système d’assurance qui soit adapté aussi à potentielle

    Perte de rendement quand change de pratique et cetera donc aujourd’hui on n’est pas encore c’est pas il y a il y a effectivement donc la pack va pousser HVE qui est qui est une un une qualification en fait de pratique agricole mais mais qui est qui est pas très élevé en exigence environnemental

    Donc il y a dedans planter des e mettre déjà chers faire un plus de rotation mais ça va pas assez loin par rapport à ce queon voudrait par rapport aux recommandations du JC d’ailleurs parce que le JC dans son dernier rapport a était a vraiment fait de l’agriculture

    Aussi une solution en monant en avant les pratiques agroécologiques et euh donc aujourd’hui on n’est pas encore du tout au niveau politique publique en France et en Europe mais qu’est-ce qui existe rien en fait aujourd’hui non bah il y a ces aides à la conversion mais

    Voilà non non c’est pas donc et en fait il y a pas de il y a pas de rémunération euh on va dire des services écosystémiques que que rendent une une une exploitation qui a des pratiques plus durables c’est pas on n’est pas rémunéré pour ça donc on est rémunéré aujourd’i

    Sur le bah l’ingrédient qu’on produit et la quantité qu’on fait donc une notion de de volume quoi ok d’où la la mission aussi Domi d’aller directement en contact des producteurs de voir avec eux comment ils peuvent améliorer leur production c’est une super transition pour parler d’Omi peut-être que pour commencer on va

    Prendre le début de la chaîne de valeur et aller chez le producteur comment ça se passe chomi c’était quoi l’idée originelle de dire je me souvi viens de Christian qui disait qui donnait l’exemple de production de je sais plus quoi de gâteaux ou de en Bretagne avec

    Du blé qui avait été oui produit enfin avec des algues qui remplacent les entrant chimiques ce qui intéressant pour bien comprendre en fait le concept domomi je pense c’est d’aller à la base à la source et commence peut-être commence nous expliquer un peu le fonctionnement par ça oui c’est intéressant parce que c’est

    Effectivement une spécificité chez nous nous dès le démarrage on avait notre première recrue c’est un ingénieur agro qui est toujours là donc thbao et qui a maintenant une équipe d’ingénieurs agro dont le rôle c’est d’aller sur le terrain donc d’identifier les les partenaires donc les producteurs avec qui on veut travailler donc producteurs

    Donc surtout les les ingrédients dont nous on a besoin et de les accompagner vers pour et faire évoluer leur pratique agricole via vers le régénératif comment les identifie h alors c’est en en interant dans des réseaux aussi nous on travaille beaucoup avec des associations notamment padv pour une agriculture du

    Vivant qui depuis 20 ans est une assaut qui accompagne justement la transition Bior écologique donc eux ils ont un réseau aussi grâce à elle vous allez identifier des producteurs bon je sais pas de blé de de je sais pas de quoi vous avez besoin potentiellement mais ou

    Aès tout t les et alors ça c’est le la première façon de de d’entrer en relation et la deuxième c’est à travers nos fabricants parce que les fabricants ont eux-mêmes leurs producteurs et leurs fournisseurs donc agriculteurs donc vous êtes misise en relation par moyen ou un autre vous allez rencontrer on les

    Rencontre voilà tout on rencontre absolument t tous les tous les producteurs euh et on fait au démarrage un diagnostic agricole donc pour comprendre où ils en sont dans leur chemin de transition agricole et ça pareil on se fait accompagner par des experts pour le faire on utilise notamment l’indice de régénération qui

    Est la méthode de dévelo par padv qui note sur différents aspects padv donc pour une agriculture du vivant qui est l’association avec laquelle on travaille entre autres et qui a développé cette méthodo qui est très complète sur les pratiques agricoles donc euh justement qu’est-ce que je fais en terme de

    Couverts végétaux combien de fois je passe dans les champs combien de quantité de d’intonchimque je mets ou je mets pas euh c’est assez exhaustif sur les pratiques euh et ça permet de de de de donner une notation qui permet aussi de comparer d’ailleurs les les les exploitations les unes avec les autres

    Et ça c’est le point de départ et à partir de ce point de départ là donc nous le le le la condition de base he pour travailler avec les agriis c’est eu bah qu’ils aient envie aussi euh euh déjà de de bah d’évoluer vers du mieux et qui soit aussi ouvert avec nos

    Pratiques de transparence parce que c’est aussi fondamental pour nous et donc VO on établi des feuilles de route de progrès donc sur 1 an sur 3 ans et nous on se donne rendez-vous donc on les visite à minima deux fois par an pour regarder où ils en sont et on organise

