Retrouvez notre webinaire «Enracinons l’avenir» où nous explorerons ensemble le nécessaire changement de paradigme face à l’artificialisation des sols en Centre – Val de Loire. Après l’organisation d’une formation de deux jours sur les enjeux du Zéro artificialisation nette en région Centre – Val de Loire, il nous a semblé essentiel de diffuser à un plus large public un condensé de cette formation.
Sommaire :
00:00 : Introduction
20:05 : Comment agir sur votre territoire – ARB CVL
48:25 : Exemples d’applications – CAUE 41
01:06:54 : Questions / réponses
Bonjour à toutes et à tous bienvenue à notre webinaire sur le zéro artificialisation net qu’on a appelé enraacinant l’avenir vers une artificialisation réduite et responsable ce webinaire est organisé grâce au financement du conseil régional et en partenariat avec l’Agence régionale de la biodiversité et du CAE du Loire et
Cher donc quelques éléments au préalable pour pour un bon de de ce webinaire donc vous avez possibilité de d’activer ou désactiver vos micro et caméras à l’aide de des petits onglets de micro et caméra et vous pouvez aussi intervenir à tout moment en levant la main donc vous cliquez sur réaction et
Ensuite vous avez une petite main levée pour lever la main ce qui nous permettra ensuite de vous donner la parole ou alors au cours des des présentations vous pouvez également utiliser l’onglet Discussion avec la petite bulle et pouvoir saisir votre votre message et nous nous gérerons la la réponse enfin on vous
Donnera des réponses en conséquence alors s’il est possible pour tous de désactiver les micros quand vous prenez pas la parole ce sera d’autant plus simple pour éviter les les bruits parasites on va dire donc aujourd’hui pour parler du Zéro artificialisation net dev avoir le rapporteur du du céser
Parmi nous Samuel senav mais il n’est pas disponible il a pas pu se rendre disponible finalement donc je vais prendre sa place pour réaliser l’introduction sur les enjeux du zan et les pistes de réussite pour atteindre cet objectif ensuite je laisserai la parole à Pascal Larmande de l’agence
Régionale de la biodiversité du centre val-deloire euh pour euh nous expliquer comment agir sur son territoire et enfin après un temps de question et d’échang il y aura aussi une troisième intervention de la part de Grégoire bruselier du Cau 41 qui nous donnera des exemples d’application concrètes sur le
Territoire donc tout d’abord pour la partie euh de de d’introduction euh voilà je vais vous rappeler d’abord un contexte historique et euh et vous donner quelques éléments de cadre législatif euh donc la loi on a parlé de d’économiser euh les les espaces depuis 2020 dans la loi Solidarité renouvellement urbain qui s’appelle la
Loi SRU donc ça c’est une première étape en France où on a on a parlé de de cette idée de de réduire l’artificialisation euh des des sols euh ensuite on a un deuxème élément dans la loi Grenel 2 en 2010 où il a été demandé l’établissement d’objectifs chiffrés de réduction de
Consommation d’espace dans les documents d’urbanisme donc les schémas de cohérence territoriale et les plans locaux d’urbanisme et puis plus récemment grâce à la loi climat et résilience de 2021 euh dans cette loi établi un volet sur le zéro artificialisation net le fameux Z avec identification d’objectifs chiffrés et
Puis tout récemment en juillet 2023 il y a une nouvelle loi qui qui a été actée qui vise à faciliter la mise en œuvre des objectifs de lutte contre l’artificialisation des sols et à renforcer l’accompagnement des élus locaux donc qu’est-ce que c’est que ce zan ben ça consiste à deux processus
Tout d’abord un premier processus lié à la consommation d’enaf donc ENAF c’est espace naturel agricole et forestier donc la consommation d’espaces naturel agricole et forestier qui vont changer d’usage des sols et qui vont se transformer en sol urbanisés donc ça c’est premère la première étape qui est depuis la loi 2021 jusqu’à 2031
Et donc consiste à diviser de moitié la consommation de des espaces observés entre la période 2011 à 2021 et il y a eu une petite précision liée à la loi de juillet 2023 et pour la région Centre on est finalement à une réduction de 54,5 %. à ne pas confondre avec la deuxème
Étape un peu plus mointaine de ce processus de cet objectif de artificialisation net qui cette fois-ci pas parle de l’artificialisation des sols et donc là on est vraiment euh dans le la changement de de la fonctionnalité du sol c’est une altération l’artificialisation c’est l’altération durable de tout au parti des sols et
Donc de leur fonction écologique euh que ce soit biologique hydrique ou climatique et donc cette artificialisation change l’occupation ou l’usage du sol et donc d’ici à 2050 et bien euh nous aurons à euh à à comment dire à faire en sorte que toute tout sol qui sera artificialisé doit être contrebalancé
Par une surface équivalente de sol renaturé pour arriver à un zéro artificialisation net si on continue maintenant sur les effets négatif et cumulatif de l’artification des sols donc il y a un constat partagé en en France depuis une vingtaine d’années en France et ailleurs comme quoi l’artificialisation des sols
Entraîne une destruction de la biodiversité donc on perd des sols fonctionnels euh fragmente les espaces et tout ça a incidence sur la fonctionnalité écologique euh de de nos écosystèmes et de nos sols avec des phénomènes d’imperméabilisation des îles ha de chaleur qui entraînent des difficultés euh pour nos pour nos populations euh de
À s’adapter au changement climatique notamment et puis euh dernier constat c’est que cette artificialisation cette consommation euh de d’espaces naturels agricooles et forestiers met en concurrence euh notamment les enjeux de préservation nos espèces de culture qui sont indispensables à notre à notre autonomie pardon alimentaire euh ensuite si on poursuit
Vis-à-vis de l’artificialisation liée au logement et à l’habitat euh on observe qu’il y a une standardisation de de l’habitat avec des modèles toujours identiques de la construction avec des qualités de moins en moins Bonn des surcouts aussi lié euh pour les collectivités quand on fait des lotissements avec des des il faut
Toujours des voiries il faut étendre de plus en plus les différents réseaux électriques gaz et cetera et puis pour les ménages euh bah cette cette artificialisation de plus en plus loin euh des des centres villes euh bah ça entraîne des complications aussi des coûts euh pour la mobilité euh pour aller travailler
Centreeville et dans ce contexte d’urgence climatique comme j’ai dit juste avant euh il y a un risque aussi de renforcement important des inégalités euh bah avec le Péré urbain qui qui subit donc comme je dis dis les mobilités la précarité énergétique et cetera et donc dans la suite de ce
Constat euh enfin ce modèle qui est consommateur d’espace on connaî euh c’est 50 60 dernières années il y a un processus d’urbanisation qui s’est accéléré euh avec un modèle proné d’étalement urbain et de faible densité euh on le voit notamment dans les métropoles d’ORL une tour qui se sont
Étendu jusqu’à 30 40 km autour des centres des centresvilles donc le P urbain se développe énormément avec toujours un imaginaire collectif très puissant à savoir que euh pour réussir euh il faut être propriétaire d’une d’une maison individuelle placée au milieu de sa parcelle et ça ça n’aide
Pas non plus euh à à aller dans le bon sens mais aujourd’hui il y a des reconfigurations qui se font notamment avec le covid le développement du du télétravail euh le logement qui est utilisé tourisme euh la grande diversité dans les différents profils purbain et cetera et
Donc ça change mais le constat c’est qu’en centre valdoire il y a un rythme de consommation de ces espaces naturels agricoles et forestiers qui a qui a augmenté trois fois plus vite que la démographie en centrevaloir sur la période 2021 2 euh 2011- 2021 pardon et
Euh un chiffre parlant c’est que près de 14000 hectares ont été artificiéisé sur cette même période en région et la majorité 66 % euh sont liés à de l’habitat un autre constat cont pardon euh ce que dit le la loisanne euh en laisanne en centrreev de Loire c’est que pour
Euh notre priode 2021-2030 celle qui correspond à la partie consommation dont je parlais tout à l’heure et bien au final il y aura près de 7000 hectares qui seront consommables euh dans cette période là et par contre en 2050 euh comme je vous également euh il faudra que la totalité des
Territoires artificialisés soit et en contrepartie renaturé de la loi pour arriver à un artificialisation [Musique] voilà ensuite euh ce qu’on peut préciser aussi c’est que ce qu’on entend autour autour de nous et dans les médias c’est que le zan fait peur euh ça inquiète beaucoup les élus euh locaux parce que
Le zéro de zéro artificialisation net est ressenti comme un frein pour le développement des territoires et c’est d’autant plus ressenti de cette manière-là dans les communes rurales alors que euh l’idée c’est de déconstruire ces a prioris qui SEM que il existe une confusion entre consommation d’espace euh liée à une augmentation de la
Population et donc un développement du territoire euh ça ne va pas de perd on va le voir juste après et donc il a besoin de créer d’autres récits et de montrer les possibilités d’un autre développement avec d’autres solutions ce besoin de changer de regard sur le
Zal pour illustrer le propos euh je vous ai pris une carte qui a été produite par l’Observatoire régional de la biodiversité et donc le l’Observatoire Régional de la biodiversité produit des indicateurs et euh un de ces indicateurs le flux d’artificialisation notamment a été créé et parmi cet indicateur là on a ressorti
Cette carte euh qui est le nombre de ménages par hectare artificialisé pour de l’habitat de 2013 à 2018 donc là vous voyez que chaque commune a une couleur euh et que euh 30 % des communes donc 30 % des communes de la région sont en rouge et euh ce qui indique que sur
Cette période 2013-2018 elles ont artificialisé leur territoire alors qu’il y avait une baisse des ménages euh sur leurs communes donc un hectare là la la question qu’on peut se poser c’est est-ce qu’un hectare artificialisé entraîne un ménage supplémentaire et bien dans les fêes non puisque au contraire euh enfin c’est pas
C’est pas corrélé quoi et donc il y a besoin d’un changement de changement de de vision comme je vous le disais et c’est-à-dire que plutôt que de voir comme par le passé le sol en deux dimensions et le sol en tant que support de de nos activités il faut passer à une vision
Plus systé avec un sol en trois dimensions qui a son propre fonctionnement qui rend des services bon là il est indiqué comme ressources mais le plus important ici et je l’ai rajouté en dessous c’est que avant tout c’est un milieu vivant donc il faut prendre cette considérration en
Considération ce ce fait parce que à détruire les sols bien ils ne pourront plus remplir tous les services qui nous rendent actuellement et donc en avec le changement climatique aura des grosses difficultés à à s’adapter donc tout ce que je vous ai présenté jusque-l c’est issu de la
Présentation donc du du céser centre Val-de Loire et donc quand on parle de comment agir quel levier et bien le césr lui donne a donné son avis et donc il déplore euh que l’essentiel des débat autour du Zéro artificialisation net soit rédit réduit pardon à une arithmétique de consommation des espace
Et aimerait que les réflexions soient plus orientées vers des questionnements sur la manière de de modifier les modèles d’aménagement et de développement urbain actuel et futur pour mieux préserver l’environnement et qu’un enjeu majeur du Zéro artificialisation net est de réussir l’accompagnement des élus et des services des petites collectivités pour
Permettre d’aboutir à des projets dynamisants et attractifs pour la population avec une alerte c’est que les collectivités besoin d’aide pour l’ingénierie et donc besoin d’aide de la part des des collectivités des financements et pour pouvoir améliorer on va dire cette cette vision et faire évoluer leur vision et
Faire des propositions qui qui puisse aller dans le sens du zan et qui soit acceptable par la population euh une des pistes c’est de se tourner vers les possibilités offertes par le parc vacant là le César a produit une carte du taux de logement vacant par par Scott pas de cohérence territoriale en
2022 et on voit que dans chacun de ces territoires on a quand même pas mal de de logements qui sont vacans et qui pourrait être très intéressant de de de réutiliser pour euh pour ouvrir de nouveaux logements euh pour les populations sans avoir artificialiser les sols donc il y a des possibilités qui
