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    La Bible l’un des livres les plus influents et les plus lus de l’histoire de l’humanité est souvent considéré comme un texte unique et divinement inspiré cependant une exploration plus approfondie de ses origines révèle des liens fascinants avec les anciennes mythologies sumériennes certains des textes religieux les plus anciens connus

    Au monde ces réciss anciens gravés en écriture quee forme sur des tablettes d’argile il a des milliers d’années en Mésopotamie présente une fascinante tapisserie de Dieu d’histoire de création et de saga épique de nombreux chercheurs ont noté des parallèles frappants entre ces anciens mythes Sumériens et diverses histoires de la

    Bible suggérant un héritage culturel et mythologique commun qui s’étend sur des millénaires cette exploration des mystères de la Bible à travers le prisme des anciens textes sumériens ouvre un monde où ou myth histoire et théologie s’entrelassent offrant une nouvelle perspective sur les racines des contes bibliques rejoignez-nous dans un voyage

    Extraordinaire alors que nous découvrons les liens incroyables entre la Bible et certaines des plus anciennes civilisation de la terre préparez-vous à de nombreuses révélations alors que nous plongeons dans l’odysée captivante des origines secrètes de la Bible un récit qui se déroule à travers les mythes les échos et les récits entrelacés du monde

    Antique les histoires sont l’élément vital des civilisations humaines tissant le tissu des cultures et façonnant les récits qui définissent les sociétés dans la riche tapisserie de la littérature ancienne du Proche Orient la Bible hébraïque témoigne des diverses influences qui convergent pour former ses histoires profondes souvent appelé

    Le torora ou le tanac la Bible est une mosaïque d’œuvres différentes rédigé par divers écrivains sur une longue période étonnamment l’une des principales sources d’inspiration de ces écrivains étaient les anciens Sumériens une civilisation qui a prospéré en Mésopotamie de 4000 à 2000 avant notre ère les Sumériens ont laissé derrière

    Eux un héritage d’histoire et de mythes complexes qui transcendaient les frontières de leur civilisation ces récits ancrés dans les pages sacrées de la Bible hébraïque révèlent un lien profond entre les deux cultures le mythe sumérien de la création connu sous le nom d’enuma Lich partage des similitude

    Frappante avec le récit de la création dans la Genèse les deux histoires abordent les thèmes de l’ordre émergent du chaos et de la séparation du ciel et de la terre dans Genèse 1 la terre est décrite comme vie des sombres avec l’Esprit de Dieu se déplaçant sur l’eau

    Faisant écho au récit sumérien les Sumériens dans leur répertoire mythologique ont également présenté un récit du déluge dans l’épopée de gilgamesche entérieur à l’histoire biblique de l’Arche de Noé les parallèles entre ces deux récits sont remarquables impliquant la construction d’un arche la préservation des animaux et le lâcher

    D’une colombe pour trouver la terre cela suggère une influence potentielle du mythe sumérien sur l’histoire biblique du déluge en plus de leur contribution mythologique les Sumériens ont jeté les bases de codes juridiques notamment le code sumérien d’ouramou ce cadre juridique a exercé une profonde influence sur les codes juridiques

    Ultérieurs de l’ancien Proche Orient notamment se trouverver dans les livre de l’Exode du Lévitique et du Deutéronome de la Bible hébraïque le concept œil pour œil d’ pourdan trouve un écho dans les traditions juridiques sumériennes et bibliques au-delà là des Sumériens la ville d’Ougarit située dans la Syrie actuelle apparaît comme un

    Autre nœud influent dans le réseau des récits anciens actif à la fin de l’âge du bronze de 1400 à 1200 avant notre ère le texte cune forme dougarit fournit des informations cruciales sur l’identité religieuse et culturelle de l’ancien proche- Orient le texte de Bahal un texte garitique racontant des mythes sur

    Le dieu cananéen raisonne avec des thèmes trouvés dans les Psaumes du cycle hébreu ces textes garitiques contribuent non seulement à la compréhension de la mythologie cananéenne mais aussi à mettre en lumière les rituels complexes associés au culte de diverses divinités les chercheurs suggèrent que ces rituels pourrai avoir laissé une marque