    Aussi tout un écosystème autour de ça par qu’ après l’audit en fait il y a des recommandations de changement qui sont préconisé ou et vous allez veiller à ce que elle soit qu’elle soit qu’elle soit appliquée exactement et euh et tout contre partie pour l’agriculteur c’est quoi des volumes d’achat c’est un prix

    Juste c’est ça ouais donc volume alors déjà mise en avance c’està-dire nous on reconnaît leur travail on valorise en fait ce travail là d’agriculture régénérative et on fait un prix juste donc ça c’est aussi fondamental aussi cheomi c’est de s’assurer que bah avec le prix qu’on paye c’est suffisant pour

    Bah vivre dignement de son travail comment on fait ça alors c’est assez complexe et c’est c’est c’est un c’est en constante amélioration parce que que alors déjà de même des fois ils ont pas une connaissance parfois très précise en fait de leur PNL quoi de savoir exactement où sont le coups et cetera

    Donc c’est c’est aussi en s’appuyant bah sur des groupements donc typiquement sur le lait on on l’a travaillé ave un groupement qui qui a fait ça avec un système d’audit on a regardé les factures voilà donc ça on essaie de le faire et c’est vous qui proposez le prix

    Ou comment ça alors c’est c’est une discussion quoi c’est une discussion voilà eux ils proposent leur prix et puis bah oui généralement nous en fait on veut comprendre l’enjeu pour nous c’est de comprendre en fait comment nos prix sont par construction c’est vraiment comprendre derrière c’est quoi

    Votre structure de coût qui justifie un prix donné et et après bien sûr en prenant en compte quand même le marché l’évolution du marché voilà normalement quoi et sachant que on n’est pas toujours en direct avec zagri évidemment parce que nous on travaille avec des fabricants donc on nos produits sont

    Transformés au sens où voilà ils sont ils sont cuisiner par des des fabricants des usines donc c’est eux aussi qui achètent leur matières premières auprès des sauf que nous on demande bah d’avoir cette transparence auprès des fabricants pour savoir combien ils achètent auprès de leur producteur donc ça c’est ça que

    Je comprenne bien on parlait du du producteur le producteur vous allez lui dire ok moi j’ai envie de travailler avec toi et c’est tel fabricant c’est celui qui a transformé la matière première en un produit fini que tu vas les livrer oui ou oui et lui va te

    L’acheter à tel prix ça c’est un modèle et il y a un autre modèle qui consiste à aller voir les fabriqu et de leur demander avec qui il travaillent et vous assurer que leurs fournisseurs il respectent notre des charges quoi oui c’est ça et c’est aussi souvent ça que l’autre enfin les deux

    Parce que bah on travaille aussi avec des fabricants qui généralement sont dans une démarche aussi assez engagé d’un point de vue de ce qu’ils font et comment ils achètent et là il y en a suffisamment en nombre en capacité sur le territoire français ah oui mais enfin

    Oui en France on a énormément de d’entreprises de taille intermédiaire qui sont des fabricants on a un réseau de de fabricant qui est qui est vraiment très important en France autant la partie distribution est très concentrée autant la partie production elle est plus éclatée les fabricants de la même

    Façon que pour les producteurs pardon vous allez les rencontrer vous vous négociez un prix juste avec eux aussi oui mais oui oui bien sûr donc il y a une notion de prix juste donc c’est évidemment nous la enfin la différence c’est qu’on on a plusieurs cycles tarifaires par an c’est-à-dire

    Que bah en fait en fonction de l’évolution des matières premières on leur permet de rediscuter des prix ça peut être à la hausse comme à la baisse et après comme ça ça nous permet nous d’expliquer aussi et de repasser ses baisses au conso donc j’imagine qu’il y

    A plutôt des hausses que des baisses non ouais alors il y a eu il y a des baisses aussi là on en a eu quelques-unes au derniers cycle tarifaire donc c’est quand même dans les deux sens donc c’est c’est ça qui est intéressant parce que c’est évidemment c’est le le le le le

    Producteur vous les contrôler enfin il y a un cahier dé charges qui est partagé avec l’ d’expert comment ça fonctionne avec les fabricants c’est pareil c’est la même méthodologie ou c’est pareil on a on a un CAH dé chararge euh et on a une charte d’engagement initiale donc tout

    Le monde tous ceux avec qui on on décide de travailler signe cette charte c’est un engagement moral iniicial de de bien faire et puis après c’est un CAH de décharge voilà de de de production et nous de de sourcing de traçabilité surtout donc de savoir d’où vient chacun

    Des ingrédients qu’ mettent et que nous on puisse bah justement aller vérifier la filière derrière pour s’assurer qu’elle est qu’elle respond à not deschares dans les produits omis que vous vendez toutes les matières premières ne peuvent pas être présente sur le territoire français je pense par