Sont offertes euh également par les friches urbaines quand on parle de friches urbaines il faut bien avoir à l’esprit des friches qui qui correspondent à des usines abandonnées euh pour ceux qui connaissent à Orléan il y a l’usine quell qui euh qui a un très bon exemple ou alors l’usine Matra
À romorentin euh et donc qui est différent des friches qu’on peut voir et qu’on peut avoir dans l’esprit des friches qui correspondent à des des terres des sols qui ne sont pas entretenus entre guillemets et qui ont été laissés laissés à l’abandon et dans laquelle la biodiversité a pu se
Réinstaller celles-ci elles sont très intéressantes pour la biodiversité et donc à si jamais il y a des projets sur ces types de richiches là euh bah il faut faire très attention de ne pas détruire de la la biodiversité un fonctionnement des sols qui est qui est qui est en
Place il y a aussi un potentiel sous-utilisé dans le dossier urbanisé récent et puis il faut utiliser la capacité de densification d’espaces déjà imperméabilisés euh des parkings des voies des voiries et cetera enfin voilà il y a il y a toute tout pas mal de clés je vais vous
En lister ensuite les pistes et faire olué aussi cette cette cette idée de d’avoir son pavillon avec avec son morceau de jardin ça c’est clairement un un imaginaire collectif qui va falloir faire changer donc les pistes de réussite pour atteindre l’objectif zan j’en ai deux slides je vais vous les
Énumérer rapidement euh vous pourrez l’idée c’était de donner des éléments que vous pouvez revoir par la suite et alleer vous avoir de la ressource intéressante euh à reconsulter par la suite donc euh il y a l’idée de changer de récit euh d’identifier les villes et villages qui se recyclent pour accueillir des
Logements euh en compatibilité avec les dynamiques démographiques avec des solutions respectueuses de la biodiversité et aidant à lutter contre le changement climatique euh une piste de mieux accompagner l’ensemble des collectivités en ingénierie euh comme créer une société publique locale régional d’aide à l’ingénierie pour le recyclage urbain euh volet dans le volet
Aménagement euh monter en compétenence sur les nouvelles possibilités c’est-à-dire renforcer la formation initiale et continue créer des spécialisations en recyclage urbain et promouvoir la création d’une école d’architecture en région il y a aussi couvrir tous les territoires par un établissement public foncier euh s’appuyer sur les principes essentiels de laqualification des espaces
Construits et à la sobriété foncière donc lier les opérations de logement aux impératifs environnementaux à la proximité des activités économique et à la planification des offres de mobilité et ensuite prendre le temps de se donner les moyens d’analyser son territoire pour établir une stratégie d’action pour le logement économique de
L’espace réussir pleinement une mobilisation du parc vacant multiplier la réhabilitation des friches urbaines clé en main se doter d’outils pour une densification raisonnée en expérimentant de nouvelles formes urbaines en cas d’extension euh les envisager de façon novatrice compacte et intégré aux fonctionnalités écologiques se donner les moyens de désartificialisé renaturé
Pour atteindre l’objectif zéro et appeler à une réforme nationale fiscale favorisant la sobriété foncière donc en synthèse de cette introduction euh les clés de la réussite c’est d’identifier de nouveaux processus décisionnels qui tendent vers un mieux-être dans l’intérêt de tous pour stopper durablement les processus anciens consommateurs d’espace et amplificateur
Et donc au regard des préconisations présentées les politiques publiques et les collectivités dans la région ont aussi une urgente responsabilité celle de promouvoir ses solutions pour faire muter les prises de décisions afin d’en favoriser fortement la montée en compétenence l’ingénierie et le financement voilà pour ce qui est de la partie
Introduction donc de de ce que j’ai pu reprendre de la présentation de de Monsieur senav et je vous propose de passer tout de suite à du concret avec des explication de l’ARB donc de Pascal Larmande sur comment agir sur son territoire donc Pascal si tu es là je
T’invite à ouvrir ta caméra je suis là ma caméra est ouverte sans problème il y a juste une petite question d’fn dans le chat euh pour une un éclairage à quoi fait référence le foncier urbanisé récent sur une des dernières slides que tu as partagé
Alors comme ce n’est pas moi qui ai fait la présentation je n’ai pas l’information mais je me note la question et je demanderai à Samuel de de transmettre la réponse par mail si ça vous va donc je vais pouvoir prendre la suite euh je te diraai quand de passer la
Diapo d’après Daphné tout à fait voilà c’est parfait donc euh bonjour à toutes et tous donc moi je m’appelle Pascal larmand je travaille donc à l’Agence régionale de la biodiversité centre val-deloire euh l’ARB juste un petit rappel rapide c’est une agence qui a pour but de faciliter la prise en compte
De la biodiversité et le passage à l’action euh dans l’ensemble des territoires en région centrevdeloire et c’est dans ce cadre-là que je m’inscris puisque moi j’appuie les collectivités les entreprises et tous les acteurs en région qui souhaitent notamment adapter leur territoire face aux enjeux climatiques en utilisant la nature comme
Source de solution donc dans le cadre de l’intervention d’aujourd’hui euh je vais reposer déjà quelques notions et quelques contextes liés à la région Centre et puis euh détailler ensuite euh des actions qui vont permettre de concilier la densification dont tu as parlé euh Daphné euh à l’instant et puis
Euh bah la biodiversité euh de de vraiment pouvoir travailler les de deux concerts donc en premier lieu euh non diapo d’avant le petit focus sur la région Centre sur l’occupation du sol actuel en région euh donc chaque sol va se définir selon son usage est ce qu’on
Peut voir dans le le la région centroval de Loire c’est qu’on a une région principalement euh avec des milieux principalement agricoles donc milieu agricole c’est pour 51 % des grandes culture des vignes et des vergers euh pour 8 % ça va être des prairies ou des
Surfaces toujours en herb et puis il y a un petit relic sur d’autres typologies de de d’espace agricole ce que l’on voit également c’est que on a une part importante des milieux forestiers avec 27 % et des territoires artificialisés qui représentent 9 % de notre région donc ces chiffres-là ce sont des
Chiffres qui datent de 2020 euh sur sur la région et qui ont été mis notamment en cartographie par l’Observatoire régional de la biodiversité diapo d’après donc en terme d’artificialisation je vais reposer aussi quelques notions comme ça de de un peu plus de définition l’artificialisation on est vraiment sur l’ensemble des transformations qui sont
Dues à l’homme alors du plus ou moins volontairement et qui vont modifier la physionomie et les fonctionnements d’un milieu d’un milieu ou d’un paysage également ce qu’on peut voir en région Centre là je vous ai mis un petit chiffre clé 1443 hactares par an d’espaces naturel agricoles et forest
Qui sont artificialisés donc chaque année 1443 hactares partent de ces espaces NAF vers de l’artificialisation euh en terme de consommation sur le territoire par rapport aux autres régions de France France métropolitaine le centreev de Loir rapportter à sa surface on est en 10e position sur les 13 régions de
France donc on va pas être dans les plus consommatrice mais pour autant il est vraiment fondamental de vraiment regarder cette artificialisation et cette consommation de l’espace euh ce que vous voyez sur la carte de sur la droite de votre image c’est en fait le l’indicateur du flux d’artificialisation
À l’échelle des communes donc là ce qu’on a regardé c’est vraiment la modification de de du sol d’un sol naturel agricole ou forestier vers un sol artificialisé et ça n’est pas le ratio de l’ensemble du sol artificialisation artificialisé de la commune on est vraiment sur ce changement euh de
D’usage d’orientation du sol et donc ce qu’on peut voir sur cette carte c’est on a vraiment quelques secteurs qui se démarque notamment bah la métropole d’Orléan avec ses abords ce qu’on a sur la partie médiane vers la droite on a également la vallée du Cher entre bourg
Et tour et puis la zone de châurou en partie sud et puis en partie nord la frangeche sud de l’UR etloire voilà cette petite zone que daphneé vous montre à l’écran on peut passer sur la diapo d’après donc cette cette artificialisation donc elle va prendre de l’espace naturel agricool et
Forestier et donc consommer pour le transformer en territoire urbanisé les les territoires artificialisés ils vont l’être à différentes raisons c’est ce qu’on a sur le le petit camber que vous avez sur la partie gauche de votre écran en centre Val de Loire quasiment les 2 tiers de l’artificialisation des sols va avoir
Pour origine la construction d’habitat donc 67 % c’est quand même pas négligeable on va avoir également donc de l’activité type commerciale ou industrielle qui n’est pas de l’habitat donc pour 27 % et puis ensuite diverses diverses orientations d’aménagement ça peut être par exemple des voies ferrées
Ou des par exemple la ligne à grande vitesse ou des autoroutes ce genre de choses euh le le ce qui est intéressant de voir c’est que euh quand on regarde en parallèle la consommation foncière et la population se rend compte qu’on a augmenté quatre fois plus vite la consommation foncière
Que la population ces 20 dernières années donc on voit bien que l’augmentation de la consommation foncière n’est pas directement corrélée en tout cas à l’augmentation de la population on a vraiment cette consommation d’espace sans forcément augmenter notablement la consommation la la population euh on peut passer à la diapositive d’après donc
Euh ce qui est intéressant c’est donc de mettre en parallèle cette consommation d’espace et finalement cette notion d’étalement urbain c’est-à-dire l’augmentation de la superficie d’une ville et la diminution de la densité de population donc là je vous ai mis une petite photo par exemple d’une ville de
L’Orléanais le la ville de Horme la photo de gauche dans les années 50 on voit qu’on est vraiment sur de l’occupation de l’espace qui est principalement agricole Natur et naturel et dans les années donc 2020 assez récemment où là on voit très nettement donc du quartier en fait et tout tout ce
Qu’on va appeler une périurbanisation donc la l’urbanisation qui va se faire en périphérie des villes et en fait la problématique qui se pose avec cet étalement urbain c’est que on va euh de fait avoir une plus forte dépendance à l’automobile puisqu’on va rallonger les distances euh et les migrations
Notamment ce qu’on appelle migration pendulaire matin soir pour aller au travail notamment dans les cœurs de ville et revenir ensuite sur ces zones d’habitat on va avoir une hausse des embouteillages une hausse des émissions de gaz à effet de serre euh par notamment les pollutions enfin les les
Gaz d’échappement euh on va également avoir une augmentation des coûts par usager notamment des services publics puisque on se rend bien compte qu’il va falloir plus de voiries plus de réseau par exemple le le le le camion poubelle va devoir faire plus de kilomètres pour aller dans tous les quartiers et en fait
Tout ça ça ça ça se traduit par une augmentation notable des coûts euh pour la collectivité et puis en parallèle de ça bah ce qu’on voit très nettement c’est que on a une artificialisation de ces milieux naturels agricoes et foresté et donc on a un un impact direct sur la biodiversité diapo
D’après et donc là c’est tout l’enjeu en fait de cet objectif duusan c’est de voir finalement de dans le le cadre de cette démarche de réinventer des nouveaux modèles d’aménagement durable pour notamment être plus sobre vis-à-vis de C ce grignotage du foncier et donc pour ça on va pouvoir travailler sur
Deux axes principaux réduire la consommation de l’espace naturel agricole et forestier et donc ça c’est un premier échelon dans le cadre de cet objectif de zéro artificialisation net et qui a été timé sur 2021- 2031 où là vraiment on va travailler à la réduction de cette consommation et maîtriser cet
Étalement urbain et puis à partir de 2031 on va réduire l’artificialisation nette des sols et donc protéger les sols vivants et donc tout ce tout ce cette réflexion tous ces objectifs là ils vont notamment se décliner dans les document de planification donc je vous ai mis un
Petit schéma sur la droite de votre page avec les différents les déclinaisons en fait de cette loi zan dans les documents de plification et donc là vous avez l’échelle on va dire le plus supra à l’échelle enfin l’échelon régional c’est le stradet le schéma régional d’aménagement développement durable et