    Indélébile sur les pratiques culturelles Israélites influant la structure et le contenu des psaumes bibliques alors que nous poursuivons notre exploration des influences anciennes sur la Bible hébraïque et chrétienne nous trouvons également de nombreux liens avec l’Égypte ancienne la Bible notamment dans le récit de l’Exode présente des similitudes frappantes avec la

    Littérature égyptienne le thème d’un sauveur choisi engagé dans une bataille contre un dirigeant puissant raisonne dans les deux traditions au-delà des parallèles narratifs la Bible hébraïque incorpore des symboles et des images religieuses le prophète Ezéchiel par exemple utilise des symboles rappelant l’iconographie religieuse égyptienne pour transmettre ces messages l’influence s’étend à la

    Représentation des pharaons comme des dirigeants forts s’alignant sur les image faisant autorité associé aux dirigeants égyptiens même des objets comme la pierre et d’zéchia portent des traces d’influence égyptienne marqué par une arche égyptienne de plus les psaumes de la Bible hébraïque chant d’Adoration et de louange présente des similitudes

    Structurelles et thématiques avec les hymnes et les prières égyptiennes la convergence des éléments culturels et religieux met en évidence l’interaction complexe entre ces civilisations anciennes au sein du panthéon des influences de la Bible hébraïque les Cananéens sont apparus comme une force centrale dans le façonnement du paysage religieux habitant la région qui englobe

    Aujourd’hui Israël la Palestine le Liban et certaines parties de la Jordanie et de laassyrie les Cananéens adorai une multitude de dieux chacun ayant des attributs et des rôles distincts la divinité principale de la religion cananéenne elle partageait un nom avec le Dieu dans la Bible hébraïque dans les anciennes langues sémitiques elle était

    Un terme utilisé pour désigner un dieu ou une divinité dans le contexte de la my myologie cananéenne elle était un dieu important souvent représenté comme un vieil homme avec une barbe symbolisant la sagesse l’autorité et le leadership Bahal une divinité cananéenne importante associée aux tempêtes à la fertilité et à l’agriculture brandissait

    Un éclair signifiant le contrôle de la nature ashira l’épouse d’elle a assumé le rôle de la Déesse Mère incarnant la fertilité la maternité et les éducation sa représentation comprenait souvent des arbres ou des poteaux sacrés anath déess de la guerre était un symbole de bataille de violence de protection et de sagesse

    Astaré également connu sous le nom d’ashtoret était la déesse de l’amour de la beauté et de la sexualité protégeant la fertilité dans la reproduction humaine et l’agriculture Dagon un dieu aux attributs de poisson présidait à l’agric culture aux céréales et à la fertilité dans la tapisserie complexe des croyances cananéennes Yahweh souvent

    Associé à une région ou à une tribu spécifique se distinguait du Panthéon cananéen plus large l’assimulation des croyances cananéennes dans la religion israélite en évolution fut un processus complexe et progressif elle étant finalement intégré au culte de yahweé le culte de yahweé au fur et à mesure de

    Son évolution a des éléments d’un conseil divin comprenant des dieux inférieurs un motif enraciné à la fois dans les croyances cananéenne et israélite primitive la Bible hébraïque reflète cette continuité mettant en valeur l’impact durable des mythes Cananéens des pratiques religieuses et des échanges culturels sur l’identité monothéiste émergente des Israélites les

    Juifs éléphantins sont apparus comme une étude de cas fascinante sur le syncrétisme religieux cette communauté juive résidant dans l’ancienne ville d’Éléphantine sur une île du Nil au 5e siècle avant notre ère a laissé derrière elle une collection de documents connus sous le nom de papyus éléphantin les papyus éléphantins

    Offrent une fenêtre unique sur les croyances et pratiques religieuses de cette enclave juive au milieu du culte dominant de yahoueh un mélange syncrétique d’éléments des traditions égyptiennes et cananéennes est évident ce sycré isme s’incarne dans la coexistence du culte de yahweé au côté de pratiques qui reflètent l’environnement religieux local les

    Juifs éléphantins ont construit et entretenu un temple dédié à Yahwe sur l’île positionnant Yahweh comme leur divinité principale cependant parallèlement au culte de Yahwe les Juifs d’Éléphantine se livraient également à la vénération d’autres dieux et déesses dont achera cette diversité religieuse remet en en question les notions simplistes de monothéisme à