    Exemple au chocolat enfin au cacao il y en a pas sur le territoire français il doit en exister d’autres oui comment vous faites pour vous sourcer et comment vous faites pour contrôler plus loin du territoire français finalement les les producteurs é produ qu’on dit oui tout ce qui est

    Exotique euh nous on a fait le choix dès le départ de s’appuyer sur des réseaux existants donc des acteurs qui font du commerce équitable depuis euh toujours parce que effectivement on n pas les capacités d’aller sur place que ce soit épis chocolat enfin donc on s’appuie sur pour le coup la

    Certification commerce équitable et très souvent bio d’ailleurs parce que ça apporte aussi cette certification là et c’est notamment avec agrossourcing Don qui fait ça depuis 30 ans qui a développé des filières locales et qui a un partenaire de confiance pour nous dont on sait que la la niveau d’exigence

    Est similaire au nôtre ok euh je fais une petite coupure sur l’aspect as production fabrication je crois qu’on a compris comment ça fonctionnait avant de parler de la distribution de la vente euh est-ce que tu peux nous parler de ce qu’est l’engagement enfin la certification

    Bicorp et pour vous ce que ça a imposé parce que quand j’ai eu Christian il y a 2 ans il y avait pas encore la certification bicorp qu’est-ce que ça et qu’est-ce que ça veut dire euh derrière ça être une entreprise à impact et comment ça se mesurer parce

    Que après derrière je voudrais qu’on parle de l’ensemble des critères pour mesurer ce que ça veut dire d’emprunte carbone et tout ça ou oui bah bicorp donc c’est une certification qui vient des États-Unis initialement donc c’est indépendant c’était des entrepreneur qui justement à l’époque avait cette vision de se dire

    Bah une entreprise doit pouvoir un impact positif pas que donc c’est c’est les 3P people profit Planet donc mettre les trois au même niveau et avec un un niveau veau d’exigence important et donc c’est un système donc c’est on passe pour être bicorp il faut déjà mettre

    Dans ses statuts que une petite phrase qui indique que justement on est ça on est un business qui met au même niveau ces trois enjeux et ensuite il faut passer un audit donc fait par donc bicorp eux-même qui qui viennent auditer donc on répond à un long questionnaire et en fait c’est basé

    Sur la preuve donc on répond une question donc sur différents critères donc il va y avoir la gouvernance la façon dont on traite les parties prenantes donc ça va être justement les clients les fournisseurs les employés donc plusieurs grosses catégories sur laquelle il y a des questionnaires on

    Répond et on apporte la preuve donc si on dit que on a une politique d’achat responsable par exemple bah il faut le prouver en montrant des factures une charte voilà donc chaque chose doit être vraiment prouvée et du coup on obtient des une notation et à la fin si on

    Atteint le seuil qu’il faut pour être bicorp on est bicorp et l’autre le le truc intéressant c’est qu’il faut montrer donc c’est tous les 3 ans la certification l’idée c’est de montrer pareil qu’on s’améliore à chaque fois donc c’est dans le c’est donc on peut rester bicorp si on s’améliore pas mais

    C’est quand même c’est un peu le le enfin pas sous-entendu mais c’est on attend queun entreprise bicorp elle montre une amélioration chaque année et pour nous bah c’était c’est en fait c’est c’est un peu une boîte à outils quoi c’est on regarde justement comment on peut s’améliorer on regarde notre

    Note sur chacun des critères et on se dit bah là on est peut-être pas très bon on peut s’améliorer qu’est-ce qu’on peut faire ça représente un vrai investissement pour l’entreprise de se faire certifier bicorp B je pense ça dépend de pas que financier oui de temps

    C’est sûr que c’est du temps et alors dans une entreprise comme nous qui encore une petite entreprise et surtout qui avait un peu enfin donous des notions de taille de l’entreprise juste pour quand oui bah nous tu vois donc la première année full opérationannée dernière on fait 1 million de de chip

    D’affaires on va faire plus du double cette année donc ça reste et et on avait 20 personnes l’année dernière on est un peu plus de 40 maintenant voilà donc ça ta d’entreprise et donc c’est et surtout nous on a une culture bah en fait depuis depuis le début comme on a cette culture

    De transparence et de traçabilité on reporte en fait on a des informations beaucoup de Data surtout et donc pour nous c’était pas très dur de de montrer que on fait ceci cela parce que on naturellement on va tendance à consigner beaucoup ce genre de choses et puis plus

    Tu as d’activité plus c’est plus c’est long quoi parce que chaque chose demande de d’êt audité donc je pense que une très grosse entreprise qui est pas du tout et surtout oui voilà c’est ça sur nous on est nativement bicor donc on s tout de suite pensé pour être une

    Entreprise à impact mais une entreprise qui l’est pas du tout et qui dev l’ impact entreprise à impact l’impact ça veut dire quoi et comment tu le mesures alors il y a le le plus il y a il y a différentes notions sur l’impact donc tu as les sujets environnement impact sur