Le et je ne sais plus euh ensuite le sradet va se décliner dans les Scott puis dans les plui donc les plans locaux d’urbanisme intercommunaux les plans locaux d’urbanisme plus locaux et donc en fait à partir de cette déclinaison dans les dans les documents de planification le but c’est vraiment de
Pouvoir concilier la sobriété et la qualité urbaine et cette qualité urbaine et ce travail de qu sur la qualité urbaine il est fondamentale pour justement obtenir ce qu’on va appeler une densification heureuse c’est-à-dire ne pas ne pas subir une densification négative comme on en a un peu l’image
Mais vraiment d’aimer habiter nos villes en fait diapo d’après euh cette densification donc don dont je vous parlais alors le principe de la densification c’est l’augmentation du nombre d’habitants par kilomè²ré donc là on est vraiment non pas sur un grignotage de l’espace mais plutôt sur euh une optimisation de cet espace
Utilisé et donc là ce que l’on peut voir sur la partie gauche euh de de la diapo c’est notamment un schéma qui présente bah différents euh différentes modulations morphologiques de la densité sur les trois dessins vous avez exactement le même nombre de logements vous avez 76 logements sur ces trois
Schémas par contre ce que l’on voit c’est qu’en terme de répartition dans l’espace de ces logements on n pas du tout finalement le même le même la même utilisation de l’espace ni également le même ressenti par rapport à cette densification et à cette densité et puis
Sur la partie droite je vous ai mis une image qui représente également euh en fait une souvent on a une perception qui est souvent erronée de la densité on s’imagine ces grandes barres d’immeubles immenses et finalement dans les faits quand on regarde vraiment dans les villes notamment les physionomies de de
De typologie urbaine on se rend compte que bah quand on voit sur la partie gauche par exemple des maisons de ville à coller relativement fines finalement vont avoir le même nombre de longements que certains ensembles qui paraissent plus en hauteur plus sous format de toutour donc on se rend bien compte
Qu’on a une perception de cette densité qui est vraiment très différente diapo d’après euh la densification elle a plusieurs objectifs la le premier objectif en dans ces objectifs c’est le premier ça va être de limiter la consommation de l’espace on fait habiter plus de gens sur le même le
Même espace euh l’intérêt également c’est de favoriser ce qu’on appelle la ville des courtes distances c’est-à-dire favoriser la proximité et l’accessibilité des services et des équipements c’est-à-dire avoir tout finalement euh un peu àorté de main et euh et sortir de ce euh de de cette emprise de la voiture dès qu’on a
Quelque chose à faire qu’on ait besoin d’aller euh au sport qu’on a besoin d’aller acheter le pain qu’on ait besoin d’aller au travail euh plus on est sur de l’étalement urbain plus on va avoir cette nécessité euh d’avoir cette ce ce ce cette place importante de la voiture
Et donc là on est vraiment en densifiant sur une ville de courte distance une économie d’échelle une attractivité de de de cette de cette ville et puis finalement également se requestionner aussi pour avoir des une offre de logement qui soit réellement et mieux adapté aux besoins réels des populations aujourd’hui c’està-dire sortir des
Schémas anciens qu’on avait dans les années 70 80 arrêter de de faire ces schémasl de facto et vraiment repenser les usages et les réels besoins qu’on peut avoir les avantages alors là il y en a pas mal c’est notamment ben le perdre moins de temps dans les transports par exemple moins
D’embouteillage moins de transport le meilleur taux d’utilisation des transports en commun aussi puisqu’on va densifier donc on va avoir plus de gens qui vont utiliser les transports diminuer la pression des villes sur l’environnement extérieur donc là c’est moins grignoté d’espace naturel agricool et forestiers et puis finalement aussi en se retrouvant
Ensemble il va y avoir ce renforce il peut y avoir ce renforcement des liens sociaux euh puisque si on est chacun sur sa sa petite maison dans une très grande parcelle on n’ pas forcément ce lien ne serait-ce qu’avec ses propres voisins et puis une chose auquelle on pense pas
Forcément c’est l’économie d’énergie alors que ce soit pour le transport mais aussi pour le chauffage par exemple des maisons à coller on sait que des dans des les maisons à collées vont consommer 30 % de moins d’énergie que une maison au milieu de sa parcelle donc on se rend
Bien compte que c’est vraiment multibénéfice après il faut pas se voiler la face densifier c’est pas que des avantages euh dans la densification on a on comme on va mettre plus de gens sur sur une surface plus restreinte bah finalement on va avoir un impact sur la santé qu’elle soit individuelle ou
Collective de cette massification de de de de population et notamment parce que au vu du changement climatique on va avoir des hausses de température et donc on va amplifier les risques sur une population qui va elle-même se se être plus nombreuse et puis bah finalement c’est aussi que ce cette ification on la
Voit surtout sur par le prisme on va dire de du financier et rarement par le prisme écologique et je vous ai mis deux petits chiffres clés quand même assez parlants sur la droite c’est le ressenti sur la densification 65 % des Français pensent que c’est quelque chose de
Négatif donc il y a vraiment une un problème on va dire d’image sur la densification il va falloir qu’on crée des des densifications heureuses et des densifications enviables euh et puis le deuxième chiffre c’est un chiffre qui est aussi assez parlant 23 % de la population régionale en centre Val de
Loire habite dans une métropole donc la métropole de Orléan ou la métropole de tour sachant que la surface des métropoles de tour et d’Orléan ne représente que 2 % de la surface de la région donc un un habitant sur qu habite sur 2 % du territoire
Régional par rapport à euh à à ce défi on va dire de densification en parallèle de ça on a plusieurs autres défis qui s’offrent à nous et notamment bah le premier qui n’est pas des moindres c’est cette érosion de la biodiversité on est sur une région qui est riche en
Biodiversité mais néanmoins on a une espèce sur 5 en région qui est menacée on a un milieu sur tris un tiers des milieux naturels qui sont menacés en région donc ça touche toutes les espèces il y a pas de il y a pas de de familles
Qui sont épargnées et ça touche tous les milieux naturels avec notamment un focus plus important sur les zones humides qui qui représente so 60 % de ce tiers d’espace naturel menacés en région je vous ai mis également un petit focus sur les variétés locales variétés notamment
Végétal on a on a une très grande richesse en variété végétale locale on a presque presque 500 variétés notamment de de pomm et poir et c’est également en fait une biodiversité qui disparaît donc finalement dans nos schémas et dans la façon avec laquelle on va pouvoir aussi
Repenser nos villes on va pouvoir aussi finalement la repenser avec ce prisme d’amélioration et de soutien de cette biodiversité notamment biodiversité locale diapo d’après en parallèle de ça on a aussi un autre défi dapné en a parlé tout à l’heure c’est tout ce qui est lié aux impacts du changement
Climatique et là en région on a deux gros impacts on a euh le dérèglement du cycle de l’eau euh ça ça va être important puisqueon a déjà un une personne sur H en région qui est exposée au risque d’inondation notamment dans les valalles euh de la Loire mais pas
Uniquement euh en parallèle de ça on va avoir plus d’épisodes de fortte pluie et ça ça peut avoir une incidence sur la partie urbanisée puisque euh il y a dans certains secteurs en région il va y avoir une augmentation du risque de couler de bout euh et d’érosion de sol
Et puis on a on va euh d’autant enfin de plus en plus être confronté à des problèmes de recharge de la nappe fréatique la nappe souterraine et donc toutes les actions qu’on va pouvoir mettre en œuvre qui vont réinfiltrer l’eau de pluie vont être fondamental
Pour à tous les niveaux et à tous les secteurs et sur toutes les zones de la région réinf trer cette haau de pluie au plus près de là où elle tombe et puis le deuxième grands les deuxièmes impacts sont liés à l’augmentation des températures et là notamment ça va impacter sur les
Secteurs urbanisés dans la mesure où on a une augmentation de du nombre de personnes sensibles à la chaleur en région Centre plus 60 % et on va en parallèle avoir plus de jours de forte chaleur plus de jours de canicule et plus de jours de enfin de nuit qu’on
Appelle tropi al c’estàd qu’ ne descendent pas ou les températures ne descendent pas suffisamment et donc qui mettent à mal la santé des habitants et donc par rapport à tout ça bah finalement comment on peut concilier la densification le besoin de alors j’ai mis verdure parce que voilà le tout tout
Le végétal n’est pas forcément idéal à la biodiversité donc ce besoin de verdure cette biodiversité et ses enjeux climatiques et donc bah finalement cette biodiversité qui est un peu mise à mal elle va être à la fois un objectif à avoir mais elle va aussi être un moyen euh d’atteindre nos objectifs euh
Notamment pour avoir cette ville durable et désirable donc là ce que je vous ai présenté sur cette diapo c’est ce qu’on va appeler les solutions fondées sur la nature donc le principe des solutions fondées sur la nature c’est que on se base sur les services rendus par la nature
Euh service donc elle va rendre naturellement sans que sans que nous on lui demande et qui vont finalement nous apporter à nous euh êtres humains euh des bénéfices et et donc je pense notamment par exemple euh quand on va mettre en place euh euh alors par exemple contre la lutte
Contre les îles de chaleur si on on végétalise de la bonne façon et ça je vous l’explique après mais si on végétalise de la bonne façon les villes à ce moment-là elles vont euh cette végétalisation va permettre de réduire les températures localement de donner des microclimats plus favorables et donc
De lutter contre les îles de chaleur et donc toutes ces actions qu’on va pouvoir mettre en œuvre dans les dans les zones urbanisées vont pouvoir en fait euh participer à faire de cette ville une ville durable et une ville euh désirable diapo d’après donc là je vais je vous fais
Juste un petit focus sur euh végétalisation versus renaturation parce que finalement on on pense souvent à la végétalisation des villes mais la végétalisation c’est vraiment une approche qui est principalement centrée sur l’eau euh donc là euh on va euh finalement mettre euh des espaces de végétation qui vont avoir comme objectif
Euh notamment donc là on le voit sur le le le la diapo sur la gauche de la diapo avec ce parking végétalisé euh son objectif ça va être d’infiltrer l’eau de pluie donc ça fait tout à fait le job il y a aucun souci là-dessus par contre si
On on parle renaturation là à ce moment-là on va être sur un triptique euh sur le sol l’eau et le végétal et c’est ce triptique là finalement qui va être centré sur euh finalement la remise en état d’une fonctionnalité de cet écosystème là et à ce moment-là non
Seulement on rendra le service par exemple de l’approche centrée sur l’eau qu’on peut avoir sur le le parking végétal de gauche mais on va aussi remplir d’autres services par exemple des services de pollinisation par exemple une amélioration de de tout tout le végétal qu’on pourra mettre sur la
Zone parce que le sol aura été renaturé le sol aura été refonctionnalisé ce qui est intéressant aussi dans ce concept là de renaturation c’est que finalement l’approche végétalisation c’est une approche qui est souvent très paysagère euh et basé sur notamment sur l’esthétisme mais pas uniquement hein mais et c’est une
Approche qui peut dans certains cas je je pense notamment au nous d’infiltration des eaues pluies euh nécessiter plus d’entretien pour avoir toujours quelque chose on va dire de propre ou de très un peu tiré au cord d’au très esthétique alors que quand on va être sur de la renaturation
Écologique à ce moment-là on va être sur un un écosystème qui fonctionne de lui-même et à ce moment-là bah finalement euh il va se réguler et s’équilibré et par exemple pour les nous elles vont fonctionner aussi bien au niveau hydraulique il y a aucun souci mais l’entretien sera minime puisqu’on
Peut passer une à deux fois par an donc ce qui est intéressant à l’échelle en fait d’une collectivité c’est de regarder vraiment ces deux approches parce que c’est pas une qui est bonne une qui est mauvaise en fait c’est une combinaison de ces deux approches en fonction des lieux en fonction des sites