    Certaines période de l’ancien Israël et soulligne la nature complexe de l’identité religieuse dans des contextes multiculturels les Juifs d’Éléphantine ont trouvé un équilibre délicat entre le matien de leur identité religieuse unique centrée autour de Yahweh et l’incorporation d’éléments des traditions religieuses égyptienne et cananéenne environnante cette approche nuancée révèle l’interaction de diverses

    Influences culturelles etadaptabilité des croyances religieuses dans des contextes multiculturels alors que nous réfléchissons sur les Juifs et lesé fantins leur pratique syncrétique nous invite à reconsidérer la notion d’identité religieuse monolithique et rigide dans l’ancien Israël au lieu de cela le paysage religieux semble caractérisé par la fluidité l’adaptation

    Et la volonté d’incorporer des élément issus de divers contextes culturels la compilation de la Torah le texte fondateur comprenant les cinq premier livre de Moïse de la genèse de l’Exode du Lévitique des nombres et du Deutéronome reste un sujet d’enquête et de débat scientifiqu bien que la chronologie exacte de la compilation de

    La Torah soit difficile à cerner les éudit s’accorde généralement sur le fait qu’elle a pris forme sur une longue période atteignant probaement sa forme finale après le retour des Israélites de l’exil babylonien l’exil babylonien période charnière de l’histoire israélite de 586 à 538 avant notre ère marqué par la destruction du

    Premier Temple de Jérusalem et l’exile ultérieur d’une partie importante de la population a joué un rôle crucial dans le développement de la littérature israélite et la pensée religieuse pendant et après les exil babylonien les Israélites ont connu de profondes transformations culturelles et religieuses la préservation et la transmission de leur héritage religieux

    Sont devenus une préoccupation centrale incitant à la compilation et à l’édition de divers textes dans un récit cohérent ce processus de rédaction textuelle impliquait la collecte et l’organisation de diverses sources littéraires pour créer une écriture unifiée et faisant l’autorité l’hypothèse documentaire un cadre scientifique largement accepté postule que la torora est composée de

    Multiples documents sources chacun reflétant des traditions littéraires des styles et des accents théologiques distincts les quatre sources principale identifié par l’hypothèse documentaire sont la source yahoiste l’éloïste le deutéronomiste et la sources sacerdotal ces sources provenant de différentes périodes historiques et reflétant diverses perspective théologique ont été tissés ensemble par des éditeurs

    Ultérieurs pour former le texte composite de la Torah la source yahouiste souvent caractérisée par son utilisation du nom divin yahoueh et son style narratif vif apporte des parties importantes de la Genèse et des parties de l’Exode la source hloïe employant le terme Elohim pour Dieu occupe une place

    Importante dans diverses sections de la genèse de l’Exode et des nombre la source deutéronomiste centrée sur le livre du Deutéronome met l’accent sur les thèmes de l’Alliance et de la loi influençant des sections du Deutéronome de Josué des juges de Samuel et des rois la source sacerdotale caractérisé par

    L’accent mis sur les rituel les généalogies et les questions juridiques et répandu dans la génèse l’exode le Lévitique et les nombres le processus de compilation et de rédaction visait à créer un récit cohérent et faisant autorité qui transmettait l’identité religieuse l’histoire et les traditions juridiques des Israélites le texte qui en résulte est

    Devenu une écriture fondamentale pour la communauté juive et plus tard également pour les chrétiens dans la tradition biblique les châtiments divins sont intégré dans le tissu de divers récits comme moyen de faire respecter la discipline morale et et de restaurer l’ordre cosmique des exemples notables incluent l’expulsion d’Adam et Ève du

    Jardin d’Eden en raison de leur désobéissance le grand déluge en réponse à la corruption et à la violence généralisée et la destruction de Sodome et de gomor en raison de leur pratique pêcheresse ces récits mettent l’accent sur la notion d’un Dieu juste qui intervient pour maintenir l’équilibre moral utilisant les punitions comme

    Mesure corrective visant à guider l’humanité vers le droit chemin la description biblique des châtiments divins s’aligne souvent sur le concept d’alliance un accord sacré entre Dieu et le peuple élu comme les Israélites la rupture de cette alliance entraîne une rétribution divine mettant l’accent sur l’idée théologique selon laquelle l’obéissance au commandement divins fait