    Le climat donc là la tuas évidemment ton bil en carbone combien toi en tant qu’entreprise tu génères de carbone mais qui est un prisme une faç une façon de regarder et puis il y a l’impact du business model est-ce que plus tu vends de produits plus tu nous nous l’impact

    Positif qu’on mesure c’est plus on vend produit plus l’impact positif pourquoi parce que on favorise des pratiques agricoles qui vont stocker du carbone plutôt qu’en émettre recréer de la biodiversité plutôt que la détruire et ça on le mesure chez nous via le Planet score euh c’est vraiment le plan plan

    Score détail Planet score c’est une notation environnementale développé par untit universel enfin je veux dire c’est quelque chose globaloui voilà donc c’est c’est c’est développé par l’ITAB qui est un institut indépendant qui est basé sur à la base une méthode assez donc analyse du cycle de vie carbone basée sur la

    Méthodeo agrébalist qui est celle de l’ADEM et en plus de ça il rajoute des critères sur biodiversité bien-être animal et c’est à l’échelle d’un produit donc en fait à l’échelle d’un produit pour nous je pas une sauce tomate on va regarder sur le Planet score va regarder

    Tous les ingrédients il va regarder le l’ingrédient tomate l’ingrédient oignon s’ y a de l’oignon et cetera et pour chacun il va mesurer en fait sur ces critères là donc la CV faire l’impact carbone plus les sujets biodiversité climat et cetera et ça à la fin ça donne

    Une note globale donc ABC N qui mesure en fait l’impact vraiment donc pour coup impact au sens global du produit donc le produit qu’on achète qui est le mieux qui est noté quelque part ça veut dire qu’ a le plus fort impact a un impact régénératif sur la planète oui alors

    C’est ça qu’il faut comprendre ou pas oui alors le plan score va pas dire régénératif parce que derrière on sait pas mesurer par exemple exactement combien de carbone tu as stocké dans le sol par contre tu sais de façon enfin il y a des me pour le calculer mais il faut

    C’est c’est assez complexe et tu c’est pas fait de façon systématique par contre on sait qu’effectivement quand tu couvres un sol plutôt que le lamouré bah en fait le carbone va rester dans le sol plutôt que d’être émis en atmosphère tu sais pas le mesurer au sens très concret

    Au sens en carbone justement mais quand tu dis par exemple que finalement plus on vend de produit plus on on répare quelque part je sais pas si c’est le bon M oui ça on régénère on régénère ça veut dire que les producteurs qui respectent ça

    Font du bien à la terre ah bah oui mais c’est c’est un concept qui qui est nouveau je pense pour beaucoup de gens dans l’ORD c’est c’est pour ça que quand je dis bah la griture peut devenir une solution en fait aujourd’hui en agitant un sentier les sols ils sont morts par

    Exemple donc des sols on est obligé de les perfuser justement avec des engrais parce qu’il y a plus de vie dedans donc il y a plus de microorganismes il y a plus de verre de terre il y a plus tout ça parce que justement d’une part on

    Labour les sols donc on retourne les sols donc tu détruis le système racinaire le système micorisien donc tout ce qui est pignons et cetera et c’est ces micro-organismes là qui en dégradant justement les couverts végétaux permettent d’enfoncer le carbone dans les sols et d’avoir un sol

    Qui est qui est bon qui est plein de nutriment en fait qui donc en retour va nourrir les plantes naturellement et cetera et avec aussi des impacts sur le cycle de l’eau parce que un sol où il y a des racines profondes il va permettre à l’eau de s’infiltrer dans les sols et

    Et donc de d’avoir on a beaucoup parlé là de bah des des problèmes d’eau en fait c’est aussi parce que on a des méthodes agricoles qui ont raser les arbres qui fait qu’il y a plus d’arbres dans les champs qu’il y a juste une seule culture que plusieurs mois dans

    L’année le sol il est découvert donc il est àu et du coup l’eau elle s’écoule dessus elle arrive pas à rentrer en profondeur et aller recharger une n fratique donc en fait c’est vraiment tous ces aspects là qui en en fonction de la façon dont fait l’agriculture soit

    On a un impact positif parce que on favorise ces ces phénomènes naturels en fait on les on va dans ce sens-là ou à l’inverse bah on empêche ces phénomènes naturels là de de d’avoir lieu alors je vais revenir sur la question que je t’ai posé tout à l’heure qui sur un champ

    D’une même surface qui est en en culture intensive va produire je dis n’importe quoi un rendement de 10 le le passé je pense que ça prend des années hein ça se fait pas ça se fait pas en un coup à une agriculture régénérative au bout de quelques années