Et en fonction des objectifs diapo d’après l’importance de la trame brune donc comme je vous disais sur la renaturation c’est vraiment la refonctionnalisation du sol et là je l’ai juste vous montrer la diapo à droite pour vous montrer que cette ces rangées d’arbres ont été planté au même
Moment euh la rangée d’arbre qui se situe sur la gauche de la petite flèche jaune ce sont des arbres qui sont plantés en fusse individuell sur la droite de la petite flèche jaune ce sont des arbres qui sont plantés dans des fusses continues et on se rend bien
Compte finalement de l’incidence de du de la façon de planter sur la ré activité finalement du végétal et donc les arbres qui sont plantés en fausse continue sur cette photo là par par exemple vont remplir vraiment euh le les objectifs qu’on leur aura donné en les mettant c’est-à-dire plus
D’ombrage plus de de de de de fraîcheur puisque plus gros arbres et enfin plus gros arbres et euh euh évapotranspiration meilleure diapo d’après là je vais juste vous balayer très rapidement quelques exemples euh d’actions qu’on peut mettre en œuvre donc là on est vraiment sur des actions
À la fois sur des villes vraiment très urbaines mais aussi finalement des cœurs de Bourg il y a pas de il y a pas de de taille spécifique hein pour mettre en place ces actions là donc le principal enjeu c’est la désimperméabilisation rendre les villes éponges faire
Infiltrer cette eau de pluie qui tombe et donc là c’est vraiment travailler et voir autrement tout ce qui est au niveau du du de du sol donc là vous avez par exemple des des copos sur la gauche au milieu vous avez des parkings infiltrant sur du végétal et à droite vous avez une
Partie bitumée mais qui en fait est strriée de zone sur laquelle l’eau peut s’infiltrer de façon tout à fait naturelle en partie basse vous avez différents euh différentes typologies euh d’actions qui peuvent être mises en œuvre pour infiltrer les eaux de pluie euh ne plus les faire partir dans les
Réseaux pour les faire partir vite et loin mais au contraire les conserver et les infiltrer sur place donc là vous avez par exemple une marare euh qui infiltre des EAU de sortie de d’immeubles donc dans un quartier au milieu c’est des EAU de parking donc là c’est sur une grande surface dans
L’Orléanais ici vous avez euh des Z des des EAU de ruissellement sur des voiries sur un un écoquartier et puis à droite c’est finalement se servir de l’existant qui était là en l’occurrence un espace vert et en créant uniquement des des troués dans cet espace vert se servir de
Cet espace vert pour faire ruisseler l’eau de pluie du trottoir et pour aller s’infiltrer dans cet espace qui qui existe déjà diapo d’après on peut renaturer également et végétaliser l’espace urbain donc là ça va vraiment être plutôt de l’objectif des collectivités donc ça va être à la fois
Par exemple en en végétalisant les façades donc là on parle bien de grimpantes sur sol naturel qui vont courir le long des façades on n pas sur les petits les petites plaques qu’on va coller aux façades on est vraiment sur de la grimpant sol naturel ça peut être
Sur les toitures végétalisées ça peut être également de palisser on y pense pas nécessairement mais là vous avez l’image donc c’est dans dans le nord de la France c’est un palissage avec des fruittiers sont des des pommes à gauche de à gauche voilà celle-là ce sont des
Pommes qui sont palissées sur une façade et et qui tamponnent la façade tout en ayant une meilleure qualité en terme de biodiversité puisque un meilleur ACC accueil pour la petite faune vous avez donc le travail des parking vous avez le travail sur les cours d’école avec la désimperméabilisation des cours d’école
Et la végétalisation ça c’est très à la mode on va dire donc les collectivités s’en en par vous avez également la végétalisation des tiers on y pense pas nécessairement mais ce sont des des endroits qui sont vraiment des îlos de chaleur actuellement en ville et donc travailler cette végétalisation est
Importante et en plus fait de l’accueil pour la biodiversité et puis tout ce travail sur les bosquets urbains donc là vous avez un exemple sur un ancien parking qui a été végétalisé à à Bordeaux mais vous avez un exemple très bien aussi sur sur Blois qui a été
Végétalisé il y a pas très longtemps et puis parce que le en ville finalement euh la nature est très souvent privative près de 70 % de la nature en général est sur de l’espace privé c’est vraiment comment on va conforter et améliorer aussi cette biodiversité au niveau des
Secteurs privatif tout en densifiant et là je vous ai mis par exemple sur la partie basse de votre image le système bimbi c’est finalement comment on construit des maisons supplémentaires mais non pas en les mettant dans les jardins mais en préservant cette frange de jardin en partie arrière de de de la
Zone construite et en étant sur des modèles urbains euh qui st mê qui s’entrecroise pour que chacun finalement ait son intimité et ça c’est très important dans la densification urbaine mais en ayant également sur la partie arrière une un espace de biodiversité qui soit quasiment finalement d’un seul
Tenant et avec par exemple des clôtures perméables pour avoir une biodiversité la plus optimale possible et puis la dernière chose parce que j’étais un peu longue c’est euh là finalement c’est aussi et daphneé en a parlé c’est comment euh on repart de friche industriell pour les redonner à la
Nature et là je vous ai mis deux exemples sur la partie droite c’est le site Kodak à à Sevran qui a été déconstruit qui a été dépollué et qui a été rendu à la nature et là en ce moment il est en libre évolution pour l’instant
Et sur la partie gauche là on est en région Centre Saint-Martin d’oxini on est dans le chair et vous voyez ces entrepôt à l’abandon au milieu de votre photo c’est exactement la même zone avant après la construction la dépollution et la recréation du cours d’eau du qui passait anciennement en
Dessous et d’une zone d’expansion de cru qui sert également bah finalement d’ilau de fraîcheur pour les habitants et là on regagne de l’espace naturel fonctionnel et préservé euh à à à l’endroit où on avait anciennement des zones artificielles voilà pour ce balayage très très rapide n’hésitez pas à poser
Des question dans le chat ou euh en levant la main sur euh avec le le le petit euh euh la petite icône réaction en bas de votre écran alors je vais juste modifier un peu le temps de question parce que notre intervenant vient de suivant vient de m’informer de
D’un écourtement de son temps parmi nous donc ce que je vous propose c’est d’enchaîner tout de suite avec sa présentation pour qu’on puisse l’avir en totalité et ensuite on passe à un ensemble de questions groupées sur sur l’ensemble des présentations merci de votre compréhension et t que je passe la
Parole à Grégoire est-ce que tu peux allumer ta caméra ouais super normement c’est bon ma caméra était déjàum merci oui je suis navré de ce ce contetemps de dernière minute mais on va s’adapter je vais essayer de faire un peu court parce que j’ai vu qu’il y avait plein de
Questions dans le chat et et moi aussi j’ai envie de répondre à vos questions dans le chat donc on va essayer de garder du temps pour y répondre malgré tout euh très concrètement sur cette présentation là ce qu’on s’était dit c’est que il fallait prendre deux exemples tout on a sélectionné deux
Exemples qui permettent d’interroger quelque part tout ce que Pascal vient de nous raconter parce que c’est ça qui est intéressant c’est de faire le parallèle entre la première présentation et la deuxième j’ai pris deux exemples qui sont dans des temporalités différentes premier exemple c’est à Saint-Pierre descor et c’est
Plutôt un exercice de planification qui a eu lieu il y a 4 ans donc c’est-à-dire avant que le zan ne sorte mais je pense qu’aujourd’hui à la lumière du Zéro artificialisation nette et des questions d’artificialisation c’est un projet qui est intéressant de de relire et puis deuxième projet qu’on a conduit l’année
Dernière et qui lui est tout à fait ancré dans ses problématiques et qui traite un peu du renouvellement Pascal l’a un petit peu abordé aussi euh je me suis pas présenté je m’appelle Grégoire brusulier je suis architecte du patrimoine et urbaniste et directeur du CAUE de Loire etcher donc le Cau c’est
Le conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement qui est un organisme associatif qui accompagne les collectivités et les particulier euh dans sur pour la promotion de la qualité architecturale urbaine et paysagère donc on fait des actions de sensibilisation de conseil de formation d’information euh autour des questions euh d’aménagement on pourra dire dans un
Sens un peu large premier exemple on peut passer à la diapositive suivant pour rentrer tout de suite dans le vif du sujet c’est euh les cœurs d’ilot de Saint-Pierre descor alors Saint-Pierre descor vous le savez on connaît tous Saint-Pierre descor parce qu’on s’arrête souvent à la gare euh pour faire un
Changement avec de TGV euh le grand complexe autoroutier que vous voyez apparaître à gauche de l’image c’est l’autoroute à 10 et là on est sur une partie qu’on appelle le vieux Saint-Pierre descor qui est constitué en fait d’un tissu assez ancien qui s’est urbanisé au début du 20e siècle dans
Lequel il y avait énormément de jardins vivriers pour partie des jardins familiaux pour parti des jardins individuels avec des potagers des vergers et puis progressivement les parcelles se sont urbanisées au fur à mesure des époques parce qu’on vendait les parcelles maréchères pour construire des petites maisons et donc on a un
Tissu qui qui qui est pas constitué de loottissement au sens où on peut l’entendre alors c’est du loottissement parce que les lots ont bien été L a mais c’est l’urbanisme quasiment spontané vous voyez qu’on a une diversité dans les couleurs de toiture par exemple on l’a aussi dans le dans les architectures
C’est ce qu’on vaouver euh et au milieu de tout ça vous voyez apparaître des cœur d’Ilo qui sont très verts qui sont très denses eux aussi mais plutôt en végétation et en verdure et à l’occasion à l’occasion d’un exercice de planification la question nous a été posée par les élus de la précédente
Municipalité on était avant 2020 d’urbaniser ces cœurs d’ilot c’est ces cœurs d’ilot certains d’entre eux avaient déjà été urbanisé vous voyez apparaître en haut à droite de l’image un lotissement parce que là ça a bien la forme d’un lotissement c’est un projet architectural qui a été construit en
Zone inondable avec un architecte un programme et qui a pris place quelque part d’un cœur d’ilot qui était à l’origine végétalis on peut passer à la diapositive suivante pour se rendre compre un peu de l’image de securilo vous voyez apparaître les petits fonds de jardin on a des potagers il y a une
Petite valeur agronomique qui est pas négligeable on est dans la Varine entre Loire et Cher et donc on produit relativement bien dans ces secteurs là et puis vous avez des arbres qui émergent qui sont de nature variée on peut avoir des arbres remarquables qui sont hérités de de parc
Et de jardin qui ont été plantés au début du 20e on a des arbres plus modestes mais qui sont l’héritage de vergers donc on a des fruitiers des figuiers des pommiers des voilà y a tout un tas de d’essences diversifié et puis vous voyez ici apparaître la diversité
Architecturale on a continué à faire un peu de bimbi pour faire écho à ce que disait Pascal tout à l’heure dans le vieux Saint-Pierre c’est-à-dire que parfois entre entre deux parcelles où il y avait un peu de place ben on a on a construit une petit pavillon un petit
Mais c’est c’est de l’urbanisme spontané c’est pas organisme diapositive suivante pour se rendre compte de l’ambiance qu’on peut avoir ça c’est la la vue sur rue le paysage qu’on a sur la rue on est bien en ville c’est urbanisé il y a pas de doute et tous les cœurs d’Ilo que
Vous vous voyez apparaître sur le sur les images précédentes en fait ils sont cachés à l’arrière de ces à l’arrière de ces maisons le front de rue est caractéristique c’està-dire qu’on a un mur de clôture une petite cour et puis la maison qui vient en retrait de la
Cour mais on est sur un tissu qui est relativement dense si on reparle un peu de la question de la densité finalement mis à part ces cœur d’Ilos qui ne sont pas urbanisés le long des voies on a plutôt une optimisation de l’espace urbain diapositive suivante à
L’intérieur des cœurs d’Ilo on est dans un écrin de verdure c’est c’est magique ici on est sur une ce qu’on appelle une rotte c’est un petit sentier qui permet de circuler à travers les les parcelles cultivé on est dans les fonds de jardin ce sont des espaces extrêmement