    Partie intégrante de la préservation d’une relation harmonieuse entre Dieu et l’humanité de même dans la mythologie sumérienne les dieux assument le rôle d’arbitre de l’équilibre cosmique utilisant leur pouvoir pour infliger des punitions lorsqu’ils perçoivent une perturbation dans l’ordre divin dans l’épopée d’atraasis les dieux décident d’envoyer un déluge pour punir

    L’humanité de sa surpopulation et de son bruit reflétant un récit parallèle à l’histoire biblique du déluge la décision des dieux de déchaîner des forces destructrices sur l’humanité rappelle leur autorité et les conséquences des actions humaines qui perturbent l’équilibre cosmique de plus les mythes Sumériens décrivent des cas

    De punition divine comme une réponse au défi lancé à la hiérarchie divine le mythe des actions punitives d’Enlil contre l’humanité cherchant à réduire leur nombre à travers diverses calamités illustre le rôle des dieux en tant qu’exécutant de la justice divine en dévoilant les complexités de l’évolution

    De la torora nous obtenons ont un aperçu de l’interaction dynamique des événements historiques des changements culturels et des réflexions théologiques qui ont contribué à la formation de ce texte fondateur la torora avec ses sources diverses et sa composition stratifiée témoigne du processus complexe de préservation d’adaptation et d’interprétation de l’héritage religieux

    De l’ancien Israël dans la vaste étendue de l’histoire humaine les histoires ont servi de vieur de transmission culturelle transportant la sagesse les croyances et l’imagination collective des civilisations à travers les âges en parcourant les mondes antiques de Sumer de l’Égypte de Canan et au-delà il devient évident que les histoires les

    Croyances et les influences culturelles ancrées dans ces civilisations façonnent de manière significative le monde de la Bible la Bible apparaît comme une mosaïque tissée à partir des fils de mythologies anciennes des grandes aventures de gilgamèche et des batailles cosmiques de bal aux hymnes des dieux égyptiens et au Panthéon complexe des

    Divinités cananéennes la Bible s’appuie sur une riche tapisserie de récit de symboles et de concepts religieux le processus d’échange culturel d’adaptation et de réinterprétation est un thème récurrent dans le développement des traditions religieuses et littéraires alors que la Bible B hébraïque prenait forme au fil des siècles ses auteurs et éditeurs se

    Sont engagés dans une synthèse créative des histoires existantes les remodeland en un nouveau récit véhiculant les enseignements religieux historiques et moraux de la communauté israélite le fait de relier des points entre les mythologies anciennes de la Bible nous invite à explorer les thèmes universels et les vérités inhérentes au sein de ces

    Divers récits alors que chaque civilisation exprim mais son identité culturelle unique les motifs communs de création de déluge de rencontre divines et de principes éthiques révèle une quête humaine commune de sens de compréhension et de connexion avec le divin en démêlant le réseau complexe d’influence qui façonne la Bible nous

    Acquérons une appréciation plus profonde de l’interdépendance des cultures humaine et du pouvoir durable de la narration les mythes anciens autrefois disparate et dispersé à travers le monde antique trouve une résonance collective dans les pages de la Bible c’est un témoignage de la nature intemporelle de la narration humaine où les échos du

    Passé continuent de se répercuter à travers les récit qui définissent notre patrimoine commun dans le récit biblique le livre de la Genèse dévoile l’acte majestueux de création orchestré par le divin la description de la création humaine raisonne avec une résonance poétique alors que Dieu façonne le premier humain Adam à partir de la

    Substance même de la terre alors le Seigneur Dieu forma l’homme de la poussière du sol et insuffla dans ses narines le souffle de vie et l’homme devint un être vivant ces actes métaphoriques consistant à façonner l’humanité à partir de la poussière signifi un lien profond entre le terrestre et le divin soulignant l’idée

    Que les humains sont intimement liés au tissu même du monde de même dans les mythes de l’ancienne sumère la création de l’homme se déroule d’une manière remarquablement analogue les dieux dans leur prouesse créatrice façonnent les premiers humains à partir des éléments fondamentaux de la terre l’argile ou la

    Boue cet acte est illustré dans l’épopée d’atraasis où la DS nintou crée des humains à partir de l’argile de l’ABS l’océan de douous primordial cela ressemble à la application du dieu sumérien Enki dans la création d’humain à partir d’un mélange d’argile et du sang d’un Dieu lors donnant ainsi la vie