    Qu’il faut attendre on est sur un rendement de combien on est pas 10 on est à moins tu vas potentiellement baisser les premières années en rendement mais à terme euh tu peux retrouver le même niveau ou quasiment parce qu’en fait tu peux mais c’est a

    Priori quand même un peu en dessous il y a pas de certitude en fait pour le coup il y a des modèles où on voit qu’on arrive parce qu’en fait il faut aussi réfléchir dans d’un modèle où là l’environnement il change donc avec les effets du du réchauement climatique sont

    Vraiment visible et donc tu vas avoir de plus en plus de phénomènes extrêmes et un champ en régénératif parce que tu vas avoir différents types de cultures euh tu vas mixer de différentes plantes différentes céréales ça veut dire quoi mixer c’estàd que tualternes une année

    Sur l’autre ou ça veut dire que tu oui alors tuatteints plus rapidement et puis même des fois au sein d’une même parcelle tu vas pouvoir mettre deux types de cultures différentes voir tu vas mettre par exemple des arbres et en dessous une culture et donc tu as des

    Interactions aussi en même temps de différentes de plantations et donc ça ça rend les champs plus résilients face à des phénomènes extrêmes typ cess typ inondation typ tout ça ou typer maladie et on sait que avec le réchement vient plus de maladie aussi parce que bah les

    Climats changent donc il y a de nouveaux types de maladie qui qui arrive là où avant on les avait pas donc en fait comme tu es en fait faut vraiment réfléchir en terme de risque et écosystème c’est pas juste le rendement un instanté c’est en fait si je prends

    Sur plusieurs années et tous mes risques climatiques qui vont qui qui créent ces effets là est-ce que à la fin j’ai produit plus ou moins d’un point de vue économique parce que c’est lié à ça aussi euh je reprends l’exemple de la parcelle en intensif qui produit 10 au

    Bout de quelques années on va dire qu’elle arrive à nouveau à produire 10 les 10 en en intensif je dis n’importe quoi ça coûte 100 et la pack en apporte 40 je sais pas quel c’est les c’est quoi le rapport de l’autre côté ça coûte 100 aussi 120 80

    Et quells sont les aides auxquels l’agriculteur a le droit alors tu vas tu vas avoir un si on parle CAPEX OPEX tu vas avoir un investissement initial parce que pour tu vas devoir changer de machine avoir différen justement un truc sans la bourse et une autre machine et C

    Donc tuas un investisement initial et ça c’est un vrai coûp pour les agriculteurs qui justifie que des fois ils arrivent pas à passer tout de suite le truc par contre en OPEX donc en coût opérationnel de René enfin d’avoir ton exploitation tu vas baisser tes coûps

    Parce que tu vas faire moins de passage de tracteur dans les champs vu que tu laboures pas tu va réduire les inentrants chimiques voir les supprimer à terme donc ça et une grosse partie de faon étaé justifié par l’augmentation du prix d’ chimique qui est liée à celle de

    L’énergie et on sait que bah a priori dans les prochaines années l’énergie va pas diminuer donc donc en fait en OPEC tu réduis tes coûts opérationnels et une fois que tu as atteint cet équilibre du coup tu as tu es repassé sur un modèle où tu arrives à une production qui est

    Qui qui est la même que ce que tu avais avant bah du coup tu as tu as un meilleure rentabilité économique sans compter toutes les externalités positives que ton exploitation a et par contre ce qui est important pour pas avoir une vision effectivement naïve de ce trucl c’est ces périodes de

    Transition comment tu les finances et comment tuas sur les risques parce que en fait des fois tu vas tester des choses c’est important de savoir aussi que en agriculture faut beaucoup tester itérer euh qu’on est en train de d’apprendre beaucoup sur ces nouveaux modèles de savoir ce qui marche ce qui

    Marche pas en fonction des des terrains de O de la météo enfin vraiment donc il faut c’est pour ça que ça met plusieurs années parce qu’il faut tester c’est quoi la durée moyenne ou je sais pas s’il y en a d’ailleurs mais enfin on

    Compte en quoi c’est 2 3 4 10 ans ça peut être entre 3 à 5 ans quoi ça dépend ça dépend vraiment des circonstances qui sont fait après on va passer sur l’autre sujet mais je trouve ça intéressant parce que c’est vraiment le début de la chaîne et c’est

    Clé les investissements il faut changer de machine pourquoi faut changer de machine et et les investissements on peut les comment dire le mot m’échappe mais les compter sur plusieurs années les oui je répartirah en fait en fait pourquoi tu changes de donc par exemple c’est c’est pas des tracteurs qui polluent

    Moins c’est des non c’est non non c’est vraiment différents types de machines donc par exemple on ce que s’appelle pour faire de la semence direct amortir voilà ça y est amortir oui faire de la semence directe donc c’est-à-dire quand tu laboures pas les sols tu as besoin de