Domestiques et qui font la la la valeur et la caractéristique du secteur vous me voyez venir avec mes gros sabots On continue euh on est aussi là sur une autre rotte qui est celle-ci bordée de mur mais à partir de laquelle on voit apparaître des végétations de la végétation luxuriante de part et
D’autrre qui sont qui émanent des jardins et qui permettent de créer cette ambiance paysagère si caractéristique des des l’illo du vieux Saint-Pierre par ailleurs je le précise tout de suite parce que ça peut avoir un un par enfin une on peut passer à la diapositive suivante mais je le précise tout de
Suite euh dans le vieux Saint-Pierre on a des catégories sociopressionnelles particuliers on est sur des artistes des professeurs d’université on va dire des des professions intellectuelles supérieures qui sont venus investir à proximité de l’autoroute des vieilles maisons des années 30 dans lesquels ils se sentent très très bien et qu’ils ont
Décidé de d’habiter et il y a beaucoup d’associations qui sont très actives et qui contribuent notamment à l’entretien de ses cœurs d’ bref on est à proximité du cœur Métropolitain à proximité des sport on parle déjà de limiter la consommation d’espace et donc il paraît assez évident que il faut pouvoir accueillir davantage
De populations dans ces secteur qui sont tout à fait bien desservis et qui sont à proximité des équipements des commerces et des services oui mais voilà quand on commence à faire le diagnostic sur securilo et et je vous ai pas caché parce que je l’ai refait de manière
Voilà à partir de quelques images euh on est dubitatif parce qu’on se dit que finalement securdilon ont une très grande valeur et que les urbaniser c’est forcément perdre un côté ou une caractéristique euh notamment de biodiversité d’ d’ilot de fraîcheur en plein cœur de de la ville euh c’est aussi euh peut-être une
Manière de de palier à la présence de l’autoroute on a une forte végétation et donc la végétation elle peut peut-être limiter euh l’impact de la pollution de l’autoroute sur les habitations qui sont à côté donc si on vient urbaniser et rajouter du béton ça pose des questions mais voilà c’est pas l’exercice qu’on
Nous demande et donc on poursuit le travail et on essaie d’urbaniser vous voyez qu’on a identifié cinq cœurs d’ilot différents qui représentent quand même même plusieurs hectares si vous regardez on fait rapidement la somme on est à 3 hectar et demi 2 hear et demi un hectare ici quasiment un hectare et demi
Ici donc ça représente des surfaces relativement importantes à l’intérieur desquelles on a quand même essayé dans le diagnostic qu’on a réalisé là j’ai pris l’exemple la diapositive suivante du plus grand curilo et celui central que vous on a un peu zoomé donc c’est celui qui est au nord voilà qui qu’on
Voit parce que c’est le plus vert c’estelui qui apparaît manifestement sur le donc qui fait lui quasiment 3 hear 5 et donc on a essayé de faire un travail avec la diapositive suivante vous allez voir de traduction dans le document d’urbanisme ce qu’on appelle une opération une orientation pardon
D’aménagement et de programmation où on propose d’urbaniser de manière mesurée et donc on essaie de s’appuyer sur la trame VIè existante de protéger certains espaces qui nous semblent très précieux et donc sur lesquels on ne pourra pas construire donc on met en place des outils de préservation de la trame
Paysagère et puis pour éviter d’avoir une urbanisation trop importante on propose que toutes les voitures qui pourraient venir à l’appui de l’urbanisation avec de l’habitat se garerait en fait aux extérieurs c’est les petites poches bleu que vous voyez apparaître sur le plan ce qui permettrait de de ne pas pouvoir
Stationner à l’intérieur des îlos et donc de limiter les voies d’accès dans les îlos à des venelles de 3 m de large où on peut simplement venir déposer son réfrigérateur mais on vient pas stationner son véhicule on est obligé d’aller stationner son véhicule à maximum 70 m de son lieu d’habitat on
Avait fait les calculs sur le papier c’est un urbanisme qui paraît en effet assez mesuré eu égard aux aux enjeux du cœur d’Ilo on a préservé quasiment 30 % des surfaces qui ne seront pas urbanisables à l’intérieur des cœurs d’ilou et al non seulement elles ne sont pas urbanisables dans le
Document que vous avez sous les yeux mais on a décidé même de mettre des outils pour les protéger c’est-à-dire qu’ell elles sont elles ne sont pas constructibles on les protège au titre du document d’urbanisme mais tout cela n’a pas suffi et l’enquête publique s’est extrêmement mal passé la population n’a absolument
Pas acccep ce projet d’urbanisation de cœur d’Ilo euh ça nous a confronté à la limite de l’exercice et de notre pratique puisque là dans tous les enjeux qui viennent se croiser finalement c’est comme si euh par le travail qu’on a réalisé nous nous étions assis sur les
Enjeux de biodiversité de de d’ilot de fraîcheur de trame végétal dense en milieu urbain et que en tout cas en écoutant les habitants on s’est posé tout un tas de questions on a diminué la densité donc diminuer le nombre de logements on a essayé de négocier avec les comités de quartiers pour trouver
Des compromis un compromis a été trouvé pour le PLU en place mais l’histoire prouve qu’on avait un petit peu de corp puisque la municipalité n’est pas repassé aux élections suivantes pour plusieurs raisons mais entre autres pour celle-ci et la nouvelle municipalité qui a été élue en 2020 a modifié le document
D’urbanisme pour rendre inconstructible la totalité des cœurs cette histoire que je vous raconte est tout à fait symptomatique des enjeux auxquels nous allons être confronté dans les années à venir parce que on est précisément sur sur une question de zéro artificialisation nette et le discours consistait à dire que les grandes
Métropoles avaient une vocation d’accueil de la population et donc devaent continuer à se densifier trouve très rapidement ces limites dès lors qu’on approche dans des des quartiers qui sont avec des très grandes sensibilités patrimoniales entendu dans un sens très large y compris patrimoine végétal patrimoine de la
Biodiversité et donc c’est pas ça n’est pas aussi simple que de se dire qu’on a une surface disponible qu’on peut investir facile voilà ça c’est le premier exemple que je voulais vous montrer et sur lequel on pourra revenir et le deuxième c’est un exemple qui est radicalement différent là on est à bosla
Romain on est dans le le nord-est du département du loircher quasiment un mi-chemin entre Blois et Orléan au milieu de la BOS pour vous donner un ordre d’idée c’est une commune qui est très intéressante puisqu’elle est à la à la croisée de deux axes stratégiques la
La d357 qui relie la ville d’Orléan et la ville du Man qui a un axe très structurant à l’échelle urbaine pour le nord de notre département et puis un autre axe plutôt nord-sud qui relie main sur Loire à châteauin qui est aussi un axe de d’élestage d’un certain nombre de
Transports très important la commune alors c’est bosla Romain c’est la commune nouvelle autre fois elle s’appelait housousoir le marché c’est une commune qui connaît une un développement très important parce qu’elle est très proche d’Orléan et donc elle s’est considérablement étalée ces dernières années et c’est une commune qui compte aujourd’hui 3500 habitants et
Qui est de moins en moins une commune rurale qui devient une petite ville une petite ville quasiment périurbaine puisqu’on est à 25 minutes à dorléan et donc il y a beaucoup d’actifs Orléanais qui viennent habiter à bosla Romain à la campagne il y a de nombreux lotissements
Qui se sont dév développé et donc après avoir massivement consommé les élus commencent beaucoup à s’interroger sur les possibilités de renouvellement de leur tissu pour essayer aussi de peut-être écrire une histoire différente à la fois pour requalifier leur centrebou mais aussi pour le densifier pour éviter d’étaler parce qu’ils ont
Bien aussi compris que la limite de l’étalement urbain c’était le vieillissement du parc de logement c’est des sujets que que Pascal a abordé hein qui qui vont faire éco à ça c’està-dire vous créez votre lotissement vous avez des primos accédentss ou des jeunes familles qui viennent s’installer mais
10 ans plus tard ils ont vieilli leurs enfants ont vieilli aussi il y a plus d’enfants dans les écoles et en fait le parcours résidentiel est bloqué et donc pour accueillir des nouveaux ménage vous êtes obligé d’aller construire un nouveau lotissement et ce ce monde là
Est sans fin c’est un monde sans fin faire écho à une petite publication que vous avez peut-être déjà lu et donc on est pour essayer de sortir de cette logique là en investissant le cœur historique et en repensant un peu les mécanismes de restructuration du centre historique peut-être que ça peut Perm ça
Peut permettre d’offrir des logements qui s’adressent à des primois acoccident mais qui sont dans des formats différents donc c’est plus le la maison individuelle au milieu de sa parcelle ça peut être une petite maison de Bour à côté de la boulangerie en face de l’école où on peut aller à pied déposer
Son enfant le matin avant de prendre sa voiture pour travailler et c’est finalement reproduire des modèles urbains de la ville du cur ou de la ville de proximité dans des Bours qui a priori sont ruraux on peut passer sur la diapositive suivante on a réalisé un
Plan guide parce que la ville de bossel romaine a été l’auréade du programme petite ville de demain et donc le Cau réaliser un plan guide euh de cette commune là pour essayer d’étudier justement les synergies la petite croix que vous voyez en plein milieu du plan c’est l’Église c’est c’est remettre
L’église au centre du village don ça marche très bien pour bosla romaine leur mairie est un petit peu plus loin c’est la tche bleue avec un petit numéro 1 qu’on voit à gauche du plan euh qui est dans un parc voilà parce qu’au départ c’était censé être un hospice c’est une
Petite singularité normalement laamée était au pied de l’église juste à côté euh en face de l’église il y a une grande place qui est la place du marché et et puis tous les équipements bleus que vous voyez apparaître ce sont les écoles la salle des fêtes tout ce qu’il
Y a au sud voilà 1 3 9 4 tous les numéros donc vous voyez qu’on a la chance d’avoir une concentration d’équipement il y a un château aussi qui est dans le centre ancien qui abrite la médiathèque pour autant il y avait beaucoup de vacances commerciales et les
Élus ont commencé à acheter on peut passer à la diapositive suivante on verra peut-être mieux ils ont acheté le hangar que vous voyez en rouge et puis celui qui est au nord qui est pas lui entouré en rouge c’était un ancien proxy et donc il y a un proxy qui se
Libérit une petite superette alors ça c’est l’histoire de nos développements de Bour le proxy s’est libéré parce que il y a un Intermarché qui s’est implanté à l’entrée du bourg donc forcément il y avait plus de clientèle suffisante pour la petite superette de proximité mais c’était aussi une manière pour bosel
Romain de se sentir plus ville et plus urbaine en ayant un Intermarché plutôt qu’un petit proxy bref en tous les cas il récupèrent ce foncier là et plutôt que d’y d’y faire un espace public ou ou d’y faire un nouvel équipement ils se sont dit qu’ils pouvit peut-être essayer
De faire une opération de requalification d’un cœur d’Ilo pour y réintroduire de l’habitat par ailleurs entre-temps il y a un autre immeuble qui s’est libéré et celui qui apparaît au droit de la place euh qui est entouré en orange qui s’est libéré et sur lequel les élus ont décidé aussi d’investir ils
Ont en fait euh entrepris une politique foncière une politique foncière qui est pas dans les habitudes des communes rurales parce qu’en général on n’ pas forcément d’argent pour le faire mais là ils se sont ils ont candidaté pour obtenir ce qu’on appelle du friche c’est-à-dire un une subvention particulière pour pouvoir requalifier
Des friches et qui sont pas nécessairement des friches industrielles on peut passer à la déositive suivante parce que l’image est certainement plus parlante où vous voyez apparaître l’église au premier plan la place de l’Église qui est aussi la place qui accueille le marché et puis en jaune les
Bâtiments sur lesquels on a investi en violet les bâtiments sur lesquels il y a des services et en rose les bâtiments au pied desquels il y a des commerces donc on a essayé de réinterroger un peu le fonctionnement de tous ces bâtiments et de porter un projet de restructur tion
Où on a proposé à la collectivité de démolir une partie des bâtiments de réhabiliter une autre partie des bâtiments et de faire un programme mixte dans lequel il y a à la fois l’implantation de la maison France service et du Logement puisque sur le territoire il y a un manque cruel de