    Le symbolisme commun de l’utilisation d’éléments terrestres qu’il s’agisse de poussière dans le récit biblique ou d’argile et debout dans les mythes Sumériens reflète une profonde compréhension de l’interconnexion de l’humanité avec le monde naturel le choix de tel matériaux soulligne non seulement les origines modestes de de l’homme mais également son lien inhérent

    Avec le cosmos plus vaste les deux récits suggèrent que l’acte de création implique une touche divine insufflant la vie à la forme terrestre et la dotant d’une naissance sacrée alors que nous parcourons ce voyage à travers le temps et la culture reliant les points entre les mythologies anciennes et la Bible

    Nous nous rappelons la richesse de notre expérience humaine collective les histoires qui ont été transmises de génération en génération que ce soit sous la forme de tablettes cunéformme de papyrus ou d’écriture sacrée continue de façonner notre compréhension de qui nous sommes d’où nous venons et de ce que signifie faire partie d’une tapisserie

    Plus vaste de l’humanité dans les couloirs labyrintiques des mythologies anciennes l’histoire d’Esther et Mardoché dans la Bible hébraïque trouve une résonance intrigante avec l’ancien mythe mésopotamien d’ichtar et tamous les parallèles entre ces récits séparés par le temps et les contextes culturels nous invitent à démêler les fils d’un compte intemporel qui transcende les

    Frontières culturelles l’histoire d’ichtar et de tamous se déroule dans le paysage mythologique de l’ancienne Mésopotamie ichtar la déesse de l’amour de la beauté de la fertilité et de la guerre descend aux enfer pour tenter de sauver son amant tamous la descente d’ichtar dans le royaume des morts

    Marque un moment charnière dans le mythe conduisant à la résurrection de tamous et à la restauration de la fertilité de la terre dans le récit biblique d’Esther nous rencontrons un décor et des personnages différents mais la résonance thématique avec le myth dtaramous est frappante Esther reine juive de l’Empire

    Perse risque sa vie pour intercéder en faveur de son peuple le récit culmine avec une tournure dramatique des événements conduisant au sauvetage de la communauté juive de la menace d’anéantissement le courage et l’intervention d’eser peuvent être considérés comme une forme de résurrection une délivrance d’une catastrophe éminente les parallèles

    Entre ces histoires s’étendent au-delà de la structure narrative pour englober les thèmes du sacrifice de l’intervention et de la restauration de la vie dans les deux comptes une figure féminine joue un rôle central dans la navigation dans les royaumes précaires de la vie et de la mort la descente

    D’ichtar aux enfers reflète l’approche courageuse d’Esther auprès du roi perse risquant sa vie pour sauver son peuple alors que nous dévoilons les liens entre Esther et ichtar nous sommes confrontés au pouvoir durable de certains motifs archétypaux dans la narration humaine dans les pages de la Bible la relation

    Humaine divine se caractérise par des interaction directe entre dieux et des individus ou des communautés cette interaction prend souvent la forme d’orientation et d’instruction les prophètes reçoivent des messages divins les patriarches sont dirigés par la direction divine et les communautés reçoivent des instructions éthiques et morales par exemple l’histoire de Moïse

    Recevant les 10 commandements sur le mont Sinaï incarne cette implication divine directe façonnant le cadre moral des Israélites tout au long des récits bibliques la communication de Dieu avec l’humanité sert de source d’orientation offrant une boussole morale pour une vie juste de même dans la mythologie sumérienne Dieu s’engage activement

    Auprès des humains assumant des rôles d’instructeur de protecteur et occasionnellement d’exécutant de la justice divine Enki le dieu de la sagesse est souvent décrit comme une divinité bienveillante qui transmet connaissance et conseil à l’humanité dans l’épopée d’atraasis Enki explique à ise comment échapper à la colère des dieux grâce à la construction d’une

    Arche un récit faisant écho aux histoires d’inondations ultérieures cependant la relation humaine divine dans les mythes Sumériens n’est pas uniquement bienveillante les dieux comme un lil exerce également le pouvoir de punition dans l’épopée de gilgamesche les dieux décident d’envoyer un déluge pour punir l’humanité mettant en valeur une intervention divine directe qui te

    Le récit biblique du déluge cet aspect punitif de l’interaction divine soulligne la croyance en la justice et le châtiment divin au sein de la cosmologie sumérienne le thème commun des dieux ou de Dieu interagissant directement avec l’humanité souligne la croyance en un ordre moral régi par des principes divins qu’il s’agisse de