    Tu tu sèes directement donc tu vas semer sur un sol où il y a encore des des végétaux et ça en fait pour semer tu as besoin d’une machine différente qui est capable de gérer cette particularité là donc tu as des choses comme ça tu vas investir des des des du stockage aussi

    Différents enfin des enfin voilà c’est il y a vraiment adapte l’outilfin de ouais industriel et de production il existe aucune aide là-dessus non et non et c’est d’ailleurs c’est à l’occasion je pourrais aussi parler de ce suellà mais on a un autre projet parallèle qui va justement permettre d’adresser ce

    Sujet de financement agricole il y a pas d’aide aujourd’hui là-dessus et normalement c’est aussi le rôle des coopératives donc les coopératives qui achètent les enfin les coopératives d’agriculteur qui justement permettent de d’agréger les besoins et d’investir et qui ont des des capacitésest plus important mais des fois elles ont pas

    Ces capacités d’investissement là ou des fois parce que en fait bah tous les agris de la coopérative sont pas sur de l’agriculture justement ils sont sur du conventionnel et ils ont pas la volonté d’aller sur du régénératif bah du coup il y a pas d’investissement fait et

    L’agriculteur lui tout seul il est pas en mesure de faire ces investissements là qui sont quand même conséquents donc il y a un vrai sujet de de financement aujourd’hui de la transition dernière question quand même sur l’agriculture c’est la dernière dernière est-ce qu’il y a des zones en France qui sont plus

    Réceptives à ce type d’agriculture ou alors c’est assez hétérogène et un peu partout on trouve on en trouve partout nous on travaille avec des degris vraiment dans tes les quasiment toutes les régions je pense après c’est vrai que historiquement il y a des grandes régions très intensives nord-defance la

    Bosse et cetera mais ça veut pas dire que dans ces régions là il y a pas aussi des agrés qui se posent des questions et qui font différemment très bien alors merci pour ça je voudrais qu’on parle maintenant de la distribution comment euh vous vous y êtes pris comment vous

    Vous y prenez aujourd’hui il y a plus uniquement le canal de vente e-commerce qui existe il y a aussi des épiceries qui qui vendent donc comment la distribution s’organise l’outil que vous avez en place là je me trouve quand on enregistre dans les bureaux à Montreuil

    Où il y a encore un Peet une petite zone de stock mais elle ne sert plus aujourd’hui que sur sur des échantillons on va dire c’est c’est c’est externalisé comment tout ça fonctionne et et puis ensuite pour aller sur les plans futurs de domomi vous avez levé 15

    Millions il y a pas très longtemps cet argent à quoi il va servir voilà deux questions distribution plan futur bah distribution donc nous on s’est on s’est créé comme une boîte enfin dnvb donc en ligne mais en fait très rapidement on a on a commencé à distribuer parce qu’on a

    Été contacté en l’occurrence c’était mon marché donc du groupe grand fr qui avait un nouveau concept il cherchait une épicerie et du coup c’est c’est comme ça qu’on est rentré aussi dans le modèle distribution donc aujourd’hui un client qui veut acheter omi il achète en direct sur notre site ou sur l’application ou

    Il il peut retrouver si il est à Paris il y a quelques magasins qui distribuent et partout en France maintenant effectivement à travers des petites épiceries donc on est vraiment multianal aujourd’hui en terme de distribution et c’est quoi la la répartition le en point de vente ça reste minoritaire j’imagine

    C’est largement online alors non en fait aujourd’hui plus de la moitié du de no revenu c’est c’est offline et c’est les magasins et c’est nous c’est ce segment là qui qui qui sur lequel on porte la croissance d’accord parce que c’est notion d’accessibilité et que il faut

    Quand même avoir en tête que 90 % des gens achètent leurs produits alimentaires en point de vente donc c’est le fait d’acheter ces produits alimentaires en ligne c’est pas pour plein de gens c’est pas un réflexe c’est pas quelque chose qu’ vont qu’ vont faire et puis et puis voilà les magasins

    Il y en a partout donc ça fait sens aussi pour nous de se retrouver là où les clients on envie qu’on sort et et surtout l’omnicanalité en fait elle est doublement bénéfique parce que par que bah le panier moyen d’un client qui qui est les plus élevés quand on a plusieurs

    Plans de vente potentiellement il va acheter là où il trouve et et donc pour nous c’est aussi plus de visibilité la grande distribution de dans cette affaire elle rentre en ligne de compte à un moment ou un autre c’est des réflexions que vous avez le retrouver les produits omis chez Carrefour chez