Logement locatif meublé pour pouvoir accueillir de jeunes actifs qui veulent pas tout de suite acheter et qui ont besoin simplement de s’implanter sur le territoire et de le faire dans des dans les meilleures conditions le maire souhaitait qu’on arrive à produire ici une dizaine de logements accessibles en
T2 T3 en locatif privé enfin ou locatif communal euh pour des des familles de jeunes actifs qui viennent s’installer sur la commune et et auxquel on aurait envie donner envie de rester sur la commune et de s’installer durablement et le fait de le faire en centreville c’était aussi pouvoir s’adresser euh
Très concrètement à des cadres puisque les cadres sont intéressés par un style de vie plus urbain et à bosla Romain il se trouve qu’il y a un dynamisme commercial qui le permet avec notamment de nombre il y a boucheries charcuterie fleuriste coiffeurs enfin voilà ils ont vraiment toutes les commerces de
Proximité que qui permettent il a une maison de la presse enfin voilà il y a tout ce qu’il faut et quelques restaurants qui plusé en plus de tous les équipement public dont je vous ai déjà parlé ce projet prend beaucoup de temps les les élus ont acheté la friche
Chopie il y a maintenant 3 ans ils sont encore en train d’essayer alors ils viennent de démolir les bâtiments voilà les choses avancent mais c’est très long et je pense que ce qu’il faut retenir et ça fait aussi écho à ce que disait Daphne en introduction et ce que Pascal
A repris quand on parle de changement de paradigme c’est ça aussi autrefois on achetait un terrain on urbanisait le terrain à neuf il y avait un géomètre qui venait proposer un projet on avait tout cré en main et c’était très confortable pour tout le monde pour le
Porteur de projet pour l’élu pour les habitants qui achetaient quasiment sur plan une parcelle toute vierge o on faisait construire le processus de restructuration ou de revitalisation d’un Bour existant est beaucoup plus long et beaucoup plus complexe et les outils à mobiliser ne sont pas les mêmes mais c’est heureusement ou malheureusement ça
Dépend de quel point de vue on se place la seule porte de sortie qui qui est ouverte pour traduire le zan et pour l’intégrer puisque si on ne doit plus artificialiser à horizon 2050 c’est bien qu’on doit apprendre à travailler avec l’existant or il est impossible de plaquer les modèles du neuf sur
L’existant donc on travaille avec l’existant on apprend à travailler avec l’existant c’est pas le même modèle c’est pas le même sujets ce sont pas les mêmes acteurs ce sont pas les mêmes financements ce sont pas les mêmes montages opérationnels mais heureusement des outils existent et il faut surtout
Pas euh lâcher cette approche donc j’espère que dans quelques années vous pourrez aller euh visiter le projet de restructuration boss la Romaine ça vaudra le détour pour voir s’ils ont vraiment réussi à activer jusqu’au bout un projet de restructuration qui s’appuie sur l’existant avec voilà de la friche du fond friche pour les
Dispositifs de financement et puis parce que c’est un bon label une petite maison France service pour dire qu’on remet des services publics au cœur de l’accessibilité aussi en territoire rural voilà pour ce qui était des deux exemples que je voulais vous présenter ce soir merci Grégoire alors je vais
Arrêter le partage pour qu’on puisse se voir et si vous avez en priorité des questions à poser à Grégoire c’est le moment de le faire avant que il nous quitte dans 6 minutes je vois une première main levée allez-y Jacques ou anneemarie oui euh oui c’est le la photo de de Bos la
Romaine là qui était la au début de la présentation euh avec cet étalement urbain dans une zone qui est manifestement une zone de grande culture hein euh montre bien après la problématique qui va se qui se pose parce que après on se retrouve avec des conflits d’usage entre l’agricole et non agricole
Oui c’est tout à fait vrai et d’ailleurs je crois que la profession agricole vient d’obtenir que euh ça soit le premier arrivé qui est priorité sur l’autre c’est-à-dire que les gens qui arrivent à nouveau qui arrivent maintenant pourront même plus dire ah ben il faut reculer votre vos vos vos
Produits phytosanitaires par exemple parce que nous on était là avant donc on voit bien que la limite aussi de cet étalement urbain c’est une des limites en effet alors je pense que Pascal l’a évoqué tout à l’heure dans les solutions fondées sur la nature on a des techniques qui permettent de gérer
L’interface entre les grandes parce que c’est la question se pose beaucoup pour la grande culture faut se l’avouer il y a pas de tabou là-dessus euh et il y a des solutions qui existent qui sont fondées sur la nature et sur l’utilisation du végétal à la fois comme
Protection ou comme euh oui ou comme écran quelque part pour assurer cette transition euh et c’est une des limites qu’on ne voyait pas forcément aux extensions urbaines que maintenant les élus ont complètement intégré et qui et qui peut même freiner certains élus à faire des extensions urbaines en
Effet Grégoire est-ce que parmi les les questions que tu avais vu dans le chat il y en a auxqueles tu voulais répondre de ou ou pas si je peux les citer oui Pascal répondra aussi je pense mais a-t-on une idée je trouve la question très pertinente a-t-on une idée du
Niveau de densification possible heureuse en terme de nombre d’habitants je trouve cette question magique parce que il est impossible de faire une réponse univoque la l’énorme problème de la densité on en a déjà parlé un peu avec Pascal c’est que c’est c’est beaucoup lié à l’impression de densité
Donc parfois vous pouvez être dans des quartiers où il y a énormément d’habitants on a un grand nombre de logements par M hectare si je prends le voilà l’espèce de chiffre arbitraire qu’on se donne dans les documents de planification 4 logements à l’ hectare on est super efficace 40 logements à l’
Hectare mais mais en fait 40 logements à l’ hectare dans un L de maison individuelle ça n’a rien à voir avec 40 logements à l’ hectare dans un centrebou c’est pas du tout la même configuration parce que c’est pas la même forme urbaine c’est pas la même architecture
Sont pas les mêmes proportions de bâtiment et c’est pas le même paysage quand vous êtes dans un bourg constitué de mur en vieille pierre avec des arbres qui sont centenaires ou dans chaque fond de parcelle vous avez des murs qui qui font la jonction donc vous êtes derrière enfin quand vous
Êtes dans votre terrasse vous êtes protégé par des murs de chaque côté il y a une végétation plus dense la densité vous la percevez pas de la même façon si vous allez dans le centre-ville des des villes V les plus les plus denses traditionnell je pense à au man à Orléan
À tour enfin on en voit des exemples de de de quartiers qui sont extrêmement denses mais dans lesquels la densité est pas forcément mal vécu à l’inverse si vous allez dans les grands ensembles on a concentré un nombre de logement et en parallèle on a libéré énormément d’espace c’est que le nombre de
D’hectares d’espace vert dans les grands ensemble par habitant est finalement plus important que quand on est dans un centre-ville très concentré mais la densité est beaucoup plus mal vécu et donc c’est une des difficultés c’est que la densité c’est ce sont énormément d’entrées différentes et que malheureusement si on pouvait donner un
Chiffre et c’est parfois ce dont l’état rêve mais mais ça marche pas dire la densité idéale c’est 15 lgements à l’hctare ben moi je peux vous démontrer que c’est pas vrai et je suis persuadé que Pascal pourrait dire un peu la même chose que moi c’est-àdire qu’en fait non
C’est pas vrai ça marche pas partout ça marche pas dans tous les cas de figure et je prends une entrée parce que c’est souvent celle qu’on oublie mais si vous prenez l’entrée géographique on nécrit jamais la même histoire en fonction du secteur dans lequel vous êtes 15
Logements à l’hctare dans la bosse bah c’est pas pareil que 15 logements à l’hctare dans du bocage ou 15 logements à l’ctare quand vous êtes sur un côeau ça n’a rien à voir la géographie va vous dicter quelque part votre densité ça aussi c’est des choses qui avec lesquelles on est obligé de
Composer merci Grégoire h alors je vois deux autres mains levées ah non plus qu’une main levée Pascal de rir nature vous m’entendez oui on t’entend Pascal je sais pas s’il va y avoir assez de réseau bonjour bonjour ben je voudrais réagir pour en fait confirmer ce qui est dit sur la notion de
Densification en particulier le fait que depuis quelques années en fait les projets d’urbanisation dense de centreeville notamment sur des friches urbaines euh prennent en compte d’avoir moins d’espace vert parce que c’est de l’entretien en locatif euh les promoteurs vont éviter de faire de l’espace air et parce qu’ils savent
Qu’il y a pas de gestion possible quasiment euh ou que ça coûte en fait au bailleur euh et en accession on sait que maintenant la tendance c’est de d’avoir de moins en moins d’espace ver à entretenir et donc euh on se retrouve avec de la densification qui met de plus
En plus bétonné ou avec du gravillonnage et cetera donc ça ça joue beaucoup je trouve et puis l’autre chose que je voulais dire qui confirme aussi ce que vous avez développé de peut-être pas assez je trouve mais al c’est le l’exemple qui vient d’être donné sur la problématique du foncier c’est important
Vous l’avez mis dans les pistes au départ euh le foncier pour moi c’est vraiment la clé alors on parle de euh d’éviter l’étalement urbain bon depuis plus de 30 ans on l’a écrit dans la loi Solidarité renouvellement urbain c’est en 2000 il a fallu attendre tout ce
Temps pour commencer à se rendre compte qu’il faut vraiment maintenant agir donc c’est ça fait vraiment beaucoup de temps et pendant ce temps-là il y a quelques collectivités qui sont doté d’outils euh d’intervention foncière eux ils ont eu raison pendant que des élus ou des promoteurs pleuraient parce que on
Réduisait leur capacité d’étalement et bien d’autres agissaient et donc notamment par des outils établissement fonciers et cetera et donc pour moi l’exemple que vous avez donné sur Saint-Pierre descor il est flagrant imaginez aller urbaniser des îlos de verdure comme ça c’est la première des choses que on va dire que nos associations devraient
Critiquer c’est c’est de l’étalement urbain on va dire à l’intérieur de la ville finalement l’ont fait je vous rassure par oui c’est très bien dans le tour de table il y avait des associations de défense de l’environnement population donc c’estcord parce que en fait la première réaction d’aller mettre
Une zone à urbaniser au au cœur de ces îos de verdure moi ça me fait éisser le poil alors que s’il y avait une politique de foncière comme vous l’avez indiqué là pour euh ce deuxième exemple où la municipalité a pris les devant et a construit quelque chose sur le long
Terme et bien là ils auraient pu requalifier en fait toutes les petites maisons sans valeur architectural en achetant au fur et à mesure sur tout ce ce on va dire cet anneau urbain enfin cet anneau construit et sur la duré sur évidemment si on se donne 20 ans d’acquisition foncière et
De politique foncière on a de quoi faire un véritable projet urbain dne de ce nom avec en maintenant bah tous les espaces verts d’intérêt je pense que vraiment le l’aspect foncier il est pas assez développé on commence simplement à avir des des intercommunalités qui songent seulement à se doter de d’établissement publics
Franciers c’est tout à fait vrai je je souscris entièrement à vos propos et par ailleurs je pense que ça renvoie une autre question qui est celle de la la méthode de travail on est en urbanisme on est on est très attentif à la notion un peu de grand soir donc on fait des
Grands plans d’aménagement on a une vision à 20 30 ans en fait ça ne fonctionne plus vraiment quand on commence à parler de densification ou de fait face à des duretés foncière des héritages un peu difficiles à transmettre des des opérations disons techniques foncières et juridiques qui peuvent être plus complexes on est
Obligé aussi de s’adapter et de plus imaginer des projets démesurés on est obligé de faire de l’urbanisme tactique on est obligé d’aller faire de l’acupuncture dans la vide et d’aller chercher les espaces un peu stratégiques on va acheter une deux trois parcelles maximum tu vas faire une première petite
Opération pour montrer qu’on peut densifier de manière un peu intelligente un peu mesurée et c’est vrai que ça nécessite d’avoir des outils auquels les élus sont pas encore totalement sensibilisés mais c’est en marche euh alors chez nous le pfli a un peu plus de mal à s’implanter en Loir cher que il ne
L’ai en Loiret mais ça commence voilà c’est des choses qui se qui se développent et sur lesquelles il faut être très attentif moi j’ai souvent je dis que le foncier c’est le merre de la la guerre en urbanisme donc je je rejoins complètement ce que vous dites