    Guider de transmettre la sagesse ou d’infliger des punitions les forces divines des deux traditions par participe activement à façonner le destin des individus et des civilisations ce motif commun témoigne du besoin humain d’une autorité transcendante une force qui non seulement donne une orientation morale mais impose également une conduite

    Éthique par une intervention directe lorsque cela est jugé nécessaire dans l’étude comparative des visions de l’au-delà deux perspective globale émerge chacune chargée de détails unique et de nature nuancée bien que tous deux partagent le principe fondamental d’une existence au-delà de la mort physique les divergences dans leur spécificités

    Ajoutent des niveaux de richesse à la compréhension de ces récits culturels et religieux en examinant ces visions de l’au-delà un fil conducteur les relie la reconnaissance que la vie transcende le domaine corporel les deux systèmes de croyance affirme la continuation de l’âme ou de l’essence dans un domaine

    Qui existe au-delà de de l’expérience mortelle ce fondement commun reflète une impulsion humaine universelle à chercher un sens face à la moralité et à envisager une réalité dans laquelle la vie persiste sous une forme ou une autre cependant le diable réside dans les détails et c’est dans les détails de ces

    Visions de l’au-delà que la divergence devient apparente la nature de l’au-delà son paysage et les expériences qui attendent les âmes des défuns va considérablement dans l’ancienne cosmologie sumérienne l’au-delà était envisagé comme un royaume obscur sous la terre souvent appelé monde souterrain ou cure ici le défunt s’est lancé dans un

    Voyage vers le monde souterrain navigant dans un réseau complexe de portes et rencontrant diverses divinités les Sumériens croyaient en un double destin pour les défunts influencé par leurs actes de la vie quelques chanceux pourrait se retrouver dans le royaume des riches kigal bénéficiant d’un semblant de confort tandis que d’autres

    Affrontaient un voyage plus ardu à travers le cure désolé d’un autre côté les conceptions hébraïques de l’odola T que décrit dans la Bible hébraïque présentent un éventail de croyances évoluant au fil du temps les premiers concepts Hébreux de l’au-delà penchent vers le Chéol un monde souterrain obscur

    Où les justes et les méchants coexistent dans un état d’existence soumis cependant avec la progression de la pensée biblique en particulier dans les textes ultérieurs la notion d’un jugement plus individualisé et de destiné différencié à émerger des concepts tels que la Guen et la résurrection des morts ont pris de

    L’importance indiquant une évolution vers une compréhension plus complexe de l’au-delà notre conviction réside dans la certitude que les écrivains bibliquequ en racontant des histoires sacrées n’avaient aucune mauvaise intention ils se sont plutôt lancé dans une mission consistant à raconter des récits qui avaient une profonde signification au sein de leur culture

    Cette perspective devient encore plus éclairante lorsque nous nous engageons dans une analyse comparative des mythologies sumériennne cananéenne et égyptienne au côté des récits bibliques grâce à cette exploration une compréhension plus profonde des interconnexions socio-culturelles complexes entre ces civilisations anciennes émergent mett en lumière les thèmes et les motivations communes qui

    Soutendent leurs histoires les histoires tissées dans le tissu de ces cultures anciennes partage non seulement des points communs mais révèle également un échange historique d’idées et un processus d’intégration culturelle cette interaction entre les récits met en valeur la quête perpétuelle de l’humanité pour comprendre le monde et définir sa place dans la grande

    Tapisserie de l’existence par exemple la résonance entre le récit sumérien du déluge et le récit biblique de l’Arche de Noé va au-delà de la simple coïncidence il manifeste un thème commun de la catastrophe divine suivi du salut de l’humanité un motif narratif qui transcende les frontières culturelles de

    Même le conflit entre le dieu cananéen de la tempête Bahal et le dieu de la mer Yam trouve des échos dans la représentation biblique de Yahweh triomphant du chaos ces parallèles soulignent non seulement l’interdépendance des mythologies anciennes mais aussi la résonance universelle des thème enraciné dans l’expérience humaine la grandeur de la