    Monoprix chez francprix bah nous oui enfin alors on on réfléchit à toutes les option parce qu’ encore une fois dans la notion d’être accessible au plus grand nombre il faut pas on peut pas se passer de la réflexion de est-ce que en distribution ou pas ce qui est important par contre

    Pour nous c’est de garder de pas être un produit en rayon perdu euh parce que bah il faut qu’on puisse justement expliquer ce travail- làà donc le côté régénératif et donc ce qu’on propose à ces magasins et qui qui a un bon écho c’est justement bah tout un accompagnement sur pour en

    Magasin avoir le corner dédié à l’alimentation régénérative qui est une façon pour eux en plus il le voient très positivement parce que ça c’est un c’est un vrai relais de croissance c’est quelque chose qui répond attend des consommateurs et qui leur apporte une différenciation en magasin et nous ça

    Nous permet bah d’exprimer en fait tout ce qu’on a à dire sur le sujet mon il y a quand même des exemples j’en ai enfin surtout un en tête qui fonctionne dans la grande distribution avec un discours qui est très fort c’est qui veut être le patron donc c’est qui

    Le patron par Pat pour le lait les produits laitiers en général je crois que tout le monde sait ce que c’est que cette marque et elle est bah au rayon lait il y a toutes les marques de lait dont celle-ci ouais euh ça c’est pas quelque chose vers lequel

    Vous avez envie d’aller en fait si si non non c’est intéressant c’est qu’ le patron bah on les connaît bien et ça nous a beaucoup inspiré aussi initialement sur la partie justement construction de prix euh en ajoutant nous l’angle vraiment environnement donc oui ils ont réussi quelque chose de de

    Formidable notamment sur le lait pas sur tous les produits mais le lait c’est vrai que ça ça a super bien marché de visibilité et de transparence et donc en fait nous effectivement c’est un peu la même logique parce que comme on donne cette transparence là sur le prix ça

    Nous permet aussi de trouver bah de justifier pourquoi ce prix-l dans les magasins et donc c’est on est assez bien enfin il y a une très bonne réception effectivement de ce message là auprès de des enseignes de distribution donc un jour ou l’autre ça va finir par arriver dans les grandes enseignes de

    Distribution produit oui oui certainement en tout cas pour les clients ça serait je pense une bonne nouvelle et aujourd’hui on est par exemple chez potager City donc qui est la nouvelle l’enseigne une enseigne du groupe Carrefour qui est justement sur les sujets locals bons produit et nous

    On fait toutes les prisseries chez eux donc la vant de la marque omi c’est que bah on couvre plein de besoins on est une marque vraiment hor référen d’ailleurs on a 230 références aujourd’hui qui couvre vraiment tout les les moments de consommation et en fait ça pour une épicerie ou un distributeur

    Bah c’est c’est c’est super parce qu’il y a une cohérence de gamme en fait ils ont un seul interlocuteur qui leur apporte toute une gamme de produits avec en complément de ce qu’ils vendent par ailleurs là en l’occurrence chez potage City ouais qui est le frais et donc là

    Bah toute la gamme est apportée en une fois donc ça veut dire aussi moins application moin de fournisseurs à gérer et ça veut dire bah une marque forte qui a quand même ce lien conso parce qu’on est vu quand même nous on a ce lien direct avec nos consommateur donc on

    Apporte aussi bah cette ces Insight clients qui sont intéressants et on a toute une un accompagnement sur comment mettre en valeur nos produits comment les vendre comment répondre à ces attentes là du consommateur sur la traçabilité sur l’engagement sur l’environnement donc c’est c’est assez unique en fait pour les distributeurs

    D’avoir d’avoir ça super transition vers justement la prise de parole euh on le voit bien on l’entend bien dans les propos que tu nous tiens il y a euh il y a un discours àortter des explications apportter que ce soit à la fois les r auprès des retailers mais aussi avant

    Tout auprès des consommateurs comment on fait pour passer un message de transformation enfin de changement des habitudes ou d’explication comment on prend la parole comment on organise cette relation avec ces consommateurs ouais alors bah nous on est très effectivement dans la pédagogie donc on produit beaucoup de

    Contenu euh assez euh bah voilà sur sur ce qu’on fait sur on met en avant nos producteurs nos transformateurs on a un lien assez bah fréquent avec nos clients qui qui sont assez demandeurs justement de ce contenu là donc on est évidemment présent sur les réseaux mais on ENIT

    Aussi bah via des des newsletters via de la production de contenu on va aller aussi de plus en plus vers la vidéo on fait des vidéos à la rencontre de nos producteurs de nos fabricants et cetera donc et et et on en est capable et ça aussi c’est c’est notre unicité c’est

    Parce que on a nous ce lien direct avec les producteurs et les fabricants et une relation de confiance aussi qui fait que bah si il nous invite à venir voir aussi chez eux et on est capable de faire ce contenu là et donc et ça on l’amène au