Euh et il s’agit pas juste d’avoir du foncier il s’agit de de mettre la main sur le foncier qui est stratégique celui qui donne accès à celui qui est bien situé celui qui ouvre une porte à plus long terme et donc faut anticiper faut mettre de côté faut accepter l’idée de
Jouer au Monopoly mais pas forcément dans une dimension libérale c’est ce serait presque un Monopoly communiste sans vouloir faire de mauvais jeux de mots avec saint-per descor mais c’est le Monopoly qui permet de contrôler son territoire de de le gérer de l’anticiper et de le fabriquer à travers le à
Travers le temps et et pas d’un seul tenant ou pas en confiant les clés à n’importe qui alors je dis pas que les promoteurs sont n’importe qui mais parfois il arrive que voilà on fasse trop confiance euh on va dire à la libéralisation du marché de l’immobilier
Qui se fait souvent au dépend de notamment de plein de choses que Pascal a dit dans sa présentation pour moi c’est assez donc c’est une manière de renvoyer la balle à Pascal de de vous remercier pour vos questions très bien merci beaucoup vous dire je su n de voir
Vous quitter un peu avant mais voilà je j’ai une contrat qui s je voudrais si merci encore grégire juste préciser de deux choses il y a on a en France un gros souci c’est les successions qui se règl pas et je rappelle que les communes ont des outils notamment pour agir sur
Les biens vacants et s’ans MRE et aussi je pense qu’il faut qu’au niveau national on pousse à ce qu’il y a une simplification des problématiques des indivisions successoral qui bloque euh des des C enfin des milliers et des milliers de logements en France merci Pascal je vais reprendre peut-être
Avec toi enin Pascal cette fois de la Rb les questions dans le chat avant de reprendre de nouvelles de nouvelles questions il y avait pour la nature en ville est-ce que la nature en ville pourrait limiter les impacts négatifs de la densification al là c’est une réponse
Qui par contre va être très simple oui alors pas tout c’està-dire que quand on va densifier le la problématique de la densification c’est aussi la façon de densifier euh une chose qui est pour avoir ce qu’on a ce qu’on a dont on a parlé de densification heureuse il faut
Euh que les gens aient l’impression quand même d’être chez eux euh d’avoir une certaine intimité euh dans les facteurs également de réussite il y a cette possibilité pour ceux qui souhaitent d’avoir un extérieur l’extérieur n’étant pas forcément un jardin mais en tout cas d’avoir une possibilité d’avoir un extérieur ça peut
Être une grande terrasse par exemple euh et euh donc il y a déjà ce travaillà sur la façon on va dire de construire et ça c’est important parce que ce sont des nouveaux modèles de de construction on n’est plus du tout sur les standards la maison ou le collectif et en fait dans
Cette densification on est vraiment sur des réflexions de semi-ollectif c’est-à-dire unbriquet finalement vraiment sur de la 3D différents types de logement qui ont chacun leur intimité chacun leur extérieur chacun leur rentrée privative tout ça ça fait partie déjà de cette densification et ensuite une fois qu’on a a je veux dire
Travaillé sur la façon de construire il y a ensuite tout l’environnement et là clairement par rapport à tout ce qui a été fléché comme étant des problématiques alors je vais reprendre ma petite diapo sur les inconvénients mais la densification le le l’un des enfin l’un des principals axes c’est que
Avec leau le changement climatique on va voir beaucoup plus de surchaleur dans les villes or on est en train de densifier donc de mettre plus de gens dans les villes donc clairement il va falloir travailler à mettre en œuvre des hîloss de fraîcheur et ces hîlos de fraîcheur ils passent par quoi ils
Passent par le végétal et par la renaturation donc oui quand on va pour avoir vraiment une densification intéressante et pour réduire les risques à la santé que ce soit sur la chaleur que ça soit sur les polluants que ça soit sur le bruit et ben le végétal c’est une vraie
Arme finalement et un vrai levier qui qui va falloir utiliser de façon beaucoup plus orientée insistante et vraiment partout dans les vide ok merci Pascal une autre question dans le chat qui était pourquoi parc phot les parcs photovoltaïque au sol ne sont pas comptés dans le calcul de l’artificialisation alors actuellement
Et je vais un peu bter en touche mais on pourra fournir le le des documents complémentaires actuellement en fait il y a une redéfinition euh de euh notamment des cartographies d’artificialisation euh pour avoir des cartographies beaucoup plus fines actuellement quand on a une une certaine surface par exemple construite sur une
Parcelle c’est la parcelle entière qui est prise comme étant artificialisée même si tout autour on est par exemple sur du jardin euh là dans les nouveaux modèles qui vont sortir normalement en 2024 ou 2025 je dirait euh ils vont être beaucoup plus fins et ils vont vraiment
Euh regarder ce qui est qui est réellement artificiel artificialisé y compris dans le tissu urbain et là ce qui va être intéressant c’est que ça va vraiment faire ressortir notamment les les les fonds de jardin les îloss de verdure comme on a pu avoir voir et comme nous a présenté Grégoire
C’est ces zones là finalement vont avoir une certaine richesse pour les collectivités puisque ça ça va être considéré comme non artificiel alors qu’actuellement c’est dans le tissu urbain donc artif iici et donc pour tout ce qui est photovoltaïque alors je dis pas sur les hangars agricoles parce que
Le hangar de toute façon c’est artificiel donc photovoltaïque ou pas dessus de toute façon c’est une un secteur artificiel je parle plutôt pour le photovoltaïque au sol ça va être redéfini dans ce dans ces cadresl très bien merci je propose de passer à la question de la main levée de Monsieur Le
Fèvre s’il vous plaît est-ce que vous pouvez réactiver votre micro voilà super on ne vous entend pas bah sinon peut-être passer par le chat bon je me propose de reprendre une question du chat en attendant que Monsieur le fa puisse retrouver son micro donc question d’émanuel viora certaines communes de campagne ont
Bétonné leur centrebour ces dernières années aujourd’hui on parle de l’importance de des maabilc comment va-t-on les inciter à le faire aujourd’hui en particulier dans les cours d’école alors par rapport à ces thématique là donc c’est à la fois cours d’école mais finalement plus largement dans l’espace public euh il y a
Plusieurs euh plusieurs levier euh le premier levier c’est on va dire le levier d’incitation financière puisque on va retrouver pas mal de possibilités pour les collectivités euh d’avoir des financements à partir du moment où ils vont mettre en œuvre de la désimperméabilisation à partir du moment où ils vont pouvoir euh euh retrouver
Une fonctionnalité des sols et donc ces leviers là il va y avoir notamment quand on désimperméabilise et par exemple quand on déconnecte les gouttières des réseaux pour les remettre en en infiltration naturelle dans l’espace enfin dans le dans le les zones naturelles de sol euh là on pourrait par
Exemple avoir des financements de l’Agence de l’eau on pourrait avoir des financements également euh de ce qu’on appelle le fond euh anciennement fond vert euh fond biodiversité sur tout ce qui est cours d’école donc désimperméabilisation et revégétalisation en plus de ce ce fond renaturation fond vert on va également
Avoir ce qu’on appelle le contrat régional de solidarité territoriale le CRST qui est passé avec les les EPCI et qui euh qui a une fiche spécifique sur la lutte contre les îles ha de chaleur et les écoles enfin les cours d’école peuvent prétendre euh à euh à être
Financé dans ce cadre-là et donc ce ce ce levier financier c’est vraiment un levier très important et puis le deuxième levier qui est fondamental c’est euh c’est la compréhension finalement parce que les élus sont sursollicités par énormément de problématiques et de thématique et mieux ils seront informés euh plus ils
Pourront prendre des décisions éclairées et à ce moment-là c’est justement euh le le la sensibilisation la formation l’information sur les problématiques les enjeux et les solutions qui se qui s’offrent aux collectivités qui vont aussi permettre de faire passer à l’action les collectivités et si je peux
Me permettre de compléter et ça a été d’ailleurs signalé dans le chat au sein de la fédération donc France Nature Environnement centre val-deloire nos associations travaille avec les collectivités à déployer le programme objectif climat 2030 dans lequel une des actions phare est la renaturation des cours d’école et donc les communes
Peuvent bénéficier de financement donc c’est des financement fincement notamment enfin le réseau en tout cas est financé par l’Agence de l’eau pour ce projet et euh il y a du du temps de de travail de nos associations qui viennent faire un diagnostic de de la collectivité de ses capacités
D’adaptation au changement climatique et euh en fonction des résultats du diagnostic propose ensuite à la collectivité de mettre en place des actions et notamment accompagne à la renaturation des cours d’école oui enfin si je peux me permettre euh en fait enfin moi pour moi c’est pas gagné hein
Parce que euh ces projetsl sont récents euh alors qu’on commençait déjà à parler euh de l’importance justement de garder des sols qui qui filtre l’eau qui sur laquelle on peut avoir la végétation et cetera et euh sous pr enfin sous la pression soit de parents qui trouvaient que les enfants
Revenaient trop sales ou ou ou ou de ou d’entretien ou d’entretien supplémentaire de ce type d’espace de fait on a fait des cœurs de enfin les les enfin franchement certaines opérations cœur de village aujourd’hui moi je alors c’est dommage Grégoire est parti euh j’en aurais bien discuté avec lui je
Suis très étonnée dans la façon dont certaines opérations de cœur de village ont été faites avec de la bétonnisation quand on avait quand on avait de la terre et et du végétal c’est pas parce qu’on est à la campagne que euh que il faut faire les mêmes bêtises j’allais
Dire entre guillemets faire les mêmes bêtis canville avec 10 ou 15 ans de retard on va dire ça comme ça voilà donc j’ai à mon avis ça va être plus compliqué euh de faire comprendre qu’à la campagne c’est important aussi même dans des des villages relativement petits hein de 700 800 1000 habitants
Euh que c’est aussi important dans dans dans ces structures là euh que que en ville c’est vrai que les les problématiques certes sont différentes mais une cours d’école bétonnée elle sera aussi chaude à la campagne qu’en ville oui c’est tout à fait le cas et c’est aussi euh finalement un des euh un
Des axes sur lequel finalement euh on appuie et euh c’est euh enfin les élus se rendent compte en fait de l’incidence notamment de l’enjeu climatique sur ce qui va arriver à l’avenir et pour les cours des enfin pour les écoles euh on a de plus en plus de fermetures de plus en
Plus tôt en saison donc avant c’était juillet août où il faisait très chaud maintenant c’est juin voir mai et puis des fois c’est même septembre et alors là c’est un vrai enjeu pour eux parce que fermeture de classe et fermeture d’école ça veut dire qu’après il y a
Tous les parents d’élèves sur le dos hein faut pas se leurer quce que nous on fait nos enfants à ce moment là tout ça parce que l’école est pas adaptée et qui fait 40 dans les dans les classes et 50 dehors quoi et donc finalement le le la
Prise de décision l’important c’est de passer à l’action que ce passage à l’action tion il se fasse par le biais de j’améliore la biodiversité et je refonctionnalise les sols ou que le passage à l’action il se fasse par la santé des enfants et notamment tout ce qui est urbanisme favorable à la santé
Actuellement c’est une thématique qui monte énormément il y a un vrai rôle des des élus et des collectivités vis-à-vis de ce de cette santé de leur population et notamment sur les 1000 premiers jours qui impactent durablement et pour toute la vie le le le les enfants et donc
Après les adulte et donc euh finalement euh on a on a des solutions qui peuvent être mises en œuvre et qui répondent à tous ces enjeux-là donc le tout c’est de faire connaître euh le plus possible que euh certaines solutions permettent de répondre à tous ces enjeu et à partir de
Là finalement ça aide à la prise de décision également et puis ensuite euh c’est vraiment l’accompagnement qui est indispensable et le et le montrer que ça se fait aussi ailleurs et que ça marche et je pense on parlait des petites communes je pense notamment à une petite