    Cosmologie égyptienne telle que reflétée dans les descriptions du ciel et de la terre dans le livre de la Genèse illustre encore davantage l’enrichissement culturel résultant de l’échange d’idées entre les civilisations anciennes un exemple particulièrement captivant de cette interaction culturelle se déroule dans les récits parallèles d’Esther dans la

    Bible hébraïque et d’ichtar dans la mythologie sumérienne la synchronicité temporelle de ces histoires associée à leur congruence thématique symbolise la nature cyclique de la vie et les thèmes éternels de la mort et de la résurrection les noms mêmes d’Esther et d’ichtar deviennent des marqueurs symbolique de cette transition

    Saisonnière résumant la mort de l’hiver et la renaissance du temps Esther et ichtar femmes d’influence dans leur récit respectif interviennent de manière décisive pour sauver quelqu’un qui leur tient profondément à cœur et leur histoire culmine dans de joyeuses célébrations ces conclusions festives trouve des échos dans les festivals annuels dédiés à ces personnages

    Soulignant encore davantage l’impact durable de ces récit sur les pratiques culturelles et l’identité collective des gens alors que notre voyage à travers les origines secrètes de la Bible touche à sa fin nous vous invitons à devenir le gardien de ce trésor de connaissance si les murmures de Sumer les hymnes de

    L’Égypte et les contes de Canan ont raisonné en vous pensez à vous abonner à notre chaîne

    8 Comments

    1. Le problème avec vous, chrétiens, c'est votre ignorance des messages célestes, à cause de leur distorsion. Ce que vous prétendez, c'est que l'histoire du déluge et d'autres trouvées dans la Torah et l'Évangile ont été tirées d'interdictions antérieures et ne sont pour nous que des mythes. Musulmans. Nous savons par notre Coran que Dieu a envoyé des messagers et des prophètes à chaque peuple dans leur propre langue. Les Sumériens et les Pharaons ont pris une partie de ce qui arrivait dans leur propre langue. Les Messagers ont déformé et attribué certaines des lois. à de faux dieux, tout comme les chrétiens et les juifs l'ont fait lorsqu'ils ont déformé leurs livres. Adam fut le premier prophète, et après lui vinrent plusieurs, et tous étaient des êtres humains dignes de désobéir à Dieu. L'histoire du déluge était connue de tous. tous les peuples précédents, que ce soit ceux qui l'ont vécu ou à travers les messagers, comme une menace au châtiment de Dieu. Tous les messagers étaient des musulmans qui ont soumis leur volonté. À Dieu et à suivre Ses commandements, je vous invite à lire le Coran et vous comprendra beaucoup

    2. Merci, mais en quoi, non pas la bible, mais l’ancien testament, à avoir avec le Christianisme et le nouveau testament ? L’ancien testament est la thora du judaïsme… le catholicisme créé par Saul/Paul de Tarse sera peut-être détruit, pas le message christique… je vous conseille vivement la lecture des livres de Maoro Biglino…

    3. Si on enseignait l'histoire des Annunakis dans nos écoles et dans les médias, toutes les religions monothéistes s'effondrerait sur terre. Les religions monothéistes viennent de Josias un petit roi qui voulait affermir sa royauté en réécrivant l'histoire des hommes à son avantage, on le sait aujourd'hui avec les découvertes archéologiques et une histoire plus précise. Il y a un fond de vérité et beaucoup de bonnes valeurs certes dans ces religions, mais beaucoup d'omissions, d'inexactitudes, d'erreurs volontaires ou non. Mieux vaut aller à la source de la première civilisation sur terre, celle de Sumer, pour comprendre nos origines, donc notre destin. Vaut mieux un message originale qu'un message transmis avec le risque d'interprétation ou de manipulation, pour découvrir que nous vivons dans un grand mensonge depuis -640 av. J.-C. qui est à l'origine même de notre propre civilisation.

    4. Les civilisations de l’Inde mériteraient une exploration très sérieuse. Mais le gouvernement Indien n’est pas forcément favorable à accueillir les sciences et les archéologues occidentaux. Ce que je peux très bien comprendre…et pourtant je pense qu’il y a de très intéressantes connaissances à découvrir. Encore plus anciennes que la civilisation mésopotamienne.

    5. Des tablettes d'argile, de la simple boue séchée, peuvent-elles vraiment durer des milliers d'années, avec des textes gravés sur cette boue séchée qui restent parfaitement lisibles ?
      Cela relèverait du miracle !

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