    Conso justement bah c’est que vous êtes potentiellement amené à faire un mini reportage sur un un un producteur ou un fabricant pour le rendre compte oui apporter la preuve finalement visuelle de comment ça fonctionneou ouais exactement et on voit VO que bah les les consommateurs ils sont avides en fait de

    Connaître les dessous de leur alimentation en fait et ça nous bah on est capable de le faire en terme de de CRM de ou en terme oui de CRM de Data vous avez enfin c’est c’est quelque chose qui est clé chez vous ah oui oui on a bah tous les trucs classiques

    Onboarding des clients on les suit en fonction de leur moment de consommation dans comment vous faites avec ceux qui sont offline bah alors les offline effectivement c’est impossible d’avoir stratégie prise de parole différente vis-à-vis d’ux que vis-à-vis des clients online oui bah forcément parce que offline ça va être du coup c’est c’est

    Comment le produit est présenté donc et typiquement c’est pour ça que là on a on a reform enfin on a retraahi sur nos packaging pour faire apparaître le Planet score sur le packaging donc et avec le petit donc le QR code qui est ai sur le packaging qui peut scanner pour

    Avoir toutes les informations fiches produit mais le plan score très visible qui donne en un coup d’œil le côté bah justement preuve et avec de la PLV donc la du du mobilier magasin qui explique aussi avec des super visuels où tu on voit la grille on voit le le champ et

    Cetera qui explique justement tout ça donc c’est beaucoup plus du visuel et du physique aussi parce que bah forcément il est il est en magasin vous arrivez à voir s’il y a une si certains clients offline passent online euh c’est encore difficile à dire on a quelques des occurrences parfois des

    Clients qui vont nous dire ah oui je vous ai vu dans tel magasin mais ça c’est difficile à mesurer aujourd’hui on n’est pas capable de lu dire et je pense que malgré tout je pense c’est c’est des clientèles assez différentes à pri et justement à propos de clientèle c’est

    Qui les le client type ou les clients types des produits omi est-ce que c’est monsieur et madame tout le monde ou ou géographiquement est-ce que c’est plutôt des urbains ou pas alors c’est principalement des femmes quand même je pense ça c’est le le fait que c’est encore malheureusement beaucoup les

    Femmes qui F les cours 70 % entre 30 et 45 ans pas mal enfin de C C âge là souvent d’ailleurs c’est premier enfant ou alors pas forcment des familles c’est qu’on a aussi beaucoup de familles donc un enfant ou deux enfants et par contre réparti assez urbain mais pas que c’està

    Dire c’est assez bien réparti sur le en France grande ville et plus ville moyenne donc en fait c’est c’est pas tant Paris finalement c’est bon a Paris mais c’est peut-être 20 % Paris région parisienne et le reste c’est un peu toute France merci je viens de me rendre

    Compte qu’il y a une question qu’on a enfin que j’ai commc aborder mais j’ai pas la réponse c’est quoi les projets c’est quoi la suite Domi je l’indiquis là les 15 millions d’euros ils vont permettre de financer des choses c’est quoi la suite de l’histoire ouais bah la

    Suite de l’histoire c’est justement nous on veut devenir la référence du bien manger en France donc être connu dans tous les foyers donc il y a un vrai investissement sur les sujet communication on a fait une campagne télé cette année et on va accompagner un peu donc tout ce discours là de

    Communication pure et puis c’est vraiment accessibilité donc aide dans de plus en plus de magasins donc vraiment le segment des épiceries qu’on qu’on accompagne avec là on ouvre un service pro aussi donc une plateforme de commande en ligne pro donc pour les professionnels pour faciliter justement la la prise de commande et également

    Grande enseigne pour pouvoir être présent aussi sur tout le territoire donc ça c’est le plan stratégique sur les les prochaines années he il y a pas d’international pour l’instant alors pas là dans l’immédiat on va dire prochains 18 mois mais à terme oui l’idée c’est quand même qu’on pourra appliquer ce

    Modèle là en Europe ok écoute Joséphine merci pour pour toutes ces explications cette conversation de grande qualité je pense que comme moi beaucoup d’auditeurs auront appris des choses durant cet entretien euh si on veut te contacter c’est LinkedIn le meilleur des moyens ouais LinkedIn ouais sinon vous allez

    Sur sur omi vous tapez omi dans Google et puis vous arriverz tout de suite sur le site euh ou télécharger l’app merci à vous tous qui écoute vous êtes toujours aussi nombreux et merci pour les messages que vous m’envoyez de soutien merci à com exposium avec le One Toone retail

    E-commerce de Monaco pour le support apporté à cet épisode et puis je vous dis à très bientôt au revoir Jine au [Musique] [Applaudissements] [Musique] revoir

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