Commune dans le Cher la commune de Marseille qui doit être à 350 ou 400 habitants et qui a euh totalement refait sa cours d’école pour l’épanouissement des enfants et ce contact à la nature alors que oui on aurait tendance à dire la nature il y en a partout ailleurs
C’est une commune extrêmement rurale et pour autant elle a fait ce travail sur sa cour d’école parce que les élus ont compris l’enjeu pour euh pour les jeunes et pour le le centrebourg également mercici alors du coup Monsieur Le Fèvre est-ce que alors est-ce que vous m’entendez cette fois-ci
Ouent super ettienne donc TER de lien oui je posais la question dans le dans dans le chat le zéro artificialisation net suppose qu’on est un usage des des terres lorsqu’il n’y en a pas je pense en particulier au friches agricoes il y en a énormément dans l’Orléanais je ne
Sais pas si c’est le cas autour d’autres d’autres agglomération ça peut être t temp pour les élus de vouloir urbaniser ou transformer ces ces friches dès lors que bon ben voilà les les les ronciers se se se se développent alors évidemment ces parcelles pourrai avoir à terme une fonction effectivement de de de
Biodiversité mais lorsqu’elles sont très nombreuses lorsqu’on est à proximité de à proximité de zones boisé où cette biodiversité ordinaire en quelque sorte est déjà bien bien représenté et lorsqu’on essaie aussi de promouvoir c’est le cas de terred liien une une production locale et et essayer de essayer de provoir une de promouvoir une
Agriculture qui qui permette une consommation locale les circuits courts et bien on est on essaie de travailler justement sur la revitalisation de ces de ces friches à des fins à des fins agricoles mais c’est vrai que pour l’élu il peut-être tentant de de développer des infrastructures ou ou de l’urbanisation sur ces territoires
Pourrait même être même être un petit peu comment dire un peu maiavéque aussi en se disant bah voilà on laisse une parcelle une parcelle en l’état pendant un certain nombre d’années et puis on dit ensuite bah regarder dans quel état elle est on va l’urbaniser puisque elle
N’a pas elle n’a pas d’usage ça peut même peut-être être une une une démarche plus ou moins plus ou moins souhaitée volontariste de la part de certains de certains propriétaires fonciers alors ça par rapport au zan justement le zan il va aider dans ces cas-là puisque euh le premier objectif
Du zan c’est euh de réduire la consommation d’espace naturel agricole et forestier donc en fait à partir du moment où vous allez prendre cet espace qui n’est pas artificiel pour l’artificialiser vous allez devoir compter cette surface là euh dans une surface urbanisée une surface artificialisée après qu’il y ait un
Usage agricole type mise en culture de la zone ou pas euh c’est un espace agricole naturel ou forestier donc à partir de là il fait partie de cette de ces NAF on va dire à la différence des zones artificielles ce que je voulais simplement dire c’est que c’est un peu
Tentant pour un élu de de dire je ne peux pas respecter je ne peux pas rester le respecter le pu regardez ces parcelles ces parcelles sont sont sont abandonnées en fait dans la déclinaison ensuite du Zéro artificialisation net ils auront pas le choix c’est-à-dire que
Euh dans le quand je vous parlais de la déclinaison dans les documents de quification le schéma régional le seradet va définir des une enveloppe en fait de de surface ensuite il va y avoir retranscription dans les différents Scotes les schémas de cohérence territoriale et ensuite dans les pli plu
Donc de toute façon les collectivités auront cette enveloppe où ils sauront qu’ils peuvent dans laqu ils peuvent artificialisé ils auront en fait euh ils sauront dans quel cadre en fait euh il seront et à partir de là c’est justement pour lutter contre le bah tiens c’est
Plus simple de faire sur la zone où il y a rien que d’aller déconstruire en ville et c’est justement ça l’intérêt finalement du zan si on veut si on veut être crédible il faut aussi proposer des outils complémentaires qui permettent la revitalisation de ces parcelles si sinon
Ça ça Orte un petit peu le bon sens ces parcelles sont sont sans usage euh et et et et donc pourquoi ne pas leur donner une fonction d’urbanisation donc effectivement euh ça n’est pas conforme ça ne serait pas conforme au Sadet donc on veut on veut les on veut les les
Laisser en l’état mais il faut donner à l’élu un un un outil qui lui permette de redonner une autre fonction une fonction à cette parcelle qui ne soit pas qui qu’elle qu’elle ne se maintienne pas en friche en définitive par le ne sera pas crédible le zan ne sera pas crédible s’il
Favorise le développement de parcelles sans usage euh usage pour la biodiversité ouais il y a de toute façon des usages de toute faç sûr alors la biodiversité c’est j’allais dire c’est quelquefois un petit peu le excusez-moi on est tous à souhaiter respecter bien entendu la la biodiversité et la nature mais c’est un
Petit peu quelquefois la tarte à la crème ça peut-être un alibi encore une fois lorsque les parcelles les parcelles naturelles sont extrêmement nombreuses sur un territoire les parcelles enfiché sont sont nombreuses on est à proximité par exemple sur des cas particuliers que j’ai en tête à proximité de de de de de
De territoire boisés en Sologne dans dans dans laquelle il y a aussi beaucoup de d’espace en friche avec une nature relativement ordinaire qui n’est pas négligeable bien entendu mais ce que je veux dire c’est que le le développement de la biodiversité peut-être un une forme d’excuse en quelque sorte qui qui
N’est qui me semble moi pas toujours être être très crédiible dès lors que il y a d’autres enjeux qui seraient de de redonner à ces parcelles leur vocation initiale qui était agricole et de nourrir les populations locale donc si on veut empêcher empêcher l’artificialisation il faut contrebalancer avec des des outils qui
Permettent de revitaliser ces parcelles alors je pense que ces deux outils différents euh dans les dans le la la le comment dire tout ce qui va être notamment revitalisation agricole euh alors je j’ai plus le la le le nom de la chronie mais on a les pattes les plans
Agricoles territoriaux euh qui ont justement pour vocation de dynamiser finalement les production agricole de proximité et là dans ce cadre-là on pourrait dire que ça permet justement de retrouver à proximité des enveloppes urbanisées des secteurs sur lequels on peut avoir cette aliment cette production agricole de proximité par
Contre le zan n’a pas vocation à travailler sur ce pan agricole le zan il est il est vraiment en parallèle des de la planification et de l’Urbanisme donc des documents d’urbanisme et donc on est vraiment sur des items assez différents et je pense que ce qui est important
C’est que les collectivités une fois que les enveloppe on va dire euh vont être définis sur le SCOT sur le le Sadet il y a déjà il y a déjà des quantifications qui ont été qui ont été annoncé et le Sadet sera fixé dans le courant de l’année 2024 sur ce cette ces
Objetsanes à partir de là c’est vraiment aux collectivités de s’emparer de cet outil làà de comprendre que ça n’est pas un frein à leur développement mais que au contraire elles vont pouvoir urbaniser différemment et que dans la majorité des cas surtout les collectivités de petite taille vont pouvoir retravailler les densifications
Et les les revitalisations des Bours en revoyant leur urbanisme de façon différente et là je vais faire le parallèle plutôt vis-à-vis d’une et ça fait lien avec un établissement public foncier sur le Loiret qui a travaillé par exemple sur une toute petite commune euh dans le nord de l’orléanis euh sur
Lequel dans le centrebourg il y avait une énor des un énorme complexe de hangar abandonné d’ancien garage et tout et en fait ils ont participé donc à l’acquisition de cette zone là c’est un peu ce qu’expliquait Grégoire sur sur ou sur le marché ils ont participé à
L’acquisition de cet espace là ils ont déconstruit intégralement et ils ont redonné à la collectivité finalement cette espèce de terrain vierge qui anciennement été bâti et le projet de la collectivité c’est de pouvoir réinvestir ce Centre Bourse et en face de l’église pour y construire à la fois du logement
Des petits commerces de proximité et des espace vert et tout ça pour avoir en fait un centrebourg accueillant et donc ça permet en fait de repenser complètement euh l’urbanisation qu’on peut avoir actuellement mais on est vraiment sur ce volet urbanisme merci Pascal on a on a dépassé déjà de 5
Minutes la fin de la prés de de cette de ce webinaire juste peut-être une dernière question avant de de clore le webinaire il y avait une question sur sur le végétal la perception du végétal destructeur c’està-dire que tu l’as vu la question sur Oui je l’ai vu par
Rapport au pied de mur et ce genre de chos là en fait rétraction d’argile c’est oui alors en fait toute la question qui se pose c’est de de de mettre le le bon végétal au bon endroit dans l’espace urbain et ça c’est vraiment quelque chose de très important
En général euh dans les projets euh euh je va pas dire ancien très ancien mais d’ y a quelques années l’important c’était voilà fallait planter un arbre planter un arbre sans s’imaginer que dans 10 15 20 ans cet arbre ce serait une énorme boule ah bah oui mais manque
De peau on l’a collé trop près de la façade euh parce que on nait pas cette cette cette projection donc le l’enjeu c’est vraiment de mettre le bon végétal au bon endroit euh que ce soit par rapport au pieds d’immeuble que ce soit par rapport au réseau enterrés le les
Les les tuyaux voilà tout ça c’est aussi important euh le bon choix de végétal c’est aussi le bon choix de l’essence euh on a vu des placentières qui avaient été mise en digob biloba femelle euh mauvaise idée parce que à à maturité ça fait des fruits qui sont extrêmement
Malodorant donc à 30 ans on coupe l’intégralité des des plantes qu’on a mis sur la place alors que ilss sont arrive à maturité pour faire l’ombrage et tout ça ça se réfléchit vraiment il faut il faut vraiment euh se projeter quand on plante sur qu’est-ce que sera notre végétal demain en fait et
Dans je voulais juste faire le parallèle aussi avec quoi planter euh au niveau de l’agence régionale de la biodiversité euh nous on est vraiment plutôt focus sur le planter local euh les on sera jamais en climat méditerranéen en centrreev de Loire à partir de là on sera en climat plus chaud mais pas
Méditerranéen euh et de la même chose les espèces méditerranéennes souvent supportent la chaleur parce queelle n’évaporanspire pas ce qui veut dire queelle ne rafraîchissent pas l’air en été donc planter par exemple du chîn vert planter du palmier ça sert à rien si on veut faire un hîlot de fraîcheur
Parce qu’on aura pas cette fraîcheur parce qu’on aura pas les vapostranspiration du végétal par contre planter le bon végétal végétal local qui s’implante bien aujourd’hui dans un espace suffisant pour qu’il pu vraiment bien s’implanter à ce moment-là il pourra supporter euh plus ou moins ce qui va lui tomber
Dessus demain et donc en plus de ça il est mieux adapté à tout ce qui est petite faune locale et donc on est vraiment plutôt là-dessus en se disant que le végétal local une majorité de végétaux locaux vont aussi s’adapter finalement à cette à ce climat qui va
Changer merci Pascal et donc j’ajouterai avec une remarque d’anneemarie et Jacques l’amis dans le chat chat que un arbre qu’on est obligé de tailler est un arbre qui n’a pas sa place voilà on lui a pas laissé la place suffisante pour lui tout à fait ben je vous remercie de
Votre attention jusqu’à jusqu’à maintenant je voulais clore du coup ce ce webinaire donc en remerciant Pascal et Grégoire qui ont participé en tant qu’intervenant en vous remerciant tous d’être restés jusqu’au bout vous dire que ce webinaire va être ajouté sur notre page Youtube pour du replay euh ici euh le début d’année prochaine
Maintenant vu que les fêtes de fin d’année approche euh et que vous pouvez retrouver sur notre site internet l’ensemble des des présentations enfin des webinaires ou des autres événements qu’on organise euh régulièrement vous dire aussi que notre prochain webinaire prévu c’est le 13 février sur la rénovation des bâtiments publics euh et
La préservation de la biodiversité dans le cadre d’un projet qu’onorte qui s’appelle un toit pour la biodiversité qui veille à préserver les espèces inféodéobâtis lors de travaux sur les bâtiments et cette fois-ci sur les bâtiments publics des collectivités et que un prochain webinaire sera aussi organisé en mars sur les obligations
Réelles environnementales donc euh n’hésitez pas à à aller sur notre site internet régulièrement et euh ben je vous remercie toutes et tous euh et je vous souhaite une bonne soirée et une de bonnes fêtes de fin d